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i'd rather cry in a jaguar than on a bus. ft maximilien leroy
Dim 10 Mar 2024 - 13:23
❝ i'd rather cry in a jaguar than on a bus.
Le contrôle appartient à ceux qui en ont le luxe. Si au cours de ta vie tu as eu l’occasion de voir des personnes s’effondrer, jamais il n’en sera de même pour toi. Vingt-quatre ans seulement et tu t’exprimes comme si ta vie était déjà finie. Et pourtant. Quelle est l’importance de l’âge quand celle de l’âme est indénombrable ? Les émois, tu les laisses volontiers à ceux dont le temps n’est pas compté, ceux-là même qui sont incapables de paraître. Pour ta future carrière, il n’en pouvait être autrement que de s’affubler d’oripeaux. Alors tu parais, des sourires à tous et des sincères à ceux qui le méritent. Tu as toujours pensé qu’il te suffisait de faire ce que tu voulais puis, la réalité de la politique t’a rattrapée. Il faut être hypocrite pour survivre dans ce milieu. Est-ce forcément mal ? Tu manies l’art du paraître sans pour autant être à l’aise.
Quelque chose grouille en toi sous ta peau, cette sensation, depuis ce matin, dure. Tu as tout essayé : tu as frotté, gratté, frappé mais elle persiste. Le reflet que t’a renvoyé ton miroir ce matin ne montrait rien d’anormal et pourtant … une chose est là. Comme si tes épaules n’étaient pas à la bonne place, que tes dents ont besoin de plus d’espace dans ta cavité buccale, que ta vision devrait se trouver à ras-le-sol. Tu as alors fermé la porte, bien décidé à ne pas laisser entrer pleinement les fourmillements qui pullulent. Un sentiment nouveau qui n’accepte pas d’être tu, et pour preuve, tu pourrais presque l’entendre d’abord toquer à ta porte, puis frapper pour chercher ensuite à la défoncer.
Maîtresse de la communication et aussi ironique soit-il, tes propres émotions te sont étrangères. En début d’après-midi te vient la réponse. Tu dévales à ce moment-là les couloirs de l’université pour rejoindre la bibliothèque avant de constater avec effroi que ton bras se contorsionne. Littéralement. Immédiatement tu reconnais là ce que tu vivais à chaque transformation. Sans plus tarder, tu cours de toutes tes forces pour rejoindre un endroit isolé et la forêt te vient aussitôt comme destination idéale. Tu viens seulement d’entrer dans la forêt que tu perds l’équilibre et tu te relèves, tu continues de courir bien trop effrayée à l’idée que quelqu’un puisse te voir. C’est lorsque tu te rends compte que tu es devenue bien plus petite et rapide que tu trébuches sur tes propres pattes, l’adrénaline t’a permis de t’enfoncer profondément dans la forêt. Retour à la case départ, tu ne parviens pas à te redresser sur ces foutus pattes et l’anxiété te submerge ; tu te sens si vulnérable, si incapable, ce sentiment pénible te tue de l’intérieur et empêche toute transformation vers ta forme humaine.
Dans ta quête de savoir, tu as travaillé comme une acharnée pour pouvoir maîtriser la transformation animagus dans l’optique que cette dernière te soit utile. Une forme discrète avec laquelle tu aurais pu espionner quiconque oserait s’opposer à toi - quelque chose d’inévitable dans la carrière que tu poursuis. Quand tu as découvert à quel point ton animagus était massif, la fréquence de tes entraînements a ralenti, jusqu’à disparaître. Après tout, que peux-tu bien faire d’un jaguar ? L’univers doit sûrement te punir de quelque chose… Et c’est seule dans cette forêt que tu rumines quel goûter as-tu bien pu voler pour vivre cette situation.
@Maximilien Leroy
Quelque chose grouille en toi sous ta peau, cette sensation, depuis ce matin, dure. Tu as tout essayé : tu as frotté, gratté, frappé mais elle persiste. Le reflet que t’a renvoyé ton miroir ce matin ne montrait rien d’anormal et pourtant … une chose est là. Comme si tes épaules n’étaient pas à la bonne place, que tes dents ont besoin de plus d’espace dans ta cavité buccale, que ta vision devrait se trouver à ras-le-sol. Tu as alors fermé la porte, bien décidé à ne pas laisser entrer pleinement les fourmillements qui pullulent. Un sentiment nouveau qui n’accepte pas d’être tu, et pour preuve, tu pourrais presque l’entendre d’abord toquer à ta porte, puis frapper pour chercher ensuite à la défoncer.
Maîtresse de la communication et aussi ironique soit-il, tes propres émotions te sont étrangères. En début d’après-midi te vient la réponse. Tu dévales à ce moment-là les couloirs de l’université pour rejoindre la bibliothèque avant de constater avec effroi que ton bras se contorsionne. Littéralement. Immédiatement tu reconnais là ce que tu vivais à chaque transformation. Sans plus tarder, tu cours de toutes tes forces pour rejoindre un endroit isolé et la forêt te vient aussitôt comme destination idéale. Tu viens seulement d’entrer dans la forêt que tu perds l’équilibre et tu te relèves, tu continues de courir bien trop effrayée à l’idée que quelqu’un puisse te voir. C’est lorsque tu te rends compte que tu es devenue bien plus petite et rapide que tu trébuches sur tes propres pattes, l’adrénaline t’a permis de t’enfoncer profondément dans la forêt. Retour à la case départ, tu ne parviens pas à te redresser sur ces foutus pattes et l’anxiété te submerge ; tu te sens si vulnérable, si incapable, ce sentiment pénible te tue de l’intérieur et empêche toute transformation vers ta forme humaine.
Dans ta quête de savoir, tu as travaillé comme une acharnée pour pouvoir maîtriser la transformation animagus dans l’optique que cette dernière te soit utile. Une forme discrète avec laquelle tu aurais pu espionner quiconque oserait s’opposer à toi - quelque chose d’inévitable dans la carrière que tu poursuis. Quand tu as découvert à quel point ton animagus était massif, la fréquence de tes entraînements a ralenti, jusqu’à disparaître. Après tout, que peux-tu bien faire d’un jaguar ? L’univers doit sûrement te punir de quelque chose… Et c’est seule dans cette forêt que tu rumines quel goûter as-tu bien pu voler pour vivre cette situation.
@Maximilien Leroy
Code by Midnight shadow // Gifs by cloudyyminded (tumblr)
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: i'd rather cry in a jaguar than on a bus. ft maximilien leroy
Dim 10 Mar 2024 - 15:24
Bouffée d’air frais. Maximilien a comme cette agréable sensation de revivre à chaque fois qu’il fait abstraction de sa prison de chair pour emprunter celle, plus libre, du rapace. Les petites contrariétés, les angoisses et les doutes sont enfouis dans un tiroir fermé à clé pendant quelques heures. Même quinze petites minutes lui suffisent pour aborder le reste de la journée avec un peu plus de sérénité. C’est qu’il se sait chanceux d’avoir cette opportunité quand d’autres doivent simplement vivre avec cet enfermement permanent. Ou ne s’en rendent-ils pas compte, n’ayant jamais expérimenté la liberté qu’est celle de voler au-dessus des cimes tel un dieu ? Loin de s’offrir les pouvoirs d’une divinité et de s’en accaparer le caractère vaniteux, Maximilien saisit son privilège, qu’il a longtemps pris pour une malédiction, notamment ces dernières années.
L’appel de la forêt. Elle avait le visage menaçant il y a encore quelques mois. Elle lui a fait tant de mal. Non, ce n’était pas elle mais l’humain. Toujours l’humain. Il a mis un moment à le comprendre et regrette aujourd’hui d’avoir eu de telles pensées à son égard. Elle a toujours tout fait pour lui apporter le calme dont il avait besoin et il l’a blâmée sans même une seconde réflexion. Maximilien pose le plat de sa main sur le premier arbre qui croise son chemin et se laisse envahir par chaque vibration. La vie grouille tout autour de lui. Inspiration, expiration. Oui, il se sent déjà un peu mieux. Comme apaisé. Le temps est clément, le vent pas trop brusque – une légère brise qui saura parfaitement accompagner ses ailes. Il a hâte mais tout d’abord, s’enfonce un peu plus profondément dans la forêt pour procéder à la transformation. Maintenant qu’il est revenu à un rapport conciliant avec son animagus, il peut se permettre ses anciennes fantaisies. Avant que tout ce traumatisme ne se mette en place. Prendre de la hauteur, grimper à un arbre comme on le ferait enfant, sans craindre ce qui se trouve sous les pieds. Sentir la hauteur et la gravité se combattre, l’un vous procurant une sensation de puissance tandis que l’autre souhaite vous pousser à la chute pour vous attirer à elle. Il saute.
Il n’aurait pas fait ça il y a quelques mois au risque de s’aplatir à même le sol et se défigurer pour de bon. Voire mourir. C’est démontrer la confiance qu’il a en lui-même et en son animagus désormais, comme une réconciliation qu’il est bon de vivre. Sa liberté s’accompagne de vigilance. Plus aucun chasseur ne le surprendra désormais, il s’en est fait une promesse. Ne plus jamais vivre ça. Avec le temps, il a appris à identifier les éléments perturbateurs de cette forêt qu’il connaît désormais par cœur. C’est ainsi qu’il repère le jaguar qui n’a rien à faire dans cet écosystème. L’aigle royal se concentre sur l’animal qui dévore les mètres jusqu’à s’immobiliser et... c’est tout. Aucune proie en vue pour lui, aucun prédateur à sa poursuite. Il fait quelques cercles autour du félin le temps de prendre une décision pour descend en piqué vers le coin de verdure adopté par le jaguar comme refuge de fortune.
Pour toi, les options sont courtes : soit il s’agit d’un camarade en détresse, soit d’un réel jaguar perdu ici pour on ne sait quelle raison. La deuxième est bien plus improbable mais pas exclue. L’être humain, vous savez. Il est prêt à n’importe quoi, même arracher une aussi belle bête à son environnement naturel. L’aigle royal se pose sur un rocher à proximité et penche la tête sur le côté, son regard perçant dirigé vers le jaguar. En y regardant bien, la douceur d’âme de Maximilien s'y reflète, donnant au rapace une aura humaine. Là, il attend. Observe. Glatit pour attirer définitivement l’attention du félin sur lui.
@Azra Aslan
L’appel de la forêt. Elle avait le visage menaçant il y a encore quelques mois. Elle lui a fait tant de mal. Non, ce n’était pas elle mais l’humain. Toujours l’humain. Il a mis un moment à le comprendre et regrette aujourd’hui d’avoir eu de telles pensées à son égard. Elle a toujours tout fait pour lui apporter le calme dont il avait besoin et il l’a blâmée sans même une seconde réflexion. Maximilien pose le plat de sa main sur le premier arbre qui croise son chemin et se laisse envahir par chaque vibration. La vie grouille tout autour de lui. Inspiration, expiration. Oui, il se sent déjà un peu mieux. Comme apaisé. Le temps est clément, le vent pas trop brusque – une légère brise qui saura parfaitement accompagner ses ailes. Il a hâte mais tout d’abord, s’enfonce un peu plus profondément dans la forêt pour procéder à la transformation. Maintenant qu’il est revenu à un rapport conciliant avec son animagus, il peut se permettre ses anciennes fantaisies. Avant que tout ce traumatisme ne se mette en place. Prendre de la hauteur, grimper à un arbre comme on le ferait enfant, sans craindre ce qui se trouve sous les pieds. Sentir la hauteur et la gravité se combattre, l’un vous procurant une sensation de puissance tandis que l’autre souhaite vous pousser à la chute pour vous attirer à elle. Il saute.
Il n’aurait pas fait ça il y a quelques mois au risque de s’aplatir à même le sol et se défigurer pour de bon. Voire mourir. C’est démontrer la confiance qu’il a en lui-même et en son animagus désormais, comme une réconciliation qu’il est bon de vivre. Sa liberté s’accompagne de vigilance. Plus aucun chasseur ne le surprendra désormais, il s’en est fait une promesse. Ne plus jamais vivre ça. Avec le temps, il a appris à identifier les éléments perturbateurs de cette forêt qu’il connaît désormais par cœur. C’est ainsi qu’il repère le jaguar qui n’a rien à faire dans cet écosystème. L’aigle royal se concentre sur l’animal qui dévore les mètres jusqu’à s’immobiliser et... c’est tout. Aucune proie en vue pour lui, aucun prédateur à sa poursuite. Il fait quelques cercles autour du félin le temps de prendre une décision pour descend en piqué vers le coin de verdure adopté par le jaguar comme refuge de fortune.
Pour toi, les options sont courtes : soit il s’agit d’un camarade en détresse, soit d’un réel jaguar perdu ici pour on ne sait quelle raison. La deuxième est bien plus improbable mais pas exclue. L’être humain, vous savez. Il est prêt à n’importe quoi, même arracher une aussi belle bête à son environnement naturel. L’aigle royal se pose sur un rocher à proximité et penche la tête sur le côté, son regard perçant dirigé vers le jaguar. En y regardant bien, la douceur d’âme de Maximilien s'y reflète, donnant au rapace une aura humaine. Là, il attend. Observe. Glatit pour attirer définitivement l’attention du félin sur lui.
@Azra Aslan
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: i'd rather cry in a jaguar than on a bus. ft maximilien leroy
Dim 10 Mar 2024 - 20:54
❝ i'd rather cry in a jaguar than on a bus.
Seule au milieu de la forêt, les psithurismes de cette dernière auraient pourtant dû t’apaiser mais rien n’y fait. Tu es complètement tétanisée. Au moins et dans ces bois, tu ne peux que faire face à toi-même. Changer de forme c’est accepter de laisser en suspens celle initiale. Tu le sais mieux que quiconque, tu as adopté cette philosophie durant ton apprentissage mais ce n’était pas dans tes plans de te retrouver dans un corps aussi massif. Tu le sens à chaque transformation que tu n’es pas en harmonie totale avec ton animagus. Tu te confrontes à lui, tu ne l’incarnes pas.
Dans tes ruminements, ton pelage picote et tu te sais observée ce qui achève toute tranquillité même partielle en toi. Le regard safran analyse chaque entité habitant la forêt avant de tomber sur l'individu qui l’a rejoint. Tu doutes qu’un véritable aigle se serait posé là à observer avec curiosité un prédateur. Mais après tout qui sait. Ce n’est pas comme si tu t’y connaissais en comportement animal. La situation ne le permet peut-être pas mais l’admiration est tout de même présente d’être à proximité d’un tel animal. Malgré tout tu restes sur tes gardes, montre tes babines pour le dissuader de s’approcher tout en reculant lentement pour au moins te cacher derrière un arbre. Entre les feulement gutturaux et la queue qui s’agite à en balayer les feuilles sur son passage ; tout montre que tu es hostile. Tu ne veux pas être vue, pas comme ça, pas maintenant. L’anxiété reprend d’assaut alors, tu halètes, gueule ouverte et le poitrail se contractant douloureusement sans lâcher du regard l’aigle, ne sachant pas ce qu’il veut de toi. Une question rôde, pourquoi n’es-tu pas seule dans ces bois ?
@Maximilien Leroy
Dans tes ruminements, ton pelage picote et tu te sais observée ce qui achève toute tranquillité même partielle en toi. Le regard safran analyse chaque entité habitant la forêt avant de tomber sur l'individu qui l’a rejoint. Tu doutes qu’un véritable aigle se serait posé là à observer avec curiosité un prédateur. Mais après tout qui sait. Ce n’est pas comme si tu t’y connaissais en comportement animal. La situation ne le permet peut-être pas mais l’admiration est tout de même présente d’être à proximité d’un tel animal. Malgré tout tu restes sur tes gardes, montre tes babines pour le dissuader de s’approcher tout en reculant lentement pour au moins te cacher derrière un arbre. Entre les feulement gutturaux et la queue qui s’agite à en balayer les feuilles sur son passage ; tout montre que tu es hostile. Tu ne veux pas être vue, pas comme ça, pas maintenant. L’anxiété reprend d’assaut alors, tu halètes, gueule ouverte et le poitrail se contractant douloureusement sans lâcher du regard l’aigle, ne sachant pas ce qu’il veut de toi. Une question rôde, pourquoi n’es-tu pas seule dans ces bois ?
@Maximilien Leroy
Code by Midnight shadow // Gifs by cloudyyminded (tumblr)
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» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
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» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
Inventaire Sorcier
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Re: i'd rather cry in a jaguar than on a bus. ft maximilien leroy
Dim 17 Mar 2024 - 16:02
L’aigle penche la tête sur le côté. Première fois que Maximilien fait face à un feulement d’un félin de cette taille sans être lui-même dans sa forme humaine. C’est impressionnant. Il se concentre sur chaque son ; les feuilles qui bruissent, le grondement dans la gorge de l’animal qui viennent coller des frissons à son propre pelage. Il regarde cette gueule et se dit qu’il pourrait l’avaler tout cru – tout comme il pourrait crever ses yeux de ses serres si la situation le demandait. L’idée de blesser un autre animal lui donnait un haut le cœur.
Le jaguar recule. Il en a la certitude, ce n’est pas un félin ordinaire. Un autre se montrerait beaucoup plus agressif, tenterait de le chasser plutôt que de se terrer. Du moins, il l’imagine. N’y connaît pas grand-chose. C’est un pari difficile qu’il doit faire. S’il se transforme maintenant et qu’il s’avère que c’est un réel jaguar, il risque de finir avec un bout de jambe en moins… Sous la panique de la course, parviendrait-il à se transformer avant de se faire dévorer ? Le rapace glatit encore, observe la réaction de celui qui lui fait face. Quitte son rocher. Maximilien fait un rapide petit tour de l’horizon avant de se poser à même le sol couvert de branchages. Courir là-dedans ne sera pas chose aisée si la situation doit dégénérer.
Après de longues secondes à envisager ses différentes options, Maximilien finit par opérer sa déstransformation. Gros pari. Grosse frayeur que, sûrement, le félin doit ressentir. Il n’est pas cent pour cent sûr de lui sur la marche à suivre mais son instinct lui dit qu’il est en présence d’un autre animagus et il a pris pour habitude de l’écouter avec plus d’attention. Et s’il doit s’en mordre les doigts, eh bien… advienne que pourra. Le sorcier se redresse sur ses longues jambes et lève les mains face à lui, paumes découvertes.
« Je ne te veux aucun mal. Si tu es un animagus, allonge-toi sur le sol que je puisse t’approcher, d’accord ? »
Maximilien a tous les sens en alerte, près à se carapater s’il voit l’animal prendre appui sur ses pattes arrière pour s’élancer vers lui. Ses yeux passent des grosses pattes griffues de la taille de ses fesses aux dents capables de lui couper la tête en deux. Impressionnant.
@Azra Aslan
Le jaguar recule. Il en a la certitude, ce n’est pas un félin ordinaire. Un autre se montrerait beaucoup plus agressif, tenterait de le chasser plutôt que de se terrer. Du moins, il l’imagine. N’y connaît pas grand-chose. C’est un pari difficile qu’il doit faire. S’il se transforme maintenant et qu’il s’avère que c’est un réel jaguar, il risque de finir avec un bout de jambe en moins… Sous la panique de la course, parviendrait-il à se transformer avant de se faire dévorer ? Le rapace glatit encore, observe la réaction de celui qui lui fait face. Quitte son rocher. Maximilien fait un rapide petit tour de l’horizon avant de se poser à même le sol couvert de branchages. Courir là-dedans ne sera pas chose aisée si la situation doit dégénérer.
Après de longues secondes à envisager ses différentes options, Maximilien finit par opérer sa déstransformation. Gros pari. Grosse frayeur que, sûrement, le félin doit ressentir. Il n’est pas cent pour cent sûr de lui sur la marche à suivre mais son instinct lui dit qu’il est en présence d’un autre animagus et il a pris pour habitude de l’écouter avec plus d’attention. Et s’il doit s’en mordre les doigts, eh bien… advienne que pourra. Le sorcier se redresse sur ses longues jambes et lève les mains face à lui, paumes découvertes.
« Je ne te veux aucun mal. Si tu es un animagus, allonge-toi sur le sol que je puisse t’approcher, d’accord ? »
Maximilien a tous les sens en alerte, près à se carapater s’il voit l’animal prendre appui sur ses pattes arrière pour s’élancer vers lui. Ses yeux passent des grosses pattes griffues de la taille de ses fesses aux dents capables de lui couper la tête en deux. Impressionnant.
@Azra Aslan
il est libre max
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y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
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