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La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 3 Avr 2021 - 0:51
La première fête de trop
Tout commença par une folle lubie, vous savez, souvent les gens le matin se disent qu’ils ont envie d’un café, d’une tasse de thé, d’un gâteau d’une bonne journée, pleins de choses logiques. Et bah moi, je me suis levé avec l’envie d’améliorer ma vie sociale, plus précisément en participant à une soirée, en observant comment on devait se comporter.
Je regardais donc mon café, ouvrant mon téléphone, quel jour on était ? Vendredi ? Pas mal du tout comme jour pour trouver une soirée où s’incruster, je regardais donc les story sur wizardgram, si il y avait une soirée prévu, autant s’incruster ou faire en sorte qu’on m’invite, j’allais m'adapter en fonction des gens.
J’avais trouvé quelqu’un qui en organisait une, une bonne connaissance, si on pouvait appeler ça comme ça, cette personne semblait essayer de faire quelques pas vers moi pour devenir ami mais j’avais toujours gentiment décliné, c’était plus fort que moi, mais bon, j’essayais de faire quelques efforts et tenter une soirée c’était pas mal non ?
Je sortis donc de chez moi une fois complètement préparé et je discutais innocemment avec l’organisateur d’un cours qu’on avait en commun, avec pour but qu’il m’invite, cette proposition fut vite reçu, il me proposait encore une fois de venir, me disant qu’il y aurait pas mal de monde mais pas trop de bordel, je lui envoyais un peut-être avec un smiley souriant, bah quoi ? Il fallait toujours se faire désirer.
J’arrivais donc en cours, la journée fut relativement courte, les cours les moins prise de tête étaient souvent répartis sur la fin de semaine, ce n’était pas tellement difficile de suivre du début à la fin. Je rejoignais donc mon appartement pour me changer pour la soirée, j’avais opté pour un look simple, jean pull beige et basket blanche, autant ne pas se faire tellement remarquer, juste voir ce que les gens pouvaient bien faire et voir les diverses réactions, un peu comme une étude d’anthropologie.
Je décidais donc de me rendre avec la boule au ventre à cette soirée, après tout je n’étais pas obligé de parler, juste d'observer. Je n’avais pas apporté de boisson, aurai-je dû ? J’en sais rien. Je me ramenais donc vers 21 heures tout le monde avait déjà commencé à boire, je ne comprenais pas vraiment comment autant de monde qui ne se connaissait ni d’Adam ni d’Eve pouvait commencer à parler et paraître si proche.
Je prenais donc un verre, un truc fort même si j’ai pas trop su deviner ce que c’était, j’observais donc la scène, beaucoup furent étonné de me voir, me disant que c’était la première fois qu’il me voyait hors de l’université ? Sans blague ? Je faisais mes courses aussi parfois… J’arrivais donc à observer les gens, je n’étais pas à l’aise pour leur parler, donc je tentais un deuxième verre, le résultat était toujours le même, une boule dans la gorge qui m’empêchait de dire quoique ce soit.
Trois verres, puis quatre, après j’arrêtais de compter, les chiffres se ressemblaient trop. J’étais bien trop bourré, je savais que j’allais faire une connerie, je passais donc trois quarts de la soirée complètement seul à me bourrer la gueule sans que personne ne fasse attention à moi, comme si j’étais invisible, pas mal comme pouvoir.
Je sentais que je devais partir, je n’étais pas à ma place, en plus Patate devait s’ennuyer, non je ne me cherche pas de prétextes. C’est comme ça que je me retrouvais marchant en tanguant comme un bateau en pleine tempête, tout au ralenti. Il devait être quoi, une heure du matin ? Je devais réviser demain, enfin, si j’arrivais à me remettre de la gueule de bois qui arrivait. J’arrivais donc dehors, regardant mon téléphone, écran noir. C’était quoi cette blague ? Pourquoi ça ne s’allumait pas, plus de batterie ? Je le remettais dans ma poche en me maudissant de ne pas l’avoir chargé dans l’après-midi, y’avait plus moyen d’appeler un uber là.
- Dans quel bordel je me suis encore foutu...
Je me retrouvais donc à marcher, tentant désespérément de retrouver ma rue, mais bon, elles se ressemblaient toutes alors c’était quasiment impossible de retrouver mon chemin. Je tournais sur la droite mais étrangement, j’étais toujours dans un endroit inconnu, et puis stop. Je m’asseyais contre un réverbère en réfléchissant aux différentes options qui s’offrait à moi, sachant que j’étais toujours incapable de demander à qui que ce soit de l’aide à cette soirée. Fallait rester calme et penser.
Je regardais donc mon café, ouvrant mon téléphone, quel jour on était ? Vendredi ? Pas mal du tout comme jour pour trouver une soirée où s’incruster, je regardais donc les story sur wizardgram, si il y avait une soirée prévu, autant s’incruster ou faire en sorte qu’on m’invite, j’allais m'adapter en fonction des gens.
J’avais trouvé quelqu’un qui en organisait une, une bonne connaissance, si on pouvait appeler ça comme ça, cette personne semblait essayer de faire quelques pas vers moi pour devenir ami mais j’avais toujours gentiment décliné, c’était plus fort que moi, mais bon, j’essayais de faire quelques efforts et tenter une soirée c’était pas mal non ?
Je sortis donc de chez moi une fois complètement préparé et je discutais innocemment avec l’organisateur d’un cours qu’on avait en commun, avec pour but qu’il m’invite, cette proposition fut vite reçu, il me proposait encore une fois de venir, me disant qu’il y aurait pas mal de monde mais pas trop de bordel, je lui envoyais un peut-être avec un smiley souriant, bah quoi ? Il fallait toujours se faire désirer.
J’arrivais donc en cours, la journée fut relativement courte, les cours les moins prise de tête étaient souvent répartis sur la fin de semaine, ce n’était pas tellement difficile de suivre du début à la fin. Je rejoignais donc mon appartement pour me changer pour la soirée, j’avais opté pour un look simple, jean pull beige et basket blanche, autant ne pas se faire tellement remarquer, juste voir ce que les gens pouvaient bien faire et voir les diverses réactions, un peu comme une étude d’anthropologie.
Je décidais donc de me rendre avec la boule au ventre à cette soirée, après tout je n’étais pas obligé de parler, juste d'observer. Je n’avais pas apporté de boisson, aurai-je dû ? J’en sais rien. Je me ramenais donc vers 21 heures tout le monde avait déjà commencé à boire, je ne comprenais pas vraiment comment autant de monde qui ne se connaissait ni d’Adam ni d’Eve pouvait commencer à parler et paraître si proche.
Je prenais donc un verre, un truc fort même si j’ai pas trop su deviner ce que c’était, j’observais donc la scène, beaucoup furent étonné de me voir, me disant que c’était la première fois qu’il me voyait hors de l’université ? Sans blague ? Je faisais mes courses aussi parfois… J’arrivais donc à observer les gens, je n’étais pas à l’aise pour leur parler, donc je tentais un deuxième verre, le résultat était toujours le même, une boule dans la gorge qui m’empêchait de dire quoique ce soit.
Trois verres, puis quatre, après j’arrêtais de compter, les chiffres se ressemblaient trop. J’étais bien trop bourré, je savais que j’allais faire une connerie, je passais donc trois quarts de la soirée complètement seul à me bourrer la gueule sans que personne ne fasse attention à moi, comme si j’étais invisible, pas mal comme pouvoir.
Je sentais que je devais partir, je n’étais pas à ma place, en plus Patate devait s’ennuyer, non je ne me cherche pas de prétextes. C’est comme ça que je me retrouvais marchant en tanguant comme un bateau en pleine tempête, tout au ralenti. Il devait être quoi, une heure du matin ? Je devais réviser demain, enfin, si j’arrivais à me remettre de la gueule de bois qui arrivait. J’arrivais donc dehors, regardant mon téléphone, écran noir. C’était quoi cette blague ? Pourquoi ça ne s’allumait pas, plus de batterie ? Je le remettais dans ma poche en me maudissant de ne pas l’avoir chargé dans l’après-midi, y’avait plus moyen d’appeler un uber là.
- Dans quel bordel je me suis encore foutu...
Je me retrouvais donc à marcher, tentant désespérément de retrouver ma rue, mais bon, elles se ressemblaient toutes alors c’était quasiment impossible de retrouver mon chemin. Je tournais sur la droite mais étrangement, j’étais toujours dans un endroit inconnu, et puis stop. Je m’asseyais contre un réverbère en réfléchissant aux différentes options qui s’offrait à moi, sachant que j’étais toujours incapable de demander à qui que ce soit de l’aide à cette soirée. Fallait rester calme et penser.
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Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 3 Avr 2021 - 17:56
La première fête de trop ft. @Aaron MayerWyatt regarde l’heure à sa montre. Eh, il serait temps de se mettre en route, non ? Il se regarde une dernière fois dans l’un des miroirs de la colocation et hausse les épaules finalement, se disant qu’il n’a que rarement besoin de trop en faire pour plaire. De toute façon, il s’est remis en couple - certes libre - avec Erwin, si bien qu’il n’est pas non plus désespérément en manque d’attention ou à la recherche d’un partenaire. Qui vivra verra ! Pour le moment, il souhaite simplement passer une bonne soirée avec ses potes.
Il rejoint ces derniers à l’adresse de la soirée d’un ami d’un ami d’un ami d’un ami. Bref, beaucoup d’amis, des personnes qui se connaissent, se reconnaissent ou s’ignorent selon les dramas en cours. Wyatt n’y fait pas attention et à peine arrivé, se prend une bière tout en allant discuter avec quelques connaissances. Des bédos tournent, s’échangent et les verres se suivent sans vraiment se ressembler. Assis sur le comptoir de la cuisine à faire le guignol, l’Ethelred s’arrête un instant et se penche sur le côté pour voir à travers l’embrasure de la porte. Il lui semble avoir vu un visage familier, mais il est possible que ce ne soit que l’alcool qui lui joue des tours. Enfin, ça et le peu de drogue qu’il a ingurgité en fumant il y a une demi-heure. Il descend de son trône et sort de la cuisine, regardant la foule à la recherche de la petite tête qu’il sait timide. Mais rien. Soit elle a disparu, soit il a juste mal vu et donc confondu. Haussant les épaules, il retourne à sa fête quand, à peine une heure plus tard, il lui semble voir de nouveau ce même visage se déplacer dans la pièce suivante.
“Aaron ?” Cette fois, il le suit aussitôt mais en quelques secondes, il se fait alpaguer par l’un de ses anciens amants - auquel il a potentiellement promis une revanche mais passons - il ne suffit que de cette petite interruption pour lui faire perdre de vue le Lufkin. Mince alors. Il est persuadé de l’avoir réellement reconnu cette fois ! Étant donné qu’il ne peut plus rien y faire, Wyatt s’attarde à régler cette histoire un peu chiante, il faut l’avouer, et une fois qu’il s’est débarrassé de cet ‘ex’, il retourne vers ses amis. Il n’aperçoit plus Aaron de la soirée, mais il y a peu de chance que cela ait vraiment été lui. Le Lufkin, à une soirée plutôt qu’avec son chat ? Comme s’il avait écouté ses conseils ? Wyatt a un peu de mal à y croire. Cela lui semble même un peu… absurde. Il retourne donc à ses occupations.
Il est tôt dans la matinée - ou tard dans la nuit ? - quand, assis sur un pan de mur à terminer sa bière en bonne compagnie, il voit sortir une silhouette qui titude sur la route. Il n’y fait pas attention tout de suite mais quand elle tourne dans la rue adjacente, l’Ethelred reconnaît aussitôt le profil de son ami. Donc il avait bien vu ! Lâchant aussitôt ce qu’il est en train de faire, il se met à courir - ok, trottiner vu tout ce qu’il a bu - en direction de la rue qu’a emprunté le jeune homme quelques minutes plus tôt. Il le perd encore une fois, que de frustration ! Mais par chance, finit par le retrouver assis contre un lampadaire. Il n’a pas l’air dans son assiette quand même…
“Mayer ! Putain ça fait genre des minutes que je te course, tu te téléportes ou quoi ? T’étais à la soirée ? J’ai cru t’y voir mais à chaque fois je te perdais de vue, donc je pensais halluciner !” Il rit et s'affale à côté du jeune homme. “J’arrive pas à croire que t’y sois allé ! Ta première c’est ça ? C’était comment ? T’as pécho ?” Bah oui, c’est l’information la plus importante à recueillir présentement.
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Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 3 Avr 2021 - 20:09
La première fête de trop
Ça tournait un peu, quelle idée de marcher si vite, j'avais même été incapable de me souvenir du lieu de la soirée et puis, pourquoi y'a personne nul part ? C'est bizarre, vendredi soir les gens faisaient la fête non ? Je restais contre le lampadaire en réfléchissant, quelles options s'offraient à moi ?
Faire la manche, mais ça ne réglerait pas mon souci, m'endormir sur ce poto, j'imaginais pas la tête des gens demain et je voulais pas qu'on parle de moi dans le chineur, pire, une photo. Je grimaçais à cette idée, fallait une solution et vite, je regardais mon téléphone, y’avait pas un sort pour recharger la batterie ? De toute façon si il y en avait un, je ne le connaisais pas, je soupirais en croisant les bras, peut-être qu’une petite sieste ce n’était pas une mauvaise idée.
Je m'installais un peu mieux, laissant ma tête tomber contre le métal froid, mais à peine j’avais fermé les yeux que quelqu’un venait me parler. Je regardais la personne, il me fallut un moment pour reconnaître un de mes rares amis, mon visage s’illumina, j’étais content, peut-être qu’il allait pouvoir m’aider, de toute façon je pouvais pas tellement rester ici sachant que Patate devait être nourrie le matin.
Je lui souriais et je l’écoutais me parler, il me demandait si je me téléportais, transplaner ? Dans un état pareil, je risquais d’envoyer un morceau au mexique et l’autre en allemagne. Il me demandait si j’étais bien à la soirée, si c’était ma première ce que j’en pensais et si j’avais pécho, je rougissais à cette dernière question.
- Ouais, pour une expérience de quoi déjà ?
C’était quoi le mot déjà ?
- Anthro… Anthropomorphe ? Nan ça c’est zootopie… Anthropologique ! Et c’était nul, j’suis pas doué socialement.
Je passais une main dans mes cheveux en souriant bêtement, c’était la vérité, j’étais pas à l’aise quand il y avait du monde, peut-être que je ne pouvais rien y faire.
- J’ai pas réussi à parler à qui que ce soit... Du coup j’ai bu... Trop… Et non, dur de pécho sans parler. Dur de pécho tout court.
C’est marrant, ça tournait toujours, je continuais de me dire que c’était pas normal. J’haussais les épaules et me redressais un peu.
- Du coup… J’me suis perdu et mon tel a plus de batterie. Et toi, t’as passé une bonne soirée ?
J'espérais qu’il s’était bien amusé , j’avais pas envie de lui pourrir la sienne, ouais, c’était un de mes nombreux talents nuls, pourrir l’ambiance, c’était plus fort que moi, certains avaient l’humour, d’autres étaient fêtards, moi j’étais juste morose.
Faire la manche, mais ça ne réglerait pas mon souci, m'endormir sur ce poto, j'imaginais pas la tête des gens demain et je voulais pas qu'on parle de moi dans le chineur, pire, une photo. Je grimaçais à cette idée, fallait une solution et vite, je regardais mon téléphone, y’avait pas un sort pour recharger la batterie ? De toute façon si il y en avait un, je ne le connaisais pas, je soupirais en croisant les bras, peut-être qu’une petite sieste ce n’était pas une mauvaise idée.
Je m'installais un peu mieux, laissant ma tête tomber contre le métal froid, mais à peine j’avais fermé les yeux que quelqu’un venait me parler. Je regardais la personne, il me fallut un moment pour reconnaître un de mes rares amis, mon visage s’illumina, j’étais content, peut-être qu’il allait pouvoir m’aider, de toute façon je pouvais pas tellement rester ici sachant que Patate devait être nourrie le matin.
Je lui souriais et je l’écoutais me parler, il me demandait si je me téléportais, transplaner ? Dans un état pareil, je risquais d’envoyer un morceau au mexique et l’autre en allemagne. Il me demandait si j’étais bien à la soirée, si c’était ma première ce que j’en pensais et si j’avais pécho, je rougissais à cette dernière question.
- Ouais, pour une expérience de quoi déjà ?
C’était quoi le mot déjà ?
- Anthro… Anthropomorphe ? Nan ça c’est zootopie… Anthropologique ! Et c’était nul, j’suis pas doué socialement.
Je passais une main dans mes cheveux en souriant bêtement, c’était la vérité, j’étais pas à l’aise quand il y avait du monde, peut-être que je ne pouvais rien y faire.
- J’ai pas réussi à parler à qui que ce soit... Du coup j’ai bu... Trop… Et non, dur de pécho sans parler. Dur de pécho tout court.
C’est marrant, ça tournait toujours, je continuais de me dire que c’était pas normal. J’haussais les épaules et me redressais un peu.
- Du coup… J’me suis perdu et mon tel a plus de batterie. Et toi, t’as passé une bonne soirée ?
J'espérais qu’il s’était bien amusé , j’avais pas envie de lui pourrir la sienne, ouais, c’était un de mes nombreux talents nuls, pourrir l’ambiance, c’était plus fort que moi, certains avaient l’humour, d’autres étaient fêtards, moi j’étais juste morose.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 4 Avr 2021 - 16:32
La première fête de trop ft. @Aaron MayerTrouver Aaron est un pur soulagement pour Wyatt, qui l’avait perdu de vue un peu plus tôt et n’avait cessé de le croiser pendant la soirée, pensant halluciner à chaque fois qu’il le voyait disparaître sous ses yeux. C’est que l’alcool peut faire des ravages… Mais en le voyant là, contre ce lampadaire, il se sent tout de suite un peu mieux et vient même le sonder en s’installant à ses côtés. Beaucoup de questions et peu de temps pour qu’il réponde - c’est le dada de l’Ethelred d’agir de cette façon. Dans le moment, dans la rapidité. Il constate bien vite qu’Aaron a l’air totalement torché, sûrement même plus que lui mais il faut prendre conscience qu’ils n’ont sûrement pas la même tolérance à ce genre de substances.
“Une quoi ?” Il ne comprend pas trop où le jeune homme veut en venir, le voyant chercher lui-même ses mots avant de, finalement, trouver celui qui l’intéresse. “Aaaaah, anthropologiiiiiie ! D’accord ! T’as appris des choses ?” Mais il lui indique vite que cela n’a pas été un succès. “Nul” est le terme employé par Aaron pour décrire son expérience sociale et Wyatt trouve ça bien dommage. S’ils s’étaient croisés, il aurait sûrement pu l’aider à se mêler à la masse mais bon, il ne sera pas non plus toujours là pour lui hein !
“Baaaaaaaaaaaaaah tu sais, y’a pas souvent besoin de parler pour pécho t’vois ce que j’veux dire ? En général, on fait autre chose avec not’ langue que parler. M’enfin tu dois bien le savoir. C’est trop dommage que ça n’ait pas marché mais eh ! C’est qu’une ébauche hein ! Faut réessayer. C’est genre comme les trucs scientifiques tu vois. Si t’essayes pas plusieurs fois, tu peux pas être sûr que c’est perdant. Enfin je sais plus trop les termes exacts mais un truc comme ça quoi.” En effet, peut-être n’est-il pas totalement net lui-même mais il en a l’habitude, à vrai dire. Cela le peine juste de voir son ami si morose et défaitiste. Oui, ça n’a pas fonctionné cette fois, mais cela ne veut pas dire que toutes les prochaines seront forcément des échecs ! Il veut lui redonner un peu confiance en lui.
“Ah moi c’est allé, comme d’hab’ tu vois. J’ai pas vraiment pécho cette fois, j’étais pas trop dans le mood je crois. J’ai surtout discuté. Pourquoi tu crois que t’as pas réussi à parler aux autres ? Nan parce qu’il y avait fouuuule de monde donc t’avais l’embarras du choix, comme on peut dire. Des mecs, des meufs… En plus, passé minuit en général, ils sont pas trop regardants sur l’interlocuteur. T’es sûr d’avoir bien essayé au moins ? Tu veux qu’on y retourne pour voir ?” Bon, ce ne serait peut-être pas une très bonne idée mais au moins, il propose une solution plus ou moins cohérente. Peut-être qu’avec quelqu’un pour l’épauler, Aaron se sentirait plus courageux et irait parler de lui-même aux autres ? Il aurait voulu être là. C’est con qu’il l’ait loupé à chaque fois !
“Bon puis sinon pour ton tel, pas de problème. Je peux te raccompagner chez toi hein ! J’suis pas un crevard, je vais pas te laisser en pls sur le bord de la route. Patate m’en voudrait trop. Au fait, comment elle va Patate ? Remise de son traumatisme ?” Il se met à rire, peut-être un peu trop fort même.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Mar 6 Avr 2021 - 23:55
La première fête de trop
Apprendre quelque chose ? Passons les leçons que je pouvais tirer, au bout de trois verres les choix étaient souvent mauvais ? Qu'il fallait toujours recharger son téléphone avant de sortir le soir ? Que Netflix était une excellente solution dans la vie ? Y'en avait pas mal finalement, mais la plus importante de toute c'est que l'alcool n'effaçait pas les problèmes, à la rigueur, il mettait une sorte de voile dessus, un peu comme un filtre insta.
- Que la vie c'est mieux dans les films et les séries ?
Tout ces films où tout allait pour le mieux, montrant une vie magnifique loin de problème et d'angoisse nulle, pourquoi ça ne pouvait pas être comme ça ? Si je le savais, je n'en serai sûrement pas là. Il m'indiqua qu'il ne fallait pas parler pour pécho, donc t'arrivait comme ça et tu pécho ? C'est quoi c'est une parade dont j'avais pas les codes ?
- Euh bah non, je sais pas moi. Réessayer … je sais pas vraiment si ça en vaut la peine... Je loupe peut-être pas grand chose au final et le monde ne manque rien au fait que je sois si timide, peut-être que c'est mieux ainsi.
Il me parla de sa soirée à lui, ça semblait tellement habituel quand on l'écoutait, il m'interrogea sur les raisons qui m'empêchaient de parler, me proposant même de retourner, comment décliner poliment ? C'est peut-être parce qu'il y avait foule que je n'y allais pas, trop terrifié par les jugements, par ce que pouvait penser les gens, ou alors du malaise d'avoir plusieurs regards braqués sur moi.
- Ouais, à chaque fois que j'essayais, j'avais comme une boule dans la gorge qui m'empêchait de dire quoique ce soit. C'est pas la peine d'y retourner, j'suis peut-être juste pas fait pour les endroit où il y a masse de gens...
Il me proposa de me raccompagner, c'était gentil, parce que je n'avais vraiment aucune idée d'où pouvait bien être mon appartement et que si il n'était pas là ça allait finir par une admiration du ciel et des étoiles. Il me parla de Patate et plaisanta à son propos, je rigolais tout naturellement me relevant comme je pouvais.
- Oh elle va bien, elle dort, mange, réclame des caresses tout le temps, pas trop de séquelles visiblement. Le post traumatique elle connait pas.
J'avais réussi à me relever, j'étais fier de moi, ouais pour si peu, je m'appuyais sur le lampadaire pour rester bien droit et statique. Je passais une main dans mes cheveux et je lui souriais.
- Bon, c'est par où d'après toi ?
Espérons qu'il ait un meilleur sens de l'orientation que moi.
- Que la vie c'est mieux dans les films et les séries ?
Tout ces films où tout allait pour le mieux, montrant une vie magnifique loin de problème et d'angoisse nulle, pourquoi ça ne pouvait pas être comme ça ? Si je le savais, je n'en serai sûrement pas là. Il m'indiqua qu'il ne fallait pas parler pour pécho, donc t'arrivait comme ça et tu pécho ? C'est quoi c'est une parade dont j'avais pas les codes ?
- Euh bah non, je sais pas moi. Réessayer … je sais pas vraiment si ça en vaut la peine... Je loupe peut-être pas grand chose au final et le monde ne manque rien au fait que je sois si timide, peut-être que c'est mieux ainsi.
Il me parla de sa soirée à lui, ça semblait tellement habituel quand on l'écoutait, il m'interrogea sur les raisons qui m'empêchaient de parler, me proposant même de retourner, comment décliner poliment ? C'est peut-être parce qu'il y avait foule que je n'y allais pas, trop terrifié par les jugements, par ce que pouvait penser les gens, ou alors du malaise d'avoir plusieurs regards braqués sur moi.
- Ouais, à chaque fois que j'essayais, j'avais comme une boule dans la gorge qui m'empêchait de dire quoique ce soit. C'est pas la peine d'y retourner, j'suis peut-être juste pas fait pour les endroit où il y a masse de gens...
Il me proposa de me raccompagner, c'était gentil, parce que je n'avais vraiment aucune idée d'où pouvait bien être mon appartement et que si il n'était pas là ça allait finir par une admiration du ciel et des étoiles. Il me parla de Patate et plaisanta à son propos, je rigolais tout naturellement me relevant comme je pouvais.
- Oh elle va bien, elle dort, mange, réclame des caresses tout le temps, pas trop de séquelles visiblement. Le post traumatique elle connait pas.
J'avais réussi à me relever, j'étais fier de moi, ouais pour si peu, je m'appuyais sur le lampadaire pour rester bien droit et statique. Je passais une main dans mes cheveux et je lui souriais.
- Bon, c'est par où d'après toi ?
Espérons qu'il ait un meilleur sens de l'orientation que moi.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 11 Avr 2021 - 16:10
La première fête de trop ft. @Aaron Mayer“Ouaiiii mais attends si tu pars comme ça, tu f’ras jamais rien en fait. Faut pas.” Wyatt fait la moue parce que cela lui fait de la peine de voir son ami comme ça. À regretter sa propre vie alors qu’avec un petit coup de pouce, il pourrait faire tellement plus ! Il aimerait bien l’aider mais sur le coup, ne sait pas trop comment. Ils ne sont plus à cette soirée mais bien dans la rue, où le champ des possibles est limité.
“Franchement, tu te sous-estimes trop là. Donne-toi au moins une p’tite chance ! Ils t’ont juste peut-être pas vu mais j’suis sûr qu’il y a plein de gens là-bas qui apprécierait discuter avec toi. Faut s’bouger !” Facile à dire pour lui, qui a la conversation et l’accroche tellement naturelle que c’en est une seconde peau. Il sait se mêler aux autres et n’a jamais aucun mal à trouver de quoi s’occuper pendant ce type de soirées. Voilà pourquoi il a dit à Aaron de l’appeler si jamais il voulait s’y essayer : il sait qu’avec lui, il pourra appréhender plus facilement la foule et attendre ce pour quoi il est venu. Il n’y a qu’à voir le résultat quand le Lufkin fait ça seul !
“C’est surtout que la prochaine fois, faut qu’tu me préviennes. Je vais t’aider moi ! Je te présenterai des gens, en mode tête à tête pour que ce soit moins impressionnant puis voilà. Puis franchement, faut pas en faire tout un drame. C’est pas parce que ça n’a pas marché ce soir que ça ne marchera jamais. Allez oust, debout !” Il propose même de le raccompagner chez lui pour cette fois, tout en gardant dans un coin de sa tête embrumée l’idée qu’il puisse l’emmener avec lui une prochaine fois. Pour le moment, la fête est finie et il est temps de rentrer chez soi. Vu l’état du sorcier, il est hors de question de le laisser partir seul et il tente de l’aider à se relever, même si ce n’est pas du tout fructueux.
“Ah bah tant mieux” répond-il alors qu’ils abordent le sujet de Patate, qu’il n’a pas vu depuis leur dernière entrevue. Il se souvient juste qu’elle compte énormément pour Aaron et que prendre de ses nouvelles va de soi, et démontre un certain intérêt pour le Lufkin. Wyatt tourne alors autour de lui-même pour se repérer dans l’espace, ce qui n’est pas chose aisée. Suivant la question de son ami, il est censé donner la bonne réponse et n’est même pas certain de lui lorsqu’il pointe une direction du doigt.
“Là !” S’emparant du bras de son acolyte de la soirée, le britannique se met à avancer avec assurance vers une destination qu’en fin de compte, il a sûrement choisie au hasard. Mais tous les chemins ne mènent-ils pas à Rome ? Oh, il aurait bien envie de faire un tour au Colisée tiens… Ils effectuent les premiers mètres de cette façon et en arrivant à un carrefour, se pose de nouveau le même dilemme que précédemment. Quelle direction sont-ils censés prendre ? C’est alors qu’il se tourne vers Aaron avec le plus grand sérieux du monde.
“T’habites où déjà au fait ?” Est-il en train de les diriger depuis tout à l’heure sans se rappeler de l’adresse exacte du sorcier, les menant à une évidente perdition ? Bien évidemment. Ce ne serait pas Wyatt, sinon.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Mar 13 Avr 2021 - 13:29
La première fête de trop
Je passais la main dans mes cheveux en réfléchissant, était-ce si grave si je ne faisais rien du tout dans ma vie ? Si on y réfléchissait j'avais déjà accompli pas mal de choses dont je pouvais être fier, j'avais des amis, enfin quelques uns, ok, je pouvais les compter sur les doigts de la main, une toute petite main. J'étais un bon élève dans un cursus particulièrement dur, j'avais Patate. C'était génial non ? Enfin, c'était un début, je ne pouvais pas me contenter de ça, c'était trop peu quand on y pense.
- Ouais, t'as raison, j'réessayerai mais version sans alcool.
Il me disait que je me sous-estimait et que certaines personnes pourraient apprécier discuter avec moi, je ne comprenais vraiment pas pourquoi, quelle était-donc cette idée saugrenue ? Il y avait bien plus intéressant que moi, déjà le temps que j'aligne une phrase sans bégayer la personne avait le temps de fuir en courant une bonne dizaine de fois. Il me proposa son aide, je souriais un peu et je détournais le regard.
- Ouais mais je voulais essayer seul, tu ne seras pas toujours là pour moi. Genre essayer de voler de mes propres ailes, mais j'ai vraiment fini au sol.
On commença à marcher un moment, les rues se ressemblaient toutes, je réfléchissais en les regardant, essayant d'apercevoir un panneau pour lire un nom de rue, je ne savais plus le mien mais au moins ça m'aiderait peut-être un peu. Il me demanda où on était, je le regardais en ouvrant grand les yeux.
- Bah si j'en suis là c'est que j'en sais rien moi... J'vais dormir sur la macadam, ça doit être confortable. Tout ce que je peux te dire c'est que c'est un appartement avec un gros chat trop mignon dedans.
- Ouais, t'as raison, j'réessayerai mais version sans alcool.
Il me disait que je me sous-estimait et que certaines personnes pourraient apprécier discuter avec moi, je ne comprenais vraiment pas pourquoi, quelle était-donc cette idée saugrenue ? Il y avait bien plus intéressant que moi, déjà le temps que j'aligne une phrase sans bégayer la personne avait le temps de fuir en courant une bonne dizaine de fois. Il me proposa son aide, je souriais un peu et je détournais le regard.
- Ouais mais je voulais essayer seul, tu ne seras pas toujours là pour moi. Genre essayer de voler de mes propres ailes, mais j'ai vraiment fini au sol.
On commença à marcher un moment, les rues se ressemblaient toutes, je réfléchissais en les regardant, essayant d'apercevoir un panneau pour lire un nom de rue, je ne savais plus le mien mais au moins ça m'aiderait peut-être un peu. Il me demanda où on était, je le regardais en ouvrant grand les yeux.
- Bah si j'en suis là c'est que j'en sais rien moi... J'vais dormir sur la macadam, ça doit être confortable. Tout ce que je peux te dire c'est que c'est un appartement avec un gros chat trop mignon dedans.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Mer 14 Avr 2021 - 16:29
La première fête de trop ft. @Aaron MayerWyatt, lui, aime les deux versions : avec et sans alcool. Le fun n’est pas le même, les intentions non plus. Le manque d’inhibition est tout un concept qu’il apprécie particulièrement et qui peut donner lieu à des situations vraiment rocambolesques. Mais pour une première fois comme Aaron, il est préférable de ne pas trop compter sur la boisson, au risque d’avoir de profonds regrets le lendemain. L’Ethelred est-il réellement un bon mentor dans ce domaine ? Il ne saurait le dire lui-même. Tout ce qu’il fait, c’est conseiller selon ses propres expériences - et elles sont nombreuses. Qu’il manifeste son intention de retenter à l’avenir est cependant bien suffisant pour le sorcier, qui peut s’estimer satisfait de cette entrevue rapide. Tant que Aaron ne se laisse pas sombrer dans la solitude, tout va pour le mieux non ?
“Nan, ça j’sais bien. Mais bon, pour une première, un coup de pouce ça mange pas de pain non plus. Mais honnêtement, je trouve que t’as bien fait quand même. Tu t’es pris en charge, c’est respectable !” Et il ne voit pas quoi dire d’autre car c’est la vérité de ce qu’il pense au sujet d’Aaron et qu’il est persuadé que les choses s’arrangeront. Un peu trop optimiste parfois, me direz-vous… Mais Wyatt aime à croire que tout le monde peut trouver son compte dans cette grande affaire qu’est la vie. S’il a pu le faire, ce sera également le cas du Lufkin - il faudra juste un peu plus d’effort, voilà tout.
Les deux comparses se mettent en marche, direction l’appartement d’Aaron mais l’Ethelred se rend vite compte qu’il n’a aucune idée d’où il va, ni de quelle est l’adresse de son compagnon de route. Il n’est pas assez sobre pour chercher dans sa mémoire et avoir une réponse fructueuse. Le plus rapide est donc de demander à Aaron ce qu’il en est, espérant que ce dernier sera un peu plus éclairé. Mauvaise pioche. Il se trouve dans la même situation. Comment s’en sortiront-ils si aucun des deux ne parvient à se repérer dans l’espace hein ?
“Mais nan allez, on va y arriver ! Bon… si on prend à droite, où est-ce que ça nous mène…” Wyatt réfléchit - ou fait mine de réfléchir, il ne saurait plus faire la différence entre les deux. Droite ou gauche ? Ou tout droit ? Ou revenir en arrière ? Bordel, il est complètement paumé et décide de faire comme d’habitude : y aller à l’instinct. De toute façon, ils finiront bien par atterrir quelque part…
“Okay, on va par là, hors de question que je te laisse passer la nuit sur le trottoir comme un sdf ! On va retrouver Patate, elle doit s’inquiéter.” Il attrape le sorcier par le bras et le tire de nouveau à sa suite pendant les prochains mètres. Wyatt avance tout d’abord d’un pas assuré, avant de devenir de plus en plus hésitant. Non, cette rue, il ne la reconnaît pas du tout. Mais en bon comédien qu’il est, il fait semblant du contraire.
“Aaaaah ouiiiii ! Si on tourne là-bas, on va arriver sur la rue Trucmuche là, tu sais celle avec les bâtiments tous bizarres, un peu rouge.” Non, c’est n’importe quoi, mais au moins il y croit.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Jeu 15 Avr 2021 - 19:41
La première fête de trop
Ma relation avec l'alcool était assez étrange, c'était fuis moi je te fuis et vice versa, à chaque fois que je me sentais trop seul, que j'avais un souci ingérable émotionnellement parlant, je me servais un petit verre, mais je savais que si j'en abusais et bien je fuirai la boisson pendant un moment, par manque d'envie d'avoir une gueule de bois même si je savais très bien qu'elle m'attendait le lendemain, je finissais aussi par l'éviter. pour les soucis psychologique et physiologiques que ça pouvait causer, je tenais à mon foie.
- Mouais, c'est triste que le courage liquide ça donne tant d'effet secondaire. J'devrai peut-être tester le felix felicis, vu mon cas...
La route n'était pas tellement droite, un pas à droite, un pas à gauche, ce n'était pas tellement compréhensible, qu'est-ce que c'était que cette histoire. Pourquoi les routes n'étaient pas droites ? Franchement, si je m'étais la main sur l'ingénieur qui avait pu concevoir ça, je ne lui ferai probablement rien parce que je ne réussirai pas à lui parler victime que je suis.
Wyatt semblait être optimiste pour deux, heureusement qu'il était là car ce n'était pas du tout mon cas, je ne savais pas vraiment si il était mieux orienté que moi, si ce n'était pas le cas, il était bon acteur, ou j'étais facilement manipulable une fois bourré, à voir.
- Si tu le dis, l'herbe c'est pas horrible comme matelas pour dormir mais avec un t-shirt blanc ça tache...
Ouais, c'était ça ma préoccupation actuel, choisir le sol où j'allais dormir. Je savais très bien que les chances de trouver mon appartement étaient quasiment nulles, alors ça ne servait pas tellement à grand chose d'essayer. Quelle idée de mettre des fringues blanches aussi, je devais éviter les routes avec des pavés, celles-ci étaient particulièrement inconfortables, et surtout si ce n'était pas lisse ça ne serait pas pratique pour rester parfaitement droit.
Wyatt voulait retrouver le chemin, prétextant que Patate devait s'inquiéter, je n'en étais pas tellement convaincu, je pourrai mourir d'une crise cardiaque devant ce chat qu'elle miaulerait uniquement pour avoir des croquettes et de la pâté, c'est qu'elle avait des goûts de luxe en plus, si je prenais un truc moins cher elle refusait carrément de le manger, quelle diva.
- Ça j'en sais trop rien, elle pense plus à elle qu'à autre chose. C'est une enfant ingrate.
Je continuais de sourire bêtement, je l'écoutais toujours attentivement, me disant qu'on était dans une rue dont il ne se souvenait pas du nom, je tentais donc de deviner pensant qu'il s'agissait d'un jeu improvisé.
- Rue des pâquerettes ? Des jonquilles ? Des mimosas ? Des azalées ? Des hortensias ? J'veux qu'on m'offre des fleurs je crois.
Je ne savais pas pourquoi mais tant de rues avaient un nom de fleurs que s'en était presque perturbant. Je m'avançais donc dans la rue avec Wyatt, peut-être que ça allait me rappeler des souvenirs même si j'avais de gros doute la dessus. Je le regardais et je penchais la tête en m'interrogeant.
- Au fait, tu vas savoir retrouver ton appart toi ? J'peux te servir d'airbnb pour la soirée si tu veux. Mais y'a que des coco pops au petit déjeuner.
C'était bon les coco pops ça croustillait et après le lait était chocolaté, que demander de plus ? Bon, j'avais mieux à faire que d'épiloguer sur mon choix de céréales, comme retrouver mon appart. Je tirais un peu Wyatt pour l'amener à gauche, bah ça ressemblait déjà un peu plus à la route que j'empruntais pour aller en cour , c'était marrant ça.
- Oh c'est marrant, ça ressemble un peu à la maison où je passe devant tout les matins, sacré coïncidence n'empêche.
- Mouais, c'est triste que le courage liquide ça donne tant d'effet secondaire. J'devrai peut-être tester le felix felicis, vu mon cas...
La route n'était pas tellement droite, un pas à droite, un pas à gauche, ce n'était pas tellement compréhensible, qu'est-ce que c'était que cette histoire. Pourquoi les routes n'étaient pas droites ? Franchement, si je m'étais la main sur l'ingénieur qui avait pu concevoir ça, je ne lui ferai probablement rien parce que je ne réussirai pas à lui parler victime que je suis.
Wyatt semblait être optimiste pour deux, heureusement qu'il était là car ce n'était pas du tout mon cas, je ne savais pas vraiment si il était mieux orienté que moi, si ce n'était pas le cas, il était bon acteur, ou j'étais facilement manipulable une fois bourré, à voir.
- Si tu le dis, l'herbe c'est pas horrible comme matelas pour dormir mais avec un t-shirt blanc ça tache...
Ouais, c'était ça ma préoccupation actuel, choisir le sol où j'allais dormir. Je savais très bien que les chances de trouver mon appartement étaient quasiment nulles, alors ça ne servait pas tellement à grand chose d'essayer. Quelle idée de mettre des fringues blanches aussi, je devais éviter les routes avec des pavés, celles-ci étaient particulièrement inconfortables, et surtout si ce n'était pas lisse ça ne serait pas pratique pour rester parfaitement droit.
Wyatt voulait retrouver le chemin, prétextant que Patate devait s'inquiéter, je n'en étais pas tellement convaincu, je pourrai mourir d'une crise cardiaque devant ce chat qu'elle miaulerait uniquement pour avoir des croquettes et de la pâté, c'est qu'elle avait des goûts de luxe en plus, si je prenais un truc moins cher elle refusait carrément de le manger, quelle diva.
- Ça j'en sais trop rien, elle pense plus à elle qu'à autre chose. C'est une enfant ingrate.
Je continuais de sourire bêtement, je l'écoutais toujours attentivement, me disant qu'on était dans une rue dont il ne se souvenait pas du nom, je tentais donc de deviner pensant qu'il s'agissait d'un jeu improvisé.
- Rue des pâquerettes ? Des jonquilles ? Des mimosas ? Des azalées ? Des hortensias ? J'veux qu'on m'offre des fleurs je crois.
Je ne savais pas pourquoi mais tant de rues avaient un nom de fleurs que s'en était presque perturbant. Je m'avançais donc dans la rue avec Wyatt, peut-être que ça allait me rappeler des souvenirs même si j'avais de gros doute la dessus. Je le regardais et je penchais la tête en m'interrogeant.
- Au fait, tu vas savoir retrouver ton appart toi ? J'peux te servir d'airbnb pour la soirée si tu veux. Mais y'a que des coco pops au petit déjeuner.
C'était bon les coco pops ça croustillait et après le lait était chocolaté, que demander de plus ? Bon, j'avais mieux à faire que d'épiloguer sur mon choix de céréales, comme retrouver mon appart. Je tirais un peu Wyatt pour l'amener à gauche, bah ça ressemblait déjà un peu plus à la route que j'empruntais pour aller en cour , c'était marrant ça.
- Oh c'est marrant, ça ressemble un peu à la maison où je passe devant tout les matins, sacré coïncidence n'empêche.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 17 Avr 2021 - 16:43
La première fête de trop ft. @Aaron MayerOh, le chemin va être long, il n 'y a pas à en douter. Aucun des deux n’est réellement apte à se repérer dans l’espace - ni dans le temps d’ailleurs - et Wyatt le premier avance à l’aveuglette. Mais c’est marrant, donc pourquoi arrêter n’est-ce pas ? C’est l’aventure ! Et le britannique adore les aventures de ce genre. Il n’est même pas certain qu’ils dormiront dans un lit ce soir mais au pire, ils trouveront bien un endroit où se poser. Sauf que, pour l’instant, l’Ethelred est confiant sur le chemin qu’il emprunte, quand bien même il ne l’a jamais vu de toute sa vie. Avec ce degré d’alcool dans le sang, toutes les façades des immeubles se ressemblent étrangement, si bien que c’est un enfer de se repérer !
“Mais naaaan, je suis sûre qu’elle s’inquiète pour de vrai. Pauvre chat, tu sous-estimes vraiment son amour quand même ! Ça ne lui fera pas plaisir quand je vais lui dire ce que tu m’as dit… Prépare-toi aux conséquences.” Peut-être que s’il prend une tête de chat et qu’il miaule, la communication se fera avec Patate ? Il n’y a pas de mal à essayer en tout cas. Ils arrivent encore une fois dans une autre rue mais cette fois, elle paraît bien plus familière. Wyatt tente d’expliquer cela avec des mots, mais le tout paraît vite incompréhensible même pour la personne la plus intelligente qui soit. À vrai dire, il n’a aucune idée de ce qu’il est en train de décrire donc… Et Aaron ne l’aide pas, avec tous ces noms de fleurs. D’où ça sort, au juste ? Il ne sait même plus ce qu’il voulait dire maintenant, il ne pense juste qu’à des fleurs…
“Sorry, j’en ai pas sous la main, mais ma voisine a des fleurs dans son potager, s’tu veux je peux aller lui piquer pour te les offrir !” Encore faudrait-il qu’il retrouve le chemin de la colocation… déjà qu’il a du mal à mettre un pied devant l’autre ! Mais où vont-ils ainsi ? C’est la grande question. Pourtant, Wyatt avance presque de manière assurée, c’est sûrement ce qui fait le plus peur à la réflexion. Trop assuré dans sa bêtise…
“Oooooh des coco pops, trop bieeeeen !” Le voilà qu’il sautille dans tous les sens tel un chevreau, tout ça pour… des céréales ? Oui, il lui en faut bien peu. “Avec plaisir !” Comme s’il allait refuser de dormir en bonne compagnie tiens ! Même s’il faut se rendre à l’évidence : il serait bien incapable de se souvenir du trajet menant de l’appartement d’Aaron jusqu’à chez lui… Eh, aucun homme n’est parfait ! Le sorcier se fait alors tirer sur le côté par son compère, qui le regarde avec de gros yeux ronds. Les miracles existeraient-ils ? La magie oui, en tout cas. Pourraient-ils résoudre leur problème avec un sort ? C’est fort possible mais si Wyatt commence à se servir de sa baguette maintenant, il ne faudra pas venir pleurer quand tout le quartier sera en feu…
“Ah ouaiiiii… c’est bizarre ça… Tu crois que du coup, faut qu’on continue par-là ? Elle est joliiiie cette maison eh. Attends, elle est où l’université alors ? Par là ? Par là ? Par là ? Par là ? Par là ?” Le sorcier pointe toutes les directions en ne cessant pas de tourner sur lui-même, jusqu’à avoir non seulement le tournis, mais la nausée.
“Ouhla, les manèges c’était pas une bonne idée.” Il prend quelques secondes pour se ressaisir et le voilà de nouveau reparti en sautillant dans l’une des directions. “ON ARRIVE PATATE !”
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 17 Avr 2021 - 21:10
La première fête de trop
J'avais l’impression d’être dans un labyrinthe et je n’aimais pas ça, comme dans un labyrinthe les chemins que nous prenions ne nous donnait aucune indication sur la suite des événements, si on continuait toujours tout droit on risquait de finir dans le tunnel sous la manche, bon, j’éxagérais mais l’idée était là, les culs de sacs étaient aussi casse pied, on était perdu.
Wyatt commença à me dire que je sous estimais l’amour de Patate, je savais qu’elle m’aimait, c’était réciproque, cette petite bête était la seule famille que j’avais emporté avec moi, je serai sûrement déjà dépressif sans elle. Il me menaça de le répéter à la concernée, ça me fit rire, je ne suis pas tellement sûr que ça l'intéressera, peut-être qu’elle lancera un miaulement pour se faire entendre. Je décidais quand même de jouer la drama queen comme une grande actrice, bourrée, mais une grande actrice quand même. Je m'accrochais à son bras et je surjouais :
- Oh non, tout mais pas ça ! Je t’en prie ! Que faire pour acheter ton silence ?
Je lâchais son bras en passant une main dans mes cheveux et en continuant de lui sourire. J’étais plus tactile et plus enclin à la plaisanterie une fois bourrée, je le notais à moi-même de m’en rappeler et d’analyser si c’était une bonne chose ou non. Il s’excusa de ne pas pouvoir m’en offrir, allant même jusqu’à me proposer d’en voler chez sa voisine, je souriais et je me grattais l’arrière de la tête, en réalité, lorsque la saint-valentin avait pointé le bout de son nez j’avais vu sur insta et dans les couloirs des tas de personnes avec des fleurs et des chocolats, mais je n’avais rien eu et de la jalousie ainsi que de la tristesse avaient donc pointer le bout de leur nez.
- Non, ne te fatigues pas pour ça, tu m’en offriras pour mon anniversaire.
Triste à dire mais mon anniversaire était déjà passé, je l’avais fait seul, j’avais reçu un beau livre “eat pray love”, bon c’était un peu gnangnan mais ça restait beau, j’avais aussi reçu un appel de ma grand mère, c’était tout, pas de fêtes, pas de post facebook, rien, je ne pouvais pas m’en plaindre, c’était moi qui l’avait provoqué, je n’aimais pas qu’on m’accorde de l’importance trop longtemps alors toute une journée je risquais de paniquer, c’était aussi ça de ne dire à personne sa date de naissance pour éviter que toute surprise arrive.
Wyatt semblait content d’avoir des coco pops demain matin, c’était qu’il avait du goût, je n’aurai pas laissé quelqu’un qui adorait les lucky charms franchir la porte. Je souriais en le voyant gambader comme ça, il était mignon comme ça,j’avais de la chance de l’avoir comme ami.
- Par contre tu le prépares, la gueule de bois risque de sacrément faire mal.
Wyatt commença à faire la toupie Beyblade quand je lui avais annoncé que je reconnaissais le chemin, il marqua une pause regrettant d’avoir tourné autant, je levais les yeux au ciel en souriant, je pointais du doigt une direction, c’était pas très tonique tout ça.
- L’université est par là je crois.
J’étais loin d’en être sûr mais il n’irait pas jusqu’à vérifier. Il décida de marcher en criant à Patate qu’on arrivait, m’arrachant un nouveau sourire, je continuais donc de marcher et j’essayais de réfléchir, je commençais à paniquer qu’on ne trouve jamais notre chemin, je m’arrêtais devant un portail blanc pour reprendre mes esprits, je tournais la tête et je regardais le dit portail.
C’était marrant, là où j’habitais il y avait exactement le même. Pour m’amuser j’essayais de taper mon code, oui, on avait pas les mêmes passe temps. C’était quoi déjà ? 4000 ? 0400 0040 ou 0004 ? J’essayais donc les quatres et le dernier fut le bon, on allait pouvoir dormir dans le hall de cet appartement, je saisissais le haut de Wyatt pour le traîner avec moi. Je regardais les boîtes aux lettres, peut-être qu’il y aurait quelqu’un de l’université, tient, c’était marrant, il y avait un Aaron Mayer au rez de chaussé aussi, que de coïncidence.
- Y’a un autre Aaron Mayer, c’est trop fort !
Je décidais donc d’aller toquer chez cet Aaron, mon homonyme ne pouvait pas nous refuser le gîte, ça ne se faisait pas. Je toquais trois fois et j’entendais un miaulement que je reconnaîtrais entre mille, je cherchais mes clefs et j’ouvrais la porte en comprenant que j’étais chez moi. Je pris Patate qui miaulait dans mes bras et je refermais derrière nous. Je la reposais sur le canapé et j’enlevais mon pull, c’est que l’alcool ça donnait chaud.
- Et bah fais comme chez toi. Tu préfères dormir où ?
Wyatt commença à me dire que je sous estimais l’amour de Patate, je savais qu’elle m’aimait, c’était réciproque, cette petite bête était la seule famille que j’avais emporté avec moi, je serai sûrement déjà dépressif sans elle. Il me menaça de le répéter à la concernée, ça me fit rire, je ne suis pas tellement sûr que ça l'intéressera, peut-être qu’elle lancera un miaulement pour se faire entendre. Je décidais quand même de jouer la drama queen comme une grande actrice, bourrée, mais une grande actrice quand même. Je m'accrochais à son bras et je surjouais :
- Oh non, tout mais pas ça ! Je t’en prie ! Que faire pour acheter ton silence ?
Je lâchais son bras en passant une main dans mes cheveux et en continuant de lui sourire. J’étais plus tactile et plus enclin à la plaisanterie une fois bourrée, je le notais à moi-même de m’en rappeler et d’analyser si c’était une bonne chose ou non. Il s’excusa de ne pas pouvoir m’en offrir, allant même jusqu’à me proposer d’en voler chez sa voisine, je souriais et je me grattais l’arrière de la tête, en réalité, lorsque la saint-valentin avait pointé le bout de son nez j’avais vu sur insta et dans les couloirs des tas de personnes avec des fleurs et des chocolats, mais je n’avais rien eu et de la jalousie ainsi que de la tristesse avaient donc pointer le bout de leur nez.
- Non, ne te fatigues pas pour ça, tu m’en offriras pour mon anniversaire.
Triste à dire mais mon anniversaire était déjà passé, je l’avais fait seul, j’avais reçu un beau livre “eat pray love”, bon c’était un peu gnangnan mais ça restait beau, j’avais aussi reçu un appel de ma grand mère, c’était tout, pas de fêtes, pas de post facebook, rien, je ne pouvais pas m’en plaindre, c’était moi qui l’avait provoqué, je n’aimais pas qu’on m’accorde de l’importance trop longtemps alors toute une journée je risquais de paniquer, c’était aussi ça de ne dire à personne sa date de naissance pour éviter que toute surprise arrive.
Wyatt semblait content d’avoir des coco pops demain matin, c’était qu’il avait du goût, je n’aurai pas laissé quelqu’un qui adorait les lucky charms franchir la porte. Je souriais en le voyant gambader comme ça, il était mignon comme ça,j’avais de la chance de l’avoir comme ami.
- Par contre tu le prépares, la gueule de bois risque de sacrément faire mal.
Wyatt commença à faire la toupie Beyblade quand je lui avais annoncé que je reconnaissais le chemin, il marqua une pause regrettant d’avoir tourné autant, je levais les yeux au ciel en souriant, je pointais du doigt une direction, c’était pas très tonique tout ça.
- L’université est par là je crois.
J’étais loin d’en être sûr mais il n’irait pas jusqu’à vérifier. Il décida de marcher en criant à Patate qu’on arrivait, m’arrachant un nouveau sourire, je continuais donc de marcher et j’essayais de réfléchir, je commençais à paniquer qu’on ne trouve jamais notre chemin, je m’arrêtais devant un portail blanc pour reprendre mes esprits, je tournais la tête et je regardais le dit portail.
C’était marrant, là où j’habitais il y avait exactement le même. Pour m’amuser j’essayais de taper mon code, oui, on avait pas les mêmes passe temps. C’était quoi déjà ? 4000 ? 0400 0040 ou 0004 ? J’essayais donc les quatres et le dernier fut le bon, on allait pouvoir dormir dans le hall de cet appartement, je saisissais le haut de Wyatt pour le traîner avec moi. Je regardais les boîtes aux lettres, peut-être qu’il y aurait quelqu’un de l’université, tient, c’était marrant, il y avait un Aaron Mayer au rez de chaussé aussi, que de coïncidence.
- Y’a un autre Aaron Mayer, c’est trop fort !
Je décidais donc d’aller toquer chez cet Aaron, mon homonyme ne pouvait pas nous refuser le gîte, ça ne se faisait pas. Je toquais trois fois et j’entendais un miaulement que je reconnaîtrais entre mille, je cherchais mes clefs et j’ouvrais la porte en comprenant que j’étais chez moi. Je pris Patate qui miaulait dans mes bras et je refermais derrière nous. Je la reposais sur le canapé et j’enlevais mon pull, c’est que l’alcool ça donnait chaud.
- Et bah fais comme chez toi. Tu préfères dormir où ?
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 25 Avr 2021 - 12:44
La première fête de trop ft. @Aaron MayerIl ne faut pas jouer à ce genre de jeu avec Wyatt, car il est bien plus qu’enclin à demander des faveurs en échange de ses services. Ou l’inverse. Bref, quand Aaron lui demande ce qu’il peut faire en échange de son silence, les idées se multiplient dans sa tête - et toutes ne sont pas très catholiques. Un léger sourire vient illuminer son visage quelques instants avant qu’il ne revienne à lui pour parler des fleurs chez sa voisine. Fleurs qu’il compte bien offrir au Lufkin, maintenant qu’ils en parlent ! Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’offrir ce genre de présent à un ami masculin, hein ?
“Owiiii ton anniversaiiiire ! C’est quand dis dis dis ?! Je te ferai le plus gros bouquet du MONDE.” À peine dans l’exagération, comme d’habitude. Wyatt en a toujours fait trop sur n’importe quel sujet, c’est ce qu’on peut souvent lui reprocher. Tout est pris à la légère, rien n’est jamais grave et il s’extasie d’un rien. Pour des céréales, par exemple, alors qu’il n’y a clairement pas de quoi ! Mais il faut dire que son état d’ébriété n’aide pas à le rendre plus calme. Si on comptait sur l’alcool pour le faire descendre un peu en tension, c’est manqué… Il fait semblant de ne pas entendre pour le plan du lendemain matin. Non pas qu’il ne puisse pas le faire, mais il n’aime pas avoir des responsabilités, Wyatt. S’il est un compétiteur, il est avant tout le gars assez fun qui ne se prend pas la tête…
Sur le même ton enthousiaste, le sorcier s’en va en trottinant, direction la rue que lui a indiqué Aaron quelques secondes plus tôt. Il est possible qu’ils se trompent encore mais, si c’est le cas, Wyatt y va gaiement, avec le sourire. Au pire, ils feront demi-tour, n’est-ce pas ? Il remarque quelques mètres plus loin qu’Aaron ne le suit plus. Ce dernier s’est arrêté à un portail étonnamment familier et s’amuse à appuyer sur les touches. Wyatt revient donc sur ses pas et le regarde faire en riant, car il n’a pas d’autres réactions en stock dans son répertoire pour le moment. Miraculeusement, ils parviennent à passer le portail et s’arrêtent aux boîtes aux lettres, où le Lufkin lui fait remarquer la présence de son homonyme.
“Mais la COÏNCIDENCE OMG ! Tu crois qu’il est comment ? Qu’il te ressemble ? Attends." L’Ethelred se dirige vers les interphones et appuie à répétition sur celui du fameux Aaron Mayer, mais personne ne lui répond. Manifestant sa déception, il suit son acolyte jusqu’à la porte de l’appartement de cet énergumène qui s’estime sûrement trop bien pour leur répondre ! Quel ingrat… Ils entendent alors un chat miauler de l’autre côté de la porte et les événements se déroulent très vite. Si vite que Wyatt a à peine le temps de les remarquer ! D’une seconde à l’autre, il se retrouve - il ne sait comment - à l’intérieur de l’appartement d’Aaron. Son Aaron. Ils ont fait un saut dans l’espace ou quoi ? Voir le temps.
“Bah dans ton lit ou sur le tapis ! Peu importe !” Comme s’il n’y avait pas d’autres alternatives… Mais il ne serait pas contre dormir dans un lit plutôt que l’autre option. Puis, ce n’est pas comme s’il allait lui sauter aussitôt dessus non plus, il est actuellement plus intéressé par l’action de dormir. Même si bon… c’est Wyatt. Un rien suffit parfois.
“Ou alors t’as peur de céder à mon charme ? Oups.” Il trébuche sur un jouet de Patate et manque de faire tomber une lampe par terre, qu’il rattrape à temps. “Je disais quoi déjà ?”
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 25 Avr 2021 - 16:59
La première fête de trop
Il me demanda la date de mon anniversaire et merde, j’avais peut-être parlé un peu trop vite, mais bon ce sera surement différent maintenant, j’ai des amis maintenant, c’était peut-être obligatoire de révéler ces choses là, bon, il était aussi bourré que moi, peut-être qu’il ne s’en souviendra pas. Je levais donc les yeux au ciel en souriant.
- C’est le 26 février mais c’est déjà passé.
Dommage pour le plus gros bouquet du monde, mais bon, ce serait pour une prochaine fois. Je pouvais dire adieu à ce petit bouquet de lys qui me tendait les bras.
- Et toi ? C’est quand ton anniversaire ?
Je ne savais même pas qu’est-ce que je pouvais bien lui offrir comme cadeau, qu’est-ce que les gens aimaient ? Du parfum ? Je n’en savais trop rien, peut-être que j’avais le temps pour trouver quelque chose qui lui plairait. Au pire des gâteaux, qui n’aimait pas les gâteaux sincèrement ? Tant d’années à ne pas parler aux gens m’avaient rendu incapable de deviner ce qui était plaisant aux gens normaux, pour moi un plaid ou une petite attention et j’étais comblé pour mon anniv.
Il sembla tout aussi surpris que moi de trouver mon homonyme, franchement c’était fort, il n’y en avait pas beaucoup des Aaron Mayer, je ne pensais jamais en croiser un. Il m’interroge sur comme je l’imaginais et va harceler l’interphone ce qui me fait sourire, en tout cas, il était sacrément malpoli qu’on toque ou qu’on sonne il ne répondait pas, si c’était moi cet Aaron, ça faisait de moi quelqu’un de malpoli, j’étais vraiment pas aussi bon que ce que je pouvais penser;
Wyatt ne semblait pas tellement dérangé à l’idée de dormir dans mon lit, ça voulait dire avec moi ? J’ai toujours dormi seul et c’était particulièrement gênant, mais je ne voulais pas dormir sur le canapé et je l’appréciais trop pour lui demander de dormir dans le canapé, j’allais dormir avec quelqu’un pour la première fois de ma vie, fallait bien que ça arrive tôt ou tard. Il plaisanta sur le fait que j’avais peur de tomber sous son charme, le rouge s’empara de mes joues et je souriais en le voyant manquer de tomber à cause du piège de Patate.
- Visiblement, c’est toi qui tombe sous mon charme et puis c’est toi qui m’a embrassé je te rappelle.
Bon, c’était moi qui l’avait embrassé, mais c’était lui qui avait demandé, enfin, j’étais trop bourré pour m’en rappeler exactement et ça faisait une bonne excuse. Je lui souriais en allant dans la cuisine chercher un verre d’eau et je détournais un peu le regard toujours rouge, j’avais beau faire le malin à cause de l’alcool ma vraie nature refaisait quoiqu’il arrive surface.
- Tu veux aller prendre une douche avant ? J’crois que moi, je vais directement aller dormir.
- C’est le 26 février mais c’est déjà passé.
Dommage pour le plus gros bouquet du monde, mais bon, ce serait pour une prochaine fois. Je pouvais dire adieu à ce petit bouquet de lys qui me tendait les bras.
- Et toi ? C’est quand ton anniversaire ?
Je ne savais même pas qu’est-ce que je pouvais bien lui offrir comme cadeau, qu’est-ce que les gens aimaient ? Du parfum ? Je n’en savais trop rien, peut-être que j’avais le temps pour trouver quelque chose qui lui plairait. Au pire des gâteaux, qui n’aimait pas les gâteaux sincèrement ? Tant d’années à ne pas parler aux gens m’avaient rendu incapable de deviner ce qui était plaisant aux gens normaux, pour moi un plaid ou une petite attention et j’étais comblé pour mon anniv.
Il sembla tout aussi surpris que moi de trouver mon homonyme, franchement c’était fort, il n’y en avait pas beaucoup des Aaron Mayer, je ne pensais jamais en croiser un. Il m’interroge sur comme je l’imaginais et va harceler l’interphone ce qui me fait sourire, en tout cas, il était sacrément malpoli qu’on toque ou qu’on sonne il ne répondait pas, si c’était moi cet Aaron, ça faisait de moi quelqu’un de malpoli, j’étais vraiment pas aussi bon que ce que je pouvais penser;
Wyatt ne semblait pas tellement dérangé à l’idée de dormir dans mon lit, ça voulait dire avec moi ? J’ai toujours dormi seul et c’était particulièrement gênant, mais je ne voulais pas dormir sur le canapé et je l’appréciais trop pour lui demander de dormir dans le canapé, j’allais dormir avec quelqu’un pour la première fois de ma vie, fallait bien que ça arrive tôt ou tard. Il plaisanta sur le fait que j’avais peur de tomber sous son charme, le rouge s’empara de mes joues et je souriais en le voyant manquer de tomber à cause du piège de Patate.
- Visiblement, c’est toi qui tombe sous mon charme et puis c’est toi qui m’a embrassé je te rappelle.
Bon, c’était moi qui l’avait embrassé, mais c’était lui qui avait demandé, enfin, j’étais trop bourré pour m’en rappeler exactement et ça faisait une bonne excuse. Je lui souriais en allant dans la cuisine chercher un verre d’eau et je détournais un peu le regard toujours rouge, j’avais beau faire le malin à cause de l’alcool ma vraie nature refaisait quoiqu’il arrive surface.
- Tu veux aller prendre une douche avant ? J’crois que moi, je vais directement aller dormir.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Mer 28 Avr 2021 - 15:58
La première fête de trop ft. @Aaron MayerWyatt fait la moue en apprenant la date d’anniversaire de son ami. En effet, celle-ci est passée désormais mais est-ce que cela veut dire qu’il ne peut pas le fêter avec un peu de retard ? Qu’est-ce qui l’en empêche vraiment, à part les conventions sociales ? Et on sait bien que le Britannique n’est pas un grand fan des “c’est comme ça qu’il faut faire et pas autrement”. Il fait tout comme bon lui semble et jusqu’à présent, sa technique marche du tonnerre ! Il a passé une bonne soirée et la continue en compagnie d’une personne qui serait encore plus formidable si elle se laissait un peu aller.
“Je te le ferai en retard alors, m’en fous ! T’auras ton bouquet de fleurs ! Moi c’est le…” Oups, trou noir. Comment peut-on oublier son propre anniversaire, hein ? Avec Wyatt, pas compliqué. C’est un poisson rouge, presque aussi débile que Dory mais eh, c’est bien pour cela qu’on l’aime, non ? Un éclair de génie plus tard, il hurle presque : “c’est le NEUF AOÛT ! J’étais sûr que je le savais !!!” Encore heureux, non ? Ils continuent leur épopée jusqu’à un bâtiment où ils découvrent l’homonyme de Aaron, ce qui est une sacrée coïncidence tout de même. La chose les fait tous les deux bien rire, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent - on ne sait comment - de retour dans l’appartement du Lufkin. Wyatt imagine qu’il s’est passé une heure entre le moment où il a sonné à l’interphone et celui où il est entré dans l’appartement, car une toute autre solution est inenvisageable. Comment aurait-il atterri là sinon ? Qu’on lui explique !
La question du coucher intervient très rapidement entre eux et taquin comme jamais, Wyatt suggère de dormir dans son lit. Il en rajoute une couche, sachant pertinemment ô combien Aaron est timide, en lui suggérant qu’il est susceptible de ne pas lui résister une fois tous deux sous la même couette. Mais le charme en question ne fait plus effet lorsqu’il manque de s’écraser au sol comme une crotte de Patate, à cause du piège de cette dernière. L'événement lui fait carrément oublier ce qu’il était en train de dire.
“Mais geeeeeeeeeeeeeeenre. Comme si tu l’avais pas demandé ! Joue pas à ce p’tit jeu avec moi Mayer, tu sais très bien que tu ne gagneras pas.” Il lui tire la langue car oui, il n’y a rien de plus adulte que ce geste. C’est toujours aussi plaisant de le voir rougir en sa présence et il y a fort à parier que l’alcool commence à se dissiper chez Aaron car il reprend son bon vieux comportement à son égard. Dommage, il l’appréciait bien avec un peu plus de… joie.
“Nan, ça va, j’suis pas trop crado et j’ai pas vomi. Enfin je vomis jamais de toute façon. Ou pas depuis une éternité. AU LIT.” Comme un grand, il trouve rapidement le chemin du lit et se jette dessus car… eh bien, c’est juste drôle et Wyatt aime ce qui le fait rire. Atterrissant sur le ventre, il finit par se retourner alors que le locataire des lieux arrive dans sa direction et se met debout sur le lit.
“Je dors sans pantalon moi, j’espère que ça te gêne pas hein ? Sinon je le garde mais ce serait dommage…” Un grand sourire vient agrémenter son visage de petit chenapan.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Mer 28 Avr 2021 - 18:46
La première fête de trop
Il n’était clairement pas obligé de fêter mon anniversaire, ça ne valait pas vraiment le coup, je n’étais pas vraiment amusant, il m’assura que j’aurai mon bouquet de fleurs ce qui me faisait sourire. Je le regardais pendant qu’il cherchait la date de son anniversaire, ah ouais ? On en était à ce point, c’était une des rares dates dont je me souvenais, il la trouva et je notais intérieurement, j'espérais pouvoir le retenir, au pire, j’irai demander à un de ses amis, ah non, c’est vrai je suis timide, espérons qu’il ait un compte facebook alors.
- Je note ça.
Le retour dans mon appartement fut digne d’une série, tant de quiproquos pour rien du tout. Patate ne semblait pas tellement nous accorder d’importance, elle avait eu sa caresse et était retourné dans son gros panier pour dormir, comme quoi, on était pas d’excellentes distractions. Je levais les yeux au ciel en l’écoutant tout en souriant.
- J’vois pas de quoi tu parles, puis je connais ton esprit de compétition, j’ai vraiment aucune chance pour la victoire, même si l’idée de perdre est plaisante.
Les rougeurs étaient parties pour revenir, j’étais dans une situation bizarre où je pouvais à la fois blaguer et dire des choses sans vraiment craindre quoi que ce soit mais je pouvais rougir pour une autre, ça avait ses avantages et ses inconvénients dirons-nous. Il me dit qu’il n’était pas trop sale, tant mieux, il me disait même qu’il n’avait pas vomir depuis très longtemps, c’était tant mieux, j’avais la flemme de nettoyer ce qu’il pouvait bien mettre en dehors de la cuvette.
- C'est une excellente nouvelle.
Je n’avais pas assez bu pour qu’on approche le risque de vomir. Je le regardais trouver ma chambre, il était assez fort. Je le vois se jeter dedans puis se mettre debout, me faisant une remarque qui me fit virer au pourpre.
- Je… Euh… Pas de soucis. Moi non plus à vrai dire.
Sans vraiment demander mon reste, je me retournais pour être dos à lui et retirer mon t-shirt ainsi que mon pantalon ne me retrouvant plus qu’en caleçon, j’étais complètement rouge, je ne m’étais jamais retrouvé avec si peu de vêtements en présence de quelqu’un. Je détournais le regard en m’asseyant sur le lit et en me glissant rapidement sous la couette.
- J’me suis jamais retrouvé aussi dénudé avec quelqu’un. Ça me fait bizarre.
Je n’osais pas le regarder, était-il déscendu du lit ? Je n’en savais rien, “pas de panique Aaron, respire et arrête de stresser”.
- Je note ça.
Le retour dans mon appartement fut digne d’une série, tant de quiproquos pour rien du tout. Patate ne semblait pas tellement nous accorder d’importance, elle avait eu sa caresse et était retourné dans son gros panier pour dormir, comme quoi, on était pas d’excellentes distractions. Je levais les yeux au ciel en l’écoutant tout en souriant.
- J’vois pas de quoi tu parles, puis je connais ton esprit de compétition, j’ai vraiment aucune chance pour la victoire, même si l’idée de perdre est plaisante.
Les rougeurs étaient parties pour revenir, j’étais dans une situation bizarre où je pouvais à la fois blaguer et dire des choses sans vraiment craindre quoi que ce soit mais je pouvais rougir pour une autre, ça avait ses avantages et ses inconvénients dirons-nous. Il me dit qu’il n’était pas trop sale, tant mieux, il me disait même qu’il n’avait pas vomir depuis très longtemps, c’était tant mieux, j’avais la flemme de nettoyer ce qu’il pouvait bien mettre en dehors de la cuvette.
- C'est une excellente nouvelle.
Je n’avais pas assez bu pour qu’on approche le risque de vomir. Je le regardais trouver ma chambre, il était assez fort. Je le vois se jeter dedans puis se mettre debout, me faisant une remarque qui me fit virer au pourpre.
- Je… Euh… Pas de soucis. Moi non plus à vrai dire.
Sans vraiment demander mon reste, je me retournais pour être dos à lui et retirer mon t-shirt ainsi que mon pantalon ne me retrouvant plus qu’en caleçon, j’étais complètement rouge, je ne m’étais jamais retrouvé avec si peu de vêtements en présence de quelqu’un. Je détournais le regard en m’asseyant sur le lit et en me glissant rapidement sous la couette.
- J’me suis jamais retrouvé aussi dénudé avec quelqu’un. Ça me fait bizarre.
Je n’osais pas le regarder, était-il déscendu du lit ? Je n’en savais rien, “pas de panique Aaron, respire et arrête de stresser”.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Ven 30 Avr 2021 - 20:29
La première fête de trop ft. @Aaron Mayer“C’est vrai que tu y gagnerais plus à perdre qu’à me vaincre… Je dis ça, je dis rien évidemment !” Il le regarde avec un sourire assez fier car bien oui, cela le fait bien rire. Voir Aaron rougir est toujours une satisfaction en soi et il se plie à cet exercice avec assiduité et amusement. Surtout que l’élève ne le déçoit jamais et a toujours pour lui les meilleures réactions. Très content de lui et ayant toujours beaucoup d’énergie, il se précipite vers la chambre et saute sur le lit tel un enfant, spécifiant par la suite à Aaron la façon dont il aime dormir. Il est même gentil en disant qu’il ne dort pas sans pantalon parce qu’en vérité, il ne porte même ni caleçon ni boxer. Complètement nu. C’est ainsi qu’il est le plus à l’aise, que ce soit dans ses mouvements ou quand quelqu’un dort à ses côtés. Mais Aaron n’est sûrement pas de ceux qui sont à l’aise face à une telle nudité et il lui épargne donc le plaisir de le voir nu. Ce sera peut-être pour plus tard… Encore une fois, il le voit rougir et cela lui tire un petit rictus amusé.
“Cool !” répond-il en apprenant que lui-même ne dort pas avec un pantalon. “Au moins on sera à égalité comme ça.” Nouveau sourire à son intention, alors que le Lufkin se tourne pour retirer ses affaires. Wyatt ne se gêne pas pour le regarder faire, que pourrait-il faire d’autre de toute façon ? Aaron fait clairement exprès de se changer devant lui, sûrement pour tester ses réactions et il ne lui retirera pas ce plaisir d’être reluqué par un bel homme qui pourrait le désirer. Il lui fait part de son “malaise” tout en s’infiltrant sous les couettes, tentant apparemment de laisser voir le moins de peau possible de son corps. Too bad, Wyatt en a déjà vu pas mal et il ne serait pas contre voir un peu plus. L’Ethelred descend du lit et tout en regardant le jeune homme, retire à la fois son t-shirt puis son jean qu’il jette sur le côté. Wyatt étant un homme à boxer, c’est ainsi qu’il se présente, sans aucune gêne, ravi d’avoir son corps à l’air. Contrairement à Aaron, c’est comme ça qu’il se sent le plus à l’aise.
“Je comprends mais t’en fais pas, je saurais respecter une certaine distance ! Je suis pas si con. Mais si t’as besoin d’un peu de chaleur pendant la nuit, n’hésite pas. Je suis une vraie bouillotte apparemment.” Et rien ne vaut le peau contre peau pour recevoir un peu de chaleur, n’est-ce pas ? Ce sans pensée particulière bien sûr. C’est au tour du Britannique de se glisser sous la couette mais il ne se contente pas de rester sur son bord du lit et rejoint plus ou moins le centre, se rapprochant d’Aaron malgré ses derniers propos. Ils peuvent un peu discuter non ? Cela n’engage à rien.
“J’espère que t’as l’esprit un peu plus clair maintenant et que tu ne rejeteras pas l’idée d’aller à d’autres fêtes prochainement ? Je suis sûr que tu finiras par y trouver ton compte. T’es un beau mec et ça peut te faire du bien, avec un peu d’efforts. Regarde, on s’est pas tant fréquenté que ça et je suis déjà à moitié nu dans ton lit ! Tu pourras sûrement faire mieux avec un autre mec.” Il le taquine autant qu’il est sérieux, c’est souvent comme ça avec Wyatt. Si bien qu’il est difficile de savoir quand il est vraiment sérieux.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 1 Mai 2021 - 1:22
La première fête de trop
Wyatt avait le don pour me faire rougir, sûrement encore plus que tous les autres, je ne savais pas comment il faisait, mais il avait toujours le mot pour et le pire c’est qu’il semblait s’en amuser. Je levais les yeux au ciel en l’écoutant me dire que j’avais plus à y gagner en perdant, un petit rire suivit. Il tira à nouveau des rougeurs de ma part en disant qu’on serait à égalité, je ne m’étais jamais imaginé dormir avec quelqu’un ici, j’avais toujours vu cet endroit comme une forteresse, un lieu de solitude où personne ne viendrait et pourtant il était là, je m’étais fourvoyé.
Je sentais son regard dans mon dos, je ne savais pas vraiment quoi en penser, je n’avais pas spécialement honte de mon corps, je le trouvais banal, est-ce que ça voulait dire que j’étais désirable ? Ou qu’il me regardait juste par curiosité, je n’en savais rien, je ne voulais pas savoir, ou c’était ce que je me disais. Le réflexe de mettre la couette sur moi me parut logique, je ne savais pas vraiment ce que je voulais cacher.
Je le regardais se déshabiller, mon regard ne put s’écarter, c’était la première fois que je voyais quelqu’un aussi déshabillé d’aussi près, je rougissais un peu plus, au moins avec le noir ça ne se verrait peut-être pas. Il me dit qu’il comprenait et qu’il respectait ça, je savais qu’il était quelqu’un de compréhensif, on n’en serait peut-être pas là si il n’avait pas été si patient avec moi. Il ajouta que si j’avais besoin de chaleur je ne devais pas hésiter car il était une bouillotte selon lui, à peine avait-il dit ça, que je sentais un frisson, c’était quoi ça ? Mon corps qui me disait “colle toi à lui” ou l’alcool qui descendait un peu plus et arrêtait de me tenir chaud ? Je n’en savais rien mais automatiquement je m’approchais du centre du lit.
- Je ne te trouve pas con, au contraire. Et j’suis frileux comme pas possible, à part quand je rougis.
Pourquoi je disais ça moi ? L’alcool, forcément l’alcool. J’étais assez proche pour sentir une partie de la chaleur qu’il dégageait, mon dieu, on aurait dit ce qu’on ressentait quand on mettait sa main au dessus d’une bougie assez haut, sans trop réfléchir je me rapprochais bien plus de lui, encore une fois ça devait être l’alcool, c’était une bonne excuse ça quand même, j’allais boire plus souvent moi.
Il me dit qu’il espérait que j’allais retenter d’aller à une fête, je ne savais pas trop quoi en penser, j’étais peut-être pas encore prêt, peut-être que j’avais fais un trop grand pas, que j’aurais dû me contenter de choses en petit comité. Il me dit que j’étais beau, ce qui me fait piquer un nouveau fard, je n’étais pas à l’aise avec les compliments. Il me dit que je pourrai faire mieux avec un autre, j’en étais pas tellement sur.
- Ouais… Mais tu t’es accroché, beaucoup n’ont pas cette patience ou cette détermination plutôt. Puis comme tu dis, on ne s’est pas beaucoup fréquenté mais tu restes quand même une des personnes dont je suis le plus proche… Et pour ce qui est de faire mieux avec un autre mec, c‘est trop dur, j’y arriverai pas, avec toi ce serait plus simple.
Ok Aaron, maintenant ferme ta gueule, ferme la bien, c’était définitivement l’alcool, je ne pouvais clairement pas dire une chose pareille dans mon état normal, ok, c’était peut-être la vérité mais ce n’était pas une raison pour la dire à haute voix, en temps normal, elle serait morte et enterrée cette vérité.
Je sentais son regard dans mon dos, je ne savais pas vraiment quoi en penser, je n’avais pas spécialement honte de mon corps, je le trouvais banal, est-ce que ça voulait dire que j’étais désirable ? Ou qu’il me regardait juste par curiosité, je n’en savais rien, je ne voulais pas savoir, ou c’était ce que je me disais. Le réflexe de mettre la couette sur moi me parut logique, je ne savais pas vraiment ce que je voulais cacher.
Je le regardais se déshabiller, mon regard ne put s’écarter, c’était la première fois que je voyais quelqu’un aussi déshabillé d’aussi près, je rougissais un peu plus, au moins avec le noir ça ne se verrait peut-être pas. Il me dit qu’il comprenait et qu’il respectait ça, je savais qu’il était quelqu’un de compréhensif, on n’en serait peut-être pas là si il n’avait pas été si patient avec moi. Il ajouta que si j’avais besoin de chaleur je ne devais pas hésiter car il était une bouillotte selon lui, à peine avait-il dit ça, que je sentais un frisson, c’était quoi ça ? Mon corps qui me disait “colle toi à lui” ou l’alcool qui descendait un peu plus et arrêtait de me tenir chaud ? Je n’en savais rien mais automatiquement je m’approchais du centre du lit.
- Je ne te trouve pas con, au contraire. Et j’suis frileux comme pas possible, à part quand je rougis.
Pourquoi je disais ça moi ? L’alcool, forcément l’alcool. J’étais assez proche pour sentir une partie de la chaleur qu’il dégageait, mon dieu, on aurait dit ce qu’on ressentait quand on mettait sa main au dessus d’une bougie assez haut, sans trop réfléchir je me rapprochais bien plus de lui, encore une fois ça devait être l’alcool, c’était une bonne excuse ça quand même, j’allais boire plus souvent moi.
Il me dit qu’il espérait que j’allais retenter d’aller à une fête, je ne savais pas trop quoi en penser, j’étais peut-être pas encore prêt, peut-être que j’avais fais un trop grand pas, que j’aurais dû me contenter de choses en petit comité. Il me dit que j’étais beau, ce qui me fait piquer un nouveau fard, je n’étais pas à l’aise avec les compliments. Il me dit que je pourrai faire mieux avec un autre, j’en étais pas tellement sur.
- Ouais… Mais tu t’es accroché, beaucoup n’ont pas cette patience ou cette détermination plutôt. Puis comme tu dis, on ne s’est pas beaucoup fréquenté mais tu restes quand même une des personnes dont je suis le plus proche… Et pour ce qui est de faire mieux avec un autre mec, c‘est trop dur, j’y arriverai pas, avec toi ce serait plus simple.
Ok Aaron, maintenant ferme ta gueule, ferme la bien, c’était définitivement l’alcool, je ne pouvais clairement pas dire une chose pareille dans mon état normal, ok, c’était peut-être la vérité mais ce n’était pas une raison pour la dire à haute voix, en temps normal, elle serait morte et enterrée cette vérité.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Sam 1 Mai 2021 - 15:21
La première fête de trop ft. @Aaron MayerIl est tout naturel pour lui de se rapprocher du centre du lit car plus que tout, Wyatt aime le contact lorsqu’il est sous les draps. Le métamorphe a souvent bien du mal à dormir seul, cherchant toujours la compagnie d’autres garçons pour lui tenir chaud et éveillé. Bien sûr, ce sera très différent avec Aaron parce qu’il ne voudra certainement pas se plier à ce type de jeu vu sa timidité et il ne le forcera pas à faire quoi que ce soit. Il est pourtant très amusant de le voir rougir de la sorte et tenter de répondre à ses propos avec autant de cran. Il tente de sortir de sa coquille bien épaisse et cela fait plaisir à voir, sachant que Wyatt a donné de son temps pour l’aider en ce sens. Ce n’est que juste retour des choses.
“Tu ne dois pas être très frileux en ce moment alors…” dit-il sur un ton taquin alors qu’à la légère lumière de la pièce, il peut distinguer les joues du jeune homme s’empourprer. Il doute qu’Aaron se fasse un jour à ce genre de flirt pourtant très innocent. Il le sait sûrement, mais l’Ethelred est capable de faire un plus gros rentre dedans encore et il se contient présentement pour ne pas faire peur à son cadet. Sachant surtout qu’il ne sait pas où se situe ce dernier en ce qui concerne leur relation. Ils sont des amis, certes, mais arrive-t-il au Lufkin d’avoir des pensées impures à son sujet ? Il est curieux de le découvrir, persuadé que cette honnêteté ferait rougir de honte le sorcier.
Wyatt est plutôt ravi d’apprendre que pour le jeune homme, il est considéré comme l’une des personnes dont il est le plus proche. Il se pose souvent des questions sur ce que pense Aaron, s’il ne le force pas dans une amitié qui ne fait que l’impressionner à tel point qu’il n’ose pas dire non. L’entendre dire ces choses est un vrai soulagement pour le Britannique, qui se sent enfin légitime et plus tyrannique. Il a un léger sourire de satisfaction, suivi d’un air franchement étonné lorsqu’il entend la fin de la phrase d’Aaron. Est-il sérieux en disant cela ? Non car cela remettrait en cause toute leur relation, si c’était le cas…
“Que veux-tu dire par ‘avec toi ce serait plus simple’ ? Parce que je ne veux pas mal interpréter tes propos et faire quelque chose qui te déplairait ou te ferait me fuir. Je trouve qu’on s’entend plutôt bien malgré les signes avant-coureur mettant en avant le manque de compatibilité de nos caractères. Et j’apprécie ta compagnie. Mais je suis du genre franc et j’aime bien qu’on le soit avec moi. Donc sens-toi libre de me dire ce à quoi tu penses ou ce dont tu as envie, je ne me fâcherai pas !” Et c’est la vérité. Wyatt se met très peu en colère en règle générale, il faut vraiment lui manquer énormément de respect ou le blesser profondément pour cela. Il tente depuis des années de contrôler sa susceptibilité comme il le peut, justement en laissant les autres parler sur son dos et en tentant de ne pas les écouter. Plus le temps passe et plus il devient aisé de pratiquer cela. Mais venant de ses amis - et il considère Aaron comme tel - il veut toujours savoir la vérité de ce qu’ils pensent. Être blessé est une chose, mais apprendre à avancer en se disant les choses lui paraît plus important encore. Il espère qu’il en est ainsi également pour le Lufkin et qu’il n’est pas en train, encore une fois, de le faire flipper.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 2 Mai 2021 - 0:37
La première fête de trop
Je ne savais pas vraiment ce que je faisais, la voix dans ma tête me disait de tout arrêter, de plier bagage et de tourner le dos à Wyatt pour dormir mais une autre me demanda de continuer à lui parler, cette curiosité qui me poussait toujours à m’intéresser à pleins de choses, cette fois-ci, elle me poussait à voir jusqu’où les choses pourraient aller, pour une fois que je pouvais prendre des risques avec l’assurance de l’alcool, je n’allais pas me priver.
Je souriais à sa blague, toujours aussi rouge, je détournais le regard, je n’osais clairement pas le regarder, lui, si déshabillé. Il avait raison, je n’avais pas vraiment froid à mon visage, c’était certain, au contraire, c’était limite si ça brûlait.
- Ouais, c’est sur, mais ça se calmera d’ici quelques minutes.
Ou pas, plutôt pas même en fait, vu la tournure de la discussion. J’arrive à entrevoir son sourire, était-il heureux d’être mon ami ? Si c’était le cas, je ne comprenais pas vraiment pourquoi, je n’étais qu’un mec effrayé par trop de choses, avec des angoisses bien plus grosses que lui. Je me demandais bien ce qu’il pouvait trouver d’amusant pour qu’il reste avec moi, peut-être mes réactions mais ce n’était pas la seule chose.
Il me demanda de définir ce que je disais, il appréciait ma compagnie ? C’est qu’il avait sûrement trop bu, il me demanda d’être franc avec lui, je soupirais un peu, je le regardais, pesant le pour et le contre dans ma tête, Aaron, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Mon seul ami ? Je me doutais bien que le connaissant il ne m’en voudrait pas pour lui dire une chose pareille, il serait peut-être même capable de me féliciter pour mes progrès en communication, en somme j’avais bien plus à y gagner qu’à perdre, mais ça restait difficile. Je prenais donc mon courage à deux mains, le fixant sans détourner le regard essayant de rester le plus crédible possible.
- Wyatt… Tu es vachement attirant et je veux pas que dormir car j'suis en confiance avec toi… C’est la première fois que je dis des choses pareilles. .. Visiter la batcave, faire la chose, coucher ? Je sais même pas comment on dit ça moi, j’suis trop nul… Ça doit être la pire manière de proposer des choses en fait, j’vais arrêter pardon...
Le courage que j’avais partit vite j’avais caché mon visage sous les mains, comment j’avais pu croire qu’il aurait pu vouloir de moi, j’étais trop bête, j’étais sur et certain qu’il allait me rembarrer, je connaissais les phrases bâteaux avec les séries que j’avais regarde, allais-je avoir le droit au traditionnel “c’est pas toi, c’est moi” ? Je pouvais tout aussi bien commencer à fermer les yeux et m’endormir en fait, mais bon, j’étais bien trop stressé pour que ça arrive. J’avais peut-être détruit l’une des seules amitié que j’avais.
Je souriais à sa blague, toujours aussi rouge, je détournais le regard, je n’osais clairement pas le regarder, lui, si déshabillé. Il avait raison, je n’avais pas vraiment froid à mon visage, c’était certain, au contraire, c’était limite si ça brûlait.
- Ouais, c’est sur, mais ça se calmera d’ici quelques minutes.
Ou pas, plutôt pas même en fait, vu la tournure de la discussion. J’arrive à entrevoir son sourire, était-il heureux d’être mon ami ? Si c’était le cas, je ne comprenais pas vraiment pourquoi, je n’étais qu’un mec effrayé par trop de choses, avec des angoisses bien plus grosses que lui. Je me demandais bien ce qu’il pouvait trouver d’amusant pour qu’il reste avec moi, peut-être mes réactions mais ce n’était pas la seule chose.
Il me demanda de définir ce que je disais, il appréciait ma compagnie ? C’est qu’il avait sûrement trop bu, il me demanda d’être franc avec lui, je soupirais un peu, je le regardais, pesant le pour et le contre dans ma tête, Aaron, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Mon seul ami ? Je me doutais bien que le connaissant il ne m’en voudrait pas pour lui dire une chose pareille, il serait peut-être même capable de me féliciter pour mes progrès en communication, en somme j’avais bien plus à y gagner qu’à perdre, mais ça restait difficile. Je prenais donc mon courage à deux mains, le fixant sans détourner le regard essayant de rester le plus crédible possible.
- Wyatt… Tu es vachement attirant et je veux pas que dormir car j'suis en confiance avec toi… C’est la première fois que je dis des choses pareilles. .. Visiter la batcave, faire la chose, coucher ? Je sais même pas comment on dit ça moi, j’suis trop nul… Ça doit être la pire manière de proposer des choses en fait, j’vais arrêter pardon...
Le courage que j’avais partit vite j’avais caché mon visage sous les mains, comment j’avais pu croire qu’il aurait pu vouloir de moi, j’étais trop bête, j’étais sur et certain qu’il allait me rembarrer, je connaissais les phrases bâteaux avec les séries que j’avais regarde, allais-je avoir le droit au traditionnel “c’est pas toi, c’est moi” ? Je pouvais tout aussi bien commencer à fermer les yeux et m’endormir en fait, mais bon, j’étais bien trop stressé pour que ça arrive. J’avais peut-être détruit l’une des seules amitié que j’avais.
- InvitéInvité
Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 2 Mai 2021 - 13:16
La première fête de trop ft. @Aaron MayerDifficile de comprendre ce que Aaron souhaite réellement de sa part du fait de sa timidité presque maladive. Il a bien conscience que ce dernier a du mal à exprimer ses envies via des mots et tente de l’aider à le faire, car il est hors de question qu’il prenne une décision sans savoir ce qui se passe dans la tête du Lufkin. Pas question qu’il se retrouve à perdre un ami parce qu’il aura tenté quelque chose contre son gré ! Il n’a pas vraiment envie de passer pour le harceleur/violeur/pervers d’Hungcalf, surtout que c’est sa dernière année… plus que quelques semaines, une grosse épreuve et il sera libéré de l’université une bonne fois pour toutes ! À lui les terres sauvages et les dragons… Cette perspective le fait rêvasser quelques secondes avant qu’il ne revienne sur terre pour demander à Aaron de clairement lui expliquer ce qu’il attend de lui. La réponse ne se fait pas attendre et ressemble en tout point à son propriétaire. Manque d’affirmation, hésitation, tournures de phrases… étranges ? Le compliment, lui, est plus qu’adorable. Et même s’il essaye de ne pas le faire pour ne pas vexer Aaron dans un moment de telle confidence, il éclate de rire.
“Visiter la batcave ? Mais qui dit ça ? Mon dieu…” Le sorcier se tient le ventre quelques secondes, plié en deux par un fou rire qui met un peu de temps à s’en aller. Puis il essuie ses yeux et essaye de redevenir sérieux car il a bien compris que cela est difficile pour le Lufkin et qu’il a déjà fait un très grand pas en lui parlant de cette façon. C’est à lui de le rassurer maintenant et d’éprouver un peu de fierté d’avoir aidé ce garçon si timide à s’ouvrir assez pour exprimer ses désirs.
“Bon déjà, dans un premier temps, personne ne dit “visiter la batcave”, ou alors peut-être les couples déjà établis pour se marrer. J’en sais rien à vrai dire. Ensuite, je suis extrêmement flatté de t’aider à te faire sentir en confiance car je trouve que c’est important. Quand à ton envie de coucher du coup… es-tu réellement sûr de toi ? Tu as bu ce soir et moi aussi, je ne veux pas qu’on se lance dans quelque chose et que tu regrettes demain matin parce que tu l’auras fait sous le coup de l’alcool. Et que tu me reproches par la suite d’avoir profité de toi, ce n’est clairement pas ce que je veux. J’sais bien que c’est pas très sexy de parler des choses comme ça plutôt que de le faire, mais je trouve ça très important qu’on soit sur la même page, sachant que c’est ta première fois. Si c’est mal fait ou dans les mauvaises conditions, ça peut être assez… traumatisant, tu vois.” Il vient prendre ses mains pour les écarter de son visage et le regarde avec sérieux, se demandant ce qui se passe cette fois dans sa petite tête timide. Il a l’air pas mal perturbé quand même, est-ce vraiment une bonne idée de précipiter les choses de cette façon ? Certes, il a confiance en lui mais ça ne fait pas tout. Le pire serait qu’il vienne à regretter cette soirée plus tard. Après tout, peut-être que les romantiques ont raison… peut-être faut-il faire sa première fois avec une personne qu’on aime… Il n’a jamais été persuadé de cela, Wyatt. Sûrement parce que l’amour et lui, ça fait deux. Mais il ne peut pas en vouloir à Aaron d’espérer et de croire cela, tout comme il ne peut pas lui laisser croire qu’ils sont amoureux ou quelque chose du genre.
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Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Dim 2 Mai 2021 - 19:38
La première fête de trop
Ça se sentait que j’étais loin de m’y connaître, même l'appellation j’avais du mal, je ne voulais pas paraître bizarre ou vulgaire alors j’avais employé des expressions peu communes, très peu communes ce qui provoqua un fou rire de la part de Wyatt, c’était pas de ma faute, je ne savais pas vraiment comment les gens parlaient de ça, Wyatt devait être la seule personne avec qui j’en avais parlé alors j’essayais comme je pouvais de nommer l’acte. Je lui donnais un petit coup sur l’épaule, c’était pas ma faute si j’étais pas très cultivé sur ce sujet et puis batman c’était pas si mal.
- Bah moi du coup... Arrêtes de te moquer, on dit comment ?
Autant savoir pour la prochaine fois, même si je n’étais clairement pas sur de savoir le faire avec une autre personne si je n’avais pas quelques gouttes d’alcool dans le sang, j’étais relativement perdu, je savais que ce n’était pas l’alcool, j’en avais envie c’était certain mais qu’est-ce que j’allais bien pouvoir penser demain et comment j'allais réagir en présence de Wyatt, i, c’était un excellent ami et je savais que j’allais être monstrueusement gêné, puis merde, ce sera le problème du Aaron de demain.
Il me demanda si j’étais sur de moi, l’étais-je vraiment ? Je n’en savais trop rien, j’étais curieux de savoir ce qu’on pouvait ressentir et on ne va pas se mentir Wyatt était canon, mais mentalement, j’étais prêt à passer à l’acte ? Sûrement, c’était toujours embrouille dans ma tête trop d’idées passaient en même temps. Il s’inquiétait pour moi, c’était gentil de sa part, je sentais ses main m’empêcher de cacher mon visage, c’était pas juste ça, de la triche, je voulais que mes rougeurs disparaissent complètement, ça se calmait petit à petit pendant que j’hochais la tête.
- Je suis prêt, enfin je me pense prêt depuis quelques temps, l’alcool m’a juste donné le courage de le dire, sobre, je ne sais même pas si j’aurai pu retirer le moindre vêtement… Mais je me dis qu’une première fois ça ne sera jamais parfait mais si ça peut au moins être un bon moment alors je veux essayer et je crois qu’avec toi c’est faisable…
J’étais pas la personne la plus claire dans mes explications, au moins je parlais, c’était déjà bien, je le regardais, essayant comme je peux de soutenir son regard, ne voulant pas me défiler pour une fois, je savais que ce serait sûrement la seule fois de ma vie où je demanderai une chose pareille mais au moins je l’avais fais, le dire c’était déjà un progrès non ?
- Bah moi du coup... Arrêtes de te moquer, on dit comment ?
Autant savoir pour la prochaine fois, même si je n’étais clairement pas sur de savoir le faire avec une autre personne si je n’avais pas quelques gouttes d’alcool dans le sang, j’étais relativement perdu, je savais que ce n’était pas l’alcool, j’en avais envie c’était certain mais qu’est-ce que j’allais bien pouvoir penser demain et comment j'allais réagir en présence de Wyatt, i, c’était un excellent ami et je savais que j’allais être monstrueusement gêné, puis merde, ce sera le problème du Aaron de demain.
Il me demanda si j’étais sur de moi, l’étais-je vraiment ? Je n’en savais trop rien, j’étais curieux de savoir ce qu’on pouvait ressentir et on ne va pas se mentir Wyatt était canon, mais mentalement, j’étais prêt à passer à l’acte ? Sûrement, c’était toujours embrouille dans ma tête trop d’idées passaient en même temps. Il s’inquiétait pour moi, c’était gentil de sa part, je sentais ses main m’empêcher de cacher mon visage, c’était pas juste ça, de la triche, je voulais que mes rougeurs disparaissent complètement, ça se calmait petit à petit pendant que j’hochais la tête.
- Je suis prêt, enfin je me pense prêt depuis quelques temps, l’alcool m’a juste donné le courage de le dire, sobre, je ne sais même pas si j’aurai pu retirer le moindre vêtement… Mais je me dis qu’une première fois ça ne sera jamais parfait mais si ça peut au moins être un bon moment alors je veux essayer et je crois qu’avec toi c’est faisable…
J’étais pas la personne la plus claire dans mes explications, au moins je parlais, c’était déjà bien, je le regardais, essayant comme je peux de soutenir son regard, ne voulant pas me défiler pour une fois, je savais que ce serait sûrement la seule fois de ma vie où je demanderai une chose pareille mais au moins je l’avais fais, le dire c’était déjà un progrès non ?
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Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Ven 7 Mai 2021 - 16:22
La première fête de trop ft. @Aaron MayerIl voit là l’opportunité de le taquiner et ne s’en prive pas. De toute façon, Wyatt ne se prive jamais de rien, c’est bien connu…
“On ne le dit pas tu sais, on le fait” dit-il sur un ton amusé, persuadé que cela fera encore plus rougir le jeune homme à ses côtés. L’ambiance de la chambre change du tout au tout alors qu’il émet le souhait de passer à l’acte avec lui, ce qui met l’Ethelred légèrement mal à l’aise. Juste de quoi lui faire se poser quelques questions sur les intentions d’Aaron. Après tout, il est encore sous l’emprise d’alcool, même s’il a pu se dissiper en grande partie depuis qu’ils ont quitté la fête. Mais tout de même. Il a dû batailler pour le faire devenir son ami et maintenant, il veut coucher avec lui ? Sa première fois, ce qui n’est pas rien. Décidément, il va se spécialiser en dépucelage à force… déjà Timothy, maintenant lui… Wyatt lui exprime ses doutes sans détour car il n’est clairement pas du genre à mentir à ce sujet, ou à faire semblant - ce qui revient au même. C’est une décision importante et il ne veut pas qu’il se sente forcé, tout ça pour regretter le lendemain et le fuir. Encore. Ils ont mis tant de temps à devenir amis, ce serait vraiment dommage que cette histoire les fasse revenir au point de départ. C’est sûrement ce qu’il craint le plus… Cette problématique ne semble pas particulièrement perturber Aaron, à se demander s’il tient tant que ça à leur amitié ou s’il n’a, tout simplement, pas conscience des conséquences. Probablement la deuxième option.
“Faisable hein…” Wyatt pince sa lèvre inférieure, pas totalement convaincu. Ce n’est pas comme si l’envie n’était pas là, mais il a tous ses doutes… Ce n’est pas une mince affaire. Et Aaron le dit lui-même : sobre, il n’aurait même pas retiré son pantalon ! C’est ce qui le perturbe le plus. L’alcool agit, pas le jeune homme. Il lui en faudrait un peu plus pour se faire convaincre d’accepter cette demande, car il ne veut pas devenir celui qu’on évite parce qu’on a couché avec dans un moment de mauvais jugement.
“Je te crois vraiment sincère, Aaron. Je ne suis simplement pas certain que tu le veuilles vraiment. J’sais pas comment dire ça… T’es peut-être encore sous influence. Comment puis-je être sûr que t’es certain de toi hein ? Parce que je veux pas que tu considères avoir été forcé plus tard, tu vois ce que je veux dire ? La décision finale te revient mais je veux être sûr que tu la prennes en toute conscience de cause. Que ça n’affecte pas notre amitié, parce que je t’apprécie vraiment.” Il vient caresser doucement sa joue puis y dépose un baiser avant de se placer de nouveau face à lui. S’il est réellement certain de ce qu’il veut, il fera le premier pas.
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Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Lun 14 Juin 2021 - 21:22
La première fête de trop
Il m’arracha un énième rougissement avec sa phrase, je ne m’attendais pas à une réponse si directe, ça pouvait créer des malentendus, bah ouais, certains ne comprenaient peut-être pas, on m’avait déjà fait du rentre dedans à mes débuts à l’université et j’étais loin d'avoir compris ce que les gens pouvaient bien me raconter, j’étais beaucoup trop innocent, ce n’était peut-être pas une si mauvaise chose mais j’en avais marre de ne rien comprendre.
Je comprenais les doutes que pouvait avoir Wyatt, mais c’était moi qui lui demandait et puis même si ça en devenait terriblement horrible sur le moment on pouvait toujours s’arrêter. J’aurai peut-être dû utiliser un autre mot que faisable, j’étais beaucoup trop timide pour dire que j’en avais envie mais c’était quand même le cas, j’en avais clairement envie et quand on y réfléchissait Wyatt était parfait pour cette situation, puis je savais que même demain il saurait sûrement comment s’y prendre avec moi, enfin c’est ce que j’espérai, car le Aaron du futur allait être dans une merde sans nom.
Je l’écoutais calmement, je comprenais qu’il pense que c’était plus l’alcool qui parlait à travers moi mais l’alcool me permettait de le dire, c’était un intermédiaire. Comme quand t’as envie de parler à quelqu'un mais que tu lui envoies des messages au lieu de lui parler de vive voix, l’alcool c’était mon moyen de communication sur le moment. Je souris en sentant son baiser sur ma joue, je ne m’y attendais pas mais c’était loin d’être désagréable au contraire, c’était même doux.
- Wyatt, ne t’en fait pas, j’en ai vraiment envie, l’alcool m’aide juste à dire ce que je pense. Et si ça peut t’aider à te convaincre…
Je prends doucement son visage entre mes mains et je l’embrasse, je ne savais pas vraiment si j’étais doué, mais ce n’était plus la première fois, je rompais le contact en souriant sans trop de rougeurs sur mes joues. Je le regardais en souriant assez fier de moi et je passais une main dans mes cheveux.
- Alors… Convaincu ?
J’avais fais un grand pas en avant, depuis la fois où je n’osais même pas parler de quoique ce soit, là je demandais à faire des choses olé olé, oui, j’avais clairement pas compris c’était quoi les mots pour décrire l’acte en soit, je finirai bien par trouver quelque chose qui sonne bien, bang bang ? Ce n’était pas ouf non plus, mais bon, on va dire s’amuser entre adultes consentants, ça coupait toute excitation mais c’était pas la mort.
Je comprenais les doutes que pouvait avoir Wyatt, mais c’était moi qui lui demandait et puis même si ça en devenait terriblement horrible sur le moment on pouvait toujours s’arrêter. J’aurai peut-être dû utiliser un autre mot que faisable, j’étais beaucoup trop timide pour dire que j’en avais envie mais c’était quand même le cas, j’en avais clairement envie et quand on y réfléchissait Wyatt était parfait pour cette situation, puis je savais que même demain il saurait sûrement comment s’y prendre avec moi, enfin c’est ce que j’espérai, car le Aaron du futur allait être dans une merde sans nom.
Je l’écoutais calmement, je comprenais qu’il pense que c’était plus l’alcool qui parlait à travers moi mais l’alcool me permettait de le dire, c’était un intermédiaire. Comme quand t’as envie de parler à quelqu'un mais que tu lui envoies des messages au lieu de lui parler de vive voix, l’alcool c’était mon moyen de communication sur le moment. Je souris en sentant son baiser sur ma joue, je ne m’y attendais pas mais c’était loin d’être désagréable au contraire, c’était même doux.
- Wyatt, ne t’en fait pas, j’en ai vraiment envie, l’alcool m’aide juste à dire ce que je pense. Et si ça peut t’aider à te convaincre…
Je prends doucement son visage entre mes mains et je l’embrasse, je ne savais pas vraiment si j’étais doué, mais ce n’était plus la première fois, je rompais le contact en souriant sans trop de rougeurs sur mes joues. Je le regardais en souriant assez fier de moi et je passais une main dans mes cheveux.
- Alors… Convaincu ?
J’avais fais un grand pas en avant, depuis la fois où je n’osais même pas parler de quoique ce soit, là je demandais à faire des choses olé olé, oui, j’avais clairement pas compris c’était quoi les mots pour décrire l’acte en soit, je finirai bien par trouver quelque chose qui sonne bien, bang bang ? Ce n’était pas ouf non plus, mais bon, on va dire s’amuser entre adultes consentants, ça coupait toute excitation mais c’était pas la mort.
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Re: La première fête de trop [Ft Wyatt]
Ven 18 Juin 2021 - 15:13
La première fête de trop ft. @Aaron MayerOn ne peut pas lui en vouloir d’avoir, pour une fois, un peu de conscience. De toute façon, il est rare que Wyatt plaisante sur ce genre de choses. Il ne sacralise pas la virginité, mais il estime qu’une première fois est à méditer, surtout avant de passer à l’action. Qui sait ce qui peut nous tomber sur le coin de la tête si on ne fait pas assez attention… Celle du Nightingal n’a pas été si mauvaise que ça, mais parce qu’il ne s’est pas jeté au cou du premier venu - malgré ce que l’on peut attendre de lui. Ce n’était pas non plus un homme qu’il aimait, mais pour qui il avait suffisamment d'attraction et en qui il avait une confiance presque absolue.
Les positions semblent s’être inversées. C’est à Aaron, maintenant, de tenter de le rassurer. Mais, à vrai dire, Wyatt en a particulièrement besoin. Pas qu’il douterait de ses performances, bien sûr… mais avant de sauter le pas, il lui faut la certitude que le Lufkin est conscient de ce qu’il demande. Lui faire répéter son accord est donc plus qu’important, surtout vu l’alcool qu’ils ont ingérés. Peut-être même devrait-il lui faire signer une décharge… ?
Le moyen de conviction d’Aaron se résume par un baiser, qui a l’effet escompté. Alors que ce dernier prend fin, il regarde l’étudiant et lui adresse un sourire équivoque. Il ne peut et ne veut pas le cacher : cet échange a ravivé son engouement pour les joies du sport en chambre. Convaincu ? Oui, il l’est dorénavant, mais il est aussi très taquin et cette part de sa personnalité ne change que rarement.
“Mmmmmh… Je ne sais pas. Il faudrait que tu m’en donnes un de nouveau pour que je puisse réellement être convaincu, une bonne fois pour toutes…” Wyatt se penche vers lui avec un sourire, ses bras soutenant le poids de son corps. Il laisse son visage se rapprocher de celui du jeune homme et, toujours paré d’un sourire, il vient le tenter plusieurs fois sans lui donner ce qu’il veut. Tactique très ancienne mais qui fait toujours son effet. Quand il a assez joué avec les nerfs du Lufkin, il vient l’embrasser mais cette fois, le pousse contre le matelas pour le surplomber. Étant donné le caractère du jeune homme, il doute que ce dernier fasse preuve de domination avec lui et prend aussitôt ce rôle. À cœur, bien évidemment.
“Deux petites minutes, avant qu’on s’emballe…” Il s’éloigne d’Aaron et, sortant du lit, fouille dans ses affaires avant d’en sortir… des capotes. Bien évidemment, quoi d’autre ? Il les met sur le côté et revient accorder un peu de sa compagnie au plus jeune. Sans plus tarder, il commence à passer ses mains sur son corps. C’est que Wyat ne s’embarrasse pas de fioritures.