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[abandonné] Butterbeer - Cataleya
Jeu 15 Sep 2022 - 11:14
La biérraubeurre fait pisser. C’est un fait scientifique indéniable, ou en tout cas, c’est la conclusion à laquelle aboutit Marius après être resté de longues minutes devant l’urinoir de la taverne du troll. Il faut dire qu’après l’entraînement, le blond avait bien besoin de se détendre et de voir ses potes, alors quoi de mieux pour commencer la rentrée qu’une bonne biérraubeurre à la taverne du coin ? Le Bonnamy est connu ici, il est tout le temps là, à croire qu’il préfère s’endormir sur une table au bois collant à cause des éclaboussures de biérraubeurre que dans son lit. En réalité, il a besoin de cette animation, il a besoin de ce bruit, de devoir se faufiler entre deux mecs bien bâtis pour accéder au bar, d’enchaîner les chopes pour s’amuser et faire la fête. L’université, c’est stressant. Le quidditch aussi, parfois. Il adore ce sport, mais y jouer à un niveau professionnel ne rend pas sa vie facile tous les jours, et pourtant, même quand il sort, c’est pour venir dans un bar sportif, si ça ce n’est pas le comble. Des matchs sont souvent rediffusés, et des bannières des principales équipes de la ligue britannique sont accrochés au mur, ainsi que la photo de plusieurs joueurs dédicacés ayant leurs habitudes ici. Marius en fait partie. Il a sa bande de potes ici, pourtant quand il sort des toilettes, il ne les repère pas immédiatement. Il y a du monde, ce sont les premières soirées de rentrée, et tout le monde est à la fête. Alors pendant quelques instants c’est la panique. Marius a chaud, des vertiges, sûrement dû à l’alcool mais pas que. Il n’aime pas être seul. Ca l’oppresse. Mais il se calme, ils vont revenir. Dans sa recherche désespérée envers ses potes, il aperçoit de nombreuses connaissances de l’université, au bar ou en train de discuter, comme Miguel, un joueur de l’équipe des Grymm par exemple. Et dans son tour d’horizon, les yeux vitreux de Marius tombent sur une jeune fille qui a l’air perdue ici. Elle est seule, dans son coin, avec une chope à peine entamée devant elle, comme si elle n’était pas à sa place. Elle est plutôt mignonne, alors Marius se décide à aller lui parler. Il se fraie un chemin jusqu’à ce coin de la salle, avec sa chope à moitié vide dans la main, et s’installe bruyamment à côté de la jeune fille qui n’a rien demandé. A l’ère de metoo, ça pourrait passer pour une agression, mais Marius est plus finaud que ça. Et puis, il a déjà de l’alcool dans le sang.
- Laisse-moi deviner, ton fiancé t’a emmené de force dans ce bar et il t’a laissé toute seule le temps d’aller fumer une clope ? Je dois m’inquiéter s’il revient et qu’il me voit à côté de toi ?
@Cataleya Blackthorn
- Laisse-moi deviner, ton fiancé t’a emmené de force dans ce bar et il t’a laissé toute seule le temps d’aller fumer une clope ? Je dois m’inquiéter s’il revient et qu’il me voit à côté de toi ?
@Cataleya Blackthorn
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
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Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Sam 17 Sep 2022 - 9:55
Une fois de plus, Cataleya s'était laissé happé par l'énergie de Miguel. Pendue à ses promesses comme un papillon s'accrochait à la poisseuse lueur d'un réverbère et ce, pour y crever dans la nuit. Merlin seul savait ô combien elle s'en voulait, à cet instant précis, de ne pas lui avoir craché au visage qu'elle préférait mille fois effleurer un moldu plutôt qu'épouser une nouvelle soirée avec lui. Comme toute les fois précédentes en sommes, lorsqu'il commençait à s'éloigner pour boire un peu trop, fumer avec ses amis, l'abandonnant au doute, au jugement, à une situation qu'elle ne maîtrisait que trop peu pour pouvoir courir vers lui et renouer avec son contact.
Alors, acculée contre un mur, une pinte à peine entamée figé entre ses mains trop blanche, la si grande Cataleya Quarta Blackthorn jugeait, raide comme l'était le mur derrière elle, les allés incessants qui s’opéraient sous ses beaux yeux bleus. Plissait un peu les sourcils sous les cris à peine contenu, à chaque fois qu'un point était marqué. Tout une ambiance qui l'impressionnait autant qu'elle la révulsait lorsqu'elle se retrouvait minuscule et seule, là, tout contre le même foutu mur. A chaque fois.
Si la jolie rousse eu quelques regards pour Miguel durant la soirée, comme pour intercepter son chemin et se coller à lui lorsqu'il irait de nouveau remplir sa choppe, ce fut pleine de supplique qu'elle se tourna cette fois-ci, pour le ramener à elle, ou du moins pour qu'il l'arrache à ce chaos hurlant venu palpiter tout autours son cœur paniqué. Qu'il l'arrache à ces mouvements de foule venu irrémédiablement la faire reculer, rentrer le ventre, comme animé d'un besoin viscéral d'augmenter la distance entre tout ces corps agglutinés entre eux, lié par les rires et les pintes qui s'entrechoquait.
Si Cataleya avait été plus courageuse, sans doute aurait-elle chargé, poussé jusqu'à la sortie comme l'aurait fait un sanglier ou un bulldozer mais force était d'admettre que sa hardiesse s'était éteinte devant ce mur humain, mouvant, infranchissable, hérité si haut à dire vrai qu'elle ne pouvait pas même apercevoir la sortie. Cataleya demeura donc là, un peu stupide, et se tourna en direction de Miguel pour tenter une percée en son sens, mais se figea entièrement lorsqu'une voix s'éleva tout près d'elle. « Laisse-moi deviner »
Si le nez se plissa intuitivement devant l'odeur de l'alcool et l'abord d'un total inconnu, la jeune femme fini par arquer un sourcil lorsque le blondinet s'effondra sur sa table. Qu'est-ce que...
« - C'est mes réactions qui devraient t’inquiéter, Bonnamy, pas celle de mon aimé. » L'air aussi pincé que le patronyme venu glisser sur sa langue, Cataleya redressa le menton. Plus pour ne pas faillir dans un environnement qu'elle ne maîtrisait pas que par réelle animosité cependant. Si elle avait rapidement reconnu la visage du cadet, c'était certainement du fait de la proximité de son dit fiancé avec Maximilen, soyons honnête. Cataleya s'était efforcée de tracer leur lignage et histoire pour ne pas faiblir en cas de rencontre, mais était sorti de tout ça convaincue d'une chose ; Les ruines de l'empire Bonnamy-Leroy ne l'intéressait que trop peu, et c'était toujours emplit de jugement qu'elle contemplait ces rois un peu déchus.
Et pourtant, elle reprit sa place à table la jolie Cataleya, les bras croisés sur le bois sale, et le menton joliment posé sur les rousseurs aux allures de traînés d'or qui les parcourait. Quelque part sans doute, cette présence ainsi imposé la rassura un peu. L'arracha à ce sentiment d'intense solitude qui la tenait en alerte depuis le début de sa soirée. Et puis le clan Leroy-Bonnamy avait toujours sû dégager ce je-ne-sais-quoi d’irrépressiblement rassurant.
« -Tu as bu. » Constat un peu maladroit offert dans un bar bondé, à quelqu'un dont la choppe était presque vide. Évidement qu'il avait bu Cat. « Ca va aller pour rentrer ? »
Certainement aurait-elle dû le rembarrer, pousser sa chaise d'un bref coup de pied, ou lui cracher de véritablement ignominie pour stopper sa progression, mais elle ne fit rien. Peut être parce que c'était le cousin de Max et qu'elle pourrissait déjà suffisamment sa vie. Certainement parce que son instinct de grande sœur déchue lui dictait une bienveillance qu'elle ne connaissait trop peu. Et puis il n'avait pas l'air bien méchant le petit Marius. En un sens, avec sa chevelure de blé et ses air encore un peu juvénile, il lui faisait pensé à Baby. Sa petite sœur. Alors elle leva ses grands yeux bleu vers lui, la jolie Cat, un maigre sourire niché là, un peu usé. « Je peux te ramener, si jamais ».
Elle avait un sens moisis de l'orientation, était relativement têtue et donc ne rebroussait jamais chemin, mais au moins n'était-elle pas éméchée.
Alors, acculée contre un mur, une pinte à peine entamée figé entre ses mains trop blanche, la si grande Cataleya Quarta Blackthorn jugeait, raide comme l'était le mur derrière elle, les allés incessants qui s’opéraient sous ses beaux yeux bleus. Plissait un peu les sourcils sous les cris à peine contenu, à chaque fois qu'un point était marqué. Tout une ambiance qui l'impressionnait autant qu'elle la révulsait lorsqu'elle se retrouvait minuscule et seule, là, tout contre le même foutu mur. A chaque fois.
Si la jolie rousse eu quelques regards pour Miguel durant la soirée, comme pour intercepter son chemin et se coller à lui lorsqu'il irait de nouveau remplir sa choppe, ce fut pleine de supplique qu'elle se tourna cette fois-ci, pour le ramener à elle, ou du moins pour qu'il l'arrache à ce chaos hurlant venu palpiter tout autours son cœur paniqué. Qu'il l'arrache à ces mouvements de foule venu irrémédiablement la faire reculer, rentrer le ventre, comme animé d'un besoin viscéral d'augmenter la distance entre tout ces corps agglutinés entre eux, lié par les rires et les pintes qui s'entrechoquait.
Si Cataleya avait été plus courageuse, sans doute aurait-elle chargé, poussé jusqu'à la sortie comme l'aurait fait un sanglier ou un bulldozer mais force était d'admettre que sa hardiesse s'était éteinte devant ce mur humain, mouvant, infranchissable, hérité si haut à dire vrai qu'elle ne pouvait pas même apercevoir la sortie. Cataleya demeura donc là, un peu stupide, et se tourna en direction de Miguel pour tenter une percée en son sens, mais se figea entièrement lorsqu'une voix s'éleva tout près d'elle. « Laisse-moi deviner »
Si le nez se plissa intuitivement devant l'odeur de l'alcool et l'abord d'un total inconnu, la jeune femme fini par arquer un sourcil lorsque le blondinet s'effondra sur sa table. Qu'est-ce que...
« - C'est mes réactions qui devraient t’inquiéter, Bonnamy, pas celle de mon aimé. » L'air aussi pincé que le patronyme venu glisser sur sa langue, Cataleya redressa le menton. Plus pour ne pas faillir dans un environnement qu'elle ne maîtrisait pas que par réelle animosité cependant. Si elle avait rapidement reconnu la visage du cadet, c'était certainement du fait de la proximité de son dit fiancé avec Maximilen, soyons honnête. Cataleya s'était efforcée de tracer leur lignage et histoire pour ne pas faiblir en cas de rencontre, mais était sorti de tout ça convaincue d'une chose ; Les ruines de l'empire Bonnamy-Leroy ne l'intéressait que trop peu, et c'était toujours emplit de jugement qu'elle contemplait ces rois un peu déchus.
Et pourtant, elle reprit sa place à table la jolie Cataleya, les bras croisés sur le bois sale, et le menton joliment posé sur les rousseurs aux allures de traînés d'or qui les parcourait. Quelque part sans doute, cette présence ainsi imposé la rassura un peu. L'arracha à ce sentiment d'intense solitude qui la tenait en alerte depuis le début de sa soirée. Et puis le clan Leroy-Bonnamy avait toujours sû dégager ce je-ne-sais-quoi d’irrépressiblement rassurant.
« -Tu as bu. » Constat un peu maladroit offert dans un bar bondé, à quelqu'un dont la choppe était presque vide. Évidement qu'il avait bu Cat. « Ca va aller pour rentrer ? »
Certainement aurait-elle dû le rembarrer, pousser sa chaise d'un bref coup de pied, ou lui cracher de véritablement ignominie pour stopper sa progression, mais elle ne fit rien. Peut être parce que c'était le cousin de Max et qu'elle pourrissait déjà suffisamment sa vie. Certainement parce que son instinct de grande sœur déchue lui dictait une bienveillance qu'elle ne connaissait trop peu. Et puis il n'avait pas l'air bien méchant le petit Marius. En un sens, avec sa chevelure de blé et ses air encore un peu juvénile, il lui faisait pensé à Baby. Sa petite sœur. Alors elle leva ses grands yeux bleu vers lui, la jolie Cat, un maigre sourire niché là, un peu usé. « Je peux te ramener, si jamais ».
Elle avait un sens moisis de l'orientation, était relativement têtue et donc ne rebroussait jamais chemin, mais au moins n'était-elle pas éméchée.
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Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Jeu 13 Oct 2022 - 10:27
L’alcool a cela de bon qu’il désinhibe complètement les sens et fait oublier à son buveur les règles les plus élémentaires de la pudeur sociale, un avantage pour un garçon dont la plus grande phobie est la solitude. Être seul n’est pas facile quand on s’appelle Bonnamy, quand on a un frère et une sœur avec de telles capacités. Être le dernier de sa fratrie non plus n’est pas facile, et il a bien fallu creuser un trou pour se trouver une place, et le garçon a su le faire : le sport et la fête. Derrière le masque de la torpeur et le regard vitreux du presque adolescent atteint du mal aviné se cache un garçon anxieux et angoissé, pour qui tout lien social est un réconfort. Alors oui, son approche de la jeune femme n’est pas des plus fines. Et cela se voit à sa réaction et sa réponse très guindée. Bien que son visage ne lui fût pas inconnue, son phrasé permit au moins une certitude au jeune homme : c’était une sang-pure, comme lui, mais qui ne semblait pas à son aise dans ce bar. Et elle connait son nom. L connaissait-il et l’alcool lui aurait fait oublier son visage ? Sur le moment, sa répartie le désarçonne quelque peu. C’est qu’il n’est pas méchant le garçon. La jeune fille fait sa princesse, mais Marius n’en mène pas large. Il répond d’abord en reprenant une gorgée de bière. Elle enchaîne, et là il se sent désarmé. Oui, il a bu, ça se voit il continue même et n’en a pas fini pour la soirée. Il a bien besoin de ça pour se rassurer un peu. Il se décide enfin à desserrer sa mâchoire.
Je, excuse-moi, on se connait ? Je t’ai déjà croisé à l’université, mais si on s’est déjà parlé et que je l’ai oublié, pardonne-moi, ce doit être l’alcool et la lumière de ce bar…
Marius essaie vainement de s’en sortir, l’assurance de la jeune femme, même si elle est un jeu pour ne pas paraître effrayée ou perdue dans cet univers, a fini de troubler le jeune homme, assez pour le dessaouler quelques instants. Mais son ton s’est ensuite fait plus doux, alors il se calme, son cœur reprend un rythme normal, les étoiles s’éloignent de son champ visuel et il revient dans le moment présent, les pieds sur terre.
Je ne suis pas encore prêt de rentrer, mais c’est gentil de le proposer. D’ailleurs, tu m’accompagnes ?
Le regard doux de la jeune femme a calmé la première réaction urticante qu’elle avait eu, et maintenant, le verre de Marius était vide, et c’était en le lui montrant qu’il avait posé sa question. Elle avait commencé par le rembarrer avant de se raviser, autant continuer avec une mousse, ça serait plus sympa, même si le jeune homme doutait qu’une telle dame boive de la bière.
Je, excuse-moi, on se connait ? Je t’ai déjà croisé à l’université, mais si on s’est déjà parlé et que je l’ai oublié, pardonne-moi, ce doit être l’alcool et la lumière de ce bar…
Marius essaie vainement de s’en sortir, l’assurance de la jeune femme, même si elle est un jeu pour ne pas paraître effrayée ou perdue dans cet univers, a fini de troubler le jeune homme, assez pour le dessaouler quelques instants. Mais son ton s’est ensuite fait plus doux, alors il se calme, son cœur reprend un rythme normal, les étoiles s’éloignent de son champ visuel et il revient dans le moment présent, les pieds sur terre.
Je ne suis pas encore prêt de rentrer, mais c’est gentil de le proposer. D’ailleurs, tu m’accompagnes ?
Le regard doux de la jeune femme a calmé la première réaction urticante qu’elle avait eu, et maintenant, le verre de Marius était vide, et c’était en le lui montrant qu’il avait posé sa question. Elle avait commencé par le rembarrer avant de se raviser, autant continuer avec une mousse, ça serait plus sympa, même si le jeune homme doutait qu’une telle dame boive de la bière.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Jeu 3 Nov 2022 - 11:40
« Je, excuse-moi, on se connaît ? » Un peu surprise, les cils de l'héritière Blackthorn papillonnent un instant avant que son visage ne se penche véritablement sur le côté. Plus désarçonnée qu'outrée cependant, cela a le mérite d'être souligné. Il est vrai qu'elle ne s'était pas présentée, pleinement convaincue d'être reconnue par les yeux d'un autre sang pur ; crinière d'ambre aux reflets prononcé, regard intrusif et trop clair, fossette irrésistible mais la mine renfrognée, il était évident qu'il s'agissait là du dragon Blackthorn pour la plupart d'entre eux. Pourtant, l'idée de ne pas être pleine reconnue tranquillise un peu le cœur et l'esprit de la jeune femme qui, si elle garde encore le dos trop droit, commence a apprécier l'absence de pression venu envelopper la situation. Un calme qui retombe un peu, après la houle insufflé par ses lèvres teinté de rouge.
Alors, elle s’apaise encore un peu Cataleya, presque par mimétisme lorsqu'elle sent les tensions de relâcher chez son interlocuteur. Il a pourtant encore des allures de lapin prit entre les phares d'une voiture le petit Marius, tétanisé sous les lumières poisseuses du bar et, pour la première fois depuis longtemps, la rousse s'en veut quelque peu d'avoir traîné dans son sillage ses éternelles flammes. Elle n'était pas franchement facile, c'était sans doute là les mots qui revenait le plus lorsque l'on tentait de décrire Cataleya Quarta Blackthorn aux personnes ayant eut la chance de jamais la croiser. Même @Maximilien Leroy peinait aujourd'hui à trouver grâce à ses yeux alors qu'il était tout de même connu pour être le stéréotype du summerbee ; du genre a aimer tout le monde, inconditionnellement, et jouer les chevaliers blanc à tour de bras. Pseudo syndrome du sauveur doublé d'un caractère digne des plus grand cinnamon roll, en d'autres mots : une perle. Mais à la manière de @Juliet Blackthorn qui cochait ses mêmes case, Cataleya les dégageait inlassablement du bout de ses épines, trop teigneuse, même pour leurs plus tendres caresses.
Le sourcil s'arque un peu lorsque le dernier né Bonnamy lui glisse qu'il n'est pas prêt à rentrer et, qu'au contraire, il compte remplir un peu plus sa choppe. Pourtant le sourire se profile lorsqu'il lui propose de l'accompagner ; si elle boit peu et en quantité plus que contrôlée, terrifiée à l'idée d'être poussée par les charmantes courbes de la boisson à des actes qu'elle regretterait, quelque chose niche dans ses grands yeux clair. Presque pétillant. Elle termine sa choppe d'un geste maîtrisé, clairement calqué sur les culs secs de Miguel qui, elle espérait, aurait été soufflé par sa performance, et se redresse dans un mouvement fluide et ininterrompu.
« -. Je consent à en prendre une seconde. » Le ton est doux, charmant, mais détonne tant avec l'environnement festif qui palpite autour de la jeune femme qu'il ne fait aucun doute que sa place n'est pas ici. Quoi qu'elle semble s'enhardir lorsqu'elle remarque un vieux barman prendre place au comptoir et que le sourire de celui ci s'étire en un rictus lorsqu'il devine ses ondulations trop ordonnée s'imposer dans la foule. « Princesse Blackthorn, tu quittes enfin ton poteaux pour mon bar ! » Si la voix nasilleuse du cinquantenaire tourne irrépressiblement plus d'un visage vers elle, Cataleya inspire profondément et se faufile avec grâce jusqu'à lui, agrippant la manche de Marius par pur réflexe, comme à chaque fois que Miguel s’élançait à l'assaut du bar et qu'elle paniquait à l'idée d'être engloutit par la foule. « Tu veux quoi p'tite, une stout ? » Se hissant souplement sur un siège abîmé, Cataleya se contente d'un hochement de tête mais tourne presque intuitivement ses grands yeux bleu en direction de Marius, comme pour l'inviter à passer lui aussi commande. Elle règle presque aussitôt et semble se faire un peu plus radieuse maintenant cet homme derrière le bar.
Si elle ne le connaissait pas véritablement et le désignait sous des dénominations peu glorieuse comme « le vieux monsieur » ou simplement « le barman », force était d'admettre qu'ils nouaient toujours quelques mots lorsque, un peu dépité par le manque de sociabilisation de sacro-sainte Quarta Blackthorn, il s'affalait à sa table avec une poignée de chips. Il lui contait des leçon de vie dont elle prétendait n'avoir pas grand chose à faire mais le tolérait parce qu'il rapportait des chips et que l'alcool creusait son appétit.
« -. C'est Cat, au fait. Lufkin, 8ième année en médicomagie, brillante, canon, clairement pas à l'aise en soirée. J'ai naïvement suivi un Grymm, et je me retrouve une nouvelle fois abandonnée par ses soins. Ne jamais faire confiance à un Grymm, ça, c'est une leçon de vie.» Elle soupire un peu en jetant un regard à @Miguel Pajares lorsqu'il pousse la porte en riant mais pose le coude sur le bois collant du bar, non sans réprimer une grimace qu'elle ne verbalise pour une fois pas, charmé par couleurs de sa boisson et une mousse qui lui laisse inexorablement une petite moustache. « . Mais je remarque que toi, par contre, tu es un poisson dans l'eau ! Fan de quidditch ou paris sportif ? »
Alors, elle s’apaise encore un peu Cataleya, presque par mimétisme lorsqu'elle sent les tensions de relâcher chez son interlocuteur. Il a pourtant encore des allures de lapin prit entre les phares d'une voiture le petit Marius, tétanisé sous les lumières poisseuses du bar et, pour la première fois depuis longtemps, la rousse s'en veut quelque peu d'avoir traîné dans son sillage ses éternelles flammes. Elle n'était pas franchement facile, c'était sans doute là les mots qui revenait le plus lorsque l'on tentait de décrire Cataleya Quarta Blackthorn aux personnes ayant eut la chance de jamais la croiser. Même @Maximilien Leroy peinait aujourd'hui à trouver grâce à ses yeux alors qu'il était tout de même connu pour être le stéréotype du summerbee ; du genre a aimer tout le monde, inconditionnellement, et jouer les chevaliers blanc à tour de bras. Pseudo syndrome du sauveur doublé d'un caractère digne des plus grand cinnamon roll, en d'autres mots : une perle. Mais à la manière de @Juliet Blackthorn qui cochait ses mêmes case, Cataleya les dégageait inlassablement du bout de ses épines, trop teigneuse, même pour leurs plus tendres caresses.
Le sourcil s'arque un peu lorsque le dernier né Bonnamy lui glisse qu'il n'est pas prêt à rentrer et, qu'au contraire, il compte remplir un peu plus sa choppe. Pourtant le sourire se profile lorsqu'il lui propose de l'accompagner ; si elle boit peu et en quantité plus que contrôlée, terrifiée à l'idée d'être poussée par les charmantes courbes de la boisson à des actes qu'elle regretterait, quelque chose niche dans ses grands yeux clair. Presque pétillant. Elle termine sa choppe d'un geste maîtrisé, clairement calqué sur les culs secs de Miguel qui, elle espérait, aurait été soufflé par sa performance, et se redresse dans un mouvement fluide et ininterrompu.
« -. Je consent à en prendre une seconde. » Le ton est doux, charmant, mais détonne tant avec l'environnement festif qui palpite autour de la jeune femme qu'il ne fait aucun doute que sa place n'est pas ici. Quoi qu'elle semble s'enhardir lorsqu'elle remarque un vieux barman prendre place au comptoir et que le sourire de celui ci s'étire en un rictus lorsqu'il devine ses ondulations trop ordonnée s'imposer dans la foule. « Princesse Blackthorn, tu quittes enfin ton poteaux pour mon bar ! » Si la voix nasilleuse du cinquantenaire tourne irrépressiblement plus d'un visage vers elle, Cataleya inspire profondément et se faufile avec grâce jusqu'à lui, agrippant la manche de Marius par pur réflexe, comme à chaque fois que Miguel s’élançait à l'assaut du bar et qu'elle paniquait à l'idée d'être engloutit par la foule. « Tu veux quoi p'tite, une stout ? » Se hissant souplement sur un siège abîmé, Cataleya se contente d'un hochement de tête mais tourne presque intuitivement ses grands yeux bleu en direction de Marius, comme pour l'inviter à passer lui aussi commande. Elle règle presque aussitôt et semble se faire un peu plus radieuse maintenant cet homme derrière le bar.
Si elle ne le connaissait pas véritablement et le désignait sous des dénominations peu glorieuse comme « le vieux monsieur » ou simplement « le barman », force était d'admettre qu'ils nouaient toujours quelques mots lorsque, un peu dépité par le manque de sociabilisation de sacro-sainte Quarta Blackthorn, il s'affalait à sa table avec une poignée de chips. Il lui contait des leçon de vie dont elle prétendait n'avoir pas grand chose à faire mais le tolérait parce qu'il rapportait des chips et que l'alcool creusait son appétit.
« -. C'est Cat, au fait. Lufkin, 8ième année en médicomagie, brillante, canon, clairement pas à l'aise en soirée. J'ai naïvement suivi un Grymm, et je me retrouve une nouvelle fois abandonnée par ses soins. Ne jamais faire confiance à un Grymm, ça, c'est une leçon de vie.» Elle soupire un peu en jetant un regard à @Miguel Pajares lorsqu'il pousse la porte en riant mais pose le coude sur le bois collant du bar, non sans réprimer une grimace qu'elle ne verbalise pour une fois pas, charmé par couleurs de sa boisson et une mousse qui lui laisse inexorablement une petite moustache. « . Mais je remarque que toi, par contre, tu es un poisson dans l'eau ! Fan de quidditch ou paris sportif ? »
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Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Jeu 1 Déc 2022 - 15:05
Marius a vraiment eu l’impression de déranger la jeune fille, à moins que ça ne soit l’alcool dans ses veines qui ait rendu son approche un peu trop abrupte, ce qui aurait pu expliqué une réaction aussi épidermique de la part de la demoiselle aux cheveux de feu. Pourtant, il essaie de ne pas trop se démonter, alors qu’il aurait très bien pu remballer sa bière, se lever et partir, sans demander son reste. Mais il est resté – à peu près – stoïque et a continué la conversation, peut-être davantage par peur de déambuler seul dans le bar plutôt que pour toute autre raison sensée. Pourtant, il aurait dû la reconnaître la jeune fille, c’était une Blackthorn, une de ces filles de bonne famille britannique dont le nom était davantage connu que le prénom. Les Blackthorn étaient aussi connus de ce côté-ci de la Manche que les Leroy et les Bonnamy du côté français. Mais peut-être était-ce dû à l’alcool – encore – ou plus simplement au manque d’assiduité du cadet aux réunions de famille et aux soirées mondaines – plus certainement – mais il ne l’avait pas reconnu. Mais la jeune fille ne l’éclaire pas tout de suite, au contraire, elle semble ignorer délibérément sa question, ce qui met encore plus mal à l’aise le jeune rouge. Enfin une réaction non agressive quand le garçon lui répond qu’il n’est pas encore prêt à rentrer. Il est même impressionné quand la jeune femme, le dos droit comme si elle était retenue par une barre de fer, lève sa chope pour la finir de manière calme et maîtrisée. Peut-être que finalement elle sait faire la fête elle-aussi ? Malgré son air pincé et coincé ? C’est quelque chose qui serait à vérifier, mais apparemment les flammes du dragon se sont calmés pour le moment, alors Marius enchaîne, sa chope est vide aussi après tout.
C’est à ce moment-là que le barman éclaire enfin l’esprit du Bonnamy. C’est une Blackthorn. Marius aussi fait partie de ces clients qui se tournent presque trop brusquement vers la jeune femme alors qu’ils s’avancent vers le bar pour prendre une nouvelle chope. Une situation qui semble mettre la fille dans un état d’anxiété certain, car là voilà en train de s’accrocher à la manche de Marius. Il ne dit rien, il ne connait que trop bien l’angoisse et l’anxiété, y étant lui-même bien trop souvent sujet. Mais contrairement à elle, ce n’est pas le monde ou l’attention qui le mettent mal, mais l’inverse, c’est quand il est seul, isolé, invisible, qu’il ne se sent pas bien. Il lui offre volontiers son soutien, persuadé que la stout qu’elle vient de commander au barman. Le garçon s’installe à côté d’elle, sans faire attention à l’état des sièges.
Une biérraubeurre bien fraîche pour moi tavernier !
Marius tend sa chope où la mousse de la précédente biérraubeurre est encore présente, prête à être remplie à nouveau. Ils devraient commercialiser des chopes qui se remplissent seules, mais pas sûr qu’il puisse assumer tant d’alcool s’il en avait à volonté. Et puis sa bourse s’en ressentirait, même si l’argent n’a jamais été un problème dans sa famille. D’ailleurs, en parlant d’argent, Marius allait sortir sa monnaie mais il est devancé par la Blackthorn.A la place, il prit donc quelques chips, avant de s’essuyer la bouche d’un revers de la manche avant de répondre à la jeune femme.
Cataleya Blackthorn, j’aurais dû m’en douter. Des cheveux de feu, l’air sérieux comme si le ministre de la magie pouvait se trouver derrière la porte, je comprends mieux. Bon, je ne fais pas les présentations, comme tu sais déjà qui je suis apparemment.
Marius ne relève le « brillante, canon ». Elle n’a pas tort, mais cette prétention ne vaut pas la peine d’être relevé, il n’est pas comme ça le Bonnamy. Et puis, la moustache de mousse qu’elle vient de se créer en buvant sa bière l’a rend plus attendrissante que canon à vraie dire. A son tour de paraître choqué, grands yeux clairs bien ouverts, comme si elle lui avait donné une gifle en somme.
D’accord, donc tu es brillante, tu fais partie du mondain et tu connais mon nom mais tu ignores quoi je suis en fait ? Pour te répondre avec la même modestie que toi : Marius Bonnamy, étudiant en sciences occultes en 3ème année, wright. Et je suis également poursuiveur pour l’équipe de la fac et en semi-pro pour les Pies de Montrose. Donc je suis à la fois fan de quidditch et une petite star dans ce si bel univers. Pour te servir.
Révérence mimée, Marius espère juste que la jeune femme ne va pas en prendre ombrage, car ce n’est que de la taquinerie de sa part, mais ils ne se connaissent pas vraiment au final. Il montre sa lèvre supérieure, n’osant s’approcher de la dragonne.
D’ailleurs, tu as un peu de mousse juste là.
C’est à ce moment-là que le barman éclaire enfin l’esprit du Bonnamy. C’est une Blackthorn. Marius aussi fait partie de ces clients qui se tournent presque trop brusquement vers la jeune femme alors qu’ils s’avancent vers le bar pour prendre une nouvelle chope. Une situation qui semble mettre la fille dans un état d’anxiété certain, car là voilà en train de s’accrocher à la manche de Marius. Il ne dit rien, il ne connait que trop bien l’angoisse et l’anxiété, y étant lui-même bien trop souvent sujet. Mais contrairement à elle, ce n’est pas le monde ou l’attention qui le mettent mal, mais l’inverse, c’est quand il est seul, isolé, invisible, qu’il ne se sent pas bien. Il lui offre volontiers son soutien, persuadé que la stout qu’elle vient de commander au barman. Le garçon s’installe à côté d’elle, sans faire attention à l’état des sièges.
Une biérraubeurre bien fraîche pour moi tavernier !
Marius tend sa chope où la mousse de la précédente biérraubeurre est encore présente, prête à être remplie à nouveau. Ils devraient commercialiser des chopes qui se remplissent seules, mais pas sûr qu’il puisse assumer tant d’alcool s’il en avait à volonté. Et puis sa bourse s’en ressentirait, même si l’argent n’a jamais été un problème dans sa famille. D’ailleurs, en parlant d’argent, Marius allait sortir sa monnaie mais il est devancé par la Blackthorn.A la place, il prit donc quelques chips, avant de s’essuyer la bouche d’un revers de la manche avant de répondre à la jeune femme.
Cataleya Blackthorn, j’aurais dû m’en douter. Des cheveux de feu, l’air sérieux comme si le ministre de la magie pouvait se trouver derrière la porte, je comprends mieux. Bon, je ne fais pas les présentations, comme tu sais déjà qui je suis apparemment.
Marius ne relève le « brillante, canon ». Elle n’a pas tort, mais cette prétention ne vaut pas la peine d’être relevé, il n’est pas comme ça le Bonnamy. Et puis, la moustache de mousse qu’elle vient de se créer en buvant sa bière l’a rend plus attendrissante que canon à vraie dire. A son tour de paraître choqué, grands yeux clairs bien ouverts, comme si elle lui avait donné une gifle en somme.
D’accord, donc tu es brillante, tu fais partie du mondain et tu connais mon nom mais tu ignores quoi je suis en fait ? Pour te répondre avec la même modestie que toi : Marius Bonnamy, étudiant en sciences occultes en 3ème année, wright. Et je suis également poursuiveur pour l’équipe de la fac et en semi-pro pour les Pies de Montrose. Donc je suis à la fois fan de quidditch et une petite star dans ce si bel univers. Pour te servir.
Révérence mimée, Marius espère juste que la jeune femme ne va pas en prendre ombrage, car ce n’est que de la taquinerie de sa part, mais ils ne se connaissent pas vraiment au final. Il montre sa lèvre supérieure, n’osant s’approcher de la dragonne.
D’ailleurs, tu as un peu de mousse juste là.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Mer 7 Déc 2022 - 9:15
Un bref simulacre de révérence et un habile jeté de cheveux sacralise le constat dressé autour de son minois trop renfermé : L’air sérieux comme si le ministre de la magie pouvait se trouver derrière la porte. On ne la lui avait encore jamais sorti, et si la cinquième adopté Blackthorn masque son sourire derrière un verre bien remplit, son œil pétille un peu. Non sans fierté. Quelques seconde du moins car c'est dès lorsque les traits de Marius s'étirent,que son regard s'agrandit en une expression presque choquée, c'est irrépressiblement qu'elle se fait porte ses mains à ses lèvres comme pour rattraper des mots qui avait pu blesser. Elle se fait intuitivement plus petite aussi, et demeure ainsi quelques seconde à peine, tout juste le temps de se ressaisir.
-Je...
-D’accord, donc tu es brillante, tu fais partie du mondain et tu connais mon nom mais tu ignores quoi je suis en fait ?
Elle aimerait se cacher derrière ses longues ondulations de feu Cataleya, taire une faute qu'elle réaliste à peine mais c'est une mine pleinement désolé qui finit par s'inscrire sur ses sourcils, comme pour adoucir l'intensité de son regard. Évidemment. Elle savait bien qu'il y avait un gros sportif dans le lot Bonnamy, pourquoi n'avait-elle pas fait le lien ? Si elle avait été plus franche, sans doute se serait-elle excusée et aurait ouvert le discours sur une recherche de fiancé qui l'avait contrainte à apprendre l'arbre généalogique Leroy-Bonnamy sur le bout des doigts, mais dont elle n'avait retenu que les essentiels. Marius étant le dernier, le plus jeune aussi, elle avait essentiellement cristallisé son attention sur Maxence, un peu sur Marie pour la brosser dans le sens du poil, mais surtout sur Charles qu'elle savait devoir conquérir entièrement pour asseoir toute les exigences qu'elle traînait entre ses mains. Mais ça, elle l'avait autant fait avec les Muller que les Lacroix, et bien d'autre encore...
Une infinité de lignage l'avait contrainte à édulcorer un peu ses recherches, et soyons franc, si elle se passionnait pour le quidditch, elle ne regardait les match professionnel que lorsque Miguel ou ses amis en parlait. Bien trop frustrée d'avoir toujours était tenue loin de ce sport sous prétexte qu'une fille de bonne famille, ça ne fendait pas les airs. Elle supportait les Grymm car c'était l'ancienne équipe de James, c'était celle d'Octave Muller, et de Miguel Pajares, et que le soutient était de rigueur, avait doucement transposé son enthousiasme sur les pokeby maintenant James changé de maison mais... Sans plus.
Regarder les autres s'épanouir sur des balais la frustrait plus que de mesure, et force était d'admettre qu'elle n'avait, de toute manière, jamais été très bonne une fois jeté dessus.
La franchise serait donc admettre bien des choses qui ne lui plaisait en rien, aussi se contenta t'elle d'un haussement d'épaule exagéré, un air taquin niché sur les lèvres, non loin de sa moustache mousseuse. « Seulement semi-pro ? C'est pour ça, alors. » A dire vrai, ça l'épate n peu, tout de même. Elle a suffisamment observé les entraînements de Miguel et @James Blackthorn pour comprendre le niveau et les exigences requise pour se qualifier en semi-pro. C'est admirable, sincèrement, et Cataleya aimerait pouvoir le verbaliser si son avarice sur les compliments n'interférait pas autant. Elle s'enhardie pourtant, la jolie rousse. S'apprête à poser ses premières questions, comme pour valoriser ne serait-ce qu'un peu une carrière dont elle ne connaît rien, mais se laisse pleinement déstabiliser par l'infime geste tendu vers elle, trop loin pour l'effleurer, et pourtant, cela semblait tout comme. Elle s'était figé quelque seconde, aussi rouge que l'était les pivoines offerte à sa mère à chacun de ses anniversaires, et brusquement Cataleya Quarta Blackthorn se tourna de moitié, comme pour taire ce bref revers du poignet destiné à chasser tout stigmate laissé par la bière.
-Tout en grâce et élégance... Pardonne moi Marius. S'excuser de quoi ? De l'avoir confronté à l'image d'horreur qu'aurait pu lui prodiguer les odieux tentacules d'une moustache de bière ? Ou de ne pas l'avoir reconnu comme toute les filles derrière eux qui, au vu de leur regard pétillant et sourire niais, jouait les pleine groupie ? Sérieusement, Cat. J'allais cependant te dire que c'était impressionnant. Vraiment. Et que si tu voulais prendre de l'avance sur ton cursus de science occulte, j'ai tout les cours. Je suis en double cursus pour ma spécialisation en médicomagie.
Encore un peu rouge, autant pétri par la honte que part une situation qui lui échappait un peu, Cataleya s'efforce de retrouver toute contenance et inspire longuement, paupière close. Ok. Elle a prit en chasse ses rougissement à grand coup d'austérité toute Blackthorn, et noue méthodiquement ses doigts sur ses cuisses un instant, le dos si droit qu'il ne faisait aucun doute qu'elle avait, comme chacune de ses soeurs, subit de long cours visant à l'inscrire dans la plus propre des étiquettes. A ça s'ajoutait la danse classique, et des heures passée à lui hurler qu'elle n'était pas assez droite, et voici donc le résultat. Elle détonnait. Le port de tête si haut, et l'air si froid qu'il n'était pas étonnant qu'elle venait à effrayer tout les premiers années qu'elle prenait sous sa tutelle. Plus encore ses patients.
Elle trinque, pourtant, le plus délicatement du monde avec la biérraubeurre posé non loin d'elle, comme pour relancer la discussion et apaiser son petit coeur trop anxieux.Son regard balaye néanmoins longuement l'assistance, comme pour prendre connaissance de ce nouveau terrain, bien trop loin de son habituel poteaux d'observation. Elle fait un bref signe à @Miguel Pajares lorsqu'elle capte enfin son regard, plus pour lui signifier qu'elle n'a pas prise la fuite et qu'elle seulement esquissé quelques pas en avant. Histoire qu'il ne se barre pas sans elle, aussi.
--Petite, j'adorais regarder les entrainements de mes frères. J'aurais adoré postuler en tant que batteuse à Poudlard, en toute honnêteté.
-Je...
-D’accord, donc tu es brillante, tu fais partie du mondain et tu connais mon nom mais tu ignores quoi je suis en fait ?
Elle aimerait se cacher derrière ses longues ondulations de feu Cataleya, taire une faute qu'elle réaliste à peine mais c'est une mine pleinement désolé qui finit par s'inscrire sur ses sourcils, comme pour adoucir l'intensité de son regard. Évidemment. Elle savait bien qu'il y avait un gros sportif dans le lot Bonnamy, pourquoi n'avait-elle pas fait le lien ? Si elle avait été plus franche, sans doute se serait-elle excusée et aurait ouvert le discours sur une recherche de fiancé qui l'avait contrainte à apprendre l'arbre généalogique Leroy-Bonnamy sur le bout des doigts, mais dont elle n'avait retenu que les essentiels. Marius étant le dernier, le plus jeune aussi, elle avait essentiellement cristallisé son attention sur Maxence, un peu sur Marie pour la brosser dans le sens du poil, mais surtout sur Charles qu'elle savait devoir conquérir entièrement pour asseoir toute les exigences qu'elle traînait entre ses mains. Mais ça, elle l'avait autant fait avec les Muller que les Lacroix, et bien d'autre encore...
Une infinité de lignage l'avait contrainte à édulcorer un peu ses recherches, et soyons franc, si elle se passionnait pour le quidditch, elle ne regardait les match professionnel que lorsque Miguel ou ses amis en parlait. Bien trop frustrée d'avoir toujours était tenue loin de ce sport sous prétexte qu'une fille de bonne famille, ça ne fendait pas les airs. Elle supportait les Grymm car c'était l'ancienne équipe de James, c'était celle d'Octave Muller, et de Miguel Pajares, et que le soutient était de rigueur, avait doucement transposé son enthousiasme sur les pokeby maintenant James changé de maison mais... Sans plus.
Regarder les autres s'épanouir sur des balais la frustrait plus que de mesure, et force était d'admettre qu'elle n'avait, de toute manière, jamais été très bonne une fois jeté dessus.
La franchise serait donc admettre bien des choses qui ne lui plaisait en rien, aussi se contenta t'elle d'un haussement d'épaule exagéré, un air taquin niché sur les lèvres, non loin de sa moustache mousseuse. « Seulement semi-pro ? C'est pour ça, alors. » A dire vrai, ça l'épate n peu, tout de même. Elle a suffisamment observé les entraînements de Miguel et @James Blackthorn pour comprendre le niveau et les exigences requise pour se qualifier en semi-pro. C'est admirable, sincèrement, et Cataleya aimerait pouvoir le verbaliser si son avarice sur les compliments n'interférait pas autant. Elle s'enhardie pourtant, la jolie rousse. S'apprête à poser ses premières questions, comme pour valoriser ne serait-ce qu'un peu une carrière dont elle ne connaît rien, mais se laisse pleinement déstabiliser par l'infime geste tendu vers elle, trop loin pour l'effleurer, et pourtant, cela semblait tout comme. Elle s'était figé quelque seconde, aussi rouge que l'était les pivoines offerte à sa mère à chacun de ses anniversaires, et brusquement Cataleya Quarta Blackthorn se tourna de moitié, comme pour taire ce bref revers du poignet destiné à chasser tout stigmate laissé par la bière.
-Tout en grâce et élégance... Pardonne moi Marius. S'excuser de quoi ? De l'avoir confronté à l'image d'horreur qu'aurait pu lui prodiguer les odieux tentacules d'une moustache de bière ? Ou de ne pas l'avoir reconnu comme toute les filles derrière eux qui, au vu de leur regard pétillant et sourire niais, jouait les pleine groupie ? Sérieusement, Cat. J'allais cependant te dire que c'était impressionnant. Vraiment. Et que si tu voulais prendre de l'avance sur ton cursus de science occulte, j'ai tout les cours. Je suis en double cursus pour ma spécialisation en médicomagie.
Encore un peu rouge, autant pétri par la honte que part une situation qui lui échappait un peu, Cataleya s'efforce de retrouver toute contenance et inspire longuement, paupière close. Ok. Elle a prit en chasse ses rougissement à grand coup d'austérité toute Blackthorn, et noue méthodiquement ses doigts sur ses cuisses un instant, le dos si droit qu'il ne faisait aucun doute qu'elle avait, comme chacune de ses soeurs, subit de long cours visant à l'inscrire dans la plus propre des étiquettes. A ça s'ajoutait la danse classique, et des heures passée à lui hurler qu'elle n'était pas assez droite, et voici donc le résultat. Elle détonnait. Le port de tête si haut, et l'air si froid qu'il n'était pas étonnant qu'elle venait à effrayer tout les premiers années qu'elle prenait sous sa tutelle. Plus encore ses patients.
Elle trinque, pourtant, le plus délicatement du monde avec la biérraubeurre posé non loin d'elle, comme pour relancer la discussion et apaiser son petit coeur trop anxieux.Son regard balaye néanmoins longuement l'assistance, comme pour prendre connaissance de ce nouveau terrain, bien trop loin de son habituel poteaux d'observation. Elle fait un bref signe à @Miguel Pajares lorsqu'elle capte enfin son regard, plus pour lui signifier qu'elle n'a pas prise la fuite et qu'elle seulement esquissé quelques pas en avant. Histoire qu'il ne se barre pas sans elle, aussi.
--Petite, j'adorais regarder les entrainements de mes frères. J'aurais adoré postuler en tant que batteuse à Poudlard, en toute honnêteté.
- InvitéInvité
Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Sam 4 Fév 2023 - 8:35
Marius n’est pas un garçon qui prend ombrage facilement, bien au contraire, il est le premier à savoir rire de ses propres péripéties, mais il est également très joueur et taquin, ce qui est actuellement en train de se vérifier avec la jeune femme en face de lui. L’alcool qui court dans ses veines l’aide sûrement aussi à se montrer aussi joueur avec Cataleya malgré son air pincé et son sérieux évident. Il ne remarque pas tout de suite cette étincelle qui s’est allumé dans le regard de la fille. Elle a vraiment l’air désolée pourtant, comme si elle le prenait au sérieux là où il avait surjoué sa surprise justement. D’ailleurs, Marius a très vite repris son sourire naïf et puéril habituel une fois qu’il a fait son choqué. Il n’est pas ce genre de sorcier au sang-pur à se prendre tellement au sérieux. Certes, il sait que sa famille est connu, et il a déjà pu le constater par le passé, après tout, même s’il est le dernier de sa fratrie, lui aussi a parfois dû se coltiner des soirées mondaines où tout le gratin de l’élite sorcière était réunie, pourtant, ça n’a jamais été sa tasse de thé, il préfère de loin passer une soirée au calme avec ses potes à la taverne du troll ou aller à une fête où la biérraubeurre coule à flot et il est davantage connu comme un sorcier à part entière, et non comme un nepo baby. Il n’est pas qu’un fils de, et il a su se démarquer de son frère aîné et de sa sœur, le quidditch en est la preuve. Même si cela occasionne beaucoup de stress, qu’il gère de la pire manière qui soit : par la fête et la fuite continuelle en avant. Il n’avait pourtant pas la pression de son aîné Maxence ou encore de Marie sa sœur. Pourtant, il essayait d’exister, à sa façon. Marius n’avait donc pas affaire à une passionnée du quidditch, et c’était assez rare pour être souligné. Car tout fan de quidditch le connait, non pas qu’il soit particulièrement famous, mais tout de même, il joue pour son équipe universitaire en plus des Pies de Montrose. C’était un élément non négligeable, à croire qu’il avait un balai greffé entre les jambes. Mais finalement Cataleya lui décocha un air taquin en entrant dans son jeu.
Cherche une excuse Blackhorn, même si je ne suis que semi-pro, ça devrait pourtant suffire pour que tu m’aies noté dans ton carnet des bons fils de famille à connaître non ? Il parait que vous avez toute ça, comme un carnet de bal mais avec le pedigree des sorciers en face de vous pour mieux connaître votre adversaire avant le mariage.
Par vous, Marius désignait ces filles au sang-pur destinées à faire un bon mariage. Heureusement, comme cadet, il ne serait sans doute pas forcé à cette extrémité. Mais bien vite, le sujet change quand il lui fait remarquer la moustache de mousse née sur ses lèvres. Elle lui demande … pardon ? Mais pourquoi ? Il n’y a rien de grave, au contraire ça montre qu’elle est juste un peu plus normale et un peu moins décalée par rapport aux autres sorciers de ce pub, ce qui a son charme aussi. Marius ne s’attendait pas pourtant à cette proposition.
Et bien écoute, pourquoi pas à l’avenir, j’essaie de tout mener de front, mais j’avoue que si je pouvais avoir un peu d’aide dans certaines matières ça ne serait pas du refus. Tant que ça s’accompagne d’une bonne biérraubeurre.
Car il ne faudrait pas être trop sérieux.
Mais chapeau pointu aussi, un double cursus, ça doit être intéressant mais terriblement chronophage non ? C’est quoi ton spécialisation ? Tu arrives à tout mener de front ? Ca ne m’étonne pas que tu sois chez les lufkin alors, vous êtes tous des érudits dans cette maison, de vraies têtes d’ampoule.
Les deux jeunes sorciers trinquent, même si leurs allures détonnent, un Marius à l’aise, les épaules détendus, le sourire alcoolisé et détendu, et une Cataleya au dos droit comme si une barre de fer la maintenait dans cette position, et une attitude presque introvertie qui la rendait si improbable dans ce lieu. Pourtant, ils ont fini par sympathiser ces deux bougres.
Et pourquoi tu n’as jamais tenté ? batteur c’est cool comme poste, il faut avoir du caractère, être un battant et ne pas avoir peur de viser ses adversaires, mais mon petit doigt me dit que ça te correspondait assez et qu’il vaut mieux éviter de se frotter à toi.
Cherche une excuse Blackhorn, même si je ne suis que semi-pro, ça devrait pourtant suffire pour que tu m’aies noté dans ton carnet des bons fils de famille à connaître non ? Il parait que vous avez toute ça, comme un carnet de bal mais avec le pedigree des sorciers en face de vous pour mieux connaître votre adversaire avant le mariage.
Par vous, Marius désignait ces filles au sang-pur destinées à faire un bon mariage. Heureusement, comme cadet, il ne serait sans doute pas forcé à cette extrémité. Mais bien vite, le sujet change quand il lui fait remarquer la moustache de mousse née sur ses lèvres. Elle lui demande … pardon ? Mais pourquoi ? Il n’y a rien de grave, au contraire ça montre qu’elle est juste un peu plus normale et un peu moins décalée par rapport aux autres sorciers de ce pub, ce qui a son charme aussi. Marius ne s’attendait pas pourtant à cette proposition.
Et bien écoute, pourquoi pas à l’avenir, j’essaie de tout mener de front, mais j’avoue que si je pouvais avoir un peu d’aide dans certaines matières ça ne serait pas du refus. Tant que ça s’accompagne d’une bonne biérraubeurre.
Car il ne faudrait pas être trop sérieux.
Mais chapeau pointu aussi, un double cursus, ça doit être intéressant mais terriblement chronophage non ? C’est quoi ton spécialisation ? Tu arrives à tout mener de front ? Ca ne m’étonne pas que tu sois chez les lufkin alors, vous êtes tous des érudits dans cette maison, de vraies têtes d’ampoule.
Les deux jeunes sorciers trinquent, même si leurs allures détonnent, un Marius à l’aise, les épaules détendus, le sourire alcoolisé et détendu, et une Cataleya au dos droit comme si une barre de fer la maintenait dans cette position, et une attitude presque introvertie qui la rendait si improbable dans ce lieu. Pourtant, ils ont fini par sympathiser ces deux bougres.
Et pourquoi tu n’as jamais tenté ? batteur c’est cool comme poste, il faut avoir du caractère, être un battant et ne pas avoir peur de viser ses adversaires, mais mon petit doigt me dit que ça te correspondait assez et qu’il vaut mieux éviter de se frotter à toi.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
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» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Sam 4 Fév 2023 - 23:45
« Il parait que vous avez toute ça, comme un carnet de bal [...] »
La moue se fait un malicieuse mais c'est méthodique que Cataleya chasse cet air de lutin de Cornouailles qui plane sur ses rousses ondulations. Elle avait effectivement un carnet aux charmantes teintes vert d'eau planqué là, au fond de son sac à main, mais les principales informations pesaient sur ses neurones ; Elle avait quasis tout apprit par cœur. Pourtant la tentation de lui souffler un « Jaloux, Bonnamy ? » est grande, autant parce qu'elle avait effectivement préféré favoriser l’ascension sociale en mettant les griffes sur l'aîné, que parce le plis que prenait la discussion la rendait un poil plus audacieuse. Les tensions accumulée dans sa nuque levée, elle s'autorise à rouler exagérément des yeux lorsque Marius accepte son soutient scolaire à condition d'une biérraubeurre, mais darde sur lui un sourire narquois pour témoigner du peu de sérieux dont faisait preuve son visage (trop) expressif. Elle maintenait que la biérraubeurre était surfaite, et qu'elle n'avait pas sa place dans une soirée révision mais soit, pourquoi pas. Une prochaine fois sans doute.
L'expression se fait pourtant soudainement plus austère lorsque tombe le sujet de ses études, et si elle relève le menton pour ne pas fléchir le dos, force est d'admettre qu'effectivement, un double curus, doublé d'une résidence à St marie, couplée à la place qu'elle occupait au sein des capes noires, en plus du chaos qu'était sa vie ne laissait pas grande place à autre chose. Et Merlin seul savait ô combien elle rêvait de reprendre la danse ou le patinage artistique, de se perdre lors de séance d'urbex, de filer sous la nuit à toute vitesse sous sa forme canine. Elle avait grandement besoin de s'évader, mais plus encore de dormir. « vous êtes tous des érudits dans cette maison, de vraies têtes d’ampoule. » Tatata morveux.
« -Je préfère le terme de génies » Argue t'elle en posant un coude sur le comptoir, le visage un peu penché sur celui du blond. Tête d'ampoule toi même. « Alors alors ! Reprenons dans l'ordre : chronophage à en perdre la raison, oui. Spécialisation Malédiction de sang, même si je me débrouille bien dans tout ce qui est pathologie relative à la magie noire et... Si j'arrive à mener tout ça de front c'est parce que je suis dans le déni de mon état psychologique et physique. Et parce que je suis une Blackthorn, surtout ; Le droit à l'erreur n'existe pas chez nous. » Le jeté de cheveux est grandiose à souhait, dramatique, aussi, mais Cataleya se plait dans se rôle. Use de grandiloquence à chaque fois qu'on touche un peu trop à ses failles les plus intimes.
A vrai dire, elle s'étonne un peu de sa faculté à se livrer mais met rapidement ça sur le compte de l'ivresse qui tient son interlocuteur ; Lorsque le jour se lèvera, il aura sans doute déjà tout oublié. Le sourire se fait pourtant infiniment plus assuré lorsque le dernier né Bonnamy flatte l'égo de cette batteuse répudiée. Ah bah enfin ! Enfin quelqu'un qui ne s'étranglait pas de rire en l'imaginant le cul posé sur un balais ! … Sans doute parce que Marius ne l'avait jamais vu sur un balais, soyons honnête, mais l'enthousiasme du blond lui fait soudainement chaud au cœur.
« - Je suis passée maîtresse dans l'art de jeter des objets aux visages des gens Bonnamy, et tu l'apprendras, je manque rarement ma cible. » Le sourire est triomphant, clairement, parce qu'elle visualise sans peine toute ses fois où elle cherchait à faire taire ses aines à grand coup de coussin. Pourtant il s'efface lorsque le regard se perd sur l'équipe des grymms qui boit un peu plus loin. « J'ai apprit à avoir peur de l'altitude tant ma mère s'est acharnée à m'arracher aux balais. Une fille de bonne famille ça ne joue pas au quiddich, et le parfait joyaux de maman doit se concentrer sur les études » Elle singe la voix de sa mère en prononçant cette dernière phrase mais finit par étouffer son rire dans sa bière. Pressant doucement son épaule contre celle du Wright pour happer l'attention du blond. « Mais j'apprécie que tu ais crû en mon potentiel de teigne. Parce que je le suis. Terrible, tenace, et accrocs à l'adrénaline. Mais soyons honnête deux secondes, je ne sais clairement plus voler sur un balais et je n'ai ni l'énergie, ni le temps de reprendre des cours. »
- InvitéInvité
Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Mer 30 Aoû 2023 - 16:30
De jeune femme désorientée dans un bar miteux de sportifs et amateurs de sport au parfum de biérraubeurre, la rousse apparaissait de plus en plus aux yeux du Bonnamy comme une fille au caractère de feu, ce qui l’amusait plutôt. Sociable comme jamais, il aimait les filles avec du bagout, ça changeait des midinettes qui ne semblaient s’intéresser à lui que pour son parcours de sportif. C’était également un poids social en moins après tout, une fille avec du vraie caractère, pas besoin de surjouer, pas besoin de cacher ses faiblesses sous le vernis de l’assurance, le rire suffirait. Marius est sincère, il est impressionné par les lufkin qui semblent tous tout mieux savoir que lui, comme si c’était facile pour eux, là où lui doit quand même réviser entre deux fêtes ou deux entraînements. Ce n’est pas toujours évident, beaucoup de pression pour un mec comme lui. En tout cas, il n’avait pas l’intention d’être insultant, même s’il se dit qu’il a peut-être été maladroit quand elle le reprend. Je préfère le terme de génies ». Oui ce n’est pas faux, et en même pas totalement vrai, on peut être un génie autrement que dans les études, en tout cas Marius en était persuadé. Être bon à l’université, c’était juste avoir un certain type d’intelligence, et savoir réviser et étudier. Être bon au quidditch ou en conception de balai, son rêve, relevait aussi d’une certaine forme de génie. Certains étaient plus doués que d’autres, et notamment au quidditch, on pouvait s’entraîner des heures, si le talent n’était pas là, c’était bien souvent peine perdue pour vraiment avoir la chance de percer un jour. Mais Marius ne souhaitait pas minimiser le « talent » des têtes d’ampoule. Même si à ses yeux travailler des heures à la bibliothèque devant des schémas runiques compliqués ou devant des textes écrits dans des langues étranges tenait plus de la torture qu’autre chose. Peut-être les lufkin étaient-ils tout simplement sado-masochistes ? Une interrogation que le jeune homme se gardait bien de relever, pour l’instant.
Le jeté de cheveux roux de la jeune femme pour clore ses propos ne suffisent pas à effacer certains mots : « »déni de mon état psychologique et physique ». Il comprend le Bonnamy. Lui s’est plongé dans le sport car c’est le seul domaine où il semble être vraiment libre et protégé du cadre de sa famille. Il tente juste d’exister dans une famille où ils sont déjà tous parfaits, Maxence, Maximilien, lui n’est que le dernier, alors il tente juste de ne pas descendre le niveau. Il n’a pas leur talent en magie, mais il est doué en sport, c’est mieux que rien. Est-ce la biérraubeurre ou son charme naturel, en tout cas Cataleya se dévoile rapidement, c’est plaisant. Ce qui Marius a en faire de même. Mais sans aucune grandiloquence ou jeu de scène dramatique.
Les Bonnamy également tiennent à la perfection. Un trait commun à nos familles apparemment. Je suis admiratif de ton talent et ta persévérance, moi je me contente juste d’essayer d’être au niveau de mes cousins et de mes frères. Et de rester relativement libre, l’avantage d’être le dernier né, moins de charge mentale.
C’est toujours dans cette joyeuse ivresse que Marius soumet l’idée à la jeune femme qu’elle ferait une bonne batteuse. Sans du tout connaître ses compétences en vol. Ni à la batte. Mais elle a l’air d’avoir le caractère pour, foncer dans le tas sans prendre de gants, avec de la détermination. Il manque d’ailleurs de s’étrangler avec sa Biérraubeurre au vu de sa répartie qui fait mouche.
Pffff des bêtises tout ça. Je ne connais pas ta mère, mais elle raconte des bêtises. Elle veut quoi, que les filles volent à balai en amazone aussi pendant qu’on y est ? Avoir un balai entre les jambes, des coudières ou un plastron en cuir ne retire ni élégance ni dignité à ceux qui en ont naturellement, comme toi. Mon cousin Maximilien a ce même charisme, et j’en connais plein d’autres du genre. Allez tu me fais marcher, tu ne peux pas être si mauvaise en vol ? A part si tu as le vertige, sinon tu n’as aucune excuse. Je pourrais te proposer une leçon particulière à l’occasion. Mais un jour où j’aurais moins bu, là ça serait trop dangereux. Qui sait, un cognard pourrait même assommer ta mère par accident ! Ca serait bête n’est-ce pas ?
Et le voilà qui rit grassement à sa blague qui tient tant de la beaufferie qu’à l’alcool qu’il a dans le sang. Il va falloir aller se coucher jeune homme.
Le jeté de cheveux roux de la jeune femme pour clore ses propos ne suffisent pas à effacer certains mots : « »déni de mon état psychologique et physique ». Il comprend le Bonnamy. Lui s’est plongé dans le sport car c’est le seul domaine où il semble être vraiment libre et protégé du cadre de sa famille. Il tente juste d’exister dans une famille où ils sont déjà tous parfaits, Maxence, Maximilien, lui n’est que le dernier, alors il tente juste de ne pas descendre le niveau. Il n’a pas leur talent en magie, mais il est doué en sport, c’est mieux que rien. Est-ce la biérraubeurre ou son charme naturel, en tout cas Cataleya se dévoile rapidement, c’est plaisant. Ce qui Marius a en faire de même. Mais sans aucune grandiloquence ou jeu de scène dramatique.
Les Bonnamy également tiennent à la perfection. Un trait commun à nos familles apparemment. Je suis admiratif de ton talent et ta persévérance, moi je me contente juste d’essayer d’être au niveau de mes cousins et de mes frères. Et de rester relativement libre, l’avantage d’être le dernier né, moins de charge mentale.
C’est toujours dans cette joyeuse ivresse que Marius soumet l’idée à la jeune femme qu’elle ferait une bonne batteuse. Sans du tout connaître ses compétences en vol. Ni à la batte. Mais elle a l’air d’avoir le caractère pour, foncer dans le tas sans prendre de gants, avec de la détermination. Il manque d’ailleurs de s’étrangler avec sa Biérraubeurre au vu de sa répartie qui fait mouche.
Pffff des bêtises tout ça. Je ne connais pas ta mère, mais elle raconte des bêtises. Elle veut quoi, que les filles volent à balai en amazone aussi pendant qu’on y est ? Avoir un balai entre les jambes, des coudières ou un plastron en cuir ne retire ni élégance ni dignité à ceux qui en ont naturellement, comme toi. Mon cousin Maximilien a ce même charisme, et j’en connais plein d’autres du genre. Allez tu me fais marcher, tu ne peux pas être si mauvaise en vol ? A part si tu as le vertige, sinon tu n’as aucune excuse. Je pourrais te proposer une leçon particulière à l’occasion. Mais un jour où j’aurais moins bu, là ça serait trop dangereux. Qui sait, un cognard pourrait même assommer ta mère par accident ! Ca serait bête n’est-ce pas ?
Et le voilà qui rit grassement à sa blague qui tient tant de la beaufferie qu’à l’alcool qu’il a dans le sang. Il va falloir aller se coucher jeune homme.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: [abandonné] Butterbeer - Cataleya
Dim 25 Fév 2024 - 4:19
Le nez se plisse lorsque le vol en amazone est abordé mais la moue le prend aussitôt en chasse, presque désolée par l’idée que Marius puisse voir en elle une élégance innée. Sa grâce, elle l’avait bâtie sur la danse classique. Sur des heures passées à copier les Grandes de ce monde, calquant ses gestes sur les leurs en priant d'y trouver un semblant de noblesse. Le compliment faisant tout de même son chemin sur son cœur, la Blackthorn s’essaye à un sourire et se penche sur le français pour induire un peu d’intimité. Si c’est une singulière étincelle qui niche sous les vagues de son regard, c’est d’un index posé sur la joue de Marius qu’elle l’invite à regarder en direction des grymms tenus plus loin. Tous ou presque, des joueurs de quidditch.
-“ Si tu demandes à Pajares, il te dira que je suis un véritable danger. ” Murmure t’elle, tout juste penchée sur l’oreille du wright. “ Mais James, mon fiancé, te dira que je ne suis pas mauvaise ; Juste en conflit permanent avec mon balais. ” Cette simple évocation suffit à chasser ce qui minait plus tôt le visage de la Blackthorn puisque, foncièrement amoureuse, Cataleya irradiait toujours au contact de ce nom sur ses lèvres. “ Mais pour être pleinement honnête, une fois j'ai tant pris peur que mon balais s'est enflammé sans que je n'ai à dire mot. J'étais peut être à trois mètres du sol, et le cri que j'ai poussé a été entendu à l'autre bout du domaine. C'était un peu ridicule. ”
Elle avait surtout tordu les mains de James en hurlant qu'elle allait tomber, tremblant sur son bout de bois brûlant, les yeux fermés. Les rares cours de vol qu'elle lui avait demandés n'avaient jamais été très glorieux, soyons honnête, et toute les fois où elle était parvenue à se hisser derrière lui s'était fait paupière close. Les griffes fermement accrochés à lui en dépit des doux mots qui s'évertuait à caresser ses neurones effrayés. Nop. Sa carrière de batteuse était à mille lieu d'exister. Le bras se délie pourtant a l'évocation du cognard menacant sa mère, et si la main se pose avec fermeté sur le crâne du Bonnamy, le geste est exempt d'agressivité. Il s'essaye surtout a un etrange mais bref tapotement. “Tu es ivre, Marius.” Le patpat est approximatif, Cataleya n'étant clairement pas la plus douée en matière de relation humaine. “Et ne parlons pas de malheur. ”
-“ Si tu demandes à Pajares, il te dira que je suis un véritable danger. ” Murmure t’elle, tout juste penchée sur l’oreille du wright. “ Mais James, mon fiancé, te dira que je ne suis pas mauvaise ; Juste en conflit permanent avec mon balais. ” Cette simple évocation suffit à chasser ce qui minait plus tôt le visage de la Blackthorn puisque, foncièrement amoureuse, Cataleya irradiait toujours au contact de ce nom sur ses lèvres. “ Mais pour être pleinement honnête, une fois j'ai tant pris peur que mon balais s'est enflammé sans que je n'ai à dire mot. J'étais peut être à trois mètres du sol, et le cri que j'ai poussé a été entendu à l'autre bout du domaine. C'était un peu ridicule. ”
Elle avait surtout tordu les mains de James en hurlant qu'elle allait tomber, tremblant sur son bout de bois brûlant, les yeux fermés. Les rares cours de vol qu'elle lui avait demandés n'avaient jamais été très glorieux, soyons honnête, et toute les fois où elle était parvenue à se hisser derrière lui s'était fait paupière close. Les griffes fermement accrochés à lui en dépit des doux mots qui s'évertuait à caresser ses neurones effrayés. Nop. Sa carrière de batteuse était à mille lieu d'exister. Le bras se délie pourtant a l'évocation du cognard menacant sa mère, et si la main se pose avec fermeté sur le crâne du Bonnamy, le geste est exempt d'agressivité. Il s'essaye surtout a un etrange mais bref tapotement. “Tu es ivre, Marius.” Le patpat est approximatif, Cataleya n'étant clairement pas la plus douée en matière de relation humaine. “Et ne parlons pas de malheur. ”