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Phillips ― Ain't no sunshine
Mar 22 Mar 2011 - 17:08
✤ SUMMERBEE Salut !!! Moi c'est Liam Phillips , j'ai 19 ans , et je suis d'origine irlandaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis célibataire , mais aussi et issu d'une famille de sorciers. A Hungcalf, j'ai choisi Justice magique, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de chêne, mesurant 20 cm et contenant une écaille de dragon et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de lynx.. avatar © ... ? || icônes © ... ? |
this is my story
J’ai toujours considéré mes parents comme des gens extraordinaires. Moi, je n’ai jamais manqué de rien, j’ai même été trop gâté par la vie. Cette enfance dorée, enveloppée par l’amour que mes parents me portaient. À cette époque, lorsque j’étais encore un gamin, je ne voyais pas l’emprise que ma famille avait sur moi. À quel point elle m’a fait ignorer la dureté du monde, qu’elle me gardait dans ce cocon. Ma famille, mon sang, c’est à cause d’eux, qu’aujourd’hui je suis incapable de faire face à la musique, à cette putride vie qui nous frappe à cent milles à l’heure. Je me souviens de ses journées passés à jouer au Quidditch avec mon père et mes frères. Ses soirées passés à jouer aux échecs. Ses souvenirs sont maintenant trop flous, si loin qu’ils me semblent irréels. Ma famille m’a créée, m’a façonnée à leur image, cette image qu’aujourd’hui je cherche à me défaire. Si j’ai eu la chance de vivre dans une famille riche, célèbre de par mon frère qui est devenu un célèbre joueur de Quidditch, la déraison l’emporte toujours sur le confort. Je n’aurais jamais cru que mon destin serait aussi triste et morne, que la vie m’emporterait dans sa tourmente. J’étais un enfant destiné au malheur, destiné à ce que ma famille tire pour toujours les ficelles de mon existence.
« T’es jalouse de Nell? » J’essaie de relativiser la situation, posant une main rassurante sur le genou de ma douce Sarah. Un mince sourire aux lèvres, je viens lui porter un baiser furtif sur sa joue, baiser qu’elle évite, perdue dans ses pensées. « Mais… tu sais, elle était là avant moi et je ne sais pas se qui s’est passé entre vous deux… » Je tente de me faire rassurant, je tente de minimiser cette relation fusionnelle que j’entretiens avec Nell. Ma douce ne comprend pas, elle ne veut pas comprendre que mon cœur bat pour elle, que mon regard ne voit qu’elle. Elle s’enferme dans cette peur irrationnelle. «Il ne s’est rien passé avec Nell et ne se passera rien. » Fais-moi confiance ma douce, mais je vois dans ton regard ce doute, cette peur de me voir dans les bras d’une autre. « Liam, arrête, je vois bien comment tu l’as regarde, comment tu envie son corps… » Je fronce les sourcils, son ton sec et réprobateur s’acharne sur moi, son regard amer se pose sur moi, ma main quitte naturelle son genou. Je m’allume une cigarette et observe de nouveau ma douce. Sarah, elle n’aime pas que je fume, mais en ce moment j’ai besoin d’une clope pour ne pas me mettre en colère. « Tu racontes n’importe quoi! Je déteste quand tu fais ça, je déteste que tu m’accuses lorsque j’ai rien fais! » Et là, elle éclate, petite poupée de porcelaine qui éclate en sanglots. « Je veux que tu me regardes moi, juste moi et j’ai envie qu’elle disparaisse de ta vie! » Irrationnelle, elle le devient lorsqu’elle est envahie par la peur, par la peur de me voir dans les bras d’une autre. Ma douce, si tu savais que nos disputes me pousseront dans ses bras, l’espace d’une nuit froide et triste. «J’en ai marre que tu sois si parano à l’égard de mes amies! Je t’aime, putain et c’est avec toi que j’ai envie d’être! » Elle à ce moment, elle se lève, elle agrippe son manteau et me tourne le dos. Enfant gâtée. Je cherche à comprendre d’où viens cette peur et je vois mes parents, lors de la première rencontre entre eux et Sarah. Tu pourrais trouver mieux, tu pourrais te trouver une gentille fille pure, pas comme elle. Je me souviens qu’ils avaient semés en elle une petite graine, le doute… Le doute que, en effet, je puisse trouver mieux qu’elle. Que je ne veuille plus d’elle. J’étais épuisé de toujours devoir prouver mon amour, toujours avoir à lui prouver qu’elle peut avoir confiance en moi. Alors qu’au moment où j’écrasai ma cigarette, je décidai que j’en avais assez, qu’un verre me ferait du bien.
«T’as vraiment une mine d’enfer… » « Toi aussi. » Je tendis une bouteille familière à mon amie. Bouteille que nous avions partagée plusieurs fois ensemble. Nous étions dans la salle commune, près du feu à boire notre peine. «Alors, c’est vraiment fini avec Jack? » Nell ne me répondit que par un léger signe de tête, alors qu’elle portait la bouteille à ses lèvres. « Et toi, qu’est-ce qui se passe? » Je pris la bouteille de ses mains et l’apporta contre mes lèvres. J’allumai une cigarette et observa mon amie, qui avait été de nombreuses fois, l’épaule qui apaisait mes souffrances. J’haussai nonchalamment les épaules, voulant répondre que se n’était qu’une de nos habituelles disputes et que se n’était pas grave. « Elle a encore fais une de ses crises. » Simplifie-je, sachant que Nell avait déjà été témoin des sautes d’humeur de Sarah. Je repassai la bouteille à mon amie, alors que je tirai quelques bouffées sur ma cigarette.
Je n’ai que de vagues souvenirs de ce qui nous a menés à ça. Mais ses images trop claires dans ma mémoire, souffrant et délicieux. Je me rappelle de tes lèvres contre les miennes. Ce goût d’alcool, ce goût de désespoir. Je me rappelle avoir posé mes mains sur ton corps, mes mains qui touchaient ton corps qui m’était interdit. Je me souviens de nos souffles entremêlés, de cet abandon total à cette tension qui durait depuis trop longtemps. Je me souviens de ta voix, qui murmurait mon prénom à mon oreille lorsque, durant un instant de lucidité, nous avions voulu stopper ce train. Nos visage trop près l’un de l’autre. Nos regards se poignardant, nous recollions les morceaux de notre existence, nos lèvres de nouveau scellées par la douleur. Je me souviens de mes mains sur tes hanches lorsque, allongés près du feu, nous consumions cette trahison. Mes mains qui ne devaient toucher que Sarah parcouraient ton corps avec la même douceur, avec l’habitude de deux amants. Mon corps par-dessus le tiens, la chaleur de feu, le crime que nous commettions était trop bon. Tu m’agrippe par le col de mon polo, tu m’arrache les vêtements de sur le dos. Ton regard me brûle, mais je continue, je te suis. Nous étions deux amis consumés par une tristesse trop violente pour être contrôler. Tes mains sur mon corps, tes ongles dans mon dos, nos corps l’un contre l’autre… Tout ça s’était fait trop naturellement. C’était une vision terrifiante. Nos respirations devenues qu’une, ondulant au rythme de nos corps. Nous n’étouffions plus nos cris, laissant la nuit emporter nos pleurs pour un instant. C’est dans cette salle commune, lors d’une nuit froide et triste que, toi et moi, avons unis nos corps, nos fluides aux dépends de Sarah. Ton amie, ma copine. Je venais de lui donner raison, j’entendais sa voix dans ma tête, mais à chaque fois que j’ouvrais les yeux, c’était ton visage, ta chevelure que je voyais. Lorsque notre ébat fût arrivé à son paroxysme, j’avais oublié toute cette culpabilité de mes actes. Nos regards s’observèrent longuement, alors que, nous savions l’erreur que l’on venait de commettre. En silence, nous vidons la bouteille, fumons une clope et sans un mot, nous allons nous coucher dans nos chambres respectives.
« J’te déteste! » Elle frappe de ses petits poings faibles sur mon torse, elle me déverse toute sa rage et moi, je reste immobile. Je sais que je suis coupable, je sais que j’ai fais une erreur et qu’elle risque de me couter Sarah. « T’es un salaud! T’es un salaud Liam! J’te déteste! » Elle frappe, elle frappe et moi je l’a regarde d’un air triste. Je l’a laisse faire, elle a le droit. Je reste silencieux et absorbe sa haine. « Tu me dis que tu m’aimes… Tu me dis qu’on doit attendre et moi je te crois, je crois que t’avais envie que ce moment sois spécial!! » Un nœud se forme dans ma gorge, je me souviens de cette promesse, celle que je lui avais faite. Je te promets que ce moment sera spécial, juste pour nous deux… Je te promets que tu seras la seule et l’unique. Et mon cœur se serre, je reste là, devant elle coupable d’un crime qu’elle ne voudra pas me pardonner. « Vas-t’en. » «Sarah… » « Fous le camp, Liam… S’il te plait. »
« Il parait que Liam a trompé Sarah, on dirait que ça brasse au paradis! » « Ah ouais, j’aurais pas cru ça possible… Surtout venant de Liam… Tu sais qui étais la chanceuse? » « Une fille de sa maison… Et une amie de Sarah. » Les échos meurtriers dans les couloirs de Poudlard.
Mon monde s’écroule, se brise en mille morceaux. Mes larmes coulent, alors que je n’ai plus la force de les retenir. Assis sur un siège froid de l’hôpital, les mains sur mon visage, j’écoute la voix lointaine du médecin qui raconte le diagnostique. Notre enfant est mort. Il était déjà mort depuis un moment et il pourrissait à l’intérieur de Sarah. Qu’on m’arrache les tripes, qu’on me tire une balle dans le cœur, ma mère pose une main froide sur mon épaule. « Cet enfant était maudit de toute façon. » J’hurle, je défais la main de ma mère de mon corps, je l’a regarde avec toute la haine du monde. Je me lève, je frappe le mur de béton. « Arrête! Arrête! C’était mon enfant, c’était ton sang! Comment peux-tu être aussi insensible ! » « M. Phillips, votre copine voudrait vous voir. » Le médecin s’interpose. Mon corps bouillant n’a qu’une envie. Se coller contre Sarah. Lui dire que tout ira bien. Que je l’aime. Je veux flatter ses cheveux et m’endormir auprès d’elle.
« Liam… Reste encore un peu. » Je tiens sa petite main entubée, ses yeux rougis par la douleur et les pleurs. Je serre sa main. Je suis là mon amour, je suis là. Je veux m’approcher d’elle, lui offrir un doux baiser sur le front. Elle se détache, elle me regarde… Son regard vidé. Absent. « Je crois qu’on devrait se séparer. » Mon regard se fige, ma main serre de plus en plus fort. Elle n’y croit pas, elle ne veut pas. C’est ma mère, qui lui a fait du chantage. Je n’arrive pas à croire que ses mots sortent de sa bouche. « Je vais allez dans ma famille durant quelques mois… Le temps de me remettre de tout ça. » Tout ça? Putain Sarah notre enfant est mort! Mon amour tu ne peux pas, tu ne peux pas m’abandonner comme ça, renier notre amour. Je lâche sa main, mon regard se transforme en dégout, j’entends la voix de ma mère dans ma tête Je te l’avais dis… Une mauvaise graine, voilà tout ce qu’elle est. Je me lève et recule. C’était la dernière fois que je vis Sarah. La dernière fois. Elle qui avait été mon jour et ma nuit.
« T’es jalouse de Nell? » J’essaie de relativiser la situation, posant une main rassurante sur le genou de ma douce Sarah. Un mince sourire aux lèvres, je viens lui porter un baiser furtif sur sa joue, baiser qu’elle évite, perdue dans ses pensées. « Mais… tu sais, elle était là avant moi et je ne sais pas se qui s’est passé entre vous deux… » Je tente de me faire rassurant, je tente de minimiser cette relation fusionnelle que j’entretiens avec Nell. Ma douce ne comprend pas, elle ne veut pas comprendre que mon cœur bat pour elle, que mon regard ne voit qu’elle. Elle s’enferme dans cette peur irrationnelle. «Il ne s’est rien passé avec Nell et ne se passera rien. » Fais-moi confiance ma douce, mais je vois dans ton regard ce doute, cette peur de me voir dans les bras d’une autre. « Liam, arrête, je vois bien comment tu l’as regarde, comment tu envie son corps… » Je fronce les sourcils, son ton sec et réprobateur s’acharne sur moi, son regard amer se pose sur moi, ma main quitte naturelle son genou. Je m’allume une cigarette et observe de nouveau ma douce. Sarah, elle n’aime pas que je fume, mais en ce moment j’ai besoin d’une clope pour ne pas me mettre en colère. « Tu racontes n’importe quoi! Je déteste quand tu fais ça, je déteste que tu m’accuses lorsque j’ai rien fais! » Et là, elle éclate, petite poupée de porcelaine qui éclate en sanglots. « Je veux que tu me regardes moi, juste moi et j’ai envie qu’elle disparaisse de ta vie! » Irrationnelle, elle le devient lorsqu’elle est envahie par la peur, par la peur de me voir dans les bras d’une autre. Ma douce, si tu savais que nos disputes me pousseront dans ses bras, l’espace d’une nuit froide et triste. «J’en ai marre que tu sois si parano à l’égard de mes amies! Je t’aime, putain et c’est avec toi que j’ai envie d’être! » Elle à ce moment, elle se lève, elle agrippe son manteau et me tourne le dos. Enfant gâtée. Je cherche à comprendre d’où viens cette peur et je vois mes parents, lors de la première rencontre entre eux et Sarah. Tu pourrais trouver mieux, tu pourrais te trouver une gentille fille pure, pas comme elle. Je me souviens qu’ils avaient semés en elle une petite graine, le doute… Le doute que, en effet, je puisse trouver mieux qu’elle. Que je ne veuille plus d’elle. J’étais épuisé de toujours devoir prouver mon amour, toujours avoir à lui prouver qu’elle peut avoir confiance en moi. Alors qu’au moment où j’écrasai ma cigarette, je décidai que j’en avais assez, qu’un verre me ferait du bien.
«T’as vraiment une mine d’enfer… » « Toi aussi. » Je tendis une bouteille familière à mon amie. Bouteille que nous avions partagée plusieurs fois ensemble. Nous étions dans la salle commune, près du feu à boire notre peine. «Alors, c’est vraiment fini avec Jack? » Nell ne me répondit que par un léger signe de tête, alors qu’elle portait la bouteille à ses lèvres. « Et toi, qu’est-ce qui se passe? » Je pris la bouteille de ses mains et l’apporta contre mes lèvres. J’allumai une cigarette et observa mon amie, qui avait été de nombreuses fois, l’épaule qui apaisait mes souffrances. J’haussai nonchalamment les épaules, voulant répondre que se n’était qu’une de nos habituelles disputes et que se n’était pas grave. « Elle a encore fais une de ses crises. » Simplifie-je, sachant que Nell avait déjà été témoin des sautes d’humeur de Sarah. Je repassai la bouteille à mon amie, alors que je tirai quelques bouffées sur ma cigarette.
Je n’ai que de vagues souvenirs de ce qui nous a menés à ça. Mais ses images trop claires dans ma mémoire, souffrant et délicieux. Je me rappelle de tes lèvres contre les miennes. Ce goût d’alcool, ce goût de désespoir. Je me rappelle avoir posé mes mains sur ton corps, mes mains qui touchaient ton corps qui m’était interdit. Je me souviens de nos souffles entremêlés, de cet abandon total à cette tension qui durait depuis trop longtemps. Je me souviens de ta voix, qui murmurait mon prénom à mon oreille lorsque, durant un instant de lucidité, nous avions voulu stopper ce train. Nos visage trop près l’un de l’autre. Nos regards se poignardant, nous recollions les morceaux de notre existence, nos lèvres de nouveau scellées par la douleur. Je me souviens de mes mains sur tes hanches lorsque, allongés près du feu, nous consumions cette trahison. Mes mains qui ne devaient toucher que Sarah parcouraient ton corps avec la même douceur, avec l’habitude de deux amants. Mon corps par-dessus le tiens, la chaleur de feu, le crime que nous commettions était trop bon. Tu m’agrippe par le col de mon polo, tu m’arrache les vêtements de sur le dos. Ton regard me brûle, mais je continue, je te suis. Nous étions deux amis consumés par une tristesse trop violente pour être contrôler. Tes mains sur mon corps, tes ongles dans mon dos, nos corps l’un contre l’autre… Tout ça s’était fait trop naturellement. C’était une vision terrifiante. Nos respirations devenues qu’une, ondulant au rythme de nos corps. Nous n’étouffions plus nos cris, laissant la nuit emporter nos pleurs pour un instant. C’est dans cette salle commune, lors d’une nuit froide et triste que, toi et moi, avons unis nos corps, nos fluides aux dépends de Sarah. Ton amie, ma copine. Je venais de lui donner raison, j’entendais sa voix dans ma tête, mais à chaque fois que j’ouvrais les yeux, c’était ton visage, ta chevelure que je voyais. Lorsque notre ébat fût arrivé à son paroxysme, j’avais oublié toute cette culpabilité de mes actes. Nos regards s’observèrent longuement, alors que, nous savions l’erreur que l’on venait de commettre. En silence, nous vidons la bouteille, fumons une clope et sans un mot, nous allons nous coucher dans nos chambres respectives.
« J’te déteste! » Elle frappe de ses petits poings faibles sur mon torse, elle me déverse toute sa rage et moi, je reste immobile. Je sais que je suis coupable, je sais que j’ai fais une erreur et qu’elle risque de me couter Sarah. « T’es un salaud! T’es un salaud Liam! J’te déteste! » Elle frappe, elle frappe et moi je l’a regarde d’un air triste. Je l’a laisse faire, elle a le droit. Je reste silencieux et absorbe sa haine. « Tu me dis que tu m’aimes… Tu me dis qu’on doit attendre et moi je te crois, je crois que t’avais envie que ce moment sois spécial!! » Un nœud se forme dans ma gorge, je me souviens de cette promesse, celle que je lui avais faite. Je te promets que ce moment sera spécial, juste pour nous deux… Je te promets que tu seras la seule et l’unique. Et mon cœur se serre, je reste là, devant elle coupable d’un crime qu’elle ne voudra pas me pardonner. « Vas-t’en. » «Sarah… » « Fous le camp, Liam… S’il te plait. »
« Il parait que Liam a trompé Sarah, on dirait que ça brasse au paradis! » « Ah ouais, j’aurais pas cru ça possible… Surtout venant de Liam… Tu sais qui étais la chanceuse? » « Une fille de sa maison… Et une amie de Sarah. » Les échos meurtriers dans les couloirs de Poudlard.
- « Liam… Je suis enceinte. » Et j’ignore s’il est de toi. Ton regard me fait mal, tes yeux d’enfant ébahie, ne me regarde plus comme ça, Liam. Tes mains dans les miennes, je n’arrive pas à les retirées. « Et je veux qu’on le fasse adopter. » Tu m’observes, l’étincelle dans ton regard disparait, ta gorge semble nouée. Nous avons traversés beaucoup d’épreuves, j’ai pardonné ton adultère, mais je sais très bien que tu n’arriveras pas à me pardonner. Pas ça. Pas ce geste. Liam, mon bel amour, Liam le soleil de mes jours, je fais le choix de passer sous silence l’acte que j’ai commis avec ce bel amant d’une nuit. Pardonnes moi. Tu ne comprends pas, tu ne veux pas comprendre, tu t’allumes une clope. Je déteste ton habitude. « Non. Je veux cet enfant avec toi. » Mon cœur se brise, petit agneaux. Tu crois en nous, tu crois être capable d’élever un enfant alors que tu es toujours un gamin? Pourtant, ton regard me perce et je n’arrive pas à t’avouer le triste destin de notre son enfant. «Je t’aime. » Je n’arrive pas à te dire que je t’aime aussi, ses mots me font mal.
Mon monde s’écroule, se brise en mille morceaux. Mes larmes coulent, alors que je n’ai plus la force de les retenir. Assis sur un siège froid de l’hôpital, les mains sur mon visage, j’écoute la voix lointaine du médecin qui raconte le diagnostique. Notre enfant est mort. Il était déjà mort depuis un moment et il pourrissait à l’intérieur de Sarah. Qu’on m’arrache les tripes, qu’on me tire une balle dans le cœur, ma mère pose une main froide sur mon épaule. « Cet enfant était maudit de toute façon. » J’hurle, je défais la main de ma mère de mon corps, je l’a regarde avec toute la haine du monde. Je me lève, je frappe le mur de béton. « Arrête! Arrête! C’était mon enfant, c’était ton sang! Comment peux-tu être aussi insensible ! » « M. Phillips, votre copine voudrait vous voir. » Le médecin s’interpose. Mon corps bouillant n’a qu’une envie. Se coller contre Sarah. Lui dire que tout ira bien. Que je l’aime. Je veux flatter ses cheveux et m’endormir auprès d’elle.
« Liam… Reste encore un peu. » Je tiens sa petite main entubée, ses yeux rougis par la douleur et les pleurs. Je serre sa main. Je suis là mon amour, je suis là. Je veux m’approcher d’elle, lui offrir un doux baiser sur le front. Elle se détache, elle me regarde… Son regard vidé. Absent. « Je crois qu’on devrait se séparer. » Mon regard se fige, ma main serre de plus en plus fort. Elle n’y croit pas, elle ne veut pas. C’est ma mère, qui lui a fait du chantage. Je n’arrive pas à croire que ses mots sortent de sa bouche. « Je vais allez dans ma famille durant quelques mois… Le temps de me remettre de tout ça. » Tout ça? Putain Sarah notre enfant est mort! Mon amour tu ne peux pas, tu ne peux pas m’abandonner comme ça, renier notre amour. Je lâche sa main, mon regard se transforme en dégout, j’entends la voix de ma mère dans ma tête Je te l’avais dis… Une mauvaise graine, voilà tout ce qu’elle est. Je me lève et recule. C’était la dernière fois que je vis Sarah. La dernière fois. Elle qui avait été mon jour et ma nuit.
✎...LANE
Dans la vraie vie, j'ai 21 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à moi-même et je ferais de mon mieux pour être là yo, je suis geek là, je suis toujours là. Si j'ai un double compte? not yet. . Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que PURR PURR PURR . code règlement : ok by heaven |
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- InvitéInvité
Re: Phillips ― Ain't no sunshine
Mar 22 Mar 2011 - 17:38
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Ps : premier membre validé sur le nouveau hung :D
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