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(shalia) nos troubles rêveries.
Sam 6 Avr 2019 - 16:14
nos troubles rêveries.
shalia
Quelques derniers étirements et la ballerine terminait son entraînement, seule dans la salle de danse. Vêtue d’un legging sombre et d’un débardeur de la même totalité, elle retirait ses chaussons de danse puis s’était changée, légèrement courbaturée. Pantalon large, chemisier et talons enfilés, ce fut une longue épreuve. En quittant les vestiaires, la fleur fut interpellée par le Muller qui l’attendait juste devant. Surprise, Laelia ne cachait pas son sourire radieux, le visage encore rouge d’effort. « Salut. » Les deux rentraient ensemble et sur le chemin du retour, ils ne manquaient pas de se chercher, de se taquiner et de rire comme de grands enfants. Après tout, c’était ce qu’ils étaient. La soirée s’était bien déroulée : Laelia avait voulu lui montrer ses talents de cuisinière sauf que, cela s’était transformé en cauchemar, comme à chaque fois. Alors, après un cours de cuisine du maestro de la gastronomie, ils avaient mangé et étaient partis faire leur vie : douche, câlins et enfants pour Sasha. Lae était restée à l’écart et ne disait rien, pas pour le moment, l’enviant secrètement puisqu’avoir des enfants était son rêve. Après une longue soirée et des corps capricieux, les amants s’étaient endormis l’un contre l’autre.
Pendant la nuit, la Grymm quittait le lit et enfilait une culotte ainsi qu’une des chemises de Sasha, nouant grossièrement quelques boutons (ce qui n’était pas dans ses habitudes). Une première pour la féline, féminine jusqu’au lit. Sur son chemin, munie d’un verre d’eau, la Trejo passait devant la chambre des enfants qui commençaient à pleurer doucement. « Non. » Laelia continuait son chemin puis reculait d’un pas, levant un doigt en l’air, faussement menaçante. « Non. » Décidée à ne pas s’en occuper, la brune retrouvait la chambre et s’arrêtait devant la porte. Son regard clair se posait sur Sasha, paisiblement endormi tandis qu’elle s’en approchait, s’agenouillait devant lui. « Gros bébé... » Susurrait-elle en caressant délicatement sa chevelure avant de déposer un baiser contre son front. L’un veillant sur l’autre, habitude. Dans le silence le plus total, Lae refermait derrière elle et commençait à confectionner deux biberons pour les enfants après avoir changé les couches et s’être lavée les mains. Premièrement, la jeune femme prenait Luna et la nourrissait. « Girl boss, comme on dit. » Déposant le biberon, l’orchidée la tenait délicatement contre son buste et la berçant précieusement, tout en frottant son dos jusqu’au petit rot.
La petite dans son berceau, la créatrice allait vers Noah et s’asseyait sur le divan afin de le nourrir à son tour. « J’espère que tu ne seras pas aussi chiant que ton père. » Pointe d’amusement, l’enfant terminait le biberon et la fleur effectuait le même processus. Cependant, au moment de dormir, le garçon faisait de la résistance. Alors, elle s’allongeait sur le canapé, Noah entre le dossier et son corps pour qu’il ne puisse pas tomber. Sur un de ses flancs, la Texane le regardait et caressait lentement son ventre, cela faisait du bien au enfant, jusqu’à ce que le petit tienne un de ses doigts. Couverts, l’orchidée s’endormait également aux côtés du petit homme, premier contact avec les enfants que la fougueuse avait longtemps renié, bercés par le calme apaisant.
Pendant la nuit, la Grymm quittait le lit et enfilait une culotte ainsi qu’une des chemises de Sasha, nouant grossièrement quelques boutons (ce qui n’était pas dans ses habitudes). Une première pour la féline, féminine jusqu’au lit. Sur son chemin, munie d’un verre d’eau, la Trejo passait devant la chambre des enfants qui commençaient à pleurer doucement. « Non. » Laelia continuait son chemin puis reculait d’un pas, levant un doigt en l’air, faussement menaçante. « Non. » Décidée à ne pas s’en occuper, la brune retrouvait la chambre et s’arrêtait devant la porte. Son regard clair se posait sur Sasha, paisiblement endormi tandis qu’elle s’en approchait, s’agenouillait devant lui. « Gros bébé... » Susurrait-elle en caressant délicatement sa chevelure avant de déposer un baiser contre son front. L’un veillant sur l’autre, habitude. Dans le silence le plus total, Lae refermait derrière elle et commençait à confectionner deux biberons pour les enfants après avoir changé les couches et s’être lavée les mains. Premièrement, la jeune femme prenait Luna et la nourrissait. « Girl boss, comme on dit. » Déposant le biberon, l’orchidée la tenait délicatement contre son buste et la berçant précieusement, tout en frottant son dos jusqu’au petit rot.
La petite dans son berceau, la créatrice allait vers Noah et s’asseyait sur le divan afin de le nourrir à son tour. « J’espère que tu ne seras pas aussi chiant que ton père. » Pointe d’amusement, l’enfant terminait le biberon et la fleur effectuait le même processus. Cependant, au moment de dormir, le garçon faisait de la résistance. Alors, elle s’allongeait sur le canapé, Noah entre le dossier et son corps pour qu’il ne puisse pas tomber. Sur un de ses flancs, la Texane le regardait et caressait lentement son ventre, cela faisait du bien au enfant, jusqu’à ce que le petit tienne un de ses doigts. Couverts, l’orchidée s’endormait également aux côtés du petit homme, premier contact avec les enfants que la fougueuse avait longtemps renié, bercés par le calme apaisant.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Mar 9 Avr 2019 - 19:22
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shalia
Va savoir pourquoi, une fois ta journée terminée c'est elle que tu as choisi de rejoindre, la fleur venimeuse qui s'épanouit pourtant, ces derniers temps. Tu la (re)découvres souriante et presque heureuse, d'apparence en tout cas. Tu savais où la trouver, elle t'avait dit qu'elle allait danser cette après midi, elle n'avait pas menti. Élégante jusqu'au bout des doigts, les années de pratiques et la rigueur de la discipline transparaît dans chacun de ses mouvements. Elle est belle et tu aimes l'observer. Adosser au mur, désinvolte, comme toujours, tu l'attends, la surprends et c'est agréable cette complicité retrouvée. Douée dans bien des domaines, tu as vite reprit le flambeau des fourneaux préférant éviter un incendie, mais appréciant l'effort de la jolie pour vous préparer un repas. Il faudra vraiment que tu lui apprennes les bases de la cuisine, elle va mourir de faim sans ça ou intoxiquer involontairement les gens. Soirée agréable, apaisante, tu t'endors avec la texane entre tes bras, une nuit sans rêve, comme souvent quand elle était là, dreamcatcher humain, elle te permet un sommeil profond et reposant, c'est probablement pour ça que tu ne l'as pas entendue se lever. Un oeil hors de l'oreiller, tu cherches son corps sous tes draps, sans succès. Soupire. Tu te lèves sans bruit pour retrouver ton insomniaque du jour, un bref regard dans l'appartement et tu ne la vois pas, un instant tu penses qu'elle est rentrée chez elle, mais son sac est toujours sur la table, ce n'est pas ça. Un petit bruit attire ton attention, respiration familière, celle de Noah, qu'est-ce qu'il fou dans le canapé ? T'arrives au dessus et la vision qui s'offre à toi est non seulement mignonne, mais également touchante. Tu fais le tours et t'agenouilles dans le dos de la sorcière, caressant délicatement son épaule, déposant un baiser sur sa nuque pour la réveiller tout en douceur. Retourne au lit, princessa, je m'occupe de ton kidnappeur, il est encore tôt, suffisamment pour vous permettre de retourner quelques petites heures au lit. Précautionneux, tu soulèves l'enfant que tu cales contre ton torse, caressant les cheveux de la belle endormie en te relevant. Une fois le monstre dans son berceau, tu retournes vers le canapé ou la créatrice s'étire comme un chat, elle n'a pas vraiment l'air décidée à bouger. Ou, tu peux rester là si tu préfères dis-tu sourire aux lèvres tout en t'allongeant à ses côtés, l'avantage des canapés profonds ; on s'y glisse facilement à deux.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Mar 9 Avr 2019 - 20:31
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shalia
Les enfants avaient toujours eu une place particulière dans le cœur de la ronce. Non seulement, elle les aimait, mais voulait également les protéger. C’était pour cette raison que la brune avait réagi au quart de tour en apprenant que l’orphelinat était au Mexique, avec exactement sept enfants à sauver. Depuis peu, en plus de ses créations, Ephrem l’épaulait, dans la plus grande légalité. Laelia avait pris soin d’en parler à sa mentor, lui expliquant chaque détail et lui avait permis une pause, elle qui se tuait à la tâche. Ces pensées lui rappelaient les nombreuses soirées de charité afin d’offrir de bonnes conditions de vie aux enfants démunis. Ses doigts caressaient précieusement la peau du jeune Noah en songeant, le couvrant d’attentions et de tendres caresses, ses prunelles sur ce visage innocent qui ne semblait pas décider à dormir. Pourtant, c’était la danseuse qui finissait par s’endormir la première, la main capturée par celles miniatures de l’enfant.
Quelque chose venait chatouiller la nuque de la fleur, mouvement délicat de son épaule afin de faire fuir le détail. Petit à petit, après quelques papillonnements de paupières, son regard légèrement brumeux se posait sur le dossier du sofa. Les mots de Sasha ne lui tiraient aucune réaction, encore endormie, la princesse pivotait sur le dos et s’étirait longuement. Bercée par les premiers rayons de soleil, Laelia frottait ses paupières. La jolie prenait du temps pour se réveiller, franchement pas décidée à se lever. Le brun la rejoignait, prenant la place de l’enfant à ses côtés. « Bonjour... » Voix cassée, cela lui arrachait un léger sourire. C’était une succession de détails qui rendaient la repoussante attachante, des facettes que peu voyaient.
Reprenant sa place initiale, la fleur cherchait les bras de son partenaire, le visage contre son épaule nue. De là, la brune embrassait la peau du Muller, lentement, en laissant aller ses doigts contre son flanc. Une jambe entre les siennes, Lae se laissait aller à de tendres caresses matinales. « Je les ai changé et nourri. » Confiait la Texane, son front contre celui de Sasha, les paupières closes. Bah alors, poupée, on a du mal à se réveiller ? Quelques minutes passaient et elle souriait, la sensuelle, frottant le bout de son nez contre celui du beau, la taquinerie dans les iris. « Je ne me rappelais pas que tu sentais si mauvais de la bouche le matin. »
Quelque chose venait chatouiller la nuque de la fleur, mouvement délicat de son épaule afin de faire fuir le détail. Petit à petit, après quelques papillonnements de paupières, son regard légèrement brumeux se posait sur le dossier du sofa. Les mots de Sasha ne lui tiraient aucune réaction, encore endormie, la princesse pivotait sur le dos et s’étirait longuement. Bercée par les premiers rayons de soleil, Laelia frottait ses paupières. La jolie prenait du temps pour se réveiller, franchement pas décidée à se lever. Le brun la rejoignait, prenant la place de l’enfant à ses côtés. « Bonjour... » Voix cassée, cela lui arrachait un léger sourire. C’était une succession de détails qui rendaient la repoussante attachante, des facettes que peu voyaient.
Reprenant sa place initiale, la fleur cherchait les bras de son partenaire, le visage contre son épaule nue. De là, la brune embrassait la peau du Muller, lentement, en laissant aller ses doigts contre son flanc. Une jambe entre les siennes, Lae se laissait aller à de tendres caresses matinales. « Je les ai changé et nourri. » Confiait la Texane, son front contre celui de Sasha, les paupières closes. Bah alors, poupée, on a du mal à se réveiller ? Quelques minutes passaient et elle souriait, la sensuelle, frottant le bout de son nez contre celui du beau, la taquinerie dans les iris. « Je ne me rappelais pas que tu sentais si mauvais de la bouche le matin. »
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Ven 12 Avr 2019 - 18:36
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shalia
La surprise n'est pas dissimulée lorsque la fleur énonce avoir changé et nourri les deux marmots, elle qui n'offrait que peu d'attention, tout au mieux un regard, à ta progéniture. Sourire presque gêné, tu embrasses son épaule merci, tu aurais dû me réveiller... je n'ai rien entendu. Pour la première fois depuis presque deux mois, tu as dormis d'une traite, sans sursaut, sans réveil et tu le sens, ça t'a fait du bien. Paupières mi-closent, tu écoutes distraitement si le petit prince ne fait pas connaitre son mécontentement d'avoir été évincé, tes bras autours de la silhouette gracile de la danseuse, sourire con quand elle te balance sa punchline dès le matin, et moi je ne me rappelais pas que t'étais si casse-couille dès le matin . Faux. Tu t'en rappelles très bien, mais ça fait son charme, elle, ton adorable chieuse. T'espérais dormir encore un peu, profiter de la fin de la nuit - ou du début de la matinée, tout dépends comment on se place-, mais malgré toi, tu es éveillé. Doux baiser déposer contre son front, tu te lèves en lui claquant les fesses, bon, p'tit dej. Depuis l'épisode des pâtes chez elle, tu préfères assurer toi-même ton alimentation, et dire qu'à une époque elle faisait appel à des potions alors qu'un simple plat préparé aurait été plus efficace, une perte de temps et d'argent .
Rapidement, tu enfiles un pantalon de jogging gris qui traînait sur la chaise, on se demande pas pourquoi, pour aller dans la cuisine. Tu dois avoir maigri parce qu'il tombe un peu plus sur tes hanches qu'avant, ce n'est pas bien grave. Tu sèches, c'est mieux que de t'empâter, tu ne supporterais pas de devenir l'un de ces hommes gras du bide. Plutôt mourir. Premier geste, c'est le café, tu l'aimes fort et noircomme ton âme, c'est fou comme les habitudes changent, tu ne mangeais jamais le matin et te voilà obligé de le faire tous les matins sans quoi tu ne tiendrais pas jusqu'à midi. D'un coup de baguette, les viennoiseries que tu avais dans le congélateur se retrouvent prête à être enfournées, tu meurs de faim.
Rapidement, tu enfiles un pantalon de jogging gris qui traînait sur la chaise, on se demande pas pourquoi, pour aller dans la cuisine. Tu dois avoir maigri parce qu'il tombe un peu plus sur tes hanches qu'avant, ce n'est pas bien grave. Tu sèches, c'est mieux que de t'empâter, tu ne supporterais pas de devenir l'un de ces hommes gras du bide. Plutôt mourir. Premier geste, c'est le café, tu l'aimes fort et noir
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Ven 12 Avr 2019 - 19:30
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shalia
Laelia passait ses doigts contre la joue de Sasha, sentant les poils drus de sa barbe brune sous sa pulpe. Cela lui rappelait le pelage de Cerdo lorsqu’il n’était pas brossé. Ce rapprochement dans sa tête la faisait sourire, d’une manière attendrissante. « Je voulais te réveiller... » Mais quoi ? L’envie de le laisser se reposer, lui montrant donc cette affection particulière que la fleur lui vouait ? Non, orchidée pudique, elle préférait trouver une excuse. « Sauf que tu ronflais trop, tu ne m’as pas entendu... » Si peu crédible : l’ours ne ronflait pas. Alors qu’un petit silence s’installait, ses dents glissaient contre sa pulpe inférieure. « Je voulais que tu te reposes, t’en as besoin Sasha. » Elle embrassait le front de son partenaire : Laelia avait bien besoin de repos aussi, elle qui se tuait à la tâche, qui négligeait sa santé. Il le savait, Sasha, que la Texane veillait sur lui, depuis toujours. « Et moi je ne me rappelais pas que t’étais si susceptible, Shasha. » Rire amusé, la gamine laissait allait un éclat cristallin, mordant doucement son nez.
Si la jeune femme prenait soin de lui, le ronchon s’était chargé de la nourrir, même de lui faire ses repas du midi. Se redressant, Laelia arrangeait la chemise et la remontait jusqu’à sa taille, la détachant de quelques boutons afin de faire un nœud. Éternelle fashionista, se baladant en culotte en dentelle, chemise ajustée. La créatrice suivait les pas du Muller, le regardant préparer le petit déjeuner : chose que la petite était incapable de faire. « Waouh. Tu es bon à marier. » Sourire taquin, la Texane regardait avec attention ce qu’il faisait, glissant ses bras autour de ses épaules. « Merci de me faire à manger. » Et la danseuse s’éloignait, prenant place sur une des chaises, l’attendant avant de commencer à manger. Estomac sur pattes, petite Princesse adorable, qui se goinfrait comme un ogre. « Bon appétit. » Disait le soleil entre quelques bouchées.
Si la jeune femme prenait soin de lui, le ronchon s’était chargé de la nourrir, même de lui faire ses repas du midi. Se redressant, Laelia arrangeait la chemise et la remontait jusqu’à sa taille, la détachant de quelques boutons afin de faire un nœud. Éternelle fashionista, se baladant en culotte en dentelle, chemise ajustée. La créatrice suivait les pas du Muller, le regardant préparer le petit déjeuner : chose que la petite était incapable de faire. « Waouh. Tu es bon à marier. » Sourire taquin, la Texane regardait avec attention ce qu’il faisait, glissant ses bras autour de ses épaules. « Merci de me faire à manger. » Et la danseuse s’éloignait, prenant place sur une des chaises, l’attendant avant de commencer à manger. Estomac sur pattes, petite Princesse adorable, qui se goinfrait comme un ogre. « Bon appétit. » Disait le soleil entre quelques bouchées.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Mer 17 Avr 2019 - 10:17
nos troubles rêveries.
shalia
Ses doigts glissent sur ta joue, elle sourit un peu rêveuse avant d'expliquer qu'elle a bien tenté de te réveiller, mais que tu étais trop endormi et trop occupé à ronfler que pour l'entendre. Ça t'étonne, parce que ton sommeil se fait léger ces derniers temps, comme si ton esprit ne dormait jamais vraiment, veillant au moindre bruit et déclenchant une alarme silencieuse afin de te tirer ton lit. Puisque tu n'es pas en mesure de réfuter ses paroles, tu te contentes de te taire, profitant du silence et du réconfort de ses bras, quand la belle reprend la parole, avouant à mi-mots qu'elle n'a pas tenter de te réveiller tant que ça, parce que tu as besoin de sommeille avant d'embrasser ton front. Tu lui es reconnaissant pour ça, cette attention, le fait qu'elle ait prit sur elle pour s'occuper de nourrisson qui ne sont pas les siens. Bien que tu ne puisses pas faire autrement, tu n'imposeras jamais tes enfants à qui que ce soit, ce sont les tient, ils sont ton problème, mais le fait qu'elle ait choisi de s'en occuper te touche réellement, c'est vrai, elle aurait pu t’éjecter du lit à coup de pied après tout. Merci, pas de fioriture, mais un mot emprunt de tellement de sincérité qu'il se suffit largement, tu souris mais après tout, c'est petit, c'est rose, ça couine pour avoir quelque chose, ça doit te faire penser à Cerdo, avec mon charme en plus taquinerie facile, mais comparaison qui t'amuses. Puis, t'es pas susceptible, c'est juste que tu viens de te lever et qu'un ours n'est jamais de bonne humeur au réveil. Shasha. Y'a que les plus jeunes de ta famille qui t'appellent comme ça, vestige de l'incapacité d'Ashley à prononcer ton prénom, c'est étrange dans la bouche de quelqu'un d'autre, mais ça t'amuse. Tu lui fais une grimace en te levant avant de prendre la direction de la cuisine.
Il est évident que la fleur à pas mal de talent, tu en as déjà expérimenté certains, mais la cuisine ne fait définitivement pas partie de la liste. Décidé à ne pas la laisser mourir de faim, tu lui prépares des repas que tu lui apportes en personne et attend sagement qu'elle mange. C'est qu'elle veut prendre soin des autres, mais qu'elle ne s'occupe pas d'elle la jolie, alors tu le fais pour elle. Ses bras autours de tes épaules, tu baisses légèrement le regard vers elle, tu lui souris en déposant un baiser sur sa peau nue, ça doit être pour ça qu'on tente depuis des années de me fiancé à la première venue haussement de sourcil amusé, t'es quasiment certain que tu seras tranquille désormais, c'est vrai, qui voudrait t'épouser avec deux gosses à charge ?Même la mère n'a pas voulu, c'est dire. Comme si elle était chez elle, la jolie s'installe et attend sagement que tu apportes le repas sur la table, ce que tu fais, si j'ai besoin de sommeil, tu as besoin de force. Une tasse de café à la main, tu la regardes manger d'appétit, c'est assez rare, ton regard tombe dans le sien, iris céruléennes qui se veulent captivantes, il faut bien que quelqu'un s'occupe un peu de toi. Echange de bons procédés, vous veillez l'un sur l'autre, peut-être plus farouchement que tu ne voudrais l'admettre, mais tu prends conscience de l'importance de certaine personne, c'est toute ta vie que tu réorganises et puisqu'elle en fait partie, puisqu'elle compte, tu veilleras sur elle à partir de maintenant.
Tu avales trois croissants, deux tartines grillées et quelques fruits, petit déjeuner quasiment équilibré, il te faut bien ça pour tenir jusqu'à midi. Midi, merde. T'avais oublié ce petit détail dans l'organisation de ton week-end. Qu'est-ce que tu as de prévu aujourd'hui ? Elle bosse trop, elle aurait bien besoin de se détendre un peu, tout comme toi d'ailleurs, même si ta thèse ne va pas avancer toute seule. Tu croques dans un bout de pain, la nervosité ça te donne faim. Je suis invité chez ma cousine et son ... compagnon? pour le déjeuner, tu veux venir avec moi ? Manger chez Scylla est presque aussi dangereux que de manger chez toi, mais avec un peu de chance on s'en sortira vivants, ils pourraient garder les monstres et on en profiterait pour faire un truc, ce que tu veux, t'en dis quoi ? Si elle dit oui, tant mieux, si non ... tant pis, tu ne seras ni vexé ni fâché, ça serait juste l'occasion de lui montrer comment se comporte une famille normale.
Il est évident que la fleur à pas mal de talent, tu en as déjà expérimenté certains, mais la cuisine ne fait définitivement pas partie de la liste. Décidé à ne pas la laisser mourir de faim, tu lui prépares des repas que tu lui apportes en personne et attend sagement qu'elle mange. C'est qu'elle veut prendre soin des autres, mais qu'elle ne s'occupe pas d'elle la jolie, alors tu le fais pour elle. Ses bras autours de tes épaules, tu baisses légèrement le regard vers elle, tu lui souris en déposant un baiser sur sa peau nue, ça doit être pour ça qu'on tente depuis des années de me fiancé à la première venue haussement de sourcil amusé, t'es quasiment certain que tu seras tranquille désormais, c'est vrai, qui voudrait t'épouser avec deux gosses à charge ?
Tu avales trois croissants, deux tartines grillées et quelques fruits, petit déjeuner quasiment équilibré, il te faut bien ça pour tenir jusqu'à midi. Midi, merde. T'avais oublié ce petit détail dans l'organisation de ton week-end. Qu'est-ce que tu as de prévu aujourd'hui ? Elle bosse trop, elle aurait bien besoin de se détendre un peu, tout comme toi d'ailleurs, même si ta thèse ne va pas avancer toute seule. Tu croques dans un bout de pain, la nervosité ça te donne faim. Je suis invité chez ma cousine et son ... compagnon? pour le déjeuner, tu veux venir avec moi ? Manger chez Scylla est presque aussi dangereux que de manger chez toi, mais avec un peu de chance on s'en sortira vivants, ils pourraient garder les monstres et on en profiterait pour faire un truc, ce que tu veux, t'en dis quoi ? Si elle dit oui, tant mieux, si non ... tant pis, tu ne seras ni vexé ni fâché, ça serait juste l'occasion de lui montrer comment se comporte une famille normale.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Mer 17 Avr 2019 - 11:21
nos troubles rêveries.
shalia
« Cerdo est beaucoup plus beau. » Comparaison amusante entre deux enfants et un cochon, mais chez l’animal, Laelia aimait son intégrité. Le sujet était encore sensible, le seul à avoir réussi à abîmer le cœur de la ronce. Elle finissait par le suivre, traînant un tantinet des pieds jusqu’à la cuisine. Pièce qui lui rappelait sa médiocrité, domaine culinaire dans lequel l’orchidée ne rayonnait pas. Sagement, esprit encore embrumé par ses troubles rêveries, elle entourait les épaules de Sasha de ses bras, malgré sa petite taille. « Sauf à moi. » Sur le point de rompre les fiançailles vaines, Laelia était également en train de réfléchir à tout son avenir. La fleur n’en disait rien, se plongeant dans ses pensées un instant jusqu’à se reculer de l’homme, épousant la chaise de ses hanches voluptueuses. Ses dents venaient légèrement mordiller un de ses ongles, nervosité présente malgré son assurance permanente. Des sujets qui lui faisaient du poids en plus sur les épaules, calvaire que la Trejo évitait d’aborder.
Sincèrement touchée par les attentions du brun, un sourire délicat, si ce n’était pas attendrissant, étirait les croissants de chairs de la sulfureuse poupée. Troublée, émue, Sasha pouvait le voir dans ses iris océans, pas habituée à être maternée de la sorte. « Il faut bien que quelqu’un s’occupe de toi. » Propos retournés avec agilité, la brune se mettait à dévorer ce semblant de festin. Délicieux : Laelia avait perdu l’habitude des déjeuners le matin. « Je vais travailler à l’atelier, et toi ? » La scène était amusante : une image d’un vieux couple en tête, un tendre éclat de rire s’échouait hors de ses pulpes. Cependant, sa proposition la laissait sans voix, glissant ses doigts contre son front. « Je veux bien, d’accord. » Les repas de famille : ah. Oui. Cela existait toujours. Mal à l’aise suite à cette idée, la curiosité la poussait à ne pas décliner l’invitation. « Est-ce qu’il y a quelque chose que tu aimerais faire ensuite ? » Pas difficile, tant que sa manucure n’était pas mise en danger, affichant un sourire, ravie de cette invitation.
Des miettes autour de la bouche essuyées, une tasse de thé ayant calmé sa soif et une pomme dégustée, la ballerine se levait. Quelques pas légers jusqu’à son partenaire, se glissant contre ses cuisses. Sans un mot, son visage se posait contre le sien, le frottant lentement, recherche inavouée d’affection. Son bassin basculait, chevauchant Sasha en déposant son front au sien. Laelia caressait ses joues poilues, souriante, avant de poser son visage contre son épaule, l’enlaçant avec tendresse. L’orchidée avait besoin de lui, dans sa vie.
Sincèrement touchée par les attentions du brun, un sourire délicat, si ce n’était pas attendrissant, étirait les croissants de chairs de la sulfureuse poupée. Troublée, émue, Sasha pouvait le voir dans ses iris océans, pas habituée à être maternée de la sorte. « Il faut bien que quelqu’un s’occupe de toi. » Propos retournés avec agilité, la brune se mettait à dévorer ce semblant de festin. Délicieux : Laelia avait perdu l’habitude des déjeuners le matin. « Je vais travailler à l’atelier, et toi ? » La scène était amusante : une image d’un vieux couple en tête, un tendre éclat de rire s’échouait hors de ses pulpes. Cependant, sa proposition la laissait sans voix, glissant ses doigts contre son front. « Je veux bien, d’accord. » Les repas de famille : ah. Oui. Cela existait toujours. Mal à l’aise suite à cette idée, la curiosité la poussait à ne pas décliner l’invitation. « Est-ce qu’il y a quelque chose que tu aimerais faire ensuite ? » Pas difficile, tant que sa manucure n’était pas mise en danger, affichant un sourire, ravie de cette invitation.
Des miettes autour de la bouche essuyées, une tasse de thé ayant calmé sa soif et une pomme dégustée, la ballerine se levait. Quelques pas légers jusqu’à son partenaire, se glissant contre ses cuisses. Sans un mot, son visage se posait contre le sien, le frottant lentement, recherche inavouée d’affection. Son bassin basculait, chevauchant Sasha en déposant son front au sien. Laelia caressait ses joues poilues, souriante, avant de poser son visage contre son épaule, l’enlaçant avec tendresse. L’orchidée avait besoin de lui, dans sa vie.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Dim 28 Avr 2019 - 20:53
nos troubles rêveries.
shalia
scène étrange, inattendue, agréable, ses bras autours de ta taille vous plaisantez sur tes capacités d'homme d'intérieur ; cuisinier et presque maniaque, il y a bien des femmes qui se trouvent surprise par ces facettes de ta personnalité. Peut-être parce que tu n'es pas la première venue, baiser tendre sur son front tout en souriant, elle est attendrissante la ronce. C'est certainement cette nouvelle facette qui te donne envie de prendre soin d'elle, présence rassurante trop peu présente dans sa vie, elle te fait penser à cette petite fille qu'elle devait être à l'orphelinat en recherche constante d'affection. L'idée de l'embarquer chez Scylla pourrait paraître incongrue, mais ta cousine à l'aplomb nécessaire que pour ne pas s'offusquer des remarques que pourraient faire Laelia. Après tout, quand on grandit avec Lilas, le reste semble futile. Très bien, sourire satisfait, tu enchaîne sur tes envies pour la suite de la journée je n'en sais rien, je me dis qu'on pourrait profiter d'un peu de calme, chez toi, ou simplement aller s'aérer, on verra ... chez elle il y a un beau jardin, un jacuzzi, une piscine et un adorable petit cochon, à l'extérieur il y a mille et une merveilleuse, que ce soit l'unou l'autre ça te convient, tu as juste envie de passer un peu de temps avec elle. Après avoir terminé son repas, la jolie silencieuse s'approche de toi, féline, elle s'installe sur toi comme si c'était sa place. Respectant le silence imposé par la fleur, tu refermes tes bras autours d'elle, l'attire contre ton torse, ta main s'enfonce dans la cascade de ses cheveux ; caresses délicates du bout des doigts. Les minutes passent et rien ne bouge, ni elle, ni toi, pas même les rayons de soleil qui traversent les rideaux. Moment suspendu. Ça va ? La question pourrait sembler bateau, ridicule, mais elle ne l'est pas. Pas pour toi, tu sens qu'elle a besoin de toi, de cette affection qu'elle cherche dans tes bras, dans chacune des attentions qu'elle offre ou requiert. Tu as l'air soucieuse, princessa, tu veux m'en parler ?
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Dim 28 Avr 2019 - 21:35
nos troubles rêveries.
shalia
Elle avait toujours aimé lorsqu’il était aux petits soins avec elle, le baiser contre son front lui arrachait un sourire tendre avant de s’en aller vers la chaise. Petit-déjeuner prit, il n’y avait pas de doute à avoir : depuis que Sasha était revenu dans sa vie, son métabolisme se portait bien mieux, plus en forme, son ventre cessait de gargouiller et sa condition physique se renforçait. Elle ne le remercierait jamais assez de tous les repas préparés avec un supplément d’affection et de bons moments à ses côtés. Fleur pudique, les ressentis étaient souvent conservés dans un coffre-fort, à l’abri de tous. Lys avec une armure, la belle s’était toujours protégée, avec force et audace. De même pour l’émotion ressentie suite à l’invitation : au fond, cela la gênait un tantinet mais Laelia avait hâte de voir à quoi ressembler une famille qui s’aimait, de découvrir les bonheurs simples de la vie. « On verra sur le moment. » Lançait la poupée en se levant, de nouveau silencieuse, féline, tempête sulfureuse qui s’avançait vers le brun, nymphe envoutante.
Avec agilité et légèreté, la ballerine se glissait contre les cuisses de l’apollon, entourant d’une affection particulière les épaules fortes de Sasha. Petit contact visuel avant de basculer son visage sur son épaule, silencieuse, meurtrie et pensive. Laelia avait toujours eu ce côté affectueux, à demander de l’affection sans formuler des phrases et elle se sentait bien dans les bras de ce dernier, comme si elle était chez elle. La voix rauque du jeune homme la sortait de son songe et tout en remontant son visage vers le sien, elle encadrait délicatement ce dernier de ses paumes, les doigts qui passaient contre sa barbe, un simple sourire aux pulpes. « Oui. » Il lisait en elle, le beau. « Je suis bien dans tes bras. » D’un geste délicat de doigt, l’orchidée lui ôtait une miette sauvage. « Je t’en parlerai plus tard. » Front contre front, l’arrondi de son nez venait rencontrer le sien, affichant un plus large sourire. « C’est juste que j’aimerai partager des souvenirs de mes parents, de mon enfance avec toi, mais je ne me souviens de rien. » Il n’avait eu que des réponses en surfaces, les détails étaient sans arrêt repoussés, lorsque d’autres avaient été oubliés. « J’aimerai me souvenir. » Paroles envolées, elle mimait un baiser avant de se retirer, une paume chaude contre sa nuque, l’affreuse. « Je vais me doucher. »
Et puis la créatrice s’en allait, le sourire ne l’avait pas quitté et la voilà, allant jusqu’à la chambre afin de récupérer le nécessaire. Disparaissant dans la salle de bain, elle activait le pommeau de douche du haut. C’était une averse chaude qui coulait contre sa nudité, une brume sensuelle qui entourait l’héritage d’Ève. Les paupières closes, ses mains jetaient en arrière sa chevelure de sirène, glissant ces dernières sur son visage un instant, c’était si agréable.
Avec agilité et légèreté, la ballerine se glissait contre les cuisses de l’apollon, entourant d’une affection particulière les épaules fortes de Sasha. Petit contact visuel avant de basculer son visage sur son épaule, silencieuse, meurtrie et pensive. Laelia avait toujours eu ce côté affectueux, à demander de l’affection sans formuler des phrases et elle se sentait bien dans les bras de ce dernier, comme si elle était chez elle. La voix rauque du jeune homme la sortait de son songe et tout en remontant son visage vers le sien, elle encadrait délicatement ce dernier de ses paumes, les doigts qui passaient contre sa barbe, un simple sourire aux pulpes. « Oui. » Il lisait en elle, le beau. « Je suis bien dans tes bras. » D’un geste délicat de doigt, l’orchidée lui ôtait une miette sauvage. « Je t’en parlerai plus tard. » Front contre front, l’arrondi de son nez venait rencontrer le sien, affichant un plus large sourire. « C’est juste que j’aimerai partager des souvenirs de mes parents, de mon enfance avec toi, mais je ne me souviens de rien. » Il n’avait eu que des réponses en surfaces, les détails étaient sans arrêt repoussés, lorsque d’autres avaient été oubliés. « J’aimerai me souvenir. » Paroles envolées, elle mimait un baiser avant de se retirer, une paume chaude contre sa nuque, l’affreuse. « Je vais me doucher. »
Et puis la créatrice s’en allait, le sourire ne l’avait pas quitté et la voilà, allant jusqu’à la chambre afin de récupérer le nécessaire. Disparaissant dans la salle de bain, elle activait le pommeau de douche du haut. C’était une averse chaude qui coulait contre sa nudité, une brume sensuelle qui entourait l’héritage d’Ève. Les paupières closes, ses mains jetaient en arrière sa chevelure de sirène, glissant ces dernières sur son visage un instant, c’était si agréable.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Lun 6 Mai 2019 - 10:48
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shalia
Ne rien prévoir est certainement la meilleure solution, laisser l'envie vous guider sur le moment. La jolie se lève pour se poser sur tes cuisses, en silence, tu respectes son besoin de calme et de tendresse. La brindille entre tes bras, tu caresses sa peau du bout des doigts, ses cheveux pendant un long moment sans rien dire. Finalement, tu brises le silence, t'inquiétant de son attitude, à raison, bien qu'elle réponde positivement. Je suis bien dans tes bras, un sourire élargit tes lèvres, fierté de mâle, t'aimes savoir que tu es rassurant, qu'elle est bien dans tes bras. La jeune femme pose son front tiède contre le tien, ton regard se plisse légèrement quand elle dit vouloir partager ses souvenirs avec toi, à la fois interpellé et touché par son intention, tu remarques la déception qui enlacent chacun de ses mots. Si tu as souhaité de nombreuses fois oublier ton passé et les aventures rocambolesques de ta famille, tu n'imagines pas ce que ça doit être pour elle qui ne semble avoir conservé que les moments désagréables, les traumatismes, alors qu'elle aurait besoin de chaleur, de souvenirs heureux à chérir. Je comprends. Avoir le choix enlève la valeur des choses. Laelia se lève pour filer vers la salle de bain, tu termines ton café en réfléchissant à son problème, d'un coup de baguette la cuisine est rangée et tu peux à ton tours prendre la direction de la salle de bain après un petit détours par la chambre des monstres qui dorment à poings fermés.
Silencieux, tu entres dans la pièce envahie de brume, ton regard appréciant le spectacle de cette jolie fleur arrosée par la pluie de la douche. Appuyé contre l'encadrement de la porte, tu attends quelques minutes avant de la rejoindre sous le jet délicieusement chaud. Tes lèvres effleurent l'épaule de la jeune femme, mine sérieuse, je peux t'aider, je crois. C'est même une certitude, ses souvenirs ne sont qu'occultés, ils doivent être latents quelque part et avec l'expérience acquise au Ministère tu sais désormais comment manipuler l'esprit pour que même le souvenir le plus refoulé fasse à nouveau surface. Délicatement, tes mains sur ses hanches tu lui fais faire un demi-tour, collant sa poitrine contre ton torse tout en cherchant son regard si tu me fais suffisamment confiance, je peux t'aider à récupérer tes souvenirs, si tu le souhaites, mais pour ça il faut qu'elle te fasse confiance parce que tu vas avoir accès à l'entièreté de sa mémoire, ça ne va certainement pas être une partie de plaisir, mais tu sais qu'elle peut gérer bien plus que ça.
Silencieux, tu entres dans la pièce envahie de brume, ton regard appréciant le spectacle de cette jolie fleur arrosée par la pluie de la douche. Appuyé contre l'encadrement de la porte, tu attends quelques minutes avant de la rejoindre sous le jet délicieusement chaud. Tes lèvres effleurent l'épaule de la jeune femme, mine sérieuse, je peux t'aider, je crois. C'est même une certitude, ses souvenirs ne sont qu'occultés, ils doivent être latents quelque part et avec l'expérience acquise au Ministère tu sais désormais comment manipuler l'esprit pour que même le souvenir le plus refoulé fasse à nouveau surface. Délicatement, tes mains sur ses hanches tu lui fais faire un demi-tour, collant sa poitrine contre ton torse tout en cherchant son regard si tu me fais suffisamment confiance, je peux t'aider à récupérer tes souvenirs, si tu le souhaites, mais pour ça il faut qu'elle te fasse confiance parce que tu vas avoir accès à l'entièreté de sa mémoire, ça ne va certainement pas être une partie de plaisir, mais tu sais qu'elle peut gérer bien plus que ça.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Lun 6 Mai 2019 - 16:51
nos troubles rêveries.
shalia
Bercée par le flot ardent de l’eau, ses muscles légèrement contractés se relâchaient, dans un long soupire de bien-être. La tignasse ébène balayer en arrière d’un geste précis, la nymphe fermait les yeux, chevelure qui épousait ses courbes, presque jusqu’à ses reins. Lentement, ses paumes venaient masser sa chair tendre au niveau de ses épaules, dénouant quelques-uns des nœuds présents. Laelia avait les pensées en vrac : elle essayait toujours de se souvenir, de se rattacher à des morceaux joyeux de sa vie, mais ces derniers ne cessaient de s’effacer avec le temps. Pincement au palpitant, l’orchidée s’épanouissait en ce moment, plus heureuse, plus souriante et bien entourée, certainement. Une des raisons de son allégresse s’était glissée dans son dos, balayant de ses doigts son derme cannelle, tout en affichant un de ces sourires irradiants de bonheur.
Face à face, un frisson la traversait suite au contact ferme de leurs bustes. Fusion des épidermes comme des prunelles, Laelia remontait une de ses mains contre sa joue, caressant lentement sa barbe. « Je te fais confiance, plus qu’à n’importe qui. » Aveu susurré, l’orchidée lui souriait tendrement, touchée par tant d’attention et de dévotion. « Je te laisserai faire. » Langue qui humidifiait lentement sa pulpe inférieure, la brune baissait les yeux un instant, ébranlée et déstabilisée par cette offre. « Tu m’expliqueras après le repas ? » C’était bien la première fois que quelqu’un lui donnait autant, que l’on faisait preuve de bienveillance envers cette poupée désarticulée. « Sha ? » Disait la jolie en redressant un instant le visage, l’humidité plus présente dans les iris : l’œuvre du pommeau de douche, dirait-elle. « Merci. » Pour tout. Parfois, il lui suffisait de plonger dans l’océan de son regard pour déceler ce que sa belle ne lui disait pas : les abysses de ses sentiments.
Laelia glissait sa paume le long de son bras, lui octroyant quelques caresses délicieuses. « Merci de prendre soin de moi. » Parce qu’il était un facteur principal à son bien-être, un moteur essentiel. Alors, le serpent le remerciait à nouveau, sans perdre son sourire teinté d’émotions. Tandis que l’eau coulait toujours sur eux, la sulfureuse le plaquait contre la paroi humide, y apposant la trace de son anatomie. Duel malicieux des iris, la ronce l’embrassait chaudement, détaillant son corps parfait, jusqu’à son entrejambe que Laelia caressait, lentement, avant de se retirer et de saisir du gel douche, rictus amusé aux lèvres. « Allez, tu as bien besoin d’être lavé. » Œillade complice, la brune se mettait à savonner Sasha, passant contre ses fesses rebondies qu’elle claquait, risette aux lèvres : fleur radieuse qui se gorgeait de soleil.
Face à face, un frisson la traversait suite au contact ferme de leurs bustes. Fusion des épidermes comme des prunelles, Laelia remontait une de ses mains contre sa joue, caressant lentement sa barbe. « Je te fais confiance, plus qu’à n’importe qui. » Aveu susurré, l’orchidée lui souriait tendrement, touchée par tant d’attention et de dévotion. « Je te laisserai faire. » Langue qui humidifiait lentement sa pulpe inférieure, la brune baissait les yeux un instant, ébranlée et déstabilisée par cette offre. « Tu m’expliqueras après le repas ? » C’était bien la première fois que quelqu’un lui donnait autant, que l’on faisait preuve de bienveillance envers cette poupée désarticulée. « Sha ? » Disait la jolie en redressant un instant le visage, l’humidité plus présente dans les iris : l’œuvre du pommeau de douche, dirait-elle. « Merci. » Pour tout. Parfois, il lui suffisait de plonger dans l’océan de son regard pour déceler ce que sa belle ne lui disait pas : les abysses de ses sentiments.
Laelia glissait sa paume le long de son bras, lui octroyant quelques caresses délicieuses. « Merci de prendre soin de moi. » Parce qu’il était un facteur principal à son bien-être, un moteur essentiel. Alors, le serpent le remerciait à nouveau, sans perdre son sourire teinté d’émotions. Tandis que l’eau coulait toujours sur eux, la sulfureuse le plaquait contre la paroi humide, y apposant la trace de son anatomie. Duel malicieux des iris, la ronce l’embrassait chaudement, détaillant son corps parfait, jusqu’à son entrejambe que Laelia caressait, lentement, avant de se retirer et de saisir du gel douche, rictus amusé aux lèvres. « Allez, tu as bien besoin d’être lavé. » Œillade complice, la brune se mettait à savonner Sasha, passant contre ses fesses rebondies qu’elle claquait, risette aux lèvres : fleur radieuse qui se gorgeait de soleil.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Jeu 9 Mai 2019 - 17:22
nos troubles rêveries.
shalia
Bien sûr, tu sais qu'elle te porte une certaine affection, une attention particulière que d'autre n'ont pas le privilège d'entrevoir, mais de là à imaginer qu'elle te fait suffisamment confiance que pour te laisser trifouiller dans son esprit... tu n'es pas si présomptueux. Sa main glisse contre ta joue, sourires partagés, gênés, trop d'attentions, de gentillesses gratuites et sincères dans cette relation étrange, unique à bien des égards. En guise de réponse, tu hoches la tête, actant de ce fait la promesse de l'aider et surtout l'accord qu'elle vient de te donner. Tu feras tout pour qu'elle retrouve son passé avec le moins de souffrance, de douleurs, possible. L'acte n'est pas anodin, il requiert de la patience, de la discipline, de la persévérance, ça peut être désagréable, douloureux si elle s'oppose à la réminiscence de ses souvenirs les plus sombres ; quoi qu'il se passe, tu seras là, elle pourra compter sur toi. Je t'expliquerais tout le processus et si tu es toujours d'accord, on pourra te rendre tes souvenirs d'ici peu, le temps que tu vérifies tes connaissances, que tu prépares le matériel nécessaire, qu'elle soit prête également à te laisser pénétrer son esprit. Petite fille troublée, tu retrouves ce regard, celui qui a le don de t'attendrir et qui semble se demander pourquoi est-ce qu'elle mérite autant d'attention, ce n'est pas la première fois. Tu te souviens de ce premier regard, premier geste de tendresse alors que ta main saisissait la sienne avec douceur, quand pour la première fois, tu l'as serrée contre toi juste pour l'apaiser, simplement pour qu'elle se sente moins seule alors que la situation semblait partir en vrille. Elle a toujours su faire ressortir l'ours protecteur qui sommeille en toi, tu veillais sur elle, tu le fais encore et tu ne cesseras de le faire, rachetant par ces attentions l'absence que tu as laissé dans sa vie pendant presque une année.
Tu mérites que quelqu'un prenne soin de toi, princesa , sincérité criante, tu ne mens jamais, apanage des fous dans un monde de manipulateurs, tendresse dans chacune des caresses offertes par ton regard. Du bout des doigts, tu relèves son menton, sourire discret accroché aux lèvres, tu embrasses le bout de son nez avant de te retrouver rapidement plaquer contre la paroi de la douche. Surprenante petite fleur. La faute à qui si j'ai transpiré cette nuit ? Murmure posé contre ses lèvres, malice dans les iris, paradoxe de la situation qui veut que tu ne dormes pas beaucoup quand elle est là, mais que tu dormes très bien en contre partie. La délicieuse joue et s'écarte au moment où ça devient intéressant, petit soupire contrarié malgré l'amusement, elle te le paiera, c'est certain. Le savon sur ton corps, tu la laisses faire jusqu'à être recouvert de mousse, tu l'attires contre toi en mêlant caresses et chatouillesun peu dangereux dans une douche, toi aussi t'as besoin d'être bien frottée. À ton tour de la plaquer contre la paroi sourire aux lèvres, tes mains glissent le long de son corps, dessinant ses courbes délicieusement sculptées ; progression lente, mouvement empreint d'une certaine sensualité toujours. Finalement, tu l'attires contre toi sous le jet d'eau pour rincer toute cette mousse, le jeu est terminé... ou continuera plus tard. Douche agréable et utile, tu t'essuies et laisses la salle de bain à la jolie, ton placard semble rempli des mêmes vêtements, monochromie des tissus, tu souris en sortant une chemise qu'elle reconnaîtra facilement, de même qu'un jean foncé et ô miracle une paire de baskets blanches en cuir. Tu déposes la chemise sur la chaise de la salle à manger, torse nu pour le reste de la matinée, choix plutôt intelligent quand on sait que d'ici une heure les monstres devront manger et donc risque probable de régurgitation, autant éviter de dégueulasser la création de la prodigue qui refait son apparition. Tu restes la matinée ici ou tu rentres chez toi ? Il y a encore quelques heures à tuer avant d'aller chez Scylla, tu comprendrais qu'elle ait des choses à faire ou qu'elle souhaite simplement se poser chez elle, au calme.
Tu mérites que quelqu'un prenne soin de toi, princesa , sincérité criante, tu ne mens jamais, apanage des fous dans un monde de manipulateurs, tendresse dans chacune des caresses offertes par ton regard. Du bout des doigts, tu relèves son menton, sourire discret accroché aux lèvres, tu embrasses le bout de son nez avant de te retrouver rapidement plaquer contre la paroi de la douche. Surprenante petite fleur. La faute à qui si j'ai transpiré cette nuit ? Murmure posé contre ses lèvres, malice dans les iris, paradoxe de la situation qui veut que tu ne dormes pas beaucoup quand elle est là, mais que tu dormes très bien en contre partie. La délicieuse joue et s'écarte au moment où ça devient intéressant, petit soupire contrarié malgré l'amusement, elle te le paiera, c'est certain. Le savon sur ton corps, tu la laisses faire jusqu'à être recouvert de mousse, tu l'attires contre toi en mêlant caresses et chatouilles
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Jeu 9 Mai 2019 - 22:02
nos troubles rêveries.
shalia
Pas à l’aise avec l’idée qu’il fouille son esprit, Laelia lui faisait assez confiance pour savoir qu’il n’irait pas chercher ce qui ne concernait pas ses souvenirs d’enfance. Peut-être qu’elle y verrait plus clair, après tout personne n’avait jamais pris l’initiative d’autant l’aider, de quoi la toucher profondément. Les doigts qui se liaient, au même titre que leurs prunelles, ils se fixaient les abrutis heureux, un sourire embarrassé aux lèvres. C’était beau et puissant ce lien qui les unissait, mais pourtant fragile, encore chancelant. Des mots tendres susurrés, elle lui souriait, poupée radieuse. « Tu mérites qu’on prenne soin de toi. » Écho de ses propos, le serpent se laissait faire, arrondi du nez embrassé, un air malicieux imprégnait ses iris azur. Contre la paroi de la bouche, la tornade jouait, dessinant sa peau, caressant sa virilité qui se réveillait au creux de sa paume brûlante. « Tu m’as déshabillé. » Complicité innée, l’orchidée souriait sans interruption, charme sur pattes, elle se retirait après avoir savonné Sasha. Celui-ci ne s’avouait pas vaincu et lui faisait payer la monnaie de sa pièce, caressait son derme brun, sans quitter l’océan de ses prunelles envoûtantes. Les bras au-dessus de son visage, la fleur happait les pulpes jumelles du brun, le feu dans le regard. « J’ai transpiré cette nuit, j’en ai bien besoin... »
Des frissons arrachés, l’eau s’abattait à nouveau sur eux tandis que leurs corps fusionnaient, l’un contre l’autre. « Tu me le paieras. » Mouvement de bassin, la belle riait tendrement, le jeu se terminait, du moins pour le moment. Sortant ensuite de la douche, la créatrice entourait son corps ainsi que sa chevelure d’une serviette, essuyant son visage afin d’appliquer ses quelques soins du matin. Pimpante, la chevelure encore humide, ses pas retrouvaient ceux de Sasha. « Je reste. » L’orchidée avait pris de quoi s’habiller, alors tout allait bien. Désormais assise sur le lit désordonné, la typée frictionnait sa tignasse dans le but de la sécher. Le regard qui glissait contre les courbes athlétiques du jeune homme, Laelia pinçait sa lèvre en l’attirant en face d’elle, le visage levé vers le sien. « Très beau. » Un baiser déposé contre son torse, puis deux et trois, l’odieuse se retirait, sortant du déodorant ainsi que sa dentelle prune foncée, facilement enfilée. Féline et féminine, la Texane peignait sa chevelure dans le miroir de la chambre. Elle ne s’habillait pas maintenant, de peur de froisser sa magnifique robe blazer.
Les quelques préparatifs achevés, la fleur entourait la taille de Sasha, se collait à lui dans un sourire rayonnant. « Jouons à quelque chose. » Soudaine envie, elle prenait du plaisir à jouer et c’était un excellent jeu pour passer le temps. « Ou fais-moi danser. À moins que tu préfères te reposer ? » Étincelle dans la Voie lactée de ses yeux, Laelia le fixait, jusqu’à le faire basculer sur le lit, le dominant en rabattant sa chevelure en arrière. Serpent sensuel, la brune venait le taquiner et jouer un peu plus, ondulant lentement des hanches tout en nouant sa tignasse dans une natte épaisse, le tout relié par un foulard fin léopard. « Alors ? Je suis ouverte aux suggestions. » Elle lui laissait le choix, plus ou moins, s’amusant à alimenter le brasier précédemment allumé sous la douche, la pulpe des doigts retraçant les tatouages de l’apollon, ce même sourire heureux aux lèvres.
Des frissons arrachés, l’eau s’abattait à nouveau sur eux tandis que leurs corps fusionnaient, l’un contre l’autre. « Tu me le paieras. » Mouvement de bassin, la belle riait tendrement, le jeu se terminait, du moins pour le moment. Sortant ensuite de la douche, la créatrice entourait son corps ainsi que sa chevelure d’une serviette, essuyant son visage afin d’appliquer ses quelques soins du matin. Pimpante, la chevelure encore humide, ses pas retrouvaient ceux de Sasha. « Je reste. » L’orchidée avait pris de quoi s’habiller, alors tout allait bien. Désormais assise sur le lit désordonné, la typée frictionnait sa tignasse dans le but de la sécher. Le regard qui glissait contre les courbes athlétiques du jeune homme, Laelia pinçait sa lèvre en l’attirant en face d’elle, le visage levé vers le sien. « Très beau. » Un baiser déposé contre son torse, puis deux et trois, l’odieuse se retirait, sortant du déodorant ainsi que sa dentelle prune foncée, facilement enfilée. Féline et féminine, la Texane peignait sa chevelure dans le miroir de la chambre. Elle ne s’habillait pas maintenant, de peur de froisser sa magnifique robe blazer.
Les quelques préparatifs achevés, la fleur entourait la taille de Sasha, se collait à lui dans un sourire rayonnant. « Jouons à quelque chose. » Soudaine envie, elle prenait du plaisir à jouer et c’était un excellent jeu pour passer le temps. « Ou fais-moi danser. À moins que tu préfères te reposer ? » Étincelle dans la Voie lactée de ses yeux, Laelia le fixait, jusqu’à le faire basculer sur le lit, le dominant en rabattant sa chevelure en arrière. Serpent sensuel, la brune venait le taquiner et jouer un peu plus, ondulant lentement des hanches tout en nouant sa tignasse dans une natte épaisse, le tout relié par un foulard fin léopard. « Alors ? Je suis ouverte aux suggestions. » Elle lui laissait le choix, plus ou moins, s’amusant à alimenter le brasier précédemment allumé sous la douche, la pulpe des doigts retraçant les tatouages de l’apollon, ce même sourire heureux aux lèvres.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Mar 14 Mai 2019 - 19:26
nos troubles rêveries.
shalia
Tu t'es parfois demandé pourquoi elle ne montrait pas ce visage aux autres, cette fille adorable, drôle, magnifique, celle qui sourit sans malice et rit aux blagues pourries. C'est le premier pas vers le bonheur, vers l'acceptation et cette nouvelle vie qu'elle souhaite. Que tu lui souhaites également. Difficile d'expliquer ce lien qui vous unit, aujourd'hui comme hier, c'est étrange, mélange détonnant de confusion émotionnelle, possessivité et instinct de protection, ça ressemble au titre d'un conte pour enfants ; la louve et l'ours. Chacun protégeant l'autre, alors que le plus grand danger ne vient pas forcément de l'extérieur, ensemble vous êtes forts, mais vous possédez également toutes les armes pour vous détruire. C'est certainement ce qui vous attire, cette dangerosité, ce grain de folie, cette idée que l'autre accepte la partie la plus sombre qu'il existe, ce n'est pas donné à tous de voir le mal en action et de le comprendre. C'est ce que vous avez fait l'un pour l'autre, l'un comme l'autre. Elle a accepté tes démons, tes heures les plus sombres et aujourd'hui, tu aimerais lui permettre d'exorciser les siens, d'enfin se libérer du poids du passé comme tu as pu le faire.
Complicité dans chaque moment d'intimité, tu souris à ses paroles tandis que son corps s'éloigne du tien, j'y peux rien si tu ressembles à un sac quand tu es habillée. Habitué à la contrarier, tu attends la réplique, te préparant à ressentir de la douleur à un endroit où l'autre, la danseuse étant particulièrement susceptible quand il est question de ses créations ou de son style. Parce que c'est toujours l'heure de jouer, tu éteins le feux qu'elle vient d'alimenter en la projetant sous le jet d'eau avant de sortir de la douche, la laissant seule avec son sourire. Rapidement, la fleur te rejoint dans la chambre, prenant place sur le lit défait par cette nuit plutôt agitée, tu la regardes du coin de l’œil, la laisses t'attirer à elle et profite de ses lèvres chaudes contre ton torse, le corps parcouru d'un frisson laissé en suspend. Elle joue avec toi, comme un chat avec la souris qu'il compte bouffer, mais c'est de bonne guerre. La jolie enfile sa dentelle, coloris parfait pour sa carnation sous ton regardtoujours appréciateur. À la limite, ça, c'est tolérable... Tu fais référence au sac de plus tôt, le sourire charmeur et narquois à la fois, elle prend le dessus, tu te laisses tomber sur le lit avec un regard inquisiteur. Tes doigts frôlent à peine ses flancs, glissent subtilement contre le bord de ses sous-vêtements, la cascade formée par ses cheveux te chatouille le torse ; problème réglé quand la tornade se décide d'attacher sa tignasse, non sans tortiller légèrement des hanches.
Légère, tu la retournes prenant le dessus sur elle, emprisonnant ses poignets d'une seule main, poigne de fer délicieuse, tu souris en approchant ton visage du sien, je pensais étudier, mais ... je pense que c'est foutu de toute façon, dis-moi, c'est quoi ton jeu ? Peut-être que tu la feras danser plus tard, ce n'est pas ton activité favorite, mais tu n'es pas un mauvais danseur - éducation bourgeoise oblige -, et puis ça te permet de draguer assez facilement, les femmes aiment qu'un homme sache se départir de cette tâche. Les bras au-dessus de la tête de la créatrice, tu profites de ta grande taille pour étendre un peu plus son corps fuselé, laissant ta main libre glisser contre ses courbes galbées avec une lenteur qui pourrait rivaliser avec la plus vicieuse torture.
Complicité dans chaque moment d'intimité, tu souris à ses paroles tandis que son corps s'éloigne du tien, j'y peux rien si tu ressembles à un sac quand tu es habillée. Habitué à la contrarier, tu attends la réplique, te préparant à ressentir de la douleur à un endroit où l'autre, la danseuse étant particulièrement susceptible quand il est question de ses créations ou de son style. Parce que c'est toujours l'heure de jouer, tu éteins le feux qu'elle vient d'alimenter en la projetant sous le jet d'eau avant de sortir de la douche, la laissant seule avec son sourire. Rapidement, la fleur te rejoint dans la chambre, prenant place sur le lit défait par cette nuit plutôt agitée, tu la regardes du coin de l’œil, la laisses t'attirer à elle et profite de ses lèvres chaudes contre ton torse, le corps parcouru d'un frisson laissé en suspend. Elle joue avec toi, comme un chat avec la souris qu'il compte bouffer, mais c'est de bonne guerre. La jolie enfile sa dentelle, coloris parfait pour sa carnation sous ton regard
Légère, tu la retournes prenant le dessus sur elle, emprisonnant ses poignets d'une seule main, poigne de fer délicieuse, tu souris en approchant ton visage du sien, je pensais étudier, mais ... je pense que c'est foutu de toute façon, dis-moi, c'est quoi ton jeu ? Peut-être que tu la feras danser plus tard, ce n'est pas ton activité favorite, mais tu n'es pas un mauvais danseur - éducation bourgeoise oblige -, et puis ça te permet de draguer assez facilement, les femmes aiment qu'un homme sache se départir de cette tâche. Les bras au-dessus de la tête de la créatrice, tu profites de ta grande taille pour étendre un peu plus son corps fuselé, laissant ta main libre glisser contre ses courbes galbées avec une lenteur qui pourrait rivaliser avec la plus vicieuse torture.
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Mer 15 Mai 2019 - 7:27
nos troubles rêveries.
shalia
Il se passait quelque chose lorsque leurs regards contrastés croisaient l’autre, un cocktail émotionnel indescriptible, de ceux qui ne portaient pas de noms. Qui déstabilisaient aussi, hantise de l’inconnu, de l’incertain, relation déroutante. Mélange d’affection, de possessivité et d’autres éléments indescriptibles. Lentement, la jeune fleur poussait le torse de Sasha, les sourcils froncés. Il n’y avait que lui pour oser critiquer son style vestimentaire sans côtoyer le côté extrême de la poupée. « Dit-il. Tu portes toujours les mêmes vêtements, pas étonnant qu’Agneas te traite de clochard. » Ronce piquante, elle déchirait facilement, il fallait juste toucher le point sensible, cette corde plus abîmée que les autres. Risette complice malgré elle. Séchant avec la plus grande des minuties sa chevelure brune, Laelia ajustait par la suite sa lingerie échancrée en dentelle, belle et somp(tueuse) jusqu’aux petits détails. De plus, l’orchidée se sentait belle et désirable à travers le regard du père abandonné, ce qui la faisait sourire. « Toi, en revanche, tu es horrible. » L’azur qui désignait le crépuscule de son bas en trop, ses prunelles ne le lâchaient pas une fois sur lui, serpent charmeur.
Le derme airain qui frissonnait, Laelia glissait son muscle rosé contre ses pulpes humides, amusée par ce spectacle de son entrejambe qui s’éveillait davantage au creux de ses cuisses comme du renversement de situation. Poignets liés, la créatrice appréciait ce geste, érotisme pur, ses jambes galbées s’étaient écartées pour lui laisser la place nécessaire. « Le jeu du chat et de la souris... » Murmuré contre les pulpes du brun, un sourire ne la quittait pas. « Celui qui attrape et fait couiner l’autre en premier à gagner. Deal ? » Cuisse qui remontait contre l’entrejambe de Sasha, celle-ci se mettait à frotter lentement, trop lentement, la zone érogène. « Je vous sens tout tendu Monsieur Muller... » Lobe mordillé entre ses dents, le souffle brûlant de la sulfureuse s’accentuait, frappant son oreille, voix dégoulinant de sensualité, toujours. « Je devrai vous aider, qu’en dites-vous ? » Susurre envoûtant. Elle le désirait Sasha, il n’y avait aucun doute possible là-dessus, si ce n’était les pulsations de son palpitant qui s’emballaient. Tout en accentuant les caresses semblables à de la torture, ses pulpes marquaient la chair tendre du beau, avant de saisir langoureusement ses croissants de chairs, trahissant l’incendie qui brûlait en elle.
Le derme airain qui frissonnait, Laelia glissait son muscle rosé contre ses pulpes humides, amusée par ce spectacle de son entrejambe qui s’éveillait davantage au creux de ses cuisses comme du renversement de situation. Poignets liés, la créatrice appréciait ce geste, érotisme pur, ses jambes galbées s’étaient écartées pour lui laisser la place nécessaire. « Le jeu du chat et de la souris... » Murmuré contre les pulpes du brun, un sourire ne la quittait pas. « Celui qui attrape et fait couiner l’autre en premier à gagner. Deal ? » Cuisse qui remontait contre l’entrejambe de Sasha, celle-ci se mettait à frotter lentement, trop lentement, la zone érogène. « Je vous sens tout tendu Monsieur Muller... » Lobe mordillé entre ses dents, le souffle brûlant de la sulfureuse s’accentuait, frappant son oreille, voix dégoulinant de sensualité, toujours. « Je devrai vous aider, qu’en dites-vous ? » Susurre envoûtant. Elle le désirait Sasha, il n’y avait aucun doute possible là-dessus, si ce n’était les pulsations de son palpitant qui s’emballaient. Tout en accentuant les caresses semblables à de la torture, ses pulpes marquaient la chair tendre du beau, avant de saisir langoureusement ses croissants de chairs, trahissant l’incendie qui brûlait en elle.
(c) DΛNDELION
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Jeu 16 Mai 2019 - 10:00
nos troubles rêveries.
shalia
Elles se sont bien trouvées, ta tante et la fleur, toi par contre tu ne devrais pas rester au milieu tu risquerais fort de te retrouver endimancher dans un costume bien trop guindé pour toi. Haussement désinvolte, tu portes toujours la même chose et ça ne dérange personne, et si ça dérange, tu t'en fous totalement pour toi seul le confort est important. Et le noir. C'est bien le noir. Compliment masqué sous le cynisme, elle réplique sans attendre et tu souris en t'observant une seconde, t'as raison, j'vois pas ce que tu fais là d'ailleurs, tu devrais aller chez un amant plus beau. C'est pas comme si elle n'avait pas le choix, tu la sais volage la petite Trejo, petite abeille, elle non plus ne se contente pas d'une seule fleur.
Le chat et la souris, bien sûr, son jeu favoris. Tenter de rendre fou avant que la folie ne l'emporte, c'est un jeu dangereux dans lequel on se perd facilement, mais qui promet aussi de très bons moments. On dirait que je t'ai déjà attrapée, ton regard glisse sur elle, ta main emprisonnant ses poignets resserrant un peu plus sa prise. La belle te fait de la place entre ses cuisses, jouant des ses jambes fuselées pour te titiller,et ça fonctionne. Murmure au creux de l'oreille, tu sens une délicieuse morsure contre ton lobe, je ne vois pas comment vous pourriez me détendre, miss. Regard joueur, tu repasses tes jambes par dessus les siennes, empêchant toute amplitude de mouvement. Fixant la tête de lit, tu formules un sortilège dans ton esprit, des liens apparaissent et s'enroulent autours des poignets de la fleur pour te permettre de retrouver l'utilisation de tes deux mains. Liens enchantés très amusants à utiliser, ils ne se desserrent que dans trois cas, l'ordre du propriétaire, l'atteinte de l'orgasme ou la panique chez la personne attachée, le tout devant rester un jeu et ne pas virer au traumatisme. Lèvres chaudes contre sa peau dorée, tu glisses le long de ses bras, dans son cou, je crois tu vas couiner d'abord murmure amusé sur sa peau. Du bout des doigts, tu caresses son visage avant de l'embrasser, l'autre main glissant contre l'extérieur de sa cuisse avant de glisser sous la dentelle, je vais quand même t'enlever ça, ça serait dommage de l'abîmer . On ne sait jamais, tu n'es pas un modèle de délicatesse quand tu te laisses emporter. Mouvement lents, délicats, tu fais glisser la pièce de tissus le long de son corps, embrassant la peau frôlée sur le chemin, tes dents laissant une légère trace sur l'intérieur de sa cuisse. Toujours sûre de vouloir jouer ? Question accompagnée de caresses sensuelles, délicates, de ce regard brûlant de désir, t'es insatiable.
Le chat et la souris, bien sûr, son jeu favoris. Tenter de rendre fou avant que la folie ne l'emporte, c'est un jeu dangereux dans lequel on se perd facilement, mais qui promet aussi de très bons moments. On dirait que je t'ai déjà attrapée, ton regard glisse sur elle, ta main emprisonnant ses poignets resserrant un peu plus sa prise. La belle te fait de la place entre ses cuisses, jouant des ses jambes fuselées pour te titiller,
(c) DΛNDELION
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Re: (shalia) nos troubles rêveries.
Jeu 16 Mai 2019 - 10:52
nos troubles rêveries.
shalia
« J’irai dès ce soir. » Provocation ponctuée par un sourire, la fleur le regardait. S’il savait qu’elle pensait parfois à lui dans les bras d’autres, un ours qui frôlait son esprit lorsque l’ennui passait. « Je ne sais pas ce que je fais là du coup. » Incitation, ils se souriaient, une pointe d’amertume dans la voix malgré les sourires qui étiraient les pulpes, des propos mêlés à une pointe de jalousie ainsi que de possessivité, des choses non avouées. Et pourtant, c’était lui que Laelia choisissait, l’évidence peut-être, lui, tête brune en qui elle avait confiance, complicité et affection sans limites. Malicieuse, le serpent le fixait, les mains tenues au-dessus de son visage, position des plus érotiques, sensuelles. Cuisse joueuse, la virilité de son partenaire s’éveillait davantage, au rythme des caresses appuyées de sa jambe. Sans jamais que son sourire ne quitte les lèvres de la poupée, elle le regardait, passant son muscle rosé contre ses pulpes, appréciant la fermeté du joueur contre ses poignets. Facilement dominée, la précieuse embrassait puis marquait sa nuque, en proie à des frissons délicieux.
Un lien magique s’enroulait autour de ses poignets, voix légère, enivrante, au creux de son oreille. « Ne me sous-estimez pas, Monsieur... » Les prunelles océan dans celles de Sasha, une tendresse particulière émanait de cet échange visuel. Fusion et intensité des iris, il caressait sa peau bronzée, la couvant du regard avant de s’embrasser lentement, longuement, une main qui glissait sous sa dentelle. « Ce n’est pas dérangeant. » La magie était utile lorsque la sauvagerie prenait le dessus, un aspect du brun que la belle aimait, autant que le penchant ours protecteur. Sous le passage de ses pulpes et de ses doigts, Laelia contractait ses abdominaux, baissant le regard sur Sasha devant lequel les cuisses de l’orchidée s’ouvraient. La chair de ces dernières marquées, comme si son derme n’était pas suffisamment marqué par l’apollon. Geste excitant à souhait, son souffle chaud s’accélérait, devenait plus brûlant encore. « Toujours. » Murmure sensuel, le regard azur de la jolie s’accrochait à celui de Sasha, le brasier dans ce dernier.
Mélange des pupilles, Laelia bougeait légèrement, fleur capricieuse et joueuse. « Fais-moi couiner, Sasha. » Requête susurrée, la souris ondulait des hanches, rictus amusé et joueur aux lèvres. Sans le lâcher des yeux, la ronce souriait, air malicieux. Touche-moi. Je suis à toi.
Un lien magique s’enroulait autour de ses poignets, voix légère, enivrante, au creux de son oreille. « Ne me sous-estimez pas, Monsieur... » Les prunelles océan dans celles de Sasha, une tendresse particulière émanait de cet échange visuel. Fusion et intensité des iris, il caressait sa peau bronzée, la couvant du regard avant de s’embrasser lentement, longuement, une main qui glissait sous sa dentelle. « Ce n’est pas dérangeant. » La magie était utile lorsque la sauvagerie prenait le dessus, un aspect du brun que la belle aimait, autant que le penchant ours protecteur. Sous le passage de ses pulpes et de ses doigts, Laelia contractait ses abdominaux, baissant le regard sur Sasha devant lequel les cuisses de l’orchidée s’ouvraient. La chair de ces dernières marquées, comme si son derme n’était pas suffisamment marqué par l’apollon. Geste excitant à souhait, son souffle chaud s’accélérait, devenait plus brûlant encore. « Toujours. » Murmure sensuel, le regard azur de la jolie s’accrochait à celui de Sasha, le brasier dans ce dernier.
Mélange des pupilles, Laelia bougeait légèrement, fleur capricieuse et joueuse. « Fais-moi couiner, Sasha. » Requête susurrée, la souris ondulait des hanches, rictus amusé et joueur aux lèvres. Sans le lâcher des yeux, la ronce souriait, air malicieux. Touche-moi. Je suis à toi.
(c) DΛNDELION
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