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Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Lun 3 Déc 2018 - 13:43
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
« Look what I found. »
Des semaines voire des mois se sont écoulés depuis cette fameuse soirée de rentrée. Matteo avait raccompagné Pina et pris soin d’elle comme il avait l’habitude de le faire avec ses amis. Au petit matin, ils avaient eu l’occasion de discuter un peu, d’apprendre davantage à se connaître et Pina avait même proposé à l’italien de se faire un dîner ensemble. Evidemment, l’idée avait beaucoup plu à Matteo mais c’était sans compter sur la crise d’allergie qui s’était déclenchée à ce moment-là. Il n’a jamais su d’où ça venait, mettant cela encore une fois sur le compte de sa malédiction.
Une date avait été convenue et pourtant, avec les cours, les examens, le boulot de Matteo à l’infirmerie avec Mercy, ils n’avaient pas eu le temps de dîner ensemble. Ils s’étaient croisés à de maintes reprises, présentant chacun ses excuses pour ne pas pouvoir être présent. Si l’un était disponible, l’autre était occupé. A croire que la malédiction ne s’était pas arrêtée à cette allergie. La bonne nouvelle, c’est que Pina n’avait visiblement pas baissé les bras. Nombreuses sont celles qui auraient décidé de laisser tomber après tout ce temps. Non, en fait, ils avaient même réussi à convenir d’une date fin novembre.
Matteo s’était confié à Louisa sur ce qu’il ressentait pour Pina. Il ne pensait pas que si vite après Tina, il ressentirait quelque chose d’aussi fort. C’était pourtant le cas et que pouvait-il y faire ? Il avait donc enfilé des vêtements assez simples mais suffisamment habillés pour aller à ce restaurant de la ville d’Inverness. Le Black Wolf était assez réputé pour sa bonne cuisine, pourtant, Matteo n’y avait jamais mis les pieds. Il n’avait jamais eu l’occasion d’inviter qui que ce soit, c’était donc une grande première. Il appréhendait, vraiment, mais il avait quelque chose à demander à Pina en plus de ce dîner, il voulait lui proposer une chose dont il n’avait aucune certitude qu’elle dirait oui, mais il allait tenter sa chance. Elle arriva finalement au-devant du restaurant et il la salua, tout sourire.
« Bonsoir Pina ! Je suis content qu’on soit parvenus à trouver un moment pour ce dîner, j’en mourrais d’impatience ! »
Une date avait été convenue et pourtant, avec les cours, les examens, le boulot de Matteo à l’infirmerie avec Mercy, ils n’avaient pas eu le temps de dîner ensemble. Ils s’étaient croisés à de maintes reprises, présentant chacun ses excuses pour ne pas pouvoir être présent. Si l’un était disponible, l’autre était occupé. A croire que la malédiction ne s’était pas arrêtée à cette allergie. La bonne nouvelle, c’est que Pina n’avait visiblement pas baissé les bras. Nombreuses sont celles qui auraient décidé de laisser tomber après tout ce temps. Non, en fait, ils avaient même réussi à convenir d’une date fin novembre.
Matteo s’était confié à Louisa sur ce qu’il ressentait pour Pina. Il ne pensait pas que si vite après Tina, il ressentirait quelque chose d’aussi fort. C’était pourtant le cas et que pouvait-il y faire ? Il avait donc enfilé des vêtements assez simples mais suffisamment habillés pour aller à ce restaurant de la ville d’Inverness. Le Black Wolf était assez réputé pour sa bonne cuisine, pourtant, Matteo n’y avait jamais mis les pieds. Il n’avait jamais eu l’occasion d’inviter qui que ce soit, c’était donc une grande première. Il appréhendait, vraiment, mais il avait quelque chose à demander à Pina en plus de ce dîner, il voulait lui proposer une chose dont il n’avait aucune certitude qu’elle dirait oui, mais il allait tenter sa chance. Elle arriva finalement au-devant du restaurant et il la salua, tout sourire.
« Bonsoir Pina ! Je suis content qu’on soit parvenus à trouver un moment pour ce dîner, j’en mourrais d’impatience ! »
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Lun 3 Déc 2018 - 14:21
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
«Two hearts and three lost words, fall through the universe and we collide when you ask me; Have you felt a certain rush between the two of us? »
tenue — le froid enlaçait Pina dans son manteau nacrée de blanc qu'elle trouvait si réconfortant. Elément de l'hiver, fille de l'islande, l'hiver la faisait rayonner. Elle était l'enfant la plus heureuse du monde, parce que plus le temps passait, mieux elle arrivait à se transformer en animagi et pouvait profiter comme elle l'avait toujours rêvée des étendues de neige autour de l'école. Elle avait été si occupée, entre les club, son apprentissage d'animagi avec son mentor, les lufkin, les cours et les examens, qu'elle ne voyait quasiment plus personne en dehors des cours. Mais ce soir, c'était différent. Devant la glace, elle s'observait, son pull orange soleil redonnant couleurs à sa peau pâle. Elle inspira longuement, tirant nerveusement sur ses manches en se retournant vers sa colocataire. « t'es sur que je peux y aller comme ça? ahhh Elia je stresse c'est fou! »
Sa colocataire la rassura, lui jeta son manteau à la tête et la poussa vers le couloir en lui hurlant qu'elle allait être en retard. Effectivement, elle l'était presque! Elle couru dans les couloirs de l'université jusqu'à arriver au grand portail, repris son souffle, passa une main dans les mèches rebelles qui sortaient de ses cheveux amplement tressées. Elle inspira un grand coup et transplana pour arriver au coin de la rue ou se trouvait le black wolf. Elle y venait de temps en temps, s'installer au coin du feu dans un des larges fauteuils pour tenir compagnie à fauve pendant son service, l'attendre pour rentrer ensemble. Aujourd'hui, elle rejoignait Matteo Astolfi, ce beau roméo qu'elle n'arrivait plus à voir depuis leur bulle intemporelle au lever du soleil après la soirée d'intégration. Ils avaient enfin trouvé le temps de se voir pour le dîner tant attendu. Plus elle le croisait, plus elle le trouvait charismatique, plus elle développait une sorte d'affection envers le lufkin qu'elle ne connaissait quasi pas.
En le voyant l'attendre devant le restaurant, elle frissonna à l'envolée de papillon dans son ventre. Elle s'approchant en trottinant. « Bonsoir Pina ! Je suis content qu’on soit parvenus à trouver un moment pour ce dîner, j’en mourrais d’impatience » il en mourrait d'impatience?! Pina était elle aussi tout sourire, essayait de contenir ses émotions qui clairement, jouait du tambourin dans son coeur. « Bonsoir ! Oui moi aussi, je suis contente, il était temps! J'ai faillis croire que tu me fuyais. » dit-elle en haussant les épaules, les yeux pleins de malices. Elle rigola doucement avant de rajouter « On entre? J'ai une faim de loup! » La chaleur du feu et l'ambiance intimiste prenait un tout autre sens ce soir, alors qu'elle venait accompagnée pour la première fois. Ils s'installèrent à une table, guidée par @fauve vinter qui fit un clin d'oeil à sa meilleure amie. pina tirait sur une de ses manches de pull, tic qu'elle avait toujours et aurait toujours dans sa vie. Elle posa ses avant bras sur la table une fois qu'ils étaient bien installés et regarda matteo avec intérêt, appréciant les ondulations des bougies sur sa peau. « Alors monsieur Astolfi, qu'est-ce qui vous à retenu aussi longtemps ces dernières semaines? »
Sa colocataire la rassura, lui jeta son manteau à la tête et la poussa vers le couloir en lui hurlant qu'elle allait être en retard. Effectivement, elle l'était presque! Elle couru dans les couloirs de l'université jusqu'à arriver au grand portail, repris son souffle, passa une main dans les mèches rebelles qui sortaient de ses cheveux amplement tressées. Elle inspira un grand coup et transplana pour arriver au coin de la rue ou se trouvait le black wolf. Elle y venait de temps en temps, s'installer au coin du feu dans un des larges fauteuils pour tenir compagnie à fauve pendant son service, l'attendre pour rentrer ensemble. Aujourd'hui, elle rejoignait Matteo Astolfi, ce beau roméo qu'elle n'arrivait plus à voir depuis leur bulle intemporelle au lever du soleil après la soirée d'intégration. Ils avaient enfin trouvé le temps de se voir pour le dîner tant attendu. Plus elle le croisait, plus elle le trouvait charismatique, plus elle développait une sorte d'affection envers le lufkin qu'elle ne connaissait quasi pas.
En le voyant l'attendre devant le restaurant, elle frissonna à l'envolée de papillon dans son ventre. Elle s'approchant en trottinant. « Bonsoir Pina ! Je suis content qu’on soit parvenus à trouver un moment pour ce dîner, j’en mourrais d’impatience » il en mourrait d'impatience?! Pina était elle aussi tout sourire, essayait de contenir ses émotions qui clairement, jouait du tambourin dans son coeur. « Bonsoir ! Oui moi aussi, je suis contente, il était temps! J'ai faillis croire que tu me fuyais. » dit-elle en haussant les épaules, les yeux pleins de malices. Elle rigola doucement avant de rajouter « On entre? J'ai une faim de loup! » La chaleur du feu et l'ambiance intimiste prenait un tout autre sens ce soir, alors qu'elle venait accompagnée pour la première fois. Ils s'installèrent à une table, guidée par @fauve vinter qui fit un clin d'oeil à sa meilleure amie. pina tirait sur une de ses manches de pull, tic qu'elle avait toujours et aurait toujours dans sa vie. Elle posa ses avant bras sur la table une fois qu'ils étaient bien installés et regarda matteo avec intérêt, appréciant les ondulations des bougies sur sa peau. « Alors monsieur Astolfi, qu'est-ce qui vous à retenu aussi longtemps ces dernières semaines? »
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Jeu 6 Déc 2018 - 0:59
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
« Look what I found. »
Excitation et angoisse sont les deux mots qui pourraient caractériser Matteo à cet instant précis ? Pourquoi ? Parce qu’un rendez-vous avec une fille aussi jolie et drôle et passionnante que Pina Jakobsen, ça ne peut qu’être excitant, il en a rêvé pendant des semaines. En même temps, il se souvient de la fois où elle lui a fait cette proposition et sa réaction allergique. Super, génial, étonnant qu’elle n’ait pas déjà pris les jambes à son cou. Elle aurait pu lui dire que finalement, son invitation ne tenait plus. Mais non ! Elle semble toujours vouloir d’un dîner avec le pauvre italien, même si ça signifie prendre le risque d’être victime de la malédiction.
Lorsqu’elle arrive enfin, il exprime sa joie de la voir et que ce dîner se fasse enfin, ne cachant même pas l’impatience qu’il a éprouvé à l’idée de dîner avec elle. Autant être clair dès maintenant, sinon, l’univers pour se retourner contre lui et ne pas lui laisser l’occasion de glisser le moindre sous-entendu. Elle dit alors qu’elle a presque cru que Matteo la fuyait. Quelle idée ! Il faudrait être fou pour la fuir.
« Non ! Non ! Pas du tout, je ne te fuyais pas, c’est promis. »
Elle proposa finalement d’entrer dans le restaurant. Non seulement elle avait faim, mais Matteo avait aussi froid. Quel frileux, mais en même temps, il est italien, le froid n’est pas du tout sa tasse de thé. Une jeune fille à la chevelure blonde que Matteo se serait juré d’avoir déjà croisé quelque part les guida à une table. Une fois installés, l’interrogatoire repris de plus belle et Pina demanda au futur médicomage ce qui l’avait retenu.
« Tu n’es pas sans savoir que je suis en neuvième année de Médicomagie, autant te dire qu’on a énormément de boulot et… en plus de ça, il y a le Quidditch puis le stage à l’infirmerie, alors j’ai eu beaucoup de mal à trouver un moment de libre qui coïncidait avec tes disponibilités… »
Dur, dur la vie d’étudiant à Hungcalf. Enfin, bon, le temps n’est plus aux « si » mais aux faits. Ils sont là, à présent, rien ne sert de ressasser le pourquoi du comment les choses ne se sont pas produites avant.
« Ton premier semestre se passe comme tu l’entends ? Pas trop difficile cette deuxième année ? »
Il ne sait pas trop par où commencer alors forcément, le sujet des études pour des Lufkin, c’est la solution facile, non ? Peut-être que non, pas avec elle, mais bon… Il faut bien commencer quelque part. Matteo se gratte l’arrière de la tête, tout gêné de la situation. Il n’a pas l’habitude de manger dans un restaurant avec une fille. Puis, la dernière fois qu’il a eu une sorte de rendez-vous, c’était l’été dernier avec Tina, et ça commence à remonter. Enfin, il parle de rendez-vous, mais peut-être que Pina ne l’entend pas de cette oreille. Il se connait bien l’italien, il ne veut pas faire de bourde alors il y va doucement, il tâte le terrain pour ne pas se taper la honte devant la jeune femme.
« Tu bois quelque chose ? Un jus de citrouille ? »
Petite pique non méchante, faisant référence à la fois où elle avait un peu trop bu. Il n’avait pas oubli et il ne voulait pas l’inciter à boire, loin de lui cette idée.
Lorsqu’elle arrive enfin, il exprime sa joie de la voir et que ce dîner se fasse enfin, ne cachant même pas l’impatience qu’il a éprouvé à l’idée de dîner avec elle. Autant être clair dès maintenant, sinon, l’univers pour se retourner contre lui et ne pas lui laisser l’occasion de glisser le moindre sous-entendu. Elle dit alors qu’elle a presque cru que Matteo la fuyait. Quelle idée ! Il faudrait être fou pour la fuir.
« Non ! Non ! Pas du tout, je ne te fuyais pas, c’est promis. »
Elle proposa finalement d’entrer dans le restaurant. Non seulement elle avait faim, mais Matteo avait aussi froid. Quel frileux, mais en même temps, il est italien, le froid n’est pas du tout sa tasse de thé. Une jeune fille à la chevelure blonde que Matteo se serait juré d’avoir déjà croisé quelque part les guida à une table. Une fois installés, l’interrogatoire repris de plus belle et Pina demanda au futur médicomage ce qui l’avait retenu.
« Tu n’es pas sans savoir que je suis en neuvième année de Médicomagie, autant te dire qu’on a énormément de boulot et… en plus de ça, il y a le Quidditch puis le stage à l’infirmerie, alors j’ai eu beaucoup de mal à trouver un moment de libre qui coïncidait avec tes disponibilités… »
Dur, dur la vie d’étudiant à Hungcalf. Enfin, bon, le temps n’est plus aux « si » mais aux faits. Ils sont là, à présent, rien ne sert de ressasser le pourquoi du comment les choses ne se sont pas produites avant.
« Ton premier semestre se passe comme tu l’entends ? Pas trop difficile cette deuxième année ? »
Il ne sait pas trop par où commencer alors forcément, le sujet des études pour des Lufkin, c’est la solution facile, non ? Peut-être que non, pas avec elle, mais bon… Il faut bien commencer quelque part. Matteo se gratte l’arrière de la tête, tout gêné de la situation. Il n’a pas l’habitude de manger dans un restaurant avec une fille. Puis, la dernière fois qu’il a eu une sorte de rendez-vous, c’était l’été dernier avec Tina, et ça commence à remonter. Enfin, il parle de rendez-vous, mais peut-être que Pina ne l’entend pas de cette oreille. Il se connait bien l’italien, il ne veut pas faire de bourde alors il y va doucement, il tâte le terrain pour ne pas se taper la honte devant la jeune femme.
« Tu bois quelque chose ? Un jus de citrouille ? »
Petite pique non méchante, faisant référence à la fois où elle avait un peu trop bu. Il n’avait pas oubli et il ne voulait pas l’inciter à boire, loin de lui cette idée.
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Jeu 13 Déc 2018 - 18:16
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
«Two hearts and three lost words, fall through the universe and we collide when you ask me; Have you felt a certain rush between the two of us? »
tenue — Pina observait Matteo avec intérêt, souriant légèrement en l'écoutant parler, détaillant les petites rides de sourires au coin de ses yeux, sa peau tannée par le soleil dans ses veines. « Je te taquine, j'imagine que ça doit pas être facile. Je galère déjà à trouver du temps maintenant, alors en neuvième année... » La jeune lufkin était si investie dans ses études et dans l'apprentissage de l'animagie, qu'elle prenait très peu de temps pour elle, passait tout son temps à s'avancer sur le programme en lisant des livres des années supérieures. « Je t'ai vu joué au dernier match, tu avais la classe ! Tu commences à bien te débrouiller... Même si un des cogneurs à faillis te faire tomber, j'ai eu peur pour toi ! » Pina se redressa sur sa chaise, le regardant avec malice en se passant le bout de la langue sur les lèvres, avant de pouffer de rire. « ça se passe très bien oui, les cours son intéressants. Je commence à me demander si je ne vais pas me réorienter pour la troisième année, si je peux en faire la demande. J'aime beaucoup... »
La brune fut coupée par le serveur qui vint prendre leur commande. À la pique du garçon, Pina retroussa le nez en faisant la moue avant de rire, puis commanda effectivement un cocktail sans alcool. « Je vais rester sage ce soir... Peut-être. Et à manger... mh... » Pina n'avait même pas regardé, elle attrapa rapidement la carte, la parcouru des yeux et choisis un plat végétarien, une sorte de risotto aux courgettes. Elle attendit que le serveur repartes avec leur commande pour continuer. « Oui, du coup, j'aime beaucoup beaucoup mon cours de sciences occultes, j'ai déjà pris de l'avance sur les bouquins de troisième année et j'adore ça... Alors je me demande si je ne changerais pas quelques cours pour pouvoir me concentrer autant sur la botanique et la magizoologie que sur les runes et les potions. » La jeune brunette haussait les épaules en jouant avec ses manches. Sans se rendre compte, elle venait de montrer à matteo son niveau d'implication dans ses études, digne d'une vraie lufkin.
« Mais assez parler études ! Qu'est-ce qui te passionne, en dehors des études ? » demanda t'elle de but en blanc. « C'est quoi ton animal favoris ? La couleur qui t'apaise le plus ? » Pina était de nature curieuse, dès qu'elle se sentait à l'aise avec les gens, et aimait aborder tout un tas de sujet complètements décousu les uns des autres.
La brune fut coupée par le serveur qui vint prendre leur commande. À la pique du garçon, Pina retroussa le nez en faisant la moue avant de rire, puis commanda effectivement un cocktail sans alcool. « Je vais rester sage ce soir... Peut-être. Et à manger... mh... » Pina n'avait même pas regardé, elle attrapa rapidement la carte, la parcouru des yeux et choisis un plat végétarien, une sorte de risotto aux courgettes. Elle attendit que le serveur repartes avec leur commande pour continuer. « Oui, du coup, j'aime beaucoup beaucoup mon cours de sciences occultes, j'ai déjà pris de l'avance sur les bouquins de troisième année et j'adore ça... Alors je me demande si je ne changerais pas quelques cours pour pouvoir me concentrer autant sur la botanique et la magizoologie que sur les runes et les potions. » La jeune brunette haussait les épaules en jouant avec ses manches. Sans se rendre compte, elle venait de montrer à matteo son niveau d'implication dans ses études, digne d'une vraie lufkin.
« Mais assez parler études ! Qu'est-ce qui te passionne, en dehors des études ? » demanda t'elle de but en blanc. « C'est quoi ton animal favoris ? La couleur qui t'apaise le plus ? » Pina était de nature curieuse, dès qu'elle se sentait à l'aise avec les gens, et aimait aborder tout un tas de sujet complètements décousu les uns des autres.
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Ven 14 Déc 2018 - 14:59
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
« Look what I found. »
Matteo explique donc brièvement son quotidien en tant qu’étudiant de neuvième année. Obtenir ses DEFI est important pour lui, il veut vraiment que toutes ces années passées à Hungcalf servent à quelque chose. Il sait qu’il pourra exercer son métier quoiqu’il arrive, mais avec le diplôme obtenu, il pourra démontrer qu’il est digne de ce statut de Médicomage. Il était désolé de ne pas avoir plus de temps pour la jeune femme ni pour qui que ce soit d’autre, à vrai dire. Au début de l’année, il avait joué au mec super cool et sociable pour finalement très vite se replonger dans les études qui lui prenaient tant de temps. Il ne faut pas croire qu’il n’y prend pas de plaisir, il est imperturbable quand il s’y met, mais parfois il rêverait d’avoir un retourneur de temps pour vivre une vie normal. Pina le rassura, lui disant qu’elle le taquinait et que même elle, à son niveau, elle ne trouvait pas suffisamment de temps.
La jeune femme fit savoir à Matteo qu’elle l’avait vu jouer son dernier match de Quidditch. Il écarquilla les yeux, surpris. En fait, il ne savait même pas qui était là à ses matchs, il n’y prête tellement pas attention afin d’être complètement concentré justement pour ne pas se prendre un cognard. Heureusement qu’il l’avait évité de justesse celui-là, pas comme là fois où Kang ne l’avait pas loupé. Pina avoua même avoir eu peur pour lui et le cœur du jeune homme ne fit qu’un seul bond.
« Oh… Je suis vraiment désolé de t’avoir fait peur comme ça, je ne voulais pas… Mais je suis doué pour les éviter, ne t’inquiètes pas, c’est une habitude, un réflexe. »
A moins d’avoir un cognard qui arrive à pleine vitesse dans le dos de Matteo, logiquement, y a pas de souci à se faire. Des frayeurs, oui, mais de souci. La jeune femme enchaîna alors sur ses cours, expliquant que ça se passait très bien mais qu’elle pensait peut-être à se réorienter en troisième année. Elle fut alors coupée dans sa phrase lorsque le serveur vint pour prendre la commande. A vrai dire, ils n’avaient même pas eu le temps de regarder la carte. Pina prit donc quelque chose sans alcool et Matteo commanda une bièraubeurre pour commencer. La jeune femme commanda une sorte de risotto non pas sans faire sourire l’italien qui avait l’impression de retrouver ses origines. Du coup, il commanda la même chose.
Elle reprit la parole quant à ses cours. Elle expliqua qu’elle aimait bien les cours de sciences occultes et qu’elle voulait équilibrer ses cours pour avoir autant de cours concernant la botanique, la magizoologie mais aussi les potions et les runes. Quand quelqu’un parle de potions, forcément, Matteo est intéressé. Il est un expert en la matière.
« J’espère que tu pourras faire les changements que tu veux, c’est assez compliqué de composer un emploi du temps qui correspond parfaitement à ce qu’on veut faire. Si jamais tu ne peux pas changer, sache que je peux toujours t’aider pour les potions. Enfin, il me faudrait un peu de temps, mais pendant les vacances de Noël et d’été, je pourrai te filer un coup de main. Enfin, si tu veux… »
Ce n’est pas comme si les Lufkin en médicomagie manquaient à l’appel. Elle pouvait très bien se tourner vers Elia qui est sa coloc et en même temps, elle suit les mêmes études que Matteo. Il pourrait tout aussi bien proposer des sessions révisions avec les deux amies, au moins, ça paraîtrait moins bizarre pour Pina… sûrement. Soudain, elle changea de sujet, suggérant de ne plus parler d’études. C’est vrai qu’ils en parlent tout le temps, les Lufkins, il faut savoir changer de sujet parfois… Elle posa donc des questions sur les passions et les goûts de l’italien. Un peu désemparé il bégaya avant de prendre la parole.
« Oh euh… Bah j’aime le Quidditch, j’aime les concours de beuverie, j’aime aussi bien voyager même si pour ça, je n’ai pas trop le temps actuellement. »
Il se mit à réfléchir au reste, est-ce qu’elle lui faisait passer un test ?
« Mon animal préféré, je dirais l’Ours, mais j’aime beaucoup les chats aussi. J’en ai un d’ailleurs, il s’appelle Citrouille, il est très mignon même s’il est farceur. Je l’ai adopté juste avant la rentrée ! Quant à la couleur qui m’apaise le plus… Je ne sais pas, le bleu sûrement ? »
Le bleu. Il pouvait pas faire encore plus cliché pour un Lufkin anciennement Serdaigle, mais c’était un fait. Cette couleur l’apaise.
« Et toi ? Qu’est-ce qui te passionne ? Tu as un animal de compagnie ? »
La jeune femme fit savoir à Matteo qu’elle l’avait vu jouer son dernier match de Quidditch. Il écarquilla les yeux, surpris. En fait, il ne savait même pas qui était là à ses matchs, il n’y prête tellement pas attention afin d’être complètement concentré justement pour ne pas se prendre un cognard. Heureusement qu’il l’avait évité de justesse celui-là, pas comme là fois où Kang ne l’avait pas loupé. Pina avoua même avoir eu peur pour lui et le cœur du jeune homme ne fit qu’un seul bond.
« Oh… Je suis vraiment désolé de t’avoir fait peur comme ça, je ne voulais pas… Mais je suis doué pour les éviter, ne t’inquiètes pas, c’est une habitude, un réflexe. »
A moins d’avoir un cognard qui arrive à pleine vitesse dans le dos de Matteo, logiquement, y a pas de souci à se faire. Des frayeurs, oui, mais de souci. La jeune femme enchaîna alors sur ses cours, expliquant que ça se passait très bien mais qu’elle pensait peut-être à se réorienter en troisième année. Elle fut alors coupée dans sa phrase lorsque le serveur vint pour prendre la commande. A vrai dire, ils n’avaient même pas eu le temps de regarder la carte. Pina prit donc quelque chose sans alcool et Matteo commanda une bièraubeurre pour commencer. La jeune femme commanda une sorte de risotto non pas sans faire sourire l’italien qui avait l’impression de retrouver ses origines. Du coup, il commanda la même chose.
Elle reprit la parole quant à ses cours. Elle expliqua qu’elle aimait bien les cours de sciences occultes et qu’elle voulait équilibrer ses cours pour avoir autant de cours concernant la botanique, la magizoologie mais aussi les potions et les runes. Quand quelqu’un parle de potions, forcément, Matteo est intéressé. Il est un expert en la matière.
« J’espère que tu pourras faire les changements que tu veux, c’est assez compliqué de composer un emploi du temps qui correspond parfaitement à ce qu’on veut faire. Si jamais tu ne peux pas changer, sache que je peux toujours t’aider pour les potions. Enfin, il me faudrait un peu de temps, mais pendant les vacances de Noël et d’été, je pourrai te filer un coup de main. Enfin, si tu veux… »
Ce n’est pas comme si les Lufkin en médicomagie manquaient à l’appel. Elle pouvait très bien se tourner vers Elia qui est sa coloc et en même temps, elle suit les mêmes études que Matteo. Il pourrait tout aussi bien proposer des sessions révisions avec les deux amies, au moins, ça paraîtrait moins bizarre pour Pina… sûrement. Soudain, elle changea de sujet, suggérant de ne plus parler d’études. C’est vrai qu’ils en parlent tout le temps, les Lufkins, il faut savoir changer de sujet parfois… Elle posa donc des questions sur les passions et les goûts de l’italien. Un peu désemparé il bégaya avant de prendre la parole.
« Oh euh… Bah j’aime le Quidditch, j’aime les concours de beuverie, j’aime aussi bien voyager même si pour ça, je n’ai pas trop le temps actuellement. »
Il se mit à réfléchir au reste, est-ce qu’elle lui faisait passer un test ?
« Mon animal préféré, je dirais l’Ours, mais j’aime beaucoup les chats aussi. J’en ai un d’ailleurs, il s’appelle Citrouille, il est très mignon même s’il est farceur. Je l’ai adopté juste avant la rentrée ! Quant à la couleur qui m’apaise le plus… Je ne sais pas, le bleu sûrement ? »
Le bleu. Il pouvait pas faire encore plus cliché pour un Lufkin anciennement Serdaigle, mais c’était un fait. Cette couleur l’apaise.
« Et toi ? Qu’est-ce qui te passionne ? Tu as un animal de compagnie ? »
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Lun 17 Déc 2018 - 16:35
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
«Two hearts and three lost words, fall through the universe and we collide when you ask me; Have you felt a certain rush between the two of us? »
tenue — Pina souriait. L'italien avait ce genre de caractère assez calme qui plaisait à la jeune islandaise. Il s'excusait de lui avoir fait peur, ce qui la fit rire légèrement. « Tu es très doué, je sais qu'il te casseront pas ! J'adore le quidditch, mais que depuis les tribunes... J'ai pris des jolies photos, la dernière fois. » Laissa t'elle sous-entendre avant de détourner la conversation, pour qu'il ne puisse pas revenir sur le sujet des photos.
Malicieuse, Pina le cuisinait sur divers sujets et savourait chacune de ses réponses. Elle adorait savoir ces petites anecdotes sur ses amis, elle aimait beaucoup les réponses peu réfléchies. Elle découvrait tant de choses sur les autres à travers ce genre de questions. « Ou est-ce que tu es déjà allé ? C'est quoi ton pays préféré ? Ton pays natal ? » L'ours lui allait bien, comme animal totem. Il était fort et impressionnant de l'extérieur, mais paraissait un peu baloo de l'intérieur, rigolo, un peu maladroit (en tout cas, avec elle!) A cette pensée, la jeune lufkin souriait de plus belle en l'écoutant parler de son chat. « Citrouille, c'est trop mignon. Je pourrais le voir ? J'adore les chats. »
Pina se redressa un peu sur sa chaise à l'arrivée du serveur avec leurs boissons. Elle le remercia très poliment, souriait timidement. Pina, c'était un peu deux personnes dans le même corps. Très timide et discrète avec les inconnus, un vrai torrent d'amour et de bonne humeur avec ses proches. « J'aime vraiment beaucoup les animaux, ça me met la joie instantanément. Je veux qu'ils vivent bien, qu'ils soient heureux. D'ailleurs que tout le monde le soit, je déteste toute forme de racisme, de ségrégation... Cette guerre absurde et millénaire sang-pur, moldus... Ou la condition des elfes de maisons ? » Passionnée, pina l'est, beaucoup, sur ce genre de sujet. Elle serrait sa boisson entre ses mains, emportée par son discours. Elle releva ses yeux bleus vers matteo avec un petit regard espiègle. « J'espère que la famille Astolfi n'a rien contre les né-moldus, ou sang-mêlé... » Elle recula implicitement la tête, haussa les épaules. « Et mh, le violet. Puis j'ai un furet qui normalement est toujours dans une de mes poches ou dans mon sac, mais je me suis dit qu'il aurait trop envie de voler dans mon assiette pour l'emmener avec moi ce soir. » dit-elle en souriant.
Elle ressemblait si souvent à une enfant, réponses naïves, foi en l'humanité, pleines de rêves et de bonnes intentions, elle ne voit jamais le mal, pina, ne vit que pour le bien, que pour le soleil. Le serveur revint avec leurs plats, mais a quelques pas de là, drame arrive au ralenti. Une jeune femme se lève un peu vite, trébuche sur le serveur, qui trébuche à son tour. Pina vit au ralenti les plats volés en l'air, le risotto ne fit qu'un tour jusqu'à atterrir sur l'épaule de la jeune islandaise, qui n'avait eu le temps que de commencer à se décaler. Un instant, le temps s'arrêta alors que tout le restaurant tournait les yeux vers elle. Pina devint rouge cramoisi, ne dit rien pendant quelques secondes avant d'éclater de rire, couvrant les excuses du serveur.
Malicieuse, Pina le cuisinait sur divers sujets et savourait chacune de ses réponses. Elle adorait savoir ces petites anecdotes sur ses amis, elle aimait beaucoup les réponses peu réfléchies. Elle découvrait tant de choses sur les autres à travers ce genre de questions. « Ou est-ce que tu es déjà allé ? C'est quoi ton pays préféré ? Ton pays natal ? » L'ours lui allait bien, comme animal totem. Il était fort et impressionnant de l'extérieur, mais paraissait un peu baloo de l'intérieur, rigolo, un peu maladroit (en tout cas, avec elle!) A cette pensée, la jeune lufkin souriait de plus belle en l'écoutant parler de son chat. « Citrouille, c'est trop mignon. Je pourrais le voir ? J'adore les chats. »
Pina se redressa un peu sur sa chaise à l'arrivée du serveur avec leurs boissons. Elle le remercia très poliment, souriait timidement. Pina, c'était un peu deux personnes dans le même corps. Très timide et discrète avec les inconnus, un vrai torrent d'amour et de bonne humeur avec ses proches. « J'aime vraiment beaucoup les animaux, ça me met la joie instantanément. Je veux qu'ils vivent bien, qu'ils soient heureux. D'ailleurs que tout le monde le soit, je déteste toute forme de racisme, de ségrégation... Cette guerre absurde et millénaire sang-pur, moldus... Ou la condition des elfes de maisons ? » Passionnée, pina l'est, beaucoup, sur ce genre de sujet. Elle serrait sa boisson entre ses mains, emportée par son discours. Elle releva ses yeux bleus vers matteo avec un petit regard espiègle. « J'espère que la famille Astolfi n'a rien contre les né-moldus, ou sang-mêlé... » Elle recula implicitement la tête, haussa les épaules. « Et mh, le violet. Puis j'ai un furet qui normalement est toujours dans une de mes poches ou dans mon sac, mais je me suis dit qu'il aurait trop envie de voler dans mon assiette pour l'emmener avec moi ce soir. » dit-elle en souriant.
Elle ressemblait si souvent à une enfant, réponses naïves, foi en l'humanité, pleines de rêves et de bonnes intentions, elle ne voit jamais le mal, pina, ne vit que pour le bien, que pour le soleil. Le serveur revint avec leurs plats, mais a quelques pas de là, drame arrive au ralenti. Une jeune femme se lève un peu vite, trébuche sur le serveur, qui trébuche à son tour. Pina vit au ralenti les plats volés en l'air, le risotto ne fit qu'un tour jusqu'à atterrir sur l'épaule de la jeune islandaise, qui n'avait eu le temps que de commencer à se décaler. Un instant, le temps s'arrêta alors que tout le restaurant tournait les yeux vers elle. Pina devint rouge cramoisi, ne dit rien pendant quelques secondes avant d'éclater de rire, couvrant les excuses du serveur.
- Spoiler:
- j'suis pas contente de fou de cette réponse pardon
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Lun 24 Déc 2018 - 13:55
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
« Look what I found. »
Pina confirma les dires de Matteo, elle le trouvait doué en Quidditch. Elle expliqua même que si elle aimait ce sport, ce n’était que depuis les gradins et qu’elle avait même pris des clichés au dernier match. Matteo fut interpellé par cette nouvelle et il voulait même lui demander si c’était possible de les voir, parce que bon, sa mère demande régulièrement de ses nouvelles mais pas uniquement par écrit. Mamma Astolfi veut savoir comment grandit son fils chéri, s’il fait pousser la barbe ou les cheveux, s’il a l’air fatigué ou quoi, bref, elle veut des photos et l’italien n’en a aucune à lui fournir. Problème, la jeune Lufkin change de sujet beaucoup trop vite pour que Matteo ne puisse dire quoique ce soit, et le voilà embarqué dans une conversation sur les goûts et les couleurs.
Matteo expliqua d’une manière plus que simple ce qu’il aimait. Le Quidditch semble être une chose évidente, boire, même si c’est une qu’elle a sans doute deviné, ou encore voyager, une passion un peu plus secrète, un peu plus intime, simplement parce que c’est quelque chose qu’il n’a pas trop l’occasion de faire pour l’heure. Toujours plus de question, elle était pire que l’italien concernant les interrogatoires et ça l’amusait, parce qu’il avait l’impression de se voir de l’autre côté de la table.
« Euh, j’ai été de l’autre côté de l’Atlantique et une fois en Asie, au Japon. Je crois que c’est ma destination préférée pour le moment. Sinon, je suis né en Angleterre, mais j’ai vécu en Italie une partie de mon enfance. C’est là qu’était ma famille. »
Parler au passé fait toujours un peu mal, mais bon, c’est malheureusement le cours de la vie. Matteo parle alors de son chat, de l’animal qu’il préfère ainsi que du bleu, qui semble être sa couleur fétiche. Pina trouva le prénom du chat de Matteo mignon et elle demanda même si elle pourrait le voir, car elle aime les chats.
« Evidemment ! Il est dans ma chambre mais il lui arrive de vadrouiller dans la salle commune. Je te le présenterai en rentrant si tu veux. »
Les boissons étaient enfin arrivées, et ça permettait au sorcier de se détendre un peu, de savoir un peu mieux quoi faire de ses mains qui, depuis le début de la conversation, étaient malmenées en dessous de la table. L’angoisse qu’un truc de malheur se produise, ça lui fait faire de drôles de choses, mais pour le moment, tout va bien. C’était alors au tour de la jeune femme de parler un peu d’elle et elle parla de son amour pour les animaux. Matteo buvait ses paroles, comme s’il écoutait une chanson douce. C’est le genre de personne altruiste, un peu comme l’italien, mais à une échelle différente. Elle aborda alors le sujet du sang, un sujet qui visiblement, lui tenait à cœur. Avait-elle souffert de sa nature de sang ? Il faut dire que l’italien ne lui avait jamais posé la question sur son sang puisque c’est un détail qui l’importe peu.
« Je suis un peu comme toi, un peu utopiste, idéaliste, rêvant d’un monde meilleur. Et encore, le monde pourrait être pire. Il a été bien pire. »
La jeune femme ajouta même qu’elle espérait que la famille de Matteo n’avait rien contre les sangs-mêlés et les nés-moldus.
« Bah, tu sais, je suis moi-même un sang-mêlé. J’ai grandi une partie de ma vie élevé par mes grands-parents qui étaient tous deux moldus. Je suis le dernier sorcier à faire la différence entre les différents sangs. Ne t’en fais pas pour ça. »
Il lui adresse un sourire qui se veut rassurant, il ne veut pas qu’elle pense qu’il est stricte là-dessus, ou que sa famille l’est. Elle enchaîna sur sa couleur préférée ainsi que son animal de compagnie qu’elle avait laissé cette fois-là.
« Oh bah, maudit comme je suis, heureusement que tu ne l’as pas ramené, ça aurait été une catastrophe ! »
Il dit ça d’un air amusé sans vraiment savoir ce qui l’attend ensuite. Il est bien là, tout se passe pour le mieux et même que le serveur arrive enfin avec leurs assiettes, lui qui meurt de faim. Il l’observe d’ailleurs de loin, et c’est là qu’il est témoin de la scène. Il ne réalise pas tout de suite, mais il finit par voir une femme trébucher, emportant dans sa maladresse le serveur qui fait alors valser les plats. Matteo se lève subitement de sa chaise, un peu trop ambitieux mais c’est trop tard, tout s’écrase sur la Lufkin. Un grand silence se fait entendre dans la salle et finalement, Pina se met à rire. Matteo, quant à lui, enfouie sa tête dans ses deux grandes mains.
« Oh, non… ça recommence… »
Il reste planté là, toujours sa tête cachée. Il n’ose pas regarder Pina dans les yeux et il a encore moins le courage de lui demander ce qu’il voulait demander. Puis il finit par attraper sa serviette et commence à nettoyer l’épaule de la jeune femme.
« Je suis désolé… c’est de ma faute tout ça… »
Fichue malédiction.
Matteo expliqua d’une manière plus que simple ce qu’il aimait. Le Quidditch semble être une chose évidente, boire, même si c’est une qu’elle a sans doute deviné, ou encore voyager, une passion un peu plus secrète, un peu plus intime, simplement parce que c’est quelque chose qu’il n’a pas trop l’occasion de faire pour l’heure. Toujours plus de question, elle était pire que l’italien concernant les interrogatoires et ça l’amusait, parce qu’il avait l’impression de se voir de l’autre côté de la table.
« Euh, j’ai été de l’autre côté de l’Atlantique et une fois en Asie, au Japon. Je crois que c’est ma destination préférée pour le moment. Sinon, je suis né en Angleterre, mais j’ai vécu en Italie une partie de mon enfance. C’est là qu’était ma famille. »
Parler au passé fait toujours un peu mal, mais bon, c’est malheureusement le cours de la vie. Matteo parle alors de son chat, de l’animal qu’il préfère ainsi que du bleu, qui semble être sa couleur fétiche. Pina trouva le prénom du chat de Matteo mignon et elle demanda même si elle pourrait le voir, car elle aime les chats.
« Evidemment ! Il est dans ma chambre mais il lui arrive de vadrouiller dans la salle commune. Je te le présenterai en rentrant si tu veux. »
Les boissons étaient enfin arrivées, et ça permettait au sorcier de se détendre un peu, de savoir un peu mieux quoi faire de ses mains qui, depuis le début de la conversation, étaient malmenées en dessous de la table. L’angoisse qu’un truc de malheur se produise, ça lui fait faire de drôles de choses, mais pour le moment, tout va bien. C’était alors au tour de la jeune femme de parler un peu d’elle et elle parla de son amour pour les animaux. Matteo buvait ses paroles, comme s’il écoutait une chanson douce. C’est le genre de personne altruiste, un peu comme l’italien, mais à une échelle différente. Elle aborda alors le sujet du sang, un sujet qui visiblement, lui tenait à cœur. Avait-elle souffert de sa nature de sang ? Il faut dire que l’italien ne lui avait jamais posé la question sur son sang puisque c’est un détail qui l’importe peu.
« Je suis un peu comme toi, un peu utopiste, idéaliste, rêvant d’un monde meilleur. Et encore, le monde pourrait être pire. Il a été bien pire. »
La jeune femme ajouta même qu’elle espérait que la famille de Matteo n’avait rien contre les sangs-mêlés et les nés-moldus.
« Bah, tu sais, je suis moi-même un sang-mêlé. J’ai grandi une partie de ma vie élevé par mes grands-parents qui étaient tous deux moldus. Je suis le dernier sorcier à faire la différence entre les différents sangs. Ne t’en fais pas pour ça. »
Il lui adresse un sourire qui se veut rassurant, il ne veut pas qu’elle pense qu’il est stricte là-dessus, ou que sa famille l’est. Elle enchaîna sur sa couleur préférée ainsi que son animal de compagnie qu’elle avait laissé cette fois-là.
« Oh bah, maudit comme je suis, heureusement que tu ne l’as pas ramené, ça aurait été une catastrophe ! »
Il dit ça d’un air amusé sans vraiment savoir ce qui l’attend ensuite. Il est bien là, tout se passe pour le mieux et même que le serveur arrive enfin avec leurs assiettes, lui qui meurt de faim. Il l’observe d’ailleurs de loin, et c’est là qu’il est témoin de la scène. Il ne réalise pas tout de suite, mais il finit par voir une femme trébucher, emportant dans sa maladresse le serveur qui fait alors valser les plats. Matteo se lève subitement de sa chaise, un peu trop ambitieux mais c’est trop tard, tout s’écrase sur la Lufkin. Un grand silence se fait entendre dans la salle et finalement, Pina se met à rire. Matteo, quant à lui, enfouie sa tête dans ses deux grandes mains.
« Oh, non… ça recommence… »
Il reste planté là, toujours sa tête cachée. Il n’ose pas regarder Pina dans les yeux et il a encore moins le courage de lui demander ce qu’il voulait demander. Puis il finit par attraper sa serviette et commence à nettoyer l’épaule de la jeune femme.
« Je suis désolé… c’est de ma faute tout ça… »
Fichue malédiction.
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Lun 24 Déc 2018 - 18:27
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
«Two hearts and three lost words, fall through the universe and we collide when you ask me; Have you felt a certain rush between the two of us? »
tenue — Ils parlaient voyage, ils parlaient passions, ils parlaient animaux de compagnie. La conversation, malgré l'appréhension du premier rendez-vous, se passait bien, et le temps filait sans que Pina ne s'ennuie pendant une seule seconde. Elle se perdait dans le regard mystérieux de l'italien, souriaient à ses paroles. « Oui, comme ça, on fait la route ensemble pour rentrer, c'est cool. » Pina souriait, et son côté fleure bleue prit le dessus l'espace d'un rêve, imaginant dans sa tête une belle fin à leur soirée, lui, la raccompagnant jusqu'à sa porte, éternisant la soirée sans vouloir partir, possiblement un baiser sur son front, sa main dans la sienne, son regard dans le siens. Pina chassa ses pensées en remettant une mèche rebelle derrière ses oreilles, reprenant le cours de leur discussion pour parler sang pur, sang-mêlé.
La plus jeune souriait de plus belle à cette nouvelle, aimait cette façon qu'il avait de se décrire. Son sourire la faisait fondre.
Et le drame arriva, d'abord le silence post risotto sur son épaule, puis l'éclat de rire, simple et innocent, d'une Pina qui riait presque aux larmes. Elle regarda d'abord le serveur qui continuait de s'excuser, encore et encore. Les autres tables avaient repris leur dîner comme si de rien n'était. « Mais tout va bien, c'est pas grave ! » Elle releva les yeux pour voir un Matteo pris d'un grand désarroi, la tête entre ses mains. « Mais c'est rien, Matteo, t'en fais pas ! C'est pas grave ! » dit-elle en le regardant. Elle ne comprenait pas trop sa réaction, avait un regard mi figue mi raisin entre l'amusement et l’incompréhension. Quand il se leva pour venir essuyer son pull, Pina posa sa main sur la sienne, levant les yeux pour se plonger dans les siens, ayant pour espoir de le rassurer. « Tout va bien, c'est pas grave. » Elle fit légèrement pression sur sa main pour qu'il l'enlève, lui fit un clin d'oeil puis enleva son pull, le laissant tomber à côté de la table comme un chiffon sale. « Il fait bon ici, je ne vais pas avoir froid ! » Dit-elle en se retrouvant du coup dans un t-shirt à col rond bleu nuit, en velours. Le serveur s'excusa encore et la réception les fit changer de table pour pouvoir tout nettoyer. Ils déplacèrent leur verre et le risotto intact, s'excusant encore. Pina avait toujours ce sourire amusée au coin des lèvres, ne dit rien pendant un temps, puis attrapa sa fourchette en tirant un peu la langue, et vint piquer dans l'assiette du garçon. Elle le regardait avec malice en haussant les épaules.
« Pourquoi tu t'excusais, tout à l'heure ? C'est pas de ta faute si le serveur à perdu l'équilibre ! » quelques secondes après, elle réalisa qu'il en avait déjà parlé une fois, « hé mais ça me parle cette histoire ! Tu l'avais pas déjà mentionné la dernière fois ? Quand.. Quand tu as fait la crise d'allergie ! » Pina avait l'air si enfantine, si naïve. « Dit donc, monsieur Astolfi, tu penses être maudit ??? »
La plus jeune souriait de plus belle à cette nouvelle, aimait cette façon qu'il avait de se décrire. Son sourire la faisait fondre.
Et le drame arriva, d'abord le silence post risotto sur son épaule, puis l'éclat de rire, simple et innocent, d'une Pina qui riait presque aux larmes. Elle regarda d'abord le serveur qui continuait de s'excuser, encore et encore. Les autres tables avaient repris leur dîner comme si de rien n'était. « Mais tout va bien, c'est pas grave ! » Elle releva les yeux pour voir un Matteo pris d'un grand désarroi, la tête entre ses mains. « Mais c'est rien, Matteo, t'en fais pas ! C'est pas grave ! » dit-elle en le regardant. Elle ne comprenait pas trop sa réaction, avait un regard mi figue mi raisin entre l'amusement et l’incompréhension. Quand il se leva pour venir essuyer son pull, Pina posa sa main sur la sienne, levant les yeux pour se plonger dans les siens, ayant pour espoir de le rassurer. « Tout va bien, c'est pas grave. » Elle fit légèrement pression sur sa main pour qu'il l'enlève, lui fit un clin d'oeil puis enleva son pull, le laissant tomber à côté de la table comme un chiffon sale. « Il fait bon ici, je ne vais pas avoir froid ! » Dit-elle en se retrouvant du coup dans un t-shirt à col rond bleu nuit, en velours. Le serveur s'excusa encore et la réception les fit changer de table pour pouvoir tout nettoyer. Ils déplacèrent leur verre et le risotto intact, s'excusant encore. Pina avait toujours ce sourire amusée au coin des lèvres, ne dit rien pendant un temps, puis attrapa sa fourchette en tirant un peu la langue, et vint piquer dans l'assiette du garçon. Elle le regardait avec malice en haussant les épaules.
« Pourquoi tu t'excusais, tout à l'heure ? C'est pas de ta faute si le serveur à perdu l'équilibre ! » quelques secondes après, elle réalisa qu'il en avait déjà parlé une fois, « hé mais ça me parle cette histoire ! Tu l'avais pas déjà mentionné la dernière fois ? Quand.. Quand tu as fait la crise d'allergie ! » Pina avait l'air si enfantine, si naïve. « Dit donc, monsieur Astolfi, tu penses être maudit ??? »
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Ven 28 Déc 2018 - 7:40
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
« Look what I found. »
Matteo apprécie ce moment partagé avec Pina. Il avait beaucoup appréhendé, notamment parce qu’il n’avait jamais pu se libérer avant mais aussi parce qu’ils étaient restés sur une note assez étrange, à savoir l’allergie du sorcier qui s’était déclenchée sans véritable raison apparente. Mais là, tout se passait bien pour le moment, et pas seulement parce que rien de bizarre ne se produisait, mais il n’y avait pas vraiment de filtre, un peu gêne mais pour autant de la retenue. Il ne trouvait pas important de garder ces informations assez personnelles pour lui-même, ça peut paraître anodin une couleur, mais il n’irait pas le dire à toutes les personnes qu’il rencontre. Les couleurs en disent long sur une personne. On dit du bleu que c’est l’écho de la vie, des voyages et des découvertes. C’est assez représentatif de Matteo. Les deux sorciers discutaient et prévoyaient même de rentrer ensemble, ainsi, il pourrait présenter Citrouille à la jeune femme.
Tout bascula lorsque la maladresse du servir envoya valser un des plats sur la jeune Lufkin. Et voilà… C’était prévisible, pensait Matteo. Il fut pris de panique, ne sachant pas quoi faire pour arranger la situation. Il n’en voulait pas au serveur qui, le pauvre, n’avait pas fait exprès. C’était le magnétisme qui émane de Matteo qui était la cause de tout ça. Ses ondes avaient influencé les pas du pauvre garçon. Pina répétait que tout allait bien, mais c’était plus fort que l’italien, il ne pouvait s’empêcher d’aller essayer de réparer son erreur indirecte. Alors qu’il essuyait le risotto qui était sur le pull de Pina, elle posa sa main sur celle du jeune homme, se voulant rassurante. Matteo se calma alors, même si son cœur battait la chamade. Alors qu’il retira sa main, elle enleva son pull, prétextant qu’il ne faisait pas froid dans le restaurant.
Ils changèrent alors de table avec leurs verres et le risotto intact. En attendant de servir le deuxième plat qui était à refaire, la jeune femme piqua dans l’assiette de Matteo. Il ne disait rien, il trouvait ça plutôt mignon, sa façon de le faire comme une petite enfant qui fait une bêtise. Ce geste simple le fit sourire bêtement. Elle sortit l’italien de ses pensées en lui demandant pourquoi il avait présenté ses excuses, que c’était la faute du serveur. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais elle enchaîna, rappelant la dernière fois, l’allergie et ce que Matteo avait avoué. Elle semblait amusée.
« Je ne pense pas, j’en suis à peu près certain… Si j’ai le malheur de m’approcher d’une fille, il se passe toujours quelque chose, de manière à la faire fuir ou me faire fuir simplement… »
C’est ce qui était arrivé constamment, même si parfois, les jeunes femmes n’avaient pas eu le temps de goûter à la malédiction physique de Matteo, elles avaient simplement mieux à faire que de rester avec l’italien, et ça relevait également de la malédiction selon lui. Difficile d’en expliquer la nature.
« En fait, je crois que tout a commencé à Poudlard. »
Il hésita un moment, parce que c’était quelque chose que Louisa savait et que certains étudiants de Poudlard avaient vu, mais plutôt le dire directement, ça risquerait de lui parvenir par une tierce personne, et il ne voulait pas ça. De plus, il n’était pas gêné de parler de cette anecdote.
« J’ai embrassé un crapaud suite à un pari. J’ai non seulement gonflé comme ce n’est pas permis, mais surtout, depuis, j’ai… beaucoup de malchance dans mes relations… »
C’était dit. Maintenant, Pina allait savoir que Matteo était du genre stupide au point de réaliser des paris stupides. Il changea rapidement de sujet, même si le sujet suivant l’angoissait davantage.
« Au fait, j’avais quelque chose à te dire mais… Je ne sais pas trop… Je ne suis pas sûr de ta réponse. »
Il imagine alors ses meilleurs amis lui donner un énorme coup de pied au fesse. C’est pas le moment de reculer.
« Je voulais savoir si tu voulais aller au bal avec moi pour Yule ? »
L’italien se mit à rougir. Ce n’était pas la première fois qu’il invitait quelqu’un, mais là, il était comme un gamin, peut-être parce qu’avec Pina tout était enfantin et naïf, un peu chamallow. Contrairement à d’autres, il avait peur de la brusquer et de la faire partir. Les dés étaient à présent lancés.
Tout bascula lorsque la maladresse du servir envoya valser un des plats sur la jeune Lufkin. Et voilà… C’était prévisible, pensait Matteo. Il fut pris de panique, ne sachant pas quoi faire pour arranger la situation. Il n’en voulait pas au serveur qui, le pauvre, n’avait pas fait exprès. C’était le magnétisme qui émane de Matteo qui était la cause de tout ça. Ses ondes avaient influencé les pas du pauvre garçon. Pina répétait que tout allait bien, mais c’était plus fort que l’italien, il ne pouvait s’empêcher d’aller essayer de réparer son erreur indirecte. Alors qu’il essuyait le risotto qui était sur le pull de Pina, elle posa sa main sur celle du jeune homme, se voulant rassurante. Matteo se calma alors, même si son cœur battait la chamade. Alors qu’il retira sa main, elle enleva son pull, prétextant qu’il ne faisait pas froid dans le restaurant.
Ils changèrent alors de table avec leurs verres et le risotto intact. En attendant de servir le deuxième plat qui était à refaire, la jeune femme piqua dans l’assiette de Matteo. Il ne disait rien, il trouvait ça plutôt mignon, sa façon de le faire comme une petite enfant qui fait une bêtise. Ce geste simple le fit sourire bêtement. Elle sortit l’italien de ses pensées en lui demandant pourquoi il avait présenté ses excuses, que c’était la faute du serveur. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais elle enchaîna, rappelant la dernière fois, l’allergie et ce que Matteo avait avoué. Elle semblait amusée.
« Je ne pense pas, j’en suis à peu près certain… Si j’ai le malheur de m’approcher d’une fille, il se passe toujours quelque chose, de manière à la faire fuir ou me faire fuir simplement… »
C’est ce qui était arrivé constamment, même si parfois, les jeunes femmes n’avaient pas eu le temps de goûter à la malédiction physique de Matteo, elles avaient simplement mieux à faire que de rester avec l’italien, et ça relevait également de la malédiction selon lui. Difficile d’en expliquer la nature.
« En fait, je crois que tout a commencé à Poudlard. »
Il hésita un moment, parce que c’était quelque chose que Louisa savait et que certains étudiants de Poudlard avaient vu, mais plutôt le dire directement, ça risquerait de lui parvenir par une tierce personne, et il ne voulait pas ça. De plus, il n’était pas gêné de parler de cette anecdote.
« J’ai embrassé un crapaud suite à un pari. J’ai non seulement gonflé comme ce n’est pas permis, mais surtout, depuis, j’ai… beaucoup de malchance dans mes relations… »
C’était dit. Maintenant, Pina allait savoir que Matteo était du genre stupide au point de réaliser des paris stupides. Il changea rapidement de sujet, même si le sujet suivant l’angoissait davantage.
« Au fait, j’avais quelque chose à te dire mais… Je ne sais pas trop… Je ne suis pas sûr de ta réponse. »
Il imagine alors ses meilleurs amis lui donner un énorme coup de pied au fesse. C’est pas le moment de reculer.
« Je voulais savoir si tu voulais aller au bal avec moi pour Yule ? »
L’italien se mit à rougir. Ce n’était pas la première fois qu’il invitait quelqu’un, mais là, il était comme un gamin, peut-être parce qu’avec Pina tout était enfantin et naïf, un peu chamallow. Contrairement à d’autres, il avait peur de la brusquer et de la faire partir. Les dés étaient à présent lancés.
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Sam 5 Jan 2019 - 1:21
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
«Two hearts and three lost words, fall through the universe and we collide when you ask me; Have you felt a certain rush between the two of us? »
tenue — Pina avait placé son menton sur le dos de ses deux mains croisées, fourchette glissée entre ses doigts, et observait matteo de son regard bleu océan, un mélange entre malice et innocence se mélangeant comme les vagues et l'écume, douce et impétueuse. La doux son d'un jazz crooner jouait en fond, replongeant les deux lufkin dans une ambiance à nouveau plus douce, oubliant le risotto, oubliant tout les incidents qui pourraient possiblement les sortir de leurs bulles. « Je ne pense pas, j'en suis à peu près certain... si j'ai le malheur de m'approcher d'une fille, il se passe toujours quelque chose, de manière à la faire fuir ou me faire fuir simplement... » Le sourire de la jeune islandaise s'agrandit alors qu'elle dit spontanément, dans sa langue natale (islandais) « tu penses me faire fuir?! », donc complètement incompréhensible par le bel italien. Pina ne parlait pas encore très bien l'anglais, et quand elle laissait au placard la timidité et les courbettes solennelles, il lui arrivait souvent d'oublier de faire l'effort de parler dans la langue commune, mais de mélanger anglais, français, allemand et islandais pour donner un mélange souvent ignoble à écouter.
Heureusement pour elle, son aîné ne releva pas et continua de lui conter l'histoire de sa malédiction, heureusement pour pina qui eu le temps de calmer les pulsations de son cœur, se rendant compte qu'elle affirmait clairement (ou du moins, clairement dans sa langue) qu'il lui plaisait. Elle voulut répliquer à toute cette histoire pour le taquiner à propos du crapaud, mais il reprit la parole, paraissant un brin plus nerveux. « au fait, j'avais quelque chose à te dire, mais... Je ne sais pas trop... Je ne suis pas sûr de ta réponse. » Pina reprit une fourchette du risotto qu'elle enfourna dans sa bouche en relevant les yeux, l'interrogeant du regard. « Je voulais savoir si tu voulais aller au bal avec moi pour Yule ? »
La question eu pour réponse que Pina ne manque de s'étouffer avec ce qu'elle avait en bouche, couvrant ses lèvres le temps d'avaler avant de pouffer de rire en s'excusant, le rouge lui montant directement aux joues. Son ventre était plus contracté et elle inspira un grand coup. Clairement, elle était mille fois plus excitée dans sa tête que ce qu'elle voulait bien montrer à Matteo, mais elle n'en revenait pas. « Clairement, si je manque de m'étouffer ou de choper une allergie... non, merci... » dit-elle en essayant de garder son sérieux, redressant un peu le dos, mais la jeune islandaise ne pu tenir le rôle que quelques secondes au maximum avant d'enchaîner, le rouge aux joues, se penchant vers lui en posant sa main sur son bras « je rigole, je rigole hein ! Bien sur.. ça me ferait très plaisir... vraiment. » Le sourire qu'elle affichait sur ses lèvres rosées était sincère, et ses yeux pétillaient. Elle était sur un petit nuage. Elle redevenait la douce pina, un peu timide, très fleure bleue, celle qui remettait ses cheveux en place une dizaine de fois en trop peu de temps pour ne pas le remarquer pour occuper ses mains, buvait son verre en regardant distraitement l'italien manger.
L'ambiance était enfantine et calme, naïve et douce, parfois romantique, toujours sincèrement agréable. Le repas passa sans qu'ils ne puissent compter les minutes, et l'islandaise sentait ce petit pincement au cœur parce qu'elle ne voulait pas que la nuit s'arrête, comme au bord de la fenêtre, comme quand ils étaient bloqués à l'aube. Pina avait passé son bras à celui de l'italien alors qu'ils remontaient les couloirs déserts jusqu'à leurs chambres. Ils rigolèrent quelques minutes en jouant avec le chat du plus âgé jusqu'à ce qu'il la raccompagne tel un gentleman jusqu'à sa chambre. Le dos collé à la porte, refusant de l'ouvrir pour faire durer le moment, pina releva les yeux vers Matteo avec un sourire doux. Ils étaient si proches et c'était pourtant encore empli de tant de timidité. Elle n'osait pas approcher, malgré l'envie furieuse de lui embrasser la joue, de lui voler un câlin. Elle plongeait une dernière fois son regard bleu dans le siens plus sombre avant de chuchoter « Merci pour cette soirée... c'était génial. » Ses doigts fins vinrent replacer le col de son manteau, suivant ses gestes de son regard, inspirant longuement jusqu'à avoir un élan de bravoure, se hisser sur la pointe des pieds et venir embrasser sa joue. La seconde ou ses lèvres touchaient la peau de l'italien se figèrent, mais son cœur lui, s'envola et explosa dans sa poitrine. Elle posa les talons à nouveau à plat, baissa les yeux et cacha son sourire naïf derrière sa main, ouvrant la porte de sa chambre « Bonne nuit. »
Heureusement pour elle, son aîné ne releva pas et continua de lui conter l'histoire de sa malédiction, heureusement pour pina qui eu le temps de calmer les pulsations de son cœur, se rendant compte qu'elle affirmait clairement (ou du moins, clairement dans sa langue) qu'il lui plaisait. Elle voulut répliquer à toute cette histoire pour le taquiner à propos du crapaud, mais il reprit la parole, paraissant un brin plus nerveux. « au fait, j'avais quelque chose à te dire, mais... Je ne sais pas trop... Je ne suis pas sûr de ta réponse. » Pina reprit une fourchette du risotto qu'elle enfourna dans sa bouche en relevant les yeux, l'interrogeant du regard. « Je voulais savoir si tu voulais aller au bal avec moi pour Yule ? »
La question eu pour réponse que Pina ne manque de s'étouffer avec ce qu'elle avait en bouche, couvrant ses lèvres le temps d'avaler avant de pouffer de rire en s'excusant, le rouge lui montant directement aux joues. Son ventre était plus contracté et elle inspira un grand coup. Clairement, elle était mille fois plus excitée dans sa tête que ce qu'elle voulait bien montrer à Matteo, mais elle n'en revenait pas. « Clairement, si je manque de m'étouffer ou de choper une allergie... non, merci... » dit-elle en essayant de garder son sérieux, redressant un peu le dos, mais la jeune islandaise ne pu tenir le rôle que quelques secondes au maximum avant d'enchaîner, le rouge aux joues, se penchant vers lui en posant sa main sur son bras « je rigole, je rigole hein ! Bien sur.. ça me ferait très plaisir... vraiment. » Le sourire qu'elle affichait sur ses lèvres rosées était sincère, et ses yeux pétillaient. Elle était sur un petit nuage. Elle redevenait la douce pina, un peu timide, très fleure bleue, celle qui remettait ses cheveux en place une dizaine de fois en trop peu de temps pour ne pas le remarquer pour occuper ses mains, buvait son verre en regardant distraitement l'italien manger.
L'ambiance était enfantine et calme, naïve et douce, parfois romantique, toujours sincèrement agréable. Le repas passa sans qu'ils ne puissent compter les minutes, et l'islandaise sentait ce petit pincement au cœur parce qu'elle ne voulait pas que la nuit s'arrête, comme au bord de la fenêtre, comme quand ils étaient bloqués à l'aube. Pina avait passé son bras à celui de l'italien alors qu'ils remontaient les couloirs déserts jusqu'à leurs chambres. Ils rigolèrent quelques minutes en jouant avec le chat du plus âgé jusqu'à ce qu'il la raccompagne tel un gentleman jusqu'à sa chambre. Le dos collé à la porte, refusant de l'ouvrir pour faire durer le moment, pina releva les yeux vers Matteo avec un sourire doux. Ils étaient si proches et c'était pourtant encore empli de tant de timidité. Elle n'osait pas approcher, malgré l'envie furieuse de lui embrasser la joue, de lui voler un câlin. Elle plongeait une dernière fois son regard bleu dans le siens plus sombre avant de chuchoter « Merci pour cette soirée... c'était génial. » Ses doigts fins vinrent replacer le col de son manteau, suivant ses gestes de son regard, inspirant longuement jusqu'à avoir un élan de bravoure, se hisser sur la pointe des pieds et venir embrasser sa joue. La seconde ou ses lèvres touchaient la peau de l'italien se figèrent, mais son cœur lui, s'envola et explosa dans sa poitrine. Elle posa les talons à nouveau à plat, baissa les yeux et cacha son sourire naïf derrière sa main, ouvrant la porte de sa chambre « Bonne nuit. »
(c) DΛNDELION
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Re: Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse || Pinamour
Lun 14 Jan 2019 - 14:21
Ta main aussi dure à tenir qu'une promesse.
Pina & Matteo
« Look what I found. »
Voilà, Matteo s’était jeté dans le grand bain sans bouée et sans brassards. Il avait demandé à Pina si elle acceptait de l’accompagner au bal. Il s’attendait à un refus. Même si le repas était agréable, même si elle semblait bien apprécier l’italien, il avait comme ce pressentiment qu’elle ne le voyait que comme un ami. Après tout, deux amis peuvent aussi bien aller au bal ensemble, mais il stressait un peu, s’en prenant à sa serviette qui était à présent toute froissée alors qu’il attendait que la jeune islandaise ne lui réponde. Elle manqua de s’étouffer à la question de Matteo et il commença à paniquer, posant une question machinalement.
« Ça va ? »
Mais quelqu’un qui s’étouffe ne peut jamais répondre à cette question. Puis ça sembla passer rapidement, il savait d’expérience que quand quelqu’un avale de travers, il n’y a pas grand-chose à faire dans l’immédiat. Lorsqu’elle reprit son souffle, elle répondit que si c’était pour s’étouffer ou se choper des allergies, elle préférait éviter. Il s’attendait à cette réponse. Lui qui avait espéré que Pina serait celle qui surmonterait la malédiction.
« Je compr… »
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’elle posa sa main sur le bras de l’italien avant de continuer sa réponse. Elle rigolait, apparemment et elle avoua alors qu’elle acceptait l’invitation. Matteo releva les yeux, ce regard rempli d’étoiles, comme si on venait de lui offrir le cadeau qu’il voulait depuis tout petit. Il était comme un gosse là, comme s’il n’avait jamais eu de rendez-vous avec une fille. Bien sûr que ce n’était pas le cas, mais avec Pina, il avait comme ce sentiment de tout recommencer à zéro.
Après cela, Matteo décida de se détendre un petit peu plus, il avait demandé ce qu’il avait demandé et ça s’était relativement bien passé, et le mieux, c’est qu’elle avait même accepté. Le reste du repas se déroula sans encombre, les deux sorciers continuant d’échanger à propos de leurs petites vies respectives, l’italien curieux de tout à propos de Pina. Il ne voulait pas tout savoir tout de suite, pourtant il en mourrait d’envie. Des sourires, des rires, des choses un peu plus sérieuses malgré tout. Et finalement, il était temps de rentrer au château. L’italien devait se lever tôt le lendemain pour faire la garde à l’infirmerie avant d’enchaîner sur les cours. Ils remontèrent alors jusqu’à l’étage des Lufkin, pénétrant dans la salle commune où, comme s’il savait que son maître allait rentrer, Citrouille attendait patiemment, assis et lâchant un petit miaulement de contentement. Matteo présenta le chat au pelage roux à Pina, comme promis. Mais il était finalement temps de se quitter. Il raccompagna la jeune femme jusqu’à sa porte et il eut l’impression que les derniers instants ont duré une éternité, tellement il ne savait pas quoi faire. Lui dire au revoir d’un signe de main ? La prendre sans bras ? Déposer un baiser sur son front ? Elle le remercia pour cette soirée.
« C’est moi qui te remercie, je te rappelle que tu es celle qui a eu l’idée ! »
Il lui adresse un large sourire. Puis il n’eut pas le temps de dire quoique ce soit de plus ni même de bouger qu’elle vint déposer un léger baiser sur la joue de l’italien. Celui-ci se figea, agréablement surpris par le geste. Puis elle retourna dans sa chambre, le saluant d’un bonne nuit. Toujours immobile et touchant la joue qui venait d’être embrassée, il lui fit un signe de la main, comme un enfant.
« Bonne nuit, Pina. »
« Ça va ? »
Mais quelqu’un qui s’étouffe ne peut jamais répondre à cette question. Puis ça sembla passer rapidement, il savait d’expérience que quand quelqu’un avale de travers, il n’y a pas grand-chose à faire dans l’immédiat. Lorsqu’elle reprit son souffle, elle répondit que si c’était pour s’étouffer ou se choper des allergies, elle préférait éviter. Il s’attendait à cette réponse. Lui qui avait espéré que Pina serait celle qui surmonterait la malédiction.
« Je compr… »
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’elle posa sa main sur le bras de l’italien avant de continuer sa réponse. Elle rigolait, apparemment et elle avoua alors qu’elle acceptait l’invitation. Matteo releva les yeux, ce regard rempli d’étoiles, comme si on venait de lui offrir le cadeau qu’il voulait depuis tout petit. Il était comme un gosse là, comme s’il n’avait jamais eu de rendez-vous avec une fille. Bien sûr que ce n’était pas le cas, mais avec Pina, il avait comme ce sentiment de tout recommencer à zéro.
Après cela, Matteo décida de se détendre un petit peu plus, il avait demandé ce qu’il avait demandé et ça s’était relativement bien passé, et le mieux, c’est qu’elle avait même accepté. Le reste du repas se déroula sans encombre, les deux sorciers continuant d’échanger à propos de leurs petites vies respectives, l’italien curieux de tout à propos de Pina. Il ne voulait pas tout savoir tout de suite, pourtant il en mourrait d’envie. Des sourires, des rires, des choses un peu plus sérieuses malgré tout. Et finalement, il était temps de rentrer au château. L’italien devait se lever tôt le lendemain pour faire la garde à l’infirmerie avant d’enchaîner sur les cours. Ils remontèrent alors jusqu’à l’étage des Lufkin, pénétrant dans la salle commune où, comme s’il savait que son maître allait rentrer, Citrouille attendait patiemment, assis et lâchant un petit miaulement de contentement. Matteo présenta le chat au pelage roux à Pina, comme promis. Mais il était finalement temps de se quitter. Il raccompagna la jeune femme jusqu’à sa porte et il eut l’impression que les derniers instants ont duré une éternité, tellement il ne savait pas quoi faire. Lui dire au revoir d’un signe de main ? La prendre sans bras ? Déposer un baiser sur son front ? Elle le remercia pour cette soirée.
« C’est moi qui te remercie, je te rappelle que tu es celle qui a eu l’idée ! »
Il lui adresse un large sourire. Puis il n’eut pas le temps de dire quoique ce soit de plus ni même de bouger qu’elle vint déposer un léger baiser sur la joue de l’italien. Celui-ci se figea, agréablement surpris par le geste. Puis elle retourna dans sa chambre, le saluant d’un bonne nuit. Toujours immobile et touchant la joue qui venait d’être embrassée, il lui fit un signe de la main, comme un enfant.
« Bonne nuit, Pina. »
(c) DΛNDELION