- Calliope Mullersensitive bitch
- » parchemins postés : 775
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» nature du sang : sang-pur
» particularité : occlumens
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» gallions sous la cape : 1403
disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Ven 24 Fév 2023 - 13:52
6 mars 2023 - Fin d'après-midi.
Elle qui pensait arriver en retard... L'œil sur sa montre alors qu'elle sort de la cheminée du grand hall, Calliope Muller semble soulagée. D'un geste presque prétentieux, la jeune auditrice de justice époussète le tailleur vert d'eau qu'elle porte. Depuis plusieurs mois, elle a troqué ses jupes crayons contre des pantalons à pince et ce afin de suivre @Ian McCavish dans les endroits les plus inattendus de la région londonienne. Elle portait également des derbies plates qu'elle troqua d'un sortilège de métamorphose en escarpins.
Evidemment, la salle des Professeurs est vide. A force de craindre d'être en retard, elle finissait par être en avance. Il faut dire qu'entre son stage auprès des aurors, les quelques anciennes affaire du temps où elle était assistante de justice qu'elle continuait à suivre, ses cours pour les travaux dirigés qu'elle donnait deux soirs par semaine et la préparation des dit cours... Elle avait l'impression de ne jamais s'arrêter. Mais dans le fond, c'était comme ça qu'elle aimait sa vie.
Bien qu'en avance, elle ne compte pas perdre de temps. Elle s'installe et sort de son sac à main ensorcelé une demi-douzaine de rouleaux de parchemin, autant d'examens à corriger pour ses étudiants de quatrième année. Du droit commercial sorcier. Un sujet relatif aux transactions liées aux gobelins. Pas franchement ce qui passionnait la Muller mais le programme l'imposait. Elle avait quand même rajouté une touche de droit pénal, les meilleurs d'entre eux réaliseraient sûrement l'ouverture de leur conclusion sur ce point.
- Bonsoir Isabelle.
Le ton agréable, le sourire aux lèvres, Calliope accueille la Professeur de métamorphose qui vient de passer le pas de la porte.
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
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Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Lun 10 Avr 2023 - 23:41
disconcerted devil
(mood board) (music) (outfit) Le ciel pleurait sur la ville d’Inverness et personne - ou presque - n’échappait à ses lamentations. L’eau ruisselait tant et si bien qu’elle inondait les pavés des trottoirs du quartier le plus vieux du centre administratif des Hautes Terres d’Écosse. Des passants se trouvaient pris en otage dans les magasins et les petits cafés, leur chemin interrompu par une giboulée de mars arrivée de bonne heure. Trop occupés à fuir les places, ces mortels étaient incapables de s’apercevoir que la tunique et le pantalon évasé beiges d’une jeune femme restaient immaculés. Quelques-uns avaient probablement remarqué le parapluie qu’elle portait et qu’elle maniait de son poignet souple, mais leurs observations s’étaient arrêtées là. L’objet de bois, de métal et de plastique remplissait une tout autre fonction que celle associée à l’utilisation qu’en faisaient les moldus : il détournait les regards et apportait une justification là où il aurait très certainement pu en falloir. Les talons hauts d’Isabelle claquaient sur le trottoir qu’elle occupait, tandis qu’elle se hissait jusqu’au bureau de poste du centre-ville. Un petit garçon accompagné de sa maman se tourna vers elle. Elle lui rendit un sourire poli et replia son parapluie d’alibi. Elle s’en alla alors tout droit vers la porte qu’elle était venue chercher et sortit un autre objet de bois de la poche intérieure de sa veste. Les quelques regards s’enfuirent aussitôt et elle actionna la poignée de la porte, qui s’ouvrit sur un tout autre quartier où les automobiles ne vrombissaient pas et où les passants faisaient jaillir des parapluies invisibles de leurs baguettes.
De retour de chez l’apothicaire, la Française regarda l’heure si tôt qu’elle eût regagné son bureau, lui-même situé au rez-de-chaussée de l’université. Elle versa le contenu du sachet de mousseline épais dans un pot large en verre, puis s’essuya les mains dans les airs. Elle attrapa son calepin, sa plus belle plume et son encre favorite, les jeta à l’intérieur de son sac et quitta ses appartements pour trouver la salle des professeurs juste à temps. Isabelle se félicitait d’être arrivée à l’heure (sans avoir eu à rechigner sur ses plans) lorsqu’elle entendit la voix d’une jeune femme qui l’accueillait. Une froideur peu printanière balaya son visage et elle répondit simplement pas son sourire le plus français, le plus inabordable, et le plus impérieux. Pas un seul son ne quitta ses lèvres, tandis qu’elle traversait la pièce pour aller faire couler un peu de café dans une tasse bleue et dorée qu’elle rapporta avec elle. Les fauteuils avaient été repoussés sur les côtés, près de l’immense bibliothèque qui habitait les lieux, et une grande table avait été érigée pour l’occasion. Elle choisit de s’installer à l’opposé de la brunette de mauvaise réputation, laissant quelques voisins futurs prendre place en face d’elle.
“Bonsoir Mlle Muller.” Sa voix résonna jusque dans les hauteurs de la pièce circulaire. “J’entends parfaitement que vous fussiez… Auditrice, c’est bien cela ? Toutefois, c’est Professeure d’Essenault.”
La jeune femme abandonna la coupelle sur la table, et sortit gracieusement ses affaires de son sac pour les ordonner à côté du récipient.
“Je ne vous ai pas proposé de café. En désireriez-vous ?”
Isabelle planta son regard dans le sien. Une haine dévorait son âme - morceau après morceau - depuis qu’elle avait eu vent du rendez-vous que sa cadette avait passé en compagnie d’un certain Roumain (@Arthur Batthyány).
Plus jeune, assurément. Quel cliché !
De retour de chez l’apothicaire, la Française regarda l’heure si tôt qu’elle eût regagné son bureau, lui-même situé au rez-de-chaussée de l’université. Elle versa le contenu du sachet de mousseline épais dans un pot large en verre, puis s’essuya les mains dans les airs. Elle attrapa son calepin, sa plus belle plume et son encre favorite, les jeta à l’intérieur de son sac et quitta ses appartements pour trouver la salle des professeurs juste à temps. Isabelle se félicitait d’être arrivée à l’heure (sans avoir eu à rechigner sur ses plans) lorsqu’elle entendit la voix d’une jeune femme qui l’accueillait. Une froideur peu printanière balaya son visage et elle répondit simplement pas son sourire le plus français, le plus inabordable, et le plus impérieux. Pas un seul son ne quitta ses lèvres, tandis qu’elle traversait la pièce pour aller faire couler un peu de café dans une tasse bleue et dorée qu’elle rapporta avec elle. Les fauteuils avaient été repoussés sur les côtés, près de l’immense bibliothèque qui habitait les lieux, et une grande table avait été érigée pour l’occasion. Elle choisit de s’installer à l’opposé de la brunette de mauvaise réputation, laissant quelques voisins futurs prendre place en face d’elle.
La jeune femme abandonna la coupelle sur la table, et sortit gracieusement ses affaires de son sac pour les ordonner à côté du récipient.
Isabelle planta son regard dans le sien. Une haine dévorait son âme - morceau après morceau - depuis qu’elle avait eu vent du rendez-vous que sa cadette avait passé en compagnie d’un certain Roumain (@Arthur Batthyány).
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Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Dim 16 Avr 2023 - 19:09
Chaque devoir imposait par la Muller apportait inlassablement le même constat… Le niveau entre les différents rouleaux de parchemin pouvait être si profond qu’Hadès lui même ne s’y risquerait pas. Elle venait d’apposer de sa plume un « T » sur la précédente copie et elle lisait l’introduction de la suivante qui était excellente quand Isabelle d’Essenault entra à son tour dans la salle des Professeur.
Dans un premier temps, elle n’avait guère fait attention au sourire de façade de la sorcier, celui là même que la Muse utilisait souvent mais rarement avec ses collègues d’Hungcalf. Elle appréciait les Professeur et était souvent appréciée en retour. Aussi, le temps de réponse et la réponse en elle même eurent tôt fait de surprendre la Muller.
« J’entends parfaitement que vous fussiez… Auditrice, c’est bien cela ? Toutefois, c’est Professeure d’Essenault. ». Le ton laisse supposer une sorte de hiérarchie selon laquelle son métier serait moins honorable que celui de la française. Quand bien même ce serait vrai, il avait fort à parier que la D’Essenault ne se permettrait pas ce genre de liberté quand elle devrait l’appeler « Mrs Justice Muller ». Mais Calliope reconnait volontiers qu’ici et maintenant, elle n’est qu’assistante et qu’elle est Professeur.
- Professeure.
Le ton est à la salutation froide, bousculée par les manières cavalières de son interlocutrice, elle imite son air antipathique. Elle range ses rouleaux de parchemin tandis que l’enseignante s’installe face à elle, tasse de café en main. Café qu’elle lui propose, fort peu aimablement.
- Volontiers, je vous remercie.
Elle n’en a guère envie mais pour le simple plaisir de se faire servir… puisqu’elle l’a si agréablement proposé… pourquoi refuser ? Calliope pourrait jouer ce petit jeu infiniment mais dans son esprit, ça turbine a pleins régime. La jeune femme avait toujours été si appréciable. Qu’avait elle pu faire pour lui déplaire ?
Dans un premier temps, elle n’avait guère fait attention au sourire de façade de la sorcier, celui là même que la Muse utilisait souvent mais rarement avec ses collègues d’Hungcalf. Elle appréciait les Professeur et était souvent appréciée en retour. Aussi, le temps de réponse et la réponse en elle même eurent tôt fait de surprendre la Muller.
« J’entends parfaitement que vous fussiez… Auditrice, c’est bien cela ? Toutefois, c’est Professeure d’Essenault. ». Le ton laisse supposer une sorte de hiérarchie selon laquelle son métier serait moins honorable que celui de la française. Quand bien même ce serait vrai, il avait fort à parier que la D’Essenault ne se permettrait pas ce genre de liberté quand elle devrait l’appeler « Mrs Justice Muller ». Mais Calliope reconnait volontiers qu’ici et maintenant, elle n’est qu’assistante et qu’elle est Professeur.
- Professeure.
Le ton est à la salutation froide, bousculée par les manières cavalières de son interlocutrice, elle imite son air antipathique. Elle range ses rouleaux de parchemin tandis que l’enseignante s’installe face à elle, tasse de café en main. Café qu’elle lui propose, fort peu aimablement.
- Volontiers, je vous remercie.
Elle n’en a guère envie mais pour le simple plaisir de se faire servir… puisqu’elle l’a si agréablement proposé… pourquoi refuser ? Calliope pourrait jouer ce petit jeu infiniment mais dans son esprit, ça turbine a pleins régime. La jeune femme avait toujours été si appréciable. Qu’avait elle pu faire pour lui déplaire ?
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Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Jeu 13 Juil 2023 - 16:14
disconcerted devil
(mood board) (music) (outfit) Le ton assuré et déraisonnablement fort, la plagieuse voulut se parer des mêmes épines que la rose qui lui faisait face. Celle-ci trouva extravagant de la part d’une fleur aux pétales si pâles qu’elle ne se cacha même pas pour copier ses couleurs. Le sourire s’étira dans un coin de son visage fin, mais elle ne put se résoudre à quitter son siège. Isabelle saisit la baguette de charme qu’elle avait posée sur la table et l’agita en direction du petit buffet dressé par les elfes employés par l’école supérieure. Une petite tasse de café s’éloigna de ses consœurs et se présenta à la cafetière qui s’élevait dans les airs pour mieux se pencher et verser de son contenu dans la céramique blanche. L’onyx liquide remplit la tasse et déborda très légèrement sur la soucoupe qui venait tout juste de se glisser sous elle. Le doute aurait été permis pour toute autre sorcière d’un niveau de magie moins avancé, mais Isabelle savait très bien ce qu’elle faisait. Innocemment, la cafetière reprit sa place et laissa l’objet du délit s’envoler pour se déposer devant Calliope.
« Je ne vous propose pas de sucre ? »
Fit-elle en levant les yeux du parchemin qu’elle commençait à dérouler sur la table de réunion. La question sonna davantage comme une promesse à quelqu’un qui n’avait pas besoin d’ajouter quelques calories à son régime alimentaire qu’au souci de bien faire. Isabelle détailla la tenue vert d’eau de l’assistante et décida mesquinement qu’elle lui donnait le teint verdâtre. La sorcière poussa gracieusement la baguette de bois et prit sa propre coupelle dans la main droite. Elle avala une première gorgée en regardant la chevelure sombre des Muller. La ressemblance avec @Irina Melnikov la frappa pour la toute première fois. Elles partageaient toutes les deux un visage éblouissant et faussement angélique. Par réflexe, elle dressa des murs blancs autour de ses pensées et occupa ses mains en écrivant l’ordre du jour en haut du parchemin. Son honnêteté bien camouflée derrière des nuages de fumée, elle admit pour elle-même la beauté dont Calliope était pourvue. Elle n’avait peut-être pas bien fait de placer sa meilleure amie auprès d’@Arthur Batthyány, si celui-ci était attiré par de pareilles sirènes. La Française chassa cette idée saugrenue à l’arrière de sa tête et prit une autre gorgée.
« Je vous entendais davantage travailler au contact d’un public plus âgé. C’est bien vers eux que tendent vos goûts personnels, n’est-ce pas ? »
Il fallut avoir l’air le plus détaché possible, aussi se réfugia-t-elle dans une nouvelle lampée.
Fit-elle en levant les yeux du parchemin qu’elle commençait à dérouler sur la table de réunion. La question sonna davantage comme une promesse à quelqu’un qui n’avait pas besoin d’ajouter quelques calories à son régime alimentaire qu’au souci de bien faire. Isabelle détailla la tenue vert d’eau de l’assistante et décida mesquinement qu’elle lui donnait le teint verdâtre. La sorcière poussa gracieusement la baguette de bois et prit sa propre coupelle dans la main droite. Elle avala une première gorgée en regardant la chevelure sombre des Muller. La ressemblance avec @Irina Melnikov la frappa pour la toute première fois. Elles partageaient toutes les deux un visage éblouissant et faussement angélique. Par réflexe, elle dressa des murs blancs autour de ses pensées et occupa ses mains en écrivant l’ordre du jour en haut du parchemin. Son honnêteté bien camouflée derrière des nuages de fumée, elle admit pour elle-même la beauté dont Calliope était pourvue. Elle n’avait peut-être pas bien fait de placer sa meilleure amie auprès d’@Arthur Batthyány, si celui-ci était attiré par de pareilles sirènes. La Française chassa cette idée saugrenue à l’arrière de sa tête et prit une autre gorgée.
Il fallut avoir l’air le plus détaché possible, aussi se réfugia-t-elle dans une nouvelle lampée.
Laueee & londonrphs
- Calliope Mullersensitive bitch
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» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
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Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Mer 19 Juil 2023 - 21:37
Elle est parfaitement silencieuse la Muller, parfaitement imperturbable en apparence, alors qu’elle observe la française lui servir une tasse de café presque sans bouger le petit doigt. A l’aide de sortilèges parfaitement exécutés. Mais intérieurement, elle bouillonne de questions, la Muse. Pourquoi donc cette femme qui avait toujours été si avenante, si agréable avec elle et avec tout le corps enseignant se comportait de manière aussi detestable tout d’un coup ?
Il y avait forcément quelque-chose qui lui échappait. Calliope ne pouvait en aucune manière penser que cela puisse être la simple résultante d’une humeur massacrante. Il n’y avait personne d’autre pour le vérifier mais elle le ressentait dans ses tripes, que la d’Essenault avait quelque-chose contre elle. Mais quoi donc ?
Alors elle fait un effort de reflexion intense. Ou plutôt, elle essaye de se souvenir de tout les instants passés avec la trentenaire dernièrement. Il n’y en a pas cinquante. Elles se croisent plus qu’elles ne se fréquentent. Ce dîner mondain organisé par les Ballarini en décembre par exemple. Elles avaient discutaient quelques minutes de banalités et de leurs activités respectives mais à aucun moment il n’y avait eu la moindre tension. Qu’est ce qui avait changé ? « Je ne vous propose pas de sucre ? » La question interrompus la Muse dans sa reflexion mais sa réponse ne saurait se faire attendre.
- Jamais.
Et la voila qui étale son parchemin, visiblement bien décidée a ignorer la Britannique. Elle se préoccupe de son café, lâchant un regard à peine discret sur sa montre dans l’espoir qu’un collègue ne vienne afin de vérifier si elle était réellement visée ou s’il ne s’agissait ni plus ni moins que d’un syndrome du persécuté.
« Je vous entendais davantage travailler au contact d’un public plus âgé. C’est bien vers eux que tendent vos goûts personnels, n’est-ce pas ? ». La tasse se pose. Le sourcil s’arque. La réunion concerne les étudiants de première, deuxième et troisième année. Soit le cycle qui menait aux DUCS. C’était ceux avec qui elle travaillait le plus étant donné sa faible expérience en enseignement et son relatif jeune âge. Pour les autres années, elle se contentait plutôt de dépanner le Professeur Beans.
- Les étudiants de premier cycle me conviennent tout à fait, pourtant. Je suis à peine plus âgée que les étudiants de dernière année et je n’ai pas votre… expérience.
Qui voudrait, lirait entre les lignes.
Il y avait forcément quelque-chose qui lui échappait. Calliope ne pouvait en aucune manière penser que cela puisse être la simple résultante d’une humeur massacrante. Il n’y avait personne d’autre pour le vérifier mais elle le ressentait dans ses tripes, que la d’Essenault avait quelque-chose contre elle. Mais quoi donc ?
Alors elle fait un effort de reflexion intense. Ou plutôt, elle essaye de se souvenir de tout les instants passés avec la trentenaire dernièrement. Il n’y en a pas cinquante. Elles se croisent plus qu’elles ne se fréquentent. Ce dîner mondain organisé par les Ballarini en décembre par exemple. Elles avaient discutaient quelques minutes de banalités et de leurs activités respectives mais à aucun moment il n’y avait eu la moindre tension. Qu’est ce qui avait changé ? « Je ne vous propose pas de sucre ? » La question interrompus la Muse dans sa reflexion mais sa réponse ne saurait se faire attendre.
- Jamais.
Et la voila qui étale son parchemin, visiblement bien décidée a ignorer la Britannique. Elle se préoccupe de son café, lâchant un regard à peine discret sur sa montre dans l’espoir qu’un collègue ne vienne afin de vérifier si elle était réellement visée ou s’il ne s’agissait ni plus ni moins que d’un syndrome du persécuté.
« Je vous entendais davantage travailler au contact d’un public plus âgé. C’est bien vers eux que tendent vos goûts personnels, n’est-ce pas ? ». La tasse se pose. Le sourcil s’arque. La réunion concerne les étudiants de première, deuxième et troisième année. Soit le cycle qui menait aux DUCS. C’était ceux avec qui elle travaillait le plus étant donné sa faible expérience en enseignement et son relatif jeune âge. Pour les autres années, elle se contentait plutôt de dépanner le Professeur Beans.
- Les étudiants de premier cycle me conviennent tout à fait, pourtant. Je suis à peine plus âgée que les étudiants de dernière année et je n’ai pas votre… expérience.
Qui voudrait, lirait entre les lignes.
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Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Sam 14 Oct 2023 - 22:50
disconcerted devil
(mood board) (music) (outfit) Le parfum du café camouflait aisément la puanteur de sa jalousie. Aussi, Isabelle y trouvait un refuge évident, presque flagrant pour Calliope, qui n'en perdait pas une goutte. La riposte gronda dans le ciel à l'extérieur des murs. Le bruit des éclairs se faisait le compagnon d'armes de ces femmes qui sortaient les poings.
« Naturellement. »
Ce n'était pas une chose facilement contestée. Isabelle cacha ingénieusement son hypocrisie dans les replis de la convenance et du protocole. Elle savait la Muller parfaitement née d'une famille aux mérites remarquables. Ils s'illustraient tous tant et si bien dans les jeux de terrain et de la politique qu’il n’avait pas été long pour l’auditrice d’attendre avant de clamer son dû. À l’écouter parler, Isabelle songea qu’il était si difficile de formuler la moindre pensée qui vous soit propre quand on grandissait dans un pochon de nacre et de dentelle.
« Ne vous souciez pas autant des affres de la jeunesse : elle est parfois la seule et unique façon pour certains d’attirer l’attention. Je vous rassure : elle finit par se flétrir et les laisse sans rien. »
La fleur printanière, du haut de sa tige plantée dans un verre d’eau, faisait assurément partie de ces petites gens-là.
« Pensez-vous que nos très chères premières, deuxièmes et troisièmes années auront la même appétence que vous pour les relations internationales ? Vos travaux sérieux doivent périodiquement vous conduire à parlementer avec les ministères étrangers ? Nos étudiants sont certainement friands de vos petits contes et de vos fables savantes. »
Isabelle lui trouvait soudain le même sérieux qu'un vase transparent. Elle sourit avec l'innocence d'une vipère qui s'apprêtait à frapper.
« Si vous deviez n’en retenir qu’une, quelle serait selon vous la plus belle rencontre de votre carrière ? Il ne doit pas toujours être aisé pour une femme de votre jeune âge de vous entendre avec ces hommes et ces femmes, tous beaucoup plus âgés. »
L’anglais masquait impitoyablement le masculin dont elle avait voulu teinter son allusion, mais ses yeux d’or criaient que la mascarade avait assez durée.
Ce n'était pas une chose facilement contestée. Isabelle cacha ingénieusement son hypocrisie dans les replis de la convenance et du protocole. Elle savait la Muller parfaitement née d'une famille aux mérites remarquables. Ils s'illustraient tous tant et si bien dans les jeux de terrain et de la politique qu’il n’avait pas été long pour l’auditrice d’attendre avant de clamer son dû. À l’écouter parler, Isabelle songea qu’il était si difficile de formuler la moindre pensée qui vous soit propre quand on grandissait dans un pochon de nacre et de dentelle.
La fleur printanière, du haut de sa tige plantée dans un verre d’eau, faisait assurément partie de ces petites gens-là.
Isabelle lui trouvait soudain le même sérieux qu'un vase transparent. Elle sourit avec l'innocence d'une vipère qui s'apprêtait à frapper.
L’anglais masquait impitoyablement le masculin dont elle avait voulu teinter son allusion, mais ses yeux d’or criaient que la mascarade avait assez durée.
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» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
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» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» gallions sous la cape : 1403
Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Jeu 19 Oct 2023 - 19:47
« Naturellement. » L’échange hostile aurait pu en rester là. La française aurait eut le dernier mot mais Calliope aurait su de manège suggestive la renvoyer à son âge avancé. D’ailleurs, pendant le long silence qui suivit, la Muse sembla persuadée qu’elles en resteraient là. Et que les questions demeureraient. L’idée la contrariait grandement… Si Calliope n’avait pas de problème avec le fait de ne pas être appréciée, au moins appréciait elle en connaître les raisons. Aussi, fut-elle presque soulagée d’entendre la voix d’Isabelle. « Ne vous souciez pas autant des affres de la jeunesse : elle est parfois la seule et unique façon pour certains d’attirer l’attention. Je vous rassure : elle finit par se flétrir et les laisse sans rien. »
Que pouvait-elle donc répondre à ça ? C’était par pure mesquinerie qu’elle avait renvoyée la d’Essenault à son âge mais ça avait été surtout un moyen de contre-attaquer. elle n’était que trop d’accord avec elle et ignorait s’il s’agirait d’un aveux de faiblesse que de le reconnaître. La Professeur la connaissait-elle si mal qu’elle puisse penser que la Muller ne soit qu’un joli minoi ? Elle avait longtemps lutté contre ce préjugé et elle n’était pas sûre d’avoir envie de ré-ouvrir ce genre de débat. « Pensez-vous que nos très chères premières, deuxièmes et troisièmes années auront la même appétence que vous pour les relations internationales ? ».
- Le premier cycle n’étudie pas le droit des relations internationales. Quant à mes appétences en la matière, elles sont plus que discutables.
Elle avait répondu par automatisme, sûrement ravie de souligner l’erreur que commettait son adversaire de l’instant. Tant sur le plan des programmes pédagogiques que sur la spécialité de la Muller qui restait pénaliste plus que publiciste. « Si vous deviez n’en retenir qu’une, quelle serait selon vous la plus belle rencontre de votre carrière ? »
- Oh… !
Le brouillard se dissipe et tout s’éclaire. Elle comprend mieux l’hostilité de la d’Essenault bien qu’elle ignorait pourquoi le fait qu’elle fréquente Arthur puisse la contrarier a ce point. Etait-ce un ancien amant ? Un amant actuel ?
- C’est donc de cela qu'il s'agit.
Elle reste silencieuse un instant. Se demandant comment réagir. Il y avait encore tant d’inconnues dans l’équation et la Muller n’avait jamais brillé par son esprit mathématique.
- Mes fréquentations semblent vous interesser, Professeur. Que dis-je ? Vous contrarier. Puis-je savoir pourquoi ?
Que pouvait-elle donc répondre à ça ? C’était par pure mesquinerie qu’elle avait renvoyée la d’Essenault à son âge mais ça avait été surtout un moyen de contre-attaquer. elle n’était que trop d’accord avec elle et ignorait s’il s’agirait d’un aveux de faiblesse que de le reconnaître. La Professeur la connaissait-elle si mal qu’elle puisse penser que la Muller ne soit qu’un joli minoi ? Elle avait longtemps lutté contre ce préjugé et elle n’était pas sûre d’avoir envie de ré-ouvrir ce genre de débat. « Pensez-vous que nos très chères premières, deuxièmes et troisièmes années auront la même appétence que vous pour les relations internationales ? ».
- Le premier cycle n’étudie pas le droit des relations internationales. Quant à mes appétences en la matière, elles sont plus que discutables.
Elle avait répondu par automatisme, sûrement ravie de souligner l’erreur que commettait son adversaire de l’instant. Tant sur le plan des programmes pédagogiques que sur la spécialité de la Muller qui restait pénaliste plus que publiciste. « Si vous deviez n’en retenir qu’une, quelle serait selon vous la plus belle rencontre de votre carrière ? »
- Oh… !
Le brouillard se dissipe et tout s’éclaire. Elle comprend mieux l’hostilité de la d’Essenault bien qu’elle ignorait pourquoi le fait qu’elle fréquente Arthur puisse la contrarier a ce point. Etait-ce un ancien amant ? Un amant actuel ?
- C’est donc de cela qu'il s'agit.
Elle reste silencieuse un instant. Se demandant comment réagir. Il y avait encore tant d’inconnues dans l’équation et la Muller n’avait jamais brillé par son esprit mathématique.
- Mes fréquentations semblent vous interesser, Professeur. Que dis-je ? Vous contrarier. Puis-je savoir pourquoi ?
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Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Mer 3 Jan 2024 - 16:47
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(mood board) (music) (outfit) L'arc s'étira au-dessus de ses yeux dédaigneux. Ils disaient tout ce qu'elle pensait de l'art de la politique : un jeu abrutissant dont les Hommes aimaient faire usage pour tirer la couverture sur eux-mêmes. L'Éclairée - la Chevalière du Savoir - du haut de sa tour, pensait naturellement se tenir au-dessus de tout cela. Isabelle lorgna sur son parchemin, essayant fébrilement et malgré elle d'ignorer l'avalanche de mots assassins qui se précipitaient à ses lèvres lorsqu'elle entendit la jeune ingénue parler crûment de ses appétences discutables. Ils l'étaient pour le moins et la femme redoutable décida de coucher les injures sanglantes sur le papier plutôt que de les lui cracher dédaigneusement au visage.
La plume taillait les lettres dans le papier et l'imprégnait d'une encre si belle que celle-ci tranchait parfaitement avec la cruauté de ses pensées. Retrouvant un calme tout relatif, l'aînée ne consentit point à montrer l'exemple et voulut savoir quels renseignements elle parviendrait à tirer du petit ange. La réaction, primaire et révélatrice d'un bouleversement qu'Isabelle, malgré tout son intellect, n'avait pas anticipé. L'amour rendait aveugle. La sourde jalousie rendait immédiatement inepte.
« Je vous demande pardon ? »
Elle n'en faisait rien, bien entendu, mais l'adjurait de bien vouloir éclairer son propos, dont la vacuité l'inquiétait autant qu'elle l'agaçait. La plume s'immobilisa sur la feuille de parchemin, comme si elle craignait de se trouver au milieu d'un champ de bataille. Ses mains devinrent bientôt plus froides que la glace. Calliope la perçait à jour à travers le rideau opaque de neige et Isabelle n'appréciait guère le ton chatoyant qui décorait ses syllabes. S'il ne faisait pas attention, le joli vase risquait de se trouver brisé. Le silence poussa presque la Française à perdre patience, mais Calliope l'interrompit finalement avec fracas.Petite sotte. Elle avait immanquablement hérité de l'audace de sa famille.
« Ne vous méprenez pas, Mlle Muller. Je m'interroge simplement sur la légitimité de vos fréquentations - il ne faudrait pas qu'elles coûtent leur poste à quelqu'un. » Isabelle lui offrit son sourire le plus innocent et le plus mapar-dessusdessus la tasse de café, vide, comme son esprit. « Ne l'avez-vous pas dit vous-même ? Vous pourriez encore être une étudiante, après tout, et nous ne sommes pas sans savoir ce que le doyen pense des relations entretenues par le personnel, aussi temporaire soit-il, avec les plus jeunes recrues. »
La menace s'éteindrait bientôt, car Arthur n'avait pas prévu de poursuivre le travail qu'il menait pour l'univesité. Du bruit dans le couloir l'obligea à baisser la voix de plusieurs octaves :
« Vous êtes une jeune femme réfléchie. Considérez bien la chose, pour votre propre avenir. »
Le conseil s'habilla d'un sourire et d'une élégance à peine retrouvée à temps, car déjà des membres de l'enseignement supérieur entrait dans la salle qui leur était réservée. Ils prenaient place autour des deux armes levées, sans savoir dans quelle bataille ils mettaient les pieds.
La plume taillait les lettres dans le papier et l'imprégnait d'une encre si belle que celle-ci tranchait parfaitement avec la cruauté de ses pensées. Retrouvant un calme tout relatif, l'aînée ne consentit point à montrer l'exemple et voulut savoir quels renseignements elle parviendrait à tirer du petit ange. La réaction, primaire et révélatrice d'un bouleversement qu'Isabelle, malgré tout son intellect, n'avait pas anticipé. L'amour rendait aveugle. La sourde jalousie rendait immédiatement inepte.
Elle n'en faisait rien, bien entendu, mais l'adjurait de bien vouloir éclairer son propos, dont la vacuité l'inquiétait autant qu'elle l'agaçait. La plume s'immobilisa sur la feuille de parchemin, comme si elle craignait de se trouver au milieu d'un champ de bataille. Ses mains devinrent bientôt plus froides que la glace. Calliope la perçait à jour à travers le rideau opaque de neige et Isabelle n'appréciait guère le ton chatoyant qui décorait ses syllabes. S'il ne faisait pas attention, le joli vase risquait de se trouver brisé. Le silence poussa presque la Française à perdre patience, mais Calliope l'interrompit finalement avec fracas.
La menace s'éteindrait bientôt, car Arthur n'avait pas prévu de poursuivre le travail qu'il menait pour l'univesité. Du bruit dans le couloir l'obligea à baisser la voix de plusieurs octaves :
Le conseil s'habilla d'un sourire et d'une élégance à peine retrouvée à temps, car déjà des membres de l'enseignement supérieur entrait dans la salle qui leur était réservée. Ils prenaient place autour des deux armes levées, sans savoir dans quelle bataille ils mettaient les pieds.
Laueee & londonrphs
- Calliope Mullersensitive bitch
- » parchemins postés : 775
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» nature du sang : sang-pur
» particularité : occlumens
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» gallions sous la cape : 1403
Re: disconcerted devil pv. isabelle (terminé)
Mar 9 Jan 2024 - 16:37
“Je vous demande pardon ?” Calliope su à cet instant qu’elle n’aurait guère de réponse à sa question puisque celle que venait de poser la d’Essenault était purement rhétorique même si la française aurait sûrement prétendu le contraire. Elle n’aurait pas de réponse sincère et éclairante et cela le contrariait beaucoup.
Elle ne pouvait donc que s’abandonner à quelques hypothèses plus où moins fantasques. Quoi qu’il en soit, il était certain qu’il y avait quelque-chose entre Arthur et Isabelle et avec grand soin, Calliope classa l’information dans un coin de sa tête afin de pouvoir la ressortir en temps voulu, au moment opportun.
Entendant dans le couloir des pas qui précipiterait la fin de cette discussion qui n’en était pas vraiment une, Calliope bu les paroles de son aînée et n’eut pas grande difficulté à réaliser qu’il s’agissait d’un énième écran de fumée. Quoi que la Muller ne pouvait que reconnaître les talents de comédienne de son interlocutrice…
- Et bien, laissons Arthur décider si le risque en vaut la chandelle.
Le risque était minime. Quant à la chandelle… elle était trop concernée pour pouvoir répondre objectivement mais elle avait appuyé cette dernière phrase avec un sourire sincèrement amusé alors que les collègues s’installaient, imposant l’étendard immaculé, pour le temps que durerait la réunion tout au moins.
Elle ne pouvait donc que s’abandonner à quelques hypothèses plus où moins fantasques. Quoi qu’il en soit, il était certain qu’il y avait quelque-chose entre Arthur et Isabelle et avec grand soin, Calliope classa l’information dans un coin de sa tête afin de pouvoir la ressortir en temps voulu, au moment opportun.
Entendant dans le couloir des pas qui précipiterait la fin de cette discussion qui n’en était pas vraiment une, Calliope bu les paroles de son aînée et n’eut pas grande difficulté à réaliser qu’il s’agissait d’un énième écran de fumée. Quoi que la Muller ne pouvait que reconnaître les talents de comédienne de son interlocutrice…
- Et bien, laissons Arthur décider si le risque en vaut la chandelle.
Le risque était minime. Quant à la chandelle… elle était trop concernée pour pouvoir répondre objectivement mais elle avait appuyé cette dernière phrase avec un sourire sincèrement amusé alors que les collègues s’installaient, imposant l’étendard immaculé, pour le temps que durerait la réunion tout au moins.
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride: