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cheap thrills (aileas)
Sam 26 Jan 2019 - 23:55
Le soleil est depuis longtemps couché quand Berenice pousse la porte de la chambre qu'elle partage avec Alex et Aileas. Exténuée, la sorcière ne prend même pas la peine de chercher ses clefs et lance juste un alohomora en direction de la serrure qui, complaisante, se déverrouille. En essayant de faire le moins de bruit possible, la Wright se faufile à l'intérieur, retire ses chaussures dans l'entrée et se débarrasse de sa longue cape brodée de l'insigne de sa maison. Elle avance vers son lit, à taton ; dans l'obscurité, elle distingue à peine les corps endormis de ses colocataires. Quelle chance elles ont, d'être ainsi emmitouflées dans leurs draps ! Enfin, leurs journées à elles aussi sont chargées. Mais ce soir, c'est Berenice qui est rentré le plus tard, et pour cause : elle a enchaîné une longue journée de cours aussi intenses les uns que les autres avec un créneau de cinq heures à la boutique. Dans des journées comme ça, l'étudiante essaye de penser aux gallions qu'elle ramène et qui serviront à financer les trois semestres qui lui restent à Hungcalf, et au reste qu'elle enverra à Matthew pour aider à la chapellerie.
Son grand frère, si brave, qui se retrouve quasiment seul dans cette boutique londonienne en manque d'oxygène. Le pire, c'est que ces temps-ci, elle ne pense à lui que lorsqu'elle se soucie d'argent. C'était bien mieux au temps où ils étaient enfants ; la pauvreté était celle de leurs parents, et eux, innocents, n'avaient pas de problème de ce genre à porter, encore moins à partager. Mais voilà que le temps avait fait d'eux des adultes plus ou moins responsables qui pataugent dans les histoires de fric, qui jonglent avec la morale de la dette. Qui a payé le dernier ? Combien vaut la dérive de Berenice qui ne souhaite pas reprendre la boutique, et qui la laisse entre les seules mains de son frère, tout ça parce qu'elle a cette lubie de devenir infirmière pour sorciers ? La jeune Adams est au courant de ce qui se murmure derrière elle, mais elle n'en veut à personne, surtout pas à son frère. Elle sait qu'en poursuivant son rêve, elle trahit sa famille et les espoirs qu'ils avaient portés en elle ; la rancoeur de son aîné, même s'il la cache et ne la lui montrerait pour rien au monde, lui apparaît comme parfaitement légitime.
Alors qu'elle glisse dans ses draps, la fatigue de la jeune sorcière semble peu à peu s'évaporer. Cela fait des jours qu'elle suit la même routine. Ce soir, c'était vendredi, et elle n'est pas sortie. Elle a encore un emploi du temps de fou furieux à la boutique ce week-end, sans compter les devoirs à faire et les cours à mémoriser. Cette perspective est loin de la réjouir, et elle se rend peu à peu compte que si elle ne s'accorde pas un peu de temps pour elle, cette fin de semaine sera très lente et pénible à passer. Juste quelques minutes, une heure peut-être, pour s'évader de son quotidien... Un rêve ne ferait pas l'affaire. Il fallait qu'elle vive, qu'elle vibre, maintenant. Plus envie de dormir : la rouge et or se redresse sur sa couche et reste immobile quelques instants, avant de mettre un pied hors du lit. Doucement, elle avance vers celui d'Aileas, son amie de longue date. Dors-elle vraiment ? Va-t-elle être énervée si elle la réveille ? Après tout, ça ne sera pas la première fois que Berenice lui propose une escapade de nuit, même si la dernière remonte à quelques années déjà. Des souvenirs lui reviennent en tête ; un fantasme qu'elles peuvent peut-être désormais réaliser.
"Aileas", appelle-t-elle en chuchotant, le plus près possible de son oreille. Elle attend quelques secondes, guette un signe d'éveil. "Viens, on va à Londres. On sort de l'enceinte d'Hungcalf et on transplane. Tu te souviens, on voulait toujours faire ça, avant". A Poudlard, les deux chippies avaient souvent fait les folles, mais sortir de l'enceinte du château, qui plus est en pleine nuit, était impensable. "On y reste pas longtemps, mais j'ai envie de voir la ville. Pas toi ?". Un goût d'aventure lui brûle les lèvres. Rêve d'enfant qui revient au galop. Elle sera sûrement déçue, après tout, puisqu'elle a l'habitude de transplaner maintenant. Mais ce soir, elle semble avoir remis la main sur cette spontanéité qui vient de l'enfance, et Aileas est à coup sûr la bonne personne pour mettre cette idée en oeuvre, aussi incensée soit-elle.
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Re: cheap thrills (aileas)
Mer 30 Jan 2019 - 1:08
Les cours pouvaient être très crevant, de plus sur son temps perdu elle se rendait dans un garage auto en périphérie de la ville pour rendre service et travailler un peu. Cela lui permettait d’avoir des réparations à moindre de coup pour son bébé quand il y en avait besoins. Généralement le vendredi soir la jeune femme se rendait à des soirées ou en extérieur avec ses potes. Mais aujourd’hui, bien trop fatigué par la journée en elle-même, la jeune femme était tombée comme une masse sur son lit au environ de sept heures, un livre à la main. La fatigue avait été telle, qu'elle n’avait même pas été prendre le repas, dormant a point fermée, encore habillé sur sa couverture. Elle n’avait pas entendu Alex, ni même celle-ci se couchait dans le lit proche du sien.
La jeune femme avait finalement réussi on ne sais comment, à faire passer la couverture sur elle, couvrant ses épaules. Son livre avait quand a lui rejoint le sol. Plus tard dans sa nuit, la jeune femme fut réveillée par le bruit de la porte, quand Bérénice avait franchi celui-ci. Elle l’entend s’installer dans son lit puis en ressortir quelques minutes plus tard, Aileas était sûr qu'elle ne se rendormirait pas immédiatement, surtout quand elle perçoit la présence de la jeune femme près d'elle. Un sourire se dessine sur ses lèvres, quand la jeune femme murmure a son oreille. Elle entre ouvrir les yeux écoutant la proposition de la jeune femme. Reposé grâce à cette micro nuit, la brune n'est pas vraiment contre. Elle se redresse sur son lit, enlevant la couverture de sur elle, elle avait besoin d’une bonne douche avant de partir, ça c'était certains.
« Si tu me donne environ dix minutes pour prendre une douche et bien me réveiller, je viens avec toi ou tu veux. » Elle avait besoin de cette sortie nocturne. Se levant, elle marche jusqu’à la salle de bain, lançant un sort pour faire venir des vêtements propres vers elle.
« Oui je me rappelle cette envie que nous avions. » Cela la plonge quelques secondes dans ses souvenirs. Une fois dans la salle de bain, elle lance un sort d’insonorisation et prend rapidement sa douche. Elle ressort de la pièce une dizaine de minutes plus tard fin prête à parcourir les rues de la ville.
« En avant miss Adams. » Dit elle en lui prenant la main et en partant vers l’extérieur de la chambre en essayant de faire le moins de bruit possible, une fois à l’extérieur. Elle regarde la jeune femme, attendant un geste d'elle pour entreprendre le voyage jusqu’à Londres.
La jeune femme avait finalement réussi on ne sais comment, à faire passer la couverture sur elle, couvrant ses épaules. Son livre avait quand a lui rejoint le sol. Plus tard dans sa nuit, la jeune femme fut réveillée par le bruit de la porte, quand Bérénice avait franchi celui-ci. Elle l’entend s’installer dans son lit puis en ressortir quelques minutes plus tard, Aileas était sûr qu'elle ne se rendormirait pas immédiatement, surtout quand elle perçoit la présence de la jeune femme près d'elle. Un sourire se dessine sur ses lèvres, quand la jeune femme murmure a son oreille. Elle entre ouvrir les yeux écoutant la proposition de la jeune femme. Reposé grâce à cette micro nuit, la brune n'est pas vraiment contre. Elle se redresse sur son lit, enlevant la couverture de sur elle, elle avait besoin d’une bonne douche avant de partir, ça c'était certains.
« Si tu me donne environ dix minutes pour prendre une douche et bien me réveiller, je viens avec toi ou tu veux. » Elle avait besoin de cette sortie nocturne. Se levant, elle marche jusqu’à la salle de bain, lançant un sort pour faire venir des vêtements propres vers elle.
« Oui je me rappelle cette envie que nous avions. » Cela la plonge quelques secondes dans ses souvenirs. Une fois dans la salle de bain, elle lance un sort d’insonorisation et prend rapidement sa douche. Elle ressort de la pièce une dizaine de minutes plus tard fin prête à parcourir les rues de la ville.
« En avant miss Adams. » Dit elle en lui prenant la main et en partant vers l’extérieur de la chambre en essayant de faire le moins de bruit possible, une fois à l’extérieur. Elle regarde la jeune femme, attendant un geste d'elle pour entreprendre le voyage jusqu’à Londres.
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Re: cheap thrills (aileas)
Mer 6 Fév 2019 - 19:37
Berenice le boulet. C'est vrai quoi, aller réveiller sa pote alors que la nuit enveloppe son petit corps exténué par une dure semaine de travail... Tout ça pour quoi ? Réaliser un fantasme irrationnel ? Enfin, cela dit, vous me trouverez des fantasmes rationnels. Ça n'existe pas. Des fois, c'est juste comme ça, une petite folie vous prend, et vous n'y résistez pas. Que vont-elles faire à Londres ? Elle n'en sait rien. Sûrement a-t-elle pensé à cette destination par rapport à ses parents, et surtout à Matthew, mais en soi, aller à la boutique ne serait pas si intéressant que ça. De nuit, il n'y aurait personne, et puis même, la Wright n'est pas certaine de vouloir confronter visiter sa famille à une heure aussi tardive. Elle n'avait pas de but précis : simplement voir la ville, s'y sentir exister. Respirer un peu de pollution, avant de se jeter un sort pour ne plus la sentir.
Berenice ne peut réprimer un gloussement quand elle s'aperçoit que son amie dort toute habillée. C'est tout juste si elle ne porte pas encore ses chaussures dans son lit. Elle aussi, elle doit être crevée... Mais même arrivé à un certain niveau de fatigue, l'adrénaline est toujours là pour vous donner un coup de main. La réponse d'Aileas lui donne le sourire. Elle aussi, elle est chaud-patate. Génial. Elle la laisse se préparer, s'éloigne des lits pour éviter de réveiller Alex, qui semble encore dormir. Adossée au mur dans l'entrée, elle entend l'eau couler ; au bout de quelques minutes, sans qu'elle s'en rende compte, sa main rejoint son pendentif qu'elle balade entre ses doigts. Rappel constant de Nathan et des dangers potentiels qui émanent parfois du monde sorcier : mais on ne peut pas vivre dans la peur.
Dehors, il ne fait pas trop froid, le ciel est dégagé et on peut même distinguer les étoiles. "En avant miss Adams", lui lance miss Dowell ; leurs mains se joignent et Berenice pense à Londres. Tourbillon chaotique, dématérialisation, zou : soudain, un sol plat se glisse sous leurs semelles. Quelques instants désorientée, la sorcière explore du regard le paysage qui s'offre à elle. La nuit est beaucoup moins profonde qu'à Inverness : les lumières de la ville sont si nombreuses que le ciel est lui aussi éclairé. Les étoiles, toujours visibles, semblent plus proches, et pour cause : les deux anciennes gryffondors ont atterri sur le toit d'un immeuble. Et pas n'importe lequel ! Au bout de quelques secondes, Berenice réalise qu'elle se trouve au-dessus de l'appartement qu'elle habitait en compagnie de son ancien amour. La tentative d'escapade candide qui change les idées commence donc de façon assez rocambolesque, pour ne pas dire qu'elle commence mal.
Aileas ne connaît pas la valeur sentimentale du lieu, et Berenice ne souhaite pas lui en faire part. Non, ce soir, elle veut de l'aventure, pas un bain de souvenirs amers. Hop ! en plein centre, annonce l'étudiante à son amie en mimant un agent immobilier complètement random. Plus sérieusement, comment vont-elles faire pour descendre de leur perchoir, sans possibilité d'utiliser la magie ? Le quartier est en effet bourrés de moldus, et même si la plupart de ceux-ci dorment, elles ne peuvent pas prendre de risque : si près du Ministère, il serait de mauvais goût d'enfreindre la loi. "T'as une idée de comment on descend ?". Et c'est en prononçant ces mots que Berenice prend conscience de la réponse : entrer par le toit, et descendre les escaliers. Une trappe se trouve à quelques mètres, et par chance, elle n'est pas verrouillée. Berenice s'y glisse la première, puis offre son aide à sa colocataire. Elles atterrissent, non sans mal, dans un couloir dont les lumières s'allument avec leurs mouvements. L'appartement qu'elle habitait auparavant est là, la porte est à quelques pas ; sans savoir pourquoi, Berenice s'avance vers celle-ci et frappe trois coups. Comme si un charme l'avait contrôlée, un grognement qui provient de l'autre côté de la porte la ramène sur terre et allume la panique dans les yeux de la jeune femme. Elle fait volte-face vers Aileas, et lui souffle : "On court !", tout en se jetant vers les escaliers.
Berenice ne peut réprimer un gloussement quand elle s'aperçoit que son amie dort toute habillée. C'est tout juste si elle ne porte pas encore ses chaussures dans son lit. Elle aussi, elle doit être crevée... Mais même arrivé à un certain niveau de fatigue, l'adrénaline est toujours là pour vous donner un coup de main. La réponse d'Aileas lui donne le sourire. Elle aussi, elle est chaud-patate. Génial. Elle la laisse se préparer, s'éloigne des lits pour éviter de réveiller Alex, qui semble encore dormir. Adossée au mur dans l'entrée, elle entend l'eau couler ; au bout de quelques minutes, sans qu'elle s'en rende compte, sa main rejoint son pendentif qu'elle balade entre ses doigts. Rappel constant de Nathan et des dangers potentiels qui émanent parfois du monde sorcier : mais on ne peut pas vivre dans la peur.
Dehors, il ne fait pas trop froid, le ciel est dégagé et on peut même distinguer les étoiles. "En avant miss Adams", lui lance miss Dowell ; leurs mains se joignent et Berenice pense à Londres. Tourbillon chaotique, dématérialisation, zou : soudain, un sol plat se glisse sous leurs semelles. Quelques instants désorientée, la sorcière explore du regard le paysage qui s'offre à elle. La nuit est beaucoup moins profonde qu'à Inverness : les lumières de la ville sont si nombreuses que le ciel est lui aussi éclairé. Les étoiles, toujours visibles, semblent plus proches, et pour cause : les deux anciennes gryffondors ont atterri sur le toit d'un immeuble. Et pas n'importe lequel ! Au bout de quelques secondes, Berenice réalise qu'elle se trouve au-dessus de l'appartement qu'elle habitait en compagnie de son ancien amour. La tentative d'escapade candide qui change les idées commence donc de façon assez rocambolesque, pour ne pas dire qu'elle commence mal.
Aileas ne connaît pas la valeur sentimentale du lieu, et Berenice ne souhaite pas lui en faire part. Non, ce soir, elle veut de l'aventure, pas un bain de souvenirs amers. Hop ! en plein centre, annonce l'étudiante à son amie en mimant un agent immobilier complètement random. Plus sérieusement, comment vont-elles faire pour descendre de leur perchoir, sans possibilité d'utiliser la magie ? Le quartier est en effet bourrés de moldus, et même si la plupart de ceux-ci dorment, elles ne peuvent pas prendre de risque : si près du Ministère, il serait de mauvais goût d'enfreindre la loi. "T'as une idée de comment on descend ?". Et c'est en prononçant ces mots que Berenice prend conscience de la réponse : entrer par le toit, et descendre les escaliers. Une trappe se trouve à quelques mètres, et par chance, elle n'est pas verrouillée. Berenice s'y glisse la première, puis offre son aide à sa colocataire. Elles atterrissent, non sans mal, dans un couloir dont les lumières s'allument avec leurs mouvements. L'appartement qu'elle habitait auparavant est là, la porte est à quelques pas ; sans savoir pourquoi, Berenice s'avance vers celle-ci et frappe trois coups. Comme si un charme l'avait contrôlée, un grognement qui provient de l'autre côté de la porte la ramène sur terre et allume la panique dans les yeux de la jeune femme. Elle fait volte-face vers Aileas, et lui souffle : "On court !", tout en se jetant vers les escaliers.
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Re: cheap thrills (aileas)
Mer 20 Fév 2019 - 23:19
Si la fatigue est bien présente, la jeune femme s’endort facilement, tellement facilement qu'elle en oublie de se mettre en tenue de nuit. Ce qui déclenche en général les rires de ses compagnes de chambres ou de ses amis.
La jeune femme était à présent dehors avec sa plus fidèle amie, elle lui adresse un sourire, le froid lui teinte les joues et le nez assez rapidement d'une douce couleur rose. Mains dans la main, elles sont emportées dans une sorte d’aspiration puis au bout de quelques secondes, Bérénice et Aileas retrouve la terre ferme, ou du moins le toit d'un immeubles. atterrissage pratiquement réussie pense la jeune femme en elle-même. Elle observe la clarté du ciel, admire pendant quelques instants les étoiles. Puis elle tourne la tête vers Bérénice et esquisse un sourire, elle est heureuse de partager cet instant avec elle. Aileas sourit au quelques mots de la jeune femme avant de prendre a son tour la parole, malgré son visage niché dans son écharpe.
« Si part centre, tu parles du centre du toit. En effet, nous sommes en plein centre de celui-ci. » Dit-elle avec un petit rire, elle adore être avec ce petit bout de femme, qui lui donne le sourire en permanence. Elle cherche une solution pour descendre de l’immeuble sans utiliser la magie, mais il semble que la jeune Adams aie trouvée la solution. Sans ajouter un mot, Aileas suit la jeune femme dans la trappe qui donne sur l’intérieur du bâtiment, elle descend les escaliers en faisant très attention de ne pas faire de bruit et de ne pas tombée. Elles pénètrent dans un couloir, perdu la jeune femme suis de très près B, s’accrochant limite a son bras. Puis comme possédé, B se détache de son amie pour se rendre a une porte. Aileas n'a pas vraiment le temps de comprendre ce qu'il se passe qu'elle doit déjà se mettre à courir sous les ordres de la jeune femme. Une fois loin de la porte et à l’extérieur du bâtiment, le souffle coupé, la jeune brune regarde son amie avant de demander.
« Puis-je savoir ce qu'il ta pris de frappé a la porte de cet inconnu ? » Elle était perdue entre le rire et le questionnement.
La jeune femme était à présent dehors avec sa plus fidèle amie, elle lui adresse un sourire, le froid lui teinte les joues et le nez assez rapidement d'une douce couleur rose. Mains dans la main, elles sont emportées dans une sorte d’aspiration puis au bout de quelques secondes, Bérénice et Aileas retrouve la terre ferme, ou du moins le toit d'un immeubles. atterrissage pratiquement réussie pense la jeune femme en elle-même. Elle observe la clarté du ciel, admire pendant quelques instants les étoiles. Puis elle tourne la tête vers Bérénice et esquisse un sourire, elle est heureuse de partager cet instant avec elle. Aileas sourit au quelques mots de la jeune femme avant de prendre a son tour la parole, malgré son visage niché dans son écharpe.
« Si part centre, tu parles du centre du toit. En effet, nous sommes en plein centre de celui-ci. » Dit-elle avec un petit rire, elle adore être avec ce petit bout de femme, qui lui donne le sourire en permanence. Elle cherche une solution pour descendre de l’immeuble sans utiliser la magie, mais il semble que la jeune Adams aie trouvée la solution. Sans ajouter un mot, Aileas suit la jeune femme dans la trappe qui donne sur l’intérieur du bâtiment, elle descend les escaliers en faisant très attention de ne pas faire de bruit et de ne pas tombée. Elles pénètrent dans un couloir, perdu la jeune femme suis de très près B, s’accrochant limite a son bras. Puis comme possédé, B se détache de son amie pour se rendre a une porte. Aileas n'a pas vraiment le temps de comprendre ce qu'il se passe qu'elle doit déjà se mettre à courir sous les ordres de la jeune femme. Une fois loin de la porte et à l’extérieur du bâtiment, le souffle coupé, la jeune brune regarde son amie avant de demander.
« Puis-je savoir ce qu'il ta pris de frappé a la porte de cet inconnu ? » Elle était perdue entre le rire et le questionnement.
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