- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Break my heart - Miguel
Mar 20 Déc 2022 - 0:15
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
— Break my heart —
Ft [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
— Break my heart —
Ft [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Soulignant inlassablement son œil de chat du bout de son eyeliner noir, Cataleya gardait pourtant les iris plantés là, intenses, dans un coin de son miroir. Elle y guettait depuis une quinzaine de minute déjà chacun des sursauts anxieux qu'elle pourrait lire sur le visage de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , et prenait le temps de révulser parfois la tête en arrière pour lui accorder de doux sourire. Il est blême pourtant, et elle infiniment trop calme. Trois jours, voilà trois jours que cette bombe avait éclaté sur leur quotidien et habitudes, si sournoise qu'elle avait coupé le souffle de la rousse et étranglé ses pires colère lorsque, prise entre le regard dévasté de son cousin, elle avait saisit la nécessité de le rassurer corps et âme. Pas un cris donc, pas même une errance nocturne une rentré, non. Cataleya avait gardé son sang froid, comme à chaque fois que quelque chose dérapait à St Marie. Qu'une situation de crise éclatait sous ses doigts trop blancs et qu'elle devait composer avec, pire, réparer les situations les plus désespéré. Et Morgane seule savait comment elle était parvenu à discipliner des colères pourtant légendaire, contenir l'horreur et ses insécurités savamment couché là, dans l'enceinte du manoir. Rien ne l'avait trahit, si bien qu'à part Wyatt sans doute, tous demeurait exclus de cette confidence qui l'ébranlait pourtant chaque jour un peu plus.
Jamais elle n'avait envoyé autant de message à Wyatt et ce, pour tenter de comprendre la situation, mettre des mots sur le pourquoi et comment son homme avait-il pu se laisser séduire par un autre, moldu qui plus est, et pourtant, c'était avec la douceur des étoiles qu'elle l'avait veillé trois jours durant, plus soucieuse qu'il ne tente de commettre l'irréparable que centrée sur le désastre venu croître en elle, soyons honnête. Son animagus même s'en était fait presque docile, tenu là, sage et infiniment droit devant la porte de James, comme pour veiller un corps qu'il devinait pas même assoupit. Si le chaos habituel s'était éteint devant une urgence gravé au fer rouge dans l'inconscient, c'était infiniment réactif qu'il se redressait à chacun de des gestes du blond, comme conscient des risques d'empoisonnement volontaire qui pesaient sur le silence nocturne. Bien loin du chaos habituel donc, et pourtant infiniment plus nerveux car jamais il avait tant rodé autour des chambres de sa fratrie, devenu presque frénétique tant le besoin de contrôle et de s'assurer que tout le monde allait bien lui tirailler les tripes.
« Juliet ne va pas tarder à rentrer, tu pourrais tenter de lui proposer une activité, ça lui ferait du bien. Et à toi aussi. » Ose t'elle lyrique, avant de pincer son mouchoir entre ses lèvres pour taire tout débordement de son rouge à lèvre carmin « J'ai fais porter des macarons et j'ai dit à Eliott que s'il osait y toucher, je lui brisais les doigts. Avec un peu de chance il n'en a pris qu'un ou deux donc... Je te conseille de t'en saisir au plus vite. Sur ce, amusez vous bien. » Le sourire rayonne, le baisé se fait tendre sur sa joue, mais il ne fait aucun doute que quelque chose dissone, là, dans ce trop parfait tableau. Cataleya à cet air trop sage, faussement solaire, celui qu'elle arbore inlassablement lorsque viennent invités et famille et que la main maternelle la condamne à socialiser le plus joliment du monde.
Et elle le perd pourtant subitement, cet air de nymphe, à peine la porte d'entrée franchit. Ses doigts glissent nerveusement sur l'écran de son portable, s'assure que sa cousine viendra véritablement tenir compagnie au blond, au point d'y mettre les formes, les politesses, et presque se courber devant ses demandes lorsque celle-ci heurtent brutalement son égo. Tout ce que tu veux, mais ramène ton cul. Elle hésite pourtant encore, Cat, jette un ultime regard à la porte d'entrée, pourrait à dire vrai la repousser et courir jusqu'à James pour lui assurait qu'elle revenait, mais son regard usé tombe inlassablement devant l'écran de son portable, avant de transplaner devant la taverne du troll. Tout irait pour le mieux.Elle hésite encore un peu, Cat, parce qu'elle sa décision un peu impulsive, mais c'est le plus sagement du monde qu'elle se laisse couler contre la porte de Miguel avant d'enfin daigner lui proposer une soirée tranquille, sans pression, là. Le dos déjà collé à sa porte quoique incapable de frapper.
Elle connaît la réputation de Miguel, sait la soirée bien avancée, ignore même s'il est seulement là, alors, durant de longue minute, elle noue sa chevelure autour de sa baguette dorée, joliment torsadée autour d'un crin de licorne. Pendant de longue minutes, elle chasse l'idée même de cette tromperie qui la ronge autant qu'elle lui crève le cœur et, préfère réajuster les perles qui ornent sa gorge pour tromper le mal, retirer la veste duveteuse qui gâchait son décolleté dorsal pour y enfouir son visage en attendant une réponse, un signe du Grymm qui la précipiterait dans son entre.
Elle ne voulait pas se faire seule, surtout pas, et pour la première fois en trois jours elle osait enfin craquer un peu, quoi qu'aucune larme ne parvenaient à couler. Triste héritage de Claudia et de sa haine pour les chouineuses. Ce n'est pas l'envie qui manque, pourtant, tout son corps brûle, se consument, mais ni les sanglots, ni même les perles de sels associé à l'infinie tristesse qu'elle ressentit à cet instant précis n'osèrent choir sur son visage trop fier. Trop monstrueuse pour pleurer, l'exécrable garce Blackthorn.
Le portable vibre soudainement et, la voix se fait plus instinctive qu'une réponses épistolaire. « Il est hors de question que je rentre si tu n'es pas habillé, je tiens à préserver l'usage de mes yeux ! » Jeta Cat sans pour autant daigner se redresser, le visage encore un peu enfouit dans sa veste, tout juste rougit, mais pas assez pour mettre en péril un maquillage soigné. « Et enfiler une serviette ne compte pas comme un habit, je te préviens. » Les mains doucement resserré autour de son portable, Cataleya ne pu pourtant réprimer le sourire que lui offrait cet ultime message laissé par le numéro de Miguel, essuyant prudemment la larme qui tentait désespérément de déborder au coin de ses yeux comme pour sauvegarder son mascara. Une inspiration toute contrôlée au bout des lèvres et la tête appuyée contre cette porte désespérément close. Pour un peu elle aurait tout de même osé l'entrouvrir, se glisser à la manière d'un chat dans l'antre du Madrilène, mais force était de constater qu'elle pesait encore le pour et le contre de cette soirée maladroitement improvisé.
Au moins était-il là ; Elle n'aurait pas à veiller des heures durant sur le pas de sa porte et, s'il tardait à ouvrir, c'est tout doucement que la rousse se redressa, un éclat un peu plus assurée au bout des cils. Un peu plus décidé, aussi. La porte grince un peu, et c'est pourtant l'éther au bout des doigts que l'héritière Blackthorn l'entrouvre à peine pour se glisser dans l'interstice, à l'abri du froid. Petit chat sauvage, elle progresse à pas feutré, examine longuement l'appartement, prenant vraisemblablement soin de ne rien effleurer, comme si tout autour d'elle aurait pu la bruler et, finalement, c'est d'un mouvement las qu'elle se laisse choir sur le lit du madrilène, sans le grandiose qui la caractérisait tant. Elle était tout bonnement épuisée, aux frontière de la mort , et n'avait aucunement le luxe de jouer de grand jeté dramatique, une main abattu sur son front pour marqué plus encore son désarroi. Non. C'est à dire vrai tout l'inverse qu'elle réalise, se recroquevillant presque sur ces draps, son dos nu exposé à la porte.
« Il faudra qu'on sorte chercher à manger, aussi. Je m'auto-digère. » Souffla t'elle sans daigner tourner la tête lorsque l'odeur du gel douche rouvrit doucement ses paupières close. La tête se redresse un peu pour observer le brun, mais retombe mollement. Sa dette de sommeil crevait le plafond en dépit des charmes destiner à masquer ses cernes, et son ventre tentait une forme complexe de communication tout les huit secondes. A n'en pas douter, elle avait également oublié le repas du midi, trop occupé -quasis obsédé à dire vrai- par sa décoration de noel. Elle s'en était rongé les ongles jusqu'au sang - chose qu'elle ne faisait plus depuis son enfance- et avait éclaté d'un rire nerveux lorsque sa tante, profondément soucieuse de son bien être, lui avait murmuré qu'elle ne tiendrait pas à ce rythme là.
C'était faux. Elle tenait toujours bon Cat. Au manoir du moins. « Et il faudra me porter sur ton dos musclé, parce que je n'ai plus aucune force dans les jambes... »
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Jeu 22 Déc 2022 - 10:59
Vingt et une heure, l'heure parfaite pour aller prendre une douche avant de sortir boire un verre avec l'équipe de Grymm. Leur début de saison était impeccable et ils avaient bien le droit de profiter de la trêve hivernale en buvant quelques rhums arrangés à la taverne du Troll. Morrisson avait préparé quelques bouteilles cet été et il les réservait pour ses clients préférés. Son voisin du dessus en faisait évidemment partie.
L'eau chaude à envahit la toute petite salle de bain, l'odeur citronnée de son shampoing aussi. Ses boucles encore humides trainent sur son front et tandis qu'il se brosse les dents avec vigueur, son téléphone s'allume à de multiples reprises, indiquant des messages. Un geste distrait, il constate que tous viennent de Cataleya ce qui lui arrache un sourire narquois. Elle qui avait hurlé au monde entier que jamais, jamais elle ne détiendrait ces produits du diable confectionnés par les moldus...
Quelques mots pianotés pour lui répondre avec une touche de provocation signée Pajares et la voix de la rouquine retentit à quelques murs de lui. Là, il se marre franchement. Elle est déjà là, visiblement persuadée qu'il n'avait rien de mieux à faire que de la receuillir. Et évidemment... Elle avait raison.
- Tu sais pas ce que tu perds ! Entre, j'vais m'habiller.
Il abandonne sur l'évier le jeans et le sweat qu'il avait prévu de mettre et sort de la salle de bain à moitié à poil, à moitié mouillé pour se rendre dans la pièce qui lui sert de dr... foutoir et enfiler un jogging qui avait visiblement fait son temps. Il n'a pas le temps d'enfiler un tee-shirt que la Blackthorn entre dans sa chambre et il l'entend se laisser choir sur le lit qu'il avait vaguement refait à la hâte, exigeant pitance.
- Je savais qu'un jour tu finirais dans mon lit.
Qu'il ricane en guise de salutation. Elle l'observe du coin de l'oeil une seconde. Comme toujours, elle est impeccablement habillée, maquillée... Il a même senti son parfum avant d'entrer dans la chambre. La porter c'était pas un problème, mais y'avait vraiment un mystère à résoudre avant :
- C'est dans cette tenue que t'envisages une soirée chill toi ? Ou c'est au cas où le Ministre de la Magie débarquerait dans mon salon à l'improviste ?
L'eau chaude à envahit la toute petite salle de bain, l'odeur citronnée de son shampoing aussi. Ses boucles encore humides trainent sur son front et tandis qu'il se brosse les dents avec vigueur, son téléphone s'allume à de multiples reprises, indiquant des messages. Un geste distrait, il constate que tous viennent de Cataleya ce qui lui arrache un sourire narquois. Elle qui avait hurlé au monde entier que jamais, jamais elle ne détiendrait ces produits du diable confectionnés par les moldus...
Quelques mots pianotés pour lui répondre avec une touche de provocation signée Pajares et la voix de la rouquine retentit à quelques murs de lui. Là, il se marre franchement. Elle est déjà là, visiblement persuadée qu'il n'avait rien de mieux à faire que de la receuillir. Et évidemment... Elle avait raison.
- Tu sais pas ce que tu perds ! Entre, j'vais m'habiller.
Il abandonne sur l'évier le jeans et le sweat qu'il avait prévu de mettre et sort de la salle de bain à moitié à poil, à moitié mouillé pour se rendre dans la pièce qui lui sert de dr... foutoir et enfiler un jogging qui avait visiblement fait son temps. Il n'a pas le temps d'enfiler un tee-shirt que la Blackthorn entre dans sa chambre et il l'entend se laisser choir sur le lit qu'il avait vaguement refait à la hâte, exigeant pitance.
- Je savais qu'un jour tu finirais dans mon lit.
Qu'il ricane en guise de salutation. Elle l'observe du coin de l'oeil une seconde. Comme toujours, elle est impeccablement habillée, maquillée... Il a même senti son parfum avant d'entrer dans la chambre. La porter c'était pas un problème, mais y'avait vraiment un mystère à résoudre avant :
- C'est dans cette tenue que t'envisages une soirée chill toi ? Ou c'est au cas où le Ministre de la Magie débarquerait dans mon salon à l'improviste ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Jeu 22 Déc 2022 - 12:23
« Je savais qu'un jour tu finirais dans mon lit. »
Un vague soupire pour toute réponse, Cataleya ne souffle mot. Presque désespéré d'avoir effectivement finit par échouer ici. Elle sentait déjà le parfum du jugement la prendre au nez, et s'il ne venait pas d'elle, il viendrait à coup sûr de toute les personnes ayant un jour côtoyé Miguel ou Cataleya. Autant dire beaucoup de personne. Alors, si elle redresse à peine la tête, celle-ci retombe presque aussitôt lorsqu'elle remarque l'absence de T-shirt, mais ne se décide à faire acte de survie qu'aux derniers mots du madrilène. Il n'avait pas totalement tord, elle détonnait terriblement dans cet environnement où ses fars et robes trop serré n'avait aucune raison d'être, mais pouvait-elle seulement avouer que ces attributs constituaient sa maigre armure pour affronter la soirée ? Un maigre rempart pour taire les palpitations furieuses et anxieuse de son cœur malmené ? Elle n'était pas certaine qu'il étrangle ses éclats de rire devant le fait qu'elle s'était sentit clairement plus assurée dans pareille tenue alors, le plus souplement du monde, Cataleya se redressa pour s'asseoir au bord du lit, dénouant d'un geste simple sa chevelure en une cascade de feu venu couvrir une grande partie de son dos. « Qui te dis que je n'ai pas convié le ministre ? » Souffle t'elle finalement, jouant un peu avec sa baguette pour occuper des mains qu'elle sent nerveuses. Le sourire est doux quoi qu'un peu fatigué, mais le sourcil s'arque significativement lorsqu'elle se décide à pointer l'index sur le Grymm. « Mais si je suis trop habillée, il en fait aucun doute que toi pas assez. » Pas que la vue lui déplaisait mais elle se faisait presque indécente et, s'il ne fait aucun doute que Cataleya s'y attarda un peu trop sans doute, c'est presque par pudeur qu'elle finit par baisser les yeux en nouant un chignon tenu par sa baguette de saule doré. « En toute honnêteté, je me suis habillée en pensant que tu serais avec ton équipe, je n'ai choisis le thème qu'à l'instant, en réalisant que je n'avais clairement pas le cœur à voir des gens. » C'était ce sentiment d’asphyxie qui l'avait arraché au manoir, qui avait lourdement retenue ses doigts lorsqu'elle s'était acharnée à rédiger le même message destiné à Wyatt en vain. Il se faisait donc d'autant plus étonnant que c'était ici qu'elle ait décidé de choir, et ce simple constat la troublait plus encore. Et elle se sentit incroyablement stupide, Cataleya, presque autant qu'elle était perdue.
Doucement pourtant, son regard se redressa et accrocha celui du madrilène pour s'y nicher au plus profond et, si le silence pesa enfin sur ses lèvres, le corps se redressa dans un bruissement à peine perceptible. Elle hésite, clairement, comme à chaque fois qu'elle se rapprochait de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et stoppait brutalement sa marche, les bras a peine avancé comme pour pour lui faire comprendre son intention, mais tellement brouillonne dans ses envies qu'il lui fallait formuler son désir d'être prise dans ses bras après des secondes aussi longue qu'étrange. Heureusement pour son ego, ce n'était arrivé que deux fois après la fameuse nuit dans la forêt, et elle lui avait répété inlassablement depuis que s'il ébruitait ça, elle le boufferait la prochaine fois qu'ils travailleraient sur son animagus. Elle plaiderait la folie et se ferait acquitté par sa mère.
Cette fois pourtant, l'approche est un poil plus souple, presque aisé aux yeux de la rousse quoi qu'ultra étrange d'un point de vue extérieur, et c'est sans grande cérémonie qu'elle finit par passer ses bras autour du brun pour se nicher au plus près. Mouais. Le câlin était encore plus bizarre contre une surface nue mais, tant pis. Elle en avait désespérément besoin. « Pose pas de question et serre moi. » Murmura t'elle à peine, comme pour éviter de subir une discussion larmoyante où elle devrait expliquer point par point tout ce qui s'écroulait autour d'elle. Et si le contact fut au final beaucoup plus bref que ce dont elle avait réellement besoin, c'est avec fermeté qu'elle finit par s'extraire de la prise, secouant presque la tête. « Non, c'est définitivement trop bizarre. J'ignore qui est le sadique qui a créé ça mais.. Non. Désolée de t' avoir infligé ça Mig. » Elle tapote presque son torse comme pour mettre fin à l'échange mais se laisse surprendre par un sourire presque narquois. « Et va mettre un T-shirt avant que je ne me fasse agresser par tes groupies jalouse. »
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Lun 26 Déc 2022 - 15:45
Elle à l'air las, la Blackthorn. Pas blasée comme elle peut l'être chaque jour de sa vie. Pas hautaine comme ces regards qu'elle lui offrait sans compter lors des premières semaines à la cotoyer. Mais las. Fatiguée. Epuisée. Il avait remarqué depuis bien longtemps les kilos perdus et les cernes qu'elle dissimulait tant de bien que de mal. Mais elle avait toujours son regard de dragonne prête à le bouffer à la moindre incartade. Elle ne l'avait pas ce soir. Il n'avait pas fallut une seconde à Miguel pour le remarquer.
Pourtant, et comme chacun de ces jours cités supra, il la trouve belle. Si belle alors qu'elle se redresse et dénoue ses cheveux de feu. Il ne se rend même pas compte que sa baguette d'aubépine n'est plus, ne voit que sa peau diaphane et ses yeux azurés. Si belle dans cette robe complétement inaproprié pour le genre de soirée qu'elle avait réclamé. Même pour une soirée à la Taverne avec l'équipe des Grymm qu'elle excecrait pour la plus part, c'était bien trop habillé.
Il rit, pourtant, alors qu'elle prétend que lui n'est pas assez habillé. Il n'a jamais été mal à l'aise avec son corps, sa nudité. Pas plus qu'avec celle des autres d'ailleurs. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] lui avait déjà piqué ses fringues dans leur vestiaires... ça ne l'avait aps empêché de traverser le château à poil pour la retrouver à son cours sur les médias magiques et les réclamer, ravissant les prunelles de bien des étudiantes et peut être même de certains étudiants.
- On fait un deal, je mets un tee-shirt et tu enlèves ta robe.
Il continue de la taquiner, c'est plus fort que lui. En réalité, il se rend bien compte que quelque-chose ne tourne pas bien rond pour que la rouquine s'échoue ici mais il est bien plus fort pour lui arracher un sourire que pour forcer une thérapie dont elle ne voudrait pour rien au monde.
Elle se lève et tend ses bras. Un instant, il craint qu'elle ne les laisse retomber et se refuse cette etreinte dont elle semblait avoir desespérément besoin. Le syndrome du preux chevalier sonne, sirènes hurlantes, et Miguel franchit le mètres qui les sépare puis l'acceuille contre son coeur qui, peut être, s'accèlère un peu. Il ne pose pas de question et ses bras basanés entourent le corps frêle de l'épine noire. Sa joue vient se poser sur les mèches rousse, son nez vient s'embrumer de son odeur.
L'instant est évidemment trop court et infiniment trop chaste pour le madrilène. Et alors qu'elle s'extirpe, les quelques mots qu'elle prononce le font rire de bon coeur. Lui, il avait trouvé ça agréable mais bien sûr il est trop fier pour le dire.
- C'est pas grave, je saurais réclamer de quoi te faire pardonner.
Le sourire narquois qu'elle arbore lui donne une moue malicieuse qui arrache un nouveau sourire à l'espagnol. Des groupies, il en avait plusieurs. Mais rarement avait il été aussi ravi qu'une fille soit dans sa chambre. Il la laisse seule un instant et revient avec deux tee-shirt. Un qu'il enfile et l'autre qu'il lui lance en disant.
- Met ça plutôt. Je te promets qu'il est beaucoup trop grand pour moi. Puis j'ai pas envie que tu foutes pleins de paillettes dans mes draps.
Dit ils en jaugeant de nouveau la robe de gala de la Lukfin. Mieux vêtu, il ouvre finalement l'armoire qui fait face à son lit pour que se présente une télévision, tout ce qu'il y a de plus moldu.
- Tu connais spotify ?
Pourtant, et comme chacun de ces jours cités supra, il la trouve belle. Si belle alors qu'elle se redresse et dénoue ses cheveux de feu. Il ne se rend même pas compte que sa baguette d'aubépine n'est plus, ne voit que sa peau diaphane et ses yeux azurés. Si belle dans cette robe complétement inaproprié pour le genre de soirée qu'elle avait réclamé. Même pour une soirée à la Taverne avec l'équipe des Grymm qu'elle excecrait pour la plus part, c'était bien trop habillé.
Il rit, pourtant, alors qu'elle prétend que lui n'est pas assez habillé. Il n'a jamais été mal à l'aise avec son corps, sa nudité. Pas plus qu'avec celle des autres d'ailleurs. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] lui avait déjà piqué ses fringues dans leur vestiaires... ça ne l'avait aps empêché de traverser le château à poil pour la retrouver à son cours sur les médias magiques et les réclamer, ravissant les prunelles de bien des étudiantes et peut être même de certains étudiants.
- On fait un deal, je mets un tee-shirt et tu enlèves ta robe.
Il continue de la taquiner, c'est plus fort que lui. En réalité, il se rend bien compte que quelque-chose ne tourne pas bien rond pour que la rouquine s'échoue ici mais il est bien plus fort pour lui arracher un sourire que pour forcer une thérapie dont elle ne voudrait pour rien au monde.
Elle se lève et tend ses bras. Un instant, il craint qu'elle ne les laisse retomber et se refuse cette etreinte dont elle semblait avoir desespérément besoin. Le syndrome du preux chevalier sonne, sirènes hurlantes, et Miguel franchit le mètres qui les sépare puis l'acceuille contre son coeur qui, peut être, s'accèlère un peu. Il ne pose pas de question et ses bras basanés entourent le corps frêle de l'épine noire. Sa joue vient se poser sur les mèches rousse, son nez vient s'embrumer de son odeur.
L'instant est évidemment trop court et infiniment trop chaste pour le madrilène. Et alors qu'elle s'extirpe, les quelques mots qu'elle prononce le font rire de bon coeur. Lui, il avait trouvé ça agréable mais bien sûr il est trop fier pour le dire.
- C'est pas grave, je saurais réclamer de quoi te faire pardonner.
Le sourire narquois qu'elle arbore lui donne une moue malicieuse qui arrache un nouveau sourire à l'espagnol. Des groupies, il en avait plusieurs. Mais rarement avait il été aussi ravi qu'une fille soit dans sa chambre. Il la laisse seule un instant et revient avec deux tee-shirt. Un qu'il enfile et l'autre qu'il lui lance en disant.
- Met ça plutôt. Je te promets qu'il est beaucoup trop grand pour moi. Puis j'ai pas envie que tu foutes pleins de paillettes dans mes draps.
Dit ils en jaugeant de nouveau la robe de gala de la Lukfin. Mieux vêtu, il ouvre finalement l'armoire qui fait face à son lit pour que se présente une télévision, tout ce qu'il y a de plus moldu.
- Tu connais spotify ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Lun 26 Déc 2022 - 18:35
« Met ça plutôt »
Les mains nouée autour d'un T-shirt maladroitement rattrapé, Cataleya ne dit mot, quoi que son corps trahit en tout sens le fil de sa pensée. La pupille se fige un peu, les sourcils se froncent à peine, comme à chaque fois qu'elle vient à jauger une situation et, comme à chaque fois qu'elle juge ne serait-ce qu'un peu, le nez se plisse. Discret, quoique profondément perturbé par l'idée même de se changer. Plus encore ici, chez Miguel. Etait-ce là le seul moyen trouvé pour la défaire de sa robe ? Elle n'avait pourtant pas accepté son deal. Les sourcils se fronce plus encore avant de doucement se révulser, courbé par la situation et une analyse plus que brève : Il ne fait aucun doute que sa robe -aussi superbe soit-elle- l'étrangle autant qu'elle la rigidifie, et ces deux mots entre en totale contradiction avec l'idée même d'une soirée détente. Elle peine le plus sincèrement du monde à se mouvoir et ne tient la grâce de ses gestes qu'à la force de ses entraînement tant ce genre de robe aux coupes étriquées l'avait bercé toute son enfance. Au point de parfois même en oublier l'amplitude naturelle de ses mouvements. Elle connaissait l'écart exact toléré par le tissus pour ne pas ressembler à un robot oublié quinze jour sous la pluie battante et le respectait au millimètre près. Alors, prise entre l'hésitation et des mots qui s’égrainent comme pour la rassurer, Cataleya se laisse surprendre par la discrète sonorité de cet écran tenu plus loin lorsque celui-ci s'allume. Plus encore par la question du madrilène qui, cette fois, lui arrache un véritable sursaut et un regard à en crever le cœur tant Cataleya semblait sur la fuite.« Je jure que si ça sort d'ici, je met le feu à ton visage Miguel... » Le ton n'est ni impérieux, ni emprunt de son dramatisme légendaire. Non. Il transpire d'une anxiété toute singulière et, c'est peut être même une note de détresse à peine osée qui souffle sur la régularité de la phrase. La voix a vacillé, là, sur son prénom, et ni le regard, ni les mains relâchent leur emprise sur le T-shirt aux couleurs des grymm qu'elle malmènerait presque si la tétanie n'avait pas enveloppé ses doigts trop blancs. Le pied de décale pourtant, comme pour amorcer un départ et, si c'est une ultime seconde qui cristallise ses dernières hésitations, c'est presque malgré elle qu'elle finit par ramener le t-shirt contre sa poitrine et se faufile à pas de velours jusqu'à la salle de bain, s'enfermant à double tour. A peine rassuré par l'air humide et les effluves de shampoing qui l'enveloppe sans mal aucun, détournant irrépressiblement son regard en direction d'une douche qui plaque sur l'imaginaire des images dont elle ne veut pas. Il suffit.
Que grand papi la pardonne pour ce qui s'annonçait comme un point de non retour, et que les étoiles ne la jugent pas plus que nécessaire ; elle s'auto-flagellaient déjà assez pour avoir choisit de nicher ici plutôt que fuir en pleine forêt trois jours durant, folle et sauvage, seulement nourrit d'écureuil dont les mouvements trop rapides excitaient inlassablement la mâchoire de son animagus. Si James apprenait sa destination du soir, alors il ne faisait aucun doute qu'il commencerait à distiller les belladones qui poussaient dans le jardin. Son comportement étaient tant alarmant que Cataleya avait longuement hésité avant de se défaire de l'emprise du manoir, de son emprise à lui, et ne l'avait fait qu’une fois tant acculée par la douleur, la fatigue, la tristesse que l'air lui avait semblé irrespirable. L'imaginaire était fertile et, à chaque fois qu'elle venait à fermer un peu les yeux, d'odieuses images se glissait sous ses paupières ; Voilà donc pourquoi James Quartus Blackthorn ne voulait pas d'elle. Alors, lorsque le chaos se fit trop grand pour ses maigres épaules, Cataleya délégua, incapable de naviguer seule. Et Circée ! Qu'elle s'en voulait de confier la surveillance de James, plus encore à Juliet, car la rousse refusait de laisser la dernière de la fratrie revivre le genre de chaos qu'avait agité l'état de Kiran. C'était son rôle à elle de gérer ce genre de chose, de redresser le dos lorsque l'empire Blackthorn vacillait et pourtant, elle les avait abandonnée. Trop faible pour encaisser les fissures qui s'élargissait chaque matin dans son petit monde parfaitement cadré, tenu en place. Trop faible pour affronter la réalité. Elle avait fuit, tout bonnement, pas assez forte pour redresser la barre avant le naufrage.
« Il suffit Quarta, ressaisit toi bon sang. »
La gifle claque avec fermeté, comme pour chasser la culpabilité venu se nouer au fond de sa gorge et, d'un mouvement souple, la robe tombe au profit d'un t-shirt dans lequel elle flotte littéralement, dénudant l'une de ses épaules dans une posture un peu asymétrique. Le tissus s'arrête à mi-cuisse, trahissant ouvertement ses dernières scarifications et un morceau de l'immonde balafre venu courir sur sa cuisse droite mais, au moins, couvre t'il le plus gros du désastre. Et ce simple fait, en dépit de l'obstination de la rousse à tirer encore un peu dessus pour tenter de gratter les quelques centimètres manquant, semble alléger un peu toute les appréhensions qui la dévorait vis à vis du regard de Miguel et d'un corps nu de tout ses plus beaux apparats. Wyatt l'avait mille fois vu en culotte ou sein nu, mais de la même manière qui poussait la blackthorn a taire ses cicatrices devant le regard pourtant acéré de James, Cataleya refusait que Miguel puisse entrevoir les fissures de la si parfaite poupée de Claudia. Cataleya n'avait de la princesse que les robes et la préciosité, ce qui se cachait dessous était aussi exécrable que laid. Immonde en tout point Tout le monde l'avait deviné, alors pourquoi Miguel s'acharnait-il à rester ? Ses allures de chevalier blanc le perdrait, assurément. La rousse prend tout de même le temps de se démaquiller, plus pour s’apaiser au cœur d'un geste répétitif et réconfortant que par réel souci d'esthétisme. Ne pas céder à la tentation de contempler une à une les cicatrices laissés sur l'épiderme lui était nécessaire, sans quoi elle s'effondrerait, elle le savait. Respire Cat.
Et pourtant, son regard n'arrive pas à se défaire du triste reflet que lui renvoie la salle d'eau, des prémisses de cette balafre à l'aspect filandreux et étranges qui peine à se refermer.
Émergeant sans un mot de la salle de bain, des bébé mèches feu et nacre bouclé par l'humidité ambiante, Cataleya se faufile à la manière d'une ombre jusqu'à la chambre pour souplement retrouver son point de départ. Sagement assise en tailleur au coin du lit, le plus loin de Miguel et d'une interface dont elle reconnaissait vaguement les contours. Wyatt l'utilisait. Ou alors c'était l'un de ses amis ? Spotify, donc. Au nom, elle aurait plutôt imaginé une série moldue un peu nulle à base de science fiction.
« -Qu'est-ce que tu veux écouter ? » Osa t'elle doucement, ne reconnaissant ni les artistes, ni les titres que lui proposait le site. « Et hormis quelques classiques du rock, je ne saurais pas être très inspirée en matière de musique moldue... Je ne suis pas même sûre de me rappeler des groupes que j'écoutais.» C'est pourtant mue d'un effort certain qu'elle fouille son esprit en quête de ces instants volé, à poudlard, où elle se faufilait loin de la surveillance de ses aînés pour écouter Cillian jouer. Le regard se clos un instant, retrace le cours de leurs sourires, des baisés volés et interdit, avant de s'ouvrir sur une étincelle certaine. « AC/DC. Highway to hell. Je crois que c'est l'air qui me travaille !. » Sans doute parce que c'était cette mélodie qui avait servit au brun pour introduire son aimée à la guitare, elle qui haïssait la flûte traversière et la plupart des instruments devant lesquels on voulait la soumettre.
Une moue un peu contrit par la brume posé sur ses souvenirs et l'incapacité de proposer quoi que ce soit d'autre sur l'instant, c'est féline qu'elle se rapproche de Miguel à quatre patte pour finalement s'asseoir un peu plus près. « Mais je ne suis pas contre découvrir de nouvelle chose ! S'ils savent me séduire, je consent à découvrir de nouveaux horizons. » Taquine t'elle doucement, tirant une dernière fois sur le t-shirt prêté avant de soudainement réaliser qu'elle aurait parfaitement pu garder ses collants, au final. Quelle conne.
Le soupire est las, mais le menton se pose délicatement sur l'épaule du madrilène, comme pour renouer avec un contact écourté mais rendu nécessaire par les derniers jours. C'était plus fort qu'elle ; Miguel la rassurait au travers de geste pourtant si anodin qu'elle se haïssait toujours d'y céder, mais sa manière de la ramener à lui, de caler son nez dans ses cheveux, de guider sa main lorsqu'elle tenait mal sa baguette, la confortait toujours à chaque fois qu'elle doutait. Les contacts étaient souvent bref, étonnamment chaste et retenus, les blagues infiniment nulle, mais le sourire se retrouvait toujours, même dans la nuit la plus obscure de l'année alors, le regard attentif, elle cherche à renouer avec lui. A sa façon du moins.
L'espace d'une seconde, elle fut presque tenté de reproduire l'expérience en se nichant de nouveau dans ses bras mais se ravisa, tournant tout juste le visage en direction du brun pour l'observer, un murmure au bout des lèvres. « Merci d'être là, Mig. J'ignore où j'aurai échoué si je ne t'avais pas. » Certainement en forêt. Ou dans une ruine. Loin de tout et terré si habilement que personne n'aurait pu l'en dénicher.
Plus douce qu'à l'accoutumée, elle reste un instant là, le regard perdu au plus profond de celui du madrilène, mais se laisse détourner par cette goute formé au coin de ses grands yeux bleu. Le regard se clos soudainement lorsque celle-ci tombe sur sa joue, mais le sourire se dessine intuitivement; réalisant sans mal le dramatisme qu'elle avait pu surjouer au contact de cette micro goute d'eau sur son épiderme.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Dim 1 Jan 2023 - 21:43
C'était certainement pas le moyen qu'il aurait adopté, s'il était seul décideur en la situation, mais c'était effectivement pour la défaire de cette robe étriqué qu'il lui avait lancé ce tee-shirt vert qu'il n'avait plus mit depuis des années. Faut dire que de manière général, il aimait que ses muscules se reflètent sous le tissu (eh, l'amour propre c'est important) et cela là était bien trop grand... Ou les muscles en question n'étaient pas assez gros. Ca dépendait sous quel angle on voyait les choses.
Il fait semble de l'ignorer et d'arranger (non, disons-le franchement, de ranger) sa chambre pendant qu'elle se décide. Pourtant, il la regarde du coin de l'oeil, en retapant un oreiller. Il sait qu'elle cherche une brèche, une excuse, n'importe quoi qui pourrait rendre le refus raisonnable.
« Je jure que si ça sort d'ici, je met le feu à ton visage Miguel... » Elle en serait pas capable. Pas de le sens où elle n'oserait pas mais dans le sens ou y'avait plus de chance qu'elle brûle ses boucles brunes ou n'importe quel objet autour vu ses dernières démonstrations de magie. Mais sachant le sujet sensible, il lui jette juste un sourire. En plus elle a le verbe anxieux et si il est trop cash, elle va encore prendre la fuite. C'est déjà miraculeux qu'elle accepte de se changer... Il rit même carrément alors qu'il entend le loquet -cassé- de sa salle de bain. A croire qu'elle avait peur de lui, des fois.
Il n'entend pas les mantra qui sonnent comme des impératifs pour la Blackthorn car il a quitté la chambre le temps de fouiller ses placards à la recherche de quelques trucs à grignoter. Finalement, il se motive à faire chauffer la préparation pour pop corn qui trainait dans un tiroir depuis... enfaite il en avait aucune espèce d'idée. Il était presque sûr que c'était Catalina qui lui avait ramené ça pour une soirée. Mais laquelle ? Il ajoute généreusement du sucre de canne et une odeur de caramel se répend doucement dans l'appartement.
La voix de la jeune femme finit par résonner dans la chambre et tandis qu'elle gamberge sur ce qu'ils peuvent écouter, il verse les pop-corn chaud dans un saladier qu'il ramène sous le bras. Il s'installe dos à la tête de lit, jambes tendues, tandis que la jeune femme s'invite également dans son lit. Elle parait plus frêle encore que d'habitude, ainsi vêtue. Il ne remarque même pas qu'elle s'est démaquillé, franchement insensible aux subterfuges féminins. Il la trouve aussi belle qu'il y a quelques secondes mais se retient de tout commentaire.
- Figure toi que y'a moyen de trouver aussi la musique magique sur spotify maintenant. Un crac né moldu qui a réussit à bidouiller le système. Y'a pas tout parce-que le référencement est archi long mais y'en a pas mal...
Il marque une pause le temps de pianoter sur la télécommande sans âge qu'il a la main.
- Mais on peut commencer par du AC/DC.
Les premières notes de cette musique épique alors que la rouquine pose son menton sur l'épaule du madrilène qui lutte pour ne pas tourner la tête. En temps normal, il aurait clairement prit ça pour une invitation. Exit le pop corn et la télécommande et go pour un baiser sulfureux. Mais il connait assez l'épine noire pour savoir que le moove serait pas le bon. Sauf s'il voulait qu'elle le morde. Ou qu'elle s'enfuit. Ou les deux. Les mots de la rousse lui fnot finalement tourner la tête de façon infiniment douce. Il a vraiment l'impression de bouger en slow-motion. La larme qui s'échappe des yeux céruléens de Cataleya ne lui échappe pas. Même si elle s'est enfui, il abandonne à ses draps la télécommande et vient faire le geste de l'effacer, son pouce contrastant sur la peau diaphane de miss Blackthorn.
- J'suis assez nul pour causer, mais si t'as besoin de parler... ben j'peux toujours écouter.
Il avait pas du tout envie de causer là, il avait envie de l'embrasser.
Il fait semble de l'ignorer et d'arranger (non, disons-le franchement, de ranger) sa chambre pendant qu'elle se décide. Pourtant, il la regarde du coin de l'oeil, en retapant un oreiller. Il sait qu'elle cherche une brèche, une excuse, n'importe quoi qui pourrait rendre le refus raisonnable.
« Je jure que si ça sort d'ici, je met le feu à ton visage Miguel... » Elle en serait pas capable. Pas de le sens où elle n'oserait pas mais dans le sens ou y'avait plus de chance qu'elle brûle ses boucles brunes ou n'importe quel objet autour vu ses dernières démonstrations de magie. Mais sachant le sujet sensible, il lui jette juste un sourire. En plus elle a le verbe anxieux et si il est trop cash, elle va encore prendre la fuite. C'est déjà miraculeux qu'elle accepte de se changer... Il rit même carrément alors qu'il entend le loquet -cassé- de sa salle de bain. A croire qu'elle avait peur de lui, des fois.
Il n'entend pas les mantra qui sonnent comme des impératifs pour la Blackthorn car il a quitté la chambre le temps de fouiller ses placards à la recherche de quelques trucs à grignoter. Finalement, il se motive à faire chauffer la préparation pour pop corn qui trainait dans un tiroir depuis... enfaite il en avait aucune espèce d'idée. Il était presque sûr que c'était Catalina qui lui avait ramené ça pour une soirée. Mais laquelle ? Il ajoute généreusement du sucre de canne et une odeur de caramel se répend doucement dans l'appartement.
La voix de la jeune femme finit par résonner dans la chambre et tandis qu'elle gamberge sur ce qu'ils peuvent écouter, il verse les pop-corn chaud dans un saladier qu'il ramène sous le bras. Il s'installe dos à la tête de lit, jambes tendues, tandis que la jeune femme s'invite également dans son lit. Elle parait plus frêle encore que d'habitude, ainsi vêtue. Il ne remarque même pas qu'elle s'est démaquillé, franchement insensible aux subterfuges féminins. Il la trouve aussi belle qu'il y a quelques secondes mais se retient de tout commentaire.
- Figure toi que y'a moyen de trouver aussi la musique magique sur spotify maintenant. Un crac né moldu qui a réussit à bidouiller le système. Y'a pas tout parce-que le référencement est archi long mais y'en a pas mal...
Il marque une pause le temps de pianoter sur la télécommande sans âge qu'il a la main.
- Mais on peut commencer par du AC/DC.
Les premières notes de cette musique épique alors que la rouquine pose son menton sur l'épaule du madrilène qui lutte pour ne pas tourner la tête. En temps normal, il aurait clairement prit ça pour une invitation. Exit le pop corn et la télécommande et go pour un baiser sulfureux. Mais il connait assez l'épine noire pour savoir que le moove serait pas le bon. Sauf s'il voulait qu'elle le morde. Ou qu'elle s'enfuit. Ou les deux. Les mots de la rousse lui fnot finalement tourner la tête de façon infiniment douce. Il a vraiment l'impression de bouger en slow-motion. La larme qui s'échappe des yeux céruléens de Cataleya ne lui échappe pas. Même si elle s'est enfui, il abandonne à ses draps la télécommande et vient faire le geste de l'effacer, son pouce contrastant sur la peau diaphane de miss Blackthorn.
- J'suis assez nul pour causer, mais si t'as besoin de parler... ben j'peux toujours écouter.
Il avait pas du tout envie de causer là, il avait envie de l'embrasser.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Lun 2 Jan 2023 - 1:25
Pleinement absorbée par un geste pourtant anodin, Cataleya se perd longuement dans le regard de Miguel. Se laisse charmer par une tendresse dont il la gratifie de plus en plus fréquemment. Comment pouvait-il se faire aussi con et merveilleux à la fois ? Si doux, parfait petit chevalier. Si patient, aussi. Cataleya avait pourtant nourrit le pari muet qu'elle le rendrait fou en six mois, qu'elle le précipiterait sans mal dans une effusion de cri et frustration dont elle aurait aimé se délecter mais force était d'admettre qu'il tenait le bougre, et elle de moins en moins bien. «J'suis assez nul pour causer ». Le rire se fait discret mais sincère, prémisse d'un sourire d'autant plus charmant qu'il rayonne pleinement en cette nuit de décembre. Tout était parfait, Mig. Du désordre au popcorn trop sucré, en passant par leurs tenues nulles. Alors, l'éther au bout des doigts, Cataleya effleure le visage du Madrilène. Caresse du bout du pouce sa joue, comme pour répondre à ce réflexe si doux qu'il avait eu à son encontre. Son visage se rapproche un peu du sien, et si les souffles s'entremêlent et éveille chez la rousse un appétit singulier, c'est inflexible qu'elle s'efforce de cultiver le moment. Ne pas céder à l'ivresse de cette proximité, ni aux frissons qui filent inlassablement sur son épiderme pourtant avide. Elle s'en mord pourtant la lèvre, et devine sans peine la passion qui étreint le brun juste en face, mais se refuse à faire du grymm une arme pour blesser James après cette trahison véritable. L'utiliser pour tromper la frustration et la douleur qui lui dévorait les entrailles.
« -J'adore cette musique... ». Souffle t'elle enfin, reculant un peu le visage mais pour mieux guider les épaules du brun sur le matelas, lui imposant sans mal une position contre laquelle elle pourra nicher pour profiter de l'instant. « -Mon ex me l'avait apprise à la guitare... » Murmure t'elle à peine, passant une jambe au dessus du bassin du jeune homme pour trôner un instant à califourchon sur lui. Si la posture parait quelque peu suggestive, elle est pourtant mue par des habitudes prises sur un James qui lui passait le plus clair de ses lubies et, comme toute ces fois où elle s'allongeait bras croisé sur son torse pour discuter au clair de lune, Cat renoue avec le même schéma. Les bras se croisent noblement, le regard se tourne un instant vers l'écran avant de plonger de nouveau dans l'entêtant regard qui lui fait face et, si le sourire se fait trop intuitif, apaisé aussi, c'est par le dialogue que Cataleya luttera contre cet appel à peine soufflé par son corps en ébullition.
« - Il s'était aussi acharné à me faire passer les sélections de quidditch à Poudlard alors que je tenais à peine sur un balais, ce petit con. Mais il n'avait pas entièrement tord, j'aurai fait une batteuse d'enfer ! ».
Le quidditch, une énième frustration dans la vie de miss Blackthorn soit dit en passant. Elle aurait certainement sacrifié plus d'une option pour pouvoir briller face aux cognards mais, rendu encore trop docile sous les griffes de Claudia, elle se contentait d'observer les entraînements entre deux révisions.
« -J'adore cette musique... ». Souffle t'elle enfin, reculant un peu le visage mais pour mieux guider les épaules du brun sur le matelas, lui imposant sans mal une position contre laquelle elle pourra nicher pour profiter de l'instant. « -Mon ex me l'avait apprise à la guitare... » Murmure t'elle à peine, passant une jambe au dessus du bassin du jeune homme pour trôner un instant à califourchon sur lui. Si la posture parait quelque peu suggestive, elle est pourtant mue par des habitudes prises sur un James qui lui passait le plus clair de ses lubies et, comme toute ces fois où elle s'allongeait bras croisé sur son torse pour discuter au clair de lune, Cat renoue avec le même schéma. Les bras se croisent noblement, le regard se tourne un instant vers l'écran avant de plonger de nouveau dans l'entêtant regard qui lui fait face et, si le sourire se fait trop intuitif, apaisé aussi, c'est par le dialogue que Cataleya luttera contre cet appel à peine soufflé par son corps en ébullition.
« - Il s'était aussi acharné à me faire passer les sélections de quidditch à Poudlard alors que je tenais à peine sur un balais, ce petit con. Mais il n'avait pas entièrement tord, j'aurai fait une batteuse d'enfer ! ».
Le quidditch, une énième frustration dans la vie de miss Blackthorn soit dit en passant. Elle aurait certainement sacrifié plus d'une option pour pouvoir briller face aux cognards mais, rendu encore trop docile sous les griffes de Claudia, elle se contentait d'observer les entraînements entre deux révisions.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Mer 11 Jan 2023 - 14:57
Fait étrange, quoi qu'intéressant, le regard clair de Cataleya s'accroche à ses prunelles. Il avait vu une larme et elle ne fuyait pas le regard... Elle lui donne tellement cette impression d'être un animal sauvage presque inapprivoisable, de ceux qui peuvent s'échapper si une mèche de ses cheveux venait à prendre le vent. Il bouge à peine, plongeant pourtant son regard profond dans le sien. Il cherche à lire en elle ce secret qu'il n'a jamais su trouver, malgré toutes les heures passées en sa compagnie ces deux dernières années.
Il ose encore moins bouger alors que la main de la rousse vient s'imprégner de son visage. Sa peau est douce contre celle rendue granuleuse par une barbe qu'il s'échine toujours à raser. Le temps est long et pourtant les secondes filent à une vitesse ahurissante. L'envie qu'il a de fondre sur ses lèvres se fait de plus en plus intransigeante. Il ne sait même pas comment il arrive à garder son regard dans le sien alors que ses lèvres, que sa peau, de tout lui donne envie de plus.
Il est presque sur que cette passion est partagée, s'il n'y a qu'une chose qu'il peut lire dans son regard, qu'il peut ressentir dans cette caresse, c'est ça. Et avec n'importe qu'elle autre fille il aurait fait le premier pas. Mais il savait que s'il s'avançait pour quérir un baiser, c'était autrement que la main de la rouquine s'imprimerait sur son visage. Il l'avait expérimenté une fois, peut être même deux. Elle avait des bras maigrelets mais j'vous assure qu'il avait vraiment eut mal.
Alors il ne bouge pas tandis que leurs souffles se mélangent. Il y croit alors qu'elle se mord la lèvre. Mais à peine a-t-elle dit un mot, avant même qu'elle se recule, il sait que cet instant de tension va retomber aussi vite qu'il s'est installé. Il retient un soupir alors qu'elle le repousse dans les oreillers et la position qu'elle prend face à lui font bourdonner dans ses oreilles les mots qu'elle prononce.
- Cat...
Il serre les dents. Et pas que. Les signaux contradictoire, il a l'habitude avec elle. Mais chaque geste de sa part lui donnait un peu plus envie d'elle et c'était... épuisant. Il voudrait lui expliquer mais au lieu de ça, il se saisit de ses épaules pour la guider à son tour. Il pose sa tête rousse sur son épaule et l'accueille dans le creux entre son bras et son torse, la tenant fermement contre lui, dans une position certes plus proches mais moins provoquante pour ses pauvres nerfs à vif.
- C'est vrai, les cognards rasent souvent le sol. T'aurais eu toutes tes chances.
Se moque-t-il gentillement, sachant pertinemment que la Blackthorn n'est pas bien capable sur un balai.
- Donc comme ça, t'as eu un ex. C'est... interessant. Il était aussi beau que moi ?
Façon charmante de lui demander comment il était, ce type qui semblait avoir réussi fut un temps.
Il ose encore moins bouger alors que la main de la rousse vient s'imprégner de son visage. Sa peau est douce contre celle rendue granuleuse par une barbe qu'il s'échine toujours à raser. Le temps est long et pourtant les secondes filent à une vitesse ahurissante. L'envie qu'il a de fondre sur ses lèvres se fait de plus en plus intransigeante. Il ne sait même pas comment il arrive à garder son regard dans le sien alors que ses lèvres, que sa peau, de tout lui donne envie de plus.
Il est presque sur que cette passion est partagée, s'il n'y a qu'une chose qu'il peut lire dans son regard, qu'il peut ressentir dans cette caresse, c'est ça. Et avec n'importe qu'elle autre fille il aurait fait le premier pas. Mais il savait que s'il s'avançait pour quérir un baiser, c'était autrement que la main de la rouquine s'imprimerait sur son visage. Il l'avait expérimenté une fois, peut être même deux. Elle avait des bras maigrelets mais j'vous assure qu'il avait vraiment eut mal.
Alors il ne bouge pas tandis que leurs souffles se mélangent. Il y croit alors qu'elle se mord la lèvre. Mais à peine a-t-elle dit un mot, avant même qu'elle se recule, il sait que cet instant de tension va retomber aussi vite qu'il s'est installé. Il retient un soupir alors qu'elle le repousse dans les oreillers et la position qu'elle prend face à lui font bourdonner dans ses oreilles les mots qu'elle prononce.
- Cat...
Il serre les dents. Et pas que. Les signaux contradictoire, il a l'habitude avec elle. Mais chaque geste de sa part lui donnait un peu plus envie d'elle et c'était... épuisant. Il voudrait lui expliquer mais au lieu de ça, il se saisit de ses épaules pour la guider à son tour. Il pose sa tête rousse sur son épaule et l'accueille dans le creux entre son bras et son torse, la tenant fermement contre lui, dans une position certes plus proches mais moins provoquante pour ses pauvres nerfs à vif.
- C'est vrai, les cognards rasent souvent le sol. T'aurais eu toutes tes chances.
Se moque-t-il gentillement, sachant pertinemment que la Blackthorn n'est pas bien capable sur un balai.
- Donc comme ça, t'as eu un ex. C'est... interessant. Il était aussi beau que moi ?
Façon charmante de lui demander comment il était, ce type qui semblait avoir réussi fut un temps.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Mer 11 Jan 2023 - 17:37
Elle la devine, cette mâchoire se tendre un peu alors que sa peau à elle frissonne. Elle la devine, cette frustration contenue, terrible et pourtant en tout point jumelle à celle qui l'étrangle inlassablement alors, si ses lèvres s'entrouvrent déjà pour s'excuser, c'est pleinement surprise qu'elle bascule sur le côté et se voit nicher là, tout contre le cœur de Miguel. La prise est ferme, le contact cathartique, et c'est dans un soupire d'aise que l'épine noire abandonne l'idée même de s'indigner. Au contraire, elle se raccroche doucement au Grymm alors qu'il moque ses piètres compétences de voltigeuse. Cale au mieux sa joue et se contente de fermer les yeux pour entamer un repos nécessaire, pleinement bercé par cette chaude voix dont elle se surprend à quérir les contour. L'oeil s'entrouvre pourtant à l'évocation de cette histoire passé et c'est mue d'une douceur toute singulière que la Blackthorn ose un « Tu as l'air étonné que je puisse tomber amoureuse. » qui l'arrache à la léthargie dans laquelle elle rêvait de s'abandonner.
L'espace d'un instant pourtant, les doigts se perdent irrépressiblement dans les cheveux de Miguel, glisse sous les boucles encore humides pour finalement choir sur une mâchoire qui piquent un peu mais dont elle aime désespérément le contact. Il est beau, Miguel. Même dans cet immonde jogging. Il a cette étrange lueur au fond de l'oeil qui pourrait la noyer si elle ne faisait pas si prudente là, tenu en équilibre au bord du précipice. La tentation est traîtresse, les idylles dangereuse et Cataleya se sait rendu plus émotive qu'à l'accoutumé par Décembre et son lot d’anxiété. Rien ne va, tout s'écroule. De sa scolarité mise à mal par le manque de sommeil aux remises en question d'une carrière médicomage qu'elle craint de ne pas savoir assumer. De sa relation désastreuse avec sa fratrie toute entière à l'infidélité de James qui, au final, a pleinement remit en question l'idée du couple qu'il formait. Pouvait-elle seulement prétendre être avec lui si, jamais, il ne s'était embrassé ? Avait-elle seulement une quelconque légitimité à s'indigner de cette idylle par delà des mers ? Elle se sentait autant seule que trahie, autant désespérée que coupable, et Morgane seule savait ô combien elle haïssait devoir naviguer entre autant de sentiment contraire mais, plus l'année avançait et plus elle avait la sensation de sombrer la petite Cat. Alors, nichée tout contre le madrilène, l'envie de s'évader se fait grande. Nécessaire. C'est du bout des doigts que machinalement elle retrace les contours de ses biceps après un trop long silence.
« J'en étais folle, vraiment... Il était brun, avait des yeux vert à s'en damner, et il m'aimait... Si fort... Sa mère m'avait confectionné un bracelet pour noel et glissait toujours un mot pour moi dans les lettre qu'elle lui écrivait... C'était clairement stupide de s'éprendre ainsi de moi mais il était audacieux, tellement tête brûlé que, je ne sais pas, je me suis laissé aller à rêver moi aussi... C'était beau.. »
Le soupire est emprunt d'une nostalgie amère, mais c'est infiniment douce qu'elle laisse son regard courir doucement sur la peau mordoré de l'espagnol, comme pour chasser le trouble qui vient doucement la mordre. « Tu es un poil plus beau, Miguel Pajares. Mais seulement parce que je ne t'ai pas connu en pleine crise d’acné » Le sourire se dessine pourtant en tentant d'imaginer l'adolescence du madrilène et c'est un peu plus fière que Cataleya étire discrètement son dos. « Mais il m'a apprit à jouer de la guitare, et à été mon premier et dernier baisé, ça devrait compter dans la balance. Toi, qu'est-ce que tu peux m'apporter hormis un sourire à en damner les anges ? Mmh ? »
L'espace d'un instant pourtant, les doigts se perdent irrépressiblement dans les cheveux de Miguel, glisse sous les boucles encore humides pour finalement choir sur une mâchoire qui piquent un peu mais dont elle aime désespérément le contact. Il est beau, Miguel. Même dans cet immonde jogging. Il a cette étrange lueur au fond de l'oeil qui pourrait la noyer si elle ne faisait pas si prudente là, tenu en équilibre au bord du précipice. La tentation est traîtresse, les idylles dangereuse et Cataleya se sait rendu plus émotive qu'à l'accoutumé par Décembre et son lot d’anxiété. Rien ne va, tout s'écroule. De sa scolarité mise à mal par le manque de sommeil aux remises en question d'une carrière médicomage qu'elle craint de ne pas savoir assumer. De sa relation désastreuse avec sa fratrie toute entière à l'infidélité de James qui, au final, a pleinement remit en question l'idée du couple qu'il formait. Pouvait-elle seulement prétendre être avec lui si, jamais, il ne s'était embrassé ? Avait-elle seulement une quelconque légitimité à s'indigner de cette idylle par delà des mers ? Elle se sentait autant seule que trahie, autant désespérée que coupable, et Morgane seule savait ô combien elle haïssait devoir naviguer entre autant de sentiment contraire mais, plus l'année avançait et plus elle avait la sensation de sombrer la petite Cat. Alors, nichée tout contre le madrilène, l'envie de s'évader se fait grande. Nécessaire. C'est du bout des doigts que machinalement elle retrace les contours de ses biceps après un trop long silence.
« J'en étais folle, vraiment... Il était brun, avait des yeux vert à s'en damner, et il m'aimait... Si fort... Sa mère m'avait confectionné un bracelet pour noel et glissait toujours un mot pour moi dans les lettre qu'elle lui écrivait... C'était clairement stupide de s'éprendre ainsi de moi mais il était audacieux, tellement tête brûlé que, je ne sais pas, je me suis laissé aller à rêver moi aussi... C'était beau.. »
Le soupire est emprunt d'une nostalgie amère, mais c'est infiniment douce qu'elle laisse son regard courir doucement sur la peau mordoré de l'espagnol, comme pour chasser le trouble qui vient doucement la mordre. « Tu es un poil plus beau, Miguel Pajares. Mais seulement parce que je ne t'ai pas connu en pleine crise d’acné » Le sourire se dessine pourtant en tentant d'imaginer l'adolescence du madrilène et c'est un peu plus fière que Cataleya étire discrètement son dos. « Mais il m'a apprit à jouer de la guitare, et à été mon premier et dernier baisé, ça devrait compter dans la balance. Toi, qu'est-ce que tu peux m'apporter hormis un sourire à en damner les anges ? Mmh ? »
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Ven 13 Jan 2023 - 19:20
Il aurait pu la laisser là, au dessus de lui. Il aurait pu la regarder dans cet accoutrement qui ne la rendait même pas ridicule. Avec cette mèche de cheveux qui essaye de boucler farouchement mais finit par se donner des airs d'antenne satellite. Sans maquillage, sans artifice. Juste Cat. Pas Cataleya Blackthorn la magnifique. Juste Cat.
Mais bordel, qu'est ce qu'il la désirait. Il y avait toujours cette petite attirance qu'il avait eut pour elle dès le premier jour, elle était toujours là, en sourdine, il avait l'habitude de cohabiter avec elle maintenant, il avait su restreindre ses élans passionnés, les canaliser. Mais parfois, comme maintenant, ça revenait de pleins fouet. Comme une vague qui le submergeait par surprise. Sa machoire se serrait, ses prunelles s'ancrait, ses muscles se tendaient et évidemment sous la ceinture...
Il la coince dans le creux de son bras. Il aurait pu prendre l'une de ses petites sœurs dans cette position si l'une et l'autres n'avaient pas été de véritables petits démons qui ne tenaient pas en place. Quelques secondes ? Quelques minutes ? Il ne saurait dire mais le temps accordé lui permet de calmer la tempête. Le silence s'est installé quelques secondes avant qu'ils n'échangent de nouveau autre chose qu'une étreinte.
« Tu as l'air étonné que je puisse tomber amoureuse. » Il l'était. Ou plutôt... Il était étonné qu'elle puisse se laisser aller à l'amour. Tomber amoureux, même lui il en avait été capable. Une fois. Peut être deux. Il avait trouvé ça plus douloureux qu'agréable, finalement. Mais la Blackthorn avait l'air si farouche qu'il avait du mal à imaginer qu'un homme puisse outre-passer cet état de fait. Il ferme les yeux alors qu'elle joue avec se cheveux et sa machoire, se concentre sur sa voix comme pour empêcher une nouvelle vague de surgir.
- J'ai toujours eu une peau de bébé !
C'était faux. Comme tout à chacun, l'adolescence l'avait frappé de plein fouet. Il était toujours un peu plus beau que la moyenne mais à l'époque il avait pas du tout atteint son pleins potentiel... Cela dit, sa petite taille permanente avait été plus difficile à surmonter pour son égo que quelques boutons d'acnès temporaires.
Il décèle une certaine tristesse dans sa façon de décrire cette histoire d'amour. Comme s'il avait été l'homme de sa vie. Peut être l'avait elle pensé. Etait-ce pour cette raison qu'elle se rendait si difficile à approcher ? Ses espoirs avaient ils étaient déçus ?
- Je reconnais que je serais bien incapable de jouer de la guitare. Mais je peux t'apprendre les duels et à monter sur un balai. C'est quand même vachement plus utile. Quoi d'autre... Je sers les bières comme personne ! Et je sais marcher sur les mains ! Tu veux voir ?
Il marque une pause avant de tourner la tête vers elle.
- Quant aux baisers, si tu veux changer le détenteur du dernier des tiens ma foi... Un mot de ta part et...
Mais bordel, qu'est ce qu'il la désirait. Il y avait toujours cette petite attirance qu'il avait eut pour elle dès le premier jour, elle était toujours là, en sourdine, il avait l'habitude de cohabiter avec elle maintenant, il avait su restreindre ses élans passionnés, les canaliser. Mais parfois, comme maintenant, ça revenait de pleins fouet. Comme une vague qui le submergeait par surprise. Sa machoire se serrait, ses prunelles s'ancrait, ses muscles se tendaient et évidemment sous la ceinture...
Il la coince dans le creux de son bras. Il aurait pu prendre l'une de ses petites sœurs dans cette position si l'une et l'autres n'avaient pas été de véritables petits démons qui ne tenaient pas en place. Quelques secondes ? Quelques minutes ? Il ne saurait dire mais le temps accordé lui permet de calmer la tempête. Le silence s'est installé quelques secondes avant qu'ils n'échangent de nouveau autre chose qu'une étreinte.
« Tu as l'air étonné que je puisse tomber amoureuse. » Il l'était. Ou plutôt... Il était étonné qu'elle puisse se laisser aller à l'amour. Tomber amoureux, même lui il en avait été capable. Une fois. Peut être deux. Il avait trouvé ça plus douloureux qu'agréable, finalement. Mais la Blackthorn avait l'air si farouche qu'il avait du mal à imaginer qu'un homme puisse outre-passer cet état de fait. Il ferme les yeux alors qu'elle joue avec se cheveux et sa machoire, se concentre sur sa voix comme pour empêcher une nouvelle vague de surgir.
- J'ai toujours eu une peau de bébé !
C'était faux. Comme tout à chacun, l'adolescence l'avait frappé de plein fouet. Il était toujours un peu plus beau que la moyenne mais à l'époque il avait pas du tout atteint son pleins potentiel... Cela dit, sa petite taille permanente avait été plus difficile à surmonter pour son égo que quelques boutons d'acnès temporaires.
Il décèle une certaine tristesse dans sa façon de décrire cette histoire d'amour. Comme s'il avait été l'homme de sa vie. Peut être l'avait elle pensé. Etait-ce pour cette raison qu'elle se rendait si difficile à approcher ? Ses espoirs avaient ils étaient déçus ?
- Je reconnais que je serais bien incapable de jouer de la guitare. Mais je peux t'apprendre les duels et à monter sur un balai. C'est quand même vachement plus utile. Quoi d'autre... Je sers les bières comme personne ! Et je sais marcher sur les mains ! Tu veux voir ?
Il marque une pause avant de tourner la tête vers elle.
- Quant aux baisers, si tu veux changer le détenteur du dernier des tiens ma foi... Un mot de ta part et...
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Ven 13 Jan 2023 - 20:15
Elle s'enivre de son odeur, Cataleya, niche un instant son visage dans le t-shirt du Grymm mais réprime un long soupire frustré. La proximité est indécente, la prise autour de son corps grisante à souhait, et c'est inlassablement qu'elle s'efforce de visualiser d'immondes limaces entremêlés pour taire les furieuses palpitations de son cœur. Il allait la rendre folle, elle en était convaincue, et c'était exactement là la raison qui avait toujours fermement tenu son pas trop impérieux loin de cet appartement. Pourtant elle ne peut réprimer le rire léger qui la tient lorsque le madrilène conte ses exploits. Apprendre le duel, elle le lui avait déjà demandé, monter sur un balais... C'est à coup de gifle que sa mère l'y arracherait. Quant à marcher sur les mains... La danse et la gymnastique le lui avait déjà enseigné. Dommage Pajares, il faudrait trouver mieux que ça.
La moue se pince un peu pour taire le sourire qui la brûle mais l'expression vire du tout au tout lorsque le jeune homme tourne la tête vers elle.
« Miguel... » Elle le supplierait presque de mettre fin au mal qui la ronge, mais serre un peu plus les cuisses, se répétant inlassablement qu'elle déteste tout de lui à mesure que ses doigts trop blanc glisse derrière sa nuque mordoré. Qu'elle se rapproche un peu plus encore. Elle le déteste, lui et son regard de braise. Lui et ses mains sur son corps. Lui et ses blagues nulle. Lui et ses lèvres dont elle dévore la pulpe de ses grands yeux bleu. Alors, c'est pleinement fauve qu'elle tente de reprendre l'ascendant sur ce corps qui la tient, renouer avec la posture dont Miguel l'avait chassé mais, faite prisonnière par ses bras et incapable de s'en défaire, fond sur ses lèvres avant même d'y arriver.
Le baisé est maladroit mais cathartique car c'est en tout point passionné qu'il s'imprime sur les lèvres du brun. Les mains s'accrochent, le cœur s'emballe, et si c'est avec fougue que la tendresse cherche sa réponse, c'est après quelques seconde à peine que les lèvres se détachent au profit d'un regard attentif. A n'en point douter, Cataleya cherche un certaine forme d'approbation dans le regard du madrilène, comme pour s'assurer du bien fondé de son initiative ; elle patauge toujours avec lui, versée d'un extrême à l'autre sans parvenir à trouver de juste milieu. Etait-ce l'une de ces fois où elle s'enflammait un peu trop ? Le cœur se presse plus encore contre sa poitrine et, si le premier baisé s'était fait quelque peu brouillon, c'est avec la douceur des étoiles que la rousse renoue finalement avec ces lèvres tentatrices. Avec cette odeur qui grise chacun de ses sens au point de l'en faire déraisonnable.
Les mains se glissent contre celles du brun, se nouent un peu pour les décrocher d'un corps qui ne tient pas en place et, fermement, finit par les plaquer contre les draps à mesure qu'elle retrouve sa posture initiale. A califourchon sur le grymm, l'épine noire se fait reine implacable. Sa prise autour de ces mains tentatrices est ferme, quand bien même ses ondulations rousses retombent follement autour d'elle et chatouille un nez qui frémis soudainement pour s'en défaire.
« Je te hais, si fort... » Elle murmure à peine, comme pour faire le tri des idées qui tourbillonnent autour d'elle, ordonner un peu ce torrent d'émotion contraire qui la balaye inlassablement et, faute de succès, détourne un instant le visage pour fuir celui en contre-bas. « Circé ! » La tête se révulse un peu en arrière, comme pour marquer une certaine forme d'abandon dont elle fantasmait les contours depuis des mois et, si c'est toujours aussi tyrannique qu'elle maintient ce corps sous sa suprématie, c'est un peu plus raisonnée que Cataleya Blackthorn ramène finalement son visage au dessus de celui du Madrilène. « Tu as intérêt d'être un excellent professeur, ne me fait pas regretter ma faiblesse. » Souffle t'elle finalement au creux de son oreille, perdant un instant ses lèvres sur sa gorge comme pour canaliser tout ce qui bouillonnait en elle.
Doucement, elle détache ses mains de celles de Miguel pour plaquer ses rousses ondulations en arrière, raisonner une dernière fois cette passion qui lui brule les entrailles mais pouffe de rire, simplement. Elle regrettera cette soirée, elle le sait, mais l'échange lui sembla tout à coup si libérateur qu'elle était prête à tout faire voler en éclat pour frôler l'interdit. « Je te hais de tout mon être, le sais tu seulement Miguel Pajares ? » Ose t'elle, une main perdu dans les cheveux du brun et l'autre sur les siens, pour dégager un visage en tout point rayonnant.
La moue se pince un peu pour taire le sourire qui la brûle mais l'expression vire du tout au tout lorsque le jeune homme tourne la tête vers elle.
« Miguel... » Elle le supplierait presque de mettre fin au mal qui la ronge, mais serre un peu plus les cuisses, se répétant inlassablement qu'elle déteste tout de lui à mesure que ses doigts trop blanc glisse derrière sa nuque mordoré. Qu'elle se rapproche un peu plus encore. Elle le déteste, lui et son regard de braise. Lui et ses mains sur son corps. Lui et ses blagues nulle. Lui et ses lèvres dont elle dévore la pulpe de ses grands yeux bleu. Alors, c'est pleinement fauve qu'elle tente de reprendre l'ascendant sur ce corps qui la tient, renouer avec la posture dont Miguel l'avait chassé mais, faite prisonnière par ses bras et incapable de s'en défaire, fond sur ses lèvres avant même d'y arriver.
Le baisé est maladroit mais cathartique car c'est en tout point passionné qu'il s'imprime sur les lèvres du brun. Les mains s'accrochent, le cœur s'emballe, et si c'est avec fougue que la tendresse cherche sa réponse, c'est après quelques seconde à peine que les lèvres se détachent au profit d'un regard attentif. A n'en point douter, Cataleya cherche un certaine forme d'approbation dans le regard du madrilène, comme pour s'assurer du bien fondé de son initiative ; elle patauge toujours avec lui, versée d'un extrême à l'autre sans parvenir à trouver de juste milieu. Etait-ce l'une de ces fois où elle s'enflammait un peu trop ? Le cœur se presse plus encore contre sa poitrine et, si le premier baisé s'était fait quelque peu brouillon, c'est avec la douceur des étoiles que la rousse renoue finalement avec ces lèvres tentatrices. Avec cette odeur qui grise chacun de ses sens au point de l'en faire déraisonnable.
Les mains se glissent contre celles du brun, se nouent un peu pour les décrocher d'un corps qui ne tient pas en place et, fermement, finit par les plaquer contre les draps à mesure qu'elle retrouve sa posture initiale. A califourchon sur le grymm, l'épine noire se fait reine implacable. Sa prise autour de ces mains tentatrices est ferme, quand bien même ses ondulations rousses retombent follement autour d'elle et chatouille un nez qui frémis soudainement pour s'en défaire.
« Je te hais, si fort... » Elle murmure à peine, comme pour faire le tri des idées qui tourbillonnent autour d'elle, ordonner un peu ce torrent d'émotion contraire qui la balaye inlassablement et, faute de succès, détourne un instant le visage pour fuir celui en contre-bas. « Circé ! » La tête se révulse un peu en arrière, comme pour marquer une certaine forme d'abandon dont elle fantasmait les contours depuis des mois et, si c'est toujours aussi tyrannique qu'elle maintient ce corps sous sa suprématie, c'est un peu plus raisonnée que Cataleya Blackthorn ramène finalement son visage au dessus de celui du Madrilène. « Tu as intérêt d'être un excellent professeur, ne me fait pas regretter ma faiblesse. » Souffle t'elle finalement au creux de son oreille, perdant un instant ses lèvres sur sa gorge comme pour canaliser tout ce qui bouillonnait en elle.
Doucement, elle détache ses mains de celles de Miguel pour plaquer ses rousses ondulations en arrière, raisonner une dernière fois cette passion qui lui brule les entrailles mais pouffe de rire, simplement. Elle regrettera cette soirée, elle le sait, mais l'échange lui sembla tout à coup si libérateur qu'elle était prête à tout faire voler en éclat pour frôler l'interdit. « Je te hais de tout mon être, le sais tu seulement Miguel Pajares ? » Ose t'elle, une main perdu dans les cheveux du brun et l'autre sur les siens, pour dégager un visage en tout point rayonnant.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Lun 16 Jan 2023 - 15:10
Bon d'accord... Là, il pouvait pas la blâmer. Quoi que c'est elle qui avait parlé de baiser et qu'elle connaissait Miguel pour savoir qu'il ne pouvait voir en ce discours qu'une perche allégrement tendue, n'est ce pas ? Mais il faut reconnaître que c'est lui qui a tourné sa tête et qui a de nouveau plongé dans l'océan de ses yeux. Ils étaient si proche et les abimes, les précipices ça avait toujours attiré l'accro à l'adrénaline qu'il était.
"Miguel" Il l'avait entendu prononcé son prénom à bien des occasions, sur tout les tons possibles et imaginables. De l'éclat de rire frivole au dégoût absolu. Mais comme ça... ? Avec cette suspension, presque comme une supplique... Jamais. Il surprend un léger frisson descendre le long de sa colonne vertébrale et peut être même son cœur rater un petit battement. Assez en tout cas pour le troubler.
Et comme s'il n'était pas assez troublé, la rouquine prend place au dessus de lui de nouveau. Mais cette fois, il n'a plus l'intention de lutter contre leurs désirs et elle non plus. Il n'en seraient pas capable de toute manière. Alors qu'Hinder joue Lips of an Angel, leurs lèvres se rejoignent dans un baiser destructuré par un mélange d'envie et d'hésitation.
Il est surprit, le madrilène, mais ne laisse pas passer sa chance. Ses mains en coupe viennent entourer le visage de la Blackthorn, ses doigts s'entremélant dans ses cheveux qui finissent par les couper du reste du monde. Son bassin se tend à la rencontre de celui de la sorcière, ne laissant plus de doute quant à l'effet qu'il lui fait. Leurs parfums se mêlent alors que leurs lèvres se jouent les unes des autres quelques seconde avant qu'elle se redresse.
De nouveau un silence. De nouveaux ces regards. Ils se jaugent, le madrilène ose à peine respirer. Il ne sait pas quelles turbines s'agitent dans l'esprit de la Blackthorn mais il sait qu'elle a besoin de ces quelques secondes et il retient un soupir d'aise alors que la douceur de ses lèvres vient de nouveau quérir les siennes.
Le message est clair cet fois et l'hispanique ne se fait pas prier. Son désir se ressent alors que leur baiser s'appronfondit. Ses mains coulent dans le dos de la rouquine, suivant ses cheveux puis viennent enserrer sa taille. Pour la maintenir plus proche de lui encore, pour empêcher l'idée même de partir.
« Je te hais, si fort... » Elle l'avait trop longtemps prétendu. « Circé ! » Voyons, qu'est ce que sa dernière conquête venait faire la dedans ? « Tu as intérêt d'être un excellent professeur, ne me fait pas regretter ma faiblesse. » Elle ne pouvait pas tomber sur meilleur professeur, n'est ce pas ? N'est ce pas ?
- Professeur ?
C'était sorti tout seul et à la seconde même où il parle, la regardant auréolée de sa crinière rousse dans la lumière de cette chambre d'étudiant, il regrette. La claque mentale qu'il s'envoit est phénoménale. Il n'a même pas entendu les dernier mots de Cataleya tellement il a beugué sur le mot Professeur. Qu'espérait elle apprendre exactement ? Et si elle était...
Il aurait voulu l'attirer de nouveau à lui, quérir de nouveau un baiser de ses lèvres, glisser ses mains sur ses cuisses mais au lieu de ça... il est paré de son regard que certains qualifieraient d'abruti. Ses mains entourent sa taille avec douceur et finalement l'une d'entre elle vient glisser ses cheveux derrière l'une de ses oreilles. Même son bassin à retrouvé sa place initiale contre les draps.
- Attend deux secondes Cat.. T'es pas...
Se pourrait il que... ?
"Miguel" Il l'avait entendu prononcé son prénom à bien des occasions, sur tout les tons possibles et imaginables. De l'éclat de rire frivole au dégoût absolu. Mais comme ça... ? Avec cette suspension, presque comme une supplique... Jamais. Il surprend un léger frisson descendre le long de sa colonne vertébrale et peut être même son cœur rater un petit battement. Assez en tout cas pour le troubler.
Et comme s'il n'était pas assez troublé, la rouquine prend place au dessus de lui de nouveau. Mais cette fois, il n'a plus l'intention de lutter contre leurs désirs et elle non plus. Il n'en seraient pas capable de toute manière. Alors qu'Hinder joue Lips of an Angel, leurs lèvres se rejoignent dans un baiser destructuré par un mélange d'envie et d'hésitation.
Il est surprit, le madrilène, mais ne laisse pas passer sa chance. Ses mains en coupe viennent entourer le visage de la Blackthorn, ses doigts s'entremélant dans ses cheveux qui finissent par les couper du reste du monde. Son bassin se tend à la rencontre de celui de la sorcière, ne laissant plus de doute quant à l'effet qu'il lui fait. Leurs parfums se mêlent alors que leurs lèvres se jouent les unes des autres quelques seconde avant qu'elle se redresse.
De nouveau un silence. De nouveaux ces regards. Ils se jaugent, le madrilène ose à peine respirer. Il ne sait pas quelles turbines s'agitent dans l'esprit de la Blackthorn mais il sait qu'elle a besoin de ces quelques secondes et il retient un soupir d'aise alors que la douceur de ses lèvres vient de nouveau quérir les siennes.
Le message est clair cet fois et l'hispanique ne se fait pas prier. Son désir se ressent alors que leur baiser s'appronfondit. Ses mains coulent dans le dos de la rouquine, suivant ses cheveux puis viennent enserrer sa taille. Pour la maintenir plus proche de lui encore, pour empêcher l'idée même de partir.
« Je te hais, si fort... » Elle l'avait trop longtemps prétendu. « Circé ! » Voyons, qu'est ce que sa dernière conquête venait faire la dedans ? « Tu as intérêt d'être un excellent professeur, ne me fait pas regretter ma faiblesse. » Elle ne pouvait pas tomber sur meilleur professeur, n'est ce pas ? N'est ce pas ?
- Professeur ?
C'était sorti tout seul et à la seconde même où il parle, la regardant auréolée de sa crinière rousse dans la lumière de cette chambre d'étudiant, il regrette. La claque mentale qu'il s'envoit est phénoménale. Il n'a même pas entendu les dernier mots de Cataleya tellement il a beugué sur le mot Professeur. Qu'espérait elle apprendre exactement ? Et si elle était...
Il aurait voulu l'attirer de nouveau à lui, quérir de nouveau un baiser de ses lèvres, glisser ses mains sur ses cuisses mais au lieu de ça... il est paré de son regard que certains qualifieraient d'abruti. Ses mains entourent sa taille avec douceur et finalement l'une d'entre elle vient glisser ses cheveux derrière l'une de ses oreilles. Même son bassin à retrouvé sa place initiale contre les draps.
- Attend deux secondes Cat.. T'es pas...
Se pourrait il que... ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Lun 16 Jan 2023 - 19:51
Si les hanches épousent intuitivement celles du brun pour traduire toute la passion venu la mordre, c'est encore trop raisonnable, trop sage sans doute, qu'elle préfère perdre ses lèvres contre la peau mordoré du Pajares afin d'en parer l'épiderme d'un désir longtemps inavoué. Tout ceci va si vite, peut être trop, mais il ne fait aucun doute que Cataleya garde le pied sur l’accélérateur et se refuse à freiner.
La voix du Grymm le fera pour elle, pourtant, et c'est pleinement surprise qu'elle se heurte de plein fouet à son regard de merlan arraché aux eaux. Qu'est-ce que... ? Les sourcils se font un poil contrarié, comme une enfant à qui on venait d'arracher son jouet favoris, et si elle tente un nouvel assaut sur cette gorge qu'elle embrassait tendrement, c'est un peu perdue qu'elle épouse finalement les questionnement du brun.
La prise autour de ses hanches se fait moins ferme- plus douce- et c'est un peu frustrée que Cataleya redresse le visage lorsqu'une main effleure sa joue. Glisse le plus doucement du monde l'une de ses rousses mèches derrière son oreille comme pour happer son entière attention..
Les lèvres se portent tendrement à la main venu discipliner ses cheveux, déposant un dernier baisé, avant que Cataleya ne se perde véritablement dans un regard dont elle admirait chacun des aspects. Elle ne comprend pas ce qu'il attend d'elle, et s'indignerait presque en crachant qu'elle était parfaitement épilée, n'avait aucune Mst et étaient parfaitement protégée, mais c'est tout doucement que son regard s'écarquille en réalisant ce qui se tapis sous les non-dits. Le rougissement est instantané, le regard fuit brusquement sur la droite et elle bredouillerait presque si ses lèvres parvenait à s'entrouvrir. C'est pourtant dans un soupire pleinement résigné qu'elle finit par choir sur l'épaule de Miguel, étrangle ses envies sur un manque d'expérience dont le brun semble avoir déceler les contours mais ne dit mot. Un instant du moins. Son index trace des étoiles sur le torse du madrilène pour faire le tri dans son esprit et, enfin, c'est après quelques minutes qu'elle tente une amorce de réponse.
« Vierge ? » Qu'on soit d'accord sur la question, tout d'abord, avant de se perdre dans des explications hors sujet ! « J'ignorai que ça t’effraierait à ce point, Pajares. » Le sourire est doux, quand bien même subitement plus timide car elle éprouve les plus grande peine à jauger de la situation. S'il ne l'a pas repoussé comme la pire des pestiféré, il ne fait nulle doute que ça l'a pleinement bloqué, et ce simple état de fait perturbe profondément la rousse. Miguel Pajares, celui dont les lèvres avaient couronnés la quasis totalité de la ville, refusait une occasion pourtant plus que facile auprès d'une fille qui le repoussait depuis plus de deux ans. Ca avait de quoi alerter. L'envie ne manquait pourtant pas, elle l'avait bien sentit...
« J'étais tout juste adolescente quand je sortais avec Cillian, on n'a jamais.. Enfin tu vois. Quelques chastes baisés derrière les murs de poudlard mais on n'a jamais été plus loin. C'est... Si bizarre ? » Et côté James, c'était le calme plat. Un effroyable néant qui mettait sa patience à rude épreuve, quand bien même elle réalisait enfin les tenant et aboutissement de cette entière situation. La culpabilité le rongeait, profondément, et cet état de fait éclatait le coeur de son aimée à grand coup de batte. Jamais elle n'avait souhaité qu'il se torde ainsi corps et esprit, et elle s'était tant acharnée à lui jurer que ce n'était pas grave, qu'elle l'aimerait chaque jour supplémentaires avec la même intensité, que si ce n'était pas elle qui lui fallait, alors soit, qu'elle ne savait aujourd'hui plus ce qu'elle pouvait faire pour lever cet odieux sentiment et ainsi apaiser son blond. Si c'était cet homme qui lui permettrait de s'épanouir, alors soit. Elle irait l'arracher à l’Égypte ou renverrait James là bas.
Le regard se lève en direction de Miguel et, le plus doucement du monde, ses doigts renoue avec ses boucles humides. Épouse les contours de sa mâchoire avec une infinie tendresse. Elle hésite un peu, clairement à dire vrai, mais renoue une fois encore avec les lèvres du Madrilène dans un sourire à peine voilé.
La voix du Grymm le fera pour elle, pourtant, et c'est pleinement surprise qu'elle se heurte de plein fouet à son regard de merlan arraché aux eaux. Qu'est-ce que... ? Les sourcils se font un poil contrarié, comme une enfant à qui on venait d'arracher son jouet favoris, et si elle tente un nouvel assaut sur cette gorge qu'elle embrassait tendrement, c'est un peu perdue qu'elle épouse finalement les questionnement du brun.
La prise autour de ses hanches se fait moins ferme- plus douce- et c'est un peu frustrée que Cataleya redresse le visage lorsqu'une main effleure sa joue. Glisse le plus doucement du monde l'une de ses rousses mèches derrière son oreille comme pour happer son entière attention..
Elle n'était pas quoi ?
Les lèvres se portent tendrement à la main venu discipliner ses cheveux, déposant un dernier baisé, avant que Cataleya ne se perde véritablement dans un regard dont elle admirait chacun des aspects. Elle ne comprend pas ce qu'il attend d'elle, et s'indignerait presque en crachant qu'elle était parfaitement épilée, n'avait aucune Mst et étaient parfaitement protégée, mais c'est tout doucement que son regard s'écarquille en réalisant ce qui se tapis sous les non-dits. Le rougissement est instantané, le regard fuit brusquement sur la droite et elle bredouillerait presque si ses lèvres parvenait à s'entrouvrir. C'est pourtant dans un soupire pleinement résigné qu'elle finit par choir sur l'épaule de Miguel, étrangle ses envies sur un manque d'expérience dont le brun semble avoir déceler les contours mais ne dit mot. Un instant du moins. Son index trace des étoiles sur le torse du madrilène pour faire le tri dans son esprit et, enfin, c'est après quelques minutes qu'elle tente une amorce de réponse.
« Vierge ? » Qu'on soit d'accord sur la question, tout d'abord, avant de se perdre dans des explications hors sujet ! « J'ignorai que ça t’effraierait à ce point, Pajares. » Le sourire est doux, quand bien même subitement plus timide car elle éprouve les plus grande peine à jauger de la situation. S'il ne l'a pas repoussé comme la pire des pestiféré, il ne fait nulle doute que ça l'a pleinement bloqué, et ce simple état de fait perturbe profondément la rousse. Miguel Pajares, celui dont les lèvres avaient couronnés la quasis totalité de la ville, refusait une occasion pourtant plus que facile auprès d'une fille qui le repoussait depuis plus de deux ans. Ca avait de quoi alerter. L'envie ne manquait pourtant pas, elle l'avait bien sentit...
« J'étais tout juste adolescente quand je sortais avec Cillian, on n'a jamais.. Enfin tu vois. Quelques chastes baisés derrière les murs de poudlard mais on n'a jamais été plus loin. C'est... Si bizarre ? » Et côté James, c'était le calme plat. Un effroyable néant qui mettait sa patience à rude épreuve, quand bien même elle réalisait enfin les tenant et aboutissement de cette entière situation. La culpabilité le rongeait, profondément, et cet état de fait éclatait le coeur de son aimée à grand coup de batte. Jamais elle n'avait souhaité qu'il se torde ainsi corps et esprit, et elle s'était tant acharnée à lui jurer que ce n'était pas grave, qu'elle l'aimerait chaque jour supplémentaires avec la même intensité, que si ce n'était pas elle qui lui fallait, alors soit, qu'elle ne savait aujourd'hui plus ce qu'elle pouvait faire pour lever cet odieux sentiment et ainsi apaiser son blond. Si c'était cet homme qui lui permettrait de s'épanouir, alors soit. Elle irait l'arracher à l’Égypte ou renverrait James là bas.
Elle se savait déjà promise à un autre, piégé, alors si l'un devait s'en sortir et déployer ses ailes loin du chaos ambiant, ça ne pouvait être que lui. Ca ne devait être que lui.
Le regard se lève en direction de Miguel et, le plus doucement du monde, ses doigts renoue avec ses boucles humides. Épouse les contours de sa mâchoire avec une infinie tendresse. Elle hésite un peu, clairement à dire vrai, mais renoue une fois encore avec les lèvres du Madrilène dans un sourire à peine voilé.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Jeu 19 Jan 2023 - 21:08
Il a toutes les peines du monde à la repousser, alors qu'elle essaye de nouveau d'imprimer sur sa peau le beige de ses lèvres. Il a posé la question mais il sait. Malgré ce sourcil roux arqué qui pourrait semer la confusion dans son esprit. Il sait. Et s'il était étonnait qu'elle ait pu tombé amoureuse... pourquoi donc était il étonné qu'elle soit vierge.
« Vierge ? J'ignorai que ça t’effraierait à ce point, Pajares. » Est-ce que ça l'effrayait ? Bonne question ça. Non, pas vraiment. De mémoire de Miguel, il n'avait jamais dépucelé personne. Ou alors, la fille était bonne comédienne et il n'avait rien vu... Bon d'accord y'avait pas tellement besoin d'être une excellente actrice pour qu'il n'y voit que du feu. Mais quand même.
Est-ce que ça changeait quelque-chose avec Cataleya ? Il aurait aimé dire de non tant le désir qu'il éprouvait pour la Blackthorn était éreintant. Mais c'était l'inverse enfaite. Ca changeait tout. Il arrivait même pas à dire pourquoi ça changeait tout. Bordel... Il avait fait sa première fois avec une pote pour "s'entrainer", on pouvait pas dire que c'était le comble du romantique. Alors pourquoi il ne voulait pas de ça pour Cataleya Blackthorn.
Elle se perd en explications, justifiant de sa virginité. Ce n'est pas ce qu'il attendait. Mais qu'attendait il, enfaite ? Lui même ne le savait pas. Bordel... Qu'est ce qu'il voudrait s'en foutre. Qu'est ce qu'il voudrait ne pas y penser... Il voudrait déconnecter son cerveau et que seules ses mains soient aptes à penser. Qu'il ressente sa peau sous ses mains, ses formes sous la pulpe de ses doigts, ses lèvres dans son cou, ses dents contre sa nuque. Il avait espéré cet instant tellement souvent qu'il ne pouvait pas les compter. Bordel.
Bordel. Elle l'embrasse de nouveau et il ne résiste pas à la tendresse de ses caresses. Il se laisse aller quelques secondes à ce baiser, ses mains reprennent leur course folle sur le corps de la rouquine. Ses hormones s'activent, son désir retrouve le chemin vers le septième ciel. Mais reste bloqué au premier. Peut être au second.
- Bordel Cat...
Il tourne la tête pour s'extraire de leur échange labial. Serre les dents. La repousse encore doucement.
- C'est pas une question de désir, ok ? Du désir, j'en ai a revendre. J'ai envie de toi depuis... pfiou j'sais même pas. Mais t'es sûr d'avoir envie que ça se passe comme ça ? Genre...
Genre avec lui ? Genre comme ça à l'arrache ? C'était tellement pas... elle.
« Vierge ? J'ignorai que ça t’effraierait à ce point, Pajares. » Est-ce que ça l'effrayait ? Bonne question ça. Non, pas vraiment. De mémoire de Miguel, il n'avait jamais dépucelé personne. Ou alors, la fille était bonne comédienne et il n'avait rien vu... Bon d'accord y'avait pas tellement besoin d'être une excellente actrice pour qu'il n'y voit que du feu. Mais quand même.
Est-ce que ça changeait quelque-chose avec Cataleya ? Il aurait aimé dire de non tant le désir qu'il éprouvait pour la Blackthorn était éreintant. Mais c'était l'inverse enfaite. Ca changeait tout. Il arrivait même pas à dire pourquoi ça changeait tout. Bordel... Il avait fait sa première fois avec une pote pour "s'entrainer", on pouvait pas dire que c'était le comble du romantique. Alors pourquoi il ne voulait pas de ça pour Cataleya Blackthorn.
Elle se perd en explications, justifiant de sa virginité. Ce n'est pas ce qu'il attendait. Mais qu'attendait il, enfaite ? Lui même ne le savait pas. Bordel... Qu'est ce qu'il voudrait s'en foutre. Qu'est ce qu'il voudrait ne pas y penser... Il voudrait déconnecter son cerveau et que seules ses mains soient aptes à penser. Qu'il ressente sa peau sous ses mains, ses formes sous la pulpe de ses doigts, ses lèvres dans son cou, ses dents contre sa nuque. Il avait espéré cet instant tellement souvent qu'il ne pouvait pas les compter. Bordel.
Bordel. Elle l'embrasse de nouveau et il ne résiste pas à la tendresse de ses caresses. Il se laisse aller quelques secondes à ce baiser, ses mains reprennent leur course folle sur le corps de la rouquine. Ses hormones s'activent, son désir retrouve le chemin vers le septième ciel. Mais reste bloqué au premier. Peut être au second.
- Bordel Cat...
Il tourne la tête pour s'extraire de leur échange labial. Serre les dents. La repousse encore doucement.
- C'est pas une question de désir, ok ? Du désir, j'en ai a revendre. J'ai envie de toi depuis... pfiou j'sais même pas. Mais t'es sûr d'avoir envie que ça se passe comme ça ? Genre...
Genre avec lui ? Genre comme ça à l'arrache ? C'était tellement pas... elle.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Jeu 19 Jan 2023 - 23:00
« Bordel Cat... »
Le cœur serré, éclaté sous ses froides canines, Cataleya observe le Madrilène prendre la fuite. Détourner la tête. Si la distance se grave sous cette main à la douceur ineffable et que la rousse s'y soumet sans grand mal, elle s'étranglent pourtant mille fois sur les incompréhension qui se pressent aux frontières de son esprit. Sent sa gorge se nouer sous des peurs primaires et acquises qui s'éveillent brusquement en elle, rugisse comme cent tempêtes. Que devait-elle conclure si même Miguel Pajares ne voulait pas d'elle ?
La claque est brutale et le regard se baisse un peu, effleure à peine cette main qui s’érige entre leurs deux corps. Quelque part sans doute revoit-elle toute ces fois où James l'avait repoussé sous prétexte de culpabilité, gravant un peu plus en profondeur les odieuse insécurités qui courraient sur les cuisses de son aimée. Elle avait tant glissé sur ses silences et inactions qu'elle en était venue à douter de son charme et, si James n'étaient en rien à l'origine de cette peur quasis panique de ne pas être assez belle -sa mère avait tant creusé le manque d'estime qu'il était aujourd'hui aisé de s'y engouffrer-, il ne faisait aucun doute qu'il avait posé les mains sur la plaie. Fait sauter les maigres points que Cataleya s'acharnait à suturer.
Le regard accroche les draps pour chasser les pensées qui grattent frénétiquement là, derrière de grand yeux chargé de brume, et elle se sent stupide Cataleya. Autant de réagir de la sorte que d'être là. Elle n'est ni sotte, ni dupe, et sait sa venue ici autant mue par la douleur que la colère. Par un désespoir sur lequel elle n'a aucune véritable prise. « C'est pas une question de désir, ok ? » Le cœur se serre si fort que la Blackthorn le croirait aux portes de l'implosion, pourtant elle respire encore, et ses doigts se détachent doucement de cet épiderme dont elle s'était tant éprise.
Étrangement la voix du Grymm la rassure plus qu'à l'habitude et c'est pleinement troublé qu'elle ramène ses mains autour de celle qui se dresse entre eux, se noue tendrement autour d'elle. Si on lui avait un jour dit que Miguel se soucierait des conditions de son dépucelage, sans doute aurait-elle rit. Plus encore si on avait prédit que c'est elle qui pousserait le vice et lui qui refrénerait ses plus basses ardeurs.
Non, elle n'en était pas certaine. Tout semblait si trouble autour d'elle et, si les lèvres de Miguel avaient réussit à éclaircir ne serait-ce qu'un peu l'horizon, force était d'admettre qu'elle n'était pas à l'aise à l'idée de faire du Grymm un vulgaire pansement posé sur les plaies qui se déchirait chaque nouveau jour passant. Elle ne stopperait pas l’hémorragie de cette façon, et il méritait bien plus que l'odieux rôle dans lequel elle cherchait à le jeter. Cette simple inquiétude posé alors qu'il brûlait autant qu'elle en était la plus belle des preuves.
Ca ne pouvait pas se passer comme ça, pas dans cet étrange brouillard, et encore moins parce qu'elle savait son couple éclaté. Miguel méritait mieux. Infiniment mieux.
« J'ai envie de toi » murmure t'elle à peine, comme pour amorcer une réponse qui s'effondre pourtant, menacé par le tremblement d'une voix à peine audible. « Et pas seulement parce que je me damnerait toute entière pour l'un de tes sourires... » Non. Ca c'était le supplément cerise sur une glace irrésistible. Miguel avait été là pendant deux ans, lourd, têtu, agaçant au possible, mais d'une audace et patience qui forçait le plus grand des respects. Elle n'avait jamais mâché ses mots, s'était volontairement faite plus cruelle, plus hargneuse aussi, et avait claqué par deux fois sa mains sur cette joue trop téméraire pour le rappeler à l'ordre sans pourtant jamais parvenir à le faire fuir. « Tu es ma bouée de sauvetage, Miguel. » Et elle s'y était accroché toutes griffes dehors pour ne pas sombrer lorsque les eaux se faisaient plus tumultueuses, plus cruelles qu'à l'habitude.
D'un mouvement gracile, Cataleya ramena la main du brun jusqu'à ses lèvres et y déposa un chaste baisé avant de lui rendre sa liberté en glissant sur le côté. Sa tête vint doucement renouer avec l'épaule du Grymm et, c'est après avoir longuement chassé les larmes du revers de son poignet qu'elle finit par nicher tout contre lui. « Je suis... Tellement en colère... Frustrée, aussi. Et je me sens tellement nulle... Je n'ai pas envie de t'utiliser comme exutoire et gâcher ce moment... C'est précieux. » Si la voix tremble encore un peu, Cataleya semble reprendre méthodiquement contenance, plus encore lorsqu'elle accroche le regard du Madrilène. Le sourire s'ose pourtant à peine, et c'est d'une main douce que la rousse se pique les doigts sur une mâchoire granuleuse. « Si on attend un peu, est-ce que je peux tout de même rester cette nuit..? Je vais m’effondrer si tu ne me garde pas dans tes bras... »
Et Morgane seule savait ô combien elle haïssait ce simple état de fait. Cette odieuse faiblesse qui la tenait et refusait de céder malgré les frénétiques coups de pied qu'elle lui envoyait au visage... « En plus tu as fait trop de popcorn pour une seule personne. Beaucoup trop. » Ose t'elle, avec bien plus de panache cette fois-ci, comme pour balayer ses sombres pensées sous le tapis en détournant sa propre attention sur l'odeur de sucre qui épouse les grognements soudains de son estomac.
Le cœur serré, éclaté sous ses froides canines, Cataleya observe le Madrilène prendre la fuite. Détourner la tête. Si la distance se grave sous cette main à la douceur ineffable et que la rousse s'y soumet sans grand mal, elle s'étranglent pourtant mille fois sur les incompréhension qui se pressent aux frontières de son esprit. Sent sa gorge se nouer sous des peurs primaires et acquises qui s'éveillent brusquement en elle, rugisse comme cent tempêtes. Que devait-elle conclure si même Miguel Pajares ne voulait pas d'elle ?
La claque est brutale et le regard se baisse un peu, effleure à peine cette main qui s’érige entre leurs deux corps. Quelque part sans doute revoit-elle toute ces fois où James l'avait repoussé sous prétexte de culpabilité, gravant un peu plus en profondeur les odieuse insécurités qui courraient sur les cuisses de son aimée. Elle avait tant glissé sur ses silences et inactions qu'elle en était venue à douter de son charme et, si James n'étaient en rien à l'origine de cette peur quasis panique de ne pas être assez belle -sa mère avait tant creusé le manque d'estime qu'il était aujourd'hui aisé de s'y engouffrer-, il ne faisait aucun doute qu'il avait posé les mains sur la plaie. Fait sauter les maigres points que Cataleya s'acharnait à suturer.
Le regard accroche les draps pour chasser les pensées qui grattent frénétiquement là, derrière de grand yeux chargé de brume, et elle se sent stupide Cataleya. Autant de réagir de la sorte que d'être là. Elle n'est ni sotte, ni dupe, et sait sa venue ici autant mue par la douleur que la colère. Par un désespoir sur lequel elle n'a aucune véritable prise. « C'est pas une question de désir, ok ? » Le cœur se serre si fort que la Blackthorn le croirait aux portes de l'implosion, pourtant elle respire encore, et ses doigts se détachent doucement de cet épiderme dont elle s'était tant éprise.
Étrangement la voix du Grymm la rassure plus qu'à l'habitude et c'est pleinement troublé qu'elle ramène ses mains autour de celle qui se dresse entre eux, se noue tendrement autour d'elle. Si on lui avait un jour dit que Miguel se soucierait des conditions de son dépucelage, sans doute aurait-elle rit. Plus encore si on avait prédit que c'est elle qui pousserait le vice et lui qui refrénerait ses plus basses ardeurs.
« Mais t'es sûre d'avoir envie que ça se passe comme ça ? »
Non, elle n'en était pas certaine. Tout semblait si trouble autour d'elle et, si les lèvres de Miguel avaient réussit à éclaircir ne serait-ce qu'un peu l'horizon, force était d'admettre qu'elle n'était pas à l'aise à l'idée de faire du Grymm un vulgaire pansement posé sur les plaies qui se déchirait chaque nouveau jour passant. Elle ne stopperait pas l’hémorragie de cette façon, et il méritait bien plus que l'odieux rôle dans lequel elle cherchait à le jeter. Cette simple inquiétude posé alors qu'il brûlait autant qu'elle en était la plus belle des preuves.
Ca ne pouvait pas se passer comme ça, pas dans cet étrange brouillard, et encore moins parce qu'elle savait son couple éclaté. Miguel méritait mieux. Infiniment mieux.
« J'ai envie de toi » murmure t'elle à peine, comme pour amorcer une réponse qui s'effondre pourtant, menacé par le tremblement d'une voix à peine audible. « Et pas seulement parce que je me damnerait toute entière pour l'un de tes sourires... » Non. Ca c'était le supplément cerise sur une glace irrésistible. Miguel avait été là pendant deux ans, lourd, têtu, agaçant au possible, mais d'une audace et patience qui forçait le plus grand des respects. Elle n'avait jamais mâché ses mots, s'était volontairement faite plus cruelle, plus hargneuse aussi, et avait claqué par deux fois sa mains sur cette joue trop téméraire pour le rappeler à l'ordre sans pourtant jamais parvenir à le faire fuir. « Tu es ma bouée de sauvetage, Miguel. » Et elle s'y était accroché toutes griffes dehors pour ne pas sombrer lorsque les eaux se faisaient plus tumultueuses, plus cruelles qu'à l'habitude.
Plus qu'un éphèbe, Miguel avait l'âme d'un chevalier.
D'un mouvement gracile, Cataleya ramena la main du brun jusqu'à ses lèvres et y déposa un chaste baisé avant de lui rendre sa liberté en glissant sur le côté. Sa tête vint doucement renouer avec l'épaule du Grymm et, c'est après avoir longuement chassé les larmes du revers de son poignet qu'elle finit par nicher tout contre lui. « Je suis... Tellement en colère... Frustrée, aussi. Et je me sens tellement nulle... Je n'ai pas envie de t'utiliser comme exutoire et gâcher ce moment... C'est précieux. » Si la voix tremble encore un peu, Cataleya semble reprendre méthodiquement contenance, plus encore lorsqu'elle accroche le regard du Madrilène. Le sourire s'ose pourtant à peine, et c'est d'une main douce que la rousse se pique les doigts sur une mâchoire granuleuse. « Si on attend un peu, est-ce que je peux tout de même rester cette nuit..? Je vais m’effondrer si tu ne me garde pas dans tes bras... »
Et Morgane seule savait ô combien elle haïssait ce simple état de fait. Cette odieuse faiblesse qui la tenait et refusait de céder malgré les frénétiques coups de pied qu'elle lui envoyait au visage... « En plus tu as fait trop de popcorn pour une seule personne. Beaucoup trop. » Ose t'elle, avec bien plus de panache cette fois-ci, comme pour balayer ses sombres pensées sous le tapis en détournant sa propre attention sur l'odeur de sucre qui épouse les grognements soudains de son estomac.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Mar 24 Jan 2023 - 21:42
C'était difficile pour Miguel de concevoir que la sublime Cataleya Blackthorn puisse encore être vierge. Et s'il avait mille fois fantasmé sur la possibilité de s'unir charnellement à elle, il n'avait pas imaginé qu'il puisse être sa première fois. Il repense à [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que tout sépare de la rouquine. La sulfureuse Alvares était aussi vierge que Miguel quand, au crepuscule de leur adolescence, ils étaient offert l'un à l'autre. L'idée était alors de s'assurer que leur manque d'expérience ne leur soit jamais préjudiciable... Ils avaient renouvelé l'expérience aussi souvent qu'ils en avaient eu envie. Aussi souvent que les hormones avaient pu les chatouiller.
Mais l'idée de sacrifier la première fois de Cataleya sur l'autel de son plaisir personnel était... étrange. Il avait furieusement envie d'elle et la sensation d'étroitesse qu'il ressentait à l'instant en était fort témoin. Il n'eut aucun mal à la rassurer la dessus. Parce qu'il voyait bien, ce besoin d'être rassurée.
Lui aussi, d'une certaine manière, avait besoin d'être rassuré. Est ce qu'elle avait envie que ça se passe ainsi ? La rouquine aurait pu lui assurer que oui, que c'était exactement ce qu'elle voulait, alors il aurait laissé libre court à son désir. Mais à peine la question poser voit il que la Blackthorn doute, hésite. Son regard céruléen se fait fuyant. « J'ai envie de toi. Et pas seulement parce que je me damnerait toute entière pour l'un de tes sourires... » L'espagnol lui offre son fameux sourire alors que son regard lui hurle a quel point lui aussi, il a envie d'elle. Une partie de lui se hait de faire tant d'histoire d'une viriginité qu'elle devra perdre. L'autre grimage alors qu'elle le qualifie de bouée. Sa fierté en prend un coup bien qu'il ne dise rien.
Il l'accompagne alors qu'elle abandonne sa position, se nichant dans le creux de son bras pour la seconde fois. De nouveau, il l'attire contre lui. Déposant sur son front un baiser. « Si on attend un peu, est-ce que je peux tout de même rester cette nuit..? Je vais m’effondrer si tu ne me garde pas dans tes bras... ». Doit il comprendre que ce n'est que partie remise ? Que tout ses souhaits finiront exaucés ?
- Tu peux rester autant que tu veux.
Il rit alors qu'elle commente la taille du saladier de pop-corn qui refroidit sur la table de nuit, saladier qu'il récupère et place en équilibre sur son ventre. Il en attrape un, particulièrement caramélisé si bien qu'il colle à ses doigts. Il l'apporte à la bouche de la future médicomage dans un geste tendre, essayant d'oublier pourtant la sensation de ses lèvres contre la pulpe de ses doigts.
- Pas de muraille d'oreillers du coup ?
Demande-t-il, taquin, bien décidé à la garder contre lui autant de temps qu'elle en aurait besoin.
Mais l'idée de sacrifier la première fois de Cataleya sur l'autel de son plaisir personnel était... étrange. Il avait furieusement envie d'elle et la sensation d'étroitesse qu'il ressentait à l'instant en était fort témoin. Il n'eut aucun mal à la rassurer la dessus. Parce qu'il voyait bien, ce besoin d'être rassurée.
Lui aussi, d'une certaine manière, avait besoin d'être rassuré. Est ce qu'elle avait envie que ça se passe ainsi ? La rouquine aurait pu lui assurer que oui, que c'était exactement ce qu'elle voulait, alors il aurait laissé libre court à son désir. Mais à peine la question poser voit il que la Blackthorn doute, hésite. Son regard céruléen se fait fuyant. « J'ai envie de toi. Et pas seulement parce que je me damnerait toute entière pour l'un de tes sourires... » L'espagnol lui offre son fameux sourire alors que son regard lui hurle a quel point lui aussi, il a envie d'elle. Une partie de lui se hait de faire tant d'histoire d'une viriginité qu'elle devra perdre. L'autre grimage alors qu'elle le qualifie de bouée. Sa fierté en prend un coup bien qu'il ne dise rien.
Il l'accompagne alors qu'elle abandonne sa position, se nichant dans le creux de son bras pour la seconde fois. De nouveau, il l'attire contre lui. Déposant sur son front un baiser. « Si on attend un peu, est-ce que je peux tout de même rester cette nuit..? Je vais m’effondrer si tu ne me garde pas dans tes bras... ». Doit il comprendre que ce n'est que partie remise ? Que tout ses souhaits finiront exaucés ?
- Tu peux rester autant que tu veux.
Il rit alors qu'elle commente la taille du saladier de pop-corn qui refroidit sur la table de nuit, saladier qu'il récupère et place en équilibre sur son ventre. Il en attrape un, particulièrement caramélisé si bien qu'il colle à ses doigts. Il l'apporte à la bouche de la future médicomage dans un geste tendre, essayant d'oublier pourtant la sensation de ses lèvres contre la pulpe de ses doigts.
- Pas de muraille d'oreillers du coup ?
Demande-t-il, taquin, bien décidé à la garder contre lui autant de temps qu'elle en aurait besoin.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Mer 25 Jan 2023 - 0:15
Elle s’apaise Cataleya, sous les caresses de cette voix à l'accent chaud et réconfortant. Clos le regard lorsque les lèvres sertissent le plus joliment du monde son front et se surprend à naïvement s'émerveiller devant les mots qu'on lui offre. Rester, elle aimerait pouvoir le faire des jours durant, juste le temps de se remettre sur pied et dévorer le monde avec l'intensité qu'on attendait d'elle. Juste le temps de reprendre du poil de la bête et affronter le chaos qui hurlait dehors. Elle s'en sait pourtant incapable, autant parce que le désespoir de James la tient en alerte quasis constante que par pure fierté. Miguel était en cette nuit un ange véritable mais l'épine noire connaissait sa réputation et l'avait suffisamment vue à l’œuvre pour se convaincre qu'une fois abandonnée sur ses draps, il ne reviendrait pas.
Et pourtant, sa patience, sa douceur, et cette faculté à demeurer aux frontières du précipices alors que leurs deux corps respectifs hurlaient à l'unisson était tant de signaux qui donnèrent, cette fois du moins, infiniment tord à ses mécanismes de défenses si hostile. Tant de signaux qui la firent espérer, un peu du moins, qu'il ne prendrait pas totalement la fuite un fois qu'il aurait eu ce qu'il voulait. Ce qu'ils voulaient.
Le rire du madrilène suffit de toute manière à balayer les appréhensions car c'est irrépressiblement qu'il love un peu plus le corps de Cataleya contre celui du Grymm. Cristallise son attention toute entière sur les mains de Miguel et chacun leurs gestes, aussi infimes furent-ils. L'odeur du caramel mêlé au shampoing du brun la redresse difficilement sur un coudes mais la recouche lorsqu'un pop-corn est doucement porté à sa bouche. L'attention est charmante, clairement. Si Cataleya épouse le contact l'éther au bout des lèvres, son regard ne se détache en rien de celui de Miguel, pleinement captivé par ces gestes si simple et pourtant éloigné en tout point de son bien froid quotidien. Et elle s'émerveille Cataleya, tout bonnement.
Sa langue effleure à peine la pulpe de ces doigts mais le sourire se dessine, irrémédiablement. Circée ! Elle se sent presque flotter, un genoux sur son nuage, l'autre dans le vide, encore un peu hésitant.
L'index posé sur le saladier, Cat se perd encore un peu sur les iris de Miguel, glisse sur les traits de son visage pour finalement épouser un pop-corn qu'elle pose sur sa bouche, faute de pouvoir l'embrasser. Elle s'en mord pourtant la lèvres inférieure Cat, et maudit mille fois ses appréhensions d'avoir préféré la prudence au plaisir immédiat.
« Tu vas me rendre folle Pajares. Vraiment. » Et ce qui se tissait sous leurs étoiles était infiniment mal. Préjudiciables, surtout. Son pouce effleure ces odieuses lèvres tentatrices avant de retomber mollement sur le torse du Grymm, s'y accrochant doucement pour l'inviter à la serrer un peu plus fort encore. Sa cuisse remonte un peu, glisse sur celle du brun pour dévoiler une série de rune méticuleusement gravé ainsi que les prémisses d'un tatouage discret mais se stoppe soudainement, parfaitement consciente de la torture qu'engendrerait la suite de son mouvement ; elle finirait forcément par vouloir de nouveau se hisser sur le madrilène et n'était pas certaine que ni elle, ni lui n'aient la force de discipliner leurs ardeurs respectives cette fois-ci. Alors, dans un grondement à peine perceptible elle plonge son visage dans le T-shirt du vert pour taire ce qui la grisait autant qu'il la brûlait tout entière. Elle allait le bouffer. Clairement.
« Pourquoi … Tu es aussi gentil avec moi ? Je veux dire, je suis clairement odieuse parfois. Souvent, même. » Murmure t'elle après un trop long silence, relevant ses grands yeux bleu vers le Grymm. «Tu devrais fêter tes victoires avec tes coéquipier et tu te condamne pourtant à être séquestré dans mes bras, c'est quand même une bien triste fin pour le poursuiveur le plus impressionnant des grymm, non ? » Le ton est doux, le sourire plus encore, et c'est d'une main tendre qu'elle glisse une nouvelle fois sous les boucles du madrilène pour longuement en masser le cuir chevelu. «C'est ton syndrome du sauveur qui t'a poussé vers les forces publiques ? »
Et pourtant, sa patience, sa douceur, et cette faculté à demeurer aux frontières du précipices alors que leurs deux corps respectifs hurlaient à l'unisson était tant de signaux qui donnèrent, cette fois du moins, infiniment tord à ses mécanismes de défenses si hostile. Tant de signaux qui la firent espérer, un peu du moins, qu'il ne prendrait pas totalement la fuite un fois qu'il aurait eu ce qu'il voulait. Ce qu'ils voulaient.
Le rire du madrilène suffit de toute manière à balayer les appréhensions car c'est irrépressiblement qu'il love un peu plus le corps de Cataleya contre celui du Grymm. Cristallise son attention toute entière sur les mains de Miguel et chacun leurs gestes, aussi infimes furent-ils. L'odeur du caramel mêlé au shampoing du brun la redresse difficilement sur un coudes mais la recouche lorsqu'un pop-corn est doucement porté à sa bouche. L'attention est charmante, clairement. Si Cataleya épouse le contact l'éther au bout des lèvres, son regard ne se détache en rien de celui de Miguel, pleinement captivé par ces gestes si simple et pourtant éloigné en tout point de son bien froid quotidien. Et elle s'émerveille Cataleya, tout bonnement.
Sa langue effleure à peine la pulpe de ces doigts mais le sourire se dessine, irrémédiablement. Circée ! Elle se sent presque flotter, un genoux sur son nuage, l'autre dans le vide, encore un peu hésitant.
« Pas de muraille d'oreillers du coup ? »
« Surtout pas. » Ca lui échappe, littéralement, et le timbre tient tant de la supplique, plus que de l'affirmation, qu'elle en rougit subitement. « Là, maintenant, je sais que je serais incapable de la respecter. » Reprend t'elle plus doucement, quand bien même la lueur qui glisse sous l'océan de ses yeux se fait en tout point équivoque. Si Miguel prendrait l'improbable décision d’ériger un mur de coussin, Cataleya se savait suffisamment mise en appétit par leurs baisés pour se hisser par delà l'obstacle, fondre sur le grymm et faire voler en éclat la prudente décision d'attendre un peu. Juste un peu. Elle se consumait de désir, regrettait déjà de ne pas avoir cédé à l'impulsivité et jeter son T-shirt trop grand sur la porte de la chambre mais se fit pleinement violence en disciplinant une à une ses envies. L'index posé sur le saladier, Cat se perd encore un peu sur les iris de Miguel, glisse sur les traits de son visage pour finalement épouser un pop-corn qu'elle pose sur sa bouche, faute de pouvoir l'embrasser. Elle s'en mord pourtant la lèvres inférieure Cat, et maudit mille fois ses appréhensions d'avoir préféré la prudence au plaisir immédiat.
« Tu vas me rendre folle Pajares. Vraiment. » Et ce qui se tissait sous leurs étoiles était infiniment mal. Préjudiciables, surtout. Son pouce effleure ces odieuses lèvres tentatrices avant de retomber mollement sur le torse du Grymm, s'y accrochant doucement pour l'inviter à la serrer un peu plus fort encore. Sa cuisse remonte un peu, glisse sur celle du brun pour dévoiler une série de rune méticuleusement gravé ainsi que les prémisses d'un tatouage discret mais se stoppe soudainement, parfaitement consciente de la torture qu'engendrerait la suite de son mouvement ; elle finirait forcément par vouloir de nouveau se hisser sur le madrilène et n'était pas certaine que ni elle, ni lui n'aient la force de discipliner leurs ardeurs respectives cette fois-ci. Alors, dans un grondement à peine perceptible elle plonge son visage dans le T-shirt du vert pour taire ce qui la grisait autant qu'il la brûlait tout entière. Elle allait le bouffer. Clairement.
« Pourquoi … Tu es aussi gentil avec moi ? Je veux dire, je suis clairement odieuse parfois. Souvent, même. » Murmure t'elle après un trop long silence, relevant ses grands yeux bleu vers le Grymm. «Tu devrais fêter tes victoires avec tes coéquipier et tu te condamne pourtant à être séquestré dans mes bras, c'est quand même une bien triste fin pour le poursuiveur le plus impressionnant des grymm, non ? » Le ton est doux, le sourire plus encore, et c'est d'une main tendre qu'elle glisse une nouvelle fois sous les boucles du madrilène pour longuement en masser le cuir chevelu. «C'est ton syndrome du sauveur qui t'a poussé vers les forces publiques ? »
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Mar 7 Fév 2023 - 18:30
L’exercice était difficile pour celui qui avait l’habitude de simplement céder à ses envies dès que l’occasion se présentait. Quand elle serait partie et qu’il jetterait un œil sur cette soirée, il se demanderait comment, par Merlin, il avait pu discipliner son désir et repousser celle qu’il voulait découvrir depuis si longtemps.
Mais elle avait résisté si longtemps, la rouquine. Deux ans qu’il retirait pierre après pierre le mur derrière lequel elle s’était dissimulée. Un travail de longue haleine, minutieux, qu’il ne pensait pas qu’il aurait entrepris un jour. Pouvait-il céder à l’impatience, finir le travail à coup de maillets au risque de tout gâcher ? C’est que durant ces deux longues années, il avait apprit à la connaître et d’une certaine manière à l’aimer.
La décision est prise. Il se demande à quel point il va la regretter. Le pop-corn qu’il glisse entre ses lèvres est une mauvaise diversion. L’idée qu’elle reste dans ses bras toutes la nuit et abandonne pour cette fois sa sacro-sainte muraille d’oreiller n’était pas une aide en soit. Il sentait encore le corps tendu et chaud de la Blackthorn contre son flanc. Il avait l’impression que rien ne viendrait apaiser le feu qui brûlait entre eux.
« Tu vas me rendre folle Pajares. Vraiment. » Il rit. Vraiment. Et son sourire à damner un ange, la fossette sous le menton… tout. Il rit parce que c’est vraiment l’hopital qui se fout de la charité.
- Deux ans que tu me rends fou et je devrais te plaindre ?
Ses mains restent sages tandis que celles de l’épine noire s’aventurent sur ses lèvre puis sur son torse comme pour le tester encore un peu. Il ferme les yeux une seconde, épuisé par ces ressentis qu’il ne peut exprimer. Il semble l’écouter au loin. Sourit alors qu’elle reconnaît être souvent odieuse. Hoche la tête quand elle affirme qu’il est le meilleur joueur des Grymm et de l’univers tout entier. Et cette question qui lui donne l’occasion d’en raconter un peu.
- J’étais gentil avec toi parce que je voulais coucher avec toi. Et même odieuse, t’étais canon ça changeait pas grand chose… c'était juste pas toujours facile d'être gentil. J'ai cru que j'allais t'emplafonner une paire de fois, tu sais. Maintenant, je suis gentil parce que …
Parce qu’il l’aimait bien. Mais il était incapable de l’exprimer ainsi.
- Parce que t’as définitivement besoin d’un ami. Et sûrement d’un amant aussi. Et je te jure que je serais super. Surtout comme amant. Quand tu seras prête.
Il marque une pause. Et se souvenant de la dernière question il ajoute :
- Et c’est ma grand-mère qui m’a donné envie de rejoindre les forces publiques. Elle était tireuse d’élite. Une des meilleures que le gouvernement espagnol ait pu connaître.
Mais elle avait résisté si longtemps, la rouquine. Deux ans qu’il retirait pierre après pierre le mur derrière lequel elle s’était dissimulée. Un travail de longue haleine, minutieux, qu’il ne pensait pas qu’il aurait entrepris un jour. Pouvait-il céder à l’impatience, finir le travail à coup de maillets au risque de tout gâcher ? C’est que durant ces deux longues années, il avait apprit à la connaître et d’une certaine manière à l’aimer.
La décision est prise. Il se demande à quel point il va la regretter. Le pop-corn qu’il glisse entre ses lèvres est une mauvaise diversion. L’idée qu’elle reste dans ses bras toutes la nuit et abandonne pour cette fois sa sacro-sainte muraille d’oreiller n’était pas une aide en soit. Il sentait encore le corps tendu et chaud de la Blackthorn contre son flanc. Il avait l’impression que rien ne viendrait apaiser le feu qui brûlait entre eux.
« Tu vas me rendre folle Pajares. Vraiment. » Il rit. Vraiment. Et son sourire à damner un ange, la fossette sous le menton… tout. Il rit parce que c’est vraiment l’hopital qui se fout de la charité.
- Deux ans que tu me rends fou et je devrais te plaindre ?
Ses mains restent sages tandis que celles de l’épine noire s’aventurent sur ses lèvre puis sur son torse comme pour le tester encore un peu. Il ferme les yeux une seconde, épuisé par ces ressentis qu’il ne peut exprimer. Il semble l’écouter au loin. Sourit alors qu’elle reconnaît être souvent odieuse. Hoche la tête quand elle affirme qu’il est le meilleur joueur des Grymm et de l’univers tout entier. Et cette question qui lui donne l’occasion d’en raconter un peu.
- J’étais gentil avec toi parce que je voulais coucher avec toi. Et même odieuse, t’étais canon ça changeait pas grand chose… c'était juste pas toujours facile d'être gentil. J'ai cru que j'allais t'emplafonner une paire de fois, tu sais. Maintenant, je suis gentil parce que …
Parce qu’il l’aimait bien. Mais il était incapable de l’exprimer ainsi.
- Parce que t’as définitivement besoin d’un ami. Et sûrement d’un amant aussi. Et je te jure que je serais super. Surtout comme amant. Quand tu seras prête.
Il marque une pause. Et se souvenant de la dernière question il ajoute :
- Et c’est ma grand-mère qui m’a donné envie de rejoindre les forces publiques. Elle était tireuse d’élite. Une des meilleures que le gouvernement espagnol ait pu connaître.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Mar 7 Fév 2023 - 21:32
« Toi tu as cent paire de cuisses contre lesquels tu peux noyer tes désirs, moi il n'y a que toi que je veux... » Elle murmure à peine princesse Cataleya, comme de peur qu'on puisse surprendre cet échange glissé au creux de son oreille, mais serre d'avantage les cuisses pour contenir la fièvre qui embrase son ventre.
Niché dans les bras du madrilène, le regard clos quoiqu'elle murmura par deux fois qu'elle ne dormait pas, Cataleya réalisait ô combien la chaleur d'une étreinte lui était essentiel pour survivre. Et ô combien elle était chanceuse d'avoir Miguel dans son entourage, surtout. Pour la première fois depuis des jours elle respirait librement, pleinement rassurée par une présence dont elle aimait pourtant se méfier. Pleinement épanouie, aussi, en dépit des larmes et du chaos qu’elle venait de temps à autre à essuyer sur sa joue. Si elle s'étonna de la confiance qu'elle avait placée entre les mains du madrilène, elle ne marqua cette fois-ci aucune opposition, absorbée par la sensation de flottement que cela lui procurait. Définitivement amourachée de ce sentiment de sécurité qu'il faisait naître en elle.
Plus d'une fois alors, elle se laissa griser par cette chaleur, ce rire, cette voix, cette peau dont inlassablement elle s’enivrait. Et plus d’une fois elle chercha à renouer avec ses mains pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas entièrement. Sans doute se maudirait-elle demain, certainement même que l'idée d'être devenue l'une de ses groupies décérébrée lui arracherait plus d'une nausée, mais pour l'heure profiter tenait du besoin et c'est tout doucement qu'elle se laissa bercer par cet accent chaud aux allures de caresse. Un temps du moins car se sentant dériver, Cataleya entrouvrit les yeux sous les mot du grymm. "J'ai cru que j'allais t'emplafonner une paire de fois, tu sais". Elle rit, doucement car épuisée, mais le regard se tourne infiniment doux vers le brun. Il aurait pu, elle l'aurait bien mérité. Pourtant ce qui suit creuse un peu plus l'attention.
Il est vrai qu'elle s'étonne des mots du Grymm et, si en temps normal elle aurait levé les yeux dans un 'mais bien sûr" incrédule lorsqu'il évoque le terme d'ami, force est d'admettre que, prise dans la tendresse du moment, Cataleya le croit sans mal aucun. S'en émeut même car, si elle lève effectivement son regard vers le plafond et s'ancre quelques seconde sur une toile d'araignée, c'est pour mieux lutter contre de nouvelle larmes venu affluer. Circée ! Qu'avait-elle fait pour mériter pareille merveille ? Gouter, une soirée du moins, à un petit bout de paradis ?
« J'ai... Clairement besoin d'un ami. Surtout en ce moment... Et j'aurai clairement besoin d'un amant qualifié lorsque je serais certaine que tout se passera bien à la maison... Mais pour ça, je n'ai aucun doute du fait que tu seras le meilleur. J'espère pour toi que tu as un bon cardio, sinon t'es foutu. » Parce qu'elle t'épuiserait, Mig. Les bras s'étirent doucement, le dos se cambre lascivement, mais c'est plus timide que la rousse éteint un bâillement sur le coeur du Grymm. Ses paupières lui semblent infiniment lourdes, son corps trop mou, et si elle envisage de se redresser pour chasser la léthargie qui la mord, la voix de l'espagnol glisse si doucement sur son épiderme qu'elle s'abandonne dans l'instant. Pourtant, lâcher ainsi prise l'avait toujours terrifiée.
Une grand mère tireuse d'élite, donc. Le pouce caresse tendrement la joue du brun, autant pour faire écho à la douceur de Miguel que pour dissiper ses propres pensées ; quelque part sans doute, et le plus naïvement du monde, elle avait crû déceler en cette voie choisis qu'un vulgaire besoin de sensation forte. Potentiellement une arme de séduction supplémentaire car, avouons le, tout ce qui touchait aux forces de l'ordre semblait terriblement sexy aux yeux de la Blackthorn. Elle avait imaginé qu'un héro bodybuildé, fictif ou non, avait guidé les fantasmes de bébé Miguel mais, non. Étrangement, l'idée que ce soit sa grand mère qui lui ait donné l'envie de protéger les autres attendrit profondément la sorcière qui figea doucement son pouce, là, sur l'épiderme granuleux du madrilène.
« Tu es quelqu'un de bien, Miguel Alejandro Pajares... Tu n'as aucune idée de la force que tu as été dans ma vie ces deux dernières années. Merci pour ça.. » Ce nom, à peine murmuré, pique ses fossettes et la pare d’un sourire nouvellement solaire tant elle s’est appliquée à lui rendre justice dans un langage répudié par son adoption. Pourtant Cataleya se trouble sur le regard du Madrilène, devant le constat qu'elle se sent infiniment bien dans ses bras, qu'elle se damnerait pour qu'il la regarde tout les jours comme il la regardait à cet instant précis. Un frisson glisse sur sa peau, et si elle persiste à se perdre sur les contours de ce visage sublimé par l'ampoule au dessus d'eux, c'est un peu brusque qu'elle cherche à se saisir de la télécommande pour s’extraire du trouble qui presse les battements de son coeur.
« Elle était comment ? Ta grand mère ?. » Demande finalement Cataleya, faisant mine de chercher un titre qui ne vient pas. Son dos se redresse, à genoux sur le lit, mais le balancement léger de sa tête trahit sans mal la fatigue qui pèse sur ses petites épaules désormais détendues. Le dialogue qui suit également, car il ne fait nul doute qu'elle lutte farouchement contre sa dette de sommeil, petite Cataleya. « Je n'ai plus aucun souvenir de l'Espagne... Ma mère me dépeint parfois l'orphelinat dans lequel j'étais mais... A part les bougainvillier et les ports, pas grand chose ne me revienne. C'est un peu frustrant. . »
La moue se forme un instant, mais c'est le plus dramatiquement du monde qu'elle se laisse retomber en arrière, sur le doux matelas de Miguel. « Film ? Je suis une amoureuse inconditionnelle de l'horreur. . » Le sourire se fait un poil narquois lorsqu'elle tend finalement ses doigts trop blanc en direction de Miguel. « Et puis si tu as peur Pajares, je pourrais toujours te tenir la main. . »
Niché dans les bras du madrilène, le regard clos quoiqu'elle murmura par deux fois qu'elle ne dormait pas, Cataleya réalisait ô combien la chaleur d'une étreinte lui était essentiel pour survivre. Et ô combien elle était chanceuse d'avoir Miguel dans son entourage, surtout. Pour la première fois depuis des jours elle respirait librement, pleinement rassurée par une présence dont elle aimait pourtant se méfier. Pleinement épanouie, aussi, en dépit des larmes et du chaos qu’elle venait de temps à autre à essuyer sur sa joue. Si elle s'étonna de la confiance qu'elle avait placée entre les mains du madrilène, elle ne marqua cette fois-ci aucune opposition, absorbée par la sensation de flottement que cela lui procurait. Définitivement amourachée de ce sentiment de sécurité qu'il faisait naître en elle.
Plus d'une fois alors, elle se laissa griser par cette chaleur, ce rire, cette voix, cette peau dont inlassablement elle s’enivrait. Et plus d’une fois elle chercha à renouer avec ses mains pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas entièrement. Sans doute se maudirait-elle demain, certainement même que l'idée d'être devenue l'une de ses groupies décérébrée lui arracherait plus d'une nausée, mais pour l'heure profiter tenait du besoin et c'est tout doucement qu'elle se laissa bercer par cet accent chaud aux allures de caresse. Un temps du moins car se sentant dériver, Cataleya entrouvrit les yeux sous les mot du grymm. "J'ai cru que j'allais t'emplafonner une paire de fois, tu sais". Elle rit, doucement car épuisée, mais le regard se tourne infiniment doux vers le brun. Il aurait pu, elle l'aurait bien mérité. Pourtant ce qui suit creuse un peu plus l'attention.
Il est vrai qu'elle s'étonne des mots du Grymm et, si en temps normal elle aurait levé les yeux dans un 'mais bien sûr" incrédule lorsqu'il évoque le terme d'ami, force est d'admettre que, prise dans la tendresse du moment, Cataleya le croit sans mal aucun. S'en émeut même car, si elle lève effectivement son regard vers le plafond et s'ancre quelques seconde sur une toile d'araignée, c'est pour mieux lutter contre de nouvelle larmes venu affluer. Circée ! Qu'avait-elle fait pour mériter pareille merveille ? Gouter, une soirée du moins, à un petit bout de paradis ?
« J'ai... Clairement besoin d'un ami. Surtout en ce moment... Et j'aurai clairement besoin d'un amant qualifié lorsque je serais certaine que tout se passera bien à la maison... Mais pour ça, je n'ai aucun doute du fait que tu seras le meilleur. J'espère pour toi que tu as un bon cardio, sinon t'es foutu. » Parce qu'elle t'épuiserait, Mig. Les bras s'étirent doucement, le dos se cambre lascivement, mais c'est plus timide que la rousse éteint un bâillement sur le coeur du Grymm. Ses paupières lui semblent infiniment lourdes, son corps trop mou, et si elle envisage de se redresser pour chasser la léthargie qui la mord, la voix de l'espagnol glisse si doucement sur son épiderme qu'elle s'abandonne dans l'instant. Pourtant, lâcher ainsi prise l'avait toujours terrifiée.
Une grand mère tireuse d'élite, donc. Le pouce caresse tendrement la joue du brun, autant pour faire écho à la douceur de Miguel que pour dissiper ses propres pensées ; quelque part sans doute, et le plus naïvement du monde, elle avait crû déceler en cette voie choisis qu'un vulgaire besoin de sensation forte. Potentiellement une arme de séduction supplémentaire car, avouons le, tout ce qui touchait aux forces de l'ordre semblait terriblement sexy aux yeux de la Blackthorn. Elle avait imaginé qu'un héro bodybuildé, fictif ou non, avait guidé les fantasmes de bébé Miguel mais, non. Étrangement, l'idée que ce soit sa grand mère qui lui ait donné l'envie de protéger les autres attendrit profondément la sorcière qui figea doucement son pouce, là, sur l'épiderme granuleux du madrilène.
« Tu es quelqu'un de bien, Miguel Alejandro Pajares... Tu n'as aucune idée de la force que tu as été dans ma vie ces deux dernières années. Merci pour ça.. » Ce nom, à peine murmuré, pique ses fossettes et la pare d’un sourire nouvellement solaire tant elle s’est appliquée à lui rendre justice dans un langage répudié par son adoption. Pourtant Cataleya se trouble sur le regard du Madrilène, devant le constat qu'elle se sent infiniment bien dans ses bras, qu'elle se damnerait pour qu'il la regarde tout les jours comme il la regardait à cet instant précis. Un frisson glisse sur sa peau, et si elle persiste à se perdre sur les contours de ce visage sublimé par l'ampoule au dessus d'eux, c'est un peu brusque qu'elle cherche à se saisir de la télécommande pour s’extraire du trouble qui presse les battements de son coeur.
« Elle était comment ? Ta grand mère ?. » Demande finalement Cataleya, faisant mine de chercher un titre qui ne vient pas. Son dos se redresse, à genoux sur le lit, mais le balancement léger de sa tête trahit sans mal la fatigue qui pèse sur ses petites épaules désormais détendues. Le dialogue qui suit également, car il ne fait nul doute qu'elle lutte farouchement contre sa dette de sommeil, petite Cataleya. « Je n'ai plus aucun souvenir de l'Espagne... Ma mère me dépeint parfois l'orphelinat dans lequel j'étais mais... A part les bougainvillier et les ports, pas grand chose ne me revienne. C'est un peu frustrant. . »
La moue se forme un instant, mais c'est le plus dramatiquement du monde qu'elle se laisse retomber en arrière, sur le doux matelas de Miguel. « Film ? Je suis une amoureuse inconditionnelle de l'horreur. . » Le sourire se fait un poil narquois lorsqu'elle tend finalement ses doigts trop blanc en direction de Miguel. « Et puis si tu as peur Pajares, je pourrais toujours te tenir la main. . »
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Break my heart - Miguel
Sam 11 Fév 2023 - 9:32
« Toi tu as cent paire de cuisses contre lesquelles tu peux noyer tes désirs, moi il n'y a que toi que je veux... ». Le madrilène ne la contredit parce, parce que dans la fond elle n’a pas tort. Il lui suffirait de prendre son téléphone, de faire son choix parmi sa liste de contact et de trouver une fille avec qui ça avait bien matché. Ou plus simple encore… appeler [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] .
Lui-même se demandait pourquoi. Pourquoi cet attachement envers la rouquine ? C’était pas la première, ni la dernière, qu’il aurait envie de sauter… mais comment se faisait il qu’au bout de deux ans il se rend compte qu’il avait envie d’autre chose ? Il n’avait plus envie d’être un type parmi tant d’autres à ses yeux. Car définitivement elle n’était plus une fille parmi tant d’autres.
Leurs mots sonnent comme des promesses. Celle de s‘offrir l’un à l’autre un jour. Pas de date, pas de lieu, pas de rendez-vous. Pas de deadline, pas de condition, pas de “si” mais un “ lorsque je serais certaine que tout se passera bien à la maison…” Il ne sait pas exactement ce que ça veut dire mais oserait-il dire qu’il s’en fout ? Peut-être pas à voix haute. Mais c’est la réalité pourtant. Il ne veut pas être mêlé aux affaires des Blackthorn. En avoir une dans son lit, c'était déjà une limite qu’il n’aurait jamais pensé franchir. Il n’aimait pas ces gens. Il n’aimait pas “sa maison”. Il préférait rester bien loin de ces conneries de sang-pur.
« Tu es quelqu'un de bien, Miguel Alejandro Pajares... Tu n'as aucune idée de la force que tu as été dans ma vie ces deux dernières années. Merci pour ça.. » Il ne répond pas. Il n’est pas sûr de mériter ces éloges. Il n’était même pas sûr d’être quelqu’un de bien. On manquait si souvent de confiance en lui, en sa loyauté, qu’il finissait par se demander si ce n’était pas vrai. De l’Irlande aux confins de la Belgique on lui avait fait comprendre qu’il était bien. Mais pas assez pour mériter la confiance de ces dames.
« Elle était comment ? Ta grand-mère ? » Il n’a pas le temps de répondre que la rouquine se redresse, armée de la télécommande. Elle partage quelques fugaces souvenirs de sa propre enfance en Espagne avant de se laisser tomber et de proposer un film d’horreur. Il prend volontiers sa main mais pour lui subtiliser la télécommande et éteindre l’appareil moldu désormais adopté.
- Elle était géniale. Extraordinaire. Elle avait un caractère encore plus trempé que le tiens et elle tenait en respect n’importe quel sorcier dès qu’elle sortait sa baguette. Elle était imprenable tant en duel qu’en joute verbale. Elle était sévère mais juste. Elle s’appelait Carmen. Elle avait les cheveux noirs et elle les a colorés jusqu’à son dernier jour, sans ça elle les aurait sûrement eu aussi gris que ses yeux. Elle m’a quasiment élevé. Mon père était trop jeune pour faire ça tout seul. Elle m’a appris tellement de truc que je saurais pas en faire la liste et tu sais…
Discret, un ronflement de la rouquine se fait entendre. Assoupie dans ses bras, elle a définitivement baissé sa garde pour cette nuit. Demain elle aura sûrement retrouvé sa carapace. Elle sera sûrement partie en catimini avant même qu’il ne se réveille. Alors il profite de l’instant. Remonte la couette sous son menton, dépose un baiser sur son front et ne ferme les yeux qu’après avoir glissé une main sous sa propre nuque.
Lui-même se demandait pourquoi. Pourquoi cet attachement envers la rouquine ? C’était pas la première, ni la dernière, qu’il aurait envie de sauter… mais comment se faisait il qu’au bout de deux ans il se rend compte qu’il avait envie d’autre chose ? Il n’avait plus envie d’être un type parmi tant d’autres à ses yeux. Car définitivement elle n’était plus une fille parmi tant d’autres.
Leurs mots sonnent comme des promesses. Celle de s‘offrir l’un à l’autre un jour. Pas de date, pas de lieu, pas de rendez-vous. Pas de deadline, pas de condition, pas de “si” mais un “ lorsque je serais certaine que tout se passera bien à la maison…” Il ne sait pas exactement ce que ça veut dire mais oserait-il dire qu’il s’en fout ? Peut-être pas à voix haute. Mais c’est la réalité pourtant. Il ne veut pas être mêlé aux affaires des Blackthorn. En avoir une dans son lit, c'était déjà une limite qu’il n’aurait jamais pensé franchir. Il n’aimait pas ces gens. Il n’aimait pas “sa maison”. Il préférait rester bien loin de ces conneries de sang-pur.
« Tu es quelqu'un de bien, Miguel Alejandro Pajares... Tu n'as aucune idée de la force que tu as été dans ma vie ces deux dernières années. Merci pour ça.. » Il ne répond pas. Il n’est pas sûr de mériter ces éloges. Il n’était même pas sûr d’être quelqu’un de bien. On manquait si souvent de confiance en lui, en sa loyauté, qu’il finissait par se demander si ce n’était pas vrai. De l’Irlande aux confins de la Belgique on lui avait fait comprendre qu’il était bien. Mais pas assez pour mériter la confiance de ces dames.
« Elle était comment ? Ta grand-mère ? » Il n’a pas le temps de répondre que la rouquine se redresse, armée de la télécommande. Elle partage quelques fugaces souvenirs de sa propre enfance en Espagne avant de se laisser tomber et de proposer un film d’horreur. Il prend volontiers sa main mais pour lui subtiliser la télécommande et éteindre l’appareil moldu désormais adopté.
- Elle était géniale. Extraordinaire. Elle avait un caractère encore plus trempé que le tiens et elle tenait en respect n’importe quel sorcier dès qu’elle sortait sa baguette. Elle était imprenable tant en duel qu’en joute verbale. Elle était sévère mais juste. Elle s’appelait Carmen. Elle avait les cheveux noirs et elle les a colorés jusqu’à son dernier jour, sans ça elle les aurait sûrement eu aussi gris que ses yeux. Elle m’a quasiment élevé. Mon père était trop jeune pour faire ça tout seul. Elle m’a appris tellement de truc que je saurais pas en faire la liste et tu sais…
Discret, un ronflement de la rouquine se fait entendre. Assoupie dans ses bras, elle a définitivement baissé sa garde pour cette nuit. Demain elle aura sûrement retrouvé sa carapace. Elle sera sûrement partie en catimini avant même qu’il ne se réveille. Alors il profite de l’instant. Remonte la couette sous son menton, dépose un baiser sur son front et ne ferme les yeux qu’après avoir glissé une main sous sa propre nuque.
|
|