- Gabriele de LucaADMIN – wild bear free heart
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» miroir du riséd : Tom Holland
» crédits : itsamooncalf
» multinick : Margaret, Jules et Verena
» âge : 25 ans
» situation : Célibataire
» nature du sang : Né-moldu
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» année d'études : 1ère année
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Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Jeu 6 Déc 2018 - 17:37
J'étais un peu honteux en fait. Non disons le clairement, j'étais carrément honteux, et je ne savais pas trop comment me démerder. Ca devait bien arriver un jour n'est-ce pas ? A force d'aller voir à droite, à gauche, de ne pas toujours me protéger, il fallait bien qu'il m'arrive une merde, ça m'étonnait d'ailleurs qu'il n'y ait encore aucune fille qui soit venu me voir avec un nourrisson dans les bras pour me lâcher que j'en étais le père. A croire que je choisissais toujours le bon moment. Ou que j'avais trop fait souffrir ces filles pour qu'elles veuillent me revoir. Au moins avec les mecs, il n'y avait pas ce soucis, je pouvais essayer autant de fois que je le voulais, aucun risque d'en mettre un en cloque. Mais voilà, ça faisait quelques jours que ça me grattait un peu, et à vrai dire j'étais un peu inquiet. Je n'avais jamais eu à me faire dépister jusque maintenant, on pouvait dire que j'avais de la chance, et mes tests contre le dopage m'auraient révélé depuis le temps si j'avais chosé une cochonnerie. Mais là c'était différent. Ce n'était rien de grave en soi, et ça pouvait tout simplement être à cause du frottement contre mes sous-vêtements ou juste une petite infection urinaire, mais ça me grattait à l'endroit stratégique, et je ne me sentais pas d'aller voir Mercy pour lui en parler. On s'entendait super bien, mais j'étais sûr qu'elle se moquerait de moi, et qu'elle me le ressortirait encore longtemps après. Déjà qu'elle m'a quasiment ridiculisé à Halloween en criant partout que j'avais fait vœu d'abstinence jusqu'au mariage, une rumeur fausse bien entendu !
Mais j'avais appris que le meilleur pote de mes cousines Elia et Louisa travaillait comme assistant à l'infirmerie. On ne se connaissait pas vraiment, ou en tout cas pas suffisamment pour que je sois gêné d'aller le voir et demander à ce que ce soit lui qui s'occupe de moi. Enfin, façon de parler.
J'entrais donc dans l'infirmerie, et par chance, Matteo était tout seul, Mercy s'était apparemment absenté. Elle ne saurait donc pas que j'étais venu, ou alors si elle l'apprenait je demanderai à l'assistant qu'il ne révèle pas la vraie raison de ma venue à l'infirmerie. J'étais un peu gêné, et pourtant j'essayais de cacher cette gêne en me montrant sûr de moi, un peu trop sûr de moi peut-être, comme d'habitude.
Eh Matteo ! Tu te souviens, Caël, le cousin de Louisa et d'Elia.
Puis à voix plus basse.
Dis euh, je passais comme ça et je me demandais si tu pouvais me faire une petite consultation. Mais faut que ça reste entre nous, je veux dire, que Mercy ne soit pas au courant, ça marche?
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Ven 7 Déc 2018 - 13:38
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Matteo avait fini par accepter la proposition de Mercy. Evidemment que c’était tentant de travailler à l’infirmerie. Il ne pouvait rêver mieux comme mise en bouche pour le monde du travail. Les conditions et les patients seraient différents quand il sortira de l’université, mais les étudiants étaient de bons sujets d’étude. Au moins, il peut justifier certains devoirs non rendus par sa pratique à l’infirmerie. Sauf que bon, c’est Matteo et malgré tout le taff, il trouve toujours du temps pour faire ses devoirs. Bon, évidemment, ce petit marché pour être stagiaire à l’infirmerie n’est pas rémunéré et ça n’a pas été facile de convaincre papa Astolfi que c’était un bon plan. Après de nombreux échanges par chouette postale, et surtout grâce à la mère de Matteo, ce fut un oui.
L’italien était donc en train de ranger et nettoyer l’infirmerie, profitant de l’absence de Mercy et de patients pour que tout soit nickel. Il a cette tendance à être super organisé voire presque maniaque quand il est sur son lieu de travail alors que dans sa chambre, c’est un bordel monstre – et ce n’est pas uniquement la faute de Citrouille, son chat. Donc ouais, il range le matériel par ordre croissant des tailles, par ordre d’importance selon l’utilisation, bref, il y passe presque une bonne heure à y mettre de l’ordre, tout se répétant son dernier cours de potions, histoire de connaître par cœur la formule. C’est une façon de réviser en s’amusant, en quelque sorte, tout est relatif. Il faut vraiment être un Lufkin pour se dire ça… S’il fait les choses suffisamment rapidement, il pourra attaquer un chapitre de Sciences Politiques, la matière pour laquelle il a le plus de mal et pour ça, il lui faudra une concentration extrême.
Alors qu’il jette un sort sur la serpillère pour qu’elle se passe toute seule, quelqu’un entre dans l’infirmerie. Evidemment, c’était beaucoup trop calme pour que personne ne passe ce soir. Ça fait partie du jeu et il ne s’en plaint pas, en fait, il est même content quand il y a un patient, il n’a pas vraiment signé pour faire le ménage, autant rester dans son dortoir sinon. C’est un mec qu’il connaît de loin, il ne se souvient pas lui avoir vraiment parlé dans sa vie mais il le connaît surtout à travers les paroles de Louisa. Il se présente, confirmant donc son identité. C’est bien le cousin Muller de Louisa et Elia. Matteo lui adresse un sourire en se tournant vers lui. Le Wright lui demande sans transition si l’italien peut lui faire une consultation sans en parler à Mercy. En théorie, Mercy sera probablement au courant du passage de Caël dans le coin vu qu’il doit signer une décharge, mais Matteo est tenu au secret professionnel.
« A moins d’une urgence, je n’ai aucune raison de dire à Mercy ce dont tu vas me parler. »
Il lui fait signe de s’asseoir sur une chaise dans un premier temps et l’assistant infirmier attrape son matériel de base et sa baguette.
« Dis-moi tout. Il y a quelque chose qui te tracasse ? Tu as mal quelque part ? »
Alors qu’il le questionne de manière routinière, Matteo observe les yeux et la gorge du Muller. C’est la base, parfois certains viennent pour une chose, mais ils ne savent pas qu’ils en ont une autre.
« T’en fais pas, c’est juste pour vérifier si tout est okay, la routine quoi. »
Rien d’anormal au niveau de la vue et de la gorge, maintenant, c’est à lui de parler s’il veut des réponses à ses questions.
L’italien était donc en train de ranger et nettoyer l’infirmerie, profitant de l’absence de Mercy et de patients pour que tout soit nickel. Il a cette tendance à être super organisé voire presque maniaque quand il est sur son lieu de travail alors que dans sa chambre, c’est un bordel monstre – et ce n’est pas uniquement la faute de Citrouille, son chat. Donc ouais, il range le matériel par ordre croissant des tailles, par ordre d’importance selon l’utilisation, bref, il y passe presque une bonne heure à y mettre de l’ordre, tout se répétant son dernier cours de potions, histoire de connaître par cœur la formule. C’est une façon de réviser en s’amusant, en quelque sorte, tout est relatif. Il faut vraiment être un Lufkin pour se dire ça… S’il fait les choses suffisamment rapidement, il pourra attaquer un chapitre de Sciences Politiques, la matière pour laquelle il a le plus de mal et pour ça, il lui faudra une concentration extrême.
Alors qu’il jette un sort sur la serpillère pour qu’elle se passe toute seule, quelqu’un entre dans l’infirmerie. Evidemment, c’était beaucoup trop calme pour que personne ne passe ce soir. Ça fait partie du jeu et il ne s’en plaint pas, en fait, il est même content quand il y a un patient, il n’a pas vraiment signé pour faire le ménage, autant rester dans son dortoir sinon. C’est un mec qu’il connaît de loin, il ne se souvient pas lui avoir vraiment parlé dans sa vie mais il le connaît surtout à travers les paroles de Louisa. Il se présente, confirmant donc son identité. C’est bien le cousin Muller de Louisa et Elia. Matteo lui adresse un sourire en se tournant vers lui. Le Wright lui demande sans transition si l’italien peut lui faire une consultation sans en parler à Mercy. En théorie, Mercy sera probablement au courant du passage de Caël dans le coin vu qu’il doit signer une décharge, mais Matteo est tenu au secret professionnel.
« A moins d’une urgence, je n’ai aucune raison de dire à Mercy ce dont tu vas me parler. »
Il lui fait signe de s’asseoir sur une chaise dans un premier temps et l’assistant infirmier attrape son matériel de base et sa baguette.
« Dis-moi tout. Il y a quelque chose qui te tracasse ? Tu as mal quelque part ? »
Alors qu’il le questionne de manière routinière, Matteo observe les yeux et la gorge du Muller. C’est la base, parfois certains viennent pour une chose, mais ils ne savent pas qu’ils en ont une autre.
« T’en fais pas, c’est juste pour vérifier si tout est okay, la routine quoi. »
Rien d’anormal au niveau de la vue et de la gorge, maintenant, c’est à lui de parler s’il veut des réponses à ses questions.
(c) DΛNDELION
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Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Lun 10 Déc 2018 - 10:16
J’ai hésité à venir consulter, mais j’étais vraiment inquiet, et pourtant je n’étais pas ce genre de mec à avoir peur d’une petite maladie, mais ce qui me rebutait essentiellement était que je connaissais bien Mercy, et je voulais éviter qu’elle n’ait de quoi se moquer de moi, alors quand j’ai su qu’elle avait embauché un assistant, j’avais tenté ma chance. Et puis ce Matteo était un ami de ma cousine, alors je devais pouvoir lui faire confiance n’est-ce pas ? Ce n’était pas comme Kalhan qui lisait mon journal intime et qui essayait ensuite de m’arranger le coup avec les personnes citées dedans n’est-ce pas ? Non, j’avais confiance, j’espérais ne pas être déçu. Au pire, s’il avait la langue trop pendue, il l’apprendrait à ses dépens… Mais il ne semblait pas réfractaire au fait de garder le secret.
Ce n’est pas une urgence, ça se voit je pense de toute façon. Non, c’est juste … gênant et Mercy serait le genre à se moquer de moi.
Oui, je joue mon intriguant, et pourtant il n’y a rien de sexy ou de glamour dans la raison que j’ai de venir consulter. Suivant ses instructions, je m’assois sur une chaise – pas très confortable – pendant qu’il me rejoint avec des instruments bizarres et sa baguette. Qu’est-ce qu’il va me faire ? Pendant que je lui réponds, il observe mes yeux et me tâte la gorge. C’est réglementaire ça ?
Ce n’est pas vraiment que j’ai mal quelque part, c’est plutôt que ça m’indispose…
Pas évident d’aborder le sujet.
Voilà, j’ai eu une ou deux relations sexuelles non protégées et là ça fait quelques jours que ça me gratte… Enfin ça picotte, c’est particulièrement désagréable avec le frottement du boxer …
Je marque une pause, avant de relever les yeux que j’avais baissé pour expliquer mon cas.
Tu comprends mieux pourquoi je voulais éviter que Mercy connaisse la raison de ma venue ?
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Ven 14 Déc 2018 - 13:10
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Matteo tente de rassurer son patient concernant la confidentialité de la consultation. Il n’a aucune raison d’en parler délibérément à Mercy, même si elle finira peut-être par tomber sur le dossier un jour. Caël explique que c’est parce que la situation est gênante et que Mercy pourrait se moquer de lui. L’italien s’attend alors au pire, même s’il connaît Mercy et que dans un cadre professionnel, elle saurait rester sérieuse. Il fait les gestes basiques pour vérifier si tout va bien, il jette même un petit sort qui permet de prendre la tension du patient. C’est la routine. Matteo finit alors par questionner le Muller pour en savoir plus sur la nature de sa visite. Le jeune homme explique qu’il n’a pas mal mais que quelque chose l’indispose, du point de vue médicomagique, c’est important à prendre en compte. Il n’y a pas de petit mal être, qu’il fasse mal ou non.
Il en vient finalement aux faits et explique la situation. Des rapports non protégés… Si Matteo n’était pas professionnel, il aurait probablement enfoui sa tête bien profond dans sa main. Il n’est pourtant pas là pour juger qui que ce soit. Conseiller, oui, soigner comme il le peut, oui, mais pas juger. Ça le gratte donc ? Bon, très bien.
« Je comprends effectivement mieux pourquoi tu ne voulais pas en parler à Mercy. En même temps, je m’étais douté que tu n’étais pas venu pour une gastro. »
Bon, en réalité, si ça peut être amusant dans les faits quand on a huit ans de savoir que ça lui gratte au niveau de l’entre-jambe, ils sont adultes et ils savent tous les deux que les choses peuvent être un peu plus sérieuses que ça. Matteo ne dit rien, pour ne pas rendre la situation dramatique.
« Je ne vais pas te faire le topo sur l’importance de se protéger lors d’un rapport, hein ? Je pense que ces démangeaisons vont te faire réfléchir à deux fois la prochaine fois, non ? »
Il semble assez grand pour savoir ce qu’il a à faire, mais s’il ne le fait pas, malheureusement, Matteo ne peut rien pour lui.
« Ces partenaires en question, tu sais s’ils ont des maladies, plus particulièrement des infections sexuellement transmissibles ? »
Matteo prend note de tout ce que son patient pourrait dire. Peut-être qu’il a juste des morpions, peut-être que… peut-être que c’est autre chose, mais il ne faut pas tirer de conclusion hâtive.
Il en vient finalement aux faits et explique la situation. Des rapports non protégés… Si Matteo n’était pas professionnel, il aurait probablement enfoui sa tête bien profond dans sa main. Il n’est pourtant pas là pour juger qui que ce soit. Conseiller, oui, soigner comme il le peut, oui, mais pas juger. Ça le gratte donc ? Bon, très bien.
« Je comprends effectivement mieux pourquoi tu ne voulais pas en parler à Mercy. En même temps, je m’étais douté que tu n’étais pas venu pour une gastro. »
Bon, en réalité, si ça peut être amusant dans les faits quand on a huit ans de savoir que ça lui gratte au niveau de l’entre-jambe, ils sont adultes et ils savent tous les deux que les choses peuvent être un peu plus sérieuses que ça. Matteo ne dit rien, pour ne pas rendre la situation dramatique.
« Je ne vais pas te faire le topo sur l’importance de se protéger lors d’un rapport, hein ? Je pense que ces démangeaisons vont te faire réfléchir à deux fois la prochaine fois, non ? »
Il semble assez grand pour savoir ce qu’il a à faire, mais s’il ne le fait pas, malheureusement, Matteo ne peut rien pour lui.
« Ces partenaires en question, tu sais s’ils ont des maladies, plus particulièrement des infections sexuellement transmissibles ? »
Matteo prend note de tout ce que son patient pourrait dire. Peut-être qu’il a juste des morpions, peut-être que… peut-être que c’est autre chose, mais il ne faut pas tirer de conclusion hâtive.
(c) DΛNDELION
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Inventaire Sorcier:
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Jeu 20 Déc 2018 - 9:28
La raison de la visite était gênante voire délicate, et pourtant je n’étais pas pudique, non, mais là ce n’était pas quelque chose dont je pouvais me vanter bien au contraire, et je savais déjà que si Mercy venait à l’apprendre, elle risquait de tout balancer pour se moquer de moi, je préférais donc éviter que ça s’ébruite, et j’espérai que Matteo serait suffisamment discret, sinon il aurait affaire à moi, et je serai beaucoup moins sympa que j’avais pu l’être par le passé. Je me battais beaucoup moins avec la perspective de mon embauche au Ministère comme Auror, mais chasser le naturel et il revenait au galop, mon sang s’échauffait toujours aussi rapidement, je n’allais pas le cacher. Je ne sais pas si Matteo essaie de plaisanter ou non, car si c’est le cas c’est vraiment un humour très mauvais. Pourquoi aurais-je une gastro ? Si c’était le cas je serais sûrement en train de me vider sur le trône et je ne serai pas là à parler de mon intimité avec un mec autrement que pour le mettre dans mon lit. Je ne relevais pas sa petite phrase. Quoi ? Bon oui, d’accord, j’étais un peu sur les nerfs peut-être, ça se voit tant que ça ? Je rigole néanmoins quand il me dit que cette expérience va sûrement me faire réfléchir à l’avenir.
Oh tu sais je ne me fatigue pas à demander l’état de santé sexuelle de mes partenaires, ça me ferait perdre trop de temps. Mais je me protège d’ordinaire, d’ailleurs je suis sûr qu’à force je suis devenu un actionnaire sérieux des marques de capote… Mais quant à me faire réfléchir quant à avoir un rapport, ça je ne crois pas, désolé de te le dire. Je me demande même parfois si je n’ai pas un gosse ou deux qui se baladent dans la nature.
Je rigole bêtement, car je ne me prends pas au sérieux, d’ailleurs pourquoi me prendrai-je au sérieux au final ? Je ne l’avais jamais fait, je n’allais pas commencer maintenant. J’ai gagné en maturité pourtant, mais sexuellement, parfois le désir fait oublier les précautions essentielles.
D’après ce que j’en sais, non ils étaient sains. A part s’ils m’ont caché quelque chose, mais ceux avec qui j’ai eu des rapports non protégés sont censés être fiables. Il y a bien eu cette fille la dernière fois, qui m’avait l’air d’avoir du kilométrage si tu vois ce que je veux dire, mais je m’étais protégé, après je n’ai pas vérifié si la capote n’avait pas craqué …
Pour les autres, Sullivan, Rose, Donovan, j’étais sûr qu’ils n’avaient rien … c’est d’ailleurs peut-être ça qui m’intriguait le plus, si j’avais attrapé quelque chose, comment est-ce que c’était possible ? Mais je rebondissais rapidement.
Et comment être sûr que c’est une MST ou non ?
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Lun 24 Déc 2018 - 13:45
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Matteo pose à Caël les questions habituelles. Ouais, le boulot d’assistant infirmier, c’est majoritairement de poser des questions et après il faut envisager le traitement, à savoir, quelle potion utiliser. La base d’une relation saine, c’est de savoir si son partenaire est en bonne santé, du moins, c’est ce que Matteo ferait s’il ne se protégeait pas. Il est bien conscient que tout le monde ne pense pas comme lui, mais bon, il est comme ça. Le Caël, il ne le connaît pas vraiment mais apparemment, il est loin de ressembler à l’italien dans sa manière de penser. Il explique que poser la question lui ferait perdre trop de temps… Oui, bon, vu comme ça, c’est vrai que dans le feu de l’action, c’est pas vraiment la question que l’on va poser, genre ‘hé coucou, t’as des morpions ?’. Matteo rit intérieurement, surtout lorsque le Muller dit être probablement un actionnaire pour les marques de capotes. Ça en dit long, mais l’italien n’est pas là pour juger, il s’en fiche en fait, que le mec soit puceau ou tout le contraire, il est là pour faire son boulot. En tout cas, les démangeaisons n’étaient visiblement pas suffisantes pour lui donner une leçon. Tant pis pour lui, Matteo haussa les épaules.
Le Muller reprend son sérieux et dit que selon lui, ses partenaires étaient sains. Bon, c’est une bonne chose, ça limite les dégâts. Avec un peu de chance, il n’a qu’une petite infection de rien du tout, une petite potion et pouf, c’est terminé. Il commence à déballer tout un tas de choses sur ses expériences récentes et Matteo le regarde avec de grands yeux, il ne lui en demandait pas… tant. Alors il acquiesce, se contentant des informations essentielles. Il demanda finalement à l’italien comment être sûr qu’il s’agissait d’une MST.
« Pour en être sûr ? C’est assez simple, il va me falloir faire quelques analyses rapides, rien de sorcier. Enfin… T’as compris ce que je voulais dire. »
Matteo se leva pour aller chercher dans un placard un récipient dans lequel Caël allait devoir uriner histoire que le Lufkin puisse faire les analyses nécessaires, tout en sortant la solution qui permettrait de révéler s’il y a ou non une infection. Il tend le petit pot au Wright.
« Rassure-toi, je ne vais pas te toucher. T’as juste à uriner là-dedans, ensuite j’ai deux trois préparations que je mettrai dedans qui me permettront de savoir ce que tu as, j’ai deux-trois hypothèses, mais rien de grave. Quand ça changera de couleur, on sera fixé. »
C’est ce qu’il a dit, rien de très compliqué en soi. Il fait donc signe à son patient d’aller aux toilettes et de revenir au plus vite avec le pot rempli, tandis que lui, il va s’occuper de préparer les solutions révélatrices. La première permettra de dire s’il y a une bactérie, la deuxième s’il a été touché par un virus et finalement… s’il s’agit d’un parasite. Les deux sorciers seraient fixés très rapidement, de toute manière.
Le Muller reprend son sérieux et dit que selon lui, ses partenaires étaient sains. Bon, c’est une bonne chose, ça limite les dégâts. Avec un peu de chance, il n’a qu’une petite infection de rien du tout, une petite potion et pouf, c’est terminé. Il commence à déballer tout un tas de choses sur ses expériences récentes et Matteo le regarde avec de grands yeux, il ne lui en demandait pas… tant. Alors il acquiesce, se contentant des informations essentielles. Il demanda finalement à l’italien comment être sûr qu’il s’agissait d’une MST.
« Pour en être sûr ? C’est assez simple, il va me falloir faire quelques analyses rapides, rien de sorcier. Enfin… T’as compris ce que je voulais dire. »
Matteo se leva pour aller chercher dans un placard un récipient dans lequel Caël allait devoir uriner histoire que le Lufkin puisse faire les analyses nécessaires, tout en sortant la solution qui permettrait de révéler s’il y a ou non une infection. Il tend le petit pot au Wright.
« Rassure-toi, je ne vais pas te toucher. T’as juste à uriner là-dedans, ensuite j’ai deux trois préparations que je mettrai dedans qui me permettront de savoir ce que tu as, j’ai deux-trois hypothèses, mais rien de grave. Quand ça changera de couleur, on sera fixé. »
C’est ce qu’il a dit, rien de très compliqué en soi. Il fait donc signe à son patient d’aller aux toilettes et de revenir au plus vite avec le pot rempli, tandis que lui, il va s’occuper de préparer les solutions révélatrices. La première permettra de dire s’il y a une bactérie, la deuxième s’il a été touché par un virus et finalement… s’il s’agit d’un parasite. Les deux sorciers seraient fixés très rapidement, de toute manière.
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Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Sam 29 Déc 2018 - 17:11
Matteo me pose beaucoup de questions. J’ignorais qu’une consultation médicale ressemblerait autant à un interrogatoire comme j’ai déjà pu y assister lors de mon stage au bureau des Aurors. Mais dans ce cas-ci je n’étais ni suspect ni témoin de quoique ce soit, et je ne voyais pas quel intérêt j’aurais de mentir alors je me prêtais plutôt facilement au jeu. Mais je pensais vraiment que ça aurait plus simple, dans mon esprit j’arrivais, j’expliquais mon soucis, je descendais quelques minutes mon boxer, il auscultait le matériel, une potion et boum j’étais guéri. Qu’est-ce qu’ils se compliquaient la vie quand même les médicomages… Malgré toutes mes blagues graveleuses pour détendre l’atmosphère, je vois que Matteo reste stoïque, et ça me déstabilise un peu. Ce n’est quand même pas si grave que ça si ? Si j’avais chopé une maladie grave je le saurais n’est-ce pas ? Je ne suis pas du genre inquiet ou hypocondriaque, mais son silence m’interroge plus qu’il ne me rassure…
Pourtant il tente une blague. Quoiqu’en fait je ne sais pas si c’est vraiment une blague, il ne l’a peut-être pas fait exprès, mais je rigole, doucement, comme si son jeu de mot me faisait vraiment rire. Bon, pour le numéro d’humoriste on repassera… Je le vois se lever pour aller chercher un récipient. Je dois uriner là dedans ? Sérieusement ? C’est sale non ? Mais bon si c’est aussi simple que ça. Mais plus fort que moi je ne peux m’empêcher la réflexion un peu lourde.
Oh mince, moi qui étais venu ici pour une séance de tripotage gratuite ! Tu peux toucher tu sais, tant que t’as pas les mains froides. Non sérieusement, je croyais que t’allais m’examiner le service trois pièces, mais s’il me suffit d’uriner là-dedans…
Je vais donc vers les toilettes avec le petit récipient et je fais mon affaire. Je suis fier de moi, zéro goutte à côté, comme un chef ! Aucune brûlure, et ce n’est vraiment qu’en remettant mon boxer que ça m’irrite un peu. Je reviens vers Matteo qui n’a pas bougé de place et lui tends mon flacon.
Du 100% Muller, cuvée 2018 ! La meilleure ! Et si tes préparations ne révèlent rien, ça voudrait dire quoi ?
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Ven 4 Jan 2019 - 9:14
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Rien de plus simple que les analyses d’urine. Evidemment, ce n’est pas ce qui amuse Matteo au quotidien et ça confirme bien le fait qu’il n’a pas du tout envie de faire d’infirmier son métier. En tout cas, pas dans une infirmerie étudiante. Travailler dans un dispensaire à l’étranger, aider les gens qui ont vraiment des problèmes de santé, ouais, ça c’est ce qu’il veut faire. Mais bon, ce stage va faire bien sur son CV et l’offre était si gentiment proposée par Mercy, qu’il ne pouvait pas refuser. Il ne la remerciera jamais assez, car même non rémunéré, le père de Matteo semblait okay avec cette idée. Matteo ne comprendra jamais ce que son père avait cherché à faire au début de cette année.
L’italien explique la procédure à Caël. Rien de très compliqué en somme. Le sorcier semble ironiquement déçu, faisant savoir que Matteo pouvait toucher tant qu’il n’avait pas les mains froides. A vrai dire, si c’était pour mettre Matteo mal à l’aise, c’était un peu raté. D’ailleurs, il ne put s’empêcher de rire. Des paquets, à travers ses stages, il en avait manipulé.
« Tu devrais t’estimer heureux que tu n’aies qu’à uriner là-dedans. Si j’en viens à toucher tes parties, c’est que tu devrais t’inquiéter, là, ça voudra dire que les choses sont un peu plus sérieuses. Allez, perds pas de temps. »
Le sorcier revient avec son flacon et fait le fier. C’est un sacré personnage ce Muller. Il savait cette famille un peu à part, mais Louisa était quand même loin de ressembler à ce Caël, et il sait de quoi il parle. Matteo sort sa baguette pour diviser le liquide et le répartir équitablement entre les trois potions révélatrices. Et là, Caël pose une question plutôt normale pour un patient dans cette situation.
« Si aucune des trois potions ne révèle quoique ce soit, c’est qu’il ne s’agit pas d’une maladie infectieuse mais sûrement d’une simple irritation cutanée. Une allergie à un tissu par exemple ou autre matière qui aurait touché ton entre-jambe. »
Mais Matteo, tout en répondant, reste concentré, jetant le sort qui permet aux potions de révéler ce qu’elles ont à révéler – ou non. Il attend quelques instants le temps que les solutions se mélangent parfaitement. La première reste de la même couleur, tout comme la deuxième. En revanche, la troisième prend une couleur bleue pas très appétissante.
« Bon, j’ai deux nouvelles. Une bonne et une moins bonne. Tu préfères que je commence par laquelle ? »
L’italien explique la procédure à Caël. Rien de très compliqué en somme. Le sorcier semble ironiquement déçu, faisant savoir que Matteo pouvait toucher tant qu’il n’avait pas les mains froides. A vrai dire, si c’était pour mettre Matteo mal à l’aise, c’était un peu raté. D’ailleurs, il ne put s’empêcher de rire. Des paquets, à travers ses stages, il en avait manipulé.
« Tu devrais t’estimer heureux que tu n’aies qu’à uriner là-dedans. Si j’en viens à toucher tes parties, c’est que tu devrais t’inquiéter, là, ça voudra dire que les choses sont un peu plus sérieuses. Allez, perds pas de temps. »
Le sorcier revient avec son flacon et fait le fier. C’est un sacré personnage ce Muller. Il savait cette famille un peu à part, mais Louisa était quand même loin de ressembler à ce Caël, et il sait de quoi il parle. Matteo sort sa baguette pour diviser le liquide et le répartir équitablement entre les trois potions révélatrices. Et là, Caël pose une question plutôt normale pour un patient dans cette situation.
« Si aucune des trois potions ne révèle quoique ce soit, c’est qu’il ne s’agit pas d’une maladie infectieuse mais sûrement d’une simple irritation cutanée. Une allergie à un tissu par exemple ou autre matière qui aurait touché ton entre-jambe. »
Mais Matteo, tout en répondant, reste concentré, jetant le sort qui permet aux potions de révéler ce qu’elles ont à révéler – ou non. Il attend quelques instants le temps que les solutions se mélangent parfaitement. La première reste de la même couleur, tout comme la deuxième. En revanche, la troisième prend une couleur bleue pas très appétissante.
« Bon, j’ai deux nouvelles. Une bonne et une moins bonne. Tu préfères que je commence par laquelle ? »
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Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Lun 7 Jan 2019 - 17:55
Pisser dans une éprouvette n’était pas vraiment un moment agréable mais il fallait bien y passer et à en croire Matteo, il valait mieux ce genre d’examen bénin plutôt qu’une palpation, sinon ça pouvait vouloir dire que c’était plus grave. J’avais voulu le mettre mal à l’aise mais au contraire je l’avais fait rire. Bon ça va, il a un sens de l’humour finalement, c’est mieux que rien. Je file donc rapidement aux toilettes selon ses instructions. Mais à mon retour je ne peux pas m’empêcher de faire le fier, c’est comme ça que je détresse et que je pense à autre chose. Je ne suis pas du genre inquiet ou hypocondriaque, mais j’ai quand même assez de conscience et de maturité pour m’être un peu inquiété de ces démangeaisons récentes. Mais plutôt que de répondre à ma petite vanne, Matteo sort sa baguette pour séparer mon urine dans les trois flacons qu’il a disposé devant lui. Redevenant sérieux, je lui demande ce qu’il peut se passer si le test n’est pas concluant. J’écoute religieusement et je me mets secrètement à prier qu’aucune des solutions ne se colore.
Bon bah on va espérer que ce n’est qu’une irritation cutanée alors, c’est plus simple à traiter je crois non ? Une potion ? Un baume ? Un sortilège ?
Je n’attends pas une réponse immédiate car Matteo est en train de psalmodier quelques mots sur chaque flacon, pour voir de quoi il retourne. Je regarde attentivement les flacons, je n’aurai jamais fixé aussi intensément mon urine, c’est asse déstabilisant au final. J’ai beau regarder, les flacons ne bougent pas d’un iota, mais à la fin le dernier flacon semble changer de couleur, pour devenir bleu. Bah alors quoi ? Je suis en train de devenir un schtroumpf ? Le ton de Matteo m’inquiète pourtant. J’espère que ce n’est pas trop grave.
Allez, finissons-en rapidement donne moi la mauvaise nouvelle en premier. Rassure-moi, il ne va rien falloir me couper ? J’y tiens hein, et ça fait trop d’heureux et d’heureuses pour m’en séparer !
Je rigole un peu, mais je ne fais vraiment pas le fier. Qu’est-ce que j’ai bien pu attrapé ?
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Lun 14 Jan 2019 - 14:21
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Matteo essaie de rassurer Caël, même s’il n’a pas l’air d’être le genre de personne qui a besoin d’être rassurée. Il fait son job quoi, il lui explique ce qu’il veut savoir. Si les potions ne révèlent rien, alors il y aura quand même solution, quelque chose qui ne peut être révélé par cette analyse primaire. A vrai dire, si les potions ne révèlent rien, ça ne peut qu’être la solution la plus cool pour le Wright. Il est certain que son patient préférera avoir une irritation cutanée qu’autre chose. Clairement. Comme il le pensait, le Muller espère que ce sera cette option, persuadé que ce sera plus simple à traiter. Matteo acquiesce.
« Oui, si c’est ça, il suffira d’un baume à appliquer religieusement. »
Mais les potions révèlent tout autre chose. C’est bien ce que l’italien craignait. La troisième potion a parlé d’elle-même. Il ne s’agit donc pas d’une irritation, mais bien d’une sorte d’infection. Ce n’est pas un virus ni une bactérie, mais bel et bien un parasite. Certains appellent ça des morpions, mais ça, c’est uniquement chez les moldus. Là, ça ressemble plus à une sorte de crabe de feu microscopique qui se balade sur la peau et dans d’autres endroits un peu moins charmants. Il décide de lui annoncer les choses par étapes. Une bonne et une mauvaise nouvelle. Caël semble vouloir connaître d’abord la mauvaise et dit espérer qu’il ne faudra rien lui couper. Astolfi se retient de rire et joue un peu avec son patient.
« Malheureusement… On ne va pas avoir le choix… »
Il garde son air sérieux, avant de pouffer légèrement de rire et de reprendre ce qu’il avait à dire.
« Non, plus sérieusement. Tu as un parasite. C’est une sorte de petit crabe de feu qui se balade sur ton appareil et qui risque de pondre des œufs si c’est une femelle. C’est la mauvaise nouvelle, ça. Parce que c’est vraiment pas ragoûtant. »
Matteo n’aimerait vraiment pas être à sa place, sincèrement. Il a presque de la compassion pour le Wright. Pour le coup, c’est quelque chose qui ne s’attrape pas forcément par un rapport sexuel ou parce que l’on est sale, c’est juste la faute à pas de chance.
« La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas compliqué à traiter et, vu que tu semblais déçu, tu vas avoir droit à une séance de tripotage gratuite. Heureux ? »
Bah ouais, Matteo va devoir lui retirer le truc avec une pince et vérifier qu’il n’a pas pondu d’œufs. Avec sa baguette, ça risquerait d’être trop agressif. S’il dit avoir encore besoin de ce qu’il a entre les jambes, mieux vaut employer la méthode douce.
« Je t’en prie, installe-toi et mets –toi à l’aise. »
« Oui, si c’est ça, il suffira d’un baume à appliquer religieusement. »
Mais les potions révèlent tout autre chose. C’est bien ce que l’italien craignait. La troisième potion a parlé d’elle-même. Il ne s’agit donc pas d’une irritation, mais bien d’une sorte d’infection. Ce n’est pas un virus ni une bactérie, mais bel et bien un parasite. Certains appellent ça des morpions, mais ça, c’est uniquement chez les moldus. Là, ça ressemble plus à une sorte de crabe de feu microscopique qui se balade sur la peau et dans d’autres endroits un peu moins charmants. Il décide de lui annoncer les choses par étapes. Une bonne et une mauvaise nouvelle. Caël semble vouloir connaître d’abord la mauvaise et dit espérer qu’il ne faudra rien lui couper. Astolfi se retient de rire et joue un peu avec son patient.
« Malheureusement… On ne va pas avoir le choix… »
Il garde son air sérieux, avant de pouffer légèrement de rire et de reprendre ce qu’il avait à dire.
« Non, plus sérieusement. Tu as un parasite. C’est une sorte de petit crabe de feu qui se balade sur ton appareil et qui risque de pondre des œufs si c’est une femelle. C’est la mauvaise nouvelle, ça. Parce que c’est vraiment pas ragoûtant. »
Matteo n’aimerait vraiment pas être à sa place, sincèrement. Il a presque de la compassion pour le Wright. Pour le coup, c’est quelque chose qui ne s’attrape pas forcément par un rapport sexuel ou parce que l’on est sale, c’est juste la faute à pas de chance.
« La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas compliqué à traiter et, vu que tu semblais déçu, tu vas avoir droit à une séance de tripotage gratuite. Heureux ? »
Bah ouais, Matteo va devoir lui retirer le truc avec une pince et vérifier qu’il n’a pas pondu d’œufs. Avec sa baguette, ça risquerait d’être trop agressif. S’il dit avoir encore besoin de ce qu’il a entre les jambes, mieux vaut employer la méthode douce.
« Je t’en prie, installe-toi et mets –toi à l’aise. »
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Inventaire Sorcier
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Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Jeu 17 Jan 2019 - 16:30
Je prie intérieurement Merlin que ces satanés solutions ne changent pas de couleur, parce que si j’en crois Matteo, ça sera un très bon signe. D’ailleurs il le confirme car si les solutions restent neutres, ça voudra dire que ce n’est qu’une inflammation cutanée et qu’un simple baume suffira. Bon m’enduire l’entrejambe avec un baume qui doit sûrement sentir très mauvais n’est pas une perspective très réjouissante mais si ce n’est qu’une épreuve de quelques jours, je peux l’endurer. Mais malgré mes prières païennes, les potions semblent d’un autre avis et même si les deux premières restent de la même couleur, la dernière elle change de couleur, et elle n’est pas très belle, je l’avoue moi-même. Je vois Matteo faire une grimace, ce qui n’est pas pour me rassurer totalement. D’ailleurs je deviens même blanc comme un linge quand il me répond qu’on ne va pas avoir le choix que de couper … Je rigolais et lui répond avec sérieux. Il veut que je meurs ou ça se passe comment ? Je ne me sens pas bien jusqu’à ce que je puisse reprendre mon souffle quand il pouffe et me rassure en disant qu’il rigolait. S’il ne m’était pas nécessaire pour me soigner, je lui aurai déjà collé une baffe, j’avais de l’humour mais quand pas ça concernait ça, bien au contraire. Je ris donc, un peu faussement mais quand même. J’écoute ce qu’il m’explique, apparemment j’ai un parasite, et je déglutis difficilement quand il le décrit comme un minuscule crabe de feu qui se balade dans mon caleçon. Pas très ragoutant tout ça, bien au contraire, je n’ai pas envie d’avoir l’enjeu brûlé par cette bestiole moi ! Il faut qu’il me l’enlève avant qu’elle ne se reproduise si comme il le dit il s’agit d’une femelle ! Pour une mauvaise nouvelle c’est une mauvaise nouvelle.
Et la bonne ? Tu peux me l’enlever ?
C’est bon, il va pouvoir me l’enlever. Et il me détend en me promettant une séance de tripotage gratuite. Je me relève donc, pour déboutonner mon pantalon.
Surtout, sois pas frustré par ce que tu vas voir, je sais que je suis au-dessus de la moyenne…
Je ris et je me rengorge un peu, il faut bien garder la tête haute. Je continue en baissant mon boxer, apparaissant cul nu face à Matteo. Je me rassois, et me penche en arrière pour qu’il ait un accès privilégié à la zone en question.
J’espère que tu n’as pas les mains froides, j’aime pas trop ça. Ah et évite de mettre les dents Matt.
Je lui fais un clin d’œil taquin, comme à mon habitude. Je le laisse se pencher sur moien essayant de ne pas penser à la situation qui est quand même assez excitante si je peux l’avoueret lui pose des questions.
Et ce parasite … Ca s’attrape comment ? Tu penses que je l’ai eu lors d’un rapport ?
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Lun 28 Jan 2019 - 20:32
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Evidemment que Caël s’inquiète de savoir si Matteo va pouvoir lui enlever ce fichu parasite. A sa place, l’italien espérerait la même chose. En même temps, qui aime avoir un corps étranger sur son corps ? Surtout à un tel endroit… Alors il le rassure rapidement, toujours sur le ton de l’humour parce qu’il n’y a pas lieu d’employer un trop sérieux pour quelque chose qui n’est pas très grave. Enfin, du coup, Matteo va lui enlever ce petit crabe de feu parasite qui le gratte tant. Pas que Matteo soit enchanté de devoir tripoter ce qu’il y a entre les jambes de son patient, mais ça l’amuse parce que visiblement, il n’attendait que ça. Matteo est loin d’être gêné par la situation, durant son dernier stage, il en a vu des appareils reproducteurs masculins qu’il devait soigner et vérifier.
Le patient ne perd pas de temps pour enlever son pantalon, se permettant même une petite remarque sur la taille de son engin. Matteo se retient de rire, il n’est pas là pour comparer à vrai dire, il est même très satisfait de ce qu’il a et personne ne s’est jamais plaint. Si ça peut lui permettre de relativiser, tant mieux. Il aimerait lui dire que s’en vanter n’est pas une bonne chose puisque c’est justement parce qu’il est au-dessus de la moyenne qu’il a chopé son parasite. Mais bon, il ne va pas rentrer dans son jeu, Matteo doit quand même rester professionnel. Alors que Caël se met en place, faisant le fier, l’italien enfile ses gants et va chercher sa pince. Le patient dit espérer que Matteo n’a pas les mains froides et lance une petite pique.
« Tu ne devrais pas faire le malin. Penses plutôt à ce parasite qui lui n’hésite pas à mettre les dents. Je suis le gentil dans l’histoire. »
Fini de rigoler, Matteo le sérieux et concentré fait donc son apparition. Armé de sa pince et d’une loupe, il se met alors à la recherche du vilain crabe parasite qui a élu domicile sur les parties intimes de Caël. Alors qu’il tente de trouver la bête, le Muller demande à Matteo comment il a bien pu attraper la bestiole.
« Ce n’est pas nécessairement lors d’un rapport sexuel, c’est plutôt la faute à pas de chance, ça peut se trouver un peu partout mais surtout dans les toilettes ou dans la nature. Ça n’est pas non plus synonyme de mauvaise hygiène, ils aiment juste les endroits chauds. »
Sans mauvais jeu de mot. Soudain, il voit quelque chose qui s’agite au niveau de l’entrejambe de Caël. Le voilà le petit monstre, il finit par pointer le bout de son nez. Matteo s’approche doucement et d’un coup sec coince la bestiole entre les deux parties de sa pince.
« Je te tiens petit coquin ! »
Il l’enferme aussitôt dans une fiole qu’il referme aussitôt et retourne regarder s’il y a des œufs. A l’œil nu, Matteo est incapable de savoir si le parasite est un mâle ou une femelle donc autant directement s’assurer qu’il n’y a plus rien. Il trifouille en détail, cherche scrupuleusement tout comme il chercherait des poux dans une tête. A première vue, rien.
« Bon, apparemment, c’était un mâle et il était seul. Je vais te prescrire un baume à appliquer tous les soirs, ça permettra non seulement de soulager tes démangeaisons mais aussi d’empêcher des œufs d’éclore, si jamais je ne les ai pas vus. »
Matteo donne une petite tape sur la cuisse du Muller avant de reprendre.
« Allez, rhabille-toi. Tu avais quelque chose d'autre à demander ? »
Il attrape un parchemin pour pouvoir écrire sa prescription le temps que Caël se rhabille.
Le patient ne perd pas de temps pour enlever son pantalon, se permettant même une petite remarque sur la taille de son engin. Matteo se retient de rire, il n’est pas là pour comparer à vrai dire, il est même très satisfait de ce qu’il a et personne ne s’est jamais plaint. Si ça peut lui permettre de relativiser, tant mieux. Il aimerait lui dire que s’en vanter n’est pas une bonne chose puisque c’est justement parce qu’il est au-dessus de la moyenne qu’il a chopé son parasite. Mais bon, il ne va pas rentrer dans son jeu, Matteo doit quand même rester professionnel. Alors que Caël se met en place, faisant le fier, l’italien enfile ses gants et va chercher sa pince. Le patient dit espérer que Matteo n’a pas les mains froides et lance une petite pique.
« Tu ne devrais pas faire le malin. Penses plutôt à ce parasite qui lui n’hésite pas à mettre les dents. Je suis le gentil dans l’histoire. »
Fini de rigoler, Matteo le sérieux et concentré fait donc son apparition. Armé de sa pince et d’une loupe, il se met alors à la recherche du vilain crabe parasite qui a élu domicile sur les parties intimes de Caël. Alors qu’il tente de trouver la bête, le Muller demande à Matteo comment il a bien pu attraper la bestiole.
« Ce n’est pas nécessairement lors d’un rapport sexuel, c’est plutôt la faute à pas de chance, ça peut se trouver un peu partout mais surtout dans les toilettes ou dans la nature. Ça n’est pas non plus synonyme de mauvaise hygiène, ils aiment juste les endroits chauds. »
Sans mauvais jeu de mot. Soudain, il voit quelque chose qui s’agite au niveau de l’entrejambe de Caël. Le voilà le petit monstre, il finit par pointer le bout de son nez. Matteo s’approche doucement et d’un coup sec coince la bestiole entre les deux parties de sa pince.
« Je te tiens petit coquin ! »
Il l’enferme aussitôt dans une fiole qu’il referme aussitôt et retourne regarder s’il y a des œufs. A l’œil nu, Matteo est incapable de savoir si le parasite est un mâle ou une femelle donc autant directement s’assurer qu’il n’y a plus rien. Il trifouille en détail, cherche scrupuleusement tout comme il chercherait des poux dans une tête. A première vue, rien.
« Bon, apparemment, c’était un mâle et il était seul. Je vais te prescrire un baume à appliquer tous les soirs, ça permettra non seulement de soulager tes démangeaisons mais aussi d’empêcher des œufs d’éclore, si jamais je ne les ai pas vus. »
Matteo donne une petite tape sur la cuisse du Muller avant de reprendre.
« Allez, rhabille-toi. Tu avais quelque chose d'autre à demander ? »
Il attrape un parchemin pour pouvoir écrire sa prescription le temps que Caël se rhabille.
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Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Mer 30 Jan 2019 - 10:56
Un parasite, un fichu parasite, finalement j’ai bien fait de venir le voir, car si la bestiole avait pondu des œufs, j’aurai eu l’entrejambe en feu mais pas de la meilleure des manières, loin de là. Seul point positif, j’allais pouvoir être de nouveau à l’aise dans mon boxer, sans que ça me gratte dès que je marche. Je ne perds donc pas de temps pour enlever mon pantalon et mon boxer, pour laisser l’attirail à l’air libre et laisser Matteo travailler dessus. Je me permets une vanne sur la taille, comme d’habitude, ça me détend un peu à vrai dire. Mais Matteo reste professionnel, heureusement d’ailleurs, ça évitera toute réaction physique incontrôlée de ma part. Il enfile des gants, ce qui me fait déglutir, et prend une pince.
Ouais bon d’accord je me tais, vire-moi cette bestiole, je suis pas difficile, homme, femme, mais pas de parasite là-dessus !
Je lui demande quand même par acquis de conscience si j’ai attrapé ça suite à une relation sexuelle, ça serait utile pour au moins prévenir la personne que si elle me les a refilé, c’est qu’elle en a également. Pendant qu’il me tâte le service trois pièces, il me rassure, j’ai pu attraper ça aux toilettes ou même dans la nature. Ce n’est donc pas une MST (oui vous avez TOUS bien lus, ce n’est PAS une MST). Soudain, je sens Matteo se contracter, il a dû trouver la bestiole, et vient de la retirer avec sa pince. Ouf, il ne m’a pas pincé par la même occasion. Il l’enferme dans une fiole et regarde à nouveau s’il n’a rien oublier, il trifouille un peu et je dois me contrôler pour éviter tout durcissement involontaire, même si ce n’est qu’une demi-réussite. Je l’écoute attentivement.
Les mâles sont toujours attirés par ça on dirait… Rassure-moi, le baume ne pue pas ? Non parce que je fais quand même attention à ce genre de détails tu vois. Mais bon après si ça sent un peu ce n’est pas grave, je peux comprendre. Merci en tout cas.
Il donne une petite tape sur ma cuisse et me dit que je peux me rhabiller. Je le regarde goguenard : t’es sûr que tu veux que je me rhabille ? Mais je n’ose pas la plaisanterie, il a été très professionnel, et j’ai beau être lourd, je vais éviter de trop l’être. Je me relève donc pour me rhabiller, et alors que je reboutonne mon pantalon.
Rien de particulier si ce n’est comment ne plus jamais avoir ce genre de soucis ? Ah et, c’est pendant combien de temps le baume ? En tout cas encore merci du service vieux, je te suis redevable, surtout n’hésite pas !
- InvitéInvité
Re: Ca gratte... Tu veux bien regarder ? - Matteo & Caël
Ven 1 Fév 2019 - 21:55
Ça gratte... Tu veux bien regarder ?
Caël & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
Matteo était amusé par les blagues de Caël, mais il devait malgré tout garder un minimum de sérieux et éviter de rire. Sait-on jamais, on pourrait lui reprocher de mal faire son boulot. Il lui rappelle que c’est la bestiole qui risque de sortir les dents et visiblement, ça calme tout de suite le Wright. En même temps… N’importe qui préférerait un être humain qu’un tel parasite. Il s’applique finalement à retirer le parasite des parties intimes de Caël, veillant à ce que la bestiole ne s’accroche pas trop en paniquant et donc à ce qu’elle ne blesse pas le patient de Matteo. Tout en rassurant le Wright, il finit par trouver le parasite et l’enferme dans une fiole pour qu’il n’en ressorte pas.
L’italien explique à son patient ce qu’il va devoir faire maintenant que le parasite est retiré. Il lui prescrit donc un baume à appliquer tous les soirs et tout ce que le Wright trouve à demander c’est si le baume sent mauvais. Décidément…
« Non, ça sent fort mais pas mauvais. »
Lui répond-t-il simplement. L’odeur forte est nécessaire pour servir de répulsif contre la bestiole, c’est comme pour les poux. Si ces bêtes sont en quête de chaleur, elles détestent les odeurs fortes comme la citronnelle ou le géranium. Il demande à Caël de se rhabiller. C’est un soulagement que ce ne soit qu’un parasite, finalement. Ça n’aurait pas été drôle d’apprendre qu’il était atteint d’une maladie chiante ou pire. Un parasite c’est lourd, mais c’est pas grave et il est facile de s’en débarrasser. Le Wright dit qu’il n’a rien d’autre à demander, bon, il est vrai que c’est déjà pas mal, c’est pas comme s’il s’était juste égratigné le genou. Il demande cependant comment éviter de rechoper une bestiole comme ça.
« Malheureusement, y a rien à faire. Fais juste gaffe où tu vas, mais bon, s’ils veulent revenir faire de la coloc, ils le feront. Garde le baume au cas où tu aurais de nouveau des démangeaisons, sinon reviens me voir, mais je t’avoue que j’espère ne pas avoir à te revoir ici pour la même raison ! Si ça peut te rassurer, j’ai très rarement vu des étudiants venir me voir pour ça, alors logiquement tu devrais être tranquille un moment. Pour le baume, durant une semaine, ça devrait être suffisant. »
C’est quand même assez rare, sauf s’il a refilé une bestiole à un ou une partenaire et celui-ci le lui refile… Mais ce serait vraiment la faute à pas de chance. Caël remercie Matteo qui lui fait savoir que ce n’est rien. Après tout, il fait son job. Il salue le Wright et se remet au rangement de l’infirmerie. Il remarque que la serpillère est encore en train de travailler, il la somme d’arrêter, vérifie qu’il n’a rien oublié de faire. Il va enfin être l’heure de partir. C’est qu’il a faim le Matteo…
L’italien explique à son patient ce qu’il va devoir faire maintenant que le parasite est retiré. Il lui prescrit donc un baume à appliquer tous les soirs et tout ce que le Wright trouve à demander c’est si le baume sent mauvais. Décidément…
« Non, ça sent fort mais pas mauvais. »
Lui répond-t-il simplement. L’odeur forte est nécessaire pour servir de répulsif contre la bestiole, c’est comme pour les poux. Si ces bêtes sont en quête de chaleur, elles détestent les odeurs fortes comme la citronnelle ou le géranium. Il demande à Caël de se rhabiller. C’est un soulagement que ce ne soit qu’un parasite, finalement. Ça n’aurait pas été drôle d’apprendre qu’il était atteint d’une maladie chiante ou pire. Un parasite c’est lourd, mais c’est pas grave et il est facile de s’en débarrasser. Le Wright dit qu’il n’a rien d’autre à demander, bon, il est vrai que c’est déjà pas mal, c’est pas comme s’il s’était juste égratigné le genou. Il demande cependant comment éviter de rechoper une bestiole comme ça.
« Malheureusement, y a rien à faire. Fais juste gaffe où tu vas, mais bon, s’ils veulent revenir faire de la coloc, ils le feront. Garde le baume au cas où tu aurais de nouveau des démangeaisons, sinon reviens me voir, mais je t’avoue que j’espère ne pas avoir à te revoir ici pour la même raison ! Si ça peut te rassurer, j’ai très rarement vu des étudiants venir me voir pour ça, alors logiquement tu devrais être tranquille un moment. Pour le baume, durant une semaine, ça devrait être suffisant. »
C’est quand même assez rare, sauf s’il a refilé une bestiole à un ou une partenaire et celui-ci le lui refile… Mais ce serait vraiment la faute à pas de chance. Caël remercie Matteo qui lui fait savoir que ce n’est rien. Après tout, il fait son job. Il salue le Wright et se remet au rangement de l’infirmerie. Il remarque que la serpillère est encore en train de travailler, il la somme d’arrêter, vérifie qu’il n’a rien oublié de faire. Il va enfin être l’heure de partir. C’est qu’il a faim le Matteo…
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