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- Juliet BlackthornBaby sixtine - Little sun
- » parchemins postés : 2112
» miroir du riséd : ester expósito
» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : paige moonfall & calliope muller & andrew hill
» âge : 25 ans (depuis le 02/09/2024)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» nature du sang : sang-pur
» particularité : manumagie
» année d'études : 7eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
» profession : résidente aux urgences de sainte marie d'inverness
» gallions sous la cape : 3799
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Re: I'm a mess. (Juliet)
Sam 22 Juil 2023 - 11:06
« Joaquin.. ? » appuyant son épaule contre la chambranle de la porte, comme trop fatiguée par ces échanges avec Cataleya, Juliet hoche doucement la tête non sans regarder la rousse qui s’est enfouie sous ses draps. Enfant, Juliet se serait sûrement fait une place dans ce lit encore trop grand pour elle deux. Mais à la place, Juliet retient son souffle dans l’attendre de la réponse de sa cousine qui après avoir retrouvé le prénom de son cousin, semble s’interroger sur le bien fondé d’un rapprochement aussi minime soit il.
« Peut-être que tu pourrais nous présenter ? » c’était presque inespéré. Et de nouveau, Juliet hoche doucement la tête alors même que son coeur a fait un bond dans sa poitrine. Qui meilleure personne que @Joaquin Villanueva pour que Cataleya puisse reprendre doucement contact avec ceux qui l’ont vu naître. Elle a tellement confiance en la douceur du Lufkin que ça pourrait en être risible si le jeune homme n’était pas sincère.
- Je suis sûre qu’il en serait ravi.
La voix est posée mais Juliet s’interroge déjà sur la meilleure dont elle va pouvoir présenter les choses à l’intéressé. Mais les réflexion de Juliet sont écrasées dans l’oeuf par les insécurités que Cataleya exprime à voix haute pour la première fois depuis.. depuis toujours ? Trop atterée par les mots de l’adoptée pour voir l’invitation de la main pâle, Juliet reste un instant interdite par ces révélations.
- Tu es et tu as toujours été une Blackthorn à mes yeux et aux yeux du monde. Tu pourrais aussi être une Villanueva aussi, un jour, mais ça ne peut qu’être ton choix. J’ignore si Fernando sait ce qui t’es arrivé. J’ignore comment il réagira en apprenant que tu es sa fille. Ils ont vécu parfaitement ostracisé pendant si longtemps…
Elle réfléchit, douce Juliet, à comment elle pourrait présenter les choses de façon un peu plus positives si c’était possible.
- Quant a mon oncle et à ma tante… Ca ne sera qu’un écart de plus parmi tous ceux que nous avons pu faire, n’est-ce pas ? S’ils avaient l’intention de nous renier à la moindre erreur, ils n’auraient plus qu’@Elizabeth Blackthorn et Eliott à torturer. Alors une de plus ou une de moins…
Comme toujours lorsqu’elle est stressée, ses doigts s’enroulent nerveusement autour d’une de ses mèches blondes.
- Entendons nous bien… Je ne t’encourage pas à la sédition. tu pourrais faire ça de manière discrète autant que faire se peut ?
« Peut-être que tu pourrais nous présenter ? » c’était presque inespéré. Et de nouveau, Juliet hoche doucement la tête alors même que son coeur a fait un bond dans sa poitrine. Qui meilleure personne que @Joaquin Villanueva pour que Cataleya puisse reprendre doucement contact avec ceux qui l’ont vu naître. Elle a tellement confiance en la douceur du Lufkin que ça pourrait en être risible si le jeune homme n’était pas sincère.
- Je suis sûre qu’il en serait ravi.
La voix est posée mais Juliet s’interroge déjà sur la meilleure dont elle va pouvoir présenter les choses à l’intéressé. Mais les réflexion de Juliet sont écrasées dans l’oeuf par les insécurités que Cataleya exprime à voix haute pour la première fois depuis.. depuis toujours ? Trop atterée par les mots de l’adoptée pour voir l’invitation de la main pâle, Juliet reste un instant interdite par ces révélations.
- Tu es et tu as toujours été une Blackthorn à mes yeux et aux yeux du monde. Tu pourrais aussi être une Villanueva aussi, un jour, mais ça ne peut qu’être ton choix. J’ignore si Fernando sait ce qui t’es arrivé. J’ignore comment il réagira en apprenant que tu es sa fille. Ils ont vécu parfaitement ostracisé pendant si longtemps…
Elle réfléchit, douce Juliet, à comment elle pourrait présenter les choses de façon un peu plus positives si c’était possible.
- Quant a mon oncle et à ma tante… Ca ne sera qu’un écart de plus parmi tous ceux que nous avons pu faire, n’est-ce pas ? S’ils avaient l’intention de nous renier à la moindre erreur, ils n’auraient plus qu’@Elizabeth Blackthorn et Eliott à torturer. Alors une de plus ou une de moins…
Comme toujours lorsqu’elle est stressée, ses doigts s’enroulent nerveusement autour d’une de ses mèches blondes.
- Entendons nous bien… Je ne t’encourage pas à la sédition. tu pourrais faire ça de manière discrète autant que faire se peut ?
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
- pride:
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Re: I'm a mess. (Juliet)
Sam 22 Juil 2023 - 23:30
Un couinement à peine audible perce les murs de la chambre lorsque Juliet s’essaye à la rassurer. Elle ne comprenait pas, elle ne pouvait pas comprendre. Cataleya s’était entièrement construite autour de ses parents et se moquait de l’approbation du Monde car il n’était rien. Il n’avait pas sa place dans celui de Quarta Blackthorn. Cette condition de Blackthorn ne trouvait de sens que si elle était bénie par Claudia et Aloysius. Peut être plus par Claudia puisque tout, dans les rapport de la fille et de son père, ne résultait que d’un jeu de force primaire et barbare. Tôt où tard Cataleya arracherait des mains de son père vieillissant un sursaut de fierté, quitte à ce que cela se fasse dans le sang et les cris… Elle s’était tant visualisée à quatre pattes au dessus de lui, la gueule si proche de son visage qu’elle en tirait certaine nuit une odieuse forme de jouissance. De toute puissance. L’amour de Claudia, lui, tenait du sacré tant il semblait inaccessible.
Dans ce monde qui était le sien, Claudia était un astre autour duquel elle gravitait. S’éloigner de ce pilier reviendrait à s’effondrer sous son propre poids puisque c’était sa force à elle qui la maintenait debout. Tout, dans sa vie, était régi par cette mère à l’allure sinistre. Pas étonnant que, même coupée du manoir familial, elle honore chacun des rendez-vous hebdomadaires qui les liait : elle ne saurait s’en défaire. Ne pouvait viscéralement pas s’en défaire.
Si déjà enfant elle tirait de son statut de favorite une jouissance toute particulière, c’était devenue au fil des années un titre sur lequel elle veillait corps et âme. La simple idée que l’on puisse faire de l’ombrage à ce statut instable éveillait en elle le pire : comme s’il tenait de sa propre survie que de demeurer là, tout près de ses parents, dans une bulle un peu étrange où, sans parler d’amour, elle avait tout de même un statut un peu spécial. Et Circée seule savait ô combien elle était prête à défendre ce maigre voile qui lui laissait parfois encore croire à une affection tordue et malade. Elle était quasis convaincue d'avoir tenté d’éclater la main d’Eliott à coup de fourchette le jour où il avait essayé de lui voler sa place à table. Cette chaise, à droite de sa mère, sur laquelle elle veillait farouchement. Elle supportait déjà mal de passer après ses frères puisqu’elle avait hérité du sexe faible, de passer après les ainées, elle, l’avant dernière.
Le coeur bat fort, les nerfs lâchent, la fièvre la rend fébrile et force est d’admettre que la fierté ne la sauvegardera cette fois ci pas des larmes. Alors, étranglée par ses couvertures, hanté par cette foutue guitare qui l’observe inlassablement, Cataleya éclate en sanglots. Elle sait que ses frères et soeurs demeureraient à ses côtés mais..
-A quoi rimerait ma vie si je n’étais plus une Blackthorn.. Les mots lui brûlent la gorge autant que l’horreur se dessine dans son regard à cette seule perspective. J’ai tout battit autours des attentes de ma mère, de mon père. Elle menait une vie qui ne lui plaisait pas, et ce dans l’unique but de coller au plus près des espoirs parentaux. S’il lui demandait de plaquer sur le champs médicomagie et science occulte, pas sûre qu’elle négocie bien longtemps. Elle s’y plierait, forcément.
-Je suis à bout. Tout va de travers Ju’.. Tu virerais folle si tu voyais tout ce que j’avale pour étrangler ma magie, faire taire mon animagus.. Je n’arrive plus à rien et j’ai juste envie de me laisser couler dans un trou de souris.. La seule constante dans tout ce chaos c’est mes parents, je.. Non. Je n’ai pas le droit. Maman serait dévastée et, de toute manière, je suis incapable de vivre sans elle…
Reniflant timidement pour contraindre la voix à retrouver un peu de prestance, les sanglots redoublent d'intensité devant cette dernière phrase, presque insensée tant l'image dépeinte divergeait du portrait de la grande Claudia Blackthorn. Le nom de "maman" était déjà en soit une hérésie formidable, mais l'idée même que Cataleya puisse la croire dévastée là où seule la fureur palpitait était preuve des déformations que son cerveau opérait pour supporter toute cette situation. Elle s'obstinait à voir de l'amour et de la déception dans cette violence quotidienne puisqu'il s'agissait là du seul moyen de purement l'accepter. Elle s'obstinait à croire que, quelque part, tout ceci pourrait changer puisqu'elle les aimait. Qu'elle finirait pas les adoucir, un jour.
Dans ce monde qui était le sien, Claudia était un astre autour duquel elle gravitait. S’éloigner de ce pilier reviendrait à s’effondrer sous son propre poids puisque c’était sa force à elle qui la maintenait debout. Tout, dans sa vie, était régi par cette mère à l’allure sinistre. Pas étonnant que, même coupée du manoir familial, elle honore chacun des rendez-vous hebdomadaires qui les liait : elle ne saurait s’en défaire. Ne pouvait viscéralement pas s’en défaire.
Si déjà enfant elle tirait de son statut de favorite une jouissance toute particulière, c’était devenue au fil des années un titre sur lequel elle veillait corps et âme. La simple idée que l’on puisse faire de l’ombrage à ce statut instable éveillait en elle le pire : comme s’il tenait de sa propre survie que de demeurer là, tout près de ses parents, dans une bulle un peu étrange où, sans parler d’amour, elle avait tout de même un statut un peu spécial. Et Circée seule savait ô combien elle était prête à défendre ce maigre voile qui lui laissait parfois encore croire à une affection tordue et malade. Elle était quasis convaincue d'avoir tenté d’éclater la main d’Eliott à coup de fourchette le jour où il avait essayé de lui voler sa place à table. Cette chaise, à droite de sa mère, sur laquelle elle veillait farouchement. Elle supportait déjà mal de passer après ses frères puisqu’elle avait hérité du sexe faible, de passer après les ainées, elle, l’a
Le coeur bat fort, les nerfs lâchent, la fièvre la rend fébrile et force est d’admettre que la fierté ne la sauvegardera cette fois ci pas des larmes. Alors, étranglée par ses couvertures, hanté par cette foutue guitare qui l’observe inlassablement, Cataleya éclate en sanglots. Elle sait que ses frères et soeurs demeureraient à ses côtés mais..
-A quoi rimerait ma vie si je n’étais plus une Blackthorn.. Les mots lui brûlent la gorge autant que l’horreur se dessine dans son regard à cette seule perspective. J’ai tout battit autours des attentes de ma mère, de mon père. Elle menait une vie qui ne lui plaisait pas, et ce dans l’unique but de coller au plus près des espoirs parentaux. S’il lui demandait de plaquer sur le champs médicomagie et science occulte, pas sûre qu’elle négocie bien longtemps. Elle s’y plierait, forcément.
-Je suis à bout. Tout va de travers Ju’.. Tu virerais folle si tu voyais tout ce que j’avale pour étrangler ma magie, faire taire mon animagus.. Je n’arrive plus à rien et j’ai juste envie de me laisser couler dans un trou de souris.. La seule constante dans tout ce chaos c’est mes parents, je.. Non. Je n’ai pas le droit. Maman serait dévastée et, de toute manière, je suis incapable de vivre sans elle…
Reniflant timidement pour contraindre la voix à retrouver un peu de prestance, les sanglots redoublent d'intensité devant cette dernière phrase, presque insensée tant l'image dépeinte divergeait du portrait de la grande Claudia Blackthorn. Le nom de "maman" était déjà en soit une hérésie formidable, mais l'idée même que Cataleya puisse la croire dévastée là où seule la fureur palpitait était preuve des déformations que son cerveau opérait pour supporter toute cette situation. Elle s'obstinait à voir de l'amour et de la déception dans cette violence quotidienne puisqu'il s'agissait là du seul moyen de purement l'accepter. Elle s'obstinait à croire que, quelque part, tout ceci pourrait changer puisqu'elle les aimait. Qu'elle finirait pas les adoucir, un jour.
- Juliet BlackthornBaby sixtine - Little sun
- » parchemins postés : 2112
» miroir du riséd : ester expósito
» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : paige moonfall & calliope muller & andrew hill
» âge : 25 ans (depuis le 02/09/2024)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» nature du sang : sang-pur
» particularité : manumagie
» année d'études : 7eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
» profession : résidente aux urgences de sainte marie d'inverness
» gallions sous la cape : 3799
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Re: I'm a mess. (Juliet)
Jeu 27 Juil 2023 - 16:49
Elle ne peut décemment lui ne vouloir, la cadette. Que ferait elle si elle apprenait que ses parents biologiques étaient vivants et l’avaient abandonné entre les griffes de Claudia ? Elle n’en savait rien. La politique de l’autruche, peut-être. Le déni. Jusqu’à ce qu’inlassablement la réalité la rattrape. Mais la vérité, c’est que dans cette équation il y avait encore beaucoup d’inconnues. La plus importante d’entre elles, celle qui ferait sûrement la différence, c’était qu’elle ignorait seulement si Fernando savait qu’il avait encore une fille dans ce bas monde.
Si c’est la crainte des sentiments des Villanueva qui aurait sûrement clouée Juliet sur place, la douce Blackthorn comprend vite que ce n’est pas ce qui écharpe Quarta. « A quoi rimerait ma vie si je n’étais plus une Blackthorn.. » Un rêve ? Une nouvelle chance ? Juliet aurait payé cher pour abandonner son patronyme et vivre des jours heureux auprès d’Elio. Elle en aurait sûrement été capable si elle ne craignait pas les conséquences d’une telle sédition. On la disait naïve mais aujourd’hui, c’est Cataleya qui est enfumée par les impératifs parentaux. Croire que toute sa vie n’a de raison que parce qu’elle contente ses parents… penser que Claudia puisse n’abandonner qu’une larme si sa fille « préférée » lui tournait le dos ? Sottises. Et tous ceux qui y croyaient n’étaient que les pauvres victimes d’une manipulation minutieuse mise en œuvre depuis des années.
Que répondre ? Les discussions avec sa presque sœur n’avaient jamais été très prolifiques ces dernières années. Voir carrément contre-productive parfois… Juliet avait ce sentiment très intense en elle, celui d’être sûre qu’elle n’était pas celle qui serait capable d’extirper Cataleya à l’aura de ces affreuses croyances. Alors, avec toute la douceur qui la caractérise, elle abdique.
- Je vois…
Revenant sur ses pas, Juliet remonte la couverture sous le menton laiteux, dépose un baiser sur son front tacheté. Ce n’est qu’avant de quitter définitivement ce manoir qu’elle détestait, dans l’encadrement de la porte qu’elle se retourne :
- Un jour Cat, tu te rendras compte que tu mérites mieux.
Si c’est la crainte des sentiments des Villanueva qui aurait sûrement clouée Juliet sur place, la douce Blackthorn comprend vite que ce n’est pas ce qui écharpe Quarta. « A quoi rimerait ma vie si je n’étais plus une Blackthorn.. » Un rêve ? Une nouvelle chance ? Juliet aurait payé cher pour abandonner son patronyme et vivre des jours heureux auprès d’Elio. Elle en aurait sûrement été capable si elle ne craignait pas les conséquences d’une telle sédition. On la disait naïve mais aujourd’hui, c’est Cataleya qui est enfumée par les impératifs parentaux. Croire que toute sa vie n’a de raison que parce qu’elle contente ses parents… penser que Claudia puisse n’abandonner qu’une larme si sa fille « préférée » lui tournait le dos ? Sottises. Et tous ceux qui y croyaient n’étaient que les pauvres victimes d’une manipulation minutieuse mise en œuvre depuis des années.
Que répondre ? Les discussions avec sa presque sœur n’avaient jamais été très prolifiques ces dernières années. Voir carrément contre-productive parfois… Juliet avait ce sentiment très intense en elle, celui d’être sûre qu’elle n’était pas celle qui serait capable d’extirper Cataleya à l’aura de ces affreuses croyances. Alors, avec toute la douceur qui la caractérise, elle abdique.
- Je vois…
Revenant sur ses pas, Juliet remonte la couverture sous le menton laiteux, dépose un baiser sur son front tacheté. Ce n’est qu’avant de quitter définitivement ce manoir qu’elle détestait, dans l’encadrement de la porte qu’elle se retourne :
- Un jour Cat, tu te rendras compte que tu mérites mieux.
~ Fin
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
- pride:
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