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a cowboy level of distrust - ft. octave
Mer 8 Juin 2022 - 21:17
Hissée sur ses talons noirs, la grande Vicky percutait de ses pas le marbre froid du hall d’entrée. Elle avait reçu le matin précédent le hibou d’Octave, qui lui donnait rendez-vous dans les sous-sols de l’université, pour qu’ils puissent revenir ensemble sur l’exercice qu’il lui avait prescrit. En allant trouver le professeur de potions à la fin d’un cours, il y avait de cela quelques semaines, Vicky n’avait vraiment pas imaginé que la question innocemment posée conduirait à ce qu’un élève plus âgé la prenne en tutorat, et encore moins à ce qu’il s’adresse à elle comme un professeur à son élève. Le choix d’appeler leur rendez-vous un « compte-rendu », et le conseil donné un « exercice » pouvait presque paraître insultant, mais Vicky passait outre : si Octave était, selon le professeur de potions – le vrai –, disposé à lui apporter de l’aide, elle prendrait sur elle et ferait fi de la forme pour ne garder que le fond.
A dire vrai, le comportement distant et médisant de l’étudiant était loin de la surprendre. A la seconde où son professeur avait prononcé le nom d’Octave Muller, Vicky avait eu une idée très claire du type de sorcier auquel elle allait avoir affaire. Le vieux potionniste était venu la voir à la fin du cours suivant, lui expliquant qu’il était désolé de ne pas avoir su répondre précisément à sa question sur la réalisation de la potion d’hilarité, qu’il était convaincu qu’une approche pratique serait plus à même de lui apporter la réponse qu’elle attendait, et qu’il connaissait justement un excellent étudiant à même de lui accorder du temps. Génial, s’était-elle dit. Mais déjà, le nom Muller ne présageait rien de bon. Avec Octave devant, le présage devenait clairement mauvais. Elle allait gentiment refuser quand son professeur lui expliqua qu’il avait déjà pris contact avec le jeune homme, et en se retournant, elle le vit justement qui franchissait la porte, le Grymm à l’aura invariablement sombre. Pas moyen de retourner en arrière…
Alors, ils avaient discuté, cordialement, écoutés de loin par le professeur qui rangeait ses fioles et ses cahiers empoussiérés. Vicky avait cherché une réaction sur le visage d’Octave, mais elle n’avait pas réussi à savoir s’il avait été mis au courant par son professeur de l’identité de l’élève qu’il était venu aider. En fait, elle ne savait même pas s’il savait qui elle était. Probablement pas. Elle, en revanche, se souvenait bien du Serdaigle qui avait harcelé ses amies moldues, alors qu’elles venaient à peine d’entrer en deuxième année. Douze ans seulement et victimes de cette haine anti-moldue qu’elle n’avait jamais comprise, qu’elle trouvait absurde. Ce n’était à ses yeux qu’un prétexte dont se servaient les sorciers conservateurs pour s’autoriser à être cruels, tout en évitant de passer pour des animaux. Les né-moldus demeuraient malheureusement le défouloir d’une poignée de vieux rustres. Octave lui avait proposé qu’ils réalisent chacun de leur côté une potion d’hilarité, et qu’ils se retrouvent pour goûter les mixtures. Cette potion, si elle était ratée, pouvait provoquer l’effet inverse et plonger celui qui la consommait dans une profonde mélancolie. Vicky avait donc minutieusement suivi les conseils de son nouveau « tuteur », effrayée à l’idée de rater une quelconque étape. Et voilà qu’elle cherchait à présent, dans les couloirs sombres du niveau inférieur, la porte derrière laquelle se trouverait Octave. Elle finit par le trouver, déjà installé dans une drôle de pièce, de laquelle provenait une mélodie de piano désaccordé, sans toutefois qu'aucun instrument ne s'y trouve.
@Octave Muller
A dire vrai, le comportement distant et médisant de l’étudiant était loin de la surprendre. A la seconde où son professeur avait prononcé le nom d’Octave Muller, Vicky avait eu une idée très claire du type de sorcier auquel elle allait avoir affaire. Le vieux potionniste était venu la voir à la fin du cours suivant, lui expliquant qu’il était désolé de ne pas avoir su répondre précisément à sa question sur la réalisation de la potion d’hilarité, qu’il était convaincu qu’une approche pratique serait plus à même de lui apporter la réponse qu’elle attendait, et qu’il connaissait justement un excellent étudiant à même de lui accorder du temps. Génial, s’était-elle dit. Mais déjà, le nom Muller ne présageait rien de bon. Avec Octave devant, le présage devenait clairement mauvais. Elle allait gentiment refuser quand son professeur lui expliqua qu’il avait déjà pris contact avec le jeune homme, et en se retournant, elle le vit justement qui franchissait la porte, le Grymm à l’aura invariablement sombre. Pas moyen de retourner en arrière…
Alors, ils avaient discuté, cordialement, écoutés de loin par le professeur qui rangeait ses fioles et ses cahiers empoussiérés. Vicky avait cherché une réaction sur le visage d’Octave, mais elle n’avait pas réussi à savoir s’il avait été mis au courant par son professeur de l’identité de l’élève qu’il était venu aider. En fait, elle ne savait même pas s’il savait qui elle était. Probablement pas. Elle, en revanche, se souvenait bien du Serdaigle qui avait harcelé ses amies moldues, alors qu’elles venaient à peine d’entrer en deuxième année. Douze ans seulement et victimes de cette haine anti-moldue qu’elle n’avait jamais comprise, qu’elle trouvait absurde. Ce n’était à ses yeux qu’un prétexte dont se servaient les sorciers conservateurs pour s’autoriser à être cruels, tout en évitant de passer pour des animaux. Les né-moldus demeuraient malheureusement le défouloir d’une poignée de vieux rustres. Octave lui avait proposé qu’ils réalisent chacun de leur côté une potion d’hilarité, et qu’ils se retrouvent pour goûter les mixtures. Cette potion, si elle était ratée, pouvait provoquer l’effet inverse et plonger celui qui la consommait dans une profonde mélancolie. Vicky avait donc minutieusement suivi les conseils de son nouveau « tuteur », effrayée à l’idée de rater une quelconque étape. Et voilà qu’elle cherchait à présent, dans les couloirs sombres du niveau inférieur, la porte derrière laquelle se trouverait Octave. Elle finit par le trouver, déjà installé dans une drôle de pièce, de laquelle provenait une mélodie de piano désaccordé, sans toutefois qu'aucun instrument ne s'y trouve.
@Octave Muller
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- » parchemins postés : 718
» miroir du riséd : hwang yeji
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» multinick : maximus / arty / keir
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» situation : célibataire
» nature du sang : sang-mêlé
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» profession : assistante du professeur d'arts scéniques / sirène au Styx
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Inventaire Sorcier
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Re: a cowboy level of distrust - ft. octave
Jeu 9 Juin 2022 - 20:47
A cowboy level of distrust ft. @Vicky Benett | 08.06.22Octave se tenait droit comme un i, impassible alors que tout autour de lui s’évertuait à le plonger dans une infinie tristesse. Il considérait ses premiers mois à Hungcalf en tant qu’étudiant comme une mise en bouche, une période d’adaptation qui lui avait permis de découvrir certains endroits où il se sentait plus à l’aise que d’autres. Le niveau inférieur à lui-seul résumait cette impression. Sa froideur, son humidité et son manque de luminosité naturelle en faisait l’un des lieux préférés d’Octave car ici, les crimes étaient plus susceptibles de passer inaperçus. Mais aussi, ce niveau renfermait certaines de ses pièces favorites, dont la salle de potion, de torture et de désespoir - un trio qui ne manquait pas de cachet et d’attrait pour le Britannique en mal de magie noire. Octave devait être l’un des rares étudiants du campus à pouvoir se tenir dans cette enveloppe de désolation sans ressentir ne serait-ce qu’une once d’envie de se taillader les veines. Tout ce qui avait attrait au macabre, à la mélancolie et la souffrance le fascinait.
Mais ce n’était pas uniquement pour cela qu’il s’y tenait aujourd’hui. Un devoir lui incombait : celui d’éduquer un autre élève. Ou plutôt, UNE autre élève, sang mêlée de surcroît. La pauvre cumulait toutes les tares existantes : colorée de peau, un sang impur et un sexe faible. Voilà comment Octave résumait la demoiselle Benette dans sa tête et il allait être difficile pour elle de lui faire changer d’avis. Il n’avait appris la nature de son sang qu’à travers des discussions écoutées en douce ici et là. Et lors de leur dernière entrevue dans la salle des potions pour discuter de celle sur laquelle ils allaient s’exercer, Octave avait pénétré son esprit le temps de quelques secondes. Pas assez pour en savoir énormément sur elle mais suffisamment pour récolter de quoi construire une bonne base. Maintenant que son opinion d’elle était établie, le Muller pouvait réfléchir à la façon dont il allait la traiter. C’était d’ailleurs tout vu : comme avec n’importe qui, il n’allait clairement pas l’épargner. De par son sang et son statut, il était même possible qu’il soit un peu plus dur avec elle qu’avec une homologue pure. Octave se réservait le droit de changer d’avis mais cela n’arrivait que rarement.
Le bruit des talons sur la pierre l’alerta et il tourna la tête vers la porte longtemps avant que la silhouette de la sorcière ne vienne s’y dessiner. Il resta silencieux les premières secondes suivant son arrivée, laissant la musique angoissante de la salle du désespoir faire son œuvre sur Vicky et, potentiellement, l’opportunité de deviner elle-même la raison pour laquelle il avait choisi cet endroit plutôt qu’un autre.
« Bonjour Benett » il préférait l’appeler par son nom de famille, ce qui lui permettait de garder un sentiment de supériorité sur elle autre que grâce à son statut de tuteur « Bienvenue dans la salle du Désespoir. T’est-elle familière ? Et sais-tu pourquoi nous allons y rester ? » Y rester, oui, car même si elle manifestait de la gêne à être dans cette salle, Octave ne comptait pas une seule seconde en partir.
- InvitéInvité
Re: a cowboy level of distrust - ft. octave
Dim 26 Juin 2022 - 16:26
Vicky fit quelques pas vers le porte-manteau qui se trouvait sur la gauche, prenant soin de conserver toute l'élégance de sa démarche - elle voulait montrer que, contrairement à ce que le Muller se figurait, les sang-purs n'avaient pas le monopole de la grâce. La théâtralité de la pièce et la façon qu'avait eu l'étudiant de la saluer, en utilisant son nom de famille, décrochèrent un sourire discret à la Lukfin : la mise en scène n'était pas aussi subtile qu'il l'avait sûrement souhaité, voire assez grossière. Elle veillera cependant à ne pas le vexer, pas de sitôt, et fit passer ce sourire pour une salutation, en l'accompagnant d'un hochement de tête à destination du Grymm.
Alors qu'elle faisait passer son sac par-dessus sa tête, elle remarqua que la sensation de curiosité qu'elle avait ressenti en pénétrant le lieu se muait doucement en quelque chose de plus prenant, et de plus sombre. Elle entendit la question de son aîné, et brusquement, un nom lui vint aux lèvres : la salle du désespoir. Elle laissa passer quelques secondes de silence, histoire de rassembler ses esprits que la mélodie du piano semblait bien décidée à chambouler, et parvint finalement à prononcer ce nom avec assurance. Elle se dirigea ensuite vers la porte, qu'elle avait laissée entrouverte, et la ferma tout à fait. Octave ne pouvait pas penser qu'elle se gardait un échappatoire.
« J'en déduis que les bains de soleil ne sont pas trop ton truc, dit-elle, puisqu'ils s'étaient tous deux réveillés en ce jour de juin sous un ciel ravissant, et avec la promesse, historique pour cette contrée d'Ecosse, de vingt-sept degrés dans la Gazette. Rassure-toi, aucun après-midi ensoleillé ne m'aurais fait troquer une séance de potions, même sous-terraine. Je crois bien que c'est un point que nous avons en commun ». Le seul, ajouta-t-elle intérieurement. Vicky savait qu'il la détestait, pour sa condition. Elle le haïssait aussi, car même si la rancœur avait bien eu le temps de se tasser, elle se savait incompatible à une pareille créature. Cependant, comme avec sa sœur Calliope, elle prenait un doux plaisir à feindre l'insouciance, et à les entraîner dans ce jeu de faux-semblants qu'elle maîtrisait de plus en plus. Enfin, ici, dans cette salle du désespoir, elle essayait d'y prendre plaisir. Les murs, les meubles, la musique, tout semblait faire pression sur son corps ; elle avait l'impression de devoir prendre des inspirations de plus en plus grandes pour ne pas que son cœur ne cède. Toutefois, cacher la douleur avait été une de ses grandes occupations ces derniers mois, et elle comptait bien faire démonstration de cette nouvelle aptitude.
Alors qu'elle faisait passer son sac par-dessus sa tête, elle remarqua que la sensation de curiosité qu'elle avait ressenti en pénétrant le lieu se muait doucement en quelque chose de plus prenant, et de plus sombre. Elle entendit la question de son aîné, et brusquement, un nom lui vint aux lèvres : la salle du désespoir. Elle laissa passer quelques secondes de silence, histoire de rassembler ses esprits que la mélodie du piano semblait bien décidée à chambouler, et parvint finalement à prononcer ce nom avec assurance. Elle se dirigea ensuite vers la porte, qu'elle avait laissée entrouverte, et la ferma tout à fait. Octave ne pouvait pas penser qu'elle se gardait un échappatoire.
« J'en déduis que les bains de soleil ne sont pas trop ton truc, dit-elle, puisqu'ils s'étaient tous deux réveillés en ce jour de juin sous un ciel ravissant, et avec la promesse, historique pour cette contrée d'Ecosse, de vingt-sept degrés dans la Gazette. Rassure-toi, aucun après-midi ensoleillé ne m'aurais fait troquer une séance de potions, même sous-terraine. Je crois bien que c'est un point que nous avons en commun ». Le seul, ajouta-t-elle intérieurement. Vicky savait qu'il la détestait, pour sa condition. Elle le haïssait aussi, car même si la rancœur avait bien eu le temps de se tasser, elle se savait incompatible à une pareille créature. Cependant, comme avec sa sœur Calliope, elle prenait un doux plaisir à feindre l'insouciance, et à les entraîner dans ce jeu de faux-semblants qu'elle maîtrisait de plus en plus. Enfin, ici, dans cette salle du désespoir, elle essayait d'y prendre plaisir. Les murs, les meubles, la musique, tout semblait faire pression sur son corps ; elle avait l'impression de devoir prendre des inspirations de plus en plus grandes pour ne pas que son cœur ne cède. Toutefois, cacher la douleur avait été une de ses grandes occupations ces derniers mois, et elle comptait bien faire démonstration de cette nouvelle aptitude.
- Spoiler:
@Octave Muller C'est ce qu'on appelle une réponse en différé j'espère que ça valait le coup d'attendre, quant à moi je suis pour l'instant assez lente mais j'aime bcp l'ambianssss de ce RP
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Re: a cowboy level of distrust - ft. octave
Dim 26 Juin 2022 - 17:39
A cowboy level of distrust ft. @Vicky Benett | 08.06.22Lorsqu’elle ferma la porte, une étincelle naquit dans le regard du Muller. En mettant un pan de bois entre elle et la sortie, Vicky prenait une position dangereuse. Pour son propre bien mental, elle aurait probablement dû garder la porte ouverte car un aperçu de l’extérieur pouvait toujours l’aider à ne pas sombrer face à l’ambiance de cette salle. Il attendait de voir ses réactions et le regret s’afficher sur son visage. Quant à lui, s’il n’était pas complètement insensible aux pouvoirs de la salle du Désespoir, ses effets tardaient toujours à l’atteindre. Le fait qu’il n’ait probablement pas d’âme ni de conscience devait aider… Il avait pourtant commis d’horribles choses par simple plaisir et, justement, n’en éprouvait aucun regret.
« On ne peut pas dire que tu aies tort à ce sujet. » Il suffisait de jeter un œil à son emploi du temps pour comprendre qu’Octave était un homme d’intérieur. Voire, de sous-sol. Lorsqu’il n’avait pas cours et que son temps libre prenait place à Hungcalf, il passait une grande partie de ce dernier dans la salle de Potions, au niveau inférieur. Ici, peu de lumière naturelle et un froid parfois glaçant, allié à une humidité dévorante. Et pourtant, il s’y sentait dans son élément. Il en allait de même au Manoir Muller. Octave avait reproduit ces conditions atmosphériques pour son atelier personnel et les seules fois où il s’autorisait à aller dehors, à l’air pur et surtout au soleil, c’était pour entretenir son potager et son propre corps. Il n’aimait pas particulièrement la sensation de la chaleur sur sa peau. Qui pouvait apprécier de cuire de la sorte ? On le trouvait souvent bien pâle et ce détail rendait son regard noir encore plus perturbant. Il en jouait.
« Possible, oui. » Avoir un point commun avec elle ne l’enchantait pas. En règle générale, Octave se contentait de la solitude comme amie car elle ne le décevait jamais. Il ne voyait pas l’intérêt de se trouver des points communs avec d’autres individus et s’il voyait les avantages et bénéfices d’une amitié, il n’en avait jamais ressenti le besoin. Le sorcier ne manqua pas de relever l’absence de réponse concrète de la part de Vicky. Soit elle ne savait pas la raison de leur présence ici et donc faisait preuve d’autant de stupidité que d’idiotie, soit elle en avait tout à fait connaissance mais estimait ne pas avoir à lui répondre pour x ou y raison. Elle pensait probablement se sentir importante en jouant à ce jeu, mais elle ne faisait que rendre son sexe plus simplet aux yeux d’Octave.
« Bien, nous allons commencer. As-tu apporté la potion dont on a parlé ? J’espère que tu l’as fait toi-même. » Il n’avait aucunement confiance en elle et elle pourrait bien répondre à l’affirmative à cette question qu’il ne la croirait pas totalement. Il était facile de demander un coup de main à un autre élève - plus âgé - pour réaliser une potion et s’en attribuer tout le mérite. Il aurait aimé dire que cela n’avait que peu d’importance mais c’était faux : ils se trouvaient tous deux ici pour qu’elle apprenne quelque chose et si elle trichait, à quoi bon ? « Tu n’as pas vraiment répondu à ma question, d’ailleurs. »
- ELZEARD ♦ Certaines personnes m'appellent le cowboy de l'espace, ouais !
- Aldéric ▬ Et tu traînes dehors, cowboy t'es le plus fort, pour la défonce et la cavale.
- ORION Δ et tu traînes dehors, cowboy t'es le plus fort, pour la défonce et la cavale.
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- a deeper level of connection (finnick)