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[Loterie] I see dead people | Billie
Ven 22 Avr 2022 - 8:05
Break free
- Wow, c'est devenu lugubre les couloirs de chez nous. EH ! Elle est où la lumière ? Putain.. fac de gauchos de merde à couper l'électricité pour rien.. on y voit comme à travers une pelle ici p'tain.
Et voilà notre jeune d'Amboise, titubant tranquillement au quatrième étage de l'Université. Il avait passé une soirée bien arrosée avec quelques Wright, pour passer le temps, par le temps qu'il y avait dehors. initialement il devait aller s'entraîner au Quidditch, puis en ayant vu la pluie à l'extérieur, il a été pris d'une quinte de flemme IMMENSE. Alors prétextant une pseudo maladie hasardeuse, il avait esquivé l'entraînement et s'était retrouvé dans la salle commune des Wright.. avec tous les autres membres de l'équipe qui visiblement avaient eu la même idée que lui. Un fou rire général plus tard et les bouteilles étaient de sortie pour passer une soirée tranquille.. qui tourna rapidement à la beuverie.
Après avoir ingéré tant d'alcool, le d'Amboise savait qu'il devait manger un truc, alors forcément, il avait fait son petit bout de chemin jusqu'aux cuisines pour trouver un truc ou deux à manger, qu'un gentil elfe lui donna alors, en lui demandant s'il allait bien. Thomas hocha la tête fièrement en bombant le torse, avant de récupérer le sandwich effectué à la hâte par la créature et quitta les lieux.
Sauf que le nombre d'étages qu'on avait monté, c'était dur à compter, fallait aller jusqu'à trois, sans se tromper, et pour le môme de dix huit ans, c'était presque mission impossible, et voilà comment il s'était finalement retrouvé ici, dans ce couloir plutôt sombre, tranquille, trop tranquille et presque lugubre. C'est d'ailleurs un courant d'air qui le stoppa dans sa marche incertaine, fronçant les sourcils alors qu'il essayait de distinguer quelque chose.
- C'est vous les gars ? Z'êtes pas marrant allez, rallumez putain j'vois rien là ! J'veux pas me péter un truc, il nous reste un match à faire en plus !
Et voilà que d'un coup, devant lui, sortit du sol une forme blanche et transparente, provoquant un hurlement de la part du d'Amboise. S'il était habitué aux fantômes en pleine journée.. en pleine nuit et complètement ivre, c'était autre chose. Il ne prit même pas le temps de savoir si ce fantôme était hostile ou non, mais il lui passa à travers en hurlant, avant de se jeter dans la première pièce qui semblait ouverte, tout aussi lugubre que les autres.
- PUTAIN ! C'était quoi ?! On respire, on respire !
Et voilà notre jeune d'Amboise, titubant tranquillement au quatrième étage de l'Université. Il avait passé une soirée bien arrosée avec quelques Wright, pour passer le temps, par le temps qu'il y avait dehors. initialement il devait aller s'entraîner au Quidditch, puis en ayant vu la pluie à l'extérieur, il a été pris d'une quinte de flemme IMMENSE. Alors prétextant une pseudo maladie hasardeuse, il avait esquivé l'entraînement et s'était retrouvé dans la salle commune des Wright.. avec tous les autres membres de l'équipe qui visiblement avaient eu la même idée que lui. Un fou rire général plus tard et les bouteilles étaient de sortie pour passer une soirée tranquille.. qui tourna rapidement à la beuverie.
Après avoir ingéré tant d'alcool, le d'Amboise savait qu'il devait manger un truc, alors forcément, il avait fait son petit bout de chemin jusqu'aux cuisines pour trouver un truc ou deux à manger, qu'un gentil elfe lui donna alors, en lui demandant s'il allait bien. Thomas hocha la tête fièrement en bombant le torse, avant de récupérer le sandwich effectué à la hâte par la créature et quitta les lieux.
Sauf que le nombre d'étages qu'on avait monté, c'était dur à compter, fallait aller jusqu'à trois, sans se tromper, et pour le môme de dix huit ans, c'était presque mission impossible, et voilà comment il s'était finalement retrouvé ici, dans ce couloir plutôt sombre, tranquille, trop tranquille et presque lugubre. C'est d'ailleurs un courant d'air qui le stoppa dans sa marche incertaine, fronçant les sourcils alors qu'il essayait de distinguer quelque chose.
- C'est vous les gars ? Z'êtes pas marrant allez, rallumez putain j'vois rien là ! J'veux pas me péter un truc, il nous reste un match à faire en plus !
Et voilà que d'un coup, devant lui, sortit du sol une forme blanche et transparente, provoquant un hurlement de la part du d'Amboise. S'il était habitué aux fantômes en pleine journée.. en pleine nuit et complètement ivre, c'était autre chose. Il ne prit même pas le temps de savoir si ce fantôme était hostile ou non, mais il lui passa à travers en hurlant, avant de se jeter dans la première pièce qui semblait ouverte, tout aussi lugubre que les autres.
- PUTAIN ! C'était quoi ?! On respire, on respire !
Codage par Libella sur Graphiorum
- Billie ShakespeareOldie ㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 321
» miroir du riséd : Laura O'grady
» crédits : Me
» multinick : Inès Saouli, Ambrosius Redgrave
» âge : 26 ans (26 avril 1998)
» situation : En couple ouvert
» nature du sang : Sang mêlé
» année d'études : 8e année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des runesㅡ option facultative :▣ Littérature magique, Médicomagie Appliquée
» profession : Commis à la bibliothèque de l'université - chroniqueuse littéraire à Radio Phoenix
» gallions sous la cape : 1241
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Re: [Loterie] I see dead people | Billie
Dim 1 Mai 2022 - 3:52
I see dead people
Des semaines après avoir essuyé un premier solide échec, Billie était de retour dans les parages de cette salle qui lui avait tant donné du fil à retordre avant que sa sauveuse du lac ne vienne une fois de plus à sa rescousse et ne lui ouvre la porte très galamment et sans aucune difficulté. Les difficultés étaient venues par la suite, quand la chevalière galante avait enchaîné les gaffes au point de fâcher l'esprit qui hantait les lieux et de les faire quitter les lieux en catastrophe. Depuis, la Shakespeare avait évité les alentours par crainte d'échauffer encore l'ectoplasme, mais ce jour-là, elle s'était dit qu'il lui fallait revenir sur le terrain de sa défaite et tenter une nouvelle approche, car elle n'avait évidemment pas abandonné le projet de faire connaissance avec ce fantôme-là!
Elle avait quitté sa chambre quelques heures plus tôt pour aller se poster dans le couloir sombre où se trouvait la porte menant au bureau maudit (sans doute littéralement). Pour prendre les choses plus tranquillement que la fois précédente et procéder étape par étape, elle avait apporté l'un des volumes de sa collection personnel des oeuvres du plus grand barde anglais de tous les temps pour une lecture légère en attendant que l'horloge tourne et qu'il soit l'heure de sortie pour un fantôme misanthrope.
Balthasar venait tout juste d'apporter à son maître en exil à Mantou la terrible nouvelle du destin de sa précieuse Juliette, laissant Roméo dans un état de désespoir tel qu'il jurait à sa douce bientôt la rejoindre dans sa tombe. Billie en avait déjà les larmes aux yeux. Un amour si jeune, si passionné et si sourd à toute forme de sagesse, de patience et d'écoute. « I do remember an apothecary », disait Roméo à lui-même pour se donner du courage.
Plongée dans sa lecture, elle n'avait pas senti le courant d'air qui avait tant perturbé le courageux joueur de Quidditch. Son langage fleuri, qui manquait néanmoins du lyrisme shakespearien, alla néanmoins lui chatouiller suffisamment les oreilles pour qu'elle redresse la tête et lâche son lourd volume. Ses yeux balayèrent l'obscurité avant de se poser sur la tâche blanche qui flottait au-dessus du sol, à quelques pas de la porte menant au bureau. C'était sa chance, une chance incroyable!
Sa queue de pie fit un léger bruit de froissement lorsque Billie quitta le sol où elle s'était installée pour se rapprocher de la source du bruit, qu'elle distinguait à présent assez bien. Évidemment, le vivant faisait plus de bruit que le mort et s'agitait tant qu'il risquait de faire rater cette nouvelle tentative d'apprivoisement de Billie. Pas question! Mais avant même qu'elle eut le temps d'ouvrir la bouche pour prononcer des paroles rassurante, l'énergumène en panique traversa le fantôme et alla s'enfermer... dans la pièce même qu'il aurait dû éviter en toute circonstance.
Les yeux de la Shakespeare se firent aussi ronds que les boutons de sa redingote et son teint, naturellement blême, pâlit encore davantage. La situation avait soudain un potentiel aussi catastrophique que Roméo avec une fiole de poison en main au chevet d'une Juliette supposément morte. Le fantôme « bousculé » avait disparu, sans demander son reste. Billie n'avait pas eu le temps de voir de qui il s'agissait, elle espérait qu'il n'était pas trop vexé ou même heurté par tant d'agressivité. Mais il était davantage temps de s'inquiéter pour le vivant.
L'étudiante avala l'espace qui la séparait de la porte en trois grandes enjambées et mit la main sur la poignée, mais évidemment, à présent, elle refusait d'ouvrir. À croire que l'esprit de séant avait une dent contre elle en partant. Tyler y était entrée sans rencontrer de résistance pourtant, et maintenant ce garçon effrayé tout autant!
Pliée en deux, Billie tenta de regarder par le trou de la serrure pour voir quelque chose, mais c'était impossible d'apercevoir quoi que ce soit. Entendant crier à nouveau le garçon de l'autre côté, elle approcha sa bouche du trou de la serrure pour lancer quelques mots réconfortants. Selon les barèmes de Billie, bien sûr.
« Si j'étais vous, j'arrêterais de crier tout de suite! » De fait, s'il continuait à crier ainsi, il allait tirer l'esprit qui hantait ce bureau de son sommeil, et ça n'allait pas bien se passer. Pourquoi les gens criaient-ils toujours ainsi?
Elle avait quitté sa chambre quelques heures plus tôt pour aller se poster dans le couloir sombre où se trouvait la porte menant au bureau maudit (sans doute littéralement). Pour prendre les choses plus tranquillement que la fois précédente et procéder étape par étape, elle avait apporté l'un des volumes de sa collection personnel des oeuvres du plus grand barde anglais de tous les temps pour une lecture légère en attendant que l'horloge tourne et qu'il soit l'heure de sortie pour un fantôme misanthrope.
Balthasar venait tout juste d'apporter à son maître en exil à Mantou la terrible nouvelle du destin de sa précieuse Juliette, laissant Roméo dans un état de désespoir tel qu'il jurait à sa douce bientôt la rejoindre dans sa tombe. Billie en avait déjà les larmes aux yeux. Un amour si jeune, si passionné et si sourd à toute forme de sagesse, de patience et d'écoute. « I do remember an apothecary », disait Roméo à lui-même pour se donner du courage.
Plongée dans sa lecture, elle n'avait pas senti le courant d'air qui avait tant perturbé le courageux joueur de Quidditch. Son langage fleuri, qui manquait néanmoins du lyrisme shakespearien, alla néanmoins lui chatouiller suffisamment les oreilles pour qu'elle redresse la tête et lâche son lourd volume. Ses yeux balayèrent l'obscurité avant de se poser sur la tâche blanche qui flottait au-dessus du sol, à quelques pas de la porte menant au bureau. C'était sa chance, une chance incroyable!
Sa queue de pie fit un léger bruit de froissement lorsque Billie quitta le sol où elle s'était installée pour se rapprocher de la source du bruit, qu'elle distinguait à présent assez bien. Évidemment, le vivant faisait plus de bruit que le mort et s'agitait tant qu'il risquait de faire rater cette nouvelle tentative d'apprivoisement de Billie. Pas question! Mais avant même qu'elle eut le temps d'ouvrir la bouche pour prononcer des paroles rassurante, l'énergumène en panique traversa le fantôme et alla s'enfermer... dans la pièce même qu'il aurait dû éviter en toute circonstance.
Les yeux de la Shakespeare se firent aussi ronds que les boutons de sa redingote et son teint, naturellement blême, pâlit encore davantage. La situation avait soudain un potentiel aussi catastrophique que Roméo avec une fiole de poison en main au chevet d'une Juliette supposément morte. Le fantôme « bousculé » avait disparu, sans demander son reste. Billie n'avait pas eu le temps de voir de qui il s'agissait, elle espérait qu'il n'était pas trop vexé ou même heurté par tant d'agressivité. Mais il était davantage temps de s'inquiéter pour le vivant.
L'étudiante avala l'espace qui la séparait de la porte en trois grandes enjambées et mit la main sur la poignée, mais évidemment, à présent, elle refusait d'ouvrir. À croire que l'esprit de séant avait une dent contre elle en partant. Tyler y était entrée sans rencontrer de résistance pourtant, et maintenant ce garçon effrayé tout autant!
Pliée en deux, Billie tenta de regarder par le trou de la serrure pour voir quelque chose, mais c'était impossible d'apercevoir quoi que ce soit. Entendant crier à nouveau le garçon de l'autre côté, elle approcha sa bouche du trou de la serrure pour lancer quelques mots réconfortants. Selon les barèmes de Billie, bien sûr.
« Si j'étais vous, j'arrêterais de crier tout de suite! » De fait, s'il continuait à crier ainsi, il allait tirer l'esprit qui hantait ce bureau de son sommeil, et ça n'allait pas bien se passer. Pourquoi les gens criaient-ils toujours ainsi?
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Re: [Loterie] I see dead people | Billie
Ven 13 Mai 2022 - 6:15
Break free
Il avait trouvé la première porte devant lui pour essayer d'échapper à ce qui lui avait flanqué une frousse pas permise. Faut dire que l'alcool qu'il avait dans le sang ne l'avait pas aidé à faire preuve de discernement et si en temps normal, les fantômes ça l'effrayait pas plus que ça, pour le coup, il avait perdu tous ses moyens et s'était enfermé dans une pièce plutôt lugubre, une fois qu'on s'était habitué à la noirceur des lieux.
Continuant alors à respirer suffisamment fort, il sursauta une nouvelle fois quand il entendit une voix se faire entendre mais sans qu'il ne soit en capacité de la voir. " Mais vous êtes qui putain ?! Laissez moi tranquille les fantômes, allez emmerder quelqu'un d'autre j'vous ai rien fait !" Qu'il continue à gueuler presque en s'énervant, parce que bon sang, qu'est ce qu'il avait fait pour mériter tout ça ? Hein ? RIEN ! Alors que sa tête tournait légèrement, il commença à se redresser pour retrouver la position debout, sur ses deux jambes de préférence.
"T'es où la voix ? T'es pas un fantôme ? ou alors t'es un fantôme qui a pas de corps ? Oh ça serait trop cool ça, un peu comme la voix dans Secret Story ! Ici la voix, entrez dans la salle abandonnée de Hungcalf." Qu'il tenta alors d'imiter comme il le pouvait, assez grossièrement, tandis que ses références moldues ne devaient très certainement ne rien dire à la personne qui était de l'autre côté de la porte et qui, visiblement, tentait tant bien que mal de l'aider. Thomas entendit alors un craquement qui provenait d'un coin un peu plus noir de la pièce, dont il ne percevait absolument rien. "Ptain on y voit comme à travers une pelle dans c'te bureau, elles sont où les bougies.."
Continuant alors à respirer suffisamment fort, il sursauta une nouvelle fois quand il entendit une voix se faire entendre mais sans qu'il ne soit en capacité de la voir. " Mais vous êtes qui putain ?! Laissez moi tranquille les fantômes, allez emmerder quelqu'un d'autre j'vous ai rien fait !" Qu'il continue à gueuler presque en s'énervant, parce que bon sang, qu'est ce qu'il avait fait pour mériter tout ça ? Hein ? RIEN ! Alors que sa tête tournait légèrement, il commença à se redresser pour retrouver la position debout, sur ses deux jambes de préférence.
"T'es où la voix ? T'es pas un fantôme ? ou alors t'es un fantôme qui a pas de corps ? Oh ça serait trop cool ça, un peu comme la voix dans Secret Story ! Ici la voix, entrez dans la salle abandonnée de Hungcalf." Qu'il tenta alors d'imiter comme il le pouvait, assez grossièrement, tandis que ses références moldues ne devaient très certainement ne rien dire à la personne qui était de l'autre côté de la porte et qui, visiblement, tentait tant bien que mal de l'aider. Thomas entendit alors un craquement qui provenait d'un coin un peu plus noir de la pièce, dont il ne percevait absolument rien. "Ptain on y voit comme à travers une pelle dans c'te bureau, elles sont où les bougies.."
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Re: [Loterie] I see dead people | Billie
Dim 22 Mai 2022 - 1:52
I see dead people
La réponse vulgaire qui lui parvint de l'autre côté de la porte fit à son tour sursauter Billie, qui déplia toute sa grandeur en reculant d'un pas pour s'éloigner de la porte, sourcils légèrement froncés. Il ne viendrait bien sûr jamais à l'esprit de la Lufkin d'abandonner à son sort la pauvre âme dans cette pièce, ne serait-ce que parce qu'être enfermé en compagnie d'un humain hurlant de tels mots orduriers n'était pas un sort enviable pour l'esprit d'un défunt, même aussi torturé que celui-là.
Aider le vivant qui hurlait de son côté de la porte aiderait du même coup le fantôme qui hantait cette pièce. Peut-être qu'ensuite il accepterait de la laisser entrer dans le bureau et même de l'écouter parler?
Bee revint vers le trou de la serrure. L'énergumène derrière la porte semblait s'être légèrement calmé, mais peut-être avait-il déjà perdu la tête au vu des incohérences qu'il débitait. Elle capta le mot "bougies" et reprit la parole avec empressement.
« Non, surtout pas! N'allumez pas les bougies. » S'il allumait celles qui se trouvaient sur la table, il courait à la catastrophe. « Je m'appelle Billie. Billie Shakespeare. Et vous? » Rien de tel pour entamer une conversation que de se présenter, ça fonctionnait même avec certains fantômes, surtout ceux qui aimaient parler d'eux. Ça fonctionnait peut-être aussi sur les vivants? Elle n'attendit pas avant d'ajouter : « Il y a un fantôme avec vous, mais il vous laissera tranquille si vous faites de même, je vous l'assure. Il n'a aucune autre envie que d'être seul et misérable. » Du moins, c'était ce que son instinct lui dictait.
L'important pour le moment était de calmer le garçon pour éviter qu'il n'importune le fantôme, comme Tyler l'avait maladroitement fait quelques semaines plus tôt. Tout était devenu explosif très rapidement. Ce fantôme-là pouvait se révéler bien plus dangereux que celui qu'avait traversé Thomas quelques instants auparavant. Les esprits frappeurs n'étaient pas les seuls à pouvoir déplacer des objets physiques et causer des dégâts quand ils étaient suffisamment en colère...
« Pouvez-vous essayer de tourner la poignée maintenant? » Avec un peu de chance, le fantôme relâcherait sa garde et laisserait son prisonnier partir sans difficulté. De son côté de la porte, elle posa elle-même la main sur la poignée et attendit un signe de son interlocuteur pour commencer à la tourner.
Aider le vivant qui hurlait de son côté de la porte aiderait du même coup le fantôme qui hantait cette pièce. Peut-être qu'ensuite il accepterait de la laisser entrer dans le bureau et même de l'écouter parler?
Bee revint vers le trou de la serrure. L'énergumène derrière la porte semblait s'être légèrement calmé, mais peut-être avait-il déjà perdu la tête au vu des incohérences qu'il débitait. Elle capta le mot "bougies" et reprit la parole avec empressement.
« Non, surtout pas! N'allumez pas les bougies. » S'il allumait celles qui se trouvaient sur la table, il courait à la catastrophe. « Je m'appelle Billie. Billie Shakespeare. Et vous? » Rien de tel pour entamer une conversation que de se présenter, ça fonctionnait même avec certains fantômes, surtout ceux qui aimaient parler d'eux. Ça fonctionnait peut-être aussi sur les vivants? Elle n'attendit pas avant d'ajouter : « Il y a un fantôme avec vous, mais il vous laissera tranquille si vous faites de même, je vous l'assure. Il n'a aucune autre envie que d'être seul et misérable. » Du moins, c'était ce que son instinct lui dictait.
L'important pour le moment était de calmer le garçon pour éviter qu'il n'importune le fantôme, comme Tyler l'avait maladroitement fait quelques semaines plus tôt. Tout était devenu explosif très rapidement. Ce fantôme-là pouvait se révéler bien plus dangereux que celui qu'avait traversé Thomas quelques instants auparavant. Les esprits frappeurs n'étaient pas les seuls à pouvoir déplacer des objets physiques et causer des dégâts quand ils étaient suffisamment en colère...
« Pouvez-vous essayer de tourner la poignée maintenant? » Avec un peu de chance, le fantôme relâcherait sa garde et laisserait son prisonnier partir sans difficulté. De son côté de la porte, elle posa elle-même la main sur la poignée et attendit un signe de son interlocuteur pour commencer à la tourner.
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Re: [Loterie] I see dead people | Billie
Jeu 26 Mai 2022 - 9:00
Break free
L'alcool n'était clairement pas le breuvage le plus utile pour se sortir d'une situation comme celle ci, et Thomas allait très certainement faire quelques semaines de sobriété une fois qu'il sera parvenu à sortir de cette satanée pièce qui ne voulait pas s'ouvrir, la porte semblait comme condamnée, alors qu'il y était entré sans le moindre soucis quelques minutes auparavant. Si sa première réaction fut la panique, il réussit à se calmer, avec la voix féminine de quelqu'un de l'autre côté de la porte. Ainsi donc, il y en avait d'autres qui arrivaient à se promener le soir tout seul ? Bizarre. Enfin, quand il se décida enfin à se bouger pour allumer les bougies, le son négatif provoqué par la jeune femme le stoppa net.
- Comment ça.. il me laissera tranquille ? Les fantômes sont pas censés être INOFFENSIFS ici ?!
Il avait prononcé le mot un peu trop fort visiblement au goût de cet être spectral qui fit connaître sa présence alors qu'un livre venait de quitter l'étagère sur laquelle il était pour foncer en direction de Thomas qui, grâce à son entraînement de batteur au Quidditch, esquiva le livre comme s'il s'agissait d'un cognard, livre qui alla frapper la porte de plein fouet. Reprenant un peu plus ses esprits à chaque minute qui passait, le d'Amboise grogna un peu, pas rassuré pour autant.
- Moi c'est thomas, mais actuellement, ton nom, tu m'en voudras pas, mais il m'intéresse pas trop, moi j'veux juste sortir d'ici.
Qu'il rétorque presque en soupirant. Il était pas spécialement là pour taper la discute à.. Billie ? Ouais c'est ça, Billie. Il avait encore une soirée, et s'il rejoignait pas ses potes ils allaient encore inventer des trucs sur lui, et ça le branchait moyen. Sa main se dirigea alors vers la poignée, qui refusa de se tourner dans un premier temps. C'était bien sa vaine tiens. Multipliant alors les tentatives d'ouverture, il tourna sa tête vers un coin sombre de la pièce, quand il vit l'étage bouger légèrement.
- Ah super. Je suis vraiment content de m'être enfermé ici. Billie.. y.. y aurait pas un moyen de me faire sortir à tout hasard ? Non parce que celui là il a pas l'air d'aimer la compagnie, et déjà que j'suis pas trop fantômes de base alors.. PAS L'ETAGERE !
- Comment ça.. il me laissera tranquille ? Les fantômes sont pas censés être INOFFENSIFS ici ?!
Il avait prononcé le mot un peu trop fort visiblement au goût de cet être spectral qui fit connaître sa présence alors qu'un livre venait de quitter l'étagère sur laquelle il était pour foncer en direction de Thomas qui, grâce à son entraînement de batteur au Quidditch, esquiva le livre comme s'il s'agissait d'un cognard, livre qui alla frapper la porte de plein fouet. Reprenant un peu plus ses esprits à chaque minute qui passait, le d'Amboise grogna un peu, pas rassuré pour autant.
- Moi c'est thomas, mais actuellement, ton nom, tu m'en voudras pas, mais il m'intéresse pas trop, moi j'veux juste sortir d'ici.
Qu'il rétorque presque en soupirant. Il était pas spécialement là pour taper la discute à.. Billie ? Ouais c'est ça, Billie. Il avait encore une soirée, et s'il rejoignait pas ses potes ils allaient encore inventer des trucs sur lui, et ça le branchait moyen. Sa main se dirigea alors vers la poignée, qui refusa de se tourner dans un premier temps. C'était bien sa vaine tiens. Multipliant alors les tentatives d'ouverture, il tourna sa tête vers un coin sombre de la pièce, quand il vit l'étage bouger légèrement.
- Ah super. Je suis vraiment content de m'être enfermé ici. Billie.. y.. y aurait pas un moyen de me faire sortir à tout hasard ? Non parce que celui là il a pas l'air d'aimer la compagnie, et déjà que j'suis pas trop fantômes de base alors.. PAS L'ETAGERE !
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Re: [Loterie] I see dead people | Billie
Lun 20 Juin 2022 - 4:34
I see dead people
De toute évidence, si Billie avait quelque talent pour apaiser les âmes décédées, il en allait tout autrement pour c elles qui habitaient un corps encore bien chaud et vivant. Malgré cinq bonnes années d'études, dont plusieurs dizaines d'heure en psychiatrie, la sorcière ne maîtrisait pas encore l'art délicat d'amener les gens à adopter un état d'esprit plus réceptif. En tous les cas, le garçon qui se trouvait derrière la porte n'était pas du tout d'humeur à faire la conversation. Dès qu'il ouvrait la bouche, sa voix montait dans les aigus, sur le bord de la panique.
Fallait-il l'inciter à respirer plus doucement et à écouter les battements de son coeur? Elle avait déjà testé cette technique une fois, mais elle n'était pas alors dans un état d'esprit aussi paniqué que ce garçon, Thomas. Au moins, il avait écouté ce qu'elle disait et y avait répondu, il n'était donc pas encore totalement perdu dans ses angoisses.
Billie choisit de se raccrocher à ce point positif et reprit, en souriant avec la voix.
« Oui, bien sûr, on fera connaissance proprement quand vous serez sorti de là. »
En parlant, elle tournait elle aussi la poignée de son côté, mais elle avait beau la tourner dans tous les sens, aucun déclic ne signalait le déclenchement d'un quelconque mécanisme.
« Je crois, Thomas, que l'esprit qui est avec vous est simplement un peu irritable et déparpaillé. Il a dû se sentir agressé quand vous êtes entré dans la pièce et il essaie de se protéger. Maladroitement, je vous l'accorde, mais c'est pourquoi il est crucial que vous demeuriez calme pour ne pas le férocisier davantage. »
Un drôle de son traversa le panneau de la porte, faisant froncer les sourcils de l'apprentie psychologue. Que se passait-il donc? La réponse lui vint pas un nouveau cri d'orfraie de Thomas et Billie, très inutilement, ferma les yeux en réaction, prête à entendre la tempête qui ne manquerait pas de se déchaîner, mais elle se reprit rapidement.
« Thomas? Thomas, écoutez, vous devez absolument vous calmer. Plus vous vous énervez, plus l'esprit va réagir en réponse. Voulez-vous compter avec moi jusqu'à 15 puis nous tournerons la poignée en même temps? Concentrez-vous sur le décompte et oubliez les autres bruits dans la pièce, d'accord? »
Elle n'était pas entièrement certaine que l'esprit se calmerait, mais si elle visait juste, cet esprit souhait seulement qu'on le laisse tranquille, alors un peu de silence ne nuirait en rien, et puis ces longues secondes donneraient le temps à tout un chacun un temps de réflexion pour se sortir de l'impasse. Il était possible qu'en tournant la poignée de concert, le mécanisme accepte de fonctionner, surtout si le fantôme relâchait son intense attention. Sinon, Billie pourrait tenter de alohomora, ça n'avait jamais fonctionné auparavant, mais si le fantôme souhaitait voir Thomas sortir de chez lui, peut-être qu'un simple incitatif suffirait.
« Êtes-vous prêt, Thomas? Je vais commencer à compter. Un... deux... trois... quatre... »
Fallait-il l'inciter à respirer plus doucement et à écouter les battements de son coeur? Elle avait déjà testé cette technique une fois, mais elle n'était pas alors dans un état d'esprit aussi paniqué que ce garçon, Thomas. Au moins, il avait écouté ce qu'elle disait et y avait répondu, il n'était donc pas encore totalement perdu dans ses angoisses.
Billie choisit de se raccrocher à ce point positif et reprit, en souriant avec la voix.
« Oui, bien sûr, on fera connaissance proprement quand vous serez sorti de là. »
En parlant, elle tournait elle aussi la poignée de son côté, mais elle avait beau la tourner dans tous les sens, aucun déclic ne signalait le déclenchement d'un quelconque mécanisme.
« Je crois, Thomas, que l'esprit qui est avec vous est simplement un peu irritable et déparpaillé. Il a dû se sentir agressé quand vous êtes entré dans la pièce et il essaie de se protéger. Maladroitement, je vous l'accorde, mais c'est pourquoi il est crucial que vous demeuriez calme pour ne pas le férocisier davantage. »
Un drôle de son traversa le panneau de la porte, faisant froncer les sourcils de l'apprentie psychologue. Que se passait-il donc? La réponse lui vint pas un nouveau cri d'orfraie de Thomas et Billie, très inutilement, ferma les yeux en réaction, prête à entendre la tempête qui ne manquerait pas de se déchaîner, mais elle se reprit rapidement.
« Thomas? Thomas, écoutez, vous devez absolument vous calmer. Plus vous vous énervez, plus l'esprit va réagir en réponse. Voulez-vous compter avec moi jusqu'à 15 puis nous tournerons la poignée en même temps? Concentrez-vous sur le décompte et oubliez les autres bruits dans la pièce, d'accord? »
Elle n'était pas entièrement certaine que l'esprit se calmerait, mais si elle visait juste, cet esprit souhait seulement qu'on le laisse tranquille, alors un peu de silence ne nuirait en rien, et puis ces longues secondes donneraient le temps à tout un chacun un temps de réflexion pour se sortir de l'impasse. Il était possible qu'en tournant la poignée de concert, le mécanisme accepte de fonctionner, surtout si le fantôme relâchait son intense attention. Sinon, Billie pourrait tenter de alohomora, ça n'avait jamais fonctionné auparavant, mais si le fantôme souhaitait voir Thomas sortir de chez lui, peut-être qu'un simple incitatif suffirait.
« Êtes-vous prêt, Thomas? Je vais commencer à compter. Un... deux... trois... quatre... »
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