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new rules (migea ii) (terminé)
Dim 7 Nov 2021 - 14:43
new rules,
04.11.2021 (mood)
two: don't let him in, you have to kick him out again.
three: don't be his friend, you know
you're gonna wake up in his bed in the mornin'.
(tenue) Ses pas résonnent dans le couloir du deuxième étage, quittant un entretien avec @Retha O'Ryan au sujet de son dernier atelier pratique. À l’université, les deux sorcières agissent exactement comme les autres péchés capitaux, en se croisant : comme de parfaits agents à la double vie bien huilée, qu’il convient de garder à l’abri des oreilles indiscrètes. Remerciant la sorcière sud africaine pour ses commentaires pointus et pertinents, la wallonne se dirige vers la bibliothèque, où elle pourra s’entourer de parchemins anciens et travailler sur son mémoire en lettres et civilisations magiques. La sorcière n’en est toujours qu’au début de ses recherches, incertaine de ce qui l’intéresse assez pour en faire son sujet de spécialité. En attendant, elle grapille des heures ici et là, souvent enfermée dans le bureau du Styx après les heures de fermeture, dormant une bonne partie de la matinée – encore heureux que la plupart de ses séminaires aient lieu en après-midi.
Un bruit sec plus loin derrière lui fait tourner la tête, et ses prunelles se posent sur le visage de Miguel. Sans se donner le temps de voir s’il l’a aperçue, lui aussi, elle accélère légèrement le pas pour éviter de lui laisser l’opportunité de l’intercepter. Il y a eu le chineur, d’abord, et le sentiment agaçant d’avoir été pincée comme une pimbêche – et le wizardgram ayant suivi, qui avait irrité la belle davantage encore. Peu importe, la douceur du souvenir brûlant de leurs ébats le temps d’un weekend, qui avait été salie de se voir encadrée ainsi entre trois ou quatre ragots et quarante-cinq inventions. Peu lui importe, d’ordinaire, elle ne le lit pas, mais sa fascination récemment acquise pour les secrets s’en repait, désormais, curieuse d’y voir en confirmation croisée les confessions glanées au styx et les pures élucubrations de quelques étudiant.es ayant largement du temps à perdre.
Tant pis. Elle entend vaguement son nom, derrière, avec l’accent madrilène, mais fait mine de l’ignorer, pour mieux atteindre les escaliers qui la mèneront vers la bibliothèque. « Putain … », lâche la Belge, les dents serrées, en constatant l’issue bloquée. On avait averti la populace étudiante, pourtant : parmi les TP des futur.es architectes, il y aurait cette semaine des exercices pratiques sur les escaliers pour les troisième année, et l’un d’entre eux avait certainement raté son évaluation. La structure était parfaitement condamnée, et la danseuse, prise dans un cul de sac. Soupirant, elle fait gracieusement demi-tour sur elle-même, pour tomber nez à nez avec l’objet de sa fuite discrète. La mine agacée, Althea l’observe un instant – le menton volontaire, les épaules auxquelles elle s’est accrochée avec les ongles le temps de gémir, la bouche dévorée des lèvres, les lippes qui lui ont soufflé des confessions profondes. Gâché par l’impression d’avoir été une potiche entre huit autres. Quelques jours plus tôt, elle a fixé son costume, tergiversant plusieurs heures avant de décider de ne pas se présenter au bal d’Halloween afin d’éviter de l’y croiser, accompagné de sa prochaine saveur du mois. Alors, elle choisit l’hypocrisie. « Toi non plus, tu n’as pas lu le babillard? Le futur architecte responsable a dû hériter d’un troll », fait-elle sur le ton de la conversation, mais avec la posture de quelqu’un qui s’apprête à faire un pas de côté pour le dépasser et vaquer à ses occupations.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Ven 12 Nov 2021 - 22:58
Miguel baille à s’en décrocher la mâchoire. Il semble que c’est la bibliothèque qui lui impose sans cesse cette somnolence. Il en serait même persuadé s’il n’était pas si faignant le Pajaes. Une pile de bouquin recommandé par la vieille Amonwe devant lui, il les feuilletait sans vraiment les lire, à la recherche d’il ne savait trop qu’elle illumination.
Huitième année. Il avait atteint ce cap en passant vraiment au ras des pâquerettes. Parfois il se demandait encore ce qu’il faisait sur les banc de l’université. Lui qui avait tant tardé à trouver un stage pour appuyer ses études, le voila qui désormais rechignait sur ses devoirs et aimait d’avantage se retrouvait aux côtés de son mentor sur le terrain miné de la 99eme brigade de Londres. Pourtant il avait un mémoire affaire et askip c’était pas négociable. Sauf qu’il savait absolument pas quoi écrire, ce con. Savait-il seulement écrire ?
Le madrilène referme les volumes sans s’émouvoir du regard contrarié de la très belle bibliothécaire (tmtc @Sapphire Bragnam ). D’un coup de baguette, il balance les grimoires dans son sac pour se donner bonne conscience (et continuer de muscler ses incroyables épaules) avant de sortir pour prendre l’air.
Enfin, c’était ce qu’il croyait mais son regard fut attirer par une ballerine qui foulait les pierres du château comme personne. Il sourit en croisant son regard… l’avait elle vraiment vu ? Si oui, pourquoi prenait elle la fuite comme une voleuse ?
- Théa ?
Le Pajares fronce ses sourcils en la voyant se fondre dans la masse des étudiants qui sortent de cours. Il ne cherche pas à comprendre une seconde la raison de cette fuite et s’engage dans une poursuite qui prendra vite fin compte tenu des étudiants qui s’amusaient à refaire les murs d’un des couloirs du deuxième.
- Hein ?
Il n’a rien comprit de ce qu’elle vient de lui dire parce qu’il est complètement désarçonné par son attitude. Où était la sulfureuse ballerine qui… non. Pas la peine d’invoquer à sa mémoire ces souvenirs qui brûlent encore dans son esprit.
- Ca va ?
Qu’il demande innocemment, bien conscient qu’elle est sur le point de prendre la fuite. Encore.
Huitième année. Il avait atteint ce cap en passant vraiment au ras des pâquerettes. Parfois il se demandait encore ce qu’il faisait sur les banc de l’université. Lui qui avait tant tardé à trouver un stage pour appuyer ses études, le voila qui désormais rechignait sur ses devoirs et aimait d’avantage se retrouvait aux côtés de son mentor sur le terrain miné de la 99eme brigade de Londres. Pourtant il avait un mémoire affaire et askip c’était pas négociable. Sauf qu’il savait absolument pas quoi écrire, ce con. Savait-il seulement écrire ?
Le madrilène referme les volumes sans s’émouvoir du regard contrarié de la très belle bibliothécaire (tmtc @Sapphire Bragnam ). D’un coup de baguette, il balance les grimoires dans son sac pour se donner bonne conscience (et continuer de muscler ses incroyables épaules) avant de sortir pour prendre l’air.
Enfin, c’était ce qu’il croyait mais son regard fut attirer par une ballerine qui foulait les pierres du château comme personne. Il sourit en croisant son regard… l’avait elle vraiment vu ? Si oui, pourquoi prenait elle la fuite comme une voleuse ?
- Théa ?
Le Pajares fronce ses sourcils en la voyant se fondre dans la masse des étudiants qui sortent de cours. Il ne cherche pas à comprendre une seconde la raison de cette fuite et s’engage dans une poursuite qui prendra vite fin compte tenu des étudiants qui s’amusaient à refaire les murs d’un des couloirs du deuxième.
- Hein ?
Il n’a rien comprit de ce qu’elle vient de lui dire parce qu’il est complètement désarçonné par son attitude. Où était la sulfureuse ballerine qui… non. Pas la peine d’invoquer à sa mémoire ces souvenirs qui brûlent encore dans son esprit.
- Ca va ?
Qu’il demande innocemment, bien conscient qu’elle est sur le point de prendre la fuite. Encore.
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Ven 12 Nov 2021 - 23:21
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(tenue) L’aristocrate exhérédée ne peut s’en prendre qu’à elle-même – et en a conscience, même engluée dans les affres de son orgueil. Le Madrilène, elle le connait depuis l’adolescence : à quoi s’attendre d’autre de sa part, et pourquoi s’en émouvoir, alors? L’impression d’être un trophée à encadrer d’autres portraits de filles empaillées – à qui on retire tout de leur substance, car les tripes racontent bien plus que la chair, mais il ne faut garder que ce qui brille et luit, les minois poupins et les bouches en cœur pour sourire à sa majesté chasseresse. Alors, face à lui, elle prononce un commentaire détaché de small talk entièrement assumé plutôt que de le lui dire – car comment le blâmer, véritablement? Tu savais dans quoi tu t’engageais le temps d’un weekend, pauvre idiote. Ne savais-tu pas, ce qui venait avec?
« Ca va ? » et son innocence finit d’agacer la ballerine éclopée, qui retient de justesse un roulement superbe d’yeux vers le ciel qui achèverait de trahir son état. La wright jette un regard à l’Espagnol, détaille ses trapèzes sous les bretelles du sac à dos, s’en agace à nouveau, et finit par lâcher un léger « la reprise des cours, les autres emmerdes. Rien de neuf. » elle pourrait jouer la comédie, feindre, mais elle a envie de détachement davantage que de blesser, et se jure qu’il ne mérite pas sa colère. Pas par innocence, oh non – les innocent.es n’existent pas, lorsqu’il s’agit des sentiments du genre, et même s’il n’est pas réellement responsable, il serait bien capable d’encaisser … mais à quoi bon? Pour qu’il hausse les épaules, ou lui jette un regard totalement incrédule? Et alors, que faudrait-il? Lui expliquer lentement, comme on userait de pédagogie face à un oisillon … et puis fuck, en fait. L’air de quelqu’un qui traine des secrets, elle regarde vers le plafond, imaginant presque Aldous langue fourchue les épier. « Tu me pardonneras, mais j’ai eu assez d’une fois à figurer sur ton palmarès public en bonne compagnie. À toute », et elle fait un pas de côté, le menton relevé en son digne port princier pour ne pas demander son reste.
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Ven 19 Nov 2021 - 20:04
Il est largué le madrilène, complètement largué. Au moins a-t-il comprit simplement en voyant le regard orageux de sa ballerine qu’il y avait quelque-chose qui allait pas. Sauf qu’il comprenait pas quoi et il avait comme l’impression d’avoir raté un épisode… Comment pouvait elle passer de l’extase de leur lune de miel à cet agacement qui semblait s’être saisi de tout son être ?
Il avait foncé les sourcils en l’entendant répondre de façon… évasive. Et quoi ? Les cours ? Les emmerdes ? Quelles emmerdes ? Pourquoi elle parlait pas putain. C’était sa spécialité à lui de ronchonner dans sa barbe et c’était très perturbant d’être face à quelqu’un qui faisait bien pire que lui. Il avait donc lâché un « Ah… » qui voulait pas dire grand chose mais il avait eut l’intelligence de se positionner de telle façon à ce que la fuite ne soit pas une option facile à engager.
La suite, c’est du grand délire tant il faut au Pajares plusieurs secondes à comprendre de quoi elle parle. Et ça lui revient comme un boomerang dans la gueule. Comme une évidence qu’il avait complètement occulté. Franchement, qui lisait ce torchon de Chineur a part… toute l’école ? Les sourcils du madrilène se fronce encore plus alors que la jeune wallonne fait un pas de côté pour le dépasser.
Il est lent à la détente au niveau des neurones, certes, mais ses prouesses physique ne sont plus à démontrer. Instinctivement, il fait lui aussi un pas de côté pour de nouveau bloquer la fuite de la d’Arenberg.
- Y’a quoi ? Tu vas pas me fait croire que tu gobes ces conneries !?
Conneries, conneries… tout était relatif…
Il avait foncé les sourcils en l’entendant répondre de façon… évasive. Et quoi ? Les cours ? Les emmerdes ? Quelles emmerdes ? Pourquoi elle parlait pas putain. C’était sa spécialité à lui de ronchonner dans sa barbe et c’était très perturbant d’être face à quelqu’un qui faisait bien pire que lui. Il avait donc lâché un « Ah… » qui voulait pas dire grand chose mais il avait eut l’intelligence de se positionner de telle façon à ce que la fuite ne soit pas une option facile à engager.
La suite, c’est du grand délire tant il faut au Pajares plusieurs secondes à comprendre de quoi elle parle. Et ça lui revient comme un boomerang dans la gueule. Comme une évidence qu’il avait complètement occulté. Franchement, qui lisait ce torchon de Chineur a part… toute l’école ? Les sourcils du madrilène se fronce encore plus alors que la jeune wallonne fait un pas de côté pour le dépasser.
Il est lent à la détente au niveau des neurones, certes, mais ses prouesses physique ne sont plus à démontrer. Instinctivement, il fait lui aussi un pas de côté pour de nouveau bloquer la fuite de la d’Arenberg.
- Y’a quoi ? Tu vas pas me fait croire que tu gobes ces conneries !?
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Sam 27 Nov 2021 - 11:30
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(tenue) La ballerine éclopée lâche son estoc, faisant un pas de côté pour quitter les lieux et le regard du Madrilène. Qui s’érige en encombre sur son chemin, provocation physique à l’appui. L’athlète a de quoi imposer, physiquement – s’il souhaite véritablement l’arrêter, il en est plus que capable, mais l’Orgueil lui jette un regard noir, agacée de sa conduite. « Y’a quoi ? Tu vas pas me fait croire que tu gobes ces conneries !? » Les joues creusées de déplaisir, Althea s’approche de lui davantage. Assez pour respirer son odeur musquée, pour qu’il sente son parfum, à elle, en guise de souvenirs olfactifs de soirées moins vêtues. Sa voix se fait doucereuse, caressante.
« Ces conneries, comme tu dis, la moitié de ton équipe de quidditch me les a chantées avant-hier au déjeuner, assez pour que j’aie eu le temps d’apprendre les noms par cœur. Adélaïde, Alice, Fiona, Althea … J’ai trouvé ça enchanteur, de me retrouver comme une perle sur un collier. » Ou pas. Tranquillement installée pour déjeuner avec Fergus, les deux wright s’étaient retrouvés interrompus par les chants sonores des babouins qui servaient de co-équipiers à son ami-amant. Un poursuiveur dont elle a oublié le prénom (qu’importait, les armoires à glace se ressemblent toutes) avait fait une rime absolument grossière avec tous leurs prénoms, et si d’autres s’en seraient moqué.es, la capricieuse, elle, est sortie de l’échange l’ego passablement égratigné. Elle n’est personne, ici, à Hungcalf, faisant de son mieux pour rester discrète, plus encore depuis l’ouverture du Styx. Son cercle d’amis est restreint, plus encore depuis qu’il lui faut faire la différence entre les initiés des flots stygiens et ceux qu’on maintient dans l’ignorance.
D’un pas léger, elle recule, avec une colère qui ne lui est pas tout à fait dirigée dans les yeux-tempête. Elle aimerait lui faire comprendre, ce que ça fait, mais n’en a ni l’envie, ni la patience. Qu’il comprenne que ce genre de ragot écorche différemment les réputations des femmes que celles de (beaux) joueurs de quidditch, adulés là où elles se font regarder de travers. « Peu importe, que j’y croie ou pas, Pajares. » La danseuse se tait, le jauge du regard. De bas en haut, elle prend son temps, comme si elle pouvait le disséquer et ignorer les souvenirs accrochés à sa peau et au sourire qui semble constamment vouloir s’épingler sur son visage, en guise d’affection ou de provocation. « Toi t’es un roi et nous, des traînées. Laisse-moi passer. »
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Sam 11 Déc 2021 - 23:44
Il est désarçonné l’espagnol. Franchement désarçonné même. Il s’attendait pas à ça. Il savait pas vraiment à quoi s’attendre, il savait même pas qu’il fallait s’attendre à quelque chose… Leur parenthèse volée au temps et à l’espace l’avait profondément marqué et il avait ce sentiment que quelque-part son âme s’était mêlé à celle de la jolie brune. Il n’était pas amoureux, il ferait pas la même connerie deux fois, mais il avait envie de la voir de temps en temps… Et là, ben ça faisait longtemps…
Il s’attendait pas à se faire rejeter comme ça. Et c’est sûrement pour ça qu’il avait une gueule de merlan frit. Il comprenait pas trop ce qui lui arrivait et il avait fallut bien une minuteur comprendre qu’elle parlait du poste du chineur qui vantait ses conquêtes. Lui, ça l’avait faire rire. Ses potes aussi. Alors pourquoi elle réagissait comme ça ? Pourquoi l’orage dans ses yeux gris ?
La description de cette scène hilarante raconté par son coéquipier semble bien différente sous le prisme du regard de la d’Arenberg, il fallait le reconnaitre. Mais il avait de quoi se défendre l’espagnol ! Oui vraiment, il avait de quoi répondre à tout ça. Il l’avait pas fait parce que c’était marrant d’être le mec le plus populaire et le plus canon du château. Mais il avait pas envie d’être un connard aux yeux de sa ballerine.
- Non mais attend… J’ai jamais touché la Ballarini. Alice tu sais bien que c’était y’a mille ans…
Et Fiona ? Fiona c’était récent c’est vrai. Et il aimait vraiment bien cette fille. Mais c’était pas comparable.
- Et les autres aussi t’y crois ? Tu penses vraiment que j’me suis tapé d’Essenault ? Et l’autre là… Sonia… Je la connais même pas !
C’était vrai. Tout ce qu’il disait c’était vrai. Mais il se tait pour écouter sa belle lui expliquer qu’en fait mensonge ou pas, ça n’a pas d’importance. Et au madrilène de froncer les sourcils parce que vraiment il ne comprend plus rien. Sa main vient à la rencontre du poignet de la Wright, sans poigne, juste pour l’empêcher de partir.
- Mais arrête Théa ! A quel moment je t’ai donné l’impression de te considérer comme une trainée !? A quel moment !?
Il veut comprendre, l’espagnol. Contrarié par le minois courroucé de la Wallonne alors qu’il aimait tant le visage auréolé de la douceur de l’île qu’ils avaient foulé.
Il s’attendait pas à se faire rejeter comme ça. Et c’est sûrement pour ça qu’il avait une gueule de merlan frit. Il comprenait pas trop ce qui lui arrivait et il avait fallut bien une minuteur comprendre qu’elle parlait du poste du chineur qui vantait ses conquêtes. Lui, ça l’avait faire rire. Ses potes aussi. Alors pourquoi elle réagissait comme ça ? Pourquoi l’orage dans ses yeux gris ?
La description de cette scène hilarante raconté par son coéquipier semble bien différente sous le prisme du regard de la d’Arenberg, il fallait le reconnaitre. Mais il avait de quoi se défendre l’espagnol ! Oui vraiment, il avait de quoi répondre à tout ça. Il l’avait pas fait parce que c’était marrant d’être le mec le plus populaire et le plus canon du château. Mais il avait pas envie d’être un connard aux yeux de sa ballerine.
- Non mais attend… J’ai jamais touché la Ballarini. Alice tu sais bien que c’était y’a mille ans…
Et Fiona ? Fiona c’était récent c’est vrai. Et il aimait vraiment bien cette fille. Mais c’était pas comparable.
- Et les autres aussi t’y crois ? Tu penses vraiment que j’me suis tapé d’Essenault ? Et l’autre là… Sonia… Je la connais même pas !
C’était vrai. Tout ce qu’il disait c’était vrai. Mais il se tait pour écouter sa belle lui expliquer qu’en fait mensonge ou pas, ça n’a pas d’importance. Et au madrilène de froncer les sourcils parce que vraiment il ne comprend plus rien. Sa main vient à la rencontre du poignet de la Wright, sans poigne, juste pour l’empêcher de partir.
- Mais arrête Théa ! A quel moment je t’ai donné l’impression de te considérer comme une trainée !? A quel moment !?
Il veut comprendre, l’espagnol. Contrarié par le minois courroucé de la Wallonne alors qu’il aimait tant le visage auréolé de la douceur de l’île qu’ils avaient foulé.
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Dim 12 Déc 2021 - 21:52
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(tenue) C’est presque plus fort qu’elle. Elle aurait envie d’être en colère, ça lui serait probablement salutaire, à vrai dire. Elle aimerait entrer dans le jeu de la pimbêche possessive et jalouse de ne pas être une Élue – ce serait plus simple, pour qu’il comprenne. Peut-être, alors, qu’elle devrait jouer la comédie et endosser le rôle de la vierge insultée de ne pas être l’Unique. Lorsque le Madrilène commence à se justifier, reprenant la liste des conquêtes présumées pour en établir l’inventaire véridique ou non, elle a envie de tourner les talons et de claquer la langue, mais se doute bien que c’est inutile, pour l’instant. La danseuse se contente de plier les bras sur sa poitrine, avec l’impatience inscrite le long de sa posture. « Et les autres aussi t’y crois ? Tu penses vraiment que j’me suis tapé d’Essenault ? Et l’autre là… Sonia… Je la connais même pas ! » Agacée, elle lui jette un regard méprisant. This isn’t about you, dickhead.
Alors elle fait un pas de recul, avec de la colère dans les yeux. Une colère qui ne lui est attribuable qu’en partie, car quelque part, elle sait que ce n’est pas réellement de sa faute, à Miguel, qu’il ne fait que porter l’incompréhension tributaire de leur propre société – mais elle ne fait pas face à la société tout entière. Qu’à lui, lui et ses yeux sombres, lui et son air interloqué. « Peu importe, que j’y croie ou pas, Pajares. Toi t’es un roi et nous, des traînées. Laisse-moi passer », lui intime-t-elle, décidée à ne pas faire de son temps du tutorat bénévole pour l’athlète. Peu importe, s’ils sont amis – June le lui a dit, qu’elle ne doit pas sa pédagogie à tous les idiots lambda qui lui passent sous le nez. Emotional labor is still labor.
Sa main la happe. « Mais arrête Théa ! A quel moment je t’ai donné l’impression de te considérer comme une trainée !? A quel moment !? » La ballerine éclopée ne bouge pas d’un poil. Fixe ses doigts à lui, avec une surprise qui suffirait peut-être à ce qu’il la lâche, s’il avait conscience de la retenir ainsi contre son gré alors que par deux fois déjà, elle lui a dit vouloir clore la conversation. Que voudrait-elle, la wright? Il ne comprend pas, et a au moins le mérite de vouloir saisir ce qu’elle entend – et peut-être pourrait-elle être patiente, à un autre moment, mais lui a décidé que leur leçon se passerait ici, tout de suite. Alors personne ne l’oblige à être une pédagogue bienveillante. La tempête se lève dans ses prunelles de pluie, et sa voix se fait sifflante. « Écoute-moi bien, Pajares », fait-elle, avec la menace dans les yeux. « Je m’en branle, d’avec qui tu t’envoies en l’air sur tes temps libres. Ce qui me fait chier, c’est de me faire apostropher comme ça par tes potes comme si ma vie privée faisait partie du domaine public. Toi et moi on se doit rien, et je pense pas à toi quand je m’endors la nuit, ok? Tu peux baiser avec toute la fac, for all I care. Et si j'avais l'impression que tu me traitais comme une putain de traînée, je t’en aurais déjà collé une. »
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Re: new rules (migea ii) (terminé)
Jeu 16 Déc 2021 - 19:38
Son regard, comme brulant l’épiderme du Pajares, l’incite a retirer vivement sa main du poignet de sa ballerine. Il a bien comprit que la d’Arenberg avait moult griefs contre lui mais par Merlin il est à ce stade encore incapable de comprendre lesquels. Tout ce qu’il a bien comprit, mais que le wizardgramm de ce stupide chineur est la cause officielle de ses emmerdes… C’était bien la premier fois qu’il se plaignait du torchon que représentait à ses yeux la revue universitaire… D’habitude, ça le faisait doucement rire. Il s’en tamponnait pas mal. Même quand ça le concernait. Mais voila que ça concernait Théa aussi…
Au moins s’est elle arrêté. Même si son regard est noir. Même si son visage est froid. Il a presque l’impression de ne pas la reconnaitre. Il faut avouer que son coeur se serre. Terriblement. Plus même qu’il n’aurait voulu l’avouer. Parce que même s’il ne comprend pas la nature exacte des accusations de la brune, il déteste ce regard qu’elle porte sur lui. Où était son regard assurément ensoleillé ? Ou étaient les grains de sables qui parsemaient ses cils ?
« Je m’en branle, d’avec qui tu t’envoies en l’air sur tes temps libres. Ce qui me fait chier, c’est de me faire apostropher comme ça par tes potes comme si ma vie privée faisait partie du domaine public. Toi et moi on se doit rien, et je pense pas à toi quand je m’endors la nuit, ok? Tu peux baiser avec toute la fac, for all I care. Et si j'avais l'impression que tu me traitais comme une putain de traînée, je t’en aurais déjà collé une. » Les mots résonnent comme autant de claques.
Ca, il en doutait pas. Non vraiment pas. En même temps qui oserait la traiter ainsi ? Même lui pourrait en coller une à celui qui s’y risquerait. Il a lâché son bras mais pour autant sa main reste tendue vers la jeune femme sans trop savoir ce qu’il attend de cette paume tendue.
- Ok.
Elle disait vrai. Elle disait vrai. Ils ne se devaient rien. Absolument rien. Et lui non plus ne pensait pas à elle quand il s’endormait la nuit. Pour autant… Pour autant putain ça le faisait chier qu’elle le regarde comme ça. Ca le faisait vraiment chier qu’elle lui en veuille alors qu’il avait rien fait… Le ton n’était même pas sec. C’était comme un accord de principe. Juste un « ok » qui voulait dire « i gotchu ».
- J’peux pas contrôle ce torchon de chineur. Mais j’peux dire à mes potes de te foutre la paix.
Voix neutre ce celui qui dissimule ses émotions. Une certaine tristesse. Une résignation enfaite.
- Ok ?
Et faîtes que ce soit ok… Parce que ce regard là, il pourrait pas l’assumer.
Au moins s’est elle arrêté. Même si son regard est noir. Même si son visage est froid. Il a presque l’impression de ne pas la reconnaitre. Il faut avouer que son coeur se serre. Terriblement. Plus même qu’il n’aurait voulu l’avouer. Parce que même s’il ne comprend pas la nature exacte des accusations de la brune, il déteste ce regard qu’elle porte sur lui. Où était son regard assurément ensoleillé ? Ou étaient les grains de sables qui parsemaient ses cils ?
« Je m’en branle, d’avec qui tu t’envoies en l’air sur tes temps libres. Ce qui me fait chier, c’est de me faire apostropher comme ça par tes potes comme si ma vie privée faisait partie du domaine public. Toi et moi on se doit rien, et je pense pas à toi quand je m’endors la nuit, ok? Tu peux baiser avec toute la fac, for all I care. Et si j'avais l'impression que tu me traitais comme une putain de traînée, je t’en aurais déjà collé une. » Les mots résonnent comme autant de claques.
Ca, il en doutait pas. Non vraiment pas. En même temps qui oserait la traiter ainsi ? Même lui pourrait en coller une à celui qui s’y risquerait. Il a lâché son bras mais pour autant sa main reste tendue vers la jeune femme sans trop savoir ce qu’il attend de cette paume tendue.
- Ok.
Elle disait vrai. Elle disait vrai. Ils ne se devaient rien. Absolument rien. Et lui non plus ne pensait pas à elle quand il s’endormait la nuit. Pour autant… Pour autant putain ça le faisait chier qu’elle le regarde comme ça. Ca le faisait vraiment chier qu’elle lui en veuille alors qu’il avait rien fait… Le ton n’était même pas sec. C’était comme un accord de principe. Juste un « ok » qui voulait dire « i gotchu ».
- J’peux pas contrôle ce torchon de chineur. Mais j’peux dire à mes potes de te foutre la paix.
Voix neutre ce celui qui dissimule ses émotions. Une certaine tristesse. Une résignation enfaite.
- Ok ?
Et faîtes que ce soit ok… Parce que ce regard là, il pourrait pas l’assumer.
GO SHOOTERS, GO !
- InvitéInvité
Re: new rules (migea ii) (terminé)
Sam 18 Déc 2021 - 15:04
new rules,
04.11.2021 (mood)
two: don't let him in, you have to kick him out again.
three: don't be his friend, you know
you're gonna wake up in his bed in the mornin'.
(tenue) La danseuse est calme, presque trop, avec la voix qui siffle et la menace qui gronde au fond des prunelles. Lentement, Althea parle, griffe avec les mots – ceux de l’indifférence qu’elle ne ressent pas tout à fait, mais il faut gifler verbalement pour le recadrer, le Pajares. This isn’t fucking about you. La wright ne pense pas à lui le soir lorsqu’elle s’endort : la vérité, ils n’ont jamais eu ce genre de relation, et bien qu’ils connaissent mieux qu’avant leurs dessous respectifs, leurs cœurs ne se doivent rien. Et pourtant, la future historienne l’apprécie, le Madrilène – sauf lorsque sa vie privée est étalée en public comme s’il s’agissait des affaires du jour plutôt que de ce qui ne les regarde qu’eux. « Ok. » Dubitative, elle le fixe, insatisfaite de sa réponse, prête à véritablement s’agacer – ok.
Ok, comme si on peut se suffire en acceptant et en ne promettant rien.
Ok, comme si on peut se rallier sans affranchir.
Ok, comme si on peut accepter.
Les prunelles-ouragan de la capricieuse cherchent le mensonge dans ses yeux, sans le trouver. Car ils croient tous à ce qu’ils disent, sur le coup – c’est bien ce qui les rend si terribles à tancer. L’honnêteté dans la parole, l’incompréhension lorsqu’on leur en demande davantage. Alors elle se tait, Althea, exige la suite par son silence. Le regarde, observe ses traits qui s’assouplissent, dénudés de l’incompréhension gamine du jeune homme populaire et fêtard qui n’a jamais eu à se remettre en question sur ces sujets, le poids de l’empathie qui peint son visage. « J’peux pas contrôle ce torchon de chineur. Mais j’peux dire à mes potes de te foutre la paix. » La tension quitte son corps sans qu’elle en ait véritablement remarqué la texture dans ses muscles. Doucement, ses doigts s’agitent, libérés du sort, et elle penche la tête sur le côté pour l’observer. Ausculter sa sincérité, débusquer le mensonge – car la ballerine éclopée le croit, sur l’instant. « Ok ? » et hoche la tête, lentement. « J’espère que tu seras aussi convaincu sur la pratique », fait-elle simplement, l’accord marié à l’attente du débiteur qu’il est désormais devenu. Le péché d’orgueil fait un pas de côté, à nouveau, libérée du tango d’empêchement que dansait le futur brigadier. Lui jette un regard, accompagné d’un demi-sourire. « See you around, Mig’. » Et ainsi se regagnent les diminutifs, et se créditent les attentes.rp terminé.
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