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All you did was save my life
Dim 24 Oct 2010 - 17:43
When the heat of the rolling world can be turned away
An enchanted moment, and it sees me through
It's enough for this restless warrior just to be with you
An enchanted moment, and it sees me through
It's enough for this restless warrior just to be with you
Il est étonnant à quel point on s’habitude à la vie normal. Encore aujourd’hui, j’avais du mal à croire qu’il n’y a pas de cela deux semaines, j’agonisais de douleur dans un lit d’hôpital, incapable de savoir si j’allais survivre. Et me voila à vivre une vie presque normal… La journée était des plus ordinaires. Elle avait commencé et continuait avec la même routine qui s’était installée entre Owen et moi depuis mon retour de l’hôpital. Je me réveillais dans les bras de mon amoureux, on parlait et on se câlinait un temps avant de se lever. Alors qu’il se préparait, je lui faisais un déjeuner de roi. Nous mangions et passion l’avant-midi à faire divers trucs. Aujourd’hui : finir d’écouter le film moldu que nous avions été cherché dans un videoclub non loin de chez lui. Ensuite, il devait partir pour l’Irlande pour sa pratique. Je terminais quelques petites choses à l’appartement avant d’aller le regarder dans les gradins. Depuis ma sortie, j’avais été présente à chaque pratique, à chaque match. Certes, les femmes des autres joueurs étaient d’une agréable compagnie, mais c’était surtout pour lui que j’étais là. Pour l’encourager, pour le regarder, pour l’admirer. Plus je passais de temps avec Owen, plus j’étais fière de l’homme qu’il était devenu, qu’il devenait. Et le voir voler sur un balai avec une équipe pro me rendait si fière de lui que mon cœur frémissait à chaque fois que je le voyais. Mais malheureusement, aujourd’hui, notre routine prendrait fin après la pratique. Habituellement nous retournions à la maison où il se prélassait dans un bain alors que je faisais le souper et nous finissions très souvent la soirée dans les bras l’un et l’autre. Et alors que je l’attendais à la sortie du stade pour retourner à la maison, il vint me voir m’annonçant que le coach voulait leur parler pour quelques temps suite à une nouvelle stratégie publicitaire qui engagerait toute l’équipe. Déçue, mais compréhensive, j’hochai la tête et je retournai à Norwich seule. L’appartement d’Owen –mon appartement depuis quelques jours- était trop grand, trop vide sans lui. Je soupirai tout en allumant la boite de répondeur qui affichait un nouveau message non entendu : «Salut Leah, finalement je vais au Vamp avec Lust, Jack et Sawyer uniquement. Avec tout ce qui se passe, on à besoin d’être en mec tu comprend. M’enfin. Bye » Je soupirai lourdement en levant les yeux vers le ciel. J’aurais du m’en douter. J’avais été fort contente d’apprendre qu’Elia m’invitait à aller au bar avec tout le monde. Je ne l’avais pas revu depuis mon retour et j’avais besoin de le voir, de lui parler. D’essayer de retrouver l’ami que j’avais perdu. Mais, comme pour les deux dernières fois, il annula à la dernière minute. J’hochai la tête de découragement, me demandant à quel point j’avais pu être un boulet cet été pour que j’aie usé à ce point la patience d’Elia et son désir de me voir. M’enfin… tant pis. Essayons de trouver quelque chose à faire. Un SMS d’Owen m’annonçait qu’il en avait jusqu’à tard dans la soirée…
Pas Elia donc. J’appelai Riley pour voir si elle voulait que j’aie la voir en Irlande puisqu’elle était chez son cousin histoire de s’éloigné de la peine qu’Elia lui avait causé. Revoir Riley et Zach pouvait s’annoncer comme une belle soirée. Mais elle déclina l’invitation et je compris que je l’avais réveillé de son premier vrai sommeil depuis le début de la semaine. Jessy était avec Jun, Eurydice avec James, Meteora chez Lust, Emy avec Sean, Silver à Paris et Mya avec Nell. Bon… j’allais passer la soirée seule on dirait. Je m’avachis devant la télévision et je regardais durant quelques temps les inepties que nous produisait la télévision anglaise. Il était vingt heures lorsque j’allai me préparer pour dormir. Je combattais le sommeil depuis la fin du souper et je n’avais rien de mieux à faire, alors pourquoi pas. Mes nuits d’insomnie me rattrapais. J’avais hâte de bien dormir. Mais McArthur avait décidé que je pouvais pas. Mon revois injuste de l’école me provoquait tant de stress, tant d’inquiétude, que j’étais incapable d’être paisible.
Comment pouvait-il ne pas comprendre? Ce n’était pas de ma faute si j’avais raté tout mes cours depuis la première semaine de l’école. J’aurais fait cent fois les travaux scolaire de cette année au lieu de combattre un virus qui a presque gagné contre moi. J’aurais été a chacun de mes cours au lieu de peiner à respirer dans un lit d’hôpital. J’aurais été studieuse au lieu de regarder les yeux inquiets de mon père lorsque le médecin lui parlait. Mais non. Hungcalf était dirigé par un être froid qui ne croyait pas en nous. Comment un directeur ne pouvait pas croire en la jeunesse? Je me le demande encore. Pour lui, tous les élèves de son établissement étaient l’incarnation du mal, du vice et du pêcher. Notre parole valait moins qu’une bouse de dragon et de toute façon nous n’étions pas assez intelligent pour comprendre les subtilités de la vie adulte. C’est pourquoi, lorsque j’avais pris ce rendez-vous avec lui pour voir comment je pouvais rattraper mon retard, il ne m’écouta pas et m’annonça froidement mon renvoi de l’Université. J’avais été sous le choc. J’eu beau argumenter, expliquer, montré les papiers d’excuses que les médecins m’avaient écrit, il ne démordit pas. Il ne me croyait pas. Il me croyait plus irresponsable que malade. Résultat, avec le soutien de mes amis, j’organisais un boycott des cours dans le but de protester contre la dictature Mcarthurienne. Mon renvoi injustifié avait été la goute d’eau qui avait fait déborder un vase de révolte qui grondait en chacun de nous. Plus de la moitié de l’école étaient au courant de cet évènement et m’avaient assuré qu’ils y participeraient. Lundi serait un grand choc pour le directeur et les professeurs et j’espérais que ce moyen de pression puisse faire bouger les choses. Si ce n’était pas pour moi, c’était pour Hungcalf au moins…
Prise dans ce bouillonnement intellectuel, je m’endormis d’un sommeil agité. Ce fut un long frisson qui me réveilla, quelques heures plus tard. Ouvrant les yeux difficilement, je vis les bras d’Owen m’entourant fortement de ses bras et m’embrassant tendrement dans le cou. Oh.. Comme j’adorais quand il faisait cela. J’avais toujours l’impression que mon cœur éclatait dans mon plexus solaire et qu’il irradiait d’amour et de bonheur. Je le regardai encore à moitié dans un sommeil réparateur lorsque je vis un sourire illuminer le visage du magnifique homme qui me servait de petit copain. «Rendors-toi» me murmura-t-il doucement. Mon sourire s’agrandit alors que j’allai chercher ses lèvres avec appétit. Comment pouvais-je aller dormir quand j’avais enfin mon amoureux à mes cotés. Je préférais parler avec lui de tout et de rien. L’entendre me parler de sa rencontre avec le coach, me laisser bercer par sa douce voix. De son équipe de Quiddich, notre discussion dériva sur mon récent déménagement chez Owen, McArthur m’ayant viré de ma chambre d’étudiante –que je n’étais plus. J’étais lasse de tous ses problèmes. J’avais envie de tranquillité, de bonheur. J’avais envie d’être dans les bras d’Owen, ainsi, d’être heureuse et de ne plus avoir a me casser la tête avec deux cents milles problèmes qui nous tombaient sur les épaules. « Et si on s’enfuyais.» Dis-je doucement. « Juste toi et moi. S’éloigner pour le weekend de toute cette merde qui se passe dans nos vie» Et surtout dans la mienne… Entendons nous, tous les malheur d’Owen, c’était en majorité moi qui les provoquait. Et depuis ma sortie de l’hôpital, je m’étais juré de ne plus brisé mon petit-copain comme j’avais pu le faire cette été. Owen me regarda avec amour, mon cœur éclata et je me laisser embrasser amoureusement.
Quelques heures plus tard, nous tranplanâme à Whistler au Canada. L’idée d’Owen. Au début, cela m’avait étonnée. Mais ensuite, je me suis dis pourquoi pas. Aller se câliner dans un chalet en bois rond le temps d’un weekend me plaisait bien. Certes, l’idée du froids et des mètres de neiges qui couvrait le sol était fort déroutant, mais nous n’avions j’aimais été dans pareil endroit. Habituellement, nous allions au soleil, dans les pays chaud, histoire de prendre un max de soleil. Mais l’image d’un couple emmitouflé dans une couverture, devant un paysage de neige, un chocolat chaud à la main me séduit immédiatement. J’allais devoir combattre mes tendances de marmotte et porter de chauds habits. Décidément, Owen Miles avait toujours cette forte habilité à m’étonner de jours en jours. J’étais dans les bras de mon amoureux, devant la table de réception d’un endroit qui louait des chalets près d’une pente de ski. C’est alors qu’une idée me traversa l’esprit. Un sourire vint se dessiner l’espace de quelque seconde sur mes lèvres avant que j’enfile un air étonnée et désappointée. «Mais… Chéri… c’est notre lune de mie…, tu m'avais dis que tu avais réservé le chalet a un millions comme je voulais». Owen arrêta de signer les papiers avant de me regarder avec un air intrigué. Puis, je vis l’étincelle de compréhension dans ses yeux. Cela m’indiqua qu’il avait compris et qu’il jouait le même jeu que je jouais : tant qu’a faire un voyage, faisons nous passer pour des nouveaux marié et vivons un weekend un peu plus luxueux au frais d’un hôtel qui allait croire en une erreur de réservation.
Pas Elia donc. J’appelai Riley pour voir si elle voulait que j’aie la voir en Irlande puisqu’elle était chez son cousin histoire de s’éloigné de la peine qu’Elia lui avait causé. Revoir Riley et Zach pouvait s’annoncer comme une belle soirée. Mais elle déclina l’invitation et je compris que je l’avais réveillé de son premier vrai sommeil depuis le début de la semaine. Jessy était avec Jun, Eurydice avec James, Meteora chez Lust, Emy avec Sean, Silver à Paris et Mya avec Nell. Bon… j’allais passer la soirée seule on dirait. Je m’avachis devant la télévision et je regardais durant quelques temps les inepties que nous produisait la télévision anglaise. Il était vingt heures lorsque j’allai me préparer pour dormir. Je combattais le sommeil depuis la fin du souper et je n’avais rien de mieux à faire, alors pourquoi pas. Mes nuits d’insomnie me rattrapais. J’avais hâte de bien dormir. Mais McArthur avait décidé que je pouvais pas. Mon revois injuste de l’école me provoquait tant de stress, tant d’inquiétude, que j’étais incapable d’être paisible.
Comment pouvait-il ne pas comprendre? Ce n’était pas de ma faute si j’avais raté tout mes cours depuis la première semaine de l’école. J’aurais fait cent fois les travaux scolaire de cette année au lieu de combattre un virus qui a presque gagné contre moi. J’aurais été a chacun de mes cours au lieu de peiner à respirer dans un lit d’hôpital. J’aurais été studieuse au lieu de regarder les yeux inquiets de mon père lorsque le médecin lui parlait. Mais non. Hungcalf était dirigé par un être froid qui ne croyait pas en nous. Comment un directeur ne pouvait pas croire en la jeunesse? Je me le demande encore. Pour lui, tous les élèves de son établissement étaient l’incarnation du mal, du vice et du pêcher. Notre parole valait moins qu’une bouse de dragon et de toute façon nous n’étions pas assez intelligent pour comprendre les subtilités de la vie adulte. C’est pourquoi, lorsque j’avais pris ce rendez-vous avec lui pour voir comment je pouvais rattraper mon retard, il ne m’écouta pas et m’annonça froidement mon renvoi de l’Université. J’avais été sous le choc. J’eu beau argumenter, expliquer, montré les papiers d’excuses que les médecins m’avaient écrit, il ne démordit pas. Il ne me croyait pas. Il me croyait plus irresponsable que malade. Résultat, avec le soutien de mes amis, j’organisais un boycott des cours dans le but de protester contre la dictature Mcarthurienne. Mon renvoi injustifié avait été la goute d’eau qui avait fait déborder un vase de révolte qui grondait en chacun de nous. Plus de la moitié de l’école étaient au courant de cet évènement et m’avaient assuré qu’ils y participeraient. Lundi serait un grand choc pour le directeur et les professeurs et j’espérais que ce moyen de pression puisse faire bouger les choses. Si ce n’était pas pour moi, c’était pour Hungcalf au moins…
Prise dans ce bouillonnement intellectuel, je m’endormis d’un sommeil agité. Ce fut un long frisson qui me réveilla, quelques heures plus tard. Ouvrant les yeux difficilement, je vis les bras d’Owen m’entourant fortement de ses bras et m’embrassant tendrement dans le cou. Oh.. Comme j’adorais quand il faisait cela. J’avais toujours l’impression que mon cœur éclatait dans mon plexus solaire et qu’il irradiait d’amour et de bonheur. Je le regardai encore à moitié dans un sommeil réparateur lorsque je vis un sourire illuminer le visage du magnifique homme qui me servait de petit copain. «Rendors-toi» me murmura-t-il doucement. Mon sourire s’agrandit alors que j’allai chercher ses lèvres avec appétit. Comment pouvais-je aller dormir quand j’avais enfin mon amoureux à mes cotés. Je préférais parler avec lui de tout et de rien. L’entendre me parler de sa rencontre avec le coach, me laisser bercer par sa douce voix. De son équipe de Quiddich, notre discussion dériva sur mon récent déménagement chez Owen, McArthur m’ayant viré de ma chambre d’étudiante –que je n’étais plus. J’étais lasse de tous ses problèmes. J’avais envie de tranquillité, de bonheur. J’avais envie d’être dans les bras d’Owen, ainsi, d’être heureuse et de ne plus avoir a me casser la tête avec deux cents milles problèmes qui nous tombaient sur les épaules. « Et si on s’enfuyais.» Dis-je doucement. « Juste toi et moi. S’éloigner pour le weekend de toute cette merde qui se passe dans nos vie» Et surtout dans la mienne… Entendons nous, tous les malheur d’Owen, c’était en majorité moi qui les provoquait. Et depuis ma sortie de l’hôpital, je m’étais juré de ne plus brisé mon petit-copain comme j’avais pu le faire cette été. Owen me regarda avec amour, mon cœur éclata et je me laisser embrasser amoureusement.
Quelques heures plus tard, nous tranplanâme à Whistler au Canada. L’idée d’Owen. Au début, cela m’avait étonnée. Mais ensuite, je me suis dis pourquoi pas. Aller se câliner dans un chalet en bois rond le temps d’un weekend me plaisait bien. Certes, l’idée du froids et des mètres de neiges qui couvrait le sol était fort déroutant, mais nous n’avions j’aimais été dans pareil endroit. Habituellement, nous allions au soleil, dans les pays chaud, histoire de prendre un max de soleil. Mais l’image d’un couple emmitouflé dans une couverture, devant un paysage de neige, un chocolat chaud à la main me séduit immédiatement. J’allais devoir combattre mes tendances de marmotte et porter de chauds habits. Décidément, Owen Miles avait toujours cette forte habilité à m’étonner de jours en jours. J’étais dans les bras de mon amoureux, devant la table de réception d’un endroit qui louait des chalets près d’une pente de ski. C’est alors qu’une idée me traversa l’esprit. Un sourire vint se dessiner l’espace de quelque seconde sur mes lèvres avant que j’enfile un air étonnée et désappointée. «Mais… Chéri… c’est notre lune de mie…, tu m'avais dis que tu avais réservé le chalet a un millions comme je voulais». Owen arrêta de signer les papiers avant de me regarder avec un air intrigué. Puis, je vis l’étincelle de compréhension dans ses yeux. Cela m’indiqua qu’il avait compris et qu’il jouait le même jeu que je jouais : tant qu’a faire un voyage, faisons nous passer pour des nouveaux marié et vivons un weekend un peu plus luxueux au frais d’un hôtel qui allait croire en une erreur de réservation.
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Re: All you did was save my life
Mer 27 Oct 2010 - 0:21
C’était Jeudi soir, je rentrai à la maison après une soirée un peu arrosé avec les gars au Pony. Ils avaient voulu aller au bar boire un coup pour parler un peu, se raconter nos vies, savoir comment ça allait en cours, moi avec le Quidditch, ça faisait vachement longtemps qu’on n’avait pas fait ça et pour être franc, je dois avouez que ça m’avait manqué. Alentour d’une table ronde, nous tenions tous notre bière, riant, blaguant et parlant. Après la rencontre avec l’équipe j’avais texté Leah pour lui dire qu’on m’invitait à aller boire un verre ou deux, puis finalement une demi-douzaine. Bon c’est sûr que ça ne devait pas vraiment lui plaire que je sorte ce soir, mais bon avec cette routine que nous avions depuis son retour de l’hôpital ça ne pouvait que nous faire du bien de passer une soirée avec d’autres gens. Nous reviendrons ensemble dans le lit ce soir pour s’aimer encore plus que lorsque nous nous étions quittés au stade. Ce n’est pas que je n’aime pas notre petite routine et être avec elle. Il faut dire que c’est déjeuner sont divins et que j’adore lorsqu’elle me harcèle pour me faire un massage car soi-disant j’ai travaillé dur pendant ma pratique et que j’ai besoin de détendre mes muscles Je refuse toujours d’abord, mais finit bien vite par flancher et la laisser faire. Bon en même temps, ce n’est pas vraiment de la torture non plus. Il faut dire que les premiers jours les repas n’était pas très impressionnant, mais au fil des semaines, je dois dire qu’elle s’était vachement impressionner même qu’une fois je la soupçonnais d’avoir fait livrer d’un traiteur. Après quelques excuses pour avoir douter de ses talents, nous allâmes nous câliner sur le divan et tout fut oublier. C’était souvent ce qui se passait lorsque nous avions de petites divergences d’opinion. Quelques câlins et le tout était oublier. Et je n’étais certainement pas le premier à aller m’en plaindre. Ni le deuxième d’ailleurs. Ce matin, dans le nouvel épisode de notre routine amoureuse, nous finissions un film moldus que avions loué la veille dans un club vidéo pas trop loin de chez nous. Il faut dire qu’en faite, c’était une trilogie et que chaque film durait trois heures. Le seigneur des anneaux. C’est bon, mais c’est long. Finissant le dernier volet, je me préparai pour aller à ma pratique qui était à quatorze heures, comme d’habitude. Petit discours du coach comme à son habitude et ensuite entrainement physique puis enfin l’entrainement au jeu, la partie la plus intéressante de notre journée, c’est là que Leah arrivait habituellement. Après quelques minutes je la vis passer par une entrée du seul gradin qui était ouvert au public. Je souris et reçu un cognard dans les cotes, souriant, mon partenaire me leva la main, désignant qu’il était le coupable. Levant ma batte au ciel, je le menaçais amicalement. C’était toujours comme ça nos pratique, de l’entrainement, mais beaucoup de rires et de plaisir. Finalement après quelques heures de nouvelle stratégie, la pratique finis, mais nous ne purent pas partir pour autant. Le coach, mais surtout le dirigeant marketing de l’équipe voulait nous parler à propos d’une nouvelle compagne publicitaire à travers tout l’Europe. J’allais rejoindre Leah quelques minutes, le temps de l’embrasser et de lui annoncer la nouvelle. Elle partit donc seule à la maison.
Cette rencontre fut assez ennuyante, un peu comme toute celle que notre dirigeant marketing nous obligeant d’assister. Il prit environ une heure pour nous expliquer son plan, voulant que tous les joueurs soient plus connus à travers l’Europe, que les fans puissent s’identifier à nous. Ce n’était pas vraiment la publicité qui me faisait le plus rêver mais bon après tout.. Peut-être qu’ainsi on allait enfin pouvoir me voir sous un nouvel œil, ce qui serait vraiment un atout pour ma carrière, car même si pour l’instant, jouer avec les Krestels ça me plait vraiment, je ne dois pas non plus me fermer aux autres équipes qui ne seraient surement pas intéressé par un batteur ayant des problèmes de drogue. Pas que j’en ai, mais c’est juste que je crois que la plupart des fans de Quidditch le crois à cause de mon passé et des articles qui parurent sur moi dans les divers journaux sorciers. Je devais donc tourner un spot publicitaire de cinq minutes me présentant au monde magique, un peu nerveux et ne sachant pas du tout comment le faire, je partis vers les vestiaires pour enfin prendre une douche. En se levant, l’équipe parlait de comment ils allaient se présenter, ils parlaient pas mal tous de raconter leur carrière, c’était facile pour eux ce spot, pour moi qui était encore une recrue avec que quelques matchs à son actif, c’était une toute autre pairs de manches. En train de remettre mes jeans, je reçu un appel de Sawyer qui me demandait si j’avais envie d’aller le rejoindre lui et d’autres au Pony. J’acceptai avec plaisir, car comme je vous l’ai dit plus tôt, ça faisait un long moment que nous nous étions retrouvés dans raisons simplement pour discuter de la vie. Arrivé là-bas, il y avait déjà une bière pour moi à la table. Souriant je commençais à parler avec eux et ils me conseillèrent de me présenter à Hung’ de raconter ma carrière avec l’équipe universitaire, ce qui était une très bonne idée. Car en me présentant comme un ancien élève, je passe moins pour le drogué que j’étais et un peu plus comme une recrue qui promet. Après ma troisième bière de commandé, j’envoyais un texto à Leah lui disant que je risquais de revenir tard. Nous continuâmes à parler et à boire, ayant beaucoup de plaisir, quelques jeunes femmes sont même venues nous rejoindre plus tard, la pauvre qui me collait était loin de deviner ce que j’allais faire dans quelques heures. Elle prit une place sur mes genoux, me collant un peu trop à mon goût. Passant ses bras autour de mon cou, elle passait son temps à m’embrasser la joue. Elles avaient surement du être alerter par notre discussion sur ma pratique de cet après-midi. D’autres amis qui étaient avec nous et célibataires semblaient très heureux de l’arrivé de ces groupies. Finalement, pas trop tard je réussis à me détacher de ma nouvelle petite-amie, car même les groupies doivent aller aux toilettes un jour. Je saluai mes amis et les nouvelles connaissances et paris ensuite rapidement avant de recroiser cette folle qui semblait bien en vouloir à mon corps. Je sortis donc du Pony et je marchai vers une ruelle sombre où j’avais l’habitude de transplanner. Mettant les mains dans mes poches, je trouvai un petit papier avec le nom de la blonde qui m’avait collé pendant près de deux heures ainsi que sont numéro de téléphone. Je regardai le papier quelques secondes puis finit par le laisser tomber par terre. Allant dans mon coin, je transplannai devant chez moi et entrai doucement de peur de réveiller Leah. Je me changeai et me glissai sous les couvertures avec elle. La chaleur de son corps m’avait manqué. Je passai doucement et avec précaution mes bras autour d’elle et allai me coller contre son dos. Caressant doucement son ventre, je déposai quelques baisers dans le cou, histoire de voir si elle était réveillée ou non. Souriant, je l’entendis marmonner un peu. Je lui soufflais un doux : « Rendors-toi » mais évidemment avec Leah c’était de rêver de croire qu’elle allait m’écouter. Elle se retourna difficilement et vint chercher mes lèvres avec une énergie étonnante. Prolongeant ce baiser amusé, je la tirai un peu vers moi, histoire d’encore mieux sentir sa peau nue contre la mienne. Souriant et heureux d’être enfin avec ma Leah, nous nous câlinions tranquillement dans le lit puis, parlant d’un peu de tout et de rien, mais surtout de son renvoie et de son aménagement chez moi, elle finit par me lâcher : « Et si on s’enfuyait juste toi et moi. S’éloigner pour le weekend de toute cette merde qui se passe dans nos vie» Souriant je la regardai amusé. D’Habitude je me contentai de lui répondre qu’on ne pouvait pas s’enfuir comme ça, avant elle avait Hung’ et les cours, et moi j’ai le Quidditch. Mais cette fois, peut-être que nous pouvions partir tout les deux. Peut-être pas à jamais comme elle le souhaitait mais puisque je n’avais pas de pratique demain, nous pouvions au moins partir trois jours. Et elle serait même de retour pour la manif’. « Pourquoi pas mon cœur. J’ai congé demain, on pourrait prendre le week-end et aller se cacher quelque part, loin de tout le monde. » C’est en souriant qu’elle me répondit, m’embrassant avec amour et tendresse, j’y compris un oui. Elle me proposa un endroit bien chaud, mais où nous étions jamais allé, j’avais donc plusieurs choix, mais pourtant, ce n’était pas ce dont j’avais envie. J’avais plutôt envie d’aller me cacher dans le fin fond d’un chalet en bois rond avec un feu de foyer et ma Leah. Je lui proposai et elle accepta sur le champ. Direction Whistler, Canada. C’est donc bien vite que nous commençâmes à faire nos valises car malgré le fait qu’ici il était une heure du matin, là bas il était que vingt heures si on se dépêchait, on avait le temps de prendre une place dans un bon hôtel avec un peu d’aide de notre amie la magie. Je finis donc assez rapidement ma valise et j’attendais Leah qui se plaignait que j’aille finit trop vite : « Et si t’avais pas mit dix minutes à choisir des dessous aussi » Riant un peu je l’aidai à placer les trucs dans sa valise et prenant chacun un manteau nous transplannâmes dans un coin de la forêt et nous avançâmes ensuite vers l’hôtel de la station de ski. Souriant juste avant de rentrer, je m’arrêtai dans un coin un peu plus sombre et sortit ma baguette de son étui à ma cheville et fit quelques mouvements dans les airs en prononçant une formule à peine audible. Souriante, Leah me regarda, me demandant ce que je venais de faire. Riant et très fier de mon coup je lui répondis : « Je viens simplement de m’occuper de nos réservation pour le week-end mon cœur » Riant avec elle je m’avançais vers la lumière pour aller dans l’hôtel, mais ma tendre moitié m’arrêta avant, me disant que ça serait surement marrant de se faire passer pour des nouveaux mariés. Trouvant l’idée de mon gout, je pris la seul bague que je portais et la glissai dans l’annuaire gauche, prenant ensuite la bague que j’avais offerte à Leah il y a déjà deux ans et je la glissai à son doigt, elle ria un « Oui je le veux » Si seulement elle savait. Nous marchâmes donc mains dans la main vers le comptoir de la réception et je parlai avec le réceptionniste lui donnant mon nom pour la réservation Il me tandis les papiers que je signais, c’était de divers papiers pour les assurances, disant que l’hôtel n’était pas responsable des accidents dans les chambres et sur la montagne. Mais sans s’y attendre j’entendis Leah commencer à pleurnicher. Je l’écoutais, sans comprendre, je mis une dizaine de secondes à comprendre ce qu’elle voulait faire, lui faisant un faible petit sourire, je compris. Là je reconnaissais bien Leah avec sa petite touche de folie. Pour son plan nous devions se faire passer pour des gosses de riches, heureusement, nos manteaux et notre style vestimentaire de la journée complétaient bien cette image. Si j’avais bien deviné ce qu’elle avait en tête, elle allait bientôt faire une crise et éclater. Je la regardai donc semblant comprendre ce qu’elle disant, devant le vraie regard incompris du réceptionniste. « Mais mon cœur… tu sais bien qu’il était réservé que j’ai pas pu le prendre. » Évidemment, il n’avait pas été réservé, j’avais pu voir par-dessus le comptoir et personne n’occupait ce fameux chalet si luxueux. Avec un peu de chance, ce soir nous dormirons dans une résidence d’un million de dollars.
Cette rencontre fut assez ennuyante, un peu comme toute celle que notre dirigeant marketing nous obligeant d’assister. Il prit environ une heure pour nous expliquer son plan, voulant que tous les joueurs soient plus connus à travers l’Europe, que les fans puissent s’identifier à nous. Ce n’était pas vraiment la publicité qui me faisait le plus rêver mais bon après tout.. Peut-être qu’ainsi on allait enfin pouvoir me voir sous un nouvel œil, ce qui serait vraiment un atout pour ma carrière, car même si pour l’instant, jouer avec les Krestels ça me plait vraiment, je ne dois pas non plus me fermer aux autres équipes qui ne seraient surement pas intéressé par un batteur ayant des problèmes de drogue. Pas que j’en ai, mais c’est juste que je crois que la plupart des fans de Quidditch le crois à cause de mon passé et des articles qui parurent sur moi dans les divers journaux sorciers. Je devais donc tourner un spot publicitaire de cinq minutes me présentant au monde magique, un peu nerveux et ne sachant pas du tout comment le faire, je partis vers les vestiaires pour enfin prendre une douche. En se levant, l’équipe parlait de comment ils allaient se présenter, ils parlaient pas mal tous de raconter leur carrière, c’était facile pour eux ce spot, pour moi qui était encore une recrue avec que quelques matchs à son actif, c’était une toute autre pairs de manches. En train de remettre mes jeans, je reçu un appel de Sawyer qui me demandait si j’avais envie d’aller le rejoindre lui et d’autres au Pony. J’acceptai avec plaisir, car comme je vous l’ai dit plus tôt, ça faisait un long moment que nous nous étions retrouvés dans raisons simplement pour discuter de la vie. Arrivé là-bas, il y avait déjà une bière pour moi à la table. Souriant je commençais à parler avec eux et ils me conseillèrent de me présenter à Hung’ de raconter ma carrière avec l’équipe universitaire, ce qui était une très bonne idée. Car en me présentant comme un ancien élève, je passe moins pour le drogué que j’étais et un peu plus comme une recrue qui promet. Après ma troisième bière de commandé, j’envoyais un texto à Leah lui disant que je risquais de revenir tard. Nous continuâmes à parler et à boire, ayant beaucoup de plaisir, quelques jeunes femmes sont même venues nous rejoindre plus tard, la pauvre qui me collait était loin de deviner ce que j’allais faire dans quelques heures. Elle prit une place sur mes genoux, me collant un peu trop à mon goût. Passant ses bras autour de mon cou, elle passait son temps à m’embrasser la joue. Elles avaient surement du être alerter par notre discussion sur ma pratique de cet après-midi. D’autres amis qui étaient avec nous et célibataires semblaient très heureux de l’arrivé de ces groupies. Finalement, pas trop tard je réussis à me détacher de ma nouvelle petite-amie, car même les groupies doivent aller aux toilettes un jour. Je saluai mes amis et les nouvelles connaissances et paris ensuite rapidement avant de recroiser cette folle qui semblait bien en vouloir à mon corps. Je sortis donc du Pony et je marchai vers une ruelle sombre où j’avais l’habitude de transplanner. Mettant les mains dans mes poches, je trouvai un petit papier avec le nom de la blonde qui m’avait collé pendant près de deux heures ainsi que sont numéro de téléphone. Je regardai le papier quelques secondes puis finit par le laisser tomber par terre. Allant dans mon coin, je transplannai devant chez moi et entrai doucement de peur de réveiller Leah. Je me changeai et me glissai sous les couvertures avec elle. La chaleur de son corps m’avait manqué. Je passai doucement et avec précaution mes bras autour d’elle et allai me coller contre son dos. Caressant doucement son ventre, je déposai quelques baisers dans le cou, histoire de voir si elle était réveillée ou non. Souriant, je l’entendis marmonner un peu. Je lui soufflais un doux : « Rendors-toi » mais évidemment avec Leah c’était de rêver de croire qu’elle allait m’écouter. Elle se retourna difficilement et vint chercher mes lèvres avec une énergie étonnante. Prolongeant ce baiser amusé, je la tirai un peu vers moi, histoire d’encore mieux sentir sa peau nue contre la mienne. Souriant et heureux d’être enfin avec ma Leah, nous nous câlinions tranquillement dans le lit puis, parlant d’un peu de tout et de rien, mais surtout de son renvoie et de son aménagement chez moi, elle finit par me lâcher : « Et si on s’enfuyait juste toi et moi. S’éloigner pour le weekend de toute cette merde qui se passe dans nos vie» Souriant je la regardai amusé. D’Habitude je me contentai de lui répondre qu’on ne pouvait pas s’enfuir comme ça, avant elle avait Hung’ et les cours, et moi j’ai le Quidditch. Mais cette fois, peut-être que nous pouvions partir tout les deux. Peut-être pas à jamais comme elle le souhaitait mais puisque je n’avais pas de pratique demain, nous pouvions au moins partir trois jours. Et elle serait même de retour pour la manif’. « Pourquoi pas mon cœur. J’ai congé demain, on pourrait prendre le week-end et aller se cacher quelque part, loin de tout le monde. » C’est en souriant qu’elle me répondit, m’embrassant avec amour et tendresse, j’y compris un oui. Elle me proposa un endroit bien chaud, mais où nous étions jamais allé, j’avais donc plusieurs choix, mais pourtant, ce n’était pas ce dont j’avais envie. J’avais plutôt envie d’aller me cacher dans le fin fond d’un chalet en bois rond avec un feu de foyer et ma Leah. Je lui proposai et elle accepta sur le champ. Direction Whistler, Canada. C’est donc bien vite que nous commençâmes à faire nos valises car malgré le fait qu’ici il était une heure du matin, là bas il était que vingt heures si on se dépêchait, on avait le temps de prendre une place dans un bon hôtel avec un peu d’aide de notre amie la magie. Je finis donc assez rapidement ma valise et j’attendais Leah qui se plaignait que j’aille finit trop vite : « Et si t’avais pas mit dix minutes à choisir des dessous aussi » Riant un peu je l’aidai à placer les trucs dans sa valise et prenant chacun un manteau nous transplannâmes dans un coin de la forêt et nous avançâmes ensuite vers l’hôtel de la station de ski. Souriant juste avant de rentrer, je m’arrêtai dans un coin un peu plus sombre et sortit ma baguette de son étui à ma cheville et fit quelques mouvements dans les airs en prononçant une formule à peine audible. Souriante, Leah me regarda, me demandant ce que je venais de faire. Riant et très fier de mon coup je lui répondis : « Je viens simplement de m’occuper de nos réservation pour le week-end mon cœur » Riant avec elle je m’avançais vers la lumière pour aller dans l’hôtel, mais ma tendre moitié m’arrêta avant, me disant que ça serait surement marrant de se faire passer pour des nouveaux mariés. Trouvant l’idée de mon gout, je pris la seul bague que je portais et la glissai dans l’annuaire gauche, prenant ensuite la bague que j’avais offerte à Leah il y a déjà deux ans et je la glissai à son doigt, elle ria un « Oui je le veux » Si seulement elle savait. Nous marchâmes donc mains dans la main vers le comptoir de la réception et je parlai avec le réceptionniste lui donnant mon nom pour la réservation Il me tandis les papiers que je signais, c’était de divers papiers pour les assurances, disant que l’hôtel n’était pas responsable des accidents dans les chambres et sur la montagne. Mais sans s’y attendre j’entendis Leah commencer à pleurnicher. Je l’écoutais, sans comprendre, je mis une dizaine de secondes à comprendre ce qu’elle voulait faire, lui faisant un faible petit sourire, je compris. Là je reconnaissais bien Leah avec sa petite touche de folie. Pour son plan nous devions se faire passer pour des gosses de riches, heureusement, nos manteaux et notre style vestimentaire de la journée complétaient bien cette image. Si j’avais bien deviné ce qu’elle avait en tête, elle allait bientôt faire une crise et éclater. Je la regardai donc semblant comprendre ce qu’elle disant, devant le vraie regard incompris du réceptionniste. « Mais mon cœur… tu sais bien qu’il était réservé que j’ai pas pu le prendre. » Évidemment, il n’avait pas été réservé, j’avais pu voir par-dessus le comptoir et personne n’occupait ce fameux chalet si luxueux. Avec un peu de chance, ce soir nous dormirons dans une résidence d’un million de dollars.
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Re: All you did was save my life
Mer 27 Oct 2010 - 6:05
All you did was save my life
Pulled me out of that flatline
Put the heartbeat back inside
Pulled me out of that flatline
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Le fameux coup des nouveaux mariés. Qui ne l’avait pas fait? Bon beaucoup de gens. Rectifions. Qui, dans mes amis, ne l’avaient pas fais. Le nombre de voyage que nous faisions depuis que nous avions notre permis de transplannage était vachement ridicule. Mais cela nous avait permis de vivre des aventures et des expériences que nous n’aurions probablement jamais vécu si nous étions des moldus. Car disons le, ce qui coutais le plus cher dans les voyages c’était bien souvent le billet d’avion. Une fois cette couteuse étape franchie, s’héberger et se nourrir n’était pas si dispendieux. Surtout quand on sait bien voyager. Si certain appelle bien voyager vivre dans les auberges jeunesses bruyantes et d’une demie baguette de pain pour la journée; moi j’appelais cela voyager pauvrement. Pas bien voyager. Pour moi, c’était aller dans un hôtel, faire des tas de folies, profiter un max des services et quitter en ayant gouté un peu du pays. Parfois, histoire de pimenter le tout, on faisait les offusqué qui avait réservé depuis des lunes et qui arrivaient devant une page vide de leur nom. Souvent, cela fonctionnait et on se logeait au frais d’une pauvre chaine hôtelière naïve. Abuser du système? Totalement. Mais nous étions des étudiants, nous étions faucher et –avouons le- nous avions beaucoup de cran de faire cela. Mais n’étions-nous pas reconnus à travers Poudlard et Hungcalf comme étant une bande d’ami qui dépassait les limites et qui se fouettai de l’autorité? Ce n’était pas qu’une façade dans le but d’être les plus populaires de l’école. C’était un rythme de vie. Et donc nous repoussions cela dans notre vie personnel. Certes, la drogue et les fête faisait partit de nos excès, mais ce genre de petites folies y entrait aussi. Enfin, je dis nous. C’est a force de me tenir avec Elia et Meteora que j’avais développé ce gout de l’aventure et du risque; avant eux j’étais la tranquille petite Leah. Serdaigle et studieuse. Merlin… Tout ca avait tant changé.
La dernière fois que j’avais utilisé cet astuce, c’était il y a fort longtemps. Enfin, pas vraiment, c’était au début de l’été… Mais j’avais l’impression que cette période était si loin. Qu’elle était séparée par des années, des décennies. C’était impossible que je n’ai qu’été dans le coma deux semaines. J’étais persuadé d’avoir sauté des années et des années pour que la relation que j’ai avec Elia ait autant changé. Oui, la dernière fois que j’avais fais ce coup des nouveaux mariés, c’était avec ce Grymm qui avait tant changé ma vie et qui continuait à le faire par sa simple absence dans ma vie. C’était à une autre époque. Lorsque j’étais une autre Leah. Lorsqu’il ne savait même pas pour les sentiments que j’avais déjà eu pour lui. Nous avions été en Australie sur un coup de tête. Il m’avait fait sauter de cette immense falaise qui m’avait tant fait peur. On avait été voir l’Opéra de Sydney. Il m’avait fait le coup de la fausse noyade et j’avais tant paniqué que j’avais pleuré jusqu’à le rendre mal à l’aise. Avions-nous couché ensemble? Bien sur que si, souvent même. Puis il eu cette soirée où Riley l’avait supplié de rentrer à Londres pour la consoler car elle venait de lui avouer l’horrible histoire de son frère incestueux. En avais-je voulu a Riley? Énormément. Car à cet époque, les moments tendres et seuls que j’avais avec Elia étaient ma seul raison d’être et de respirer et l’Australie avait été notre premier moment ensemble depuis très longtemps. Mais j’avais joué l’hypocrite lorsqu’elle appela pour s’excusé. Je lui dis de prendre tout son temps avec lui, que ce n’était pas grave. Lorsqu’au soir Elia revint dans la chambre pour me réveiller, pour me raconter toute cette horreur, j’ai arrêté d’en vouloir à Riley… ma pauvre princesse. D’y repenser me faisait frissonner. Mais passons. Tout cela pour dire que durant ce voyage où j’avais fait la gaffe de tout dire de mon amour a Elia –qui n’en était plus une puisque sans son rejet je ne serais pas avec Owen présentement- nous avions fait une petite scène de touriste outrée et finalement nous nous étions retrouvée à dormir une semaine durant dans une des plus belle suite qu’il m’est été d’habiter. Ce coup de tête certifiait très clairement que le coup des jeunes marier valait bien la peine d’être fait et refais… Et c’était cela qui me manquer le plus chez Elia. La spontanéité de nos actions ensemble…
Mais oublions Elia. Oui. Oublions le pour très longtemps. Maintenant, je ne pleurais plus. Maintenant je n’avais plus d’envie suicidaire. Maintenant j’aimais… et j’étais aimé en retour. Pour la première fois, dans une de mes relations amoureuse, je sentais que l’amour n’était pas unidirectionnel. Cela m’effrayait un peu. C’était si nouveau pour moi. Les relations de couples que j’avais eu à Poudlard étaient beaucoup trop infantile pour les considérés sérieux. Puis il y a eu la première relation entre Owen et moi où –j’en étais consciente maintenant- il ne m’avait jamais aimé et qu’il avait simplement apprécié mon appétit sexuel et mon incapacité à ne pas céder sous une caresse. Puis j’eu droit a un Elia froid, distant et méchant. Puis plus rien. Un vide. Un vide psychologique. Je n’étais devenue qu’une masse de chair qui agissait sans comprendre jusqu’à céder sous une maladie trop forte pour elle. Puis l’amour. Celui avec un grand A. Celui que je n’espérais plus. Owen, mon Owen. De retour dans ma vie. Un amant extraordinaire, un attentif partenaire. Il avait été là dans mes moments les plus sombres, m’avait couvé alors que j’en aimais un autre et m’avait tenu la main lorsque je peinais à respirer à l’hôpital. Mon Owen qui, dans le simple but de me voir sourire, m’avait lu l’intégralité des Misérable. Celui qui m’avait invité à habiter chez lui. Celui qui m’avait ouvert ses bras et dont je ne voulais plus jamais partir. Et me voila à faire notre premier voyage en tant que nouveau couple, en tant que Leah en santé et Owen heureux, en tant que nouveau «nous» que l’on formait. « Mais mon cœur… tu sais bien qu’il était réservé que j’ai pas pu le prendre. » Il méritait plus que les coups de tête habituels que je faisais avec mes amis. Il méritait plus qu’une petite crise habituelle. Il méritait une scène magistrale, digne d’une grande dramaturge. Il méritait que le patron de l’hôtel lui-même vienne nous voir pour me calmer, pour s’excuser. Il méritait de vivre un weekend fabuleux. Preuve d’amour… dans un sens très étrange, oui.
«Non Owen! Y’a pas de ‘’mais mon cœur’’… c’est notre lune de miel putain!» Je le regardai, l’air totalement dévaster, mes yeux s’embrumant de larmes. J’ignorais que je pouvais pleurer sur commande, mais voila quelque chose qui me serait fort utile présentement. Les larmes achetaient souvent le plus glacial des patrons. Tout ce que j’espérais, c’est que mon amoureux n’éclate pas de rire devant ce que je venais de dire. Je n’avais pas dis punaise, j’avais dis putain. Et merlin savait que je ne disais jamais cela. J’avais adopté cette expression –qui était ma marque de commerce parait-il- la journée où je me suis mise à être avec des enfants. Je ne voulais pas blasphémer devant eux et j’avais toujours fait attention a mon langage, mais une fois je m’étais presqu’échapper et ca avait donné un Pu….naise forcée, mais rigolo. J’avais décidé de le conserver. Je savais que ça en énervait plus d’un, mais moi cette expression, je l’adorais. Elle me faisait rire en fait… et là ce n’était pas le moment de rire de l’extérieur. Je devais jouer la petite-amie hystérique. Franchement ca me plaisait bien « Tu m’avais promis! PROMIS!» Je le regardai en commençant a pleurer de grosse larmes. Le pauvre réceptionniste regardait Owen avec un air d’incompréhension, visiblement très mal de ne pas savoir quoi dire et quoi faire. Son air s’horrifia lorsque je poussai brutalement Owen loin de mois et que je me mis les mains dans le visage, totalement anéantie. «On n’a pas fait 13h d’avions pour un chalet minable» Les gens présent dans le lobby avaient arrêté leurs activités. Les plus curieux et indiscrets nous regardaient étonner, chuchotant sur mon comportement excessif. D’autre se regardais mal à l’aise et n’osaient rien dire mais pensait la même chose. Moi, je regardais Owen en pleurant toujours. «Tu ne m’aimes pas c’est ca! Dis-le! Dis le que tu ne voulais pas me marier! Que tu regrette» Bon, j’y allais fort. Mais ça faisait son effet. Le réceptionniste avait l’air trop petit pour son habit et Owen concevrait un sérieux déroutant. Décidément, il était un très bon acteur. «A quoi sa sert d’être ta femme si tu ne veux même pas mettre l’effort dans notre premier voyage!» Je me mordis la lèvre, pleurant fortement, hystérique comme je ne m’étais jamais vu. Et pourtant j’avais souvent pleuré dans ma vie… Et, alors que je prenais ma valise en direction de la porte, je dis le coup final : «Je te déteste Owen Miles ! Je te déteste!»
La dernière fois que j’avais utilisé cet astuce, c’était il y a fort longtemps. Enfin, pas vraiment, c’était au début de l’été… Mais j’avais l’impression que cette période était si loin. Qu’elle était séparée par des années, des décennies. C’était impossible que je n’ai qu’été dans le coma deux semaines. J’étais persuadé d’avoir sauté des années et des années pour que la relation que j’ai avec Elia ait autant changé. Oui, la dernière fois que j’avais fais ce coup des nouveaux mariés, c’était avec ce Grymm qui avait tant changé ma vie et qui continuait à le faire par sa simple absence dans ma vie. C’était à une autre époque. Lorsque j’étais une autre Leah. Lorsqu’il ne savait même pas pour les sentiments que j’avais déjà eu pour lui. Nous avions été en Australie sur un coup de tête. Il m’avait fait sauter de cette immense falaise qui m’avait tant fait peur. On avait été voir l’Opéra de Sydney. Il m’avait fait le coup de la fausse noyade et j’avais tant paniqué que j’avais pleuré jusqu’à le rendre mal à l’aise. Avions-nous couché ensemble? Bien sur que si, souvent même. Puis il eu cette soirée où Riley l’avait supplié de rentrer à Londres pour la consoler car elle venait de lui avouer l’horrible histoire de son frère incestueux. En avais-je voulu a Riley? Énormément. Car à cet époque, les moments tendres et seuls que j’avais avec Elia étaient ma seul raison d’être et de respirer et l’Australie avait été notre premier moment ensemble depuis très longtemps. Mais j’avais joué l’hypocrite lorsqu’elle appela pour s’excusé. Je lui dis de prendre tout son temps avec lui, que ce n’était pas grave. Lorsqu’au soir Elia revint dans la chambre pour me réveiller, pour me raconter toute cette horreur, j’ai arrêté d’en vouloir à Riley… ma pauvre princesse. D’y repenser me faisait frissonner. Mais passons. Tout cela pour dire que durant ce voyage où j’avais fait la gaffe de tout dire de mon amour a Elia –qui n’en était plus une puisque sans son rejet je ne serais pas avec Owen présentement- nous avions fait une petite scène de touriste outrée et finalement nous nous étions retrouvée à dormir une semaine durant dans une des plus belle suite qu’il m’est été d’habiter. Ce coup de tête certifiait très clairement que le coup des jeunes marier valait bien la peine d’être fait et refais… Et c’était cela qui me manquer le plus chez Elia. La spontanéité de nos actions ensemble…
Mais oublions Elia. Oui. Oublions le pour très longtemps. Maintenant, je ne pleurais plus. Maintenant je n’avais plus d’envie suicidaire. Maintenant j’aimais… et j’étais aimé en retour. Pour la première fois, dans une de mes relations amoureuse, je sentais que l’amour n’était pas unidirectionnel. Cela m’effrayait un peu. C’était si nouveau pour moi. Les relations de couples que j’avais eu à Poudlard étaient beaucoup trop infantile pour les considérés sérieux. Puis il y a eu la première relation entre Owen et moi où –j’en étais consciente maintenant- il ne m’avait jamais aimé et qu’il avait simplement apprécié mon appétit sexuel et mon incapacité à ne pas céder sous une caresse. Puis j’eu droit a un Elia froid, distant et méchant. Puis plus rien. Un vide. Un vide psychologique. Je n’étais devenue qu’une masse de chair qui agissait sans comprendre jusqu’à céder sous une maladie trop forte pour elle. Puis l’amour. Celui avec un grand A. Celui que je n’espérais plus. Owen, mon Owen. De retour dans ma vie. Un amant extraordinaire, un attentif partenaire. Il avait été là dans mes moments les plus sombres, m’avait couvé alors que j’en aimais un autre et m’avait tenu la main lorsque je peinais à respirer à l’hôpital. Mon Owen qui, dans le simple but de me voir sourire, m’avait lu l’intégralité des Misérable. Celui qui m’avait invité à habiter chez lui. Celui qui m’avait ouvert ses bras et dont je ne voulais plus jamais partir. Et me voila à faire notre premier voyage en tant que nouveau couple, en tant que Leah en santé et Owen heureux, en tant que nouveau «nous» que l’on formait. « Mais mon cœur… tu sais bien qu’il était réservé que j’ai pas pu le prendre. » Il méritait plus que les coups de tête habituels que je faisais avec mes amis. Il méritait plus qu’une petite crise habituelle. Il méritait une scène magistrale, digne d’une grande dramaturge. Il méritait que le patron de l’hôtel lui-même vienne nous voir pour me calmer, pour s’excuser. Il méritait de vivre un weekend fabuleux. Preuve d’amour… dans un sens très étrange, oui.
«Non Owen! Y’a pas de ‘’mais mon cœur’’… c’est notre lune de miel putain!» Je le regardai, l’air totalement dévaster, mes yeux s’embrumant de larmes. J’ignorais que je pouvais pleurer sur commande, mais voila quelque chose qui me serait fort utile présentement. Les larmes achetaient souvent le plus glacial des patrons. Tout ce que j’espérais, c’est que mon amoureux n’éclate pas de rire devant ce que je venais de dire. Je n’avais pas dis punaise, j’avais dis putain. Et merlin savait que je ne disais jamais cela. J’avais adopté cette expression –qui était ma marque de commerce parait-il- la journée où je me suis mise à être avec des enfants. Je ne voulais pas blasphémer devant eux et j’avais toujours fait attention a mon langage, mais une fois je m’étais presqu’échapper et ca avait donné un Pu….naise forcée, mais rigolo. J’avais décidé de le conserver. Je savais que ça en énervait plus d’un, mais moi cette expression, je l’adorais. Elle me faisait rire en fait… et là ce n’était pas le moment de rire de l’extérieur. Je devais jouer la petite-amie hystérique. Franchement ca me plaisait bien « Tu m’avais promis! PROMIS!» Je le regardai en commençant a pleurer de grosse larmes. Le pauvre réceptionniste regardait Owen avec un air d’incompréhension, visiblement très mal de ne pas savoir quoi dire et quoi faire. Son air s’horrifia lorsque je poussai brutalement Owen loin de mois et que je me mis les mains dans le visage, totalement anéantie. «On n’a pas fait 13h d’avions pour un chalet minable» Les gens présent dans le lobby avaient arrêté leurs activités. Les plus curieux et indiscrets nous regardaient étonner, chuchotant sur mon comportement excessif. D’autre se regardais mal à l’aise et n’osaient rien dire mais pensait la même chose. Moi, je regardais Owen en pleurant toujours. «Tu ne m’aimes pas c’est ca! Dis-le! Dis le que tu ne voulais pas me marier! Que tu regrette» Bon, j’y allais fort. Mais ça faisait son effet. Le réceptionniste avait l’air trop petit pour son habit et Owen concevrait un sérieux déroutant. Décidément, il était un très bon acteur. «A quoi sa sert d’être ta femme si tu ne veux même pas mettre l’effort dans notre premier voyage!» Je me mordis la lèvre, pleurant fortement, hystérique comme je ne m’étais jamais vu. Et pourtant j’avais souvent pleuré dans ma vie… Et, alors que je prenais ma valise en direction de la porte, je dis le coup final : «Je te déteste Owen Miles ! Je te déteste!»
- InvitéInvité
Re: All you did was save my life
Mer 27 Oct 2010 - 8:05
Il faisait nuit et il y avait du brouillard, une scène parfaite pour un film d’horreur ou bien un vieux film noir. Pour rendre ce moment encore plus sinistre et terrifiant, je me trouvais dans une ruelle. Je savais très bien ce que je venais y chercher et bientôt ça en serait finit avec toute cette histoire. Je le vis devant moi, à une bonne cinquantaine de mètres, je me cachais derrière une benne à ordures, attendant qu’il finisse sa petite ventre. Ce petit vendeur de drogue minable, une fois son client parti aux pas de courses, il fit demi-tour et avançai vers la benne où je m’étais caché. Serrant bien fort dans ma main droite un tuyau de fer que j’avais trouvé en entrant dans la ruelle, je l’attendis. Je l’attendis patiemment, je me levai, car la benne était assez grande et me permettait d’être debout tout en étant caché. J’entendais ses pas qui se rapprochaient, mais j’entendais surtout le sang se faire propulser dans mes veines par un cœur qui battait à une vitesse folle. Je vis enfin son ombre se pointer devant moi, plus que quelques mètres, quelques pas, quelques secondes. Je vis finalement son corps, et je m’élançai, frappant violemment sa tête avec mon tuyau. Le métal vint heurter son crâne dans un brisement d’os. Je le vis s’effondrer comme un corps mort, mais non il était bien vivant. Juste avant l’impact j’avais vu son visage. La terreur, l’incompréhension et puis la douleur. Je le tirais par les épaules vers ma benne, où nous serions un peu plus tranquilles pour ce que je lui avais réservé. Je sortis ensuite une corde, seul instrument de cette future torture que j’avais amené. Je lui attachai les mains et les pieds, ainsi que les genoux. Bien sûr, j’aurai pu sortir ma baguette pour l’attacher en deux secondes, mais je préférais l’entendre gémir sous la pression que je donnais à la corde. Je voulais utiliser les bonnes vieilles méthodes moldus sur ce moldus. Je vis le creux que la corde faisait sur ses cuisses et j’en eus le sourire aux lèvres, je voulais qu’il souffre ce salaud. Je lui donnais quelques coups de poing au visage pour le réveiller, car la petite claque traditionnelle semblait trop plaisante pour lui et le seau d’eau… Et bien très plaisant pour moi, mais je n’avais pas de seau. Je le vis enfin ouvrir les yeux ce qui me réjouis ce fut aussi que je vis du sang sur l’asphalte, du sang qui provenais de sa tête, espérons seulement qu’il restera en vie assez longtemps pour ce que j’avais prévu de lui faire. Sortant un couteau de ma poche, je le passai d’une main à l’autre juste aux dessus de ses yeux, question de m’amuser un peu. J’étais tellement près de lui, que même s’il avait le regard fixé sur la lame qui pouvait lui tomber dessus à n’importe quel instant, il avait surement put remarquer le poudre blanche qui était encore coincé dans les parois de mon nez. Me relevant un peu, j’allais déchirer son pantalon, lui faisait des shorts assez courts, mais je crois que perdre son pantalon n’était pas sa priorité, ou du moins ça ne le serait plus bientôt. Je lui montrais une nouvelle fois la lame et j’allai la planter sous son genoux, mais pas trop profondément, puis je tiré vers moi, lui découpant la peau. Je reçu du sang sur mon visage. J’eus comme un éclair de lucidité, de conscience. Je savais que c’était mal, je savais que j’étais en train de faire du mal à quelqu’un. Mais il n’était pas innocent, loin de là. Il avait profité d’elle, il l’avait drogué pour ensuite l’amener chez lui et prend possession d’elle, de son corps, sans son consentement. Il l’avait violé. Il avait violé mon amour, mon seul et unique amour. Delyana. Je rageai, je bouillonnais depuis le jour où elle m’avait révélé ce qui c’était passé. J’avais donc décidé de faire payer ce salaud pour ce qu’il avait fait. Sait-il qui j’étais ? Non. Savait-il pourquoi je le faisais ça ? Non. Il ne méritait pas de savoir, il n’en aurait pas de besoin de toute façon. C’est dans un bruit vraiment dégoutant que sa rotule sorti de sa jambe, sous le poids de mon coup de poing. Malgré la douleur et le sang qu’il perdait, on l’entendit crier dans toute la ruelle. Je n’en avais rien à foutre, si on me trouvait, je n’avais qu’à transplanner. Il criait et se tordait de douleur alors qu’il perdait encore plus de sang maintenant. Je recommençai une nouvelle fois avec son deuxième genou. Il tenta de se débattre, sachant ce que j’allai faire cette fois ci, pourtant ce fut sans résultat. Sa deuxième et dernière rotule se retrouva sur le sol trempé de son sang. Je riais un peu devant sa douleur, me plaisant de l’état dans lequel il était. Pourtant je n’allai pas le laissé partir, de toute façon, sans rotule où pourrait-il aller ? C’est donc, malgré ses supplications pour que je l’épargne et que je le laisse en vie que je plantai mon couteau dans sa cuisse gauche. Ooops. Une artère. Ça ne prit pas quarante-cinq secondes avant qu’il meure. Me tenant au dessus de lui, je ne savais pas qu’elle me regarda. Peut-être avait-elle tout inventé cela pour me faire tuer un homme qu’elle n’aimait simplement pas, peut-être cela était vrai et elle était là pour savourer sa revanche, sa vengeance sur cet être ignoble. Elle me regarda me tenir bien droit, t-shirt ensanglanté par cet inconnu et couteau dans la main, lui aussi plein de sang. Rangeant le couteau dans ma poche, je pris aussi ses rotules, comme trophée et jetai mon t-shirt, sortant de mon sac une veste. Je sortis ensuite de la ruelle comme si je rien n’étais. Je souriais.
Je souriais. Je venais de passer la bague au doigt de Leah et en rigola elle me lançait qu’elle le voulait, comme si je venais de la demander en mariage. Peut-être assistons-nous ici à la naissance de l’idée qui bouleversera nos vies, qui sait ? Nous entrâmes donc dans le grand hall de ce splendide hôtel. Nous dirigeâmes donc vers l’accueil, je donnai nos noms pour la réservation et tout se passait normalement, enfin, pour l’instant. Car même si je connaissais bien ma copine, j’étais loin de prévoir ce qui allait bientôt se produire. Tandis que je remplissais tranquillement les papiers, imaginant une petite soirée à câliner ma Leah devant un feu de bois et sous une couverture, je l’entendis commencer à crier. Me retournant, ne comprenant rien, son plan vint à moi quelques secondes plus tard. Elle me déboulait des insultes et me criait dessus, bien sûr je savais que tout ce qu’elle disait était faux et malgré les : «Tu ne m’aimes pas c’est ca! Dis-le! Dis le que tu ne voulais pas me marier! Que tu regrette», les : «A quoi sa sert d’être ta femme si tu ne veux même pas mettre l’effort dans notre premier voyage!» et les : «Je te déteste Owen Miles ! Je te déteste!». Je savais que malgré tout ça, elle m’aimait. Mais malgré tout, je devais entrer dans son jeu. Je décidai de rester muet, jouant le mari sous le choc, ce qui était facile à jouer puisque je l’étais quand même un peu. Celui que je plaignais vraiment le plus, c’était le réceptionniste, le pauvre n’avait rien fait pour mériter cela. Il avait plutôt été très courtois et aimable. Regardant autour de moi, comme pour chercher une solution à ce problème, je vis plusieurs personnes qui nous regardaient, je ne pouvais que les comprendre. Ce genre de crise attire souvent l’attention des gens. Je vis même plusieurs hommes, tous avec des femmes, qui me lancèrent quelques regards désolés. Comme pour me dire : Lâche pas petit, ça ne s’améliore pas avec les années. Je riais intérieurement à cette pensée, mais je me concentrais pour tenter de me contenir. Puis, sans que je m’y attendre, elle me poussa sauvagement. Ma surprise me fit presque perdre pied. Nous pûmes entendre quelques bruits de stupéfaction de la part de plusieurs clients et employés de l’hôtel. Finalement, en me relevant, le réceptionniste n’était plus là, me retournant, je vis qu’il venait de partir bien vite vers ce qui devait être une zone réservée au personnel de l’établissement. Mais pourtant, sa place n’était pas vide, derrière le comptoir se trouvait le directeur de l’hôtel. Je le devinai à la plaque qu’il portait sur son veston. Balaise hein ? Tout de suite, on voyait que cet homme était habitué de réglé ce genre de problème. Tout de suite, on voyait qu’il avait beaucoup plus de confiance en lui et d’autorité que le réceptionniste qui avait fuit la queue entre les jambes. « Excusez nous de cet erreur. Vous avez surement été mal informé lors de votre réservation, car le chalet que vous semblez désirez est encore libre jusqu’à mardi le 26 octobre. Si vous le désirez, nous pouvons changer votre réservation et bien sûr, les coûts supplémentaires de réservation sera prit en charge par l’hôtel. » Ne me forçait pour ne pas sourire à ses paroles, mais j’allai me pencher sur le comptoir pour lui parler. « Merci. Merci profondément » Il me regarda dans les yeux. « Tout ce que vous voulez, mais partez vitre à votre chalet et arrangez vous pour que votre femme ne fasses plus de crise car sinon je vous mets dehors et vous serez banni de toute la chaîne. C’est clair ? Ah. Et soyez tranquille. » J’avalai difficilement ma salive à l’écouter. Je dois bien avouer qu’il faisait légèrement peur, et je savais très bien qu’il était sérieux.
Un bagagiste se trouvait à coté de nous, nous montrant le chemin pour nous rendre au véhicule qui allait nous amener à notre splendide chalet. Il prit nos bagages et les installa sur ce qui semblait être un énorme kart de golf avec des roues cloutées. Durant le voyage d’une quinzaine de minutes à travers des sentiers, je restais silencieux, encore dans mon rôle de mari sous le choc. Je vis enfin le chalet qui se tenait bien droit de ses trois étages sur le haut d’une falaise, d’où on pouvait voir tout les pentes réservés aux clients de l’hôtel, ce chalet avait même un garage, surement pour quelques VTT. Je sens que Leah va beaucoup s’amuser sur ces engins. Je comptait aussi loué des planches à neiges et lui montrer à descendre, car je crois bien que c’est pas son genre. Mais bon, après tout elle n’était pas si mauvaise avec le surf à Tahiti. Il semblait tellement luxueux. L’employé nous aida à descendre et nous laissa quelques minutes pour entrer dans les lieux et visiter nous-mêmes. Je regardai le salon et la cuisine, puisque c’était environ tout ce dont j’avais accès sans quitter l’entrée. Puis, il entra avec nos bagages et monta au troisième étage dans ce qui devait surement être la chambre des maîtres pour y mettre nos valises. Redescendant, je lui donnai son pourboire qui était très généreux puisque nous devions jouer les couples pouvant se payer se genre de folie, et que de toute manière nous n’allions pas payer quand chose. Après cette crise, je suis certain qu’un peu d’argent en surplus ne ferait surement pas de tord à ce jeune homme qui avait dut endurer les fausses plaintes de ma douce durant de longues minutes. Espérons seulement qu’il ne cherchera pas plus loin et ne découvrira pas que nous sommes des imposteurs car dans ce cas nous serions fichus. Enfin… Fichus jusqu’à ce que nous transplannions dans notre cher appartement. Je refermai la porte derrière lui, m’y adossant et regardant ma Leah avec amour, j’attendis pourtant de l’entendre partir le moteur de sa machine et s’éloigner avant d’éclater de rire, car ce week-end, j’allais passé de très beaux moments, les meilleurs, avec la femme de ma vie.
Je souriais. Je venais de passer la bague au doigt de Leah et en rigola elle me lançait qu’elle le voulait, comme si je venais de la demander en mariage. Peut-être assistons-nous ici à la naissance de l’idée qui bouleversera nos vies, qui sait ? Nous entrâmes donc dans le grand hall de ce splendide hôtel. Nous dirigeâmes donc vers l’accueil, je donnai nos noms pour la réservation et tout se passait normalement, enfin, pour l’instant. Car même si je connaissais bien ma copine, j’étais loin de prévoir ce qui allait bientôt se produire. Tandis que je remplissais tranquillement les papiers, imaginant une petite soirée à câliner ma Leah devant un feu de bois et sous une couverture, je l’entendis commencer à crier. Me retournant, ne comprenant rien, son plan vint à moi quelques secondes plus tard. Elle me déboulait des insultes et me criait dessus, bien sûr je savais que tout ce qu’elle disait était faux et malgré les : «Tu ne m’aimes pas c’est ca! Dis-le! Dis le que tu ne voulais pas me marier! Que tu regrette», les : «A quoi sa sert d’être ta femme si tu ne veux même pas mettre l’effort dans notre premier voyage!» et les : «Je te déteste Owen Miles ! Je te déteste!». Je savais que malgré tout ça, elle m’aimait. Mais malgré tout, je devais entrer dans son jeu. Je décidai de rester muet, jouant le mari sous le choc, ce qui était facile à jouer puisque je l’étais quand même un peu. Celui que je plaignais vraiment le plus, c’était le réceptionniste, le pauvre n’avait rien fait pour mériter cela. Il avait plutôt été très courtois et aimable. Regardant autour de moi, comme pour chercher une solution à ce problème, je vis plusieurs personnes qui nous regardaient, je ne pouvais que les comprendre. Ce genre de crise attire souvent l’attention des gens. Je vis même plusieurs hommes, tous avec des femmes, qui me lancèrent quelques regards désolés. Comme pour me dire : Lâche pas petit, ça ne s’améliore pas avec les années. Je riais intérieurement à cette pensée, mais je me concentrais pour tenter de me contenir. Puis, sans que je m’y attendre, elle me poussa sauvagement. Ma surprise me fit presque perdre pied. Nous pûmes entendre quelques bruits de stupéfaction de la part de plusieurs clients et employés de l’hôtel. Finalement, en me relevant, le réceptionniste n’était plus là, me retournant, je vis qu’il venait de partir bien vite vers ce qui devait être une zone réservée au personnel de l’établissement. Mais pourtant, sa place n’était pas vide, derrière le comptoir se trouvait le directeur de l’hôtel. Je le devinai à la plaque qu’il portait sur son veston. Balaise hein ? Tout de suite, on voyait que cet homme était habitué de réglé ce genre de problème. Tout de suite, on voyait qu’il avait beaucoup plus de confiance en lui et d’autorité que le réceptionniste qui avait fuit la queue entre les jambes. « Excusez nous de cet erreur. Vous avez surement été mal informé lors de votre réservation, car le chalet que vous semblez désirez est encore libre jusqu’à mardi le 26 octobre. Si vous le désirez, nous pouvons changer votre réservation et bien sûr, les coûts supplémentaires de réservation sera prit en charge par l’hôtel. » Ne me forçait pour ne pas sourire à ses paroles, mais j’allai me pencher sur le comptoir pour lui parler. « Merci. Merci profondément » Il me regarda dans les yeux. « Tout ce que vous voulez, mais partez vitre à votre chalet et arrangez vous pour que votre femme ne fasses plus de crise car sinon je vous mets dehors et vous serez banni de toute la chaîne. C’est clair ? Ah. Et soyez tranquille. » J’avalai difficilement ma salive à l’écouter. Je dois bien avouer qu’il faisait légèrement peur, et je savais très bien qu’il était sérieux.
Un bagagiste se trouvait à coté de nous, nous montrant le chemin pour nous rendre au véhicule qui allait nous amener à notre splendide chalet. Il prit nos bagages et les installa sur ce qui semblait être un énorme kart de golf avec des roues cloutées. Durant le voyage d’une quinzaine de minutes à travers des sentiers, je restais silencieux, encore dans mon rôle de mari sous le choc. Je vis enfin le chalet qui se tenait bien droit de ses trois étages sur le haut d’une falaise, d’où on pouvait voir tout les pentes réservés aux clients de l’hôtel, ce chalet avait même un garage, surement pour quelques VTT. Je sens que Leah va beaucoup s’amuser sur ces engins. Je comptait aussi loué des planches à neiges et lui montrer à descendre, car je crois bien que c’est pas son genre. Mais bon, après tout elle n’était pas si mauvaise avec le surf à Tahiti. Il semblait tellement luxueux. L’employé nous aida à descendre et nous laissa quelques minutes pour entrer dans les lieux et visiter nous-mêmes. Je regardai le salon et la cuisine, puisque c’était environ tout ce dont j’avais accès sans quitter l’entrée. Puis, il entra avec nos bagages et monta au troisième étage dans ce qui devait surement être la chambre des maîtres pour y mettre nos valises. Redescendant, je lui donnai son pourboire qui était très généreux puisque nous devions jouer les couples pouvant se payer se genre de folie, et que de toute manière nous n’allions pas payer quand chose. Après cette crise, je suis certain qu’un peu d’argent en surplus ne ferait surement pas de tord à ce jeune homme qui avait dut endurer les fausses plaintes de ma douce durant de longues minutes. Espérons seulement qu’il ne cherchera pas plus loin et ne découvrira pas que nous sommes des imposteurs car dans ce cas nous serions fichus. Enfin… Fichus jusqu’à ce que nous transplannions dans notre cher appartement. Je refermai la porte derrière lui, m’y adossant et regardant ma Leah avec amour, j’attendis pourtant de l’entendre partir le moteur de sa machine et s’éloigner avant d’éclater de rire, car ce week-end, j’allais passé de très beaux moments, les meilleurs, avec la femme de ma vie.
- InvitéInvité
Re: All you did was save my life
Mer 27 Oct 2010 - 17:37
Vous m’auriez dit il y a encore six mois que j’allais faire un weekend en amoureux avec Owen Miles au Canada, je vous aurais envoyé à Ste-Mangouste pour cause de maladie mentale. Mais maintenant, c’était d’une logique indéniable, d’une clarté et d’un sens qui ne pouvait être autre. Et j’avais beau l’engueuler et lui dire les pires infamies, je ne me voyais pas avec un autre homme dans ma vie. Mon père avait beau râler, me rappeler à chaque coup de téléphone les nombreuse fois où Owen m’avait brisé le cœur. Mais je lui rappelais patiemment que mon tendre avait passé plus d’un mois à faire le tour du monde dans le simple but de me trouver, sans parler des nombreuses soirées où il était rester jusqu’à ce que je m’endorme, me parlant de tout et de rien car j’étais trop faible pour pouvoir discuter avec lui. Il m’avait insufflé le gout à la vie, cette deuxième chance qu’Eurydice m’avait supplié de prendre, j’avais décidé de la vivre avec et pour Owen. Et mon père ne pourrait rien dire. Il le savait et ne se contentait que de râler et d’empêcher mon amoureux de franchir le seuil de ma maison Écossaise. Mais mon père ne pouvait rien me refuser, si je lui en parlais –ou faisait une crise selon le moment…- il allait le faire entrer. Dans la maison et dans sa vie. Mais tout comme Elia, oublions mon père. Oublions le pour le week-end et ne pensons qu’à nous deux. À l’amour que l’on se porte… et a cet endroit que je ne connaissais pas. Franchement, qu’est-ce qui avait pu passer dans la tête d’Owen pour nous emmener au Canada.C’était un grand pays, froid et je ne le connaissais pas. Je savais qu’il neigeait souvent, que des gens parlaient français dans quelques coins de ce pays anglophone et qu’ils étaient encore sous le règne de l’Angleterre… Fin du cours d’histoire. On m’aurait dit que les habitants vivaient encore dans des igloos que je les aurais cru. J’avoue avoir eu un choc lorsque nous avions transplaner dans cette grande ville commerciale qui ressemblait à n’importe quel métropole industrielle. Déçu de ne pas voir d’igloo? Certainement pas. Car devant nous s’étalait une immense montagne parsemée d’une neige splendide. La magnificence à l’état pur. Les paysages canadiens n’avaient rien à voir avec la grisaille Londonienne dont j’avais l’habitude. Et encore moi aux éternels paysages des pays chaud que j’avais l’habitude de voir. Je n’avais presque rien vu du Canada et déjà, j’adorais ce pays.
Et mon entrée Canadienne était fracassante. J’imaginais très bien ces anglophonnes à l’accent étrange ne pas comprendre comment une anglais pouvait être si hystérique. Je perpétuais un vieux cliché. J’en étais fort consciente. Mais pour être amie avec des gosses de riches, je savais que cette petite –énorme- crise s’approchait dangereusement de la réalité. Et alors que je voyais le pauvre réceptionniste quitter son poste un peu déboussolée, je compris que ma petite stratégie était sur le point de fonctionnée. «Maman avait raison» Pleurais-je encore et toujours. «Tu ne me rendras jamais heureuse comme je le mérite» Je m’écroulais sur un divan non loin en pleurant de fausses larmes, sachant pertinemment que si j’arrêtais deux seconde j’allais éclater de rire. J’entendis alors quelqu’un se racler la gorge, je levais les yeux en essuyant mes larmes, sanglotant plus doucement. «Excusez nous de cet erreur» La voix, le ton posé, l’attitude : c’était le gérant de la place. Nous avions réussis. Je restai tout de même assise, jouant la petite gamine qui tentait de se calmer d’être si mal aimer. « Vous avez surement été mal informé lors de votre réservation, car le chalet que vous semblez désirez est encore libre jusqu’à mardi le 26 octobre. Si vous le désirez, nous pouvons changer votre réservation et bien sûr, les coûts supplémentaires de réservation sera prit en charge par l’hôtel. » Je regardais le patron avec un petit sanglot dans la gorge, il me fit un sourire poli alors que mon amoureux souffla un «Merci. Merci profondément » Son mutisme avait été la meilleur des solutions pour ma crise. Ca montrait encore plus à quel point il ne savait pas qu’il avait marié une folle et qu’il était maintenant tenu a jamais d’habiter avec une gamine gâté. . « Tout ce que vous voulez, mais partez vitre à votre chalet et arrangez vous pour que votre femme ne fasses plus de crise car sinon je vous mets dehors et vous serez banni de toute la chaîne. C’est clair ? Ah. Et soyez tranquille. » Je me calais dans mon siège avec une mine boudeuse en croisant les bras. La dame assise sur le divan à coté de moi me regarda avec tendresse, essayant de me consoler d’un regard. Me disant mentalement «tu vois princesse, tout s’est arranger, arrête de pleurer maintenant» mais je fis la boudeuse. Celle qui était fâchée qu’on la ridiculise ainsi. «Ouais bien il n’a jamais rêvé a sa lune de miel depuis qu’il a 6 ans lui, on le voit bien» Je marmonnai ces quelques mots pour que seuls les gens près de moi m’entendent. J’eu droit a de petit sourire amusé et compréhensif. Mais dans l’ensemble j’avais l’air d’une cinglée aux yeux de tous. Ca me faisait bien rire. À notre sortie j’entendis même des gens murmurés entre eux un «pauvre gars…» compatissant envers mon faux mari.
Nous nous étions donc rendue dans ce magnifique chalet qui sera notre pour une poignée de dollar. Comme il était au bas de la montagne, la route était un peu longue. Le chemin en kart de golf pour s’y rendre fut tellement marrant pour moi mais avait du être si pénible pour le pauvre chauffeur. Durant le trajet qui durait une dizaine de minutes, je n’ai pas arrêté mon rôle, de peur que l’on découvre la supercherie. «Il fait froid…! Pourquoi on n’a pas été dans un pays chaud dans le fond? J’aurais pu mettre mon nouveau bikini», «Ohh tu as vu les habits de cette famille, c’est horrible. Ils n’ont aucun gout vestimentaire». «On est bientôt arrivé? Mes cheveux sont gras il faut que je les laves le plus rapidement possible sinon mes pointes vont cassés», «Tu m’emmèneras au sommet de la montagne? Bien sur que oui. Si tu m’aime tu m’y emmènera» Je fus un peu étonnée par la prestance et la grosseur du chalet que nous avions réussi à avoir. Le garage, les VTT, les trois étages… Les grandes baies vitrées, la lumière dansant sur les billots de bois sur la façade de l’édifice. C’était si beau, si rustique, si chic… Je quittai le Kart, les yeux brillant. La vraie Leah, pas la gosse de riche, n’aurait jamais imaginé pouvoir dormir dans pareil endroit un de ses jours. Et pourtant. Une fois dans le chalet, Owen fit une visite de l’endroit alors que j’allais directement dans les toilettes prétextant que ça faisait des heures que je devais y aller. Et mes plaintes n’arrêtèrent pas la. «Je n’aime pas la couleur des serviettes» et autre balivernes furent proliféré. J’étais allé à la salle demain principalement pour me cacher et éviter le fou rire qui me prenait le cœur. Me cacher le visage aidait donc à ne pas me défaire de mon rôle.
C’est lorsque j’entendis Owen éclater de rire que je pointai mon visage à l’extérieur de la salle. Le voyant rire de bon cœur, un grand sourire vint se dessiner sur mon visage alors que je mêlai mon rire au sien. Je sorti de la salle de bain et allait l’embrasser avec amour et douceur tout en rigolant. «J’aurais jamais cru que ça marcherais!» Je continuai a rire en l’embrassant rapidement avant de commencer à faire le tour de ce palace qui serait notre nid d’amour pour le weekend. Si nous le voulions, nous pourrions facilement ne jamais sortir et toujours trouver quelque chose à faire. Spa, table de billard, console de jeux vidéo, vue magnifique sur la montagne, télé plasma, bibliothèque remplis à craquer de livre et de DVDs. C’était si beau. Si grand. Si luxueux, Si magnifiquement agencé. Et pourtant, le tout ressemblait rustique, avait la ressemblance du chalet typique. La petite princesse qui dormait en moi était aussi énervé que le jour de noël. «C’est magnifique ici mon amour…»
Je me tournai alors vers lui et l’allai le voir L’embrassant une nouvelle fois je le tirai vers le foyer où le feu crépitait déjà réchauffant ce nid d’amour. J’avais certes exagéré tout à l’heure, mais la balade en kart à l’extérieur m’avait congelée et j’avais besoin de me réchauffer. Le foyer serait donc la meilleure solution. Assise sur les genoux d’Owen je profitais de la chaleur des flammes et de son corps. Il me regarda avec tant d’amour que mon cœur fit un bon dans ma poitrine. J’avais l’impression de retomber en amour avec lui à chaque fois qu’il posait ce regard sur moi. «Je t’aime» soufflais-je doucement avant d’aller l’embrasser amoureusement. «Mon mari a moi» Maintenant toute cette crise terminé, maintenant que le calme régnait dans la pièce, je pouvais réellement profiter de ce moment seul à seul avec lui et lui monter une fois de plus à quel point il me rendait dingue. Et alors que j’attaquer son cou de mes lèvres désireuses, je commençais à défaire sa chemise. «Il faut bien consumer notre mariage». Tout en embrassant sa peau sucrée, je souris doucement. Mes lèvres vinrent capturer les siennes avec amours alors que je continuais à le dévêtir doucement et tendrement. Ce soir, près du foyer, j’allais faire l’amour avec l’homme qui m’enflammait le cœur à chacun de ses soupirs…
Et mon entrée Canadienne était fracassante. J’imaginais très bien ces anglophonnes à l’accent étrange ne pas comprendre comment une anglais pouvait être si hystérique. Je perpétuais un vieux cliché. J’en étais fort consciente. Mais pour être amie avec des gosses de riches, je savais que cette petite –énorme- crise s’approchait dangereusement de la réalité. Et alors que je voyais le pauvre réceptionniste quitter son poste un peu déboussolée, je compris que ma petite stratégie était sur le point de fonctionnée. «Maman avait raison» Pleurais-je encore et toujours. «Tu ne me rendras jamais heureuse comme je le mérite» Je m’écroulais sur un divan non loin en pleurant de fausses larmes, sachant pertinemment que si j’arrêtais deux seconde j’allais éclater de rire. J’entendis alors quelqu’un se racler la gorge, je levais les yeux en essuyant mes larmes, sanglotant plus doucement. «Excusez nous de cet erreur» La voix, le ton posé, l’attitude : c’était le gérant de la place. Nous avions réussis. Je restai tout de même assise, jouant la petite gamine qui tentait de se calmer d’être si mal aimer. « Vous avez surement été mal informé lors de votre réservation, car le chalet que vous semblez désirez est encore libre jusqu’à mardi le 26 octobre. Si vous le désirez, nous pouvons changer votre réservation et bien sûr, les coûts supplémentaires de réservation sera prit en charge par l’hôtel. » Je regardais le patron avec un petit sanglot dans la gorge, il me fit un sourire poli alors que mon amoureux souffla un «Merci. Merci profondément » Son mutisme avait été la meilleur des solutions pour ma crise. Ca montrait encore plus à quel point il ne savait pas qu’il avait marié une folle et qu’il était maintenant tenu a jamais d’habiter avec une gamine gâté. . « Tout ce que vous voulez, mais partez vitre à votre chalet et arrangez vous pour que votre femme ne fasses plus de crise car sinon je vous mets dehors et vous serez banni de toute la chaîne. C’est clair ? Ah. Et soyez tranquille. » Je me calais dans mon siège avec une mine boudeuse en croisant les bras. La dame assise sur le divan à coté de moi me regarda avec tendresse, essayant de me consoler d’un regard. Me disant mentalement «tu vois princesse, tout s’est arranger, arrête de pleurer maintenant» mais je fis la boudeuse. Celle qui était fâchée qu’on la ridiculise ainsi. «Ouais bien il n’a jamais rêvé a sa lune de miel depuis qu’il a 6 ans lui, on le voit bien» Je marmonnai ces quelques mots pour que seuls les gens près de moi m’entendent. J’eu droit a de petit sourire amusé et compréhensif. Mais dans l’ensemble j’avais l’air d’une cinglée aux yeux de tous. Ca me faisait bien rire. À notre sortie j’entendis même des gens murmurés entre eux un «pauvre gars…» compatissant envers mon faux mari.
Nous nous étions donc rendue dans ce magnifique chalet qui sera notre pour une poignée de dollar. Comme il était au bas de la montagne, la route était un peu longue. Le chemin en kart de golf pour s’y rendre fut tellement marrant pour moi mais avait du être si pénible pour le pauvre chauffeur. Durant le trajet qui durait une dizaine de minutes, je n’ai pas arrêté mon rôle, de peur que l’on découvre la supercherie. «Il fait froid…! Pourquoi on n’a pas été dans un pays chaud dans le fond? J’aurais pu mettre mon nouveau bikini», «Ohh tu as vu les habits de cette famille, c’est horrible. Ils n’ont aucun gout vestimentaire». «On est bientôt arrivé? Mes cheveux sont gras il faut que je les laves le plus rapidement possible sinon mes pointes vont cassés», «Tu m’emmèneras au sommet de la montagne? Bien sur que oui. Si tu m’aime tu m’y emmènera» Je fus un peu étonnée par la prestance et la grosseur du chalet que nous avions réussi à avoir. Le garage, les VTT, les trois étages… Les grandes baies vitrées, la lumière dansant sur les billots de bois sur la façade de l’édifice. C’était si beau, si rustique, si chic… Je quittai le Kart, les yeux brillant. La vraie Leah, pas la gosse de riche, n’aurait jamais imaginé pouvoir dormir dans pareil endroit un de ses jours. Et pourtant. Une fois dans le chalet, Owen fit une visite de l’endroit alors que j’allais directement dans les toilettes prétextant que ça faisait des heures que je devais y aller. Et mes plaintes n’arrêtèrent pas la. «Je n’aime pas la couleur des serviettes» et autre balivernes furent proliféré. J’étais allé à la salle demain principalement pour me cacher et éviter le fou rire qui me prenait le cœur. Me cacher le visage aidait donc à ne pas me défaire de mon rôle.
C’est lorsque j’entendis Owen éclater de rire que je pointai mon visage à l’extérieur de la salle. Le voyant rire de bon cœur, un grand sourire vint se dessiner sur mon visage alors que je mêlai mon rire au sien. Je sorti de la salle de bain et allait l’embrasser avec amour et douceur tout en rigolant. «J’aurais jamais cru que ça marcherais!» Je continuai a rire en l’embrassant rapidement avant de commencer à faire le tour de ce palace qui serait notre nid d’amour pour le weekend. Si nous le voulions, nous pourrions facilement ne jamais sortir et toujours trouver quelque chose à faire. Spa, table de billard, console de jeux vidéo, vue magnifique sur la montagne, télé plasma, bibliothèque remplis à craquer de livre et de DVDs. C’était si beau. Si grand. Si luxueux, Si magnifiquement agencé. Et pourtant, le tout ressemblait rustique, avait la ressemblance du chalet typique. La petite princesse qui dormait en moi était aussi énervé que le jour de noël. «C’est magnifique ici mon amour…»
Je me tournai alors vers lui et l’allai le voir L’embrassant une nouvelle fois je le tirai vers le foyer où le feu crépitait déjà réchauffant ce nid d’amour. J’avais certes exagéré tout à l’heure, mais la balade en kart à l’extérieur m’avait congelée et j’avais besoin de me réchauffer. Le foyer serait donc la meilleure solution. Assise sur les genoux d’Owen je profitais de la chaleur des flammes et de son corps. Il me regarda avec tant d’amour que mon cœur fit un bon dans ma poitrine. J’avais l’impression de retomber en amour avec lui à chaque fois qu’il posait ce regard sur moi. «Je t’aime» soufflais-je doucement avant d’aller l’embrasser amoureusement. «Mon mari a moi» Maintenant toute cette crise terminé, maintenant que le calme régnait dans la pièce, je pouvais réellement profiter de ce moment seul à seul avec lui et lui monter une fois de plus à quel point il me rendait dingue. Et alors que j’attaquer son cou de mes lèvres désireuses, je commençais à défaire sa chemise. «Il faut bien consumer notre mariage». Tout en embrassant sa peau sucrée, je souris doucement. Mes lèvres vinrent capturer les siennes avec amours alors que je continuais à le dévêtir doucement et tendrement. Ce soir, près du foyer, j’allais faire l’amour avec l’homme qui m’enflammait le cœur à chacun de ses soupirs…
- InvitéInvité
Re: All you did was save my life
Mer 27 Oct 2010 - 20:00
Il y a un an vous m’aviez dit que je serais en couple avec Leah de nouveau et que je serais en week-end romantique avait elle, je vous aurais ri au nez sans remords. Il y a un an, j’étais un tout autre homme. Il y a un an, j’étais un salaud. Du genre qui propose à sa petite amie de venir le rejoindre dans le lit, alors qu’une autre fille s’y trouve déjà. J’étais ce genre de personne, sortant que très rarement avec des filles, mais n’étant jamais seul dans son lit le soir venu. La première fois que j’étais sortis avec Leah, c’était évidement que pour son corps et son appétit sexuel qui je dois vous le dire est encore très grand. Encore aujourd’hui, j’essaie de me convaincre que j’aimais Leah, que c’est simplement la drogue qui m’a fait prendre de mauvais choix dans notre relation, mais je sais bien qu’au fond de bien, je ne l’aimais pas. Maintenant je me demande comment cela a put être possible, comment ne pas aimer Leah. Cet idée m’était complètement impossible, incompréhensible. J’avais couru après Leah tout l’été, endurant ses sauts d’humeur, ses pleurs à cause d’Elia, de l’entendre me parler de tout ses amants. Pour moi, c’était de la vraie torture, j’ignore encore comment j’ai fais pour passer au travers de tout ça. Je crois bien que c’est l’espoir de pouvoir vivre des moments comme celui-ci qui m’a fait tenir. Car maintenant après tout ce que j’avais traversé, mon tour du monde pour la retrouver lorsqu’elle était cachée dans un hôpital, j’étais enfin avec elle. Elle vivait même avec moi et elle était amoureuse de moi, ça se voyait dans ses yeux le matin lorsqu’elle se réveillait. Ou bien alors ce n’était que de la fatigue, dans ce cas je suis dans la merde car mon rêve devrait bientôt se terminer. Mais non. Heureusement pour moi, je savais bien que ce n’était pas de la fatigue, car ce regard, je le retrouvai tout le temps. Pendant mes pratiques, pendant les repas, pendant que nous faisions l’amour, tout le temps. Et en la voyant poser ses yeux comme ça sur moi, je réalisais à chaque fois à quel point j’étais heureux, mais surtout chanceux d’être avec une fille comme elle.
Malgré tout, j’ai longtemps douté de ce bonheur qui me semblait si inaccessible. Surtout lorsque Leah rompu avec moi et disparue pendant près d’un mois. Imaginant toujours les pires scénarios, je m’étais rapprocher de Mya qui était devenue une vraie amie pour moi, surement même plus. Un soir, tout le deux avec le cœur au bord du gouffre elle à cause de Charles, moi à cause de Leah, nous nous sommes embrassés. Je ne me souviens plus qui a fait le premier pas, mais je me souviens que c’était bon. Ça me semblais la bonne chose à faire, la douceur et la saveur de ses lèvres, je m’en rappelle encore aujourd’hui… Si seulement les choses c’était arrêté là… Cette soirée finit dans mon lit, le lit où je dors maintenant avec Leah, j’avais été le premier homme avec qui elle couchait depuis la mort de Charles et donc le deuxième de sa vie. J’en avais été touché qu’elle me fasse confiance et je dois dire que ce n’est pas par simple tristesse ou pas plaisir que j’ai couché avec elle. Durant les soirées que nous passions ensemble, à se consoler l’un l’autre de nos pertes dans nos vies amoureuses, je m’étais vraiment rapproché d’elle et je commençais à éprouver de sérieux sentiments pour elle. Cette action fut répéter à deux ou trois autres reprises, je pus même découvrir un coté plus coquine à la sage Mya que je connaissais. Je cessai ensuite ses visites tardives chez Mya lorsque je retrouvai Leah. Passant près de commettre une erreur une nouvelle fois, nous nous sommes juré de ne plus recoucher ensemble, pour notre bien et aussi celui de Jack et Leah. J’avais donc coupé les ponts avec elle, même si je savais que ça allait surement la blessée, mais je le devais. Pour Leah.
Me voilà donc, malgré tout ça dans un hôtel avec une Leah hystérique qui se fait passé pour ma toute nouvelle femme. Et j’en étais heureux. J’étais heureux que mon choix soit resté Leah malgré tout. Même si encore des fois je pense que Mya aurait été un très bon choix pour le futur, Leah me rend plus heureux que jamais et c’est grâce à elle si aujourd’hui, je suis l’homme que je suis. Nous sortîmes donc du hall pour embarquer dans ce véhicule qui allait nous conduire au chalet tant convoité. Durant tout le trajet, Leah ne cessa pas, elle commençait même à réellement me tomber sur les nerfs, heureusement que je savais qu’elle jouait la comédie, sinon ça aurait put remettre en doute mon niveau d’affection pour elle. Arrivé, elle alla se séquestrer dans la salle de bain et je vis un rapide tour du rez-de-chaussée, payant ensuite le bagagiste. Une fois partie, j’éclatai de rire et je vis ma complice sortir de la salle de bain en souriant, clairement amusée. Elle vint me rejoindre, pendant que je mettais mon manteau sur al patère et vint m’embrasser tendrement, baiser auquel je répondis avec le plus grand plaisir. «J’aurais jamais cru que ça marcherais!» Moi non plus ! Pour seule réponse, je continuai de rire, la serrant doucement contre moi, la caresse de son corps m’ayant terriblement manqué pendant cette crise. Elle se défit vite de mon emprise et se dépêcha pour faire le tour tandis que je vis de même, explorant ces nouveaux lieux qui étaient à nous pour tout le week-end, plus le lundi, puisque je n’ai des pratiques que les mardis, mercredis et jeudis. Elle semblait complètement surexcitée, et ça me plaisait bien. J’aimais la voir dans cet état, elle revint me voir me disant à quel point tout étant magnifique ici. Elle s’approcha de moi et vint m’embrasser avec amour, glissant ses mains sur ma nuque pour me tirer dans le salon où il y avait un magnifique foyer où un feu brûlait déjà, nous réchauffant de ses flammes. Elle me poussa sur le divan avec sourire, embarquant sur mes genoux et nouant encore une fois ses bras à mon cou. Je la regardai avec tout l’amour du monde, car on ce moment je l’aimais comme jamais et je dois dire que de jouer les nouveaux mariés avec elle c’était très plaisant. «Je t’aime mon mari à moi» Je souriais de plus belle -mon mari à moi- c’était complètement fou. L’instant d’une seconde, je commençai à imaginer mon futur avec Leah. La petite maison, elle qui me faisait encore à manger, des enfants, Ô oui des enfants. De beaux enfants qui courraient dans la cours jouant à des jeux imaginaires, un chien toujours dans nos pattes, mais qu’on aimerait d’un amour inconditionnel. Et ma Leah. La femme de ma vie, à jamais, à moi. Vivre ma vie avec elle, c’était vraiment ce que je voulais, mais j’avais peur, peur de la perdre trop tôt. J’étais déjà passé bien près de la perdre il y a pas longtemps, je ne voulais pas vivre dans la crainte de jamais pouvoir faire les choses que je nous avais prévus. C’était ce petit jeu de rôles qui m’avait fait réaliser que mon temps avec elle était compter, qu’un beau jour je me réveillerai et elle ne serait plus là. Alors pourquoi attendre plus longtemps avant de vivre notre vie.
« Je t’aime aussi. Ma femme à moi »lui répondis-je sur un ton amoureux, complètement envouté par son être. Fermant les yeux pour profiter du moment présent, m’imprégner de chacune des secondes et des sensations de ce week-end, je sentis ses lèvres se poser dans mon cou et m’arracher un soupire. Souriant et riant doucement, ses mains vinrent détacher ma chemise. «Il faut bien consumer notre mariage», riant encore à cette réplique je la laissai faire, glissant mes mains sous son pull, cherchant la chaleur de son corps. Me surprenant elle vint m’embrasser amoureusement, répondant à son baiser, je me redressais sur le divan, la collant à moi, et enlevant avec presse son pull. Quelques vêtements plus tard nous étions dans la même position, nus. Venant d’avoir une merveilleuse idée, je me levai et allai la poser sur la peau d’ours polaire qui trônait sur le plancher juste devant le foyer. L’embrassant de nouveau, j’allai dévorer son cou et le haut de sa poitrine, pendant que mes mains caressaient son corps, ses cuisses, ses bras, ses mains et surtout un doigt en particulier. Lui voulant en soupire, je pris la bague en même temps. Celle que je lui avais donnée quelques années plus tôt et qui avait aussi été la bague de fiançailles que mon père avait offertes à ma mère. Je la gardai entre mes doigts quelques instants. Puis, comme si elle lisait dans mes pensées, elle me souffla, entre deux baisers : « Je raffole de ces petits moments magiques Owie. » Souriant de plus belle, je coinçai la bague entre mon pouce et mon index et lui montrai, quelques centimètres devant son visage. « Des moments magiques comme ça Leah, j’en veux toute ma vie. Veux-tu m’épouser ? » Je restai là, attendant patiemment une réponse qui je l’espérait allait lier nos destin à jamais.
Malgré tout, j’ai longtemps douté de ce bonheur qui me semblait si inaccessible. Surtout lorsque Leah rompu avec moi et disparue pendant près d’un mois. Imaginant toujours les pires scénarios, je m’étais rapprocher de Mya qui était devenue une vraie amie pour moi, surement même plus. Un soir, tout le deux avec le cœur au bord du gouffre elle à cause de Charles, moi à cause de Leah, nous nous sommes embrassés. Je ne me souviens plus qui a fait le premier pas, mais je me souviens que c’était bon. Ça me semblais la bonne chose à faire, la douceur et la saveur de ses lèvres, je m’en rappelle encore aujourd’hui… Si seulement les choses c’était arrêté là… Cette soirée finit dans mon lit, le lit où je dors maintenant avec Leah, j’avais été le premier homme avec qui elle couchait depuis la mort de Charles et donc le deuxième de sa vie. J’en avais été touché qu’elle me fasse confiance et je dois dire que ce n’est pas par simple tristesse ou pas plaisir que j’ai couché avec elle. Durant les soirées que nous passions ensemble, à se consoler l’un l’autre de nos pertes dans nos vies amoureuses, je m’étais vraiment rapproché d’elle et je commençais à éprouver de sérieux sentiments pour elle. Cette action fut répéter à deux ou trois autres reprises, je pus même découvrir un coté plus coquine à la sage Mya que je connaissais. Je cessai ensuite ses visites tardives chez Mya lorsque je retrouvai Leah. Passant près de commettre une erreur une nouvelle fois, nous nous sommes juré de ne plus recoucher ensemble, pour notre bien et aussi celui de Jack et Leah. J’avais donc coupé les ponts avec elle, même si je savais que ça allait surement la blessée, mais je le devais. Pour Leah.
Me voilà donc, malgré tout ça dans un hôtel avec une Leah hystérique qui se fait passé pour ma toute nouvelle femme. Et j’en étais heureux. J’étais heureux que mon choix soit resté Leah malgré tout. Même si encore des fois je pense que Mya aurait été un très bon choix pour le futur, Leah me rend plus heureux que jamais et c’est grâce à elle si aujourd’hui, je suis l’homme que je suis. Nous sortîmes donc du hall pour embarquer dans ce véhicule qui allait nous conduire au chalet tant convoité. Durant tout le trajet, Leah ne cessa pas, elle commençait même à réellement me tomber sur les nerfs, heureusement que je savais qu’elle jouait la comédie, sinon ça aurait put remettre en doute mon niveau d’affection pour elle. Arrivé, elle alla se séquestrer dans la salle de bain et je vis un rapide tour du rez-de-chaussée, payant ensuite le bagagiste. Une fois partie, j’éclatai de rire et je vis ma complice sortir de la salle de bain en souriant, clairement amusée. Elle vint me rejoindre, pendant que je mettais mon manteau sur al patère et vint m’embrasser tendrement, baiser auquel je répondis avec le plus grand plaisir. «J’aurais jamais cru que ça marcherais!» Moi non plus ! Pour seule réponse, je continuai de rire, la serrant doucement contre moi, la caresse de son corps m’ayant terriblement manqué pendant cette crise. Elle se défit vite de mon emprise et se dépêcha pour faire le tour tandis que je vis de même, explorant ces nouveaux lieux qui étaient à nous pour tout le week-end, plus le lundi, puisque je n’ai des pratiques que les mardis, mercredis et jeudis. Elle semblait complètement surexcitée, et ça me plaisait bien. J’aimais la voir dans cet état, elle revint me voir me disant à quel point tout étant magnifique ici. Elle s’approcha de moi et vint m’embrasser avec amour, glissant ses mains sur ma nuque pour me tirer dans le salon où il y avait un magnifique foyer où un feu brûlait déjà, nous réchauffant de ses flammes. Elle me poussa sur le divan avec sourire, embarquant sur mes genoux et nouant encore une fois ses bras à mon cou. Je la regardai avec tout l’amour du monde, car on ce moment je l’aimais comme jamais et je dois dire que de jouer les nouveaux mariés avec elle c’était très plaisant. «Je t’aime mon mari à moi» Je souriais de plus belle -mon mari à moi- c’était complètement fou. L’instant d’une seconde, je commençai à imaginer mon futur avec Leah. La petite maison, elle qui me faisait encore à manger, des enfants, Ô oui des enfants. De beaux enfants qui courraient dans la cours jouant à des jeux imaginaires, un chien toujours dans nos pattes, mais qu’on aimerait d’un amour inconditionnel. Et ma Leah. La femme de ma vie, à jamais, à moi. Vivre ma vie avec elle, c’était vraiment ce que je voulais, mais j’avais peur, peur de la perdre trop tôt. J’étais déjà passé bien près de la perdre il y a pas longtemps, je ne voulais pas vivre dans la crainte de jamais pouvoir faire les choses que je nous avais prévus. C’était ce petit jeu de rôles qui m’avait fait réaliser que mon temps avec elle était compter, qu’un beau jour je me réveillerai et elle ne serait plus là. Alors pourquoi attendre plus longtemps avant de vivre notre vie.
« Je t’aime aussi. Ma femme à moi »lui répondis-je sur un ton amoureux, complètement envouté par son être. Fermant les yeux pour profiter du moment présent, m’imprégner de chacune des secondes et des sensations de ce week-end, je sentis ses lèvres se poser dans mon cou et m’arracher un soupire. Souriant et riant doucement, ses mains vinrent détacher ma chemise. «Il faut bien consumer notre mariage», riant encore à cette réplique je la laissai faire, glissant mes mains sous son pull, cherchant la chaleur de son corps. Me surprenant elle vint m’embrasser amoureusement, répondant à son baiser, je me redressais sur le divan, la collant à moi, et enlevant avec presse son pull. Quelques vêtements plus tard nous étions dans la même position, nus. Venant d’avoir une merveilleuse idée, je me levai et allai la poser sur la peau d’ours polaire qui trônait sur le plancher juste devant le foyer. L’embrassant de nouveau, j’allai dévorer son cou et le haut de sa poitrine, pendant que mes mains caressaient son corps, ses cuisses, ses bras, ses mains et surtout un doigt en particulier. Lui voulant en soupire, je pris la bague en même temps. Celle que je lui avais donnée quelques années plus tôt et qui avait aussi été la bague de fiançailles que mon père avait offertes à ma mère. Je la gardai entre mes doigts quelques instants. Puis, comme si elle lisait dans mes pensées, elle me souffla, entre deux baisers : « Je raffole de ces petits moments magiques Owie. » Souriant de plus belle, je coinçai la bague entre mon pouce et mon index et lui montrai, quelques centimètres devant son visage. « Des moments magiques comme ça Leah, j’en veux toute ma vie. Veux-tu m’épouser ? » Je restai là, attendant patiemment une réponse qui je l’espérait allait lier nos destin à jamais.
- InvitéInvité
Re: All you did was save my life
Mer 27 Oct 2010 - 21:55
- «Miss Cambridge, je suis le docteur Hedley, je m’occupe de vous ne vous en faites pas.» Quelques mos rassurants prononcé par une jeune femme magnifique en blouse blanche. Elle m’avait fait un grand sourire et avait placé un soluté à mon bras. C’était la deuxième personne que je voyais depuis mon réveil à l’hôpital à Londres, la première étant mon père. Je dois au docteur Hedley la vie. Puisqu’alors que les autres médecins avaient cru mon état dû à une simple contre-réaction de ma dizaine de médicament, elle, elle avait trouvé le vrai problème. Elle avait vu dans mes radios cette minuscule anomalie dans une artere de mon cœur qui lui provoquait tant de souffrance. C’est grâce à elle que physiquement j’allais aller mieux. Mais tout cela je ne le savais pas et je la regardais confuse, inquiète d’un moniteur cardiaque qui montrait la fragilité de chacun de mes battement. «Je vais mourir c’est ça?» Murmurais-je presque avec espoir. Car oui, a cette époque, j’avais souhaiter cette douce mort qui m’emporte et qui m’éloigne de tout problème. Dans un sens, j’avais voulu fuir la réalité au lieu de l’affronter. La docteur me regard avec un regard compatissant et je vis a ces lèvres pincés que j’y étais presque. Quelques jours encore et j’aurais perdu ce combat. Enfin. «L’important c’est que vous soyez réveillé, déjà, c’est un grand pas vers la guérison.» Je lui fis un sourire en hochant la tête alors qu’elle partait. Cette phrase toute faite fut ma double confirmation. Puis, tout changea. Je vous épargnerai les détails du retour d’Eurydice et d’Owen dans cette même chambre car vous les savez déjà. Mais deux semaines après ma première rencontre avec le docteur Hadley, j’avais décidé de me battre pour vivre. Malheureusement, le virus avait apprécié mon instant de faiblesse et avait profité que je baisse les armes pour attaquer plus fortement, plus rapidement, plus douloureusement. C’est pourquoi je ne fus pas surprise le jour où elle vint m’annoncer que mon état empirait. Je me souviendrai toute ma vie. Papa était partie au boulot et Owen à une de ses parties de Quiddich. Seule dans la chambre, j’écoutais sur mon mp3 l’exploit de mon petit-ami avec un air tendre et détendu. Un vrai moment de relaxation et de fierté. Mais je du cessé d’écouter lorsque Miss Hadley vint dans la chambre avec un air réellement sombre. M’assoyant sur le lit je la regardai. C’est avec horreur qu’elle m’annonça mon état : une partie mon cœur ne fonctionnait qu’a 60% de sa capacité et mes artères sanguine se durcissait et empêchait au bon fonctionnement de ma circulation : je faisais de l’athérosclérose. Je fermai les yeux, apeurée de cette nouvelle. «J’ai combien de temps?» Demandais-je fatalement. Une semaine, deux si j’étais chanceuse. Ce fut la réponse. J’eu envie de pleurer. Mais je ne le fis pas, je devais rester forte, ne pas craquer. Rester forte pour Owen, pour papa, pour Eurydice… pour moi… pour le peu de temps qu’il me restait. On me proposa alors une opération expérimentale qui avait fait ses preuves mais qui restait à l’essai, vingt minutes plus tard je signais les formulaires de consentement : si les tests expérimentaux m’avait rendu ici, ils pourraient m’être salutaire. Le lendemain je passai sous le bistouri. Deux jours plus tard j’allais déjà mieux. Mon bilan de santé n’avait jamais été si positif et on annonça ma sortie pour la fin du mois. Revint le docteur Hadley «Tout ce stress, toute cette agitation… cela à vraiment débalancé votre organisme. Malheureusement votre syndrome de Frederich en a pris un coup. » Et je m’entendis poser une question déjà-vu : «J’ai combien de temps?» Puis, pour la première fois, je vis dans les yeux de mon docteur un regard d’excuse, d’impuissance, de fatalité. J’eu peur. «Dix ans… quinze si vous avez de la chance» Ce fut un coup fatal à mon âme déjà meurtrie et apeurée. On venait de me confirmer que j’allais mourir dix ans plus tôt que ce que je savais déjà. Moi qui me savait condamner pour mes quarante ans, me voilà à espéré passer le cap des trente…
Est-ce que Owen savait ce compte à rebours? Bien sur. Je ne me serais pas vu lui cacher. Me savait-il apeurée. Non. Je ne voulais pas qu’il croit que j’aie baisé les bras une fois de plus. Lui qui croyait que j’allais bientôt arrêter les antidépresseurs ne devait pas savoir que si ma panique reprenait on allait devoir augmenter la dose. Je ne voulais pas mourir. Je ne voulais plus mourir. Maintenant j’avais quelqu’un pour qui vivre. Je devais vivre. Encore plus. Plus vite, plus fort, plus extrême. Faire des folies, cesser de dire non, embrasser toute les occasions possibles de sourire. C’est pourquoi j’étais heureuse au Canada. Loin de mes problèmes à Norwich, venant de faire une folie et maintenant me faisant câliner dans les bras d’un homme merveilleux dans un chalet à un millions. Chacun de ses baisers, chacune de ses actions me faisaient vibrée. Et alors qu’il me déshabillait, je ne pouvais m’empêcher de l’embrasser, de le caresser de le toucher. J’avais l’impression que si j’arrêtais j’allais me réveiller dans un lit d’hôpital en réalisant que ce n’était qu’un rêve que la morphine m’avait rendu possible. Mais non. J’étais nue, contre l’homme de ma vie qui m’embrassait avec un amour qui me chavirait le cœur à chaque seconde. Ses mains puissante sur mon corps frêle qui avait trop maigrit a l’hôpital me comblait. J’avais le sentiment d’être protégée, couvée, aimée. Je rêvais du moment où, d’un geste, il me ferait sienne. Où nous ferions l’amour et où je pourrais lui montrer ma tendresse et ma sauvagerie. Comme j’aimais Owen Miles, comme j’avais envie de lui. Comme ce moment, près du foyer, était un des plus beaux moments de ma vie. « Je raffole de ces petits moments magiques Owie. » Murmurais-je amoureusement alors qu’il venait de me déposer sur cette peau animale douce et soyeuse. Je caressais son corps, ce corps qui était bien tandis que ses mains dansaient sur le miens et me rendaient folles de désirs. Il lâcha alors ma main pour me présenter une bague que je connaissais par cœur, que je portais depuis deux ans et qui, pour la première fois que je la voyais, semblait plus luisante que jamais. Je compris. Mon cœur s’arrêta alors que mon souffle manqua. « Des moments magiques comme ça Leah, j’en veux toute ma vie. Veux-tu m’épouser ? »
Figée. Incapable de bouger, de penser, de respirer. Mes yeux croisèrent le regard tendre, amoureux et inflexible d’Owen. Par tout les saints… Ce n’était pas une blague. Il était sérieux. Je sentis mon plexus solaire exploser dans une boulle de feu qui irradia l’entièreté de mon être, je fus enfin capable de bouger. Seule réaction, je clignai les yeux. J’avais toujours rêvé à ce qu’on me demande en mariage. La princesse en moi avait toujours espérer le jour où un homme poserait le genou au sol et demanderait ma main. Mais jamais je n’aurais cru que sa se serait réellement produit. Encore moins ainsi. Dans un moment d’amour aussi parfais, alors que nos corps et nos cœur ne demandais qu’à s’unir. Ma bouche s’ouvrir et j’inhalai l’air qui gonfla mes poumons couper d’air depuis longtemps puis, d’un souffle, d’un doux et tendre murmure je m’entendis prononcer «Oui je le veux». Jamais je n’avais vu le visage de mon tendre amour si magnifique, si éclairer, si heureux. Alors qu’il vint capturer mes lèvres avec envie et désir je resserrai mon étreinte sur lui. Il glissa alors cette bague à mon doigt, non par plaisanterie mais pour la vie. Mon cœur éclata alors que je réalisais que j’avais prononcé quatre petits mots d’amours qui allaient changer nos vies et nos destins à tous jamais. Et alors qu’Owen me fis l’amour tendrement, je compris que pour toujours, nous serions un «nous» et plus jamais deux solitaires «je»….
-FIN DU RP-