- InvitéInvité
BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:28
✤ Wright Salut !!! Moi c'est Campbell Balthazar Walden , j'ai dix neuf années , et je suis d'origine britannique . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle et oui dommage pour toi, mais aussi fiancée mais ceci est une autre histoire mon enfant et issu d'une famille de sorciers au sang-pur. A Hungcalf, j'ai choisi études des runes & métamorphose , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de frêne, ventricule de coeur de dragon & mesurant trente et un centimètres et avec, je suis capable de réaliser un patronus prenant la forme d'une hulotte peu commun mais on s'y fait très rapidement. avatar by psychozee. |
✎...TON PSEUDO
Dans la vraie vie, j'ai l'age de boire et voter . J'ai connu ce magnifique forum grâce au faite que je sois une revenante parmi d'autres. Non j'étais ancienne Velvet et je ferais de mon mieux pour être là 4 ou 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que bravo aux membres du staff (l) . code règlement :
|
icônes by .... ?
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:28
CHAPTER ONE ✎
silence, silence and take a breath.
La lune s’est éteinte, comme la brume s’estompe en temps orageux. La source de ma pensée me conduit tout droit vers la déchéance illusoire de mes rêves, que je voile par cauchemars. Et ces derniers m’accablent, un à un, pas après pas, jour après jour, nuit après nuit. Affublé de meurtrissures, de doutes, de craintes, et de tristesses à toujours été le centre de la cadence humaine et nous demeurons au fond de nous, tous les mêmes. Mes angoisses ne se lisent guère sur mes traits de fière sorcière, car cela me regarde. La vie est courte et contraire à l’intrigue du long fleuve tranquille, rien n’est rose et rien n’est beau. Certains vous diront avec conviction que l’existence est la plus lassante des histoires humaines, d’autres vous certifierons sur la réalité de « Dieu », que la vie est bénit dès votre naissance des bienfaits éternels; tandis que les autres errent en silences, en frivolités, en ambiances et en caprices dans leur vie unique. Cependant sur le chemin du cycle existentiel nous sommes pareils - ou presque -. Une généralité ne banalise pas pour autant un cas, et un cas ne généralise pas forcement une généralité. L’un ne va pas sans l’autre, un peu à l’instar de la vie et de la mort. Deux termes simples à dire mais si difficile à vivre ou bien à revivre, mais qui pourtant vous apporte toute la force nécessaire pour survivre l’épreuve heureuse, mélodieuse, tragique et parfois accablante de la vie qui nous est offert. A quoi bon chercher la fuite en mourant ? A quoi bon vouloir périr alors que le dieu des enfers ne vous veut guère dans son antre d’accalmie et d’errance machiavélique ? Nous n’y sommes pour rien, car seul le hasard tranche pour un homme, et seul l’homme peut décider face au hasard que ce soit d’une situation, d’un fait ou encore d’une rencontre. Une fois venu au monde, l’humain est déjà prédestiné à mourir. Et une fois l’autre rive traversée, nous connaissons enfin la paix intérieur de l’âme, celle que nous attentions tous au plus profond de notre conscience. Platon m’appuie sur mes dires, et ce philosophe est certainement des plus rationnels pour que je vous explique cela. Ma conscience se fait violence contre ma raison, et ma raison lutte un combat sans merci face à mes envies. Ces dernières se traduisent par mon comportement insaisissable et changeant, car lire en moi comme dans un livre ouvert est impossible. Les murmures de l’école vous diront que je possède un sixième sens, ils ont tord tout simplement.. Mon regard perçoit ce que l’œil simple en lui-même ne peut voir, mais cette caractéristique s’en vient et s’en va telle une mélodie en fond sonore lors des festivités annuelles. En somme je ne contrôle guère ma mémoire car elle seule semble me faire défaut. Autrefois, lors de la période antique, les hommes vénéraient la déesse - Rhéa - maternelle de Zeus pour ses forces naturelles, et son échange sauvage avec les animaux. Aujourd’hui à son image je demeure une énigme pour les autres, tout en essayant de trouver de l’espoir dans les contrées encore inconnues de la vie.
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:28
CHAPTER TWO ✎
don't be a stranger.
flash back
Hiver 2004
Vingt cinq décembre,
Demeure familiale des Walden.
Tête haute ou tête basse, l’avenir est toujours tourné droit devant nous, devant vous. Oublier le déjà vécu pour ne plus souffrir peut paraitre une excellente idée, mais à la fin on se rend vite compte que le proverbe « reculer pour mieux sauter » se met très vite en place et prend enfin du sens. Rien ne sert de mettre un voile sur ses parcelles de souvenirs les plus douloureuses comme infiniment dures, car elles apparaissent très vite lointaines et paisible pour les yeux. La patience étant vertu, la musique adoucissant les mœurs, on ne peut croire en ces apaisements que forment ces accords musicaux doux et facétieux pour une fine partition de musique classique. Le brouillard ne cessait de s’épaissir au fur et a mesure des minutes qui défilaient sur l’énorme horloge en bois massif qui trônait sur l’estrade de la salle à manger du petit salon. Les carreaux des fenêtres étaient froids et transparentes et dessus gisait encore les traces de doigts des enfants que la brume avait figés de concert avec la froideur hivernale. La pièce était immense et le décor digne d’un panthéon grec était sublime et imaginatif. Seul le souffle unique d’individu se faisait encore entendre à cette heure tardive de la soirée de noël. Qui pouvait bien encore siégeait ici, alors que tout était désert en ce jour de festivité collective et familiale ? La réponse ne se mouvait guère depuis ces dernières années, années où la jeune Walden venait sans modération jouer de la musique. Une mélodie qu’avait parcourut ses nuits d’insomnies, ses peurs antérieures, ses représentations musicales d’adolescente, ses jours d’ennuis et de mélancolies, et surtout l’imagination de la maitresse de son savoir, celui qui l’avait abandonnée à contre cœur - elle et leur amitié - , pour un pays idyllique et beaucoup plus léger. La légèreté de la plume du « jugement dernier », Campbell n’y croyait pas tellement et préférait laisser cela à des hommes d’Eglise qui sans cesse prêchaient le faux pour savoir le vrai, comme si l’existence humaine était une question d’intérêt personnel. Quelques parts la vie était un jeu, un jeu nocif et cruel qui agissait sans prévenir. Prévenir ? La blonde aux reflets d’or en avait grandement l’habitude avec ses liens fraternels, mais encore le mot était faible car ces derniers adoraient de loin laisser le hasard agir.
Adepte du mot hasard, Campbell aimait le mentionner autant de fois que possible à ses pensées colériques et optimistes, qui sans grandes surprises poursuivaient leur ascension vers la voix irrévocable de la réprobation parentale et du plaisir de rire. Installée derrière l’instrument à cordes frappées qu’offrait le salon de la grande demeure familiale, la jeune femme à l’allure d’Aphrodite frôla de ses doigts fins et blancs le clavier aux couleurs ivoire et ébène. Ses mains prirent alors possession des touches et la vitesse de ses doigts se rythmait à la chorégraphie de la partition qu’il était en train de jouer. D’abord des sons lourds en gravité puis de simples notes qui rendaient la composition plus fluide et mélodique. Son regard améthyste vrillait sur les touches du piano à queue et il ne vacillait aucunement avec le temps. Le silence se rompait petit à petit au profit de l’art des notes musicales, les quelques chandeliers de cristaux qui gisaient au plafond se mêlaient eux aussi à la danse des sons que produisait la virtuose. Cristallin pour doux méandre, la muse abordait toujours un visage fermé et glacé, comme si elle l’avait été sculptée dans du marbre ou bien de la porcelaine. Les douze coups de minuit vinrent sortir la musicienne de son mutisme et c’est en soupirant qu‘elle entendit la voix enjouée et quotidienne de son père. « Campbell ? Campbell ?! Ou est que tu es encore ? ». Une fois de plus sa voix raisonnée la lassitude de toujours devoir chercher l‘une de ses filles - en l’occurrence sa cadette - et sans surprise cette ambiance se reportait toujours sur elle, la pièce rajoutée de la famille - comme elle le pensait très souvent -. Une pensée fortement erronée mais dont elle n’avait pas trouvée la preuve de l’erreur. Délaissant le clavier du piano, la mystérieuse souffla et reporta ses prunelles intenses sur la présence d’Amos - son père - tout en le toisant d’une moue neutre bien qu’expressivement interrogatrice. « Je te cherchais, les membres de la famille s’inquiètent ! Mais te trouver ici ne m’étonne guère vraiment. ». Un sourire sincère se dessinait dès lors sur la bouche de la figure tolérante de la famille Walden. Ce dernier pris place à son coté sur le siège de velours. L’adolescente quand à elle se contenta d’esquissait un maigre sourire, peu sur de la tournure que prendrait leur discussion. Après un léger moment de silence, la quiétude des paroles reprit le dessus et le sorcier reprit. « J’aimerai que tu m’expliques pourquoi tu ne cesse d‘enfreindre le règlement ? Tu as un potentiel extraordinaire et tu te complains à te bornée dans la témérité sans limite ! Tu pourrais m’éclairer ? ». Ses énumérations de questions n’était pas acerbes ou encore amplis d’une quelconque méchanceté, mais elles sous entendaient des réponses propices et véridiques. Respirant avidement, elle répondit avec un aplomb sans pareil. « Je ne veux pas que l’on me reconnaisse en tant que fille d’un Walden, vous comprenez ? C’est dans ma nature d’être naturelle et téméraire sans me poser de questions tout en vivant au jour le jour. ». « Tu es extrêmement silencieuse aussi jeune demoiselle, et ingénieuse, mais aussi facétieuse que téméraire. ». Son interlocuteur se mit à rire certainement en repensant à ses propres années de malices au sein des nombreux corridors de Hungcalf. « Tu sais combien je noue toute ma confiance en ta personne ? Et combien tu me rend fier en tout point Campbell ... ». La dernière de la famille fronça légèrement les sourcils attendant avec patience les dires que son père allait lui imposer encore une fois. Elle avait grandement conscience que son paternel avait les pleins pouvoir sur la famille, et il lui tardait réellement de partir sous des vents plus favorables. Les vents sous lesquels elle vivait actuellement égalait certainement ceux de Verlaine ni plus ni moins, mais comme d’habitude elle passait ses pensées intérieurs sous silence. Raclant sa gorge pour ramener leurs deux esprits sur la conversation actuelle, l’auror soupira et poursuivit d’une voix amusée. « Garde bien à l’esprit que je suis fier de toi ma chérie, peut importe ce que l’avenir t’apportera. ». Doucement mais surement la blondinette de treize année de l’époque mêlait à son tour ses rigolades a celles de son père, et pour la première fois depuis longtemps, père et fille devenaient unis sur une seule et même longueur d’onde.
Vingt cinq décembre,
Demeure familiale des Walden.
Tête haute ou tête basse, l’avenir est toujours tourné droit devant nous, devant vous. Oublier le déjà vécu pour ne plus souffrir peut paraitre une excellente idée, mais à la fin on se rend vite compte que le proverbe « reculer pour mieux sauter » se met très vite en place et prend enfin du sens. Rien ne sert de mettre un voile sur ses parcelles de souvenirs les plus douloureuses comme infiniment dures, car elles apparaissent très vite lointaines et paisible pour les yeux. La patience étant vertu, la musique adoucissant les mœurs, on ne peut croire en ces apaisements que forment ces accords musicaux doux et facétieux pour une fine partition de musique classique. Le brouillard ne cessait de s’épaissir au fur et a mesure des minutes qui défilaient sur l’énorme horloge en bois massif qui trônait sur l’estrade de la salle à manger du petit salon. Les carreaux des fenêtres étaient froids et transparentes et dessus gisait encore les traces de doigts des enfants que la brume avait figés de concert avec la froideur hivernale. La pièce était immense et le décor digne d’un panthéon grec était sublime et imaginatif. Seul le souffle unique d’individu se faisait encore entendre à cette heure tardive de la soirée de noël. Qui pouvait bien encore siégeait ici, alors que tout était désert en ce jour de festivité collective et familiale ? La réponse ne se mouvait guère depuis ces dernières années, années où la jeune Walden venait sans modération jouer de la musique. Une mélodie qu’avait parcourut ses nuits d’insomnies, ses peurs antérieures, ses représentations musicales d’adolescente, ses jours d’ennuis et de mélancolies, et surtout l’imagination de la maitresse de son savoir, celui qui l’avait abandonnée à contre cœur - elle et leur amitié - , pour un pays idyllique et beaucoup plus léger. La légèreté de la plume du « jugement dernier », Campbell n’y croyait pas tellement et préférait laisser cela à des hommes d’Eglise qui sans cesse prêchaient le faux pour savoir le vrai, comme si l’existence humaine était une question d’intérêt personnel. Quelques parts la vie était un jeu, un jeu nocif et cruel qui agissait sans prévenir. Prévenir ? La blonde aux reflets d’or en avait grandement l’habitude avec ses liens fraternels, mais encore le mot était faible car ces derniers adoraient de loin laisser le hasard agir.
Adepte du mot hasard, Campbell aimait le mentionner autant de fois que possible à ses pensées colériques et optimistes, qui sans grandes surprises poursuivaient leur ascension vers la voix irrévocable de la réprobation parentale et du plaisir de rire. Installée derrière l’instrument à cordes frappées qu’offrait le salon de la grande demeure familiale, la jeune femme à l’allure d’Aphrodite frôla de ses doigts fins et blancs le clavier aux couleurs ivoire et ébène. Ses mains prirent alors possession des touches et la vitesse de ses doigts se rythmait à la chorégraphie de la partition qu’il était en train de jouer. D’abord des sons lourds en gravité puis de simples notes qui rendaient la composition plus fluide et mélodique. Son regard améthyste vrillait sur les touches du piano à queue et il ne vacillait aucunement avec le temps. Le silence se rompait petit à petit au profit de l’art des notes musicales, les quelques chandeliers de cristaux qui gisaient au plafond se mêlaient eux aussi à la danse des sons que produisait la virtuose. Cristallin pour doux méandre, la muse abordait toujours un visage fermé et glacé, comme si elle l’avait été sculptée dans du marbre ou bien de la porcelaine. Les douze coups de minuit vinrent sortir la musicienne de son mutisme et c’est en soupirant qu‘elle entendit la voix enjouée et quotidienne de son père. « Campbell ? Campbell ?! Ou est que tu es encore ? ». Une fois de plus sa voix raisonnée la lassitude de toujours devoir chercher l‘une de ses filles - en l’occurrence sa cadette - et sans surprise cette ambiance se reportait toujours sur elle, la pièce rajoutée de la famille - comme elle le pensait très souvent -. Une pensée fortement erronée mais dont elle n’avait pas trouvée la preuve de l’erreur. Délaissant le clavier du piano, la mystérieuse souffla et reporta ses prunelles intenses sur la présence d’Amos - son père - tout en le toisant d’une moue neutre bien qu’expressivement interrogatrice. « Je te cherchais, les membres de la famille s’inquiètent ! Mais te trouver ici ne m’étonne guère vraiment. ». Un sourire sincère se dessinait dès lors sur la bouche de la figure tolérante de la famille Walden. Ce dernier pris place à son coté sur le siège de velours. L’adolescente quand à elle se contenta d’esquissait un maigre sourire, peu sur de la tournure que prendrait leur discussion. Après un léger moment de silence, la quiétude des paroles reprit le dessus et le sorcier reprit. « J’aimerai que tu m’expliques pourquoi tu ne cesse d‘enfreindre le règlement ? Tu as un potentiel extraordinaire et tu te complains à te bornée dans la témérité sans limite ! Tu pourrais m’éclairer ? ». Ses énumérations de questions n’était pas acerbes ou encore amplis d’une quelconque méchanceté, mais elles sous entendaient des réponses propices et véridiques. Respirant avidement, elle répondit avec un aplomb sans pareil. « Je ne veux pas que l’on me reconnaisse en tant que fille d’un Walden, vous comprenez ? C’est dans ma nature d’être naturelle et téméraire sans me poser de questions tout en vivant au jour le jour. ». « Tu es extrêmement silencieuse aussi jeune demoiselle, et ingénieuse, mais aussi facétieuse que téméraire. ». Son interlocuteur se mit à rire certainement en repensant à ses propres années de malices au sein des nombreux corridors de Hungcalf. « Tu sais combien je noue toute ma confiance en ta personne ? Et combien tu me rend fier en tout point Campbell ... ». La dernière de la famille fronça légèrement les sourcils attendant avec patience les dires que son père allait lui imposer encore une fois. Elle avait grandement conscience que son paternel avait les pleins pouvoir sur la famille, et il lui tardait réellement de partir sous des vents plus favorables. Les vents sous lesquels elle vivait actuellement égalait certainement ceux de Verlaine ni plus ni moins, mais comme d’habitude elle passait ses pensées intérieurs sous silence. Raclant sa gorge pour ramener leurs deux esprits sur la conversation actuelle, l’auror soupira et poursuivit d’une voix amusée. « Garde bien à l’esprit que je suis fier de toi ma chérie, peut importe ce que l’avenir t’apportera. ». Doucement mais surement la blondinette de treize année de l’époque mêlait à son tour ses rigolades a celles de son père, et pour la première fois depuis longtemps, père et fille devenaient unis sur une seule et même longueur d’onde.
flash back end.
D’un sommeil léger elle dormait désormais. Les parlements de ses condisciples empiétaient sur son silence qui se voulait songeur encore somnolent. Un coup de coude la sortie de son imaginaire rêveur quand bien même sa voisine de siège n’y prête aucune attention. « Walden ! Oh il a été tout bonnement génial lors du match vraiment en tant qu’attrapeur il assure ! C’est héréditaire chez les garçons de cette famille je crois bien ! ». « Oui, entre un grand père excellent, un père étonnant cela ne me surprend pas vraiment que la famille excelle dans tous les domaines ! ». Encore une fois les dires allaient aussi vite que l’ombre de Lucky Luke. Jamais elle ne pourrait se défaire de cette image. Bon sang. Erreur. Elle faisait honte de sa manière d’être à la lumière. Oui, son paternel avait raison les qualités qu’elle cachait aux autres, qu’elle mettait dans l’ombre reflétait une partie de sa différence. « Vous vivez toujours sur les exploits du passé. ». Se redressant au fond du canapé, Campbell ne surpris personne en disant ce qu’elle pensait, et ses amis quotidien lui emboitèrent le pas en ce concernait une opinion propre. « Oui c’est vrai, mais ce que vous êtes tous doués dans ta famille ! ». Secouant la tête d’un mouvement amusé, la muse ne put s’empêcher de réprimer un énième rire, et ses amis la rejoignirent comme si cela était contagieux. « Un petit duel ça vous tente ? ». « Je relève le challenge ! ». Haussant les sourcils, une expression de défi affichée sur sa frimousse, Bells transmettait de nouveau son aplomb au reste du monde, elle était une énigme, une véritable petite source d’audace qui pouvait en prendre plus d’un au dépourvu.CHAPTER THREE ✎
you are my playground love.
« Tu es à moi Bells, plus que tu ne peux l’imaginer. Je veux encore de ta personne … ». Sa voix suave parcourait encore le fond de sa conscience et ne cessait d’embrumer son esprit vers d’autres horizons, des contrées qu’elle avait occultées depuis son accident, celui qui à jamais semblait avoir transformé tout son être. Son chanteur de conscience avait disparu, son meilleur ami n’était plus, et rien que pour cela elle ne désirait qu’une seule chose, se mouvoir dans la poussière d’ange pour ne plus jamais renaitre de ses particules de cendres. La nuit avait pris possession du ciel, et le vent hivernal venait doucement mais certainement jouer dans ses cheveux d’un blond vénitien alors qu’elle observait depuis la petite colline le large étang du domaine magique. La douce présentait un visage impassible et pourtant si versatile qu’il était impossible de la comprendre à livre ouvert. Les vestiges d'Ephram demeuraient bien trop récents pour que le trou béant encré au fond de sa poitrine s’apaise en cet instant si douloureux, mais encore une fois aucune souffrance ne se lisait sur son visage. La passion, l’existence approuvée, la douceur rêvée, le partage réciproque, l’amour et la patience étaient toutes des vertus recommandées si vous désiriez absolument vivre aux bons soins d’une lumière un peu saine et équilibrée. La méfiance, le mouvement cartésien, le doute, l’aliénation d’un fatalisme demeuraient bel et bien des caractéristiques nécessaires pour vivre au sein de l’ombre. L’obscurité avait toujours été le bien fondé à l’intérieur duquel la mystérieuse muse avait toujours tiré sa révérence que cela soit dans sa vie antérieure ou bien en ce moment même - en d’autres termes celui de son enfance -. Elle aimait à penser que rien ne venait par l’apposition directe du destin lui-même qui se fondait sur les croyances bibliques d’un jour ou non. Un être humain dépourvu d’une âme ne pouvait que rejoindre les portes d’un Enfer dont le gardien éternel lui ouvrirait dignement le chemin du buché. Malheureusement les thèses contradictoires se voulaient pieuses et véridiques à un tel point parfois, qu’il en était difficile d’extraire de l’essence en matière de croyance et d’espoir. La lumière et l’ombre était à l’instar de la vie et la mort, deux termes intrinsèquement liés que l’on soit d’accord avec cette pensée ou non. La nuit était bien la continuité toute simple du jour et ainsi de suite comme l'expression simpliste " ainsi va la vie ". Peut être que l’existence d’un individu paumé n’était pas si fortuite après tout ? Peut être que l’opposé de votre « vous » intérieur pouvait vous donnez un sens, un but ultime à votre inconstance naturelle et peut être même que le sentiment amoureux pouvait inverser la donne, et la tendance aux questions existentielles qui tendaient à vous faire croire tout le contraire ? On a tous dans le cœur une pointe d’amertume, une douceur douloureuse qui nous rappelle à l’ordre, face au poids que portent les erreurs lourdes. Certains se souviennent combien une personne a comptée à notre cœur, un cœur qui peut disparaitre du jour au lendemain telle que la personne pour laquelle vous auriez tout donné. Cette sensation l’audacieuse l’avait déjà connue et ceux à de nombreuses reprises qui selon elles devenaient bien trop redondantes à son gout. Perdre son meilleur ami tuait un peu plus sa mémoire, car lui seule gardait au creux de ses mains les souvenirs d’antan qu’ils avaient partagés.
Fermant ses prunelles d’écorce l’espace de quelques minutes, Campbell respira enfin une bouffée de bien être pour pouvoir enfin se concentré sur ce qui restait de sa mémoire. C’est alors que dans un mouvement délicat, elle sentit la prestance sensuelle et préméditée de Castiel se rapprocher un peu plus de son corps. Ses lèvres venant embrasser tendrement son oreille puis sa clavicule en descendant doucement vers son cou. « Tu es encore en train de rêvasser ma belle, j’aimerai moi aussi faire parti de tes songes … ». Le jeune sorcier déposa dès lors ses mains autour de la fine taille de sa camarade et la berça avec une douceur calculée. Cette dernière toujours les yeux clos, oublia avec brio les paroles qu’avait prononcé Castiel, une faculté qu’elle avait toujours eu sans le moindre problème, une action que le brun aux nombreux reflets de jais avait cependant remarqué. A pas feutrés, l’ange rigolard contourna le corps sans défaut de sa proie de manière à ce que son visage demeure en parallèle au sien. Dès lors, la mystérieuse sentit le souffle saccadé du pauvre sorcier qui pensait encore lire en elle à sa guise, mais ce soir elle n’en ferait rien du moins pas encore. Rouvrant les prunelles avec une expression de vide sans faille, elle se rapprocha encore un peu plus de lui. « Pourquoi en faire partit Castiel ? Donne-moi une seule bonne raison pour te laisser accéder à tes désirs intérieurs ? ». Sa voix digne d’un vent sibérien, permit à son interlocuteur d’être l’auteur d’un sourire ironique aux commissures de ses lèvres. Le britannique saisit doucement les mains de la blondinette et vint brutalement chercher les douces lèvres de celle qu’il convoitait depuis un certain déjà. Leur échange ne dura qu’un bref instant puisqu’elle mit un terme à leur baiser sans détour bien qu’avec une certaine prévenance. Son regard clair brillait dans la faible lumière qu’offraient les petites lumières du parc. « C'est juste un jeu et rien de plus. Je joue avec toi Castiel, comme autrefois tu as joué avec lui. Ephram était ton propre frère, vous partagiez le même sang mais guère la même vision de l’existence. ». Elle recula de quelques pas et s’apprêtait à quitter les lieux lorsque la voix coutumière du frère ainé du défunt retentit tel un requiem pour l’espérance au sein de la nuit obscure. « Tu fais peut être erreur sur lui comme sur moi Bells. ». Sa voix dure comme du marbre avait toujours proféré des mensonges et de la rancœur à l’état pur, et son assertion des plus acerbes annonçait d’hors et déjà la haine de son futur venin. Il effectua de nouveau quelques pas en direction de la jeune fille, venant une énième fois coller sa bouche à son oreille gauche. « Je n’en aurais jamais finis avec toi, tu hantes mes pensées et je compte bien découvrir pourquoi, ton amnésie ne sera pas toujours partielle mon ange … ». Elle soupira avec une lassitude à peine audible, laissant le vent jouer de sa musique au gré des dernières feuilles d’automne.
Fermant ses prunelles d’écorce l’espace de quelques minutes, Campbell respira enfin une bouffée de bien être pour pouvoir enfin se concentré sur ce qui restait de sa mémoire. C’est alors que dans un mouvement délicat, elle sentit la prestance sensuelle et préméditée de Castiel se rapprocher un peu plus de son corps. Ses lèvres venant embrasser tendrement son oreille puis sa clavicule en descendant doucement vers son cou. « Tu es encore en train de rêvasser ma belle, j’aimerai moi aussi faire parti de tes songes … ». Le jeune sorcier déposa dès lors ses mains autour de la fine taille de sa camarade et la berça avec une douceur calculée. Cette dernière toujours les yeux clos, oublia avec brio les paroles qu’avait prononcé Castiel, une faculté qu’elle avait toujours eu sans le moindre problème, une action que le brun aux nombreux reflets de jais avait cependant remarqué. A pas feutrés, l’ange rigolard contourna le corps sans défaut de sa proie de manière à ce que son visage demeure en parallèle au sien. Dès lors, la mystérieuse sentit le souffle saccadé du pauvre sorcier qui pensait encore lire en elle à sa guise, mais ce soir elle n’en ferait rien du moins pas encore. Rouvrant les prunelles avec une expression de vide sans faille, elle se rapprocha encore un peu plus de lui. « Pourquoi en faire partit Castiel ? Donne-moi une seule bonne raison pour te laisser accéder à tes désirs intérieurs ? ». Sa voix digne d’un vent sibérien, permit à son interlocuteur d’être l’auteur d’un sourire ironique aux commissures de ses lèvres. Le britannique saisit doucement les mains de la blondinette et vint brutalement chercher les douces lèvres de celle qu’il convoitait depuis un certain déjà. Leur échange ne dura qu’un bref instant puisqu’elle mit un terme à leur baiser sans détour bien qu’avec une certaine prévenance. Son regard clair brillait dans la faible lumière qu’offraient les petites lumières du parc. « C'est juste un jeu et rien de plus. Je joue avec toi Castiel, comme autrefois tu as joué avec lui. Ephram était ton propre frère, vous partagiez le même sang mais guère la même vision de l’existence. ». Elle recula de quelques pas et s’apprêtait à quitter les lieux lorsque la voix coutumière du frère ainé du défunt retentit tel un requiem pour l’espérance au sein de la nuit obscure. « Tu fais peut être erreur sur lui comme sur moi Bells. ». Sa voix dure comme du marbre avait toujours proféré des mensonges et de la rancœur à l’état pur, et son assertion des plus acerbes annonçait d’hors et déjà la haine de son futur venin. Il effectua de nouveau quelques pas en direction de la jeune fille, venant une énième fois coller sa bouche à son oreille gauche. « Je n’en aurais jamais finis avec toi, tu hantes mes pensées et je compte bien découvrir pourquoi, ton amnésie ne sera pas toujours partielle mon ange … ». Elle soupira avec une lassitude à peine audible, laissant le vent jouer de sa musique au gré des dernières feuilles d’automne.
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:29
CHAPTER FOUR ✎
terrible child wild child, full of grace.
Lettre à Ephram,
Autrefois alors que le temps était monotone au dehors, et que les arbres couverts de mousse verte épousaient à merveille les gouttelettes d’eau de la pluie tombée, et que le froid d’hiver régnait en maitre sur la nature, ta présence me faisait tout oublier de la déchéance naturelle. Mains autour de ma taille, tête au creux de tes bras, genoux serrés contre ma poitrine, prunelles rivaient sur l’horizon des nuages, nous nous promettions de toujours être là, l’un pour l’autre en tant qu’amis comme les frères et sœurs que nous n’étions pas. La brise glaciale d’un vent de Verlaine vint alors se jetait dans ma chevelure d’un blond rebelle que tu ne cessais de toucher parce qu’elle avait un parfum de cannelle, une senteur qui s’occulte facilement avec le temps. A l’image d’une valse à trois temps, j’essaie de me remettre en mémoire les nombreuses promesses que nous avons dérobées au pouvoir de l’existence humaine. Toutes ses fois où notre tandem à fait rugir ce pauvre et malheureux professeur de potions, celui qui ne cessait de te taper sur la tête avec son livre miteux et poussiéreux ou encore de la sortie tardive pour fêter notre victoire au quidditch ! Cette soirée avait été drôle car nous avions essuyés une belle punition pour avoir désobéit au règlement. Je rigole encore de cette soirée folle et amusante au possible, la dernière avant ta disparition soudaine et sans nouvelles.
Ne plus te voir ne satisfait pas ma conscience, et la sentence du coupable de ta montée aux cieux - dont je crois guère la subsistance - n’apaise pas le moins du monde les nombreux maux qui font de l’ombre au vestige de notre passé commun. Tu sais combien j’aime le hasard et son sens de l’aventure, mais savoir ton souvenir loin de moi, loin de mes pensées me rend réticente face à la croyance pure et simple de ton souvenir. Je suis une piètre amie pour tenir de tels propos, pour autant je devine pour croire, et tout en continuant de te deviner je ne te vois toujours pas. La mort semble dure, lente mais salutaire à celui qui semble la vivre, du moins c’est ce qu’en rapporte certains auteurs, certains philosophes. Toi et moi étions un puzzle de malice, de conneries et d’audace ; et ces morceaux de puzzle constituent nos vestiges antérieurs communs.
Le sourire ambiguë aux coins des lèvres j’espère encore pouvoir saluer et honorer ta mémoire, du moins je le fais de mon mieux. En ce mois de février, je t’écris de nouveau une lettre comme si rien n’avait changé à nos habitudes coutumières. Mes yeux scrutent toujours un horizon bondé de nuages aux couleurs cotonneuses et claires, mais c’est seul, dos calé à un arbre centenaire que repose mon corps qui se gèle au fur et à mesure des minutes. Les bourrasques excessives du froid me picorent les joues en ce moment précis où je couche sur papier mes pensées personnelles. Je vais devoir mettre fin à l’encre qui coule de ma plume pour ce jour. Infiniment amis. Infiniment liés. Infiniment nous. Infiniment nous liés à l’amitié. Je t’adorais au passé, je t’adore au présent, je t’adorerai dans un futur idyllique.
Campbell.
Autrefois alors que le temps était monotone au dehors, et que les arbres couverts de mousse verte épousaient à merveille les gouttelettes d’eau de la pluie tombée, et que le froid d’hiver régnait en maitre sur la nature, ta présence me faisait tout oublier de la déchéance naturelle. Mains autour de ma taille, tête au creux de tes bras, genoux serrés contre ma poitrine, prunelles rivaient sur l’horizon des nuages, nous nous promettions de toujours être là, l’un pour l’autre en tant qu’amis comme les frères et sœurs que nous n’étions pas. La brise glaciale d’un vent de Verlaine vint alors se jetait dans ma chevelure d’un blond rebelle que tu ne cessais de toucher parce qu’elle avait un parfum de cannelle, une senteur qui s’occulte facilement avec le temps. A l’image d’une valse à trois temps, j’essaie de me remettre en mémoire les nombreuses promesses que nous avons dérobées au pouvoir de l’existence humaine. Toutes ses fois où notre tandem à fait rugir ce pauvre et malheureux professeur de potions, celui qui ne cessait de te taper sur la tête avec son livre miteux et poussiéreux ou encore de la sortie tardive pour fêter notre victoire au quidditch ! Cette soirée avait été drôle car nous avions essuyés une belle punition pour avoir désobéit au règlement. Je rigole encore de cette soirée folle et amusante au possible, la dernière avant ta disparition soudaine et sans nouvelles.
Ne plus te voir ne satisfait pas ma conscience, et la sentence du coupable de ta montée aux cieux - dont je crois guère la subsistance - n’apaise pas le moins du monde les nombreux maux qui font de l’ombre au vestige de notre passé commun. Tu sais combien j’aime le hasard et son sens de l’aventure, mais savoir ton souvenir loin de moi, loin de mes pensées me rend réticente face à la croyance pure et simple de ton souvenir. Je suis une piètre amie pour tenir de tels propos, pour autant je devine pour croire, et tout en continuant de te deviner je ne te vois toujours pas. La mort semble dure, lente mais salutaire à celui qui semble la vivre, du moins c’est ce qu’en rapporte certains auteurs, certains philosophes. Toi et moi étions un puzzle de malice, de conneries et d’audace ; et ces morceaux de puzzle constituent nos vestiges antérieurs communs.
Le sourire ambiguë aux coins des lèvres j’espère encore pouvoir saluer et honorer ta mémoire, du moins je le fais de mon mieux. En ce mois de février, je t’écris de nouveau une lettre comme si rien n’avait changé à nos habitudes coutumières. Mes yeux scrutent toujours un horizon bondé de nuages aux couleurs cotonneuses et claires, mais c’est seul, dos calé à un arbre centenaire que repose mon corps qui se gèle au fur et à mesure des minutes. Les bourrasques excessives du froid me picorent les joues en ce moment précis où je couche sur papier mes pensées personnelles. Je vais devoir mettre fin à l’encre qui coule de ma plume pour ce jour. Infiniment amis. Infiniment liés. Infiniment nous. Infiniment nous liés à l’amitié. Je t’adorais au passé, je t’adore au présent, je t’adorerai dans un futur idyllique.
Campbell.
Les yeux vrillant vers le haut de plafond clair bien que brumeux de ce mois de février, la jeune sorcière soupirait encore une dernière fois en vue de sa lassitude. Elle combattait chaque jour qui passait avec un espoir qui ne la devançait guère. En dépit de l’amnésie partielle dont elle était victime, Campbell ne semblait ne rien montrer et pourtant elle en avait probablement le droit mais cela ne demeurait en rien dans son comportement naturel. Elle ferma les yeux quelques secondes afin d’apprécier le silence calme et reposant, puis dans un geste rapide se redressa de sa hauteur. Prenant la direction du parc du domaine magique, elle constata avec une certaine appréciation que ses compatriotes rouges étaient tous en marche vers le terrain de Quidditch. Parmi eux figurait Lloyd Lawson, celui que la figure paternelle avait choisit pour son futur, une idée de l’avenir qu’elle ne partageait pas le moins du monde. Néanmoins avait-elle le choix ? Du moins, elle ne l’avait pas encore pour le moment mais cela n’était qu’une question de temps. Elle ne savait pas ce l’existence humaine lui réservait mais cela ne pouvait pas être pire que cela ne l’était déjà. Croisant les bras sur sa poitrine, elle plissa quelques peu les prunelles pour reprendre sa marche. Elle ne savait guère de quoi serait forgé demain, et elle savait encore moins si le lendemain demeurait encore possible, mais une chose était certaine, sa poussière d’ange n’était pas encore à dissoudre et les cendres de son espérance était encore bien là, vivace et réceptive.
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:36
Bienvenue, enfin Re-Bienvenue à ce que je vois (l)
Candice est splendide :brille: :lechouille:
Candice est splendide :brille: :lechouille:
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:39
Candice est splendide (l) :baveuh:
Rebienvenue parmi nous :brille: (l)
Rebienvenue parmi nous :brille: (l)
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:45
- Ma Pandi (l)
Re-Welcome
:canard:
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 18:52
- Candice (l)(l)(l)
Bienvenue. Ou re-bienvenue, si j'ai bien tout compris !
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 19:49
L'ancienne Velvet !! :brille: j'avais adoré ta fiche si je ne m'abuse !!
En tout cas, re-bienvenue ma douce ! :D (l)
En tout cas, re-bienvenue ma douce ! :D (l)
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 21:36
oh merci beaucoup Alexandra :brille: :grandsyeux: ca fait super plaisir (a)
Encore merci à toi (l)
Encore merci à toi (l)
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Dim 26 Déc 2010 - 22:19
Je viens de lire le début de ta fiche et oui ! c'est définitivement mon ancienne Velvet qui est revenue ! :brille: . Cette fiche promet autant que l'ancienne ! j'attends la suite avec impatience ! :inlove:
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Lun 27 Déc 2010 - 14:47
Bienvenue mon Whisky (l)(l)(l)
Contente que tu sois de retour honey :cracrac:
Contente que tu sois de retour honey :cracrac:
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Lun 27 Déc 2010 - 20:10
merci encore une fois Alexandra (l) je vais essayer d'en faire autant mais c'est pas garantie d'avance
ma lumiotte :brille: merci beaucoup (l)
ma lumiotte :brille: merci beaucoup (l)
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Mer 29 Déc 2010 - 23:34
désolée du DP mais je pense avoir achevée ma fiche. (:
Elle n'est pas extra mais s'il faut modifier des choses c'est sans problème (a)
Elle n'est pas extra mais s'il faut modifier des choses c'est sans problème (a)
- InvitéInvité
Re: BELLS ❀ comptine d'un autre été.
Jeu 30 Déc 2010 - 11:29
Rebienvenue (l)
tu as une très jolie plume, ce fut un plaisir de te lire, sans compter que tu as un personnage vraiment très intéressant. Je te valide donc, n'oublie pas de réserver ton avatar, bon jeu !
tu as une très jolie plume, ce fut un plaisir de te lire, sans compter que tu as un personnage vraiment très intéressant. Je te valide donc, n'oublie pas de réserver ton avatar, bon jeu !
|
|