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Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 11:12
Naïri Nastasia Lefébure
Je suis une ethelred | perso inventé
« Cessez de rire. Ce grincement sordide ne me cache en rien les torrents de sang et de larmes dissimulés derrière votre émail blanchi. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | © shiya. ◈ kylie jenner |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Le vent frais agite tes mèches de cheveux azurés qui chatouilles tes pommettes rosées. T’aimerais fermer les yeux mais tu ne peux pas sans que le monde bascule autour de toi. Alors tu regardes les étoiles, paupières mi- clauses, mains fermement agrippées au muret qui te sépare du vide. Ses mains glissent sur tes hanches, sous ton t-shirt, essayant de capturer ta peau, mais tu t’échappes. T’as pas envie. Lui si, tu le sais, mais tu t’en fous. Pas ce soir. T’as pas envie. Tu t’échappes, et entre à nouveau dans la salle commune des Ethelred. Ça pue. Ça te frappe les narines avec violence. La sueur, l’alcool, le tabac, et d’autres herbes aromatiques. Tu plisses les paupières, rétine martyrisée par les flashes lumineux. La musique te bousille les oreilles aussi, mais ça, tu ne sourcille, pas. Tu as l’habitude. On te sourit, on te tape l’épaule, une accolade au passage, et comme tu n’as plus rien en main, on s’affaire à te filer rapidement un verre. Tu ne sais pas ce que c’est, mais tu bois, et leur rends leurs sourires. Tu as encore organisé une fête qui restera dans les annales de ta promotion. Peut-être de Hungcalf tout court. Mais t’es pas dedans toi. Dommage. En tout cas, tu vas à peu près bien, pour une fois, au milieu d’autant de monde. Même si les pulsions bestiales et euphoriques des autres esprits embués autour de toi s’insinuent doucement en toi. C’est moins que d’habitude. Filtre flou alcoolisé qui attenu cette fichue… malédiction. C’est con, c’est nul. Tout ça parce que tu es une sombre petite tricheuse impatiente. T’as poussé, poussé, jusqu’à ce que la corde craque. Tu voulais devenir legilimens. Parce que ça te faisait marrer.
Mauvaise raison, raison puérile, envie puérile, pulsion puérile à assouvir là tout de suite. T’étais une gamine puérile, petite princesse capricieuse, garce exigeante. On ne dirait pas que t’as changé, mais si au fond. Depuis ça. T’as voulu allé trop vite. Tu as pratiqué, encore et encore, tu t’es dopée aux potions aiguise-méninge pour voir plus clair dans tes pensées, et de facto dans celles des personnes sur qui tu t’entrainais. A leur insu bien sûr. Tu les as même bidouillées pour améliorer ta sensibilité aux phéromones et autres substances chimiques émises par les hommes. On t’a dit d’arrêter tes conneries. Que ça allait mal tourner. Et puis t’as omis la possibilité que l’une des personne que tu t’amusais à tyranniser aux détours des couloirs d’Hungcalf, peu importe que tu sois qu’une première année, décide de saboter tes essais. Alors voilà, fatigue mentale, dopage, maléfice pour t'embrouillé encore plus, et tout t’as explosé à la tronche. Techniquement, il n’y a pas eu d’explosion. Tu es juste évanouie. Et tu as eu des migraines violentes pendant des jours, esprit obstinément ouvert sur tout le monde autour de toi. Pensées, voix, images se déversant dans ta tête. T’’as cru que t’allais crever. Mais ça s’est arrêté. Enfin c’est ce que tu as cru. Mais ton esprit ne s’est pas encore totalement fermé. Y a un truc qui n’allait pas. Tu as vite compris. Mais tu t’es dit que ça allait passer. Que c’était comme les douleurs quand on remet une articulation fraichement guérie en marche. Mais ça ne s’est jamais arrêté. Et si au début tu arrivais à faire la part des choses, tu as doucement eu l’impression de disparaitre, et plus tu avais l’impression qu’on ne te voyait plus, plus tu basculais dans l’exubérance, caractérielle et physique. Tu étais une peste des plus communes, mais adorable dans le fond. Attachiante quoi. Mais tout le bon en toi s’est recroquevillé dans un petit coin de ton cœur, et t’es devenue une espèce de trainée. Qu’on aime un peu ou qu’on déteste. Mais qui est difficile à vraiment aimer, parce que reculée du monde malgré le fait que tu t’y colles au milieu avec fracas. Comme quand tu organise ce genre de teuf que tout le monde adore. Mais toi… moins. On ne s’est pas qui faire avec toi. Tu le sais bien.
C’est même devenu compliqué avec ta propre famille. Parce que t’as l’impression que tes parents aiment d’avantage ta sœur que toi. C’est con, tu le sais, mais c’est ce que tu ressens, leur amour pour elle, et aucun flux envers toi. Et le doute qui s’insinue sournoisement en toi. T’as toujours été heureuse dans cette famille. Tes parents, ta sœur adoptive et toi, quatuor de bisounours. Ton daddy, Izahak, il n’était pas souvent avec vous, parce qu’il bossait beaucoup, surtout au début quand ta mère restait à la maison avec ta sœur et toi. Mais tu l’admirais pour son travail pour les sorciers persécuté dans les pays où la pratique de la magie était plus… controversée qu’en France. C’est d’ailleurs ainsi qu’il a rencontré ta mère, née-moldue, réfugiée tchétchène. Lalita, elle s’est donné corps et âme à ses deux filles jusqu’à ce que vous alliez à Beauxbâtons, ton aîné puis toi. Mais oui, tu avais et as toujours une famille douce et aimante. Mais tout a changé depuis ça. Ce doute insidieux qui te ronge les entrailles. Et puis ta sœur qui recherche ses origines. Ça te blesse. Elle t’abandonne elle-aussi. Des fois, tu la détestes. C’est con. T’es con. T’es paumée. T’es triste.
Alors là, tu vas bien, avec 2 grammes dans chaque bras, et les basses qui te chatouillent les tripes. Tu regardes la foule et aperçoit Mort, dans un état de béatitude bien plus avancé que le tien, joint pendu aux lèvres, paupières close, ondulant sur son propre rythme un verre quasi vide à la main. Mais tu ne vas pas la rejoindre. Pas ce soir. Sinon vous allez encore finir trop mal toutes les deux. L’abime appelle l’abime. Et puis faut pas. Faut que tu tiennes debout demain. En tout cas que tu puisses quand même ouvrir un bouquin. T’as tes examens de fin de quatrième année qui arrivent. Et t’arrivent plus à rien. T’étais brillante comme élève, curieuse et travailleuse. A Beauxbâtons, tu excellais. A Beauxbâtons, même si t’étais une petite princesse, on t’aimait bien, et on avait envie d’être ton ami. Parce qu’on savait que t’étais sympa dans le fond. Depuis ça, ton cerveau s’emplie d’interférences, et tu vas de plus en plus mal. Alors ton niveau scolaire suit la cadence, et chute semestre après semestre. Faut que tu bosses. Que t’essayes de bosser. Que t’arrives à te souvenir de ce que tu apprends surtout. Tu commences à songer à l’ermitage. Ça doit être la tequila.
Tu glisses entre les corps qui ondulent, démarche chaloupée sur tes talons trop hauts pour ton taux d’alcool. Depuis que tu es retournée dans cette salle commune bruyante et malodorante tu sais parfaitement ce que tu es venue chercher. Tu croises le regard de Guerre qui s’assombrit aussitôt. Tu la rejoins quand même, décolles la main de Conquête des hanches de la belle et le tire vers toi séparant leurs des corps. Il te suit sans broncher. Tu retournes dehors, sur la terrasse, appuis le jeune homme contre le muret, et te blotti contre lui sans un mot. Il dit rien nan plus. Il calle son menton au sommet de ta petite tête et entoure tes épaules de ses bras. Don’t worry Nana. I’ll find a cure.
Mauvaise raison, raison puérile, envie puérile, pulsion puérile à assouvir là tout de suite. T’étais une gamine puérile, petite princesse capricieuse, garce exigeante. On ne dirait pas que t’as changé, mais si au fond. Depuis ça. T’as voulu allé trop vite. Tu as pratiqué, encore et encore, tu t’es dopée aux potions aiguise-méninge pour voir plus clair dans tes pensées, et de facto dans celles des personnes sur qui tu t’entrainais. A leur insu bien sûr. Tu les as même bidouillées pour améliorer ta sensibilité aux phéromones et autres substances chimiques émises par les hommes. On t’a dit d’arrêter tes conneries. Que ça allait mal tourner. Et puis t’as omis la possibilité que l’une des personne que tu t’amusais à tyranniser aux détours des couloirs d’Hungcalf, peu importe que tu sois qu’une première année, décide de saboter tes essais. Alors voilà, fatigue mentale, dopage, maléfice pour t'embrouillé encore plus, et tout t’as explosé à la tronche. Techniquement, il n’y a pas eu d’explosion. Tu es juste évanouie. Et tu as eu des migraines violentes pendant des jours, esprit obstinément ouvert sur tout le monde autour de toi. Pensées, voix, images se déversant dans ta tête. T’’as cru que t’allais crever. Mais ça s’est arrêté. Enfin c’est ce que tu as cru. Mais ton esprit ne s’est pas encore totalement fermé. Y a un truc qui n’allait pas. Tu as vite compris. Mais tu t’es dit que ça allait passer. Que c’était comme les douleurs quand on remet une articulation fraichement guérie en marche. Mais ça ne s’est jamais arrêté. Et si au début tu arrivais à faire la part des choses, tu as doucement eu l’impression de disparaitre, et plus tu avais l’impression qu’on ne te voyait plus, plus tu basculais dans l’exubérance, caractérielle et physique. Tu étais une peste des plus communes, mais adorable dans le fond. Attachiante quoi. Mais tout le bon en toi s’est recroquevillé dans un petit coin de ton cœur, et t’es devenue une espèce de trainée. Qu’on aime un peu ou qu’on déteste. Mais qui est difficile à vraiment aimer, parce que reculée du monde malgré le fait que tu t’y colles au milieu avec fracas. Comme quand tu organise ce genre de teuf que tout le monde adore. Mais toi… moins. On ne s’est pas qui faire avec toi. Tu le sais bien.
C’est même devenu compliqué avec ta propre famille. Parce que t’as l’impression que tes parents aiment d’avantage ta sœur que toi. C’est con, tu le sais, mais c’est ce que tu ressens, leur amour pour elle, et aucun flux envers toi. Et le doute qui s’insinue sournoisement en toi. T’as toujours été heureuse dans cette famille. Tes parents, ta sœur adoptive et toi, quatuor de bisounours. Ton daddy, Izahak, il n’était pas souvent avec vous, parce qu’il bossait beaucoup, surtout au début quand ta mère restait à la maison avec ta sœur et toi. Mais tu l’admirais pour son travail pour les sorciers persécuté dans les pays où la pratique de la magie était plus… controversée qu’en France. C’est d’ailleurs ainsi qu’il a rencontré ta mère, née-moldue, réfugiée tchétchène. Lalita, elle s’est donné corps et âme à ses deux filles jusqu’à ce que vous alliez à Beauxbâtons, ton aîné puis toi. Mais oui, tu avais et as toujours une famille douce et aimante. Mais tout a changé depuis ça. Ce doute insidieux qui te ronge les entrailles. Et puis ta sœur qui recherche ses origines. Ça te blesse. Elle t’abandonne elle-aussi. Des fois, tu la détestes. C’est con. T’es con. T’es paumée. T’es triste.
Alors là, tu vas bien, avec 2 grammes dans chaque bras, et les basses qui te chatouillent les tripes. Tu regardes la foule et aperçoit Mort, dans un état de béatitude bien plus avancé que le tien, joint pendu aux lèvres, paupières close, ondulant sur son propre rythme un verre quasi vide à la main. Mais tu ne vas pas la rejoindre. Pas ce soir. Sinon vous allez encore finir trop mal toutes les deux. L’abime appelle l’abime. Et puis faut pas. Faut que tu tiennes debout demain. En tout cas que tu puisses quand même ouvrir un bouquin. T’as tes examens de fin de quatrième année qui arrivent. Et t’arrivent plus à rien. T’étais brillante comme élève, curieuse et travailleuse. A Beauxbâtons, tu excellais. A Beauxbâtons, même si t’étais une petite princesse, on t’aimait bien, et on avait envie d’être ton ami. Parce qu’on savait que t’étais sympa dans le fond. Depuis ça, ton cerveau s’emplie d’interférences, et tu vas de plus en plus mal. Alors ton niveau scolaire suit la cadence, et chute semestre après semestre. Faut que tu bosses. Que t’essayes de bosser. Que t’arrives à te souvenir de ce que tu apprends surtout. Tu commences à songer à l’ermitage. Ça doit être la tequila.
Tu glisses entre les corps qui ondulent, démarche chaloupée sur tes talons trop hauts pour ton taux d’alcool. Depuis que tu es retournée dans cette salle commune bruyante et malodorante tu sais parfaitement ce que tu es venue chercher. Tu croises le regard de Guerre qui s’assombrit aussitôt. Tu la rejoins quand même, décolles la main de Conquête des hanches de la belle et le tire vers toi séparant leurs des corps. Il te suit sans broncher. Tu retournes dehors, sur la terrasse, appuis le jeune homme contre le muret, et te blotti contre lui sans un mot. Il dit rien nan plus. Il calle son menton au sommet de ta petite tête et entoure tes épaules de ses bras. Don’t worry Nana. I’ll find a cure.
RÉSERVE TON AVATAR
- Code:
<bottin><span class="pris">●</span> <b>kylie jenner</b> ━ nana lefébure</bottin>
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 11:14
Bienvenue sur le Forum ! J'espère que tu t'y plairas.
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 11:15
Aaaah j'adore le titre de ta fiche
Bienvenue parmi nous !
Avec cette bouille j'imagine que ça péter des bulles
J'ai hâte d'en découvrir plus
Bienvenue parmi nous !
Avec cette bouille j'imagine que ça péter des bulles
J'ai hâte d'en découvrir plus
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 11:35
Sankyu
Je fais tout pour ne pas décevoir mes fans mon cher Gideon
(Ok je sors)
Je fais tout pour ne pas décevoir mes fans mon cher Gideon
(Ok je sors)
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 11:59
Mooooooh, les anciens reviennent dis donc !
Rebienvenue petit chaton ! *-----*
Rhalalalala, je suis fan de ce nouveau perso !
Bon courage pour ta fiche
Rebienvenue petit chaton ! *-----*
Rhalalalala, je suis fan de ce nouveau perso !
Bon courage pour ta fiche
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 1913
» miroir du riséd : Lucky Blue Smith
» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Holly De L.) et le moineau (Luan N.) (RIP l'alligator (Aroha H.) et le Leprechaun (Adrian O'C.))
» âge : 25 ans (26/06/1998)
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• Botanique
• SACM
• Astronomie
Options facultatives
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» particularité : aucune mais cherche à apprendre l'occlumancie
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 993
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 14:37
Re-bienvenue pour le coup ! Hâte de voir le reste de cette fiche, entre frenchies, va falloir que je te colle Holly dans les pattes =D
– the best –
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 14:56
merci tous les deux !!
Avec plaisir Adrian/Holly
(en plus j'ai déjà des débuts d'idées, oui je stalke les fiches des gens)
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 16:07
you're back
ça me fait hyper bizarre de voir kylie sur un forum hp, mais j'trouve ça hyper cool, de l'originalité ça fait du bien
(re-re)bienvenue chez toi bb
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Jeu 6 Juil 2017 - 16:40
amour de ma vie rebienvenue à la maison, et garde moi une place au chaud pour un rp & un lien tmtc
- InvitéInvité
Re: Capharnaüm
Sam 8 Juil 2017 - 10:25
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de points, une boutique avec plein d'objets est à ta disposition ! *--*
Have fun sur Hung !
PS: j'aime beaucoup l'explication que tu as donné pour expliquer l'empathie de Nana ! Donc c'est ok pour moi sur ce point ! Pour le reste, ça va être un ptn de perso à exploiter, c'est clair :tong: mais j'ai confiance en toi pour ça ! Je suivrai son évolution avec attention ! bon retour parmi nous
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