- Billie ShakespeareOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 285
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» crédits : Me
» multinick : Inès Saouli, Ambrosius Redgrave
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S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Dim 29 Jan 2023 - 2:25
28 janvier 2023
Première scène du premier acte, Billie Shakespeare, fille de Percival et Cherry Shakespeare, aperçoit une petite affiche solitaire sur le tableau des communications dans la salle commune des Lufkin. Un certain Hélios cherche des modèles à dessiner pour améliorer son trait de crayon. Bee sourit, car l'idée lui plaît instantanément, surtout qu'il s'agit en plus de rendre service à un confrère Lufkin et Serdaigle. Mais l'heure tourne et Billie court vers son premier cours de la journée; elle lui écrira une autre fois.
Deuxième acte, scène quatre, Billie attache une lettre à la patte d'un hibou petit duc, la lettre est scellée par le sceau familial des Shakespeare, juste parce que Billie aime bien le look qu'il donne à sa correspondance. Elle n'a pas de téléphone moldu.
Dernière scène du deuxième acte, Billie est confortablement assise dans un fauteuil près du foyer de la salle commune de sa maison. Elle est plongée dans sa lecture et lisse distraitement une longue moustache qui trône désormais sous son nez. Demain 17h, elle a rendez-vous avec Hélios.
Troisième acte, le rideau s'ouvre sur la silhouette de Bee, qui tourne le dos à l'audience. Aujourd'hui, elle a opté pour son uniforme bleu qu'elle porte sous une courte cape noire, question d'éviter d'attraper froid dans les courants d'air de l'hiver. Elle est devant une porte qu'elle ne tarde pas à pousser du plat de la main droite pour entrer dans la salle de théâtre, où elle s'arrête aussitôt, souriant d'une oreille à l'autre en voyant la grande scène et les rideaux rouges. Quelle atmosphère!
En parcourant la salle du regard, elle ne localise pas Hélios, mais des bruits provenant de la petite pièce du fond lui confirme qu'elle n'est pas seule.
« Je vous salue gaiement, maître artiste! » lance-t-elle en guise d'introduction. Dans leurs échanges, ils n'ont pas parlé de costumes ni d'accessoires pour la séance, ou s'il s'agissait de portrait nature, mais Billie est enthousiaste à l'idée de poser, qu'importe l'appareil dans lequel elle sera.
Avec sa moustache. Car il se trouve que la longue moustache sous son nez est toujours là. Résultante d'une nouvelle recette de potion qu'elle a tentée d'améliorer en ajoutant quelques parfums de son cru, cette moustache ne semble pas vouloir disparaître de sitôt. Billie l'aime bien, de toute façon, et se dit qu'elle partira quand ce sera l'heure.
« Où voudrais-tu que je me place? » lance-t-elle encore en direction de la petite salle du fond. Le tutoiement, inhabituel dans la bouche de la Shakespeare, qui aime bien le roulement du vouvoiement sur sa langue, lui vient naturellement, puisqu'elle connaît mieux Hélios que de nombreux autres membres de sa maison et même d'autres étudiants dans ses cours.
@Hélios Muller
Première scène du premier acte, Billie Shakespeare, fille de Percival et Cherry Shakespeare, aperçoit une petite affiche solitaire sur le tableau des communications dans la salle commune des Lufkin. Un certain Hélios cherche des modèles à dessiner pour améliorer son trait de crayon. Bee sourit, car l'idée lui plaît instantanément, surtout qu'il s'agit en plus de rendre service à un confrère Lufkin et Serdaigle. Mais l'heure tourne et Billie court vers son premier cours de la journée; elle lui écrira une autre fois.
Deuxième acte, scène quatre, Billie attache une lettre à la patte d'un hibou petit duc, la lettre est scellée par le sceau familial des Shakespeare, juste parce que Billie aime bien le look qu'il donne à sa correspondance. Elle n'a pas de téléphone moldu.
Dernière scène du deuxième acte, Billie est confortablement assise dans un fauteuil près du foyer de la salle commune de sa maison. Elle est plongée dans sa lecture et lisse distraitement une longue moustache qui trône désormais sous son nez. Demain 17h, elle a rendez-vous avec Hélios.
Troisième acte, le rideau s'ouvre sur la silhouette de Bee, qui tourne le dos à l'audience. Aujourd'hui, elle a opté pour son uniforme bleu qu'elle porte sous une courte cape noire, question d'éviter d'attraper froid dans les courants d'air de l'hiver. Elle est devant une porte qu'elle ne tarde pas à pousser du plat de la main droite pour entrer dans la salle de théâtre, où elle s'arrête aussitôt, souriant d'une oreille à l'autre en voyant la grande scène et les rideaux rouges. Quelle atmosphère!
En parcourant la salle du regard, elle ne localise pas Hélios, mais des bruits provenant de la petite pièce du fond lui confirme qu'elle n'est pas seule.
« Je vous salue gaiement, maître artiste! » lance-t-elle en guise d'introduction. Dans leurs échanges, ils n'ont pas parlé de costumes ni d'accessoires pour la séance, ou s'il s'agissait de portrait nature, mais Billie est enthousiaste à l'idée de poser, qu'importe l'appareil dans lequel elle sera.
Avec sa moustache. Car il se trouve que la longue moustache sous son nez est toujours là. Résultante d'une nouvelle recette de potion qu'elle a tentée d'améliorer en ajoutant quelques parfums de son cru, cette moustache ne semble pas vouloir disparaître de sitôt. Billie l'aime bien, de toute façon, et se dit qu'elle partira quand ce sera l'heure.
« Où voudrais-tu que je me place? » lance-t-elle encore en direction de la petite salle du fond. Le tutoiement, inhabituel dans la bouche de la Shakespeare, qui aime bien le roulement du vouvoiement sur sa langue, lui vient naturellement, puisqu'elle connaît mieux Hélios que de nombreux autres membres de sa maison et même d'autres étudiants dans ses cours.
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Mar 7 Fév 2023 - 20:35
Est-ce que j’ai été étonné que @Billie Shakespeare réponde à mon annonce ? Oui, un peu. Bien que nous nous connaissions, étant tous deux dans la même maison, elle est tout de même discrète, souvent dans son petit monde.
Ce n’est pas forcément évident de s’exposer face à un artiste. Mais il faut croire qu’elle est partante pour l’expérience et j’en suis ravi. Billie est vraiment une personne atypique, et je suis enchanté d’avoir un tel modèle.
Je prépare tranquillement mes affaires et met en place le chevalet. Je dispose mes crayons près de mon tabouret, sur une petite table bois. J’adore l’odeur de ce lieu, mais je me sens tout de même plus à l’aise dans cette petite salle, plutôt que dans la grande salle de théâtre. Je trouve qu’il manque tout de même de lumière. Je crée alors une petite lueur que j’enferme dans une petite boule transparente, trouvée parmi les différents accessoires disposés ici.
La Lufkin arrive, un sourire aux lèvres.
« Salut Billie. » Le sourire est partagé.
Franchement, je m’attendais à la voir dans des habits issus de siècles passés, comme d’habitude, mais je ne suis pas déçu en voyant la moustache qui trône sous son nez. Elle est incroyable.
« Et bien, sous la lumière. Mais je te laisse choisir ta position. Soit tu te mets debout, ou alors assise sur une chaise, ou bien par terre. Ce qui est important, c’est que tu te sentes à l’aise pour garder une position suffisamment longtemps. »
Je ne sais ce qu’elle attend exactement de ce portrait mais en fonction des détails demandés, cela peut prendre plusieurs heures.
« Je te remercie d’avoir répondu à mon annonce. Sache que cela me fait très plaisir de faire ton portrait. La moustache c’est pour cette occasion ? »
Je suis obligé de lui poser la question. Je ne peux pas faire comme si elle n’était pas là.
Ce n’est pas forcément évident de s’exposer face à un artiste. Mais il faut croire qu’elle est partante pour l’expérience et j’en suis ravi. Billie est vraiment une personne atypique, et je suis enchanté d’avoir un tel modèle.
Je prépare tranquillement mes affaires et met en place le chevalet. Je dispose mes crayons près de mon tabouret, sur une petite table bois. J’adore l’odeur de ce lieu, mais je me sens tout de même plus à l’aise dans cette petite salle, plutôt que dans la grande salle de théâtre. Je trouve qu’il manque tout de même de lumière. Je crée alors une petite lueur que j’enferme dans une petite boule transparente, trouvée parmi les différents accessoires disposés ici.
La Lufkin arrive, un sourire aux lèvres.
« Salut Billie. » Le sourire est partagé.
Franchement, je m’attendais à la voir dans des habits issus de siècles passés, comme d’habitude, mais je ne suis pas déçu en voyant la moustache qui trône sous son nez. Elle est incroyable.
« Et bien, sous la lumière. Mais je te laisse choisir ta position. Soit tu te mets debout, ou alors assise sur une chaise, ou bien par terre. Ce qui est important, c’est que tu te sentes à l’aise pour garder une position suffisamment longtemps. »
Je ne sais ce qu’elle attend exactement de ce portrait mais en fonction des détails demandés, cela peut prendre plusieurs heures.
« Je te remercie d’avoir répondu à mon annonce. Sache que cela me fait très plaisir de faire ton portrait. La moustache c’est pour cette occasion ? »
Je suis obligé de lui poser la question. Je ne peux pas faire comme si elle n’était pas là.
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» multinick : Inès Saouli, Ambrosius Redgrave
» âge : 25 ans (26 avril 1998)
» situation : En couple ouvert
» année d'études : 9e année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des runesㅡ option facultative :▣ Littérature magique, Médicomagie Appliquée
» profession : Commis à la bibliothèque de l'université - chroniqueuse littéraire à Radio Phoenix
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Jeu 23 Fév 2023 - 5:22
Le tableau offert par Hélios, au milieu de son matériel d'artiste, avec son chevalet, ses crayons... l'artiste lui-même seulement éclairé par la lueur en provenance d'une boule transparente, paraît si romantique aux yeux de Billie Shakespeare qu'elle s'arrête un moment à l'entrée de la petite salle vers laquelle elle s'est avancée en entendant la voix d'Hélios lui répondre. Le sourire qui trace le contour de ses lèvres sous la moustache n'a rien de feint, elle se sent parfaitement heureuse en cet instant.
« Mes salutations exquises, Hélios. C'est tout à fait charmant ici. Très différent de la bibliothèque et du cimetière », répond-elle avec ce même sourire dans la voix. Son collègue de maison a à peine sourcillé en l'apercevant, ou plutôt en apercevant sa moustache. Billie porte tout de même la main droite vers son visage, lissant les poils entre l'index et le pouce. Un petit rire lui échappe à la question de l'artiste.
« J'étudie les effets des racines d'armoise séchées et broyées avec des graines de lavande vraie sur l'efficacité des potions capillaires. Elle a une belle brillance, tu ne trouves pas? »
Comme attirée par le physique atypique de la jeune femme, la boule de lumière parait l'envelopper tandis que Bee s'avance dans la pièce. La lumière fait ressortir la moindre protubérance de son corps, des genoux pointus aux oreilles trop grandes qui jaillissent de part et d'autre de son crâne, en passant par le nez droit, le long cou et les hanches étroites. Billie finit par se placer au centre de la pièce, s'assoit trois secondes sur la chaise, se relève, se rassoit. Incertaine.
« Je ne sais pas quel genre de portrait tu veux réaliser. J'ai mis ces vêtements, mais si tu préfères autre chose, je peux me changer. »
Bee lève la tête un moment, comme pour évaluer la hauteur du plafond, ou peut-être pour s'assurer qu'il ne s'y trouve aucun fantôme, puis abaissant le regard, aperçoit quelque chose dans les armoires au fond de la salle, qui lui fait émettre un petit « Oh » réjoui et la fait se relever aussitôt. « Attends, j'ai une idée! » Elle s'élance vers un coffre dont débordent quelques costumes qu'elle envoie valser comme une volée d'oiseaux. Quand elle se redresse et se tourne en direction d'Hélios, elle tient triomphalement dans la main gauche un long tissu écarlate dont il est difficile d'évaluer la forme et, dans la droite, une paire de hautes chaussures noires.
« The apparel oft proclaims the woman! » clame-t-elle en commençant à défaire les boutons de sa tunique puis de sa chemise. Le ruban de son col tombe au sol, bientôt suivi du reste de la tenue de Billie, qui ne montre pas le moindre signe de gêne à se retrouver à demi nue devant son camarade. Tournant le dos à Hélios, elle contorsionne un bras trop mince dans son dos pour défaire son soutien-gorge puis se glisse dans le long tissu rouge, qui se révèle être une robe. Attachée autour de son cou, la robe lui laisse les épaules et l'arrière du dos dénudés. Bee sautille en enfilant les chaussures puis, tout sourire, retrouve le centre de la lumière. À peine trois minutes se sont écoulées depuis qu'elle l'a quittée.
La jeune apprentie psychologue pour ectoplasmes tournoie sur elle-même, ravie. « Je pourrais jouer Lady Macbeth! » Elle s'attrape la main droite. « Out damned spot, out I say! » Puis, avec plus de sérieux, elle prend position, jambes bien plantées au sol, et rive son regard droit dans les yeux d'Hélios. Voilà, elle était prête.
[scène + la moustache ]
« Mes salutations exquises, Hélios. C'est tout à fait charmant ici. Très différent de la bibliothèque et du cimetière », répond-elle avec ce même sourire dans la voix. Son collègue de maison a à peine sourcillé en l'apercevant, ou plutôt en apercevant sa moustache. Billie porte tout de même la main droite vers son visage, lissant les poils entre l'index et le pouce. Un petit rire lui échappe à la question de l'artiste.
« J'étudie les effets des racines d'armoise séchées et broyées avec des graines de lavande vraie sur l'efficacité des potions capillaires. Elle a une belle brillance, tu ne trouves pas? »
Comme attirée par le physique atypique de la jeune femme, la boule de lumière parait l'envelopper tandis que Bee s'avance dans la pièce. La lumière fait ressortir la moindre protubérance de son corps, des genoux pointus aux oreilles trop grandes qui jaillissent de part et d'autre de son crâne, en passant par le nez droit, le long cou et les hanches étroites. Billie finit par se placer au centre de la pièce, s'assoit trois secondes sur la chaise, se relève, se rassoit. Incertaine.
« Je ne sais pas quel genre de portrait tu veux réaliser. J'ai mis ces vêtements, mais si tu préfères autre chose, je peux me changer. »
Bee lève la tête un moment, comme pour évaluer la hauteur du plafond, ou peut-être pour s'assurer qu'il ne s'y trouve aucun fantôme, puis abaissant le regard, aperçoit quelque chose dans les armoires au fond de la salle, qui lui fait émettre un petit « Oh » réjoui et la fait se relever aussitôt. « Attends, j'ai une idée! » Elle s'élance vers un coffre dont débordent quelques costumes qu'elle envoie valser comme une volée d'oiseaux. Quand elle se redresse et se tourne en direction d'Hélios, elle tient triomphalement dans la main gauche un long tissu écarlate dont il est difficile d'évaluer la forme et, dans la droite, une paire de hautes chaussures noires.
« The apparel oft proclaims the woman! » clame-t-elle en commençant à défaire les boutons de sa tunique puis de sa chemise. Le ruban de son col tombe au sol, bientôt suivi du reste de la tenue de Billie, qui ne montre pas le moindre signe de gêne à se retrouver à demi nue devant son camarade. Tournant le dos à Hélios, elle contorsionne un bras trop mince dans son dos pour défaire son soutien-gorge puis se glisse dans le long tissu rouge, qui se révèle être une robe. Attachée autour de son cou, la robe lui laisse les épaules et l'arrière du dos dénudés. Bee sautille en enfilant les chaussures puis, tout sourire, retrouve le centre de la lumière. À peine trois minutes se sont écoulées depuis qu'elle l'a quittée.
La jeune apprentie psychologue pour ectoplasmes tournoie sur elle-même, ravie. « Je pourrais jouer Lady Macbeth! » Elle s'attrape la main droite. « Out damned spot, out I say! » Puis, avec plus de sérieux, elle prend position, jambes bien plantées au sol, et rive son regard droit dans les yeux d'Hélios. Voilà, elle était prête.
[scène + la moustache ]
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» crédits : Maleficent
» multinick : Elio Cooper/Emmy Robinson
» âge : 27 ans
» situation : célibataire
» année d'études : 10éme année
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» nature du sang : Sang-mêlé
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Dim 5 Mar 2023 - 21:04
@Billie Shakespeare est vraiment une personne extraordinaire et elle mérite vraiment son portrait. Je suis vraiment ravi qu’elle ait répondu à mon annonce. Je ne pensais pas que cela aurait pu l’intéresser.
J’ai même le droit à cette superbe moustache. J’imagine que bon nombre d’étudiants ont dû se retourner en la voyant passer près d’eux. J’imagine aussi que les moqueries ont dû fuser. Mais est-elle réceptive à tout cela ?
Je lui souris et relie mon index avec mon pouce, pour lui montrer qu’en effet, sa moustache est parfaite. Moi même, je ne pense pas pouvoir en avoir une comme telle un jour, du moins naturellement.
Elle vient au centre de la pièce mais n’a pas l’air décidé sur la position à adopter.
« Oh tes vêtements sont très bien. J’ai dans l’idée de faire un portrait en pied mais c’est aussi à toi de me dire... »
Mais je n’ai pas le temps de terminer ma phrase. Je suis interrompus par quelque chose qu’elle a vu.
Je la suis du regard, intrigué. A priori, elle a l’air de chercher un accessoire, ou d’autres vêtements...Elle est en train de mettre un de ces bordel.
La voilà, qui brandit triomphalement un tissu rouge et des chaussures.
« ok... »
Elle commence à se déshabiller et je détourne la tête, légèrement mal à l’aise. Qu’est-ce qu’ils ont tous à se mettre à poil sans gêne ?
Billie revient en robe rouge. Un tout autre personnage se dessine devant moi, bien qu’il y est toujours la moustache.
Je l’observe un instant et ne suis pas encore très satisfait de la position.
Je me rapproche d’elle.
« Si tu permets. »
Mes mains sur ses épaules frêles, je l’invite à se mettre de profil, son regard tourné vers moi.
Je me recule et satisfait, je prends place sur mon tabouret.
« Je veux juste te préciser que la couleur de ta robe ne ressortira pas, car j’ai envie de faire un portrait en noir et banc. »
L’intensité de son regard en sera sublimé.
"C'est parti. On peut toujours discuter, du moment que tu gardes cette position."
Je commence alors à dessiner les axes de son corps.
J’ai même le droit à cette superbe moustache. J’imagine que bon nombre d’étudiants ont dû se retourner en la voyant passer près d’eux. J’imagine aussi que les moqueries ont dû fuser. Mais est-elle réceptive à tout cela ?
Je lui souris et relie mon index avec mon pouce, pour lui montrer qu’en effet, sa moustache est parfaite. Moi même, je ne pense pas pouvoir en avoir une comme telle un jour, du moins naturellement.
Elle vient au centre de la pièce mais n’a pas l’air décidé sur la position à adopter.
« Oh tes vêtements sont très bien. J’ai dans l’idée de faire un portrait en pied mais c’est aussi à toi de me dire... »
Mais je n’ai pas le temps de terminer ma phrase. Je suis interrompus par quelque chose qu’elle a vu.
Je la suis du regard, intrigué. A priori, elle a l’air de chercher un accessoire, ou d’autres vêtements...Elle est en train de mettre un de ces bordel.
La voilà, qui brandit triomphalement un tissu rouge et des chaussures.
« ok... »
Elle commence à se déshabiller et je détourne la tête, légèrement mal à l’aise. Qu’est-ce qu’ils ont tous à se mettre à poil sans gêne ?
Billie revient en robe rouge. Un tout autre personnage se dessine devant moi, bien qu’il y est toujours la moustache.
Je l’observe un instant et ne suis pas encore très satisfait de la position.
Je me rapproche d’elle.
« Si tu permets. »
Mes mains sur ses épaules frêles, je l’invite à se mettre de profil, son regard tourné vers moi.
Je me recule et satisfait, je prends place sur mon tabouret.
« Je veux juste te préciser que la couleur de ta robe ne ressortira pas, car j’ai envie de faire un portrait en noir et banc. »
L’intensité de son regard en sera sublimé.
"C'est parti. On peut toujours discuter, du moment que tu gardes cette position."
Je commence alors à dessiner les axes de son corps.
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» nature du sang : Sang mêlé
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Sam 11 Mar 2023 - 3:28
Il y a quelque chose de profondément excitant dans l'exercice de poser pour un artiste, se dit peut-être pour la centième fois la jeune Billie en laissant Hélios la repositionner comme une poupée. C'est amusant de ne penser à rien et de laisser quelqu'un d'autre prendre le contrôle. Elle a presque l'impression de jouer dans une pièce et qu'Hélios est son metteur en scène. Sous la lumière comme elle l'est, avec cette magnifique robe rouge qui lui donne des allures de Lady Macbeth, l'illusion est parfaite.
Elle se mordille l'intérieur des joues pour ne pas rire, mais des étoiles s'allument dans ses yeux, qu'elle a fixés sur l'artiste, assis sur son tabouret. Hélios a pris ses crayons et, l'air concentré, commencé à tracer des lignes puis des courbes en lui jetant de fréquents coups d'oeil. Sereine, Billie ne bouge pas.
« Ce n'est pas grave, je l'imaginerai rouge. »
Peu habituée à porter la moustache, Billie en sent le moindre poil lui chatouiller le dessous du nez. Elle se demande comment font les hommes affublés de tels appendices pour ne pas éternuer à tout bout de champ. Bien qu'elle apprécie le look un peu plus sévère que la moustache donne à son visage, elle ne sera pas attristée par sa disparition. Toute bonne chose a une fin, n'est-ce pas?
« Il y a longtemps que tu dessines? Je ne me souviens pas t'avoir vu dessiner à Poudlard, mais il est vrai que j'étais plutôt distraite. » L'emploi du temps passé n'excluait pas, bien sûr, qu'elle soit encore totalement distraite maintenant. « Tu dois avoir eu plusieurs réponses à ton annonce. Tout le monde est tellement beau à Hungcalf. » En particulier les filles.
La lumière lui réchauffe délicieusement le dos et les épaules, où elle perçoit encore très légèrement le point de contact des mains d'Hélios sur sa peau. Elle inspire profondément, mais son corps, telle une statue, ne bouge pas.
Elle se mordille l'intérieur des joues pour ne pas rire, mais des étoiles s'allument dans ses yeux, qu'elle a fixés sur l'artiste, assis sur son tabouret. Hélios a pris ses crayons et, l'air concentré, commencé à tracer des lignes puis des courbes en lui jetant de fréquents coups d'oeil. Sereine, Billie ne bouge pas.
« Ce n'est pas grave, je l'imaginerai rouge. »
Peu habituée à porter la moustache, Billie en sent le moindre poil lui chatouiller le dessous du nez. Elle se demande comment font les hommes affublés de tels appendices pour ne pas éternuer à tout bout de champ. Bien qu'elle apprécie le look un peu plus sévère que la moustache donne à son visage, elle ne sera pas attristée par sa disparition. Toute bonne chose a une fin, n'est-ce pas?
« Il y a longtemps que tu dessines? Je ne me souviens pas t'avoir vu dessiner à Poudlard, mais il est vrai que j'étais plutôt distraite. » L'emploi du temps passé n'excluait pas, bien sûr, qu'elle soit encore totalement distraite maintenant. « Tu dois avoir eu plusieurs réponses à ton annonce. Tout le monde est tellement beau à Hungcalf. » En particulier les filles.
La lumière lui réchauffe délicieusement le dos et les épaules, où elle perçoit encore très légèrement le point de contact des mains d'Hélios sur sa peau. Elle inspire profondément, mais son corps, telle une statue, ne bouge pas.
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Mer 5 Avr 2023 - 14:17
Le modèle a pris sa position, la lumière me semble adéquat, les conditions me paraissent bonnes pour commencer à dessiner. Je trace grossièrement les contours de son physique afin de définir les proportions de son corps.
« Cela fait longtemps que je dessine en effet. Mais j’ai aussi été longtemps discret sur ce point. Aujourd’hui je l’assume pleinement, et je souhaite continuer à parfaire ma technique, voir à en découvrir de nouvelles. C’est pour cela que j’ai en option les Arts Plastiques. »
J’aimerai tellement réussir à donner vie aux tableaux que je créée. Mais je commence tout juste à avoir son enseignement et je ne me sens pas encore capable de créée une œuvre vivante. Dès que je fus entrée à Poudlard, je fus émerveillé et fasciné par ces personnages qui peuplent les murs en pierres.
« Ah oui, tu trouves ? »
Il y a quand même des personnes plus ou moins belles et captivantes à Hung. Je ne dirai pas que tout est le monde est beau.
« Mais non, mon annonce n’a pas intéressé grand monde. Je n’ai que trois personnes qui ont répondu, dont ma sœur. Autant dire qu’elle ne compte pas, car je me suis déjà amusé à la dessiner. »
Mes premiers modèles furent les plantes, puis les paysages et enfin les membres de ma famille.
« Et toi, pourquoi as-tu répondu à mon annonce ? Qu’est-ce qui t’intéresse dans cette expérience? »
@Billie Shakespeare
« Cela fait longtemps que je dessine en effet. Mais j’ai aussi été longtemps discret sur ce point. Aujourd’hui je l’assume pleinement, et je souhaite continuer à parfaire ma technique, voir à en découvrir de nouvelles. C’est pour cela que j’ai en option les Arts Plastiques. »
J’aimerai tellement réussir à donner vie aux tableaux que je créée. Mais je commence tout juste à avoir son enseignement et je ne me sens pas encore capable de créée une œuvre vivante. Dès que je fus entrée à Poudlard, je fus émerveillé et fasciné par ces personnages qui peuplent les murs en pierres.
« Ah oui, tu trouves ? »
Il y a quand même des personnes plus ou moins belles et captivantes à Hung. Je ne dirai pas que tout est le monde est beau.
« Mais non, mon annonce n’a pas intéressé grand monde. Je n’ai que trois personnes qui ont répondu, dont ma sœur. Autant dire qu’elle ne compte pas, car je me suis déjà amusé à la dessiner. »
Mes premiers modèles furent les plantes, puis les paysages et enfin les membres de ma famille.
« Et toi, pourquoi as-tu répondu à mon annonce ? Qu’est-ce qui t’intéresse dans cette expérience? »
@Billie Shakespeare
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Ven 19 Mai 2023 - 4:34
En regardant Hélios travailler, Billie ressent de nouveau une admiration sans borne pour les artistes qui savent faire surgir de quelques traits un objet, un paysage, un portrait ou même une scène toute entière. Elle se souvient avoir déjà passé des heures à tourner les pages d'un grand livre d'art dans la bibliothèque de son père, à examiner chaque coup de pinceau, chaque pointe, chaque détail qui donnait à l'ensemble de l'oeuvre la qualité d'un être vivant : le souffle de la création. Elle se demande à quoi ressemblera la Billie de l'oeuvre que dessine Hélios sous ses yeux.
Mais elle ne bouge pas, malgré le fourmillement d'impatience.
« Bien sûr! » s'exclame Bee en réponse au doute soulevé par son camarade. Tout le monde possède une beauté, du moins aux yeux de la Shakespeare, qui n'a encore jusque là rencontré personne qui n'éveille pas en elle la curiosité et la fascination. La forme des yeux, la ligne du nez, la rondeur des joues, la pointe du menton, les traits des poils, l'absurde comique de la torsade des oreilles...
« J'aurais cru que tu serais inondé de demandes, il y a tant de personnes qui aiment admirer leurs traits en photo, la magie s'élève quand nous pouvons nous voir dans l'art. »
Elle marque une pose pour réfléchir à la question de l'artiste. Elle y a déjà en partie répondu, mais il lui semble que sa réflexion manque d'introspection. La robe glisse sur son épaule, et elle la replace distraitement en reprenant la parole.
« J'avais envie de me voir dans le regard d'une autre personne parce que je suis trop souvent seule avec moi-même. Ou avec des morts. Mais ils sont eux-mêmes tellement perdus dans leurs propres histoires qu'ils s'empêtrent dans une vision du monde très étriquée. Et puis, il y a les déguisements! C'est un peu comme une représentation, il ne manque que le public. Je suis ravie d'être ton modèle. »
La moustache lui chatouille soudainement la narine droite et Bee éternue un bon coup, puis, surprise par son propre éternuement, ne peut retenir un rire. « Je suis désolée, je n'avais pas prévu de me présenter avec un tel accessoire en plus. »
Mais elle ne bouge pas, malgré le fourmillement d'impatience.
« Bien sûr! » s'exclame Bee en réponse au doute soulevé par son camarade. Tout le monde possède une beauté, du moins aux yeux de la Shakespeare, qui n'a encore jusque là rencontré personne qui n'éveille pas en elle la curiosité et la fascination. La forme des yeux, la ligne du nez, la rondeur des joues, la pointe du menton, les traits des poils, l'absurde comique de la torsade des oreilles...
« J'aurais cru que tu serais inondé de demandes, il y a tant de personnes qui aiment admirer leurs traits en photo, la magie s'élève quand nous pouvons nous voir dans l'art. »
Elle marque une pose pour réfléchir à la question de l'artiste. Elle y a déjà en partie répondu, mais il lui semble que sa réflexion manque d'introspection. La robe glisse sur son épaule, et elle la replace distraitement en reprenant la parole.
« J'avais envie de me voir dans le regard d'une autre personne parce que je suis trop souvent seule avec moi-même. Ou avec des morts. Mais ils sont eux-mêmes tellement perdus dans leurs propres histoires qu'ils s'empêtrent dans une vision du monde très étriquée. Et puis, il y a les déguisements! C'est un peu comme une représentation, il ne manque que le public. Je suis ravie d'être ton modèle. »
La moustache lui chatouille soudainement la narine droite et Bee éternue un bon coup, puis, surprise par son propre éternuement, ne peut retenir un rire. « Je suis désolée, je n'avais pas prévu de me présenter avec un tel accessoire en plus. »
- Alexander McCandlessMODO - Modérateur
- » parchemins postés : 650
» miroir du riséd : David Corenswet
» crédits : Maleficent
» multinick : Elio Cooper/Emmy Robinson
» âge : 27 ans
» situation : célibataire
» année d'études : 10éme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DFCM, sortilèges, métamorphoseㅡ options facultatives :▣ [i]droit magique/i]
» nature du sang : Sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1919
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Jeu 15 Juin 2023 - 9:14
Je me demande pourquoi Billie apprécie tant discuter avec les fantômes. Pour avoir fait l'expérience aussi, je trouve que la discussion tourne vite en rond, mais peut-être ne suis-je pas assez habile pour mener à bien une conversation avec un spectre.
Billie paraît venir d'un autre univers, et c'est ce que j'apprécie aussi chez elle. D'autant plus, qu'elle assume la personne qu'elle est. Elle ne se cache pas de discuter avec des fantômes, de chercher à les comprendre, et les regards qui se posent sur elle parfois n'ont pas l'air de l'affecter. Un petit bout de femme qui sait qui elle est. Et cela est une grande qualité.
Moi même j'ai encore du mal à me définir. Je me cherche encore. Rien que pour ma future profession par exemple. Je n'ai aucune idée de ce que je pourrai faire après mes études.
Je suis légèrement surpris par son éternuement et je relève les yeux vers elle. Elle a bougé mais se remet rapidement en place.
"Pas de soucis."
"Est-ce que tu sais ce que tu vas faire après les études ?"
Je n'ai d'ailleurs aucune idée de son année d'études.
@Billie Shakespeare
Billie paraît venir d'un autre univers, et c'est ce que j'apprécie aussi chez elle. D'autant plus, qu'elle assume la personne qu'elle est. Elle ne se cache pas de discuter avec des fantômes, de chercher à les comprendre, et les regards qui se posent sur elle parfois n'ont pas l'air de l'affecter. Un petit bout de femme qui sait qui elle est. Et cela est une grande qualité.
Moi même j'ai encore du mal à me définir. Je me cherche encore. Rien que pour ma future profession par exemple. Je n'ai aucune idée de ce que je pourrai faire après mes études.
Je suis légèrement surpris par son éternuement et je relève les yeux vers elle. Elle a bougé mais se remet rapidement en place.
"Pas de soucis."
"Est-ce que tu sais ce que tu vas faire après les études ?"
Je n'ai d'ailleurs aucune idée de son année d'études.
@Billie Shakespeare
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Re: S'il te plait, dessine-moi une abeille pv. Hélios Muller
Dim 2 Juil 2023 - 3:26
« Que d'excellentes questions! » s'exclame Billie sans arrière-pensée. Elle aime bien se retrouver soudain sous les feux de la rampe et sentir qu'on s'intéresse à elle. Pour une fois, ce n'est pas parce qu'elle sort du lot comme une mèche de cheveux refusant de se laisser coiffer. Il n'y a aucune lueur moqueuse dans le regard d'Hélios, juste de la curiosité et de l'intérêt.
La salle de théâtre, le costume, la conversation... même la moustache finalement, tout met la Lufkin parfaitement à son aise en cet instant. Elle se sent détendue, ce qui lui fait le plus grand bien, réalise-t-elle en prenant soudain conscience que comme ses camarades de classe, elle ressent elle aussi la pression de la réussite. Contrairement à d'autres, elle n'a pas pris de résolutions en ce début d'année, ne serait-ce que parce que la santé fragile de son père l'inquiète et qu'elle se morfond encore de la bisbille sur laquelle elle l'a quitté pendant les Fêtes. Elle espère sincèrement se réconcilier avec lui, mais à ce jour, il n'a pas répondu à sa lettre en guise de main tendue.
Elle bat quelques fois des paupières avant de répondre à portraitiste : « J'ai bonne espérance de parvenir à devenir psychologue pour trépassés. Cela semble outrecuidant de vouloir créer un nouveau métier, mais il m'apparaît essentiel d'offrir du soutien à ces pauvres âmes dont plusieurs errent dans une souffrance que nous sommes aujourd'hui incapables de mesurer. Il m'est toutefois incontournable d'admettre que les études en médicomagie posent plus de difficulté que je n'avais escompté en rencontrer. Et quelquefois, j'ai l'impression que mes questions détonnent auprès de mes collègues de sciences occultes. »
De la main droite, elle va replacer une mèche de cheveux sombre derrière une grande oreille. « Ne trouves-tu pas difficile de faire ta place à Hungcalf? »
La salle de théâtre, le costume, la conversation... même la moustache finalement, tout met la Lufkin parfaitement à son aise en cet instant. Elle se sent détendue, ce qui lui fait le plus grand bien, réalise-t-elle en prenant soudain conscience que comme ses camarades de classe, elle ressent elle aussi la pression de la réussite. Contrairement à d'autres, elle n'a pas pris de résolutions en ce début d'année, ne serait-ce que parce que la santé fragile de son père l'inquiète et qu'elle se morfond encore de la bisbille sur laquelle elle l'a quitté pendant les Fêtes. Elle espère sincèrement se réconcilier avec lui, mais à ce jour, il n'a pas répondu à sa lettre en guise de main tendue.
Elle bat quelques fois des paupières avant de répondre à portraitiste : « J'ai bonne espérance de parvenir à devenir psychologue pour trépassés. Cela semble outrecuidant de vouloir créer un nouveau métier, mais il m'apparaît essentiel d'offrir du soutien à ces pauvres âmes dont plusieurs errent dans une souffrance que nous sommes aujourd'hui incapables de mesurer. Il m'est toutefois incontournable d'admettre que les études en médicomagie posent plus de difficulté que je n'avais escompté en rencontrer. Et quelquefois, j'ai l'impression que mes questions détonnent auprès de mes collègues de sciences occultes. »
De la main droite, elle va replacer une mèche de cheveux sombre derrière une grande oreille. « Ne trouves-tu pas difficile de faire ta place à Hungcalf? »
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