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NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 16:19
Niels T. SOMERSET « niels theodore somerset » qui a dit que les LUFKIN étaient coincés ? ♦ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : vingt-trois, deux avril 1987 ♦ ORIGINES : anglais et un peu amérindien ♦ ORIENTATION SEXUELLE : hétéro (mais il n'est pas à zéro sur l'échelle de kinsey ♦ OPTIONS : métamorphose & étude des moldus & sacm & botanique ♦ ÉTAT CIVIL : célibataire ♦ ISSU D'UNE FAMILLE : de sang très mêlé (son père est moldu, sa mère sorcière d'ascendance non pure) ♦ BAGUETTE : vingt-et-un centimètres, bois d'epicea, poil de loup-garou ♦ PATRONUS : raton-laveur ♦ CLASSE SOCIALE : modeste mais cultivée, ce sont des artistes) ♦ CARACTÈRE DU PERSONNAGE (MAX 10 ADJECTIFS) : indépendant, curieux, travailleur quand il veut, je m'en foutiste, peace&love, sauvage, charmeur, blagueur, avenant, créatif ♦ |
WHO ARE YOU REALLY?
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♦ QUEL ÂGE AS-TU ? la majorité magique, sweetheart.
♦ COMMENT AS-TU DÉCOUVERT HUNGCALF ? il était une fois, un pays merveilleux ou vivait une fille nommée Charlie.
♦ TAUX DE PRÉSENCE ? passage tous les jours, rp une ou deux fois par semaine. (je suis folel je suis en prépa mais je peux pas vivre sans geeker \o/)
♦ PERSO INVENTE OU SCENARIO ? je l'ai sorti de mon chapeau !
♦ SI TU PARLES ZIMBABWÉEN TAPE DANS TES MAINS ok by Alpha
♦ POSSEDEZ-VOUS UN AUTRE COMPTE ? non.
♦ QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? vous mettrez bien un peu de poudre dans votre thé ?
avatar © kebeo || icônes © fox
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 16:19
EACH OF US HIS OWN STORY
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« T’es sûr que ça marche ton truc ? » « Ouais fais moi confiance, man. » Les deux jeunes hommes s’échangent un long regard. Pas agressif non. Long parce qu’il est dans le flou. Long parce qu’il est dans la confiance. Ce regard est la confiance. « D’accord, je le prends ton calumet de la paix. » « Arrête de dire ça Niels. Tu verras c’est… encore plus fou que ça. » « Je veux bien te croire ! »
Niels prend la feuille qu’on lui tend, et hume les fumées qui s’en échappent. C’est une odeur de l’enfance, il croit. Il croit sentir l’odeur de sa mère. Sa mère qui prenait de la mescaline et qui dessinait des choses somptueuses. Somptueuses et folles. Il la revoit presque, lentement ou plus brusquement par moment laisser courir son crayon le long de l’immense feuille blanche posée par terre et lui qui la regardait, fasciné, les yeux pleins d’étoiles de voir le miracle de l’art se réaliser sous ses yeux. Il extraie ses yeux des vapeurs. « Wah. Rien que là c’est puissant ton truc… J’ai cru redevenir gamin ! C’est quoi… c’est de la mescaline ? » « C’est pire que ça. Mais c’est pas drôle si y a pas un peu de mystère. »
Niels examine la grande feuille d’arbre qu’il a dans la main, et les substances en train de se consumer posées au dessus, réchauffant ses mains. Ça ne ressemble pas à toutes les choses qu’il a pu voir dans son enfance, même les plantes aux couleurs étranges de sa mère, même les seringues de son père, même toutes les choses que la jeunesse lui a mis dans les mains et dans le nez. Non, il le sent, c’est autre chose. C’est plus puissant. Plus mystique. Plus mystérieux. Mais il n’est pas du genre à reculer devant le mystère, il préfère même. « Tu me fais toujours confiance, man ? » Niels acquiesce lentement, comme déjà pénétré des vertus apaisantes de ce qu’il a entre les mains. « Alors avale. » « Mais ça va pas me brûler ?! » « Non, t’inquiètes. »
Haussant les épaules, Niels porte la feuille à ses lèvres et avale fumées et feux. Mais il ne prend pas feu comme il l’avait un peu redouté. Il semble que tout se glace à son contact. Mais ce n’est pas désagréable, c’est plutôt comme de l’eau fraiche qui descend dans tout son corps. Et… Rien. « Ben alors ? Rien ? Ça m’apprendra à t’écouter, mec. » « Attends, t’as les yeux qui deviennent rouges… »
Et le monde tout entier devient rouge. Incroyablement lumineux au milieu de la nuit, au milieu de la forêt à peine illuminée par le feu de camp. Tout est rouge comme le sang ou comme le feu. Mais Niels n’a pas peur. Car il est rouge lui aussi. Un peau-rouge. Un indien. Il se souvient de la peau rouge de son père. Il était un peu indien. Il ne voyait pas le monde comme les autres, les anglais. Il le voyait rouge peut-être. Comme Niels. Peut-être voyait-il les feux et les arbres et les visages entièrement rouges, entièrement baignés dans cette lumière rouge ? Il aimerait lui poser la question, mais il n’est pas là. Il est parti tous les jours un peu et totalement un beau jour qu'il avait neuf ans. C’est tout. Et il ne l’a pas regretté. Il l’aimait bien. Mais il ne voulait pas spécialement le revoir. Ce soir peut-être. Ce soir il voudrait lui poser cette simple question. Est-ce que tu voyais le monde en rouge, toi aussi ? Une main se pose sur son épaule, et s’enfuit au devant, invitant à la suivre, cette main qui vole et qui fuit. Oui je voyais tout en rouge. Ce superbe rouge. Je te voyais tout rouge. C’est la voix de son père, grave, très grave. Ce n’est pas son visage, par contre. C’est un visage déformé, un visage avec un masque. Un masque de tigre. Un tigre rouge. Il se souvient maintenant du tigre tatoué sur son bras, et des piqures plantées dans son bras. Il n’avait plus la poudre rouge, il devait trouver autre chose. Pauvre substitut que l’affreuse héroïne des nuits. Mais jamais, jamais je n’ai voulu que tu y touches à cette saloperie, cette saloperie qu’on fait dans des coins crasseux. Pas même à celle de ta mère.
Le rouge vire brusquement au jaune. Et tout, les flammes, les forêts, les visages même la main et le visage invisibles du père, deviennent jaunes. Ta mère était un peu frappadingue. Je savais pas ce qu’elle faisait avec tout ça, les crayons, les feuilles et la mescaline. De l’art. C’était de l’art il se souvient. C’était sublime il se souvient, les formes, les ronds, les visages qu’on voyait parfois entre les lignes. C’était sublime son visage, illuminé comme par le soleil tout entier quand sous ses doigts se dessinaient les lignes de la vie, de la mort et de l’amour. Il y avait tellement de soleil, tellement de lumière, comme ce soir au milieu de la forêt toute noire, à peine illuminée par les étoiles, et par les feux des hommes, ceux qu’ils font brûler dans le bois, et ceux qui brûlent dans leurs yeux. Il y avait de la lumière comme la fois où il a couru pour la première fois seul de l’autre côté de l’Atlantique, dans ce pays de soleil et de lumière où la nuit, les choses deviennent rouges, bleues et si belles. Il croit subitement qu’il pourrait s’élever, comme un ange, et voler jusqu’au soleil, jusqu’au sourire de sa mère, sa mère qu’il n’a pas vu depuis longtemps parce qu’il est parti visiter cette autre partie du monde. Ce soir elle est là, elle le regarde dans l’immense soleil, dans l’immense ciel jaune. Mais lui ne peut voler jusqu’à elle. Il n’a pas d’ailes. Les ailes sont à elle. Elle ne les lui a pas données. Il les a cherchées. Mais peut-être n’est-ce pas son destin de voler. Mais de courir.
Il lui prend de courir, courir très vite, et dans sa course tout le jaune glisse vers le bleu, les troncs des arbres, les feuilles qu’il fait bruisser sur son passage, le ciel et la lune. La main n’est plus là, elle s’est évanouie à côté du soleil. Le soleil non plus n’est plus là. Il n’y a plus que Niels, Niels et la course dans ses jambes. Lui qui a couru longtemps, dans tous les sens. Vers le toujours plus, de savoir, de poudre pour comme sa mère, peindre la magie de ses yeux, de gens à rencontrer aimer détester, de lieux à visiter à parcourir en courant. Courir, toujours courir. Mais pour aller où ? Il n’y a peut-être nulle part où aller après tout, juste à courir. Courir vers les gens, c’est ce qu’il a fait à Poudlard, vers le savoir, avide, insatiable, dans la maison Serdaigle, mais pas comme un aigle érudit qui sait réfléchir sur ce qu’il lit, engranger simplement, prendre toutes ces choses qu’il peut trouver. Travailler parfois. Mais seulement quand l’envie lui prenait de faire courir une plume sur un parchemin. Et puis courir vers les gens. A Poudlard. Puis les laisser courir vers lui. A Hungcalf. Laisser le charme et la magie opérer. Et puis courir encore un peu parfois. Ne pas rendre les devoirs comme il faut. Rater souvent ses examens. Et puis courir ailleurs. Essayer autre chose. Les Etats-Unis. Et puis tout rater ou tout réussir peut-être, là-bas, de l’autre côté du monde. Et atterrir dans cette forêt un soir, et prendre une substance étrange et voir toutes les couleurs dans le monde, et revoir les parents, et revoir la vie. Revoir le désastre, ou la réussite. Tout dépend de ce qu’on veut bien se dire. Un naufrage dans le bleu. Dans la mer belle, et agréable. Dans la mer agitée. La mer agitée qui le ballote, mais où il s’arrête, immobile, entre les arbres.
Il ne court plus, mais on court vers lui. C’est un animal. Un animal noir, sombre. Et la forêt derrière lui redevient sombre. Tout est noir. Sauf ses yeux d’argent. Il court vers Niels et Niels se baisse pour le caresser. Il a le pelage doux, une grande mâchoire, de grandes griffes. C’est un loup. Le loup le mord. Il n’a pas mal. Mais il saigne. D’un sang tour à tour rouge, puis jaune, puis bleu. Il court alors, court en se vidant de son sang, de ses couleurs primaires. Il court de plus en plus vite, et sans savoir où il va, retrouve la clairière avec le feu, et l’indien qui lui a donné cette étrange brillante et brûlante drogue. Il a un mouvement de recul en le voyant arriver, et Niels se rend compte qu’il est un loup.
Et puis il ne l’est plus. Lentement, il sent revenir la parole. Pas vraiment la raison, pas encore. « Wow, ton truc c’est… transcendant. » « Ouais c’est… transcendant comme tu dis. Enfin, t’es vraiment devenu un loup en plus. » « Hein quoi un loup ? Un loup-garou ? Oh merde… » « Mais non, tu t’es juste métamorphosé. Mais ça marche pas toujours, et c’est pas toujours la même chose. Avec moi souvent ça marche pas et j’me retrouve juste à délirer dans mon coin avec la fumée du feu. »
Niels, haletant, ne retrouve pas encore ses esprits, mais il peut sentir déjà que les effets de la substance se dissipent. « Enfin, le loup c’était flippant quand même. Mais ça doit être ton totem, en quelque sorte. » « Un totem ? La classe ! » Niels vient s’asseoir à côté de l’Indien, et le fixe vaguement, toujours aussi défoncé, mais incroyablement apaisé. « Allez je t’apprends à préparer ce truc. Mais n’en abuse pas. »
Ne pas en abuser ? Tu rigoles. Il a attendu ça toute sa vie Niels. La transcendance la vraie. Le monde ailleurs, au-delà de la réalité triste. Pas le monde des aliens, ou toutes ces bêtises, mais le monde caché entre les lignes de ce qu’on croit être le vrai monde. Oh bordel. C’est fou, vraiment complètement fou. Mais c’est génial. Génial d’être un peu fou. Les professeurs ne vont pas apprécier. Peut-être les autres non plus, lui qui était devenu le mystérieux, celui qui charme d’une œillade et après qui on doit courir. La fac va lui faire retaper son année. Tant pis. Il pense avoir trouvé quelque chose maintenant. Mais ce quelque chose où il mène ? A rien précisément. A rien, et à l’infini absolu. Absolue possibilité du tout, et du n’importe quoi.
Tout pourrait être comme ça. Encore. Et toujours. A jamais. A jamais le sourire de Léo quand elle passe juste devant lui, devant le regard échangé avec une future conquête depuis dix minutes et qu’en une seconde elle lui vole. A jamais le sourire si rare de Coco, quand il lui sort la blague du siècle – ou de la seconde, au moins. A jamais le sourire de sa petite sœur Charlie, quand elle le croise, ce sourire presque d’admiration totale d’une gamine pour son idole, mais ce sourire tellement adorable. Il aimerait les manger tous ces sourires. Mais on lui a dit de ne pas manger ses amis. Alors il les regarde. Il les photographie dans sa tête. Ou sur le papier parfois. Ou il les dessine. Il en fait de l’art, comme faisait sa mère. Il essaie. Mais il préfère regarder. Et répondre à Léo par un coup bas, puis finir la soirée en sirotant un mojito au clair de lune à discuter de tout de rien, et surtout de la façon dont brament les cerfs en rut. Regarder Coco et voir en lui les traits de la petite Charlie, qui n’est jamais loin, les voir se chamailler, les voir le regarder, lui parler de tout de rien, d’autres choses du monde. Des amis, beaucoup d’amis. Des amours, beaucoup d’amours, et pas beaucoup d’amour. Mais on avance. On cherche. On s’amuse. On oublie.
Tout pourrait être comme ça. Encore. Et toujours. A jamais.
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 16:51
Bienvenue au pays des pervers merveilles :brille:
Quel choix d'avatar orgasmique :baveuh: (l)
Quel choix d'avatar orgasmique :baveuh: (l)
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 17:03
Je suis mal placé pour dire que les Lufkin sont coincé alors bienvenuuue et choix orgasmique d'avatar au passage :brille:
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 17:32
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH mon Joseph :brille: :inlove:
Bienvenue et bon courage pour ta fiche :baveuh:
Bienvenue et bon courage pour ta fiche :baveuh:
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 17:33
Re-Bienvenue mon cher ! :D
Je te tiens au courant pour ta demande par MP (je n'ai pas oublié). Ha et le code est faux !
Je te tiens au courant pour ta demande par MP (je n'ai pas oublié). Ha et le code est faux !
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Jeu 11 Nov 2010 - 18:09
JGL bordel :baveuh: :inlove: :hysteric: :cracrac:
Il est juste orgasmique ! je le croise, je le viole ><
Bref bienvenue =)
Il est juste orgasmique ! je le croise, je le viole ><
Bref bienvenue =)
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Ven 12 Nov 2010 - 9:43
Welcome :D Enjoy!!
Comme toujours JGL comme avatar c'est juste trop :brille:
Hate de lire ta fiche!!!
Comme toujours JGL comme avatar c'est juste trop :brille:
Hate de lire ta fiche!!!
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Ven 12 Nov 2010 - 12:00
- J't'aurais bien fait le coup du "j'te croise j'te viole" mais Camille m'a devancée
Alors bienvenue, excellent choix d'avatar, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Ven 12 Nov 2010 - 17:34
J'imagine bien les tarées dans la rue
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Ven 12 Nov 2010 - 20:52
Merci merci tout le moooonde ! :brille: Je vous adore déjà <3
On veut me violer ? Mais mais j'ai rien fait...
...enfin, pas encore
(et charlie, amore de me vida (l) )
On veut me violer ? Mais mais j'ai rien fait...
...enfin, pas encore
(et charlie, amore de me vida (l) )
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Sam 13 Nov 2010 - 7:05
Bienvenue petit beau gosse =)
bon courage pour ta fiche (l)
bon courage pour ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Sam 13 Nov 2010 - 11:10
Bienvenue :D
Un choix orgasmique pour ton ava et un début de fiche qu'on a pas envie de lâcher!!! Ca se lit vraiment d'une traite! :brille:
Bon courage pour la suite :)
Un choix orgasmique pour ton ava et un début de fiche qu'on a pas envie de lâcher!!! Ca se lit vraiment d'une traite! :brille:
Bon courage pour la suite :)
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Dim 14 Nov 2010 - 0:36
Merci gentes damoiselles ! (l)
Et voila, j'ai fiiiiniiii ! :yata!:
(j'aime ces smileys hystériques *o*)
Et voila, j'ai fiiiiniiii ! :yata!:
(j'aime ces smileys hystériques *o*)
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Dim 14 Nov 2010 - 10:39
Psychédélique ta fiche, j'aime beaucoup ! Je ne connaissais pas l'échelle de Kinsey tiens :blunt:
bref, il va falloir que tu m'éclaires un peu, sur le passage du loup. J'ai beau lire, et relire, il y a quelque chose qui m'échappe parce que ce n'est pas très clair (et vu le contexte de la situation, j'ai envie de dire : c'est normal ) : mais cette histoire de métamorphose, c'est métaphorique ou bien réel ?
bref, il va falloir que tu m'éclaires un peu, sur le passage du loup. J'ai beau lire, et relire, il y a quelque chose qui m'échappe parce que ce n'est pas très clair (et vu le contexte de la situation, j'ai envie de dire : c'est normal ) : mais cette histoire de métamorphose, c'est métaphorique ou bien réel ?
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Dim 14 Nov 2010 - 11:08
Merci, je doutais que ça passe un truc aussi allumé ^^' mon cerveau s'était enfui un instant
Et puis l'échelle de Kinsey, j'ai connu ça par Kaboom, film disjoncté, qui m'a fait disjoncter :yata!:
Et puis sinon pour le loup, c'est vrai que je voulais laisser une part de mystère... mais en fait c'est plutôt dans son délire, et dans une hallucination partagé avec l'autre type du fait des vapeurs, où il se sent vraiment loup, mais après je pense que ça pourrait vraiment marcher une fois ou deux, mais très fugacement, dans le genre d'un entrainement à devenir animagus. (j'ai l'impression de ré-embrouiller le tout... ça m'apprendra à trop fumer ! :smoke: )
Et puis l'échelle de Kinsey, j'ai connu ça par Kaboom, film disjoncté, qui m'a fait disjoncter :yata!:
Et puis sinon pour le loup, c'est vrai que je voulais laisser une part de mystère... mais en fait c'est plutôt dans son délire, et dans une hallucination partagé avec l'autre type du fait des vapeurs, où il se sent vraiment loup, mais après je pense que ça pourrait vraiment marcher une fois ou deux, mais très fugacement, dans le genre d'un entrainement à devenir animagus. (j'ai l'impression de ré-embrouiller le tout... ça m'apprendra à trop fumer ! :smoke: )
- InvitéInvité
Re: NIELS ♦ take a walk on the wild side !
Dim 14 Nov 2010 - 11:28
ok c'était pour être certaine, merci pour ta lumière (a)
je te valide, n'oublie pas de réserver ton avatar, bon jeu !
je te valide, n'oublie pas de réserver ton avatar, bon jeu !
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