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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 21 Déc 2022 - 23:02
Elle irradie, Cat, réajustant inlassablement ses collants et chaussettes hautes sans pour autant quitter les messages qui défile inlassablement sur son portable. Si les soirées avec Wyatt tienne à dire vrai de l'habitude et qu'elle se réjouit toujours de se nicher dans ses bras pour chanter -hurler- des chansons un peu nulle en plein bar, cette soirée porte avec elle un vent de changement. Enfin. Enfin Morgane ! Ils étaient parvenu quelques fois à convaincre James de venir avec eux, mais cette fois-ci, elle le sentait la rousse, jusque dans ses tripes. Ils avaient atteint le point où la méfiance s'endormait et sourcils se faisait un poil plus expressif. Ce point où, qui sait, James Fucking Ice Blackthorn pourrait se lâcher. Un mois. Cela faisait un mois que la jeune femme avait volontairement levé le pied sur l'alcool et les horaires pour feindre un retour à ses airs d'enfant sage. Prouver point par point au blond qu'elle n'avait ni besoin de chaperon, ni de quelqu'un pour la porter quand, le rire facile et la moue pourtant boudeuse, elle chouinait pour qu'on la porte après un verre de trop. Cette époque était révolue lui avait-elle soufflée, si décidée à dire vrai qu'elle avait presque entrevu le visage de Wyatt se décomposer, et si seulement James savait que ce procédé infaillible, ces « juste un verre » et promesse de couché tôt n'étaient que d'odieuse ruse pour le dérider un peu, sans doute aborderait-il cette journée avec bien plus de fermeté encore.
« Tu es prêt, Ice ? » Question rhétorique, il l'attend dans l'encadré de la porte depuis près de trente minutes déjà, et l'avait contemplé prendre une quinzaine de selfie à destination de Wyatt pour valider ce qui s’annonçait comme la soirée où, enfin, elle arriverait à le faire boire. Alors, l'oeil pétillant et les lèvres teinté de rouge, c'est subitement qu'elle passe ses bras autours du cou du Pokeby à la manière d'une sirène pendu au cou de son marin. « Je suis heureuse que tu viennes avec nous ! » Le baisé claque sur sa joue, y laisse quelques stigmates qu'elle n'effacera pas, presque fière d'avoir pu imprimer à la vue de tous ses lèvres sur cette peau sacro-sainte qu'elle chérissait tant. Pourtant, quelque chose glisse soudainement sous les océans trop calme de son regard et, le sourire arbore une teinte plus nostalgique. Elle n'est pas dupe, Cat, et passe sa main dans les cheveux de James comme pour chasser l'image qui le hante. « La pleurer ne lui fera que du mal, tu sais. Alors levons nos verre au soleil qu'elle était ». Le ton est doux, rassurant, quand bien même Cataleya avait passé deux heures supplémentaire au lit, incapable de chasser les larmes qui lui avait sauté à la gorge. L'anniversaire de cette odieuse mort lui retournait toujours l’estomac, des semaines à l'avance à dire vrai, mais la présence de ses aînés au manoir l'avait, pour une fois, quelque peu apaisé. Et puis, soyons honnête, elle s'était tant focalisé sur Tobias et ses charmants sourires que l'idée de célébrer la vie s'était doucement imposé à elle ; elle refusait d'offrir à son neveu une figure morne et triste. Un modèle incapable de s'arracher au passé.
D'un mouvement souple, Cataleya tourna soudainement sur elle même pour faire voler quelque peu sa robe, s'offrant au regard expert de l'artiste afin d'obtenir conseil ou approbation. La tenue est simple, quoi qu'élégante, mais les topazes et perle à son cou brille de mille feu lorsqu'ils se voient nimber de l'éclairage de sa chambre. Elle fait un instant tinter les charmes à son poignet, mais offre trop rapidement son bras à James, comme pour le guider loin du manoir, au plus près de la taverne du troll pour sauter littéralement sur le dos de Wyatt.
Alors, les bras passé autour de son cou et la moue presque autoritaire, elle domine un peu l'assistance Cat, cherche une table, tapotant presque le cœur de l'espagnol pour lui donner l'impulsion de la marche. Motivée ? Un peu trop sans doute.
Certainement que cet anniversaire mortuaire lui demandait un léger surjeu, ou libérait en elle une surcharge d'adrénaline pour faire face à cette situation désastreuse. Alors, accroché au sang mêlé comme une sangsue sur son cadavre, Cataleya attrape la manche de James comme pour l'inciter à progresser avec eux dans cette marée humaine qui s'entasse auprès du bar.
« Je commande et vous trouvez une place ? Sauf si tu veux échanger Biche, je te laisse carte blanche sur ma boisson ; surprend moi ! . » Elle révulse sa tête un peu en arrière, volonté évidente et quelque peu masochiste de déséquilibré sa monture humaine, sans y parvenir cependant. Si elle a reprit un peu de poids -merci les cocktail ultra sucré- force est d'admettre qu'elle demeure un véritable poids plume.
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Jeu 22 Déc 2022 - 10:23
Le mois de décembre... Tu le hais autant que tu le vénères. Ou plus exactement, tu en attends et adules une journée particulière, quand le reste du mois te rend plus morne encore que d'ordinaire. L'anniversaire de sa mort te vrille le coeur chaque année, tu as beau faire mine de rien, les cernes s'accumulent sous tes yeux clairs et te donnent des airs plus fantomatiques encore qu'à l'accoutumée. Et toi habituellement si avare de mots, tu sembles plus encore les compter.
Et puis il y a cette journée. Celle du solstice, si cher au coeur de ta précieuse luciole. Cette journée qui vous a été arrachée ces deux dernières années de par ton exil, et que tu attends avec bien plus d'impatience que tu n'en laisses paraître. Tous les ans, jusque-là, vous vous débrouilliez, Cat et toi, pour passer la journée ensemble, déjeuner en secret ce qu'elle a tenté de cuisiner et que tu as discrètement amélioré pour ne pas la vexer, vous perdre dans une exposition ou un musée pour quelques heures volées, échanger un présent à l'insu de vos parents. Votre tradition personnelle, qui n'appartient qu'à vous. Ton cadeau est presque prêt, tu comptes encore y ajouter un dernier enchantement - purement esthétique cette fois. Rose avec des paillettes. Tu sourirais presque en y songeant si tu savais davantage extérioriser ce que tu ressens.
En attendant, tu veilles sur la rousse comme le lait sur le feu. Depuis ce soir où elle est sortie avec Wyatt et que tu as été la récupérer à Ste Marie, plus paniqué que tu en l'as laissé paraître - moins cependant que lors de cet épisode en forêt dont tu rêves encore parfois - tu t'es immiscé dans leur duo, jouant le rôle de chaperon. Tu sais qu'elle en joue, ta luciole, avec ses "mais il faut quelqu'un pour nous surveilleeeeeer" grandiloquents quand tu es encore plongé dans un de tes ouvrages de botanique.
Et ce soir elle est plus radieuse que jamais. Toi, dans l'encadrement de sa porte, tu attends patiemment, ton esprit tournant en boucle pourtant sur beaucoup trop d'événements sombres. Tu ne cesses de songer à cet après-midi-là, où les statues du jardins se sont vus briser par des cognards enragés, et où tu as vu ta tante passer en trombe vomissant mille limaces. Ce que tu as surpris par la fenêtre de ta chambre ensuite te glace encore le sang, et tu peines à trier tes sentiments à ce sujet. Alors tu veilles, dans l'ombre, plus encore que jamais.
« Tu es prêt, Ice ? »
Tu hoches sobrement la tête alors qu'elle vient déposer un baiser carmin sur ta joue.
« Je suis heureuse que tu viennes avec nous ! »
Tu le sais que tu en portes la marque, mais tu n'es pas vraiment certain de vouloir t'en défaire.
« La pleurer ne lui fera que du mal, tu sais. Alors levons nos verre au soleil qu'elle était ».
Un sourire terne étire quelque peu tes lèvres, pincé, et tu hoches la tête. Un soleil, oui. Qui manque cruellement à vos ténèbres. Cat tourne pourtant sur elle-même, joyeuse, et son ballet amène un peu de chaleur dans ton regard.
-
Ces mots si rares dans ta bouche quoi qu'éternellement pensés renvoient aux étincelles dans tes yeux clairs. Elle est belle, ta luciole, et son sourire ravi n'en rajoute que davantage encore. Elle se saisit de ton bras, et vous dirige instantanément vers la taverne du troll, où vous retrouvez son ami. Wyatt. Que tu suis sur instagram, en chien de garde. Et sur le dos duquel elle grimpe aussitôt, attisant une jalousie de que tu sais maladive. Princesse sur son trône, elle donne les ordres, et tu suis volontairement docile.
« Je commande et vous trouvez une place ? Sauf si tu veux échanger Biche, je te laisse carte blanche sur ma boisson ; surprends-moi ! . »
-
Ton ton de voix neutre mais ferme en dit long sur ton intention de ne pas laisser le débat s'installer, et tu fends la foule pour rejoindre le comptoir, commandant un verre que tu as vu nombre de fois dans les mains de l'hispanique, un cocktail de champagne et rose surmonté de framboise proposé spécialement pour l'approche des fêtes pour Cat et une bière rousse pour toi. Du regard, tu cherches sa chevelure parmi les tables et ne tarde pas à les retrouver, t'installant alors silencieusement près d'eux.
@Cataleya Blackthorn @Wyatt Mora
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- InvitéInvité
Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Jeu 22 Déc 2022 - 23:33
L’air froid lui mord les joues et le bout du nez et Wyatt se maudit de ne pas avoir pris la bonne décision d’enfiler une écharpe supplémentaire pour livrer bataille contre les températures glaciales de décembre, en Écosse. Pourtant né sur ce continent, il a toujours eu une sainte horreur du combo froid et humidité typique du coin et regrette de ne pas passer les trois à quatre prochains mois à Madrid. Sa vie est ici et elle est difficilement transposable pour le moment. Le voilà qui sautille sur place, Wyatt, pour se donner chaud. Il a l’air un peu ridicule mais cela ne l’embête pas outre mesure. Il remarque à peine les regards tournés vers lui, voyant la foule s’agglutiner à l’intérieur de la Taverne d’où une imposante chaleur émane dès que la porte devant lui s’ouvre. Il se sert d’elle pour se réchauffer et prolonger son attente des cousins Blackthorn. Il impute ce retard à la dragonne qui lui sert d’amie et se demande comment elle fait pour réussir à le surpasser, lui, dans ce domaine alors qu’il y est expert.
Une minute plus tard, le duo fait son arrivée en fanfare et il sent plus qu’il ne voit le saut de Cataleya sur son dos. Par instinct, ses mains viennent aussitôt attraper ses cuisses pour lui éviter une chute stupide et il a un sourire envers le chaperon de la soirée, qui semble désormais avoir la fâcheuse manie de revêtir ce costume dernièrement. Wyatt n’aime pas être surveillé et même s’il n’a aucune réclamation à faire au sujet de James, il ne comprend pas l’intérêt qu’a celui-ci à les suivre comme un toutou sans réellement prendre de plaisir dans l’exercice. Il aimerait le voir se décoincer un peu et profiter d’une soirée où la bienséance est mise au rebut, accompagnée du balai qu’il trimballe constamment dans son postérieur.
Les voilà qui entrent enfin dans la Taverne et Wyatt soupir de satisfaction en sentant ses joues picoter sous l’effet de la chaleur et perdre de leur aspect glacé. Toujours surmonté de sa cavalière, ils se rapprochent tous les trois du bar mais la fosse de sorciers devant eux représente un obstacle de taille. Cataleya propose alors une séparation pour mieux régner mais avant qu’il n’ait eu le temps d’accepter la proposition, James lui coupe l’herbe sous le pied. Tant pis pour lui. Les laisser seuls tous les deux n’est pas la meilleure décision à prendre en tant que chaperon, sauf que Wyatt ne va pas s’en plaindre, au contraire. Tenant fermement la jeune femme, il joue des coudes jusqu’à trouver une table qui peut à peine contenir trois personnes. Qu’à celà ne tienne, ils se serreront.
« Un peu avare sur le sourire ton cousin ce soir ! Il est triste parce que son coiffeur lui a coupé la frange trop courte ? » Il rit, Wyatt, sans savoir ce qui se cache derrière cette tête d’enterrement. Mais comment pourrait-il le savoir ? À l’arrivée de James, il est déjà penché vers l’oreille de la jeune femme pour lui faire une petite remarque sur un gars à la table d’à côté, dont le t-shirt est sensiblement trop petit et littéralement prêt à exploser au moindre mouvement. Quelque chose qui a le don de le faire rire. Plutôt se trimballer nu que de porter une telle camisole !
« Merci mon p’tit ! Santé à vous, longue vie et prospérité ! » De sa main libre, il fait le salut vulcain et regarde tour à tour les deux Blackthorn. « Me dites pas que vous connaissez paaaaas… ! »
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Ven 23 Déc 2022 - 7:42
« - Un peu avare sur le sourire ton cousin ce soir ! »
« - Mais il m'a dite que j’étais magnifique aujourd'hui. » Les sourcils se plisse en une mine quelque peu suggestive avant que Cataleya ne suive véritablement le regard de Wyatt, s'attardant un temps sur le haut étriqué d'un homme roulant des pectoraux pour le jolie sourire de ses dames. Elle aurait pleinement pouffé dans l'épaule du dragonologue si l'arrivée de James n'avait pas étouffé ce rire et manqué de la tuer l'espace de deux secondes.
C'est avec une attention toute particulière qu'elle détaille les boisson et se laisse son regard s'illuminer sur les contour d'un breuvage aux sublimes nuances. Par les maléfice de grand papi ! C'était cette couleur qu'elle voulait sur les murs de sa chambre ! « Tu es le meilleur, James » Lui souffle t'elle, rayonnante en tout point, jusqu'à ce que Wyatt esquisse un mouvement plus qu'étrange de la main. Qu'est-ce qu-... « Me dites pas que vous connaissez paaaaas… ! »
Tu en demandais beaucoup trop à la rousse pour le coup, Mich-mich, et c'est le plus franchement du monde qu'elle secoue la tête, quoi qu'elle tente de reproduire l'excercice sous la table, histoire de ne pas se ridiculiser de trop. Qu'est-ce qu'était cette... Magie noire là. C'est armée d'une dévotion surprenante qu'elle s'acharne, pourtant, alternant inlassablement entre la main triomphante de Wyatt et ses propres doigts qui refusaient fermement de tenir la pause. « Je... Pari sur une série, livre ? Non série ! Moldue. Un peu nulle connaissant tes gouts, et de... Science fiction ? » Les moldu étant clairement nul avec l'astronomie, tout ce qui touchaient aux étoiles tenaient forcément de la science fiction. Quel manque flagrant d'imagination je vous jure.
Alors, faute de reproduire ce salut de l'enfer, c'est le plus naturellement du monde qu'elle lèvre son verre et cherche le regard de James comme pour insuffler en lui cette assurance qu'elle feignait impeccablement depuis le début de la journée. « Ce n'est pas Yule mais... A la vie, et la prospérité ! Puisse cette nouvelle année se faire aussi superbe que celle-ci !»
Et un peu moins stressante, s'il vous plaît. Elle survivotait à peine entre les impératifs familiaux, les gala, soirée mondaine, noel, examen, cours, nymphe, boulot, et une vie sociale à laquelle elle s'accrochait corps et âme pour ne pas sombrer. « ... Wyatt, poussin de mon coeur, joyaux de ma vie. Tu sais ce qu'est Yule n'est-ce pas ?» PARCE QUE CA ! C'était largement plus important qu'un geste futile de la main.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Lun 26 Déc 2022 - 23:15
Le froid ne t'a jamais indisposé. Tu es né au Manoir, tu as grandi dans ce terres, et ta peau comme tout ton être est clairement plus habitué aux températures hivernales qu'à la canicule. Tu te souviens des étés étouffants d'Egypte, et si en pensée, tu regrettes la communion avec l'artiste, clairement, tu ne regrettes pas le climat de son pays. Vêtu d'un pull à col roulé anthracite et d'un ensemble noir sous une gabardine assortie, tu suis les traces de ta cousine, radieuse. A peine arrivée, elle saute sur le dos de son ami, et tu restes - comme toujours - légèrement en retrait. A peine cependant, de sorte d'être toujours à portée. Tu hoches sobrement la tête en guise de salut à l'hispanique pour lequel tes sentiments restent mitigés. Certes, il apporte le sourire à ta chère luciole mais... justement. Ce sourire ne t'est pas dédié, et tu crains énormément la concurrence. Ca ne t'empêche pas de prendre le parti d'aller vous chercher des consommations, de sorte que ta cousine puisse gagner une place assise en premier lieu.
« Tu es le meilleur, James » sourit l'élue de ton coeur, lorsque son cocktail apparaît devant ses yeux, de quoi égayer quelque peu - à peine - ton air maussade.
« Merci mon p’tit ! Santé à vous, longue vie et prospérité ! »
La grandiloquence du latin te surprend toujours un peu. Pourtant, ce n'est ni la première - ni sans doute la dernière - fois qu'il agit de la sorte et tu regardes le geste qu'il effectue, légèrement circonspect. Il remarque aussitôt votre incompréhension commune, à Cat et toi, et s'indigne immédiatement.
« Me dites pas que vous connaissez paaaaas… ! »
La rousse secoue la tête, tout en tentant en vain de reproduire la pose. Tu l'observes un instant, reportes ton regard sur la main de l'autre homme et lève à peine la tienne tandis que la Lufkin renchérit.
« Je... Pari sur une série, livre ? Non série ! Moldue. Un peu nulle connaissant tes gouts, et de... Science fiction ? »
Tes doigts prennent presque trop naturellement la forme de V donnée en exemple, et tu hausses légèrement les épaules pour toi-même, ne comprenant définitivement pas l'intérêt de ce truc. Tu préfères t'emparer de ton verre et le lever à l'instar de ton ex-fiancée pour trinquer au solstice...
« Ce n'est pas Yule mais... A la vie, et la prospérité ! Puisse cette nouvelle année se faire aussi superbe que celle-ci ! »
Tu gardes ton verre levé, mais doute fortement de pouvoir qualifier cette année de superbe. Certes, tu as passé des mois hors du temps auprès de l'artiste, et tu as fini par retrouver ta Fire adorée, mais superbe ? Non, sans doute que ce ne serait pas le qualificatif que tu choisirais de toi-même... Cependant... La mention de Yule résonne particulièrement dans ton coeur. Tu attends cette date avec tellement d'impatience... Tes pensées s'égarent, songent au bijou que tu as modifié afin d'y ajouter des motifs diaphanes de roses poudrées, et enchanté afin que les paillettes se meuvent éternellement, diffusant une légère lueur autour de la perle. Merlin que l'anxiété te gagne chaque minute qui te rapproche de l'heure dite... Est-ce que ce présent lui plaira ? Tu anticipes déjà les rattrapages que tu te devras d'opérer sur sa cuisine, et esquisserait presque un sourire en y pensant. Sa voix s'élève, cependant, te tirant de tes réflexions.
« ... Wyatt, poussin de mon coeur, joyaux de ma vie. Tu sais ce qu'est Yule n'est-ce pas ? »
Tu ne peux réprimer la grimace qui étire maladroitement tes traits. Tu n'aimes pas quand elle affuble cet homme qui n'est pas toi de surnoms aussi... précieux. Tu le sais bien, qu'elle est terriblement proche de lui, mais justement, là est tout le coeur du problème. Tu ne peux t'empêcher de craindre de la perdre et de rester en retrait, loin derrière le faste des soirées avec lui. La curiosité t'étreint cependant. Sait-il ce qu'est Yule, au moins ? Ton regard se lève alors sur lui, cherchant à lire la réponse sur ses traits.
« Tu es le meilleur, James » sourit l'élue de ton coeur, lorsque son cocktail apparaît devant ses yeux, de quoi égayer quelque peu - à peine - ton air maussade.
« Merci mon p’tit ! Santé à vous, longue vie et prospérité ! »
La grandiloquence du latin te surprend toujours un peu. Pourtant, ce n'est ni la première - ni sans doute la dernière - fois qu'il agit de la sorte et tu regardes le geste qu'il effectue, légèrement circonspect. Il remarque aussitôt votre incompréhension commune, à Cat et toi, et s'indigne immédiatement.
« Me dites pas que vous connaissez paaaaas… ! »
La rousse secoue la tête, tout en tentant en vain de reproduire la pose. Tu l'observes un instant, reportes ton regard sur la main de l'autre homme et lève à peine la tienne tandis que la Lufkin renchérit.
« Je... Pari sur une série, livre ? Non série ! Moldue. Un peu nulle connaissant tes gouts, et de... Science fiction ? »
Tes doigts prennent presque trop naturellement la forme de V donnée en exemple, et tu hausses légèrement les épaules pour toi-même, ne comprenant définitivement pas l'intérêt de ce truc. Tu préfères t'emparer de ton verre et le lever à l'instar de ton ex-fiancée pour trinquer au solstice...
« Ce n'est pas Yule mais... A la vie, et la prospérité ! Puisse cette nouvelle année se faire aussi superbe que celle-ci ! »
Tu gardes ton verre levé, mais doute fortement de pouvoir qualifier cette année de superbe. Certes, tu as passé des mois hors du temps auprès de l'artiste, et tu as fini par retrouver ta Fire adorée, mais superbe ? Non, sans doute que ce ne serait pas le qualificatif que tu choisirais de toi-même... Cependant... La mention de Yule résonne particulièrement dans ton coeur. Tu attends cette date avec tellement d'impatience... Tes pensées s'égarent, songent au bijou que tu as modifié afin d'y ajouter des motifs diaphanes de roses poudrées, et enchanté afin que les paillettes se meuvent éternellement, diffusant une légère lueur autour de la perle. Merlin que l'anxiété te gagne chaque minute qui te rapproche de l'heure dite... Est-ce que ce présent lui plaira ? Tu anticipes déjà les rattrapages que tu te devras d'opérer sur sa cuisine, et esquisserait presque un sourire en y pensant. Sa voix s'élève, cependant, te tirant de tes réflexions.
« ... Wyatt, poussin de mon coeur, joyaux de ma vie. Tu sais ce qu'est Yule n'est-ce pas ? »
Tu ne peux réprimer la grimace qui étire maladroitement tes traits. Tu n'aimes pas quand elle affuble cet homme qui n'est pas toi de surnoms aussi... précieux. Tu le sais bien, qu'elle est terriblement proche de lui, mais justement, là est tout le coeur du problème. Tu ne peux t'empêcher de craindre de la perdre et de rester en retrait, loin derrière le faste des soirées avec lui. La curiosité t'étreint cependant. Sait-il ce qu'est Yule, au moins ? Ton regard se lève alors sur lui, cherchant à lire la réponse sur ses traits.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 28 Déc 2022 - 17:51
Le manque de culture moldue des sorciers l’étonnera toujours mais avec les Blackthorn, c’est un tout autre niveau. Sa main se défait alors qu’il les regarde avec un air tant incrédule que dépité. À quoi s’attendait-il, au juste ? À ce qu’ils comprennent aussitôt ses références de geek en science-fiction moldue ?
« Exeucuseuhmoua ? J’ai entendu ce que j’ai bien entendu ? NULLE ? Je suis choqué, outré, confusionné ! Star Trek est un monument de la culture moldue et tu ferais mieux de te pencher un peu dessus au lieu de faire la maligne. En plus, t’es même pas capable de faire un truc simple avec tes doigts. Au moins James y arrive lui ! » Car oui, grâce à son excellente vision périphérique, il a très bien vu le Blackthorn reproduire le mouvement avec presque un peu trop de facilité. Comme s’il l’avait déjà fait auparavant. Un amoureux secret de la science-fiction et tout particulièrement de Spock ? Cela l’étonnerait beaucoup mais il a envie de l’être. Il espère toujours une surprise au tournant. Ils trinquent tous trois et Wyatt sirote son verre avec satisfaction, avant de s’arrêter brusquement. Il jette un coup d'œil vers les cousins puis continue de siroter son cocktail comme s’il ne les avait pas entendus. Enfin, elle, parce que James a décidé de ne pas être bavard ce soir. Finalement, le dragonologue pose son verre sur la table et prend un air volontairement hautain.
« Ouai c’est un genre de Noël quoi, pas de quoi fouetter un chat. » Peut-être pas un chat, mais c’est lui qui risque de se faire fouetter dans les minutes qui suivent s’il continue sur cette voie. Le caractère de feu de Cataleya ne manquera pas de le dégommer au passage s’il s’amuse à parler de cette façon d’une fête plébiscitée par la communauté sorcière.
« Rho bah quoi ?! Désolé mais le principe est quasiment le même hein ! Le truc se passe en hiver et un vieux bonhomme de j’sais pas combien d’années vient se payer une petite visite sur Terre pour récompenser ceux qui ont été sages dans l’année. Chez moi, on appelle ça le Père Noël, sorry. » C’est à la moldue qu’il a été élevé, Wyatt, aussi longtemps qu’il s’en souvienne. Ce sont les traditions et coutumes de ce peuple qu’il retient plus que ceux des sorciers, qu’il n’a appris que sur le tard. Yule n’a aucune espèce de signification ou d'impact sur lui. Par contre, il adore le Père Noël…
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Sam 31 Déc 2022 - 11:15
Un soupire quelque peu frustrée au bout des lèvres accueille la réussite de James et... « Exeucuseuhmoua ? » Rho ! Ca va oui ? Les sourcils se froncent à mesure qu'elle réitère doucement le geste, du moins le tente t'elle, mais s'efforce de ne pas lapider Wyatt à coup de chips lorsqu'il souligne qu'elle est incapable d'y arriver. Qu'est-ce qu'elle avait à faire d'un « monument de la culture moldu » ? Sincèrement ? Pourtant, elle s'acharne la rousse, mais se saisit brusquement lorsque Wyatt entame une réponse sur la définition de « Yule ».
L'inspiration se fait grande lorsque « noël » s'impose comme un synonyme mais Cataleya se veut patiente, indulgente aussi. Wyatt est son meilleur ami et ce constat refuse de s'effacer lorsqu'il souille pourtant allègrement la culture sorcière. C'est pas faute de lui répéter en boucle qu'elle le déteste, pourtant. Inspire, il a simplement été coupé d'une culture pourtant clairement plus intéressante que ces star break à la noix. Ce n'est pas de sa faute mais celle de son éducation. « Rho bah quoi ?! » Inspire Cat. Inspire.
C'est le plus naturellement du monde que la rousse repousse tout doucement les verres qui s'érigent entre elle et le brun, s'assurant ouvertement qu'aucun meurtre inutile ne sera veillé par les étoiles. Inspire Cat, vous n'avez pas eu la même éducation et ce n'est pas grave ! C'est justement là un défi ! Wyatt te montre des trucs moldu et toi tu lui plaque au visage la suprématie sorcière ! Et pourtant, il ne suffit que d'un mot pour que la rousse se redresse d'un bond, plaque ses mains sur la table, courbée à la manière d'un Dent-de-vipère du Pérou sur le point d'attaquer.
«Je ne vais pas te noyer dans la bière et les hellébores parce que je t'aime, mais sache que si tu prononces encore une seule fois le mot « noël » je te fait bouffer de la belladone par kilos. » A quel moment de sa vie avait-il pu concevoir que Yule et Noel étaient la même et unique fête ? La date était différente ! Cette base seule aurait dû l'alerter ! Alors, dans une profonde expiration, Cataleya finit par jeter son regard sur l'hispanique et soupire un peu. Les mains toujours sur la table mais l'allure plus douce. « Yule, c'est le solstice d'hiver. Je pourrais te faire un cours entier sur son histoire et l'importance qu'avait cette fête par le passé, même chez les moldus, mais soyons honnête, on ne se souviendra plus de ça demain et j'ai clairement pas la foi de me jeter dans un cours passionnée dont tu ne retiendras rien. »
D'un geste souple, elle se rassoit et cueille son verre pour y poser les lèvres, jetant un bref regard à James comme pour jauger s'il voulait se lancer dans de quelconques explication mais, laconique, comme à son habitude, c'est Cataleya qui reprend.
« Retient juste que ça dure normalement 12 jours, mais qu'avec James on ne marque véritablement que le premier, la nuit des mères, notamment au travers d'un repas que je cuisine moi-même. Il symbolise le renouveau du monde dans l'obscurité de l'hiver, l'espoir, aussi. C'est une fête infiniment douce qui met à l'honneur les arbres et les étoiles, une véritable invitation à renouer avec les magies les plus anciennes que je célèbre pendant douze jours au sein de rituels. En bref, c'est ma fête préféré avec Ostara, et c'est tout un pan quasis oublié de notre culture sorcière alors que.. Bon sang.. T'as jamais pratiqué la magie sous sa lune ! C'est grisant au possible ! » Quelque chose glisse soudainement dans le regard de la rousse, si vif et pétillant qu'il ne fait aucun doute de la passion qui l'étreint à cet instant précis. C'est d'ailleurs avec beaucoup de tendresse qu'elle observe son verre et le ramène de nouveau entre ses doigts trop blanc. « Celui de cette année s'ouvre sur le gala de charité familial, mais dès que je suis libérée, je le jure ! Je filerai sous le clair de lune sans la moindre hésitation pour en embrasser la nuit. Je suis tellement excitée, tu n'as pas idée ! »
Elle rayonne tout bonnement, la jolie Cat. Tant et si bien que c'est le plus naturellement du monde qu'elle finit par poser ses lèvres sur les joues de James comme pour le détendre un peu, et partager son enthousiasme, aussi. La soirée se profilait déjà sous ses grands yeux bleu et, s'il était vrai qu'elle associait l'ouverture de cette fête à quelque chose d'infiniment intime, seulement partagé par elle et James, une étincelle toute nouvelle s'alluma dans ses yeux lorsqu'elle croisa après s'être longuement perdu dans le regard de son blond, celui de Wyatt. "Habituellement je voue ces rituels à la protection de ma famille, un jour par membre, mais je garderai le dernier pour toi. Avec un peu de chance tu pourras travailler avec des dragons adultes l'an prochain !." Son père n'avait pas besoin de ça. Ni sa mère d'ailleurs... Peut être devrait-elle faire quelque chose pour Maximilien au final, tant qu'à faire...
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
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» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Diane De C.), le moineau (Luan N.), le soleil-arc-en-ciel (Samara G-P.)
» âge : 26 ans (26/06/1998)
» situation : marié à Tia Nsar le 11/08/2024, futur père d'un bébé-amour prévu pour février 2025 (et amoureux de plusieurs personnes, chut)
» nature du sang : sang-pur
» particularité : cherche à apprendre l'occlumancie
» année d'études : 7e année
» options obligatoires & facultatives : Options obligatoires
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• Astronomie
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» profession : plus ou moins apprenti potioniste pour la Lunar Society Apothecary
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mar 3 Jan 2023 - 16:11
« Exeucuseuhmoua ? »
Le ton outré n'échappe à personne, mais t'en comprends difficilement l'origine : comment une "série" comme ils disent, peut générer un tel éclat ? Ca te passe des kilomètres au-dessus de la tête, et tu relèves le regard, circonspect, vers le brun à vos côtés.
« J’ai entendu ce que j’ai bien entendu ? NULLE ? Je suis choqué, outré, confusionné ! Star Trek est un monument de la culture moldue et tu ferais mieux de te pencher un peu dessus au lieu de faire la maligne. En plus, t’es même pas capable de faire un truc simple avec tes doigts. Au moins James y arrive lui ! »
Alors celle-là, tu l'as pas vue venir, et sincèrement, tu t'en serais bien passé. Tu imagines assez bien les hostilités te retomber dessus pour une raison aussi futile que celle d'avoir réussi à reproduire le geste de Wyatt quoi que tu n'en comprennes guère le sens, et tu soupirerais presque, dépité d'avance. Jusqu'à ce que votre compagnon de soirée commette l'irréparable - ou presque.
« Ouais c’est un genre de Noël quoi, pas de quoi fouetter un chat. »
-Yule est beaucoup plus profond qu'un vieux bonhomme en rouge amenant des cadeaux aux enfants sages , rétorques-tu d'un ton pourtant monocorde, voire glacial, piqué au vif que tu es. Yule est sacré à tes yeux, peut-être pas autant ni tout à fait de la même manière qu'à ceux de Cat, mais il n'en reste pas moins qu'il t'est impossible de laisser passer telle insulte.
« Rho bah quoi ?! Désolé mais le principe est quasiment le même hein ! Le truc se passe en hiver et un vieux bonhomme de j’sais pas combien d’années vient se payer une petite visite sur Terre pour récompenser ceux qui ont été sages dans l’année. Chez moi, on appelle ça le Père Noël, sorry. »
Est-il vraiment nécessaire de tourner ton regard vers la rousse à tes côtés pour deviner son ire ? Pas le moins du monde, et tu repères du coin de l'oeil son geste pour éloigner les verres, tu fais de même avec le tien d'ailleurs.
« Je ne vais pas te noyer dans la bière et les hellébores parce que je t'aime, mais sache que si tu prononces encore une seule fois le mot « noël » je te fais bouffer de la belladone par kilos. »
T'as toujours ce pincement au coeur quand elle affirme à cet autre homme qu'elle l'aime, quand bien même tu la vois bien user de mille stratagèmes, toujours, pour tenter de te faire céder à ses avances, et qu'elle se trouve toujours à tes côtés, témoignant son affection pour toi. Par les Maléfices de Morgane, si tu ne te sentais pas aussi impur, déviant, sans doute aurais-tu finis par craquer, il y a bien longtemps, même ! Tu noies tes propres frustrations dans une gorgée de cette pinte peut-être un peu trop remplie que tu gardes éloignée d'elle, tandis qu'elle se rassoit, visiblement lancée dans une explication au moins sommaire de ce qu'est réellement Yule.
« Yule, c'est le solstice d'hiver. Je pourrais te faire un cours entier sur son histoire et l'importance qu'avait cette fête par le passé, même chez les moldus, mais soyons honnête, on ne se souviendra plus de ça demain et j'ai clairement pas la foi de me jeter dans un cours passionné dont tu ne retiendras rien. Retiens juste que ça dure normalement 12 jours, mais qu'avec James on ne marque véritablement que le premier, la nuit des mères, notamment au travers d'un repas que je cuisine moi-même. Il symbolise le renouveau du monde dans l'obscurité de l'hiver, l'espoir, aussi. C'est une fête infiniment douce qui met à l'honneur les arbres et les étoiles, une véritable invitation à renouer avec les magies les plus anciennes que je célèbre pendant douze jours au sein de rituels. En bref, c'est ma fête préférée avec Ostara, et c'est tout un pan quasi oublié de notre culture sorcière alors que... Bon sang... T'as jamais pratiqué la magie sous sa lune ! C'est grisant au possible ! »
Sommaire ? Un pâle sourire effleure tes lèvres comme tu entends ta luciole décrire avec passion cette fête du renouveau qu'elle chérit tant. Toi-même, tu vénères ces nuits plus que tu n'oses l'avouer, et que dire de cette journée si particulière que vous partagez tous les deux ? Tu l'attends avec tellement d'impatience, fantasmant les moindres détails de cette célébration qui vous a été refusée déjà deux années durant.
« Celui de cette année s'ouvre sur le gala de charité familial, mais dès que je suis libérée, je le jure ! Je filerai sous le clair de lune sans la moindre hésitation pour en embrasser la nuit. Je suis tellement excitée, tu n'as pas idée ! »
Un instant, tu fermes les yeux, savourant le baiser chaste qu'elle offre à ta joue. Tu l'imagines déjà, sous le clair de lune décroissant, presque atteignant la lune nouvelle, dans les jardins du Manoir. Merlin que ces moments t'ont manqué !
« Habituellement je voue ces rituels à la protection de ma famille, un jour par membre, mais je garderai le dernier pour toi. Avec un peu de chance tu pourras travailler avec des dragons adultes l'an prochain ! »
Toi aussi, tu voues un culte aux vôtres. Mais force t'est d'admettre que ça fait longtemps que tu n'as plus compté une partie de votre fratrie dans tes voeux nocturnes. Et à vrai dire, tu doutes fortement de parvenir à ne pas restreindre le compte cette année encore. Assurément en revanche, Baby, Cat et @Juliet Blackthorn y ont toute leur place, depuis toujours. T'as beau avoir perdu ta cousine il y a onze ans, t'as jamais cessé d'honorer son souvenir, quoi que seule Cat ait jamais pu en être témoin. Mais tu sais aussi que d'autres noms s'y ajouteront, quand bien même tu ne les avoues qu'aux chandelles et écorces brûlées. @Maximilien Leroy, parce que c'est sans doute la seule personne à qui tu as jamais su donner le nom d'ami, un frère de coeur bien au-delà de tout ce que tu as jamais su exprimer. @Peter Drummond aussi, autant de par le sang que vous partagez que parce qu'il fait battre le coeur de l'abeille. Et @Jeremiah Shenton, où qu'il soit à présent - et tu pries les étoiles et la lune pour qu'il se tienne à jamais le plus loin possible de vos parents.
Le ton outré n'échappe à personne, mais t'en comprends difficilement l'origine : comment une "série" comme ils disent, peut générer un tel éclat ? Ca te passe des kilomètres au-dessus de la tête, et tu relèves le regard, circonspect, vers le brun à vos côtés.
« J’ai entendu ce que j’ai bien entendu ? NULLE ? Je suis choqué, outré, confusionné ! Star Trek est un monument de la culture moldue et tu ferais mieux de te pencher un peu dessus au lieu de faire la maligne. En plus, t’es même pas capable de faire un truc simple avec tes doigts. Au moins James y arrive lui ! »
Alors celle-là, tu l'as pas vue venir, et sincèrement, tu t'en serais bien passé. Tu imagines assez bien les hostilités te retomber dessus pour une raison aussi futile que celle d'avoir réussi à reproduire le geste de Wyatt quoi que tu n'en comprennes guère le sens, et tu soupirerais presque, dépité d'avance. Jusqu'à ce que votre compagnon de soirée commette l'irréparable - ou presque.
« Ouais c’est un genre de Noël quoi, pas de quoi fouetter un chat. »
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« Rho bah quoi ?! Désolé mais le principe est quasiment le même hein ! Le truc se passe en hiver et un vieux bonhomme de j’sais pas combien d’années vient se payer une petite visite sur Terre pour récompenser ceux qui ont été sages dans l’année. Chez moi, on appelle ça le Père Noël, sorry. »
Est-il vraiment nécessaire de tourner ton regard vers la rousse à tes côtés pour deviner son ire ? Pas le moins du monde, et tu repères du coin de l'oeil son geste pour éloigner les verres, tu fais de même avec le tien d'ailleurs.
« Je ne vais pas te noyer dans la bière et les hellébores parce que je t'aime, mais sache que si tu prononces encore une seule fois le mot « noël » je te fais bouffer de la belladone par kilos. »
T'as toujours ce pincement au coeur quand elle affirme à cet autre homme qu'elle l'aime, quand bien même tu la vois bien user de mille stratagèmes, toujours, pour tenter de te faire céder à ses avances, et qu'elle se trouve toujours à tes côtés, témoignant son affection pour toi. Par les Maléfices de Morgane, si tu ne te sentais pas aussi impur, déviant, sans doute aurais-tu finis par craquer, il y a bien longtemps, même ! Tu noies tes propres frustrations dans une gorgée de cette pinte peut-être un peu trop remplie que tu gardes éloignée d'elle, tandis qu'elle se rassoit, visiblement lancée dans une explication au moins sommaire de ce qu'est réellement Yule.
« Yule, c'est le solstice d'hiver. Je pourrais te faire un cours entier sur son histoire et l'importance qu'avait cette fête par le passé, même chez les moldus, mais soyons honnête, on ne se souviendra plus de ça demain et j'ai clairement pas la foi de me jeter dans un cours passionné dont tu ne retiendras rien. Retiens juste que ça dure normalement 12 jours, mais qu'avec James on ne marque véritablement que le premier, la nuit des mères, notamment au travers d'un repas que je cuisine moi-même. Il symbolise le renouveau du monde dans l'obscurité de l'hiver, l'espoir, aussi. C'est une fête infiniment douce qui met à l'honneur les arbres et les étoiles, une véritable invitation à renouer avec les magies les plus anciennes que je célèbre pendant douze jours au sein de rituels. En bref, c'est ma fête préférée avec Ostara, et c'est tout un pan quasi oublié de notre culture sorcière alors que... Bon sang... T'as jamais pratiqué la magie sous sa lune ! C'est grisant au possible ! »
Sommaire ? Un pâle sourire effleure tes lèvres comme tu entends ta luciole décrire avec passion cette fête du renouveau qu'elle chérit tant. Toi-même, tu vénères ces nuits plus que tu n'oses l'avouer, et que dire de cette journée si particulière que vous partagez tous les deux ? Tu l'attends avec tellement d'impatience, fantasmant les moindres détails de cette célébration qui vous a été refusée déjà deux années durant.
« Celui de cette année s'ouvre sur le gala de charité familial, mais dès que je suis libérée, je le jure ! Je filerai sous le clair de lune sans la moindre hésitation pour en embrasser la nuit. Je suis tellement excitée, tu n'as pas idée ! »
Un instant, tu fermes les yeux, savourant le baiser chaste qu'elle offre à ta joue. Tu l'imagines déjà, sous le clair de lune décroissant, presque atteignant la lune nouvelle, dans les jardins du Manoir. Merlin que ces moments t'ont manqué !
« Habituellement je voue ces rituels à la protection de ma famille, un jour par membre, mais je garderai le dernier pour toi. Avec un peu de chance tu pourras travailler avec des dragons adultes l'an prochain ! »
Toi aussi, tu voues un culte aux vôtres. Mais force t'est d'admettre que ça fait longtemps que tu n'as plus compté une partie de votre fratrie dans tes voeux nocturnes. Et à vrai dire, tu doutes fortement de parvenir à ne pas restreindre le compte cette année encore. Assurément en revanche, Baby, Cat et @Juliet Blackthorn y ont toute leur place, depuis toujours. T'as beau avoir perdu ta cousine il y a onze ans, t'as jamais cessé d'honorer son souvenir, quoi que seule Cat ait jamais pu en être témoin. Mais tu sais aussi que d'autres noms s'y ajouteront, quand bien même tu ne les avoues qu'aux chandelles et écorces brûlées. @Maximilien Leroy, parce que c'est sans doute la seule personne à qui tu as jamais su donner le nom d'ami, un frère de coeur bien au-delà de tout ce que tu as jamais su exprimer. @Peter Drummond aussi, autant de par le sang que vous partagez que parce qu'il fait battre le coeur de l'abeille. Et @Jeremiah Shenton, où qu'il soit à présent - et tu pries les étoiles et la lune pour qu'il se tienne à jamais le plus loin possible de vos parents.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mar 3 Jan 2023 - 23:22
La sentence tombe, irrévocable, de la part de non pas un, mais deux sorciers. Il s’y attendait bien sûr mais le sermon qu’il se prend au visage ressemble à celui de sa mère lorsqu’il était gamin et qu’il faisait le mur pour aller jouer dans la boue. Une activité fort intéressante jusqu’à ce qu’il termine plus noir que blanc. Cataleya, il peut le deviner aisément aux expressions de son visage, est furieuse qu’il ait eu l’audace de tremper le nom de Yule dans cette même boue. James, quant à lui, se fait incisif. Comme toujours, Wyatt aurait dû fermer sa bouche car c’est une vraie pluie qu’il s’abat sur lui et il n’a aucun parapluie pour s’en protéger. S’il fait l’effort d’écouter les premiers mots de la Blackthorn, la longueur de son phrasé finit par lui faire perdre le fil de ses propres pensées et elles s’évadent, mettant de côté les explications du sacro-saint solstice d’hiver qu’est Yule, dans toute sa complexité. À dire vrai, et ce malgré tout le respect qu’il a pour les convictions des autres, cela ne l’intéresse pas du tout et il sait d’avance qu’il n’y accordera jamais du temps ou de l’envie. Les traditions moldus sont déjà fort nombreuses, il n’a pas l’énergie ni l’envie de faire plus de place aux traditions sorcières, qu’il n’a jamais connues enfant. Expliquer cela aux Blackthorn relève de l’impossible à ses yeux alors il se tait, Wyatt, espérant que ce silence passera pour du respect et de l’attention.
Le mot “dragon” est alors prononcé et brusquement, il retrouve son intérêt. Comme quoi, ceci ne tient qu’à très peu de choses. Faussement offensé, il rétorque. « Eh ! Je travaille déjà avec des dragons adultes ! Enfin… presque. » Mais au fond, il est tout de même un peu honoré qu’elle daigne l’intégrer à ses vœux, qu’il y croit ou non. C’est la preuve qu’en si peu de temps, il a réussi à se dégoter une place à la fois dans son cœur, dans sa tête et dans son estime. Qu’une femme comme Cataleya, avec tant de convictions conservatrices, parvienne à faire entrer dans sa vie un sorcier au sang-mêlé relève de l’exploit. Il sait être l’exception à la règle. Une règle qu’il espère voir changer avec le temps.
« Mais okay okay, j’ai compris, ça n’a rien à voir l’un avec l’autre. Changeons de sujet, voulez-vous ? Alors dis-moi, James, comment trouves-tu notre Cataleya ce soir ? N’est-elle pas resplendissante et sublime ? On voudrait la croquer à moins ! » Il guette chez le sorcier une réaction quelconque ; un embarras, un rougissement subit du visage, une déviation du regard de la poitrine de la jeune femme jusqu’à son verre… Quelque chose qui lui permette de comprendre qu’elle le trouble. Avant qu’il ne joue à leur nouveau jeu depuis quelques semaines, intitulé “qui fera craquer James en premier ?”.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 4 Jan 2023 - 11:05
L'expiration se fait brève et frustrée, si bien à dire vrai qu'elle siffle presque sous ses canines. Elle en est bien consciente, la passion l'a emporté et son discours s'est égrainé au vent, bien loin des oreilles de Wyatt. Arthur avait pourtant déjà pointé sa propension au bavardage, Irina aussi, et il ne fait aucun doute que si James se fait laconique, sa rousse, elle, se perd toujours dans un florilège verbeux. Mais elle est expansive Cataleya ! Fut a l'époque où sa sœur était encore en vie, pleinement solaire, incarnant une excellente communicante au point de conserver, après quelques verres, des mains bavardes pour marquer plus encore ses discours passionnée. Des rires aisés, et une propension à se faire beaucoup trop tactile aussi, sans doute. Mais Circée seule savait ô combien ce trait de caractère attisait l'exécration totale de sa mère alors, si Cat ne cache pas ses mains sous la table pour en pincer ses poignets comme à son habitude, parce qu'elle sait que ni Wyatt, ni James ne lui en tiennent véritablement rigueur, elle culpabiliserait tout de même presque.
Son regard se redresse pourtant rapidement lorsque Wyatt reprend et aborde un terrain dont elle reconnaît sans mal les contour. « N’est-elle pas resplendissante et sublime ? » Oh you ~. Elle s'incline un peu pour accueillir le couronnement de son égo, mime une révérence que la table et la banquette complexifie tant ils sont serrés les uns contre les autres. Pourtant, ce simple constat éveille chez elle une subite idée. « Attend » Ose t'elle avant de se retourner du mieux qu'elle le pu, passant son genoux au dessus de ceux de James pour entamer une fuite hors de la banquette. Si les mains prennent doucement appui sur le blond, elle feint pourtant être coincée à califourchon quelques seconde supplémentaire, avant de souplement s'extraire de ce guet-apens.
Si elle tourne sur elle même comme pour exposer une robe choisis avec soin, souligne longuement la succession de perle et topaze incolores qui s'entremêlent tendrement à son cou, joue même les pin-up l'espace de quelques secondes dans un rire éclatant, c'est radieuse qu'elle pointe finalement son indexe sur le dragonologue. « Ma beauté n'a d'égal que ton charisme Wyatt. N'as tu jamais songé à poser ?»
Elle se rassoit à côté de James, prenant doucement appui sur sa cuisse pour se saisir du menton du brun tenu derrière lui. « Qu'en penses tu James ? Il a un sourire à s'en damner non ? » S'il est évident qu'elle contemple Wyatt avec bien plus d'amusement que d'admiration, son regard se détourne s'en peine pour longuement sonder celui de son aimé, creusant presque son âme tant il se faisait intense. Elle relâche pourtant le dragonologue au profit de son verre et se rassoit sagement, coinçant officiellement James entre elle et son partenaire de chasse.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Sam 7 Jan 2023 - 11:29
« Eh ! Je travaille déjà avec des dragons adultes ! Enfin… presque. »
Un môme. Ce type est un môme, qui s'offusque qu'on ne valorise pas ses jouets à leur juste valeur. C'est la pensée qui te traverse quand il réagit à la mention des dragons adultes, alors pourtant que ta luciole est en train de lui assurer la plus pure des bénédictions. Tu lèverais presque les yeux au ciel, mais te contentes de siroter ta bière en silence - comme si on en attendait différemment de toi.
«Mais okay okay, j’ai compris, ça n’a rien à voir l’un avec l’autre. Changeons de sujet, voulez-vous ? Alors dis-moi, James, comment trouves-tu notre Cataleya ce soir ? N’est-elle pas resplendissante et sublime ? On voudrait la croquer à moins ! »
Le revirement soudain de situation te laisse quelque peu perplexe et tu coules un regard vers le dragonologue en herbe. D'où sortait donc ce questionnement pour le moins incongru ? Tu n'as pas le temps de vraiment y répondre - d'autant moins que tu ne sais même pas par où commencer, tant ta cousine est éternellement sublime à tes yeux - qu'une fois le compliment accueilli avec une révérence contrainte par la table et la promiscuité, Fire passe tant bien que mal un genou au-dessus des tiens. Quelque peu surpris, c'est sa jambe sur toi que tu fixes un bref instant avant que tes iris pâles ne se relèvent vers celles de ta cousine, à présent assise allègrement sur tes genoux. Et tu t'y perdrais, là, dans ces prunelles aussi glacées que les tiennes, éternellement.
«Attends. »
Oh ! Tu veux bien attendre tout le temps qu'elle veut, là, mais muselle encore tes émois pour ne pas la plaquer sur la table et l'embrasser fougueusement, quand bien même tu la suis toujours du regard lorsqu'elle s'extirpe de la banquette pour tournoyer sur elle-même, offrant à ton regard tout le détail de sa toilette - que tu as déjà pourtant longuement observée alors qu'elle achevait de se préparer. Son rire réchauffe ton coeur supposément givré, et tu esquisserais presque un sourire, alors qu'elle vient se rasseoir à tes côtés, et que tu lui laisses davantage de place, presque par réflexe, te rapprochant alors sans trop le vouloir du brun.
«Ma beauté n'a d'égal que ton charisme Wyatt. N'as tu jamais songé à poser ? »
Le contact se fait à nouveau sensuel comme c'est sur ta cuisse et non la table qu'elle s'appuie pour se saisir du visage de l'autre, le tournant irrémédiablement vers toi. Toi tu ne la quittes pourtant pas du regard pour l'heure, luttant contre des émotions contraire, désir et culpabilité mêlés comme l'artiste ne quitte toujours pas tes pensées malgré la distance.
«Qu'en penses-tu James ? Il a un sourire à s'en damner non ? »
Presque par obligation, tu détournes alors ton regard du sien pour observer les traits de son ami, tâchant de juger factuellement de sa plastique. L'exercice s'avère plus compliqué que prévu, comme la proximité des deux compères attise tes sens, et tu t'empares de ton verre pour te donner une contenance parfaitement feinte.
-Je n'irai peut-être pas jusque-là, mais il pourrait y avoir matière à peindre, oui... admets-tu, songeant que si Cat amorce ce sujet et que Wyatt est si proche d'elle, tu peux peut-être lever un pan de voile sur ce trait de ta personnalité - à défaut de tout le reste...
Un môme. Ce type est un môme, qui s'offusque qu'on ne valorise pas ses jouets à leur juste valeur. C'est la pensée qui te traverse quand il réagit à la mention des dragons adultes, alors pourtant que ta luciole est en train de lui assurer la plus pure des bénédictions. Tu lèverais presque les yeux au ciel, mais te contentes de siroter ta bière en silence - comme si on en attendait différemment de toi.
«
Le revirement soudain de situation te laisse quelque peu perplexe et tu coules un regard vers le dragonologue en herbe. D'où sortait donc ce questionnement pour le moins incongru ? Tu n'as pas le temps de vraiment y répondre - d'autant moins que tu ne sais même pas par où commencer, tant ta cousine est éternellement sublime à tes yeux - qu'une fois le compliment accueilli avec une révérence contrainte par la table et la promiscuité, Fire passe tant bien que mal un genou au-dessus des tiens. Quelque peu surpris, c'est sa jambe sur toi que tu fixes un bref instant avant que tes iris pâles ne se relèvent vers celles de ta cousine, à présent assise allègrement sur tes genoux. Et tu t'y perdrais, là, dans ces prunelles aussi glacées que les tiennes, éternellement.
«
Oh ! Tu veux bien attendre tout le temps qu'elle veut, là, mais muselle encore tes émois pour ne pas la plaquer sur la table et l'embrasser fougueusement, quand bien même tu la suis toujours du regard lorsqu'elle s'extirpe de la banquette pour tournoyer sur elle-même, offrant à ton regard tout le détail de sa toilette - que tu as déjà pourtant longuement observée alors qu'elle achevait de se préparer. Son rire réchauffe ton coeur supposément givré, et tu esquisserais presque un sourire, alors qu'elle vient se rasseoir à tes côtés, et que tu lui laisses davantage de place, presque par réflexe, te rapprochant alors sans trop le vouloir du brun.
«
Le contact se fait à nouveau sensuel comme c'est sur ta cuisse et non la table qu'elle s'appuie pour se saisir du visage de l'autre, le tournant irrémédiablement vers toi. Toi tu ne la quittes pourtant pas du regard pour l'heure, luttant contre des émotions contraire, désir et culpabilité mêlés comme l'artiste ne quitte toujours pas tes pensées malgré la distance.
«
Presque par obligation, tu détournes alors ton regard du sien pour observer les traits de son ami, tâchant de juger factuellement de sa plastique. L'exercice s'avère plus compliqué que prévu, comme la proximité des deux compères attise tes sens, et tu t'empares de ton verre pour te donner une contenance parfaitement feinte.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Sam 7 Jan 2023 - 18:24
Wyatt manque d’exploser de rire lorsque la fille de feu tente une ascension sur les genoux de son cousin, une phrase qui ne manque pas d’absurde maintenant qu’il se la répète dans la tête. Lorsqu’il la voit s’arrêter quelques secondes sur James, un petit sourire naît sur ses lèvres car il reconnaît là une tactique plutôt efficace dont il a fait part à la jeune femme il y a quelques semaines déjà, parmi tant d’autres. Elles ont toutes pour but de permettre à Cataleya de déterminer si oui ou non, le Blackthorn est intéressé par sa cousine. Il aurait une grimace de dégoût s’il ne savait pas qu’aucun lien de sang ne les relie réellement. Cette tentative fait son effet sur James qui, malgré son air impassible parfaitement étudié, ne peut s’empêcher de suivre la rousse du regard. Un signe fort évident, du point de vue de Wyatt. Accrocher le regard de celui que l’on convoite et savoir le garder est tout un art.
« Oooooh arrête donc voyons, tu vas me faire rougir ! » La fausse modestie du dragonologue n’échappe à personne. Il aime se faire dire et entendre qu’il est un beau garçon et que son charisme crève le plafond. Il se repose essentiellement sur ces deux choses pour flirter car il ne peut clairement pas jouer d’intelligence. Il ne manque pas du regard la main de la déesse qui vient se poser sur la cuisse de sa conquête avec une subtilité étudiée et il ne pourrait être plus fier de sa disciple. Si l’ascension spontanée de Cataleya n’avait pas fait ses preuves, ce geste-là lui permettra de l’achever. On peut presque voir le trouble dans les iris claires de James et le bonheur que cela procure à la Blackthorn. Peut-être obtiendra-t-elle enfin satisfaction ce soir ? Il n’a aucun mal à jouer le jeu et se penche volontairement sur James en suivant le mouvement de la main de son amie. À son tour de poser la main sur l’autre cuisse du garçon. Ce n’est peut-être pas son point de vue à cet instant, mais pour un point de vue extérieur, on pourrait dire qu’il est un homme gâté.
« J’ai un très bon ami photographe qui a déjà fait quelques tests sur moi et mon charmant voisin m’a déjà fait poser pour lui. Mais je suis très mauvais modèle, je ne cesse de m’agiter… J’ai le feu au cul, j’y peux rien. » Ce n’est pas l’expression adéquate pour l’image qu’il veut décrire mais son erreur est volontaire. Et vraie, par-dessus le marché. Il espère que cela entrera dans l’oreille de James et n’en ressortira pas, même s’il s’est promis de ne jamais toucher à la victime de Cataleya sans son accord préalable.
« Et quelle partie de moi serait plus intéressante à peindre, selon toi ? J’ai foi en ton œil d’artiste. » Il se pince la lèvre et lève les sourcils de façon suggestive à l’attention de James. Puis, il reporte son regard sur la belle rousse et de sa main libre, joue avec une mèche de ses cheveux jusqu’à caresser sa clavicule. Dans la foulée, il dévoile un peu plus son épaule et la naissance de sa poitrine. Très subtil, le tableau est néanmoins captivant.
« Si je devais la peindre - et si j’avais le moindre talent pour cela - voilà ce qui attirerait mon attention. Si tu ne devais choisir qu’une seule chose, que peindrais-tu d’elle ? »
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Sam 7 Jan 2023 - 20:21
En tout point mutine, Cataleya éteint son sourire sur les contours de son verre mais ne peut se défaire de cette étincelle qui, jumelle à celle de Wyatt, trouve grand intérêt dans sa superbe grandiloquence. Morgane ! Si elle s'était faite homme, certainement l'aurait-elle marié sur le champ ! Wyatt était solaire, grandiose, et sa seule présence était parvenue à gommer ne serait-ce qu'un peu les dernières années de calvaire subit pour renouer avec une Cataleya depuis longtemps oubliée. Elle l'adorait, pleinement, le nier tiendrait de l'hérésie.
« Je n'irai peut-être pas jusque-là »
Faussement indignée, Cataleya repose soudainement son verre et offre ses doigt trop blanc à Wyatt comme pour souligner à distance l'éclat de son sourire. Tu étais mauvaise langue Ice, vraiment. Le menton se pose alors nonchalamment sur l'épaule du blond et elle le lui murmure à peine, là, au creux de l'oreille « Tu ne l'a pas vu torse nu, ses cicatrices ont un charme fou ». Ses iris accrochent longuement les siennes et c'est d'un simble baisé claqué sur sa joue qu'elle se refait biche, joli petit fauve. La main du métamorphomage savamment posé sur la cuisse de James réveille pourtant sa malice et, irrépressiblement, elle délaisse son verre pour reprendre doucement appui sur la cuisse opposé, initiant un nouveau rapprochement avec Wyatt au dessus de James.
L'échange est fluide et c'est sans grand mal que la rousse étend son cou sous les doigts du brun, non sans réprimer un sourire en tout point éclatant. Il n'y a pas à dire, toute cette situation l'amuse plus qu'elle ne le devrait et il n'y a que se perdre un peu dans le regard de son homologue hispanique pour y lire la même malice ; ils sont infernaux, purement et simplement. Cataleya le savait mais à cet instant précis s'en moqua éperdument, épousant pleinement, et au creux d'une lascivité toute féline cette caresse à peine osée. A peine suggestive. Le sourire se fait charmant, le regard se clos un instant pour se faire plus intense encore lorsque ses iris accrocheraient celles de James, mais, faussement sage, la rousse approche plus encore.
De sa main libre, elle ose quelque centimètre de plus et se pose sur la chaise, là, entre les cuisses de James pour se rapprocher un peu plus encore de Wyatt. Le geste est fluide, sans accroc, parfaitement étudié pour dénuder le plus simplement du monde cette épaule en tout point provocatrice, laissant deviner des rousseurs aux allures de traînées d'or qu'elle n'avait pas pris la peine de maquiller.
« Cesse de flatter mon ego Wyatt, je vais finir par rougir. » Murmura t'elle à peine, prise dans l'intimité de cette étrange promiscuité. Les secondes s'égrainent et s'il ne fait aucun doute quelle cherche à lire sur les prunelles du brun une marche à suivre, c'est souplement qu'elle tourne doucement le regard vers James alors que son épaule effleure doucement celle de Wyatt. La moue se forme doucement, infantile, et c'est un poil capricieuse qu'elle reprend. « Je n'ai toujours vu que mon visages sur tes toiles... Les complexes vont finir par mordre le reste si ça continue... »
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Dim 15 Jan 2023 - 23:37
Qu'elle est belle, ta cousine. Ta si précieuse luciole. Celle que tu crains chaque instant autant de perdre que de souiller. Là, tout contre toi, son parfum t'enivrant bien davantage que la bière que tu t'acharnes à tenir en main comme maigre rempart face aux assauts de la rousse, elle s'arrête un instant de trop, et tu n'es pas dupe une seconde quant à sa volonté affichée de te faire craquer. Et Merlin, que tu en meurs d'envie ! Mais cette voix au fond de toi te répète que tu n'es pas digne d'elle, que tu ne l'es plus, à tout le moins, insidieux discours assénant en boucle que vos parents ont sans doute bien fait, finalement, à vous séparer comme ils l'ont fait, rompant ses fiançailles qu'ils vous ont jadis fait miroiter. La boule qui se forme au fond de ta gorge semble prendre davantage d'ampleur ce soir encore, et si tu t'efforces de suivre le cours de leur conversation, tes pensées, elles, ne songent qu'aux deux êtres qui se partagent ton coeur, l'un évinçant l'autre à chaque instant. Tu ne peux les avoir tous deux, tu en es convaincu, et une part de toi s'étiole chaque jour un peu plus, d'une manière ou d'une autre. Tu dépéris loin de Cat, ton rempart de toujours contre le reste du monde, mais ton âme s'effrite tout autant loin de celui qui a permis à ton art de s'épanouir. L'une est vouée à un mariage forcé que tu cherches en vain à éviter, quand bien même tes mains restent liées ; l'autre à une mort certaine si vos parents venaient à apprendre son existence.
Et si le contact du menton de la rousse, là tout contre ton épaule, aurait tôt fait de réchauffer ton coeur, les mots qu'elle murmure à ton oreille avant de claquer cette bise presque insultante alors sur ta joue te glacent le sang.
« Tu ne l'as pas vu torse nu, ses cicatrices ont un charme fou »
« Oooooh arrête donc voyons, tu vas me faire rougir ! »
La voix faussement modeste du dragonologue peine à te tirer du marasme de tes pensées, mais leurs mains se posant l'une après l'autre sur tes cuisses ramènent ton attention à l'étrange scène qui se joue autour de toi. Se joue de toi. Tu cherches une contenance dans la bière qui s'évapore bien plus vite que d'ordinaire, étanchant mal une soif qui n'a rien d'éthylique...
« J’ai un très bon ami photographe qui a déjà fait quelques tests sur moi et mon charmant voisin m’a déjà fait poser pour lui. Mais je suis très mauvais modèle, je ne cesse de m’agiter… J’ai le feu au cul, j’y peux rien. »
Tu manques de t'étouffer sur la gorgée ambrée que tu venais de prendre, l'expression volontairement tendancieuse ne t'échappant pas une seconde. L'air de rien, les deux amis poursuivre leur saynète, tandis que tu tousses un peu, reprenant tant bien que mal ton souffle.
« Et quelle partie de moi serait plus intéressante à peindre, selon toi ? J’ai foi en ton œil d’artiste. »
La mimique suggestive ne t'échappe pas mais tu la repousses autant que ton malaise précédent. A l'inverse la question posée t'intéresse, et si tu n'as pas le temps de répondre, tes réflexions s'enchaînent, apportant au moins dans ta tête des éléments de réponse. Ses mains, assurément, captivent ton attention. Tu peinerais à expliquer pourquoi, mais tu leur trouves quelque chose, une sensualité particulière peut-être. Tu te gardes bien d'évoquer ses larges épaules, aussi. De toute façon, ton attention est attirée par ce geste qu'il esquisse vers ta luciole, par cette mèche de cheveux dont tu ne détaches plus le regard, qui vient si délicatement caresser sa peau, dévoiler la clavicule saillante, et dégager sa gorge.
« Si je devais la peindre - et si j’avais le moindre talent pour cela - voilà ce qui attirerait mon attention. Si tu ne devais choisir qu’une seule chose, que peindrais-tu d’elle ? »
Comment peux-tu répondre à cette question quand chaque parcelle de sa silhouette attire ton oeil, attise ton désir ? Plus encore à cet instant, comme le moindre de ses gestes se joue de tes sens, que son corps se love presque contre le tien, presque, là, savamment niché au creux de tes jambes, et que son épaule dévoile ces tâches de rousseurs que tu as si longuement contemplées mille nuits auparavant, dans la pénombre.
« Cesse de flatter mon ego Wyatt, je vais finir par rougir. »
Aucun de vous n'est dupe, à l'évidence, mais cette proximité, ce jeu sensuel auquel ils s'adonnent mettent à mal tes résistances et ton verre se vide finalement. Bien trop tôt. La moue qui se peint alors sur le visage de ton aimée ne présage rien de bon, et si tu savais réagir de façon plus éclatante, sans doute jetterais-tu un regard et des mots outrés.
« Je n'ai toujours vu que mon visage sur tes toiles... Les complexes vont finir par mordre le reste si ça continue... »
Tes prunelles claires se perdent un instant dans les siennes, regrettant le vide dans ton verre repoussé du bout des doigts sur la table dont la rousse te barre en partie l'accès. Puis tu te tournes vers Wyatt, répondant à la question que l'hispanique a posé - et à son affirmation par la même occasion.
-Un choix judicieux, il faut croire que tu as l'oeil. Le creux de cette épaule, la ligne de la colonne, la courbe de cette hanche, et ces constellations rousses tranchant cette carnation diaphane...
Si ils savaient... Si elle savait, ta luciole, que cette toile existe réellement. Que ce corps aux trois quarts détourné, tu l'as sculpté des nuits durant sous tes pinceaux. La blancheur de cette peau à peine dévoilée sous le drapé marine et les ondulations de feu, mouchetée de ces constellations fauve qui te fascinent tant. Les courbes savamment travaillées, le moindre pli repris mille fois. L'obscurité autour comme un écrin de velours, nimbé d'une lueur opaline rappelant l'astre nocturne. Nul doute que dès lors que tu lui laisserais l'entrevoir, tu ne saurais plus refuser les avances qu'elle ne cesse de te faire.
Ta gorge te semble particulièrement sèche alors. Ou peut-être cherches-tu une fuite, quelle qu'elle soit. Ta main cherche ton verre, désespérément vide, le fait tourner entre tes doigts. Le comptoir te semble inatteignable à présent, coincé comme tu l'es entre le mobilier et le corps de ta cousine, et si tu t'efforces encore au calme, ta voix semble pourtant bien rauque à tes oreilles, comme tu suggères - de toi-même, fait exceptionnel :Un autre verre ?
Et si le contact du menton de la rousse, là tout contre ton épaule, aurait tôt fait de réchauffer ton coeur, les mots qu'elle murmure à ton oreille avant de claquer cette bise presque insultante alors sur ta joue te glacent le sang.
« Tu ne l'as pas vu torse nu, ses cicatrices ont un charme fou »
La voix faussement modeste du dragonologue peine à te tirer du marasme de tes pensées, mais leurs mains se posant l'une après l'autre sur tes cuisses ramènent ton attention à l'étrange scène qui se joue autour de toi. Se joue de toi. Tu cherches une contenance dans la bière qui s'évapore bien plus vite que d'ordinaire, étanchant mal une soif qui n'a rien d'éthylique...
Tu manques de t'étouffer sur la gorgée ambrée que tu venais de prendre, l'expression volontairement tendancieuse ne t'échappant pas une seconde. L'air de rien, les deux amis poursuivre leur saynète, tandis que tu tousses un peu, reprenant tant bien que mal ton souffle.
La mimique suggestive ne t'échappe pas mais tu la repousses autant que ton malaise précédent. A l'inverse la question posée t'intéresse, et si tu n'as pas le temps de répondre, tes réflexions s'enchaînent, apportant au moins dans ta tête des éléments de réponse. Ses mains, assurément, captivent ton attention. Tu peinerais à expliquer pourquoi, mais tu leur trouves quelque chose, une sensualité particulière peut-être. Tu te gardes bien d'évoquer ses larges épaules, aussi. De toute façon, ton attention est attirée par ce geste qu'il esquisse vers ta luciole, par cette mèche de cheveux dont tu ne détaches plus le regard, qui vient si délicatement caresser sa peau, dévoiler la clavicule saillante, et dégager sa gorge.
Comment peux-tu répondre à cette question quand chaque parcelle de sa silhouette attire ton oeil, attise ton désir ? Plus encore à cet instant, comme le moindre de ses gestes se joue de tes sens, que son corps se love presque contre le tien, presque, là, savamment niché au creux de tes jambes, et que son épaule dévoile ces tâches de rousseurs que tu as si longuement contemplées mille nuits auparavant, dans la pénombre.
« Cesse de flatter mon ego Wyatt, je vais finir par rougir. »
Aucun de vous n'est dupe, à l'évidence, mais cette proximité, ce jeu sensuel auquel ils s'adonnent mettent à mal tes résistances et ton verre se vide finalement. Bien trop tôt. La moue qui se peint alors sur le visage de ton aimée ne présage rien de bon, et si tu savais réagir de façon plus éclatante, sans doute jetterais-tu un regard et des mots outrés.
« Je n'ai toujours vu que mon visage sur tes toiles... Les complexes vont finir par mordre le reste si ça continue... »
Tes prunelles claires se perdent un instant dans les siennes, regrettant le vide dans ton verre repoussé du bout des doigts sur la table dont la rousse te barre en partie l'accès. Puis tu te tournes vers Wyatt, répondant à la question que l'hispanique a posé - et à son affirmation par la même occasion.
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Si ils savaient... Si elle savait, ta luciole, que cette toile existe réellement. Que ce corps aux trois quarts détourné, tu l'as sculpté des nuits durant sous tes pinceaux. La blancheur de cette peau à peine dévoilée sous le drapé marine et les ondulations de feu, mouchetée de ces constellations fauve qui te fascinent tant. Les courbes savamment travaillées, le moindre pli repris mille fois. L'obscurité autour comme un écrin de velours, nimbé d'une lueur opaline rappelant l'astre nocturne. Nul doute que dès lors que tu lui laisserais l'entrevoir, tu ne saurais plus refuser les avances qu'elle ne cesse de te faire.
Ta gorge te semble particulièrement sèche alors. Ou peut-être cherches-tu une fuite, quelle qu'elle soit. Ta main cherche ton verre, désespérément vide, le fait tourner entre tes doigts. Le comptoir te semble inatteignable à présent, coincé comme tu l'es entre le mobilier et le corps de ta cousine, et si tu t'efforces encore au calme, ta voix semble pourtant bien rauque à tes oreilles, comme tu suggères - de toi-même, fait exceptionnel :
– the best –
- InvitéInvité
Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Lun 16 Jan 2023 - 10:27
Chacun flatte l’autre avec excès. Il faut dire que les deux compères sont devenus experts en la matière. Toujours à se brosser dans le sens du poil pour mieux se les hérisser ensuite. Wyatt aime sa relation avec Cataleya car elle ne ressemble à aucune autre qu’il ait pu avoir jusqu’à présent. Elle réveille en lui les sentiments les plus fous et il n’a même aucun mal à dire qu’elle fait partie de ses personnes préférées, à qui il peut faire promesse de loyauté. Sinon, pourquoi se lancerait-il dans un tel jeu avec James ? Ce dernier manque de se noyer dans son verre à chaque fois qu’il fait une tentative supplémentaire de le charmer. Il le soupçonne de ne pas être imperméable à ses avances mais d’une manière plus qu’évidente, son attention ne demeure que pour la fille de Feu, dont les nuances chatoyantes se reflètent dans les iris de son partenaire. La question est la suivante : qu’attend-il ? Si son intérêt est réel, il devrait répondre à ses avances qui, si l’on en croit la principale vexée, ont été nombreuses ces quelques derniers mois. Il reste longtemps muet, trop au goût de Wyatt qui préfère de ses partenaires qu’ils manifestent leurs émotions par la parole. N’étant pas très doué pour deviner ce que les autres pensent, le dragonologue a toujours fait attention à écouter car sans cela, il peut dépasser certaines limites. Mais James est une carpe. Outre quelques lèvres ouvertes entrecoupées de regards fuyants, il n’est pas très loquace ni actif, ce qui n’aide en rien leur entreprise. Mais Wyatt ne se démonte pas pour autant. Plutôt que de centrer la séduction sur lui-même, il joue avec le corps de Cataleya et cette fois-ci, remarque les yeux clairs de James qui suivent ses doigts avec une attention toute particulière. Bravo, il a enfin capté son attention ! Il suffisait simplement d’utiliser la rousse comme une toile de maître, confirmant ainsi son intérêt charnel pour la demoiselle. Ceci couplé aux gestes lascif et calculés de Cataleya (bravo à elle, lui dit-il par le regard), finit par délier la langue du sorcier qui valide le choix artistique du dragonologue. Bien sûr qu’il a l’œil ! Il a beau ne pas aimer le corps féminin pour son propre plaisir, il sait en reconnaître la beauté. Et la Blackthorn est très bien formée. Si elle n’avait pas le caractère aussi coriace, beaucoup s’y seraient déjà essayé…
« C’est que tu l’as beaucoup observée, dis-moi… » Il n’y a là rien d’étonnant. Au contraire, c’est même très rassurant pour leur petit jeu. Est-ce l’alcool ou eux, il ne saurait le dire, mais peu importe : les fruits sont mûrs, prêts à être récoltés. Il laissera la main à Cataleya pour qu’elle puisse les cueillir. Depuis le temps qu’elle attend ça, il espère seulement qu’elle prendra le temps d’en profiter plutôt que de se précipiter dessus mais connaissant sa fougue… rien ne peut être prédit. James fait alors l’heureuse proposition de prendre à nouveau de quoi se désaltérer et Wyatt, malin, saute aussitôt sur l’occasion.
« Je vais nous chercher des shots, bougez-pas et ne soyez pas sages ! » Voilà, ils vont pouvoir être tranquilles quelques minutes. C’est le moment opportun pour Cataleya de finaliser sa tactique et d’obtenir de James ce qu’elle souhaite. Avec un peu de chance, quand il reviendra, ils seront au moins en train d’échanger des baisers langoureux…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Ven 20 Jan 2023 - 20:31
« Un autre verre ? » Terrible succube, le sourire s'aiguise alors que le menton de Cataleya s'appose faussement sage sur l'épaule du blond. Volonté à peine murmuré de le maintenir là, assit, alors qu'elle devine déjà les propos de Wyatt. « bougez-pas et ne soyez pas sages ! » Oh Wyatt, elle jurait solennellement que ses intentions étaient purement mauvaise. L'étincelle toute singulière qui pétillait dans ses yeux, et pareille à cent lutin de cornouille jeté sur des premières années, en était la plus belle des preuves.
La langue se tire comme toute réponse et si ses iris accrochent encore le pas si solaire du dragonologue, c'est dans un soupire d'aise que la Blackthorn s’affale à peine sur James. Le regard clos mais le palpitant trop enthousiaste sans doute.
« Je l'adore... » Ca lui échappe presque, mais la douceur qu'elle darde sur le sang mêlé est équivoque. Quand bien même moins intense que celle qu'elle relève déjà en direction du Pokeby pour happer son entière attention. La main glisse tendrement dans ses cheveux pour en défaire le parfait plis et si les lèvres se pince une seconde, comme pour jauger d'une situation quelque peu glissante, c'est l'éther au bout des lèvre qu'elle s'autorise ce baisé sur son front. Chaste en tout point. « Mais toi je t'aime. » Elle murmure presque, Princesse Blackthorn. Autant parce qu'elle ne veut pas embarrasser cet homme au regard clair que parce qu'il lui est devenu difficile ces trois dernières années de formuler toute forme d'amour ou reconnaissance, quoi que ça se débloquait depuis quelques mois.
Le contact reste pourtant bref et c'est sagement que les doigts renoue avec son cocktail pour respecter la pudeur de James et une réserve frustrante à souhait mais qu'elle s’efforçait en tout point respecter, quand bien même ses jeux avec Wyatt empiétait largement sur ce principe. Et toute les fois ou elle faisait exprès de se changer la porte ouverte, aussi. Elle offrit donc un peu de répit au blond et posa ses lèvres sur son breuvage pour égrainer ses pensées sur d'autres parfums. Un instant du moins.
« Alors comme ça... J'ai de jolies courbes ? Je pourrais jouer les modèle si tu arrives a reproduire la gâteau vanille et myrtille de la moufette enchantée ! » Ose t'elle après quelques instants supplémentaire, comme pour laisser aux émotions de James le temps de se poser. Le regard pétille un peu, la moue se dessine sous la caresse de la malice mais le ton est pleinement léger, presque forcé pour renouer avec une nature solaire que tous avait oublié. Douloureusement chasser le spectre de Baby et ravir un esprit qu'elle devine en tout point hanté. Autant par ce jour que des pensées sur lesquels Cataleya n'a désespérément aucune prise.
Si seulement elle pouvait creuser l'esprit du blond et en arracher son mal... « Et moi je n'ai pas "le feu au cul" » Si elle forme des guillemets avec ses doigts, le mensonge lui brule presque les lèvres ; si, elle était intenable et se consumait dans un mélange de désir et frustration chaque jour passant. Elle avait clairement le feu au cul.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Dim 22 Jan 2023 - 18:59
Ah... Qu'attends-tu ? Cette question restera posée, car tu n'es pas en état d'y répondre parfaitement. Il y a quelques années, sans doute aurais-tu répondu "votre union officielle" mais celle-ci vous est désormais hors de portée. Et puis... Et puis rien n'effacera jamais tes exactions, et quoi que ton coeur batte toujours pour ton artiste, tu ne parviens pas à te défaire de l'idée entérinée au fond de ton crâne par ton éducation que cette relation était interdite, inepte même.
Il n'empêche que le corps de ta cousine presque lové tout contre toi, là, ne te laisse pas aussi indifférent que tu veux bien le laisser paraître, et si tes gestes restent sages, ton regard en dit peut-être plus long que tu ne le voudrais, et ton discours davantage encore, quoi que tu tentes - peut-être un peu vainement - de le garder conscrit à une démarche artistique.
«C’est que tu l’as beaucoup observée, dis-moi… »
Tu gardes le silence, n'ayant rien à répondre à cette affirmation. Te récrier ne ferait qu'enfoncer davantage le clou, et tu n'es pas prêt à le confirmer non plus. Au lieu de ça, tu proposes un verre de plus, clairement attiré par l'idée de noyer ton embarras dans une boisson qui te servirait de contenance. Mais tu songeais à une bière légère, pour ta part, avant que le brun ne bondisse hors de votre table, ne te laissant guère le choix en la matière.
«Je vais nous chercher des shots, bougez-pas et ne soyez pas sages ! »
Tu ne peux guère prendre sa place sans jeter la rousse à terre, et si la fuite de cette situation qui met bien à mal ta volonté de rester stoïque est tentante, l'idée de faire le moindre mal à ton aimée te révulse bien davantage que ton malaise.
« Je l'adore... » murmure-t-elle en prenant un peu plus appui sur toi, qui peines à garder tes bras hors de sa taille. Sa main, elle, trouve sa place trop naturellement dans tes cheveux, et son regard accroche si intensément le tien que tu te trouves bien incapable de te défaire de son étreinte.
« Mais toi je t'aime. »
Son murmure éclate ton coeur au fond de ta poitrine. Viviane sait à quel point tu l'aimes toi aussi, la belle flamme contre toi, mais as-tu seulement le droit de l'exprimer ? Tu noierais bien ces mots dans ton verre mais celui reste encore désespérément vide, et à vrai dire, tu ne garantit rien concernant les shots que Wyatt est parti chercher.
Sa main quitte ton visage, et cette relative distance fait fondre ta réserve. Tes doigts cherchent les siens, comme ton front se rapproche du sien et c'est dans un souffle à peine audible que tu murmures en retour
-Je t'aime aussi Fire...
Mais la honte et la culpabilité t'étreignent aussitôt ces mots avoués à voix si basse que le brouhaha ambiant aurait aussi bien pu les emporter, et tu te recules davantage encore sur le dossier de ta chaise comme elle se saisit de son verre, cherchant une contenance à son tour, sans doute.
« Alors comme ça... J'ai de jolies courbes ? Je pourrais jouer les modèles si tu arrives a reproduire la gâteau vanille et myrtille de la moufette enchantée ! »
-Oh... Il faudrait que je demande l'aide de Tertia en ce cas, pour arriver à un résultat en tout point parfait capable de ravir tes papilles...
La pâtisserie n'a jamais été un de tes passe-temps, quoi que tu sois capable assurément de juger de la réussite ou non du mets final. Mais pour les beaux yeux de ton ancienne promise, que ne ferais-tu pas, après tout ? Tertia, par ailleurs, s'avère être un guide bien plus accessible que Kaiden, et à l'évidence, la graine est semée dans ton esprit.
« Et moi je n'ai pas "le feu au cul". »
Tu esquisses un sourire, parfaitement conscient que si elle savait maîtriser sa tenue en toute circonstance et serait donc parfaitement à même de poser immobile si son devoir en dépendait, l'expression, elle, évoquait tout autre chose et représentait ici un odieux mensonge. Mais pouvais-tu seulement lui en vouloir, toi qui t'acharnais encore à refuser ses avances ? Du regard, tu cherches le retour de Wyatt, désespérément accroché à l'idée de te saisir d'un verre pour occuper tes mains et leur ôter l'envie de se poser sur le corps de la rousse...
Il n'empêche que le corps de ta cousine presque lové tout contre toi, là, ne te laisse pas aussi indifférent que tu veux bien le laisser paraître, et si tes gestes restent sages, ton regard en dit peut-être plus long que tu ne le voudrais, et ton discours davantage encore, quoi que tu tentes - peut-être un peu vainement - de le garder conscrit à une démarche artistique.
«
Tu gardes le silence, n'ayant rien à répondre à cette affirmation. Te récrier ne ferait qu'enfoncer davantage le clou, et tu n'es pas prêt à le confirmer non plus. Au lieu de ça, tu proposes un verre de plus, clairement attiré par l'idée de noyer ton embarras dans une boisson qui te servirait de contenance. Mais tu songeais à une bière légère, pour ta part, avant que le brun ne bondisse hors de votre table, ne te laissant guère le choix en la matière.
«
Tu ne peux guère prendre sa place sans jeter la rousse à terre, et si la fuite de cette situation qui met bien à mal ta volonté de rester stoïque est tentante, l'idée de faire le moindre mal à ton aimée te révulse bien davantage que ton malaise.
« Je l'adore... » murmure-t-elle en prenant un peu plus appui sur toi, qui peines à garder tes bras hors de sa taille. Sa main, elle, trouve sa place trop naturellement dans tes cheveux, et son regard accroche si intensément le tien que tu te trouves bien incapable de te défaire de son étreinte.
« Mais toi je t'aime. »
Son murmure éclate ton coeur au fond de ta poitrine. Viviane sait à quel point tu l'aimes toi aussi, la belle flamme contre toi, mais as-tu seulement le droit de l'exprimer ? Tu noierais bien ces mots dans ton verre mais celui reste encore désespérément vide, et à vrai dire, tu ne garantit rien concernant les shots que Wyatt est parti chercher.
Sa main quitte ton visage, et cette relative distance fait fondre ta réserve. Tes doigts cherchent les siens, comme ton front se rapproche du sien et c'est dans un souffle à peine audible que tu murmures en retour
-
Mais la honte et la culpabilité t'étreignent aussitôt ces mots avoués à voix si basse que le brouhaha ambiant aurait aussi bien pu les emporter, et tu te recules davantage encore sur le dossier de ta chaise comme elle se saisit de son verre, cherchant une contenance à son tour, sans doute.
« Alors comme ça... J'ai de jolies courbes ? Je pourrais jouer les modèles si tu arrives a reproduire la gâteau vanille et myrtille de la moufette enchantée ! »
-
La pâtisserie n'a jamais été un de tes passe-temps, quoi que tu sois capable assurément de juger de la réussite ou non du mets final. Mais pour les beaux yeux de ton ancienne promise, que ne ferais-tu pas, après tout ? Tertia, par ailleurs, s'avère être un guide bien plus accessible que Kaiden, et à l'évidence, la graine est semée dans ton esprit.
« Et moi je n'ai pas "le feu au cul". »
Tu esquisses un sourire, parfaitement conscient que si elle savait maîtriser sa tenue en toute circonstance et serait donc parfaitement à même de poser immobile si son devoir en dépendait, l'expression, elle, évoquait tout autre chose et représentait ici un odieux mensonge. Mais pouvais-tu seulement lui en vouloir, toi qui t'acharnais encore à refuser ses avances ? Du regard, tu cherches le retour de Wyatt, désespérément accroché à l'idée de te saisir d'un verre pour occuper tes mains et leur ôter l'envie de se poser sur le corps de la rousse...
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Dim 22 Jan 2023 - 23:11
C’est un peu désolant. Le tableau, de là où il se trouve, n’est pas très prometteur et pourtant, il leur a laissé à l’un comme à l’autre l’opportunité de se dérider un peu. James a déjà pas mal bu, il est désinhibé… alors pourquoi n’essaye-t-il pas ? Ne tente-t-il pas un rapprochement ? Il ne sait pas ce qu’il lui faut pour arriver à ce point. Il a tout de même une femme sublime dans ses bras qui est totalement consentante, et même entreprenante. D’autres auraient déjà craqués. Wyatt commence réellement à se demander si James a un intérêt autre que familial pour la rousse auquel cas, il devra lui dire de faire attention à ses sentiments. Cela ne sert à rien qu’elle reste accrochée à lui s’il n’y a aucun espoir de plus. Elle ne ferait que se blesser dans son entêtement et il veut lui épargner cela. Elle mérite plus, Cataleya.
Le dragonologue continue de les observer de loin, depuis le comptoir. Il attend leurs shots et a bien fait savoir au barman qu’il n’a pas à se presser pour cela. Son regard divague entre les Blackthorn et quelques hommes ici et là qui attirent son attention. Quelques œillades se font, se délient et s’oublient au fil des minutes et bientôt, Wyatt est obligé de retourner à sa place. Le plateau de shots dans les mains, il sait qu’il ne trouvera pas son amie en plein échange langoureux avec l’homme qu’elle convoite, contrairement à ce qu’il souhaite pour elle. C’est bien dommage… une vraie perte. Il montre d’ailleurs sa déception en posant ses fesses sur son siège. Wyatt n’a jamais été du genre à cacher quoi que ce soit. Tout de suite, il prend un verre et le pose devant James, comme un acte de défi.
« Bah dis donc, aucun de vous n’a pris mon ordre au sérieux ! Allez, remplissez-vous un peu le gosier, vous me faites un peu de peine. Si ça continue comme ça, c’est moi qui vais pécho l’un de vous deux ! » Ou les deux, il en serait tout à fait capable. Impossible de dire ou deviner de quoi ils étaient en train de parler mais ils parlaient, et c’est ce qui l’embête. Parler c’est bien, sauf qu’ils le font déjà bien assez. Il faut laisser la place à l’action. James a un balai si profondément coincé dans le cul qu’on voit le bout du manche au fond de sa gorge ! Pour lui montrer la bonne marche à suivre, Wyatt prend l’un des shots et l’avale cul-sec.
« Voilà, c’est comme ça qu’on fait ! Regarde, apprend et reproduit ! »
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mar 24 Jan 2023 - 18:09
Front contre front, Cataleya n'entend pas cette déclaration à peine soufflé, autant parce que son regard s'est clos dans l'attente d'un baisé que parce que la table d'à côté hurle des insultes à l'arbitre qui refuse un point à son équipe favorite. Alors, si elle trompe la déception en venant timidement frotter le bout de son nez contre celui de son aimé, c'est encore très assurée qu'elle noue le dialogue. Un temps du moins, car c'est un regard emplit de désespoir qu'elle darde sur Wyatt lorsque celui-ci revient. Elle avait raté sa chance, clairement, et la déception qui se grava sur le visage de l'espagnol ne laissa que peu de doute sur le fait qu'il le pensait à son tour.
Gracile, ses doigts trop blanc se saisissent du shot avant même que Wyatt n'ait le temps de poser ses fesses et c'est dans un discret soupire qu'elle noie son désespoir. Ce n'était clairement pas le meilleur jour pour tenter un abordage, pourquoi s'étonnait-elle de cet échec ? Aurait-elle dû se faire plus entreprenante afin de marteler une ultime fois sur cet esprit pudique qu'au delà de la simple envie de finir dans ses bras, cela relevait aujourd'hui du besoin.
« Si ça continue comme ça, c’est moi qui vais pécho l’un de vous deux ! » Le verre se vide d'une traite et c'est machinalement que Cataleya se laisse finalement choir contre James, faute de pouvoir le faire sur Wyatt. Son regard lie longuement les deux hommes et, si elle aurait pu lâcher un « preum's » à cette affirmation, c'est tout doucement qu'elle envisage laisser les deux hommes repartir ensemble. Ne serait-ce que pour être certaine de son absence de chance de conclure. Et puis, elle préférait mille fois laisser James à Wyatt plutôt qu'à un autre homme : au moins pourraient ils débattre autour d'un verre de ses performances sous les draps.
L'idée arrache un sourire à la rousse qui, machinalement, scroll sur son portable sans réel but. Aucune nouvelle notification ne l'a sommé de répondre et pourtant, cet objet du diable cristallise l'espace de quelques seconde une anxiété fermement muselé et caché au plus profond de ses entrailles. Il était tout bonnement hors de question de céder aux larmes en ce jour, et encore moins alors qu'elle s'acharnait à maintenir James à flot. « Regarde, apprend et reproduit ! » Wyatt s'acharne pourtant à dérider James et c'est pour marquer un élant de soutien que Cataleya reprend un verre et le termine cul sec, non sans réprimer un frisson, volonté évidente d'inciter le pokeby à suivre le mouvement.
« Ok. Puisque que tu as lancé le sujet Wyatt mais que je sais que tu préfères évidemment coucher avec moi plutôt qu'avec James. Parce que moi, j'ai un vieux pull de la honte avec des bébés noir des Hébrides dansant sur un château en ruine dessus... James, tu préfères … » Par la barbe hirsute de grand papi Blackthorn, pas le « tu préfères » qu'elle lâchait inlassablement en fin de soirée. « Je sais ! Tu préfères être Legilimens mais réaliser qu'on t'imagine nu, moi et Wyatt, et ce depuis notre premier verre ou tu préfères être un animagus mais réaliser que ton totem est une dinde ? »
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mar 24 Jan 2023 - 21:42
Le temps paraît suspendu, là, au milieu du brouhaha ambiant, des vociférations des supporters, quels qu'ils soient - et que tu n'entends même pas vraiment. Ton front contre le sien, tu restes immobile, incapable de céder à l'envie qui brûle pourtant tout ton être de poser tes lèvres sur les siennes. Elle frotte encore un instant son nez contre le tien et si ce geste affectueux t'apaise d'ordinaire, à cet instant tu le ressens comme plus frustrant que jamais pour elle peut être plus encore que pour toi cela dit. Mais comment pourrais-tu t'autoriser ce baiser, toi qui nages dans la culpabilité et ce que tu ne parviens pas à considérer autrement que comme de l'impureté ? Tu ne veux pas la faire sombrer aussi bas que toi, et tu songes avec tristesse qu'elle ne serait probablement pas lovée ainsi contre toi si elle savait.
Le retour de Wyatt coupe court à tes errances interminables et ses reproches ne te heurtent guère autant que la mine déçue de la rousse dans tes bras.
-Bah dis donc, aucun de vous n’a pris mon ordre au sérieux ! Allez, remplissez-vous un peu le gosier, vous me faites un peu de peine. Si ça continue comme ça, c’est moi qui vais pécho l’un de vous deux !
Ses derniers propos, cependant alors que Cat vide déjà son premier shot, lui valent un air outré de ta part, tout à fait sincère. Car si tu as succombé au charme d'un autre homme, tu n'as absolument pas l'intention de "batifoler" ainsi avec un autre... Mais il s'empare déjà d'un verre qu'il vide d'un trait à son tour, sans doute pas échaudé le moins du monde par tes états d'âmes et si d'ordinaire, tu refuses de les suivre dans cette course à l'ivresse, cette soirée marque clairement son exception : ta main se referme sur un des verres devant toi.
-Voilà, c’est comme ça qu’on fait ! Regarde, apprend et reproduit !
Tu portes le contenant à tes lèvres - n'attendais-tu pas de pouvoir te venger sur une boisson quelle qu'elle soit quelques minutes auparavant ? - et suis le mouvement qu'ils ont initié, juste au moment où il ne faut pas, faut-il croire... Mauvais timing, ta spécialité.
-James, tu préfères … Je sais ! Tu préfères être Legilimens mais réaliser qu'on t'imagine nu, moi et Wyatt, et ce depuis notre premier verre ou tu préfères être un animagus mais réaliser que ton totem est une dinde ?
Tu t'étouffes littéralement sur l'alcool qui brûle ton gosier comme jamais. Peinant de longues secondes à reprendre une respiration correcte, toussant honteusement dans ton poing, le visage détourné autant que possible de tes partenaires de soirée, tu regrettes ton imagination bien trop fertile et visuelle. Et si tu prends quelques secondes de plus pour répondre c'est pour vider un autre verre comme s'il pouvait atténuer le feu qui semble consumer tes entrailles autant que tes pommettes d'ordinaire si pâles.
-Legilimens , concèdes-tu à répondre finalement, parfaitement conscient que les images qui se forment dans ton esprit n'y résident probablement pas seulement, quand bien même tu n'es pas capable de lire les leurs.
L'alcool monte doucement à ton esprit, entaillant les murailles que tu cherches toujours à maintenir érigées entre ton cœur trop mou et le reste du monde. Et si tes doigts effleurent encore un verre, tu ne le portes pas à tes lèvres encore. Tu gardes le silence, trop longuement, le regard rivé sur le liquide que tu fais tourner entre tes doigts. Et lorsque que tu ouvres à nouveau la bouche, tu t'entends souffler presque comme si ta voix ne t'appartenait plus.
-Je n'en vaux vraiment pas la peine pourtant...
Le retour de Wyatt coupe court à tes errances interminables et ses reproches ne te heurtent guère autant que la mine déçue de la rousse dans tes bras.
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Ses derniers propos, cependant alors que Cat vide déjà son premier shot, lui valent un air outré de ta part, tout à fait sincère. Car si tu as succombé au charme d'un autre homme, tu n'as absolument pas l'intention de "batifoler" ainsi avec un autre... Mais il s'empare déjà d'un verre qu'il vide d'un trait à son tour, sans doute pas échaudé le moins du monde par tes états d'âmes et si d'ordinaire, tu refuses de les suivre dans cette course à l'ivresse, cette soirée marque clairement son exception : ta main se referme sur un des verres devant toi.
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Tu portes le contenant à tes lèvres - n'attendais-tu pas de pouvoir te venger sur une boisson quelle qu'elle soit quelques minutes auparavant ? - et suis le mouvement qu'ils ont initié, juste au moment où il ne faut pas, faut-il croire... Mauvais timing, ta spécialité.
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Tu t'étouffes littéralement sur l'alcool qui brûle ton gosier comme jamais. Peinant de longues secondes à reprendre une respiration correcte, toussant honteusement dans ton poing, le visage détourné autant que possible de tes partenaires de soirée, tu regrettes ton imagination bien trop fertile et visuelle. Et si tu prends quelques secondes de plus pour répondre c'est pour vider un autre verre comme s'il pouvait atténuer le feu qui semble consumer tes entrailles autant que tes pommettes d'ordinaire si pâles.
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L'alcool monte doucement à ton esprit, entaillant les murailles que tu cherches toujours à maintenir érigées entre ton cœur trop mou et le reste du monde. Et si tes doigts effleurent encore un verre, tu ne le portes pas à tes lèvres encore. Tu gardes le silence, trop longuement, le regard rivé sur le liquide que tu fais tourner entre tes doigts. Et lorsque que tu ouvres à nouveau la bouche, tu t'entends souffler presque comme si ta voix ne t'appartenait plus.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 25 Jan 2023 - 14:09
« Tu apprendras ma chère que n’importe quel tissu que ce soit possédant un Noir des Hébrides sur lui est tout sauf honteux ! » affirme-t-il en levant fièrement son verre devant lui avant de laisser son contenu glisser dans son gosier. Il manque d’ailleurs de s’étouffer lui aussi en écoutant les fabulations de Cataleya, qui semble beaucoup s’amuser avec ce petit jeu. Jeu qu’il ne peut que cautionner bien sûr, puisqu’il s’appelle Wyatt. Tout ce qui met les autres dans l’embarras l’amuse et le divertit. La Blackthorn a très vite compris comment s’y prendre et il faut dire qu’elle est face à une victime idéale. James est né pour se faire chambrer, malmener (mais gentiment, bien sûr). Rien de tout cela n’a pour but de le dévaluer mais plutôt… de le dérider un peu. De lui faire voir ce qu’il a sous les yeux et que s’il attend trop longtemps, quelqu’un le lui ravira. Pas Wyatt, pour des raisons évidentes… mais un autre.
Le choix de James le surprend et c’est un grand sourire qui s’inscrit sur son visage à cette écoute. Tiens tiens, Legilimens… comme c’est amusant ! Donc il n’est pas insensible à l’idée de les savoir l’imaginer nu. Il aurait aisément pu opter pour la version rigolote de ce jeu, mais il a choisi la sexy. Il veut poursuivre la conversation sur ce thème et le dragonologue se fera un plaisir de s’y plier. Il reprend d’ailleurs un verre, se laisse enflammer quelques secondes puis fait une petite moue à l’ajout de James. Décidément, il est entouré par des personnes qui ne savent pas saisir l’étendue de leur potentiel… C’en est presque déprimant.
« Rho sérieux, c’est quoi cette mode de se dévaloriser tout le temps ? J’suis à deux doigts de lancer un Action ou Vérité juste pour te foutre à poil là et que t’arrêtes ce discours pessimiste. Allez, profite un peu ! Essaye un sourire, détends-toi, pète un coup ! » Il ne le dit pas tout de suite, mais ce comportement renfermé commence à l’agacer. Il aime bien les gars mignons et reservés mais s’ils le sont trop, cela ne fait que l’ennuyer. Il n’a rien contre ça, mais il faut savoir évoluer. Progresser. James n’ira nulle part avec Cataleya s’il continue à jouer le glaçon… et même la flamme la plus puissante qu’il connaisse ne semble pas en mesure de le faire fondre et, à la place, se noie dans son propre désespoir. Un désespoir nommé vodka.
« Francis, tu préfères… être vue nue en public ou avoir la crotte au nez pendant un dîner mondain et que personne ne t’en informe avant la fin de la soirée ? » Il a un sourire amusé en direction de la jeune femme, se demandant où sa fierté se tiendra. Il commence suffisamment bien à la connaître pour savoir que l’une et l’autre de ces situations la rendraient probablement malade. De honte, de gêne… peu importe le nom au final. Pour lui, la réponse est évidente : il préférerait être nu. Dans n’importe quelle situation d’ailleurs, il n’a à rougir de rien. C’est dingue comme James et lui peuvent être si éloignés l’un de l’autre… C’est comme regarder dans un miroir inversé. Et pourtant, il est presque sûr que Cataleya l’apprécie tout autant.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 25 Jan 2023 - 16:40
L'un s’étouffe, l'autre manque de peu de connaître le même sort, mais Cataleya ronronnerait presque dans une moue machiavélique tant ces réactions lui arrache un éclat de rire saisissant. Elle était diabolique, tout bonnement, et se le rappelle une fois de plus lorsqu'elle voit James fondre sur un nouveau verre. Décidément, ils les enchaînaient ! Peut-être devait-elle ralentir sur sa propre consommation afin de le ramener sain et sauf à la maison. Le veiller un peu, quitte à l'avoir odieusement piégé entre elle et Wyatt. Ses doigts relâche le shooter qu'elle s'apprêtait à saisir mais le regard se fait équivoque si-tôt la réponse de James offerte à son sourire carnassier. Legilimens , vraiment ? En dépit de cette toux des enfers certainement causé par l'image mental qu'avait suivit la description de ce mot ?
« Je suis un peu déçue, un animagus dinde aurait été hilarant ». Quel pouvait d'ailleurs être le profil d'une personne ayant pour totem cet étrange volatile ? Les sourcils se froncent à peine en quête de réponse mais la réflexion, aussi intense fut-elle, vacille devant la suite de ses propos. Si la main se pose trop naturellement sur la cuisse de James comme pour l'arracher à ses sordides pensées et marquer un soutient concret, c'est assurée qu'elle fait face à ce manque de valeur dont il aime tant se draper. Ne serait-ce parce qu'il n'était que le quatrième de sa fratrie.
« On dira ça aux groupies qui fantasmaient sur toi et Max à la moufette enchantée, veux tu ? Si je ne gonflait pas la poitrine à la manière d'un coq, tu serais constamment couvert de baisé. Eeeeet.... Il est bien trop tôt pour un Action ou vérité Micheline, tu le sais. »
Si les doigts demeurent encore un peu posé sur la cuisse du blond pour le rassurer, c'est subitement que les mains se lève au dessus de la table pour taper deux fois l'une contre l'autre. Échauffement véritable devant ce dilemme offert par Wyatt. « Francis Bleu, respecte mon intégrité je t'en prie. » Souffle t'elle, plus pour se laisser le temps de réfléchir que réellement outrée. Quand bien même elle adorait se draper du surnom tout sauf officiel de Barbe bleu. La lèvre se mord une une seconde, les sourcils se froncent à peine, mais c'est soudainement radieuse qu'elle claque sur la table un « Nue en publique ! » qui retourne brusquement son voisin de table. « Je passe ma vie en pull-culotte ou seins nus, demande à James. Et puis... Non, je ne pourrais pas supporter être ridicule en présence de mes parents. » Ni devant sa famille toute entière, ni devant le clan Muller, les Leroy, Lacroix, Arthur... Un frisson de dégoût la parcourent d'ailleurs à cette simple image et c'est le nez significativement plissé qu'elle secoue un peu la tête pour le chasser. « Et puis je pourrais fuir sous forme animale en trois seconde. » Et juste pour ça, elle était heureuse de cohabiter avec la bête dégénérée qui virait folle en elle depuis le début de décembre.
« Mich-Mich , yeux dans les yeux, tu préfères... Avoir trois charmants tentacules de snargalouff sur le front ouuuuu... Des petites mains atrophiée sur les coudes ? » C'est officiel, l'homme dans son t-shirt trop serré à leur gauche juge, et très fort.
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Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 25 Jan 2023 - 20:37
« Tu apprendras ma chère que n’importe quel tissu que ce soit possédant un Noir des Hébrides sur lui est tout sauf honteux ! »
Cette passion pour les Noirs des Hébrides les unit, assurément. Tu visualises encore les elfes du Manoir s'affoler comme s'ils en voyaient un débarquer en cuisine chaque fois que la rousse a tenté de préparer quoi que ce soit. Un sourire poindrait presque, s'il n'était embrumé par de bien trop sombres pensées parasites, alors que les deux autres, eux jubilent.
«Je suis un peu déçue, un animagus dinde aurait été hilarant. »
Tu songes amèrement que tu n'as pas vraiment besoin de plus de ridicule, et qu'un tel totem te vaudrait encore moins de valeur aux yeux de vos parents que tu n'en conserves à présent. Assurément, la légilimancie, au moins revêtirait un caractère plus honorable. Quitte à voir les pensées quelque peu déplacées des autres. Et si ce jeu étrange qui unit Wyatt et Cataleya les fait visiblement beaucoup rire, toi, tu t'englues dans la morosité latente qui t'étreint davantage encore que d'ordinaire en ce quatorze décembre fatidique.
« Rho sérieux, c’est quoi cette mode de se dévaloriser tout le temps ? J’suis à deux doigts de lancer un Action ou Vérité juste pour te foutre à poil là et que t’arrêtes ce discours pessimiste. Allez, profite un peu ! Essaye un sourire, détends-toi, pète un coup ! »
Un sourcil se hausse à peine, alors que ton regard se détourne de ton verre pour observer l'hispanique. Tu n'as aucune idée de ce que ces affirmations ont à faire ensemble, et il est tout bonnement hors de question que tu te laisses aller à la dernière. Quant à la détente et au sourire... ils ne sont visiblement pas ton fort, mais qui en aurais douté, après tout ? T'es un Blackthorn, tu as été élevé comme tel. Ce ne sont, à l'évidence, pas vraiment les maîtres-mots de votre éducation. Mais la main de ta cousine sur ta cuisse ramène ton regard vers elle, et tu tournes aussitôt la tête.
«On dira ça aux groupies qui fantasmaient sur toi et Max à la moufette enchantée, veux-tu ? Si je ne gonflais pas la poitrine à la manière d'un coq, tu serais constamment couvert de baisers. Eeeeet.... Il est bien trop tôt pour un Action ou vérité Micheline, tu le sais. »
Le sourcil se hausse davantage. Tu es bien aveugle à tout ça, il faut l'admettre, mais ça se saurait si tu prêtais attention aux murmures et commérages. De toute façon, tu n'as pas vraiment le temps de t'interroger sur cette pseudo-révélation - tu es probablement le seul à ne pas remarquer les regards sur ta personne - que Wyatt poursuit leur jeu de questions plus saugrenues les unes que les autres, et tu replonges ton regard dans ton verre.
« Francis, tu préfères… être vue nue en public ou avoir la crotte au nez pendant un dîner mondain et que personne ne t’en informe avant la fin de la soirée ? »
«Francis Bleu, respecte mon intégrité je t'en prie. »
La main claque sur la table, t'arrachant presque un sursaut. Les verres, eux, tressautent assurément et c'est un regard un peu surpris que tu dardes sur ta cousine.
«Nue en public ! »
Ca, en revanche, ça ne te surprend pas tant. La honte devant votre famille semblait pire que la mort, et assurément que même toi, bien plus pudique que la rousse contre toi, tu aurais opté pour ce choix, bon gré mal gré. Alors venant d'elle, ça n'avait rien de bien surprenant.
«Je passe ma vie en pull-culotte ou seins nus, demande à James. »
-C'est vrai , concèdes-tu sans pourtant trop t'épancher, le rouge montant quelque peu à tes joues cependant, sans que tu ne souhaites élucider si cette douce chaleur venait de l'alcool ou de l'appréciation du spectacle énoncé.
«Et puis... Non, je ne pourrais pas supporter être ridicule en présence de mes parents. »
Tu hoches légèrement la tête, confirmant silencieusement ses dires, jouant encore un peu avec un des verres restant, que tu t'apprêtes à porter à tes lèvres au moment où elle rajoute, victorieuse.
«Et puis je pourrais fuir sous forme animale en trois secondes. »
-Une chance en effet... soupires-tu, parfaitement conscient, qu'à sa place, toi, tu n'aurais pas eu cette échappatoire.
Le verre dans ta main retrouve la table, vide. Peu à peu, l'alcool joue sur tes sensations, et l'atmosphère semble plus lourde. Le poids sur tes épaules aussi, contrairement à ce que tes camarades de soirée avaient sans doute espéré.
«Mich-Mich , yeux dans les yeux, tu préfères... Avoir trois charmants tentacules de snargalouff sur le front ouuuuu... Des petites mains atrophiées sur les coudes ? »
L'image qui se forme dans ton esprit est bien trop vive pour ne pas t'arracher un rire nerveux, cette fois. Et si tu te poses toi-même la question l'espace d'une seconde, il t'apparaît comme évident que ne pas pouvoir te servir de tes mains correctement te serait insupportable. Tentacules de snargalouff alors. Quitte à rester isolé des autres, de par une apparence odieuse cette fois, au moins que tu puisses continuer à peindre et dessiner.
Cette passion pour les Noirs des Hébrides les unit, assurément. Tu visualises encore les elfes du Manoir s'affoler comme s'ils en voyaient un débarquer en cuisine chaque fois que la rousse a tenté de préparer quoi que ce soit. Un sourire poindrait presque, s'il n'était embrumé par de bien trop sombres pensées parasites, alors que les deux autres, eux jubilent.
«
Tu songes amèrement que tu n'as pas vraiment besoin de plus de ridicule, et qu'un tel totem te vaudrait encore moins de valeur aux yeux de vos parents que tu n'en conserves à présent. Assurément, la légilimancie, au moins revêtirait un caractère plus honorable. Quitte à voir les pensées quelque peu déplacées des autres. Et si ce jeu étrange qui unit Wyatt et Cataleya les fait visiblement beaucoup rire, toi, tu t'englues dans la morosité latente qui t'étreint davantage encore que d'ordinaire en ce quatorze décembre fatidique.
« Rho sérieux, c’est quoi cette mode de se dévaloriser tout le temps ? J’suis à deux doigts de lancer un Action ou Vérité juste pour te foutre à poil là et que t’arrêtes ce discours pessimiste. Allez, profite un peu ! Essaye un sourire, détends-toi, pète un coup ! »
Un sourcil se hausse à peine, alors que ton regard se détourne de ton verre pour observer l'hispanique. Tu n'as aucune idée de ce que ces affirmations ont à faire ensemble, et il est tout bonnement hors de question que tu te laisses aller à la dernière. Quant à la détente et au sourire... ils ne sont visiblement pas ton fort, mais qui en aurais douté, après tout ? T'es un Blackthorn, tu as été élevé comme tel. Ce ne sont, à l'évidence, pas vraiment les maîtres-mots de votre éducation. Mais la main de ta cousine sur ta cuisse ramène ton regard vers elle, et tu tournes aussitôt la tête.
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Le sourcil se hausse davantage. Tu es bien aveugle à tout ça, il faut l'admettre, mais ça se saurait si tu prêtais attention aux murmures et commérages. De toute façon, tu n'as pas vraiment le temps de t'interroger sur cette pseudo-révélation - tu es probablement le seul à ne pas remarquer les regards sur ta personne - que Wyatt poursuit leur jeu de questions plus saugrenues les unes que les autres, et tu replonges ton regard dans ton verre.
« Francis, tu préfères… être vue nue en public ou avoir la crotte au nez pendant un dîner mondain et que personne ne t’en informe avant la fin de la soirée ? »
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La main claque sur la table, t'arrachant presque un sursaut. Les verres, eux, tressautent assurément et c'est un regard un peu surpris que tu dardes sur ta cousine.
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Ca, en revanche, ça ne te surprend pas tant. La honte devant votre famille semblait pire que la mort, et assurément que même toi, bien plus pudique que la rousse contre toi, tu aurais opté pour ce choix, bon gré mal gré. Alors venant d'elle, ça n'avait rien de bien surprenant.
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-
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Tu hoches légèrement la tête, confirmant silencieusement ses dires, jouant encore un peu avec un des verres restant, que tu t'apprêtes à porter à tes lèvres au moment où elle rajoute, victorieuse.
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Le verre dans ta main retrouve la table, vide. Peu à peu, l'alcool joue sur tes sensations, et l'atmosphère semble plus lourde. Le poids sur tes épaules aussi, contrairement à ce que tes camarades de soirée avaient sans doute espéré.
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L'image qui se forme dans ton esprit est bien trop vive pour ne pas t'arracher un rire nerveux, cette fois. Et si tu te poses toi-même la question l'espace d'une seconde, il t'apparaît comme évident que ne pas pouvoir te servir de tes mains correctement te serait insupportable. Tentacules de snargalouff alors. Quitte à rester isolé des autres, de par une apparence odieuse cette fois, au moins que tu puisses continuer à peindre et dessiner.
– the best –
- InvitéInvité
Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 25 Jan 2023 - 21:20
Elle répond de façon satisfaisante et il sourit, Wyatt, en se disant qu’il a de la chance d’être ami avec une personne comme Cataleya. Il ne saurait pas l’être avec James. Son air semi-renfrogné et ses réponses monosyllabiques finiront tôt ou tard par l’agacer et il partira sans demander son reste. Heureusement qu’on lui a attribué une mission… Et à l’évocation des seins nus de la rousse, il a un regard confus envers le Blackthorn. Il n’arrive même pas à dire si cela provoque quelque chose en lui… Si Cataleya devait lui demander maintenant son opinion sur la question, il lui dirait que James est tout sauf intéressé par sa personne et qu’elle ferait mieux d’aller lancer sa ligne dans un autre étang. Le côté mystérieux c’est bien… quand c’est dosé. Enfin, heureusement qu’il peut compter sur elle pour relancer le jeu.
« Oh nooooon t’es vaaache ! Pourquoi faut toujours que ça tombe sur moi ? » Wyatt fait faussement une moue dépitée parce que la question, elle, l’amuse beaucoup. Il n’y a pas de “bonne réponse”, juste celle qui lui correspond le mieux et s’il pouvait ne pas choisir entre ces deux options, il le ferait assurément. Il est fier de son corps, de son esthétique générale et se rajouter des tentacules ou des mains atrophiées n’a rien de beau, de sexy ou juste de… plaisant, à ses yeux. Les autres peuvent bien faire ce qu’ils veulent hein ! Pour lui, c’est un non catégorique. Pourtant, il fait mine de réfléchir, comme si cela pouvait affecter la réalité dans laquelle ils vivent. Comme si, dans la minute, il allait se voir pousser sur le corps son choix final. Dans une grimace, il finit par répondre mais sans grande conviction.
« Les petites mains sur les coudes. Mais vraiment parce que ce serait plus facile à cacher que les tentacules sur le front ! Puis on peut faire plein de choses avec des mains, même atrophiées… » Il a un sourire équivoque pour leur petite assemblée. Cataleya a forcément compris ce qu’il a voulu sous-entendre. Pour James, il ne sait pas trop où se positionner. Le mec est une énigme et peu importe le nombre de verres qu’il boit, la coquille reste close. Elle ne veut pas s’ouvrir. Wyatt ne s’acharnera pas longtemps, il finira par abandonner. Optimiste, il attend une surprise de sa part. Une révélation soudaine qui le poussera à se dire “mais si en fait, il a de l’humour !”. Pour le moment, c’est mal parti… Heureusement, ils ont encore quelques heures devant eux pour cela et Wyatt n’hésite pas à commander de nouveaux une fournée de shots. Autant parce que ça le réchauffe et le rassure que parce qu’il a un objectif en tête. Il se fait moins entreprenant dans les minutes qui suivent pour laisser l’alcool faire son effet et revenir à la charge un peu plus tard. Compatissant, il laisse à James un délai d’une heure ou deux pour se décoincer avant de repartir à l’assaut de cette muraille de fer. Qui sait, avec un peu de chance, Cataleya le doublera en chemin et parviendra au sommet avant lui…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Fête de trop. (James & Wyatt) – Terminé
Mer 25 Jan 2023 - 23:25
Radieuse en tout point, Cataleya surjouerait presque l'enthousiasme si la présence de Wyatt à ses côtés ne prenait pas en chasse l'horreur que portait avec lui l’anniversaire mortuaire de Baby. Sa Baby. Elle enchaîne les questions, plus improbables les unes que les autres dans un infernal ping-pong dont eux seul on le secret et feint l'outrage plus d'une fois quand le dilemme l'accule un peu plus que d'ordinaire. Et pourtant, le regard alterne trop régulièrement entre cette folle conversation et le fantôme posté là, tout juste derrière son épaule, qui enchaîne les verres sans dire mot. Si elle cherche plus d'une fois sa main pour le ramener à la surface, c'est la terreur au bord des lèvres qu'elle comprend qu'elle n'arrivera pas à le sauver de ses pensées, et cet odieux constat la conduit plus d'une fois à se mordre l'index et se ronger les ongles.
Il sombre James, et elle n'est pas assez solaire pour le guider hors de ses ténèbres.
Baby aurait réussit. Juliet aussi.
Mais pas elle.
Baby aurait réussit. Juliet aussi.
Mais pas elle.
Plus d'une fois la tentation de tout stopper se fait criante, autant parce qu'elle sait Wyatt faire d'insoutenables efforts que parce qu'elle contemple le navire de James couler. Et pourtant, elle essaye désespérément de le garder à flot Cataleya, terrifiée à l'idée de ne pas réussir à l'arracher au désastre qui gronde sous les eaux. Elle peinait déjà tant à se tenir droite qu'elle n'était pas certaine d'avoir la force de relever le blond s'il venait à totalement s'effondrer et pourtant, elle s'acharne. Refuse autant de le voir s'écrouler qu'elle de poser le genoux à terre. C'est une Blackthorn Cat, puissante, souveraine et fière ; Chuter ne faisait pas parti de ses attributions et laisser sa meute s'effondrer encore moins. Alors, entrecoupé de rire parfois un peu nerveux, elle s'efforce de se faire plus brillante encore, et de tromper l'ennui de Wyatt du mieux qu'elle le peu. Se jurer que tout est sous contrôle et que, tôt ou tard, tous trouverait de quoi s'épanouir en cette bien étrange nuit.
Les minutes s’égrainent, les heures filent, et c'est après un bref cap ou pas cap parvenu à impliquer une table tenu plus loin, l'un des barmans et d’irrépressibles fous rires que l'euphorie retombe un peu. Laisse à la rousse le temps de retrouver son souffle après cet exceptionnel élan de sociabilité qu'elle attribua plus d'une fois à la « mauvaise influence qu'avait sur elle Wyatt Micheline Mora ». Il fallait avouer que depuis leur rencontre, elle avait bien évolué la dragonne Blackthorn. Ou régressé, désapprit pour renouer avec un tempérament qu'on s'était acharner à casser.
Le menton machinalement posé sur l'épaule de James et le regard un instant perdu sur les verres pressés sur la table, Cataleya reprend finalement le dialogue, presque malgré elle.
« - Je crois que... Je me serais effondrée si je ne vous avez pas tout les deux. Surtout aujourd'hui. Alors merci d'être là, même quand je suis affreuse. » Le ton est doux, dénué de tout sanglot ou tremblement mais s'inscrit dans une indescriptible nostalgie. Alors, si le sourire se dessine dans le vide et que le regard se raccroche à son verre, c'est implacable que Cataleya finit par redresser le dos et étirer ses bras au dessus de sa tête avant de véritablement plonger dans le regard de Wyatt pour contextualiser ses propos. « C'est l'anniversaire de ma petite sœur, Eleanor. De sa mort je veux dire. Je suis toujours un peu raplapla à cette date donc j'avais vraiment besoin d'un exutoire pour ne pas finir sur mon parquet à chouiner des chansons d'amour un peu nulles.» Et voulait retarder le plus possible l'heure du couché, car elle le savait, Cat, que la Bête ne se contenterait pas de veiller. Chaque année c'était le même carnage, elle s’éraflait le dos sur les ronces qui la menait jusqu'à la tour où reposait sa si précieuse Baby et passait la nuit roulée en boule devant sa porte après avoir passer des heures entières à gratter frénétiquement. Elle en ressortait toujours épuisé, gelée, et avec les ongles en sang.
« D'où l'importance de Yule, et des vœux prononcés pour veiller les vivants... Je ferais un truc pour toi Micheline, promis. Et pour Elio. » Cette dernière attention était certainement malvenue de la part d'une Blackthorn, mais Cataleya ne connaissait que trop bien les conséquences de la magie noire sur le corps ; au delà de l'expérimenter trop régulièrement encore, elle dédiait sa thèse à ce thème. « Et pour James aussi parce qu'il va nous claquer entre les doigts d'ici trois minutes si ça continue. Ca va aller ?» Le sourire est franc, la mains désespérément douce lorsqu'elle glisse dans ses cheveux blond pour en masser le cuir chevelu, comme pour doucement le ramener à eux.
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