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Après la fête [ Svelina III ]
Jeu 5 Juil 2018 - 22:17
Tu sors de ton sommeil alors qu'il fait déjà bien jour dehors. Toi qui te lèves, tous les jours, à cinq heures du matin, aujourd'hui ce n'est pas le cas. D'habitude tu te réveilles naturellement à cette heure. Ce matin est une exception. Ce n'est pas ça qui te tracasses le plus pourtant. Tu es sortie de tes rêves, en sentant un corps tout contre toi. Tu t'es endormie en tenue d'Eve. Et quand, tu remarques Svein à tes côtés, aussi vêtu que toi. Dans ta couchette. Ou plutôt dans la sienne, puisque en l'occurrence tu n'as pas dormi dans ton lit. Tu comprends très facilement, que tu n'as justement, pas fait que dormir dans ce lit. Nul besoin d'avoir eu ses D.E.F.I.S avec toutes les notes en Optimales pour le savoir. Il y a des signes qui ne trompent pas. Et merde, qu'est ce que tu as foutu Lina ?
- Bordel ! Qu'est-ce qu'on a fait Svein !?
Une question que tu poses à haute voix, à cause de ta surprise. Tu ne sais pas si il dort encore. Quoique, ça fait cinq bonne minutes que tu gigotes dans tous les sens. Si il n'était pas réveillé avant que tu poses cette question, il risque de l'être à présent.
Bien évidemment, tu te rappelles très bien de ce qu'il s'est passé. Tu n'arrives pas à oublier les nouvelles sensations que tu as ressenti. Pourtant tu devrais. Mais tu n'y parvient pas. Tu as découvert ce dont tu avais entendu parler dans certaines conversations. Tu as découvert un monde inconnu jusqu'alors. Pour la première fois tu as eu l'impression de te sentir libre. Tu as goûté au fruit défendu. Malheureusement pour toi, tu en as aimé le goût. Tu attrapes ta baguette et avec un accio tu fais voler des vêtements jusqu'à toi. La couette te recouvre toujours. D'une voix autoritaire, tu t'adresses à Svein. Sauf que tu n'arrives pas à le regarder sans rougir. Ce qui te fais perdre pas mal de crédibilité.
- Ne regardes pas ! Fermes les yeux !
Enfin... Pour ce que ça allait changer de la situation... Tu as fauté et après le temps de la fête et des plaisirs, vient le temps de la défaite et de la culpabilité.
- Bordel ! Qu'est-ce qu'on a fait Svein !?
Une question que tu poses à haute voix, à cause de ta surprise. Tu ne sais pas si il dort encore. Quoique, ça fait cinq bonne minutes que tu gigotes dans tous les sens. Si il n'était pas réveillé avant que tu poses cette question, il risque de l'être à présent.
Bien évidemment, tu te rappelles très bien de ce qu'il s'est passé. Tu n'arrives pas à oublier les nouvelles sensations que tu as ressenti. Pourtant tu devrais. Mais tu n'y parvient pas. Tu as découvert ce dont tu avais entendu parler dans certaines conversations. Tu as découvert un monde inconnu jusqu'alors. Pour la première fois tu as eu l'impression de te sentir libre. Tu as goûté au fruit défendu. Malheureusement pour toi, tu en as aimé le goût. Tu attrapes ta baguette et avec un accio tu fais voler des vêtements jusqu'à toi. La couette te recouvre toujours. D'une voix autoritaire, tu t'adresses à Svein. Sauf que tu n'arrives pas à le regarder sans rougir. Ce qui te fais perdre pas mal de crédibilité.
- Ne regardes pas ! Fermes les yeux !
Enfin... Pour ce que ça allait changer de la situation... Tu as fauté et après le temps de la fête et des plaisirs, vient le temps de la défaite et de la culpabilité.
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Re: Après la fête [ Svelina III ]
Dim 15 Juil 2018 - 17:36
Svein fut réveillé par quelqu'un chose d'inhabituel : quelqu'un à ses côtés. Dans son matinal esprit embrumé, il avait encore du mal à réunir ses souvenirs de la soirée passée, impossible de déceler lequel des visages flous avait bien pu voir de l'intérêt au sien. Ou le raccompagner ici. Puis finalement t'as une réponse plutôt claire, tu l'entends parler à côté de toi. Il s'était préparé mentalement à beaucoup de choses en partant en vacances, des coups de soleil, des fêtes gênantes et des pertes de matériel, mais sûrement pas à se réveiller nu comme un ver avec une ex-camarade de Durmstrang dans ses bras -encore moins à faire tout ce qu'ils avaient fait avant cela. L'été réservait certainement des surprises.
-Tu veux une réponse sérieuse ?
La surprise de cette découverte passée, il est vaguement irrité -pas envers Tzvetelina, mais lui-même. Mince, il n'aurait pas pu prévoir ça ? Il allait commencer à croire qu'il n'avait jamais été voyant et simplement très chanceux les dernières fois qu'il avait fait des prédictions.
Svein rapidement le lit quand elle commence à s'habiller, il n'a pas envie de l'embêter plus que ça et puis de toute façon il devait bien se rhabiller aussi -ça rendrait déjà la situation un peu moins inconfortable. Ceci fait, il hésite à partir, trouver un prétexte, n'importe quoi pour sortir deux secondes et respirer, revenir avec la tête froide pour réfléchir aux conséquences de leurs actions.
Et puis non, il n'y aurait jamais de bon moment et il ne serait jamais d'humeur pour une telle discussion. Même maintenant, il ne savait pas par où commencer. Puis finalement, la pire question lui vient à l'idée.
-Rappelle-moi, t'es bien mariée ?
Il savait que c'était le pire moment pour évoquer la question, mais trouvait également qu'il fallait bien poser la question à un moment ou à un autre. Il avait pas envie de se faire tabasser sans savoir pourquoi. Non, il n'avait pas envie de se faire tabasser tout court.
-Tu veux une réponse sérieuse ?
La surprise de cette découverte passée, il est vaguement irrité -pas envers Tzvetelina, mais lui-même. Mince, il n'aurait pas pu prévoir ça ? Il allait commencer à croire qu'il n'avait jamais été voyant et simplement très chanceux les dernières fois qu'il avait fait des prédictions.
Svein rapidement le lit quand elle commence à s'habiller, il n'a pas envie de l'embêter plus que ça et puis de toute façon il devait bien se rhabiller aussi -ça rendrait déjà la situation un peu moins inconfortable. Ceci fait, il hésite à partir, trouver un prétexte, n'importe quoi pour sortir deux secondes et respirer, revenir avec la tête froide pour réfléchir aux conséquences de leurs actions.
Et puis non, il n'y aurait jamais de bon moment et il ne serait jamais d'humeur pour une telle discussion. Même maintenant, il ne savait pas par où commencer. Puis finalement, la pire question lui vient à l'idée.
-Rappelle-moi, t'es bien mariée ?
Il savait que c'était le pire moment pour évoquer la question, mais trouvait également qu'il fallait bien poser la question à un moment ou à un autre. Il avait pas envie de se faire tabasser sans savoir pourquoi. Non, il n'avait pas envie de se faire tabasser tout court.
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Re: Après la fête [ Svelina III ]
Dim 15 Juil 2018 - 19:18
Les souvenirs de la nuit passée défilent rapidement dans ton esprit. Tu te refais le film à l'envers. Quand est-ce que tu as craqué. Toi qui peux te vanter d'avoir une discipline irréprochable. Voilà qu'elle se brise en mille-morceau. Quand Svein te demande si tu veux une réponse sérieuse, tu le fusilles du regard pendant quelques secondes. Les blagues ce n'est pas ton domaine de prédilection.
Svein te laisse te rhabiller pendant qu'il fait de même de son côté. Non Lina ne regardes pas. Tournes la tête. Oublies tout ce que tes yeux ont vu cette nuit. Oublies son tatouages. Oublie la sensation de ses doigts sur ta peau. Oublies le goût de ses lèvres. Tu n'as pas le droit de garder tout ce que tu viens de vivre en mémoire. Tu n'as pas le droit d'avoir aimé ça. Alors pourquoi est ce que tu n'arrives pas à oublier ? Pourquoi tu n'arrives pas à te détacher de tout ça ?
Il te poses alors la fâcheuse question. À savoir si tu es mariée. La réalité te reviens en plein dans la gueule. Cette nuit tu as oublié toutes tes obligations. Tu t'es oublié toi-même. Tu soupires avant de lui répondre.
- Oui bien évidemment. Comme la plupart des sangs-purs. Pourquoi cette question ?
Tu te demandes ce qui peut l'intéresser dans le fait que tu sois mariée. Sans savoir pourquoi, tu poursuis la conversation.
- Je n'ai connu que mon époux et toi.
Le toi a bien failli sortir. Par chance, tu as réussi à ne pas dire la suite de ta pensée. Déjà que la situation est étrange, si en plus tu remue le couteau dans la plaie, tu n'es pas sortie de l'auberge.
- Ils ont prévu de fortes chaleurs pour la journée.
Parler de la pluie et du beau temps. La technique la plus moisie du monde pour ne pas montrer que tu es mal à l'aise. Tu te prépares alors un petit café avant de proposer une boisson chaude à Svein. Reprendre ton train train quotidien, voilà la solution pour lutter contre ton esprit qui part en vadrouille totale.
Svein te laisse te rhabiller pendant qu'il fait de même de son côté. Non Lina ne regardes pas. Tournes la tête. Oublies tout ce que tes yeux ont vu cette nuit. Oublies son tatouages. Oublie la sensation de ses doigts sur ta peau. Oublies le goût de ses lèvres. Tu n'as pas le droit de garder tout ce que tu viens de vivre en mémoire. Tu n'as pas le droit d'avoir aimé ça. Alors pourquoi est ce que tu n'arrives pas à oublier ? Pourquoi tu n'arrives pas à te détacher de tout ça ?
Il te poses alors la fâcheuse question. À savoir si tu es mariée. La réalité te reviens en plein dans la gueule. Cette nuit tu as oublié toutes tes obligations. Tu t'es oublié toi-même. Tu soupires avant de lui répondre.
- Oui bien évidemment. Comme la plupart des sangs-purs. Pourquoi cette question ?
Tu te demandes ce qui peut l'intéresser dans le fait que tu sois mariée. Sans savoir pourquoi, tu poursuis la conversation.
- Je n'ai connu que mon époux et toi.
Le toi a bien failli sortir. Par chance, tu as réussi à ne pas dire la suite de ta pensée. Déjà que la situation est étrange, si en plus tu remue le couteau dans la plaie, tu n'es pas sortie de l'auberge.
- Ils ont prévu de fortes chaleurs pour la journée.
Parler de la pluie et du beau temps. La technique la plus moisie du monde pour ne pas montrer que tu es mal à l'aise. Tu te prépares alors un petit café avant de proposer une boisson chaude à Svein. Reprendre ton train train quotidien, voilà la solution pour lutter contre ton esprit qui part en vadrouille totale.
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Re: Après la fête [ Svelina III ]
Sam 21 Juil 2018 - 18:14
Elle a l'air étonnée qu'il lui pose la question. Ce n'est pas très malin de la part de Svein, il est vrai, après tout il lui suffisait de jeter un coup d'oeil à sa main gauche pour avoir une réponse. L'idée ne lui avait pas traversé l'esprit, et pour l'instant la honte était encore trop ambiante pour qu'il ose même respirer dans sa direction. Il répond dans un murmure à sa remarque suivante, qu'il regrette d'ailleurs directement :
-C'est malheureux.
Loin de Svein l'envie de porter un jugement. Mais oui, c'était malheureux quand même. D'être si limité -même lui ne collectionnait pas les conquêtes, mais il aurait regretté d'avoir des obligations l'empêchant de les multiplier. C'était une question de principe, après tout.
C'était bien le moment de penser mariage, tiens. Elle fait un commentaire sur le temps, probablement pour occuper l'espace, et continue cette direction en se mettant à préparer du café. En propose à Svein. Il ne répond pas tout de suite. C'est un casse-tête, cette histoire, un puzzle avec tant de pièces qu'il a du mal à trouver ce qui lui pose problème à lui -pour elle ça devait être plus évident. Mais elle comptait le résoudre avec du café ? Il était confondu, c'était sûr. Et impossible pour lui de mettre en ordre ses idées en jouant à la dînette.
-Fais ce que tu veux, je t'en prie, dit-il en se levant. J'ai besoin de respirer.
Il se lève, bien conscient que la dernière fois qu'il avait dit quelque chose dans cette veine, ça l'avait mené dans cette situation. Il ne compte pas là-dessus cette fois-ci, désire vraiment se poser dehors deux bonnes minutes, au moins, saisir tout l'air frais que le camp a à offrir. Il se tient debout hors de la tente, hésite à s'éloigner encore. Peut-être retourner jusqu'au lac. Marcher un peu. Ca l'aidait toujours à mettre ses idées au clair. Et tant pis pour les -qu'est-ce qu'elle avait dit, déjà ? Les fortes chaleurs. Il ne se met pas encore à marcher, mais les questions se bousculent dans son esprit, certaines tendres, d'autres manquant largement de pertinence. Comme : quand est-ce qu'elle avait eu le temps de regarder la météo ? Dieu seul le savait.
-C'est malheureux.
Loin de Svein l'envie de porter un jugement. Mais oui, c'était malheureux quand même. D'être si limité -même lui ne collectionnait pas les conquêtes, mais il aurait regretté d'avoir des obligations l'empêchant de les multiplier. C'était une question de principe, après tout.
C'était bien le moment de penser mariage, tiens. Elle fait un commentaire sur le temps, probablement pour occuper l'espace, et continue cette direction en se mettant à préparer du café. En propose à Svein. Il ne répond pas tout de suite. C'est un casse-tête, cette histoire, un puzzle avec tant de pièces qu'il a du mal à trouver ce qui lui pose problème à lui -pour elle ça devait être plus évident. Mais elle comptait le résoudre avec du café ? Il était confondu, c'était sûr. Et impossible pour lui de mettre en ordre ses idées en jouant à la dînette.
-Fais ce que tu veux, je t'en prie, dit-il en se levant. J'ai besoin de respirer.
Il se lève, bien conscient que la dernière fois qu'il avait dit quelque chose dans cette veine, ça l'avait mené dans cette situation. Il ne compte pas là-dessus cette fois-ci, désire vraiment se poser dehors deux bonnes minutes, au moins, saisir tout l'air frais que le camp a à offrir. Il se tient debout hors de la tente, hésite à s'éloigner encore. Peut-être retourner jusqu'au lac. Marcher un peu. Ca l'aidait toujours à mettre ses idées au clair. Et tant pis pour les -qu'est-ce qu'elle avait dit, déjà ? Les fortes chaleurs. Il ne se met pas encore à marcher, mais les questions se bousculent dans son esprit, certaines tendres, d'autres manquant largement de pertinence. Comme : quand est-ce qu'elle avait eu le temps de regarder la météo ? Dieu seul le savait.
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Re: Après la fête [ Svelina III ]
Mer 25 Juil 2018 - 4:48
L'atmosphère dans cette tente est étrange. Ce matin est étrange. Hier encore, tu ne faisais pas attention à lui. Vous n'étiez que des colocataires d'infortunes. Jamais, tu n'aurais imaginer une seule seconde, la tournure qu'on pris les événements. Tu ne sais pas ce qui t'a fait céder. Ce qui vous à fait céder tous les deux. La culpabilité te ronge les nerfs. Qu'est ce qu'il t'a pris Lina ? Voilà que tu te comportes comme la dernière des traînées. Elles sont bien belles tes valeurs. Tu t'en veux. Tu lui en veux et tu t'en veux de lui en vouloir. C'est un véritable bordel dans ta tête.
Il te dis que c'est malheureux que tu n'ais connu que ton mari. En tant normal, tu lui aurais sans doute lancer un regard de mépris. Sauf qu'en tant normal, tu n'as pas passé la nuit avec lui. Tu pourrais le nier, lui dire que ta situation te convient. Ce serait mentir.
- Je n'ai pas le choix, mais c'est ainsi que cela doit être.
Tu prononces ses mots avec un certain regret dans le son de ta voix. Ce n'est pas tant lui que tu essayes de convaincre, mais toi-même. Hier encore, ces paroles tu y croyais et ce matin, tout est différent. Tu t'imagines avoir une autre vie que la tienne. Une vie où tu es libre. Une vie inaccessible. Une stupide utopie.
Il refuse le café que tu lui proposes et préfère aller prendre l'air. Tu le laisses faire. Chacun à sa façon pour tenter de s'aérer l'esprit. Une fois qu'il est dehors, tu fini ton café et tu te met à ranger, à tout laver et nettoyer. Faire le ménage te permet de faire le vide dans ton esprit. Sauf que tu as beau essayé d'oublier ce qu'il s'est passé, tout te revient en mémoire. Plus tu te force à essayer d'oublier cette nuit et plus les sensations te reviennent. À quoi bon lutter. Faire du ménage ne t'a pas aidé. Tu tournes en rond. Cela doit être le manque de sommeil. Tu t'allonges sur ta couchette et ferme les yeux pendant quelques minutes.
Il te dis que c'est malheureux que tu n'ais connu que ton mari. En tant normal, tu lui aurais sans doute lancer un regard de mépris. Sauf qu'en tant normal, tu n'as pas passé la nuit avec lui. Tu pourrais le nier, lui dire que ta situation te convient. Ce serait mentir.
- Je n'ai pas le choix, mais c'est ainsi que cela doit être.
Tu prononces ses mots avec un certain regret dans le son de ta voix. Ce n'est pas tant lui que tu essayes de convaincre, mais toi-même. Hier encore, ces paroles tu y croyais et ce matin, tout est différent. Tu t'imagines avoir une autre vie que la tienne. Une vie où tu es libre. Une vie inaccessible. Une stupide utopie.
Il refuse le café que tu lui proposes et préfère aller prendre l'air. Tu le laisses faire. Chacun à sa façon pour tenter de s'aérer l'esprit. Une fois qu'il est dehors, tu fini ton café et tu te met à ranger, à tout laver et nettoyer. Faire le ménage te permet de faire le vide dans ton esprit. Sauf que tu as beau essayé d'oublier ce qu'il s'est passé, tout te revient en mémoire. Plus tu te force à essayer d'oublier cette nuit et plus les sensations te reviennent. À quoi bon lutter. Faire du ménage ne t'a pas aidé. Tu tournes en rond. Cela doit être le manque de sommeil. Tu t'allonges sur ta couchette et ferme les yeux pendant quelques minutes.
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Re: Après la fête [ Svelina III ]
Dim 29 Juil 2018 - 18:53
Debout, en homme perdu, il demeure un temps à regarder autour de lui. Puis, finalement, au lieu de partir en promenade, il va s'asseoir non loin de là, sur une souche d'arbre.
Il ne l'a pas atteint qu'il sent un poids infime dans sa poche. Il sait de quoi il s'agit avant de plonger sa main dans sa poche. Habitude ? Voyance ? Un mélange des deux, l'attitude d'un homme qui a depuis longtemps quitté le royaume de la logique pour celui de l'intuition, qui a appris que bien qu'une carte pèse à peine quelque grammes, son poids n'était jamais à sous-estimer. Une fois qu'il a la main dessus il la tire d'un geste preste, prêt à en finir.
La Roue de la Fortune, inversée.
Évidemment. Il soupire face à la carte, comme s'il s'agissait d'un ami venu le tourmenter sur ses choix amoureux. Les cartes ne sont pas toujours compréhensives, mais celle-ci se moque clairement de lui. Il n'aime pas ça, surtout qu'elle a raison.
Inversée ou non, c'était rarement perçu comme une carte positive, sinon comme une représentation assez simpliste de l'équilibre de chance et de malchance, qui une seconde accordait à l'homme tout ce qu'il voulait, et la suivante le laissait dans le dénuement le plus total. C'était la perte de contrôle, un cheval fou s'étant débarrassé de son cavalier, une voiture sans freins lâchée au sommet d'une côte, ce à quoi les parents pensaient lorsqu'ils répétaient à leurs enfants que la vie n'était pas juste.
Il porte la carte et sa lourde signification à sa joue, pour y réfléchir une seconde, peut-être en tirer un peu plus. Il ne sent qu'une odeur lointaine d'ananas, trop exotique pour la région, mais qui pouvait aussi bien venir de l'une des tentes environnantes.
La Roue tourne, quoi qu'il fasse. La question n'est pas : peut-il l'arrêter ? Mais : est-il en haut ou en bas ? Il ne peut pas penser tomber plus bas qu'une nuit avec quelqu'un qu'il a auparavant détesté, qui elle-même l'avait vaguement méprisé. Mais si elle est mariée, s'il a des conséquences à craindre, peut-être n'était-ce encore que le début des ennuis. Peut-être viendrait-il à regretter la nuit passée, ce qui n'est pas encore le cas. Cette dernière chose est celle à retenir, semble-il.
Il se relève et retourne à l'entrée de la tente. Tzvetelina s'est étendue, mais ne semble pas dormir.
-Excuse-moi, lance-t-il, au cas où, pour la réveiller.
Il tourne la carte entre ses doigts, au lieu de la ranger. Si elle motivait sa décision de relancer sa discussion, il n'avait de raison de la cacher à Tzvetelina.
-Qu'est-ce que tu veux faire ? Demande-t-il simplement lorsqu'elle a réagi.
Question plutôt large, mais c'était assez d'une ouverture.
Il ne l'a pas atteint qu'il sent un poids infime dans sa poche. Il sait de quoi il s'agit avant de plonger sa main dans sa poche. Habitude ? Voyance ? Un mélange des deux, l'attitude d'un homme qui a depuis longtemps quitté le royaume de la logique pour celui de l'intuition, qui a appris que bien qu'une carte pèse à peine quelque grammes, son poids n'était jamais à sous-estimer. Une fois qu'il a la main dessus il la tire d'un geste preste, prêt à en finir.
La Roue de la Fortune, inversée.
Évidemment. Il soupire face à la carte, comme s'il s'agissait d'un ami venu le tourmenter sur ses choix amoureux. Les cartes ne sont pas toujours compréhensives, mais celle-ci se moque clairement de lui. Il n'aime pas ça, surtout qu'elle a raison.
Inversée ou non, c'était rarement perçu comme une carte positive, sinon comme une représentation assez simpliste de l'équilibre de chance et de malchance, qui une seconde accordait à l'homme tout ce qu'il voulait, et la suivante le laissait dans le dénuement le plus total. C'était la perte de contrôle, un cheval fou s'étant débarrassé de son cavalier, une voiture sans freins lâchée au sommet d'une côte, ce à quoi les parents pensaient lorsqu'ils répétaient à leurs enfants que la vie n'était pas juste.
Il porte la carte et sa lourde signification à sa joue, pour y réfléchir une seconde, peut-être en tirer un peu plus. Il ne sent qu'une odeur lointaine d'ananas, trop exotique pour la région, mais qui pouvait aussi bien venir de l'une des tentes environnantes.
La Roue tourne, quoi qu'il fasse. La question n'est pas : peut-il l'arrêter ? Mais : est-il en haut ou en bas ? Il ne peut pas penser tomber plus bas qu'une nuit avec quelqu'un qu'il a auparavant détesté, qui elle-même l'avait vaguement méprisé. Mais si elle est mariée, s'il a des conséquences à craindre, peut-être n'était-ce encore que le début des ennuis. Peut-être viendrait-il à regretter la nuit passée, ce qui n'est pas encore le cas. Cette dernière chose est celle à retenir, semble-il.
Il se relève et retourne à l'entrée de la tente. Tzvetelina s'est étendue, mais ne semble pas dormir.
-Excuse-moi, lance-t-il, au cas où, pour la réveiller.
Il tourne la carte entre ses doigts, au lieu de la ranger. Si elle motivait sa décision de relancer sa discussion, il n'avait de raison de la cacher à Tzvetelina.
-Qu'est-ce que tu veux faire ? Demande-t-il simplement lorsqu'elle a réagi.
Question plutôt large, mais c'était assez d'une ouverture.
- InvitéInvité
Re: Après la fête [ Svelina III ]
Mar 31 Juil 2018 - 5:48
Belle au Bois Dormant, le temps de quelques minutes, tu es sortie de ta rêverie. Non pas par un baiser, mais par le son de sa voix.
- J'ai juste reposé mes yeux quelques secondes.
Tu te justifies machinalement, alors qu'il n'y a aucune raison que tu le fasse. Tu t'étais juste allongée sur ta couchette. Tu n'a tué personne.
Tu quittes la position allongée afin de t'installer en tailleur sur ta couchette. Ton regard est fixé sur la carte qu'il a en main. Il te demande ce que tu veux faire. Tu ne sais pas quoi lui répondre. Tu as été chamboulée par les derniers événements. Par tout ce que ça a réveillé en toi.
- Ce qu'il s'est passé doit rester entre-nous et ne jamais sortir de cette tente.
Tu ne peux pas être comme les autres jeunes femmes de ton âge et profiter de la vie ? Flirter, comme le font les autres ? Tu ne peux pas pour une fois te laisser vivre ?
- Bien évidemment, ce qui est arrivé entre nous... N'est jamais arrivé.
Ce qui n'est pas crédible, puisque quand tu le regarde, tu devient rouge comme une pivoine. Si tu continue, tu pourra servir de mascotte aux Wright.
Le regard toujours rivé sur sa carte, tu fini par lui poser une question qui te brûle les lèvres.
- Est-ce que cela t'a aidé dans ta réflexion ?
Tu te doutes bien que tu n'es pas la seule à cogiter à la situation. Lui non plus, ne devait pas s'attendre à la tournure qu'ont pris les événements. Il y a un nouveau silence qui s'installe entre-vous.
- Voudrais-tu un jus de fruit ? Tu peux en prendre un si tu le désires.
Drôle de façon, pour briser ce silence qui ne t'aide pas à réfléchir. bien au contraire.
- C'est quand même bien étrange ce qui est en train de se passer. Nous sommes si...opposés et pourtant nous somme dans cette situation. Je dois t'avouer que je me sens bien confuse.
Tu espères que ce qu'il s'est passé restera entre-vous. Tu ne veux pas être de ces femmes que l'on pointe du doigt pour avoir succombé à la luxure.
- Je suis navrée pour tes fiançailles.
Tu es navrée pour lui qui va devoir épouser Diana, alors qu'ils se haïssent ? Ou tu es navrée pour toi ?
- J'ai juste reposé mes yeux quelques secondes.
Tu te justifies machinalement, alors qu'il n'y a aucune raison que tu le fasse. Tu t'étais juste allongée sur ta couchette. Tu n'a tué personne.
Tu quittes la position allongée afin de t'installer en tailleur sur ta couchette. Ton regard est fixé sur la carte qu'il a en main. Il te demande ce que tu veux faire. Tu ne sais pas quoi lui répondre. Tu as été chamboulée par les derniers événements. Par tout ce que ça a réveillé en toi.
- Ce qu'il s'est passé doit rester entre-nous et ne jamais sortir de cette tente.
Tu ne peux pas être comme les autres jeunes femmes de ton âge et profiter de la vie ? Flirter, comme le font les autres ? Tu ne peux pas pour une fois te laisser vivre ?
- Bien évidemment, ce qui est arrivé entre nous... N'est jamais arrivé.
Ce qui n'est pas crédible, puisque quand tu le regarde, tu devient rouge comme une pivoine. Si tu continue, tu pourra servir de mascotte aux Wright.
Le regard toujours rivé sur sa carte, tu fini par lui poser une question qui te brûle les lèvres.
- Est-ce que cela t'a aidé dans ta réflexion ?
Tu te doutes bien que tu n'es pas la seule à cogiter à la situation. Lui non plus, ne devait pas s'attendre à la tournure qu'ont pris les événements. Il y a un nouveau silence qui s'installe entre-vous.
- Voudrais-tu un jus de fruit ? Tu peux en prendre un si tu le désires.
Drôle de façon, pour briser ce silence qui ne t'aide pas à réfléchir. bien au contraire.
- C'est quand même bien étrange ce qui est en train de se passer. Nous sommes si...opposés et pourtant nous somme dans cette situation. Je dois t'avouer que je me sens bien confuse.
Tu espères que ce qu'il s'est passé restera entre-vous. Tu ne veux pas être de ces femmes que l'on pointe du doigt pour avoir succombé à la luxure.
- Je suis navrée pour tes fiançailles.
Tu es navrée pour lui qui va devoir épouser Diana, alors qu'ils se haïssent ? Ou tu es navrée pour toi ?
- InvitéInvité
Re: Après la fête [ Svelina III ]
Ven 3 Aoû 2018 - 19:07
Il ne comprends pas pourquoi elle se justifie -si quelqu'un doit s'excuser, c'est lui, pour l'avoir tirée de son probable sommeil.
Elle met un certain temps à répondre à la question de Svein, alors que la réponse qu'elle fournit ensuite est la plus évidente. Elle est focalisée sur la carte qu'il a encore en main, comme si elle pouvait l'interpréter elle-même. Rêvant peut-être qu'il suffise de la retourner pour avoir une réponse à toutes ces questions.
-Ce qu'il s'est passé doit rester entre-nous et ne jamais sortir de cette tente.
Il hoche la tête, après tout c'était ce qu'il allait proposer. Lui-même n'avait pas honte d'avoir passé une nuit avec elle, après tout c'était une fille comme une autre -mais il se figurait bien qu'avoir ses adultères ébruités dans toute l'université serait malheureux pour Tzvetelina. D'autant plus qu'il était clair que c'était la première fois qu'elle faisait une telle chose. Etre punie pour une seule et unique erreur semblait parfaitement injuste.
Elle relève la tête et rougit d'un coup, ce qui fait sourire Svein contre son gré ;
-Tu vas réussir à faire semblant ? Lance-t-il.
Au bout d'un moment elle pose la question qui semble la tarauder, celle qui concerne la carte.
Il hésite à la lui montrer, à expliquer la signification iconographique de cet arcane, comment il a essayé de l'appliquer à la présente situation. Mais la carte est pessimiste sous presque tout les angles, et il ne veut pas l'inquiéter alors qu'elle semble déjà dans un état second. Il choisit la réponse évasive, presque comme toujours.
-Plutôt, oui.
Le silence retombe. Elle tente de ramener la conversation en proposant à boire, et Svein se détestait pour penser ça, mais ça lui donnait un air de femme au foyer assez pathétique.
Au lieu de répondre, se détestant toujours, il marcha jusqu'à son étagère, à la recherche du tarot d'où provenait la Roue de la Fortune. Elle relance la conversation, un autre sujet -le même- à la bouche.
-Mettons ça sur le dos de l'alcool, dit-il, sans chercher à rappeler qu'il était le moins alcoolisé des deux.
Sa remarque amuse Svein. Si opposés. Elle s'était opposée toute seule -elles s'étaient opposées toutes seules, les filles de Durmstrang.
Comme si l'association d'idée était évidente, Tzvetelina s'intéresse à ce sujet, s'excuse comme si le problème n'avait pas été causé par ses parents. Non, ça ne servait à rien de lui en vouloir. Il se retourne, sa carte toujours en main puisqu'il n'a pas retrouvé le reste de sa famille.
-Je n'ai pas particulièrement envie d'en parler maintenant, dit-il en regardant sa camarade de tente droit dans les yeux.
La nouvelle était tombée comme un couperet de guillotine, et il priait très fort pour que cet été ne s'agisse pas des dernières secondes de consciences d'une tête détachée de son corps.
Elle met un certain temps à répondre à la question de Svein, alors que la réponse qu'elle fournit ensuite est la plus évidente. Elle est focalisée sur la carte qu'il a encore en main, comme si elle pouvait l'interpréter elle-même. Rêvant peut-être qu'il suffise de la retourner pour avoir une réponse à toutes ces questions.
-Ce qu'il s'est passé doit rester entre-nous et ne jamais sortir de cette tente.
Il hoche la tête, après tout c'était ce qu'il allait proposer. Lui-même n'avait pas honte d'avoir passé une nuit avec elle, après tout c'était une fille comme une autre -mais il se figurait bien qu'avoir ses adultères ébruités dans toute l'université serait malheureux pour Tzvetelina. D'autant plus qu'il était clair que c'était la première fois qu'elle faisait une telle chose. Etre punie pour une seule et unique erreur semblait parfaitement injuste.
Elle relève la tête et rougit d'un coup, ce qui fait sourire Svein contre son gré ;
-Tu vas réussir à faire semblant ? Lance-t-il.
Au bout d'un moment elle pose la question qui semble la tarauder, celle qui concerne la carte.
Il hésite à la lui montrer, à expliquer la signification iconographique de cet arcane, comment il a essayé de l'appliquer à la présente situation. Mais la carte est pessimiste sous presque tout les angles, et il ne veut pas l'inquiéter alors qu'elle semble déjà dans un état second. Il choisit la réponse évasive, presque comme toujours.
-Plutôt, oui.
Le silence retombe. Elle tente de ramener la conversation en proposant à boire, et Svein se détestait pour penser ça, mais ça lui donnait un air de femme au foyer assez pathétique.
Au lieu de répondre, se détestant toujours, il marcha jusqu'à son étagère, à la recherche du tarot d'où provenait la Roue de la Fortune. Elle relance la conversation, un autre sujet -le même- à la bouche.
-Mettons ça sur le dos de l'alcool, dit-il, sans chercher à rappeler qu'il était le moins alcoolisé des deux.
Sa remarque amuse Svein. Si opposés. Elle s'était opposée toute seule -elles s'étaient opposées toutes seules, les filles de Durmstrang.
Comme si l'association d'idée était évidente, Tzvetelina s'intéresse à ce sujet, s'excuse comme si le problème n'avait pas été causé par ses parents. Non, ça ne servait à rien de lui en vouloir. Il se retourne, sa carte toujours en main puisqu'il n'a pas retrouvé le reste de sa famille.
-Je n'ai pas particulièrement envie d'en parler maintenant, dit-il en regardant sa camarade de tente droit dans les yeux.
La nouvelle était tombée comme un couperet de guillotine, et il priait très fort pour que cet été ne s'agisse pas des dernières secondes de consciences d'une tête détachée de son corps.
- InvitéInvité
Re: Après la fête [ Svelina III ]
Jeu 20 Sep 2018 - 13:48
Porter un masque, celui de la reine glaciale, impassible. Ne pas montrer ce que tu penses véritablement, c'est ce que ton éducation à fait de toi. Juste pour garder les apparences intactes. Alors quand Svein te demande si tu va réussir à faire semblant, tu as un petit sourire en coin. Tu lui répond avec un léger sourire.
- Certainement. C'est un art auquel je suis habituée.
Tes envies, tes désirs, tes propres rêves, tu les enterres pour être ce que l'on attend de toi. Ton avenir est déjà tout tracé, par ton propre père. Si il y a bien une personne avec qui tu fais semblant : c'est bien toi. Paraitre plutôt qu'être.
Quand tu lui demandes si sa balade lui à permis de mener à bien des propres réflexions, le jeune homme te répond par l'affirmative. Tu hoches simplement la tête. Il refuse le jus de fruit que tu lui proposes. Tandis que tu es encore en train de siroter le tien et que tu lui demande ce qui a bien pu causer une telle situation, il te répond de mettre ça sur le dos de l'alcool.
- Sans doute... Oui c'est à cause de l'alcool. Ce n'était rien qu'une... Erreur de parcours.
Un coup de folie provoqué à cause de l'ivresse. C'est bien cela qui a causé ce retournement de situation entre vous. Deux êtres si opposés en tout point.
Tu lui évoques le sujet de ses fiancailles avec Diana. Sa Nemesis. Fiançailles causées à cause de ta propre famille. Droit dans les yeux, il te dis qu'il ne veut pas en parler. Le sujet lui semble être trop sensible. C'est ce que tu te dis.
- Alors n'en parlons pas.
Tu te diriges vers ton armoire de vêtements, afin de commencer à les ranger dans ta valise. Le week-end s'achève bientôt. Tu dois te préparer au retour à la grande vie. Loin du camping.
- Certainement. C'est un art auquel je suis habituée.
Tes envies, tes désirs, tes propres rêves, tu les enterres pour être ce que l'on attend de toi. Ton avenir est déjà tout tracé, par ton propre père. Si il y a bien une personne avec qui tu fais semblant : c'est bien toi. Paraitre plutôt qu'être.
Quand tu lui demandes si sa balade lui à permis de mener à bien des propres réflexions, le jeune homme te répond par l'affirmative. Tu hoches simplement la tête. Il refuse le jus de fruit que tu lui proposes. Tandis que tu es encore en train de siroter le tien et que tu lui demande ce qui a bien pu causer une telle situation, il te répond de mettre ça sur le dos de l'alcool.
- Sans doute... Oui c'est à cause de l'alcool. Ce n'était rien qu'une... Erreur de parcours.
Un coup de folie provoqué à cause de l'ivresse. C'est bien cela qui a causé ce retournement de situation entre vous. Deux êtres si opposés en tout point.
Tu lui évoques le sujet de ses fiancailles avec Diana. Sa Nemesis. Fiançailles causées à cause de ta propre famille. Droit dans les yeux, il te dis qu'il ne veut pas en parler. Le sujet lui semble être trop sensible. C'est ce que tu te dis.
- Alors n'en parlons pas.
Tu te diriges vers ton armoire de vêtements, afin de commencer à les ranger dans ta valise. Le week-end s'achève bientôt. Tu dois te préparer au retour à la grande vie. Loin du camping.