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That was a Hell of a night ¤ Mergi [terminé]
Sam 26 Jan 2019 - 21:51
That was a Hell of a night
Matin du 20 janvier 2019
Tu t’étires, Mercy. T’as mal au crâne, pour changer. En ce dimanche matin, tout ce dont tu te souviens, c’est que tu t’as amusé hier soir. En même temps… Pour une fois que ton colocataire et sa morpionne ne sont pas là, tu as eu envie d’en profiter. Tu es sortie hier soir, et t’as un peu abusé sur la bouteille, pour changer. Tu as presque envie de rire à cette idée, mais tu sens à l’étau qui t’enserre le crâne au réveil que c’est une mauvaise idée. A la place, tu te retournes et… Tu te retrouves nez à nez avec un homme. Tiens? On dirait que je n’ai pas passé la nuit seule… Tu ne paniques pas, pourtant. Ce n’est pas la première fois que cela t’arrive. Tu t’es déjà réveillée en compagnie d’une femme, voire de deux, ou de deux hommes, ou d’un homme et une femme… Parfois même avec trois autres personnes. Heureusement, Dhan n’est jamais tombé sur ce genre de scène. Tu imagines à quel point il aurait été choqué, sinon. Tant pis… Etau ou pas, cette fois, tu ne peux retenir un léger rire qui franchit la barrière de tes lèvres. Un son qui semble réveiller le Prince au Bois Dormant à tes côtés. “Good Morning, Sunshine! Bien dormi?” lui demandes-tu avec un léger sourire. A moins qu’il ne l’ait déjà été avant toi, en fait, vu le sourire charmeur qu’il te fait et le regard qu’il te lance. “Très bien dormi.” “Mon lit est très confortable, je sais… On me le dit souvent...” rétorques-tu, taquine. En même temps, c’est vrai. Tes plans culs te l’ont régulièrement répété. Il rit à ta plaisanterie. T’as pas perdu la main, même encore à moitié bourrée. Tant mieux. “Il est pas mal en effet.” “Je te le confie deux minutes.” fais-tu avant de te lever. C’est pas que ta vessie est pleine, mais… Si en fait… Elle l’est. Sans lui laisser le temps de répondre, tu sors du lit en tenue d’Eve. Ce qui ne te gène pas outre mesure, d’ailleurs. Tu traverses la chambre, offrant tes fesses à la vue de l’homme qui a passé la nuit avec toi. C’est quoi son nom déjà? T’en sais rien, mais tu verras ça en revenant. En attendant, t’as à peine ouvert la porte de la chambre qu’un chiot dogue de Bordeaux de huit mois se précipite dans la chambre, vient te faire la fête en jappant, avant de se diriger vers le lit sur lequel il saute d’un bond, se retrouvant sur ton compagnon d’une nuit. Il remue sur celui-ci pour se retourner, jusqu’à se retrouver truffe à nez avec lui, et de lui adresser un “OUAF!” tonitruant en guise de bonjour. Toi Mercy, c’est hilare que tu t’éloignes dans la couloir pour aller aux toilettes.
Tu t’étires, Mercy. T’as mal au crâne, pour changer. En ce dimanche matin, tout ce dont tu te souviens, c’est que tu t’as amusé hier soir. En même temps… Pour une fois que ton colocataire et sa morpionne ne sont pas là, tu as eu envie d’en profiter. Tu es sortie hier soir, et t’as un peu abusé sur la bouteille, pour changer. Tu as presque envie de rire à cette idée, mais tu sens à l’étau qui t’enserre le crâne au réveil que c’est une mauvaise idée. A la place, tu te retournes et… Tu te retrouves nez à nez avec un homme. Tiens? On dirait que je n’ai pas passé la nuit seule… Tu ne paniques pas, pourtant. Ce n’est pas la première fois que cela t’arrive. Tu t’es déjà réveillée en compagnie d’une femme, voire de deux, ou de deux hommes, ou d’un homme et une femme… Parfois même avec trois autres personnes. Heureusement, Dhan n’est jamais tombé sur ce genre de scène. Tu imagines à quel point il aurait été choqué, sinon. Tant pis… Etau ou pas, cette fois, tu ne peux retenir un léger rire qui franchit la barrière de tes lèvres. Un son qui semble réveiller le Prince au Bois Dormant à tes côtés. “Good Morning, Sunshine! Bien dormi?” lui demandes-tu avec un léger sourire. A moins qu’il ne l’ait déjà été avant toi, en fait, vu le sourire charmeur qu’il te fait et le regard qu’il te lance. “Très bien dormi.” “Mon lit est très confortable, je sais… On me le dit souvent...” rétorques-tu, taquine. En même temps, c’est vrai. Tes plans culs te l’ont régulièrement répété. Il rit à ta plaisanterie. T’as pas perdu la main, même encore à moitié bourrée. Tant mieux. “Il est pas mal en effet.” “Je te le confie deux minutes.” fais-tu avant de te lever. C’est pas que ta vessie est pleine, mais… Si en fait… Elle l’est. Sans lui laisser le temps de répondre, tu sors du lit en tenue d’Eve. Ce qui ne te gène pas outre mesure, d’ailleurs. Tu traverses la chambre, offrant tes fesses à la vue de l’homme qui a passé la nuit avec toi. C’est quoi son nom déjà? T’en sais rien, mais tu verras ça en revenant. En attendant, t’as à peine ouvert la porte de la chambre qu’un chiot dogue de Bordeaux de huit mois se précipite dans la chambre, vient te faire la fête en jappant, avant de se diriger vers le lit sur lequel il saute d’un bond, se retrouvant sur ton compagnon d’une nuit. Il remue sur celui-ci pour se retourner, jusqu’à se retrouver truffe à nez avec lui, et de lui adresser un “OUAF!” tonitruant en guise de bonjour. Toi Mercy, c’est hilare que tu t’éloignes dans la couloir pour aller aux toilettes.
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Re: That was a Hell of a night ¤ Mergi [terminé]
Dim 27 Jan 2019 - 0:27
Je suis encore rentré en charmante compagnie hier soir. Enfin rentré… disons que j’ai plutôt raccompagné une charmante créature chez elle pour y passer une folle nuit. Je ne suis pas un gros dormeur et je suis réveillé depuis quelques instants lorsqu’elle émerge à son tour. À la façon dont elle me regarde, je devine que la gueule de bois ne lui a pas laissé grand souvenir de la soirée. Il faut dire qu’elle était passablement imbibée lorsqu’elle m’a ramené dans sa chambre. Je la suis du regard alors qu’elle se lève, admirant la vue. Mais alors qu’elle sort de la pièce je suis rapidement distrait par une boule de poil qui semble ravie d’avoir une nouvelle tête à saluer de bon matin. J’adresse un sourire au chiot tout en venant lui gratouiller la tête.
- Salut toi.
Il est loin d’être farouche et lorsque sa maîtresse revient quelques minutes plus tard, c’est pour me trouver à demi-assis contre les oreillers, la couette cachant tout juste mon anatomie et l’animal dans les bras. Je l’accueille avec un nouveau sourire charmeur.
- Et toi ? Bien dormi ?
- La nuit fut courte mais agréable.
Debout dans l’encadrement de la porte, elle ajoute d’un air attendri.
- Un chien dans les bras d'un homme... c'est toujours aussi adorable à voir.
Je souris au chien tout continuant de lui gratter la tête.
- Comment il s’appelle ton fauve ?
- Axis.
Je m’adresse alors directement au dogue de Bordeaux.
- Enchanté Axis.
Je relève les yeux vers sa propriétaire pour demander.
- Y a une option p’tit dej avec le lit ?
- Salut toi.
Il est loin d’être farouche et lorsque sa maîtresse revient quelques minutes plus tard, c’est pour me trouver à demi-assis contre les oreillers, la couette cachant tout juste mon anatomie et l’animal dans les bras. Je l’accueille avec un nouveau sourire charmeur.
- Et toi ? Bien dormi ?
- La nuit fut courte mais agréable.
Debout dans l’encadrement de la porte, elle ajoute d’un air attendri.
- Un chien dans les bras d'un homme... c'est toujours aussi adorable à voir.
Je souris au chien tout continuant de lui gratter la tête.
- Comment il s’appelle ton fauve ?
- Axis.
Je m’adresse alors directement au dogue de Bordeaux.
- Enchanté Axis.
Je relève les yeux vers sa propriétaire pour demander.
- Y a une option p’tit dej avec le lit ?
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Re: That was a Hell of a night ¤ Mergi [terminé]
Mar 29 Jan 2019 - 20:55
That was a Hell of a night
Matin du 20 janvier 2019
Tu ne t’es pas absentée longtemps, Mercy, mais ça t’a fait du bien. Après un léger détour par la salle de bains - bah ouais quand même - tu reviens vers la chambre. Tu restes debout dans l’embrasure de la porte, à observer l’homme et ton chiot en train de se câliner. Ca te fait toujours craquer, de voir un représentant de la gente masculine fondre devant un animal. Tu penches légèrement la tête sur le côté, ta longue chevelure brune cachant en partie ta poitrine. Tu ne prends pas la parole, laissant le temps à l’homme de remarquer ton retour dans la chambre. Cela ne tarde pas, d’ailleurs et le sourire qu’il t’adresse est charmeur. Le tien est l’écho parfait du sien. Rayonnant, même si tu as un peu honte d’admettre que tu ne te souviens plus du nom de ce type. En temps normal, un type dont tu ne connais pas le prénom, tu ne l’aurais pas ramené jusque chez toi. Tu te serais contentée de t’envoyer en l’air dans les toilettes d’un bar. Même toi, t’as conscience du manque de classe de cette pensée. Qui n’est pas véridique. Ce ne sont pas les toilettes d’un bar qui auraient accueilli tes ébats, mais bel et bien un parc. T’as un petit côté à aimer le danger et le risque de te faire surprendre. T’aurais pu dire la banquette arrière d’une voiture, aussi. Mais depuis la mort de tes parents, tu as toujours refusé d’entrer ou de monter sur un engin à moteur. Un comble quand on connait l’homme qui représente un peu une figure paternelle de substitution pour toi, depuis ton viol. Tu refuses cependant de repenser à cette sombre nuit, bien des années plus tôt.
Ce qui compte, c’est que t’as largement dépassé ça, aujourd’hui. Tu secoues la tête tandis que vous discutez un peu de la pluie et du beau temps, légèrement à côté de la plaque jusqu’à ce qu’il parle du petit déjeuner. “Ca peut s’arranger… Après, à part lancer la cafetière et le grille-pain… Faut pas t’attendre à quelque chose de très élaboré de ma part.” Ca, c’est le moins que l’on puisse en dire. Si ton frère est un super cuistot, si ton colocataire se débrouille très bien, ce n’est pas ton cas. Toi, tu es à peine capable de faire cuire autre chose que des pâtes. Heureusement que les hommes de ta vie sont là… Sans quoi, tu aurais depuis longtemps finie avec la peau sur les os… “Ca me va…” “Après, si tu veux autre chose comme petit déjeuner…” Parce que non, tu n’es définitivement pas rassasiée, de ce côté là. Tu ne l’es jamais, en fait… Tu quittes enfin le chambranle de la porte pour t’approcher du lit d’une démarche chaloupée. Tu as juste à claquer des doigts et Axis descend pour se coucher par terre au milieu de la chambre. Si tu restes debout, l’homme dans ton lit a juste à tendre le bras pour te toucher et t’attirer sur lui. S’il a envie d’un petit déjeuner nature. Sinon, tu as juste à tendre le bras pour attraper le kimono qui te sert de robe de chambre lorsque tu veux être décente mais sexy. S’il ne te répond pas, son geste est éloquent. Son bras se tend vers toi pour t’attraper. Tu t’installes à califourchon sur lui par dessus la couette qui vous sépare et tu t’empares de ses lèvres. A moins que ce ne soit lui qui t’embrasse à pleine bouche? A cet instant, t’en sais rien. Ce que tu sais, c’est que ta peau est brûlante de désir. Tu ne tardes pas à te tortiller sensuellement - ou presque - pour la dégager du corps de l’homme en dessous de toi, afin de pouvoir profiter de chaque centimètre carré de son corps. C’est nettement mieux, ainsi. “Je constate que je ne suis pas la seule à aimer ce genre de petit déjeuner…” murmures-tu contre ses lèvres.
Tu ne t’es pas absentée longtemps, Mercy, mais ça t’a fait du bien. Après un léger détour par la salle de bains - bah ouais quand même - tu reviens vers la chambre. Tu restes debout dans l’embrasure de la porte, à observer l’homme et ton chiot en train de se câliner. Ca te fait toujours craquer, de voir un représentant de la gente masculine fondre devant un animal. Tu penches légèrement la tête sur le côté, ta longue chevelure brune cachant en partie ta poitrine. Tu ne prends pas la parole, laissant le temps à l’homme de remarquer ton retour dans la chambre. Cela ne tarde pas, d’ailleurs et le sourire qu’il t’adresse est charmeur. Le tien est l’écho parfait du sien. Rayonnant, même si tu as un peu honte d’admettre que tu ne te souviens plus du nom de ce type. En temps normal, un type dont tu ne connais pas le prénom, tu ne l’aurais pas ramené jusque chez toi. Tu te serais contentée de t’envoyer en l’air dans les toilettes d’un bar. Même toi, t’as conscience du manque de classe de cette pensée. Qui n’est pas véridique. Ce ne sont pas les toilettes d’un bar qui auraient accueilli tes ébats, mais bel et bien un parc. T’as un petit côté à aimer le danger et le risque de te faire surprendre. T’aurais pu dire la banquette arrière d’une voiture, aussi. Mais depuis la mort de tes parents, tu as toujours refusé d’entrer ou de monter sur un engin à moteur. Un comble quand on connait l’homme qui représente un peu une figure paternelle de substitution pour toi, depuis ton viol. Tu refuses cependant de repenser à cette sombre nuit, bien des années plus tôt.
Ce qui compte, c’est que t’as largement dépassé ça, aujourd’hui. Tu secoues la tête tandis que vous discutez un peu de la pluie et du beau temps, légèrement à côté de la plaque jusqu’à ce qu’il parle du petit déjeuner. “Ca peut s’arranger… Après, à part lancer la cafetière et le grille-pain… Faut pas t’attendre à quelque chose de très élaboré de ma part.” Ca, c’est le moins que l’on puisse en dire. Si ton frère est un super cuistot, si ton colocataire se débrouille très bien, ce n’est pas ton cas. Toi, tu es à peine capable de faire cuire autre chose que des pâtes. Heureusement que les hommes de ta vie sont là… Sans quoi, tu aurais depuis longtemps finie avec la peau sur les os… “Ca me va…” “Après, si tu veux autre chose comme petit déjeuner…” Parce que non, tu n’es définitivement pas rassasiée, de ce côté là. Tu ne l’es jamais, en fait… Tu quittes enfin le chambranle de la porte pour t’approcher du lit d’une démarche chaloupée. Tu as juste à claquer des doigts et Axis descend pour se coucher par terre au milieu de la chambre. Si tu restes debout, l’homme dans ton lit a juste à tendre le bras pour te toucher et t’attirer sur lui. S’il a envie d’un petit déjeuner nature. Sinon, tu as juste à tendre le bras pour attraper le kimono qui te sert de robe de chambre lorsque tu veux être décente mais sexy. S’il ne te répond pas, son geste est éloquent. Son bras se tend vers toi pour t’attraper. Tu t’installes à califourchon sur lui par dessus la couette qui vous sépare et tu t’empares de ses lèvres. A moins que ce ne soit lui qui t’embrasse à pleine bouche? A cet instant, t’en sais rien. Ce que tu sais, c’est que ta peau est brûlante de désir. Tu ne tardes pas à te tortiller sensuellement - ou presque - pour la dégager du corps de l’homme en dessous de toi, afin de pouvoir profiter de chaque centimètre carré de son corps. C’est nettement mieux, ainsi. “Je constate que je ne suis pas la seule à aimer ce genre de petit déjeuner…” murmures-tu contre ses lèvres.
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Re: That was a Hell of a night ¤ Mergi [terminé]
Mer 30 Jan 2019 - 16:26
Le « petit-déjeuner » comble largement mes attentes et à en juger par l’expression de contentement que je peux lire sur son visage, c’est aussi le cas de ma partenaire. La matinée est déjà bien avancée lorsque nous déclarons finalement forfait l’un et l’autre. Allongé sur le côté en miroir de la position de la jolie brune, je tends la main pour écarter délicatement une mèche de cheveux qui s’attarde sur son front. Je demande alors taquin.
- Le mal de tête va mieux ?
- Rien de tel qu'une bonne partie de jambes en l'air pour faire passer une gueule de bois, répond-elle du tac-o-tac.
Je souris largement.
- À ton service.
Si nous nous sommes bien amusés, il semble que tout le monde ne soit pas de cet avis cependant. J’entends Axis commencer à gémir et un furet que je n’avais pas remarqué jusque-là s’agite dans sa cage. J’ajoute alors à l’intention de ma compagne de cette nuit.
- Je crois qu’on te réclame.
- Je te propose de passer sous la douche pendant que je sors Axis et libère Scapula. Je lance le café en sortant.
Sur ces mots elle sort rapidement du lit, enfile un bas de jogging – qui appartient très certainement à un homme – à même sa peau nue, un gros pull et va ouvrir la cage du furet. Scapula – puisque j’imagine que c’est d’elle qu’elle parlait – grimpe immédiatement sur son épaule tandis que le chiot remue de plus en plus, sentant sans aucun doute la balade tant attendue approcher.
- La salle de bain, c'est la dernière porte à gauche avant d'arriver dans le séjour, ajoute-t-elle en quittant la chambre.
Je finis par quitter le lit à mon tour pour me mettre en quête de mes vêtements. Je n’étais pas certain que la belle se souvienne tout à fait de notre nuit avec la cuite qu’elle s’est payée et je ne suis pas du genre à laisser les draps en désordre comme après le passage d’un fantôme. C’est la principale raison pour laquelle j’ai attendu son réveil. Un petit-déjeuner rapide au petit matin pour lui permettre de mettre un visage sur son amant d’une nuit, ça ne coûte pas grand-chose. Mais m’attarder après une grasse matinée, ça commence à devenir trop intime à mon goût. Il est temps de tirer ma révérence. Vêtu de pied en cape, je traverse l’appartement, passant devant la porte de la salle de bain sans m’y arrêter. Faute de pouvoir transplaner directement, je quitte les lieux par la porte principale. J’ai remarqué une cheminée sur le palier en arrivant hier soir. Ça m’évitera d’avoir à traverser le domaine de l’université pour rejoindre ma cabane.
- Le mal de tête va mieux ?
- Rien de tel qu'une bonne partie de jambes en l'air pour faire passer une gueule de bois, répond-elle du tac-o-tac.
Je souris largement.
- À ton service.
Si nous nous sommes bien amusés, il semble que tout le monde ne soit pas de cet avis cependant. J’entends Axis commencer à gémir et un furet que je n’avais pas remarqué jusque-là s’agite dans sa cage. J’ajoute alors à l’intention de ma compagne de cette nuit.
- Je crois qu’on te réclame.
- Je te propose de passer sous la douche pendant que je sors Axis et libère Scapula. Je lance le café en sortant.
Sur ces mots elle sort rapidement du lit, enfile un bas de jogging – qui appartient très certainement à un homme – à même sa peau nue, un gros pull et va ouvrir la cage du furet. Scapula – puisque j’imagine que c’est d’elle qu’elle parlait – grimpe immédiatement sur son épaule tandis que le chiot remue de plus en plus, sentant sans aucun doute la balade tant attendue approcher.
- La salle de bain, c'est la dernière porte à gauche avant d'arriver dans le séjour, ajoute-t-elle en quittant la chambre.
Je finis par quitter le lit à mon tour pour me mettre en quête de mes vêtements. Je n’étais pas certain que la belle se souvienne tout à fait de notre nuit avec la cuite qu’elle s’est payée et je ne suis pas du genre à laisser les draps en désordre comme après le passage d’un fantôme. C’est la principale raison pour laquelle j’ai attendu son réveil. Un petit-déjeuner rapide au petit matin pour lui permettre de mettre un visage sur son amant d’une nuit, ça ne coûte pas grand-chose. Mais m’attarder après une grasse matinée, ça commence à devenir trop intime à mon goût. Il est temps de tirer ma révérence. Vêtu de pied en cape, je traverse l’appartement, passant devant la porte de la salle de bain sans m’y arrêter. Faute de pouvoir transplaner directement, je quitte les lieux par la porte principale. J’ai remarqué une cheminée sur le palier en arrivant hier soir. Ça m’évitera d’avoir à traverser le domaine de l’université pour rejoindre ma cabane.
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Re: That was a Hell of a night ¤ Mergi [terminé]
Mer 30 Jan 2019 - 16:54
That was a Hell of a night
Matin du 20 janvier 2019
Tu ne t’absentes pourtant pas longtemps, Mercy. Une quinzaine de minutes tout au plus le temps qu’Axis fasse ses besoins et tu remontes à ton appartement. Quelle n’est pas ta surprise de voir l’appartement désert. C’est plus fort de toi, parce que tu es un peu paranoïque, tu ne peux t’empêcher de vérifier que tout est là: la télé, tu ne peux pas la manquer. En même temps, peut-être a-t-il baigné toute sa vie dans la culture sorcière, sans savoir ce que c’est! Quoiqu’il en soit, elle est toujours là, de même que tout l’électroménager moldu. Tu n’as pas l’impression qu’il manque quelque chose dans tes affaires. Quant à tous les objets précieux de Dhan, t’as pas l’impression qu’il en manque non plus. Tant mieux. Après… Cela ne te gène pas plus que ça, qu’il soit parti rapidement. T’es pas du genre à t’attarder, et en général, à moins de bien connaître ton plan cul, t’aime pas qu’il - ou elle - s’attarde non plus. Quand c’est fait, c’est fait et puis voilà. Par contre, t'as beau réfléchir, tu ne te souviens pas de son nom... Tant pis.
Tu te diriges donc vers la cuisine et tu tranches un muffin en deux avant de glisser les deux moitiés dans le toaster. Tu sors la confiture et, dès que c’est prêt, tu t’installes avec ton mug et tes tartines à la table du séjour après avoir allumé la télévision, bien décidée à finir de décuver avant le retour de Dhan.
Tu ne t’absentes pourtant pas longtemps, Mercy. Une quinzaine de minutes tout au plus le temps qu’Axis fasse ses besoins et tu remontes à ton appartement. Quelle n’est pas ta surprise de voir l’appartement désert. C’est plus fort de toi, parce que tu es un peu paranoïque, tu ne peux t’empêcher de vérifier que tout est là: la télé, tu ne peux pas la manquer. En même temps, peut-être a-t-il baigné toute sa vie dans la culture sorcière, sans savoir ce que c’est! Quoiqu’il en soit, elle est toujours là, de même que tout l’électroménager moldu. Tu n’as pas l’impression qu’il manque quelque chose dans tes affaires. Quant à tous les objets précieux de Dhan, t’as pas l’impression qu’il en manque non plus. Tant mieux. Après… Cela ne te gène pas plus que ça, qu’il soit parti rapidement. T’es pas du genre à t’attarder, et en général, à moins de bien connaître ton plan cul, t’aime pas qu’il - ou elle - s’attarde non plus. Quand c’est fait, c’est fait et puis voilà. Par contre, t'as beau réfléchir, tu ne te souviens pas de son nom... Tant pis.
Tu te diriges donc vers la cuisine et tu tranches un muffin en deux avant de glisser les deux moitiés dans le toaster. Tu sors la confiture et, dès que c’est prêt, tu t’installes avec ton mug et tes tartines à la table du séjour après avoir allumé la télévision, bien décidée à finir de décuver avant le retour de Dhan.
¤the end¤