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oh my beautiful disaster — yasha
Jeu 28 Déc 2017 - 15:01
Oh my beautiful disaster
○ Well, they say that we are tragic. And they say we're born to lose. You're the misfit, I'm the sinner. You're the heathen, I'm the fool. But, today, you'll be the master or the slave. It's up to you. Oh my beautiful disaster ! Take me any way you choose. It's like a new religion. Speak in tongues, come see the light. Do not trip on inhibitions that will only waste my time. Let me tempt you with the evils of the flesh and so much more
(TENUE D'OZ )
Boom. Le mur tremble sous ton poids. Ta jambe est tendue en suspens, dans le vide, maintenue par la semelle de tes bottines noires, qui s’enfonce dans le mur. Tes mains glissent avec volupté le long de ta cuisse refermant d’un coup sec les lacets de tes Doc Martens. Satisfaite, tu te redresse sur tes pieds, avant d’admirer ta tenue vestimentaire : une jolie robe blanche et une veste en cuir noire. Tu jettes un coup d’œil à l’horloge, tu n’es pas en retard. Yasha est ce garçon qu’on ne doit pas faire attendre, que tu ne veux pas faire attendre, alors tu t’efforces d’être à l’heure. Après tout, c’est toi qui a insisté pour sortir ce soir. Tu soupires tout en riant de ton imagination capable de redessiner la tête boudeuse du russe, tu jubiles à l’idée de le voir en colère et pourtant tu te prépares pour ne pas que cela arrive. Ce soir, tu es déterminée à t’amuser, à te changer les idées, comme habitée par le feu du Diable en personne, tu n’en demeures pas moins farouche malgré ta petite taille ; Tes bottines ne font que te surélever légèrement pour mieux diriger le monde comme tu l’entends. Le hululement d’un hibou t’incite à reprendre tes esprits. Enivrée avant même de déambuler dans les rues d’Inverness, tu as soif d’alcool et de musique. Un sourire nait sur tes lèvres pourpres à l’idée de danser dans une boîte de nuit amorçant l’ambiance festive la plus tendance de toute la ville. Ni une, ni deux, tu prends tes clés sur la table basse tout en balayant ta chambre du regard. Déserte, Heather et Isalynn ne sont pas là, et l’idée de rester seule ne t’emballe pas pour autant. Tu hausses les épaules avec dédain avant de claquer la porte que tu fermes à double tours. Non moins déçue de t’octroyer une soirée en compagnie de Yasha, tu dévales les escaliers quatre à quatre, quittant ainsi le dortoir filles des Ethelred dans lequel tu loges afin de rejoindre Yasha à la sortie de Hungcalf.
Le moteur se coupe, la portière claque, le Magicobus démarre en trombe. Sous la lumière fébrile des réverbères, tu lui donne la main puis tu te faufiles à travers la cohue qui anime chaque soir la rue qui permet de se rendre dans la boîte de nuit Vampire’s Night. C’est un vendredi soir, il est à peine vingt-trois heures, et l’établissement commence à faire rentrer les clients. Animée, grouillante de monde, sa traversée te procures un ravissement inaltérable, provoquant en toi des frissons. Le battement des basses colorent l’atmosphère, et tandis que tu poses ton regard sur un petit comité de personnes s’adonnant à une danse improvisée, tu ne peux que te délecter un peu plus de ta sortie. D’une humeur légère, tu joins ta joie d’un léger rire tandis que tu secoues ta crinière de lionne avec réjouissance. Le ciel d’Inverness se voile de son manteau d’encre le plus sombre et pourtant la ville continue de briller de mille feux, une véritable étoile sur Terre qui ne s'éteindra peut-être jamais. Un peu en retrait, non loin de l’entrée du bar qui est noire de monde, tes pensées s’entremêlent et tes yeux s’émerveillent à l’idée de voir le ciel se tâcher d’étoiles scintillantes. Tu te redresses un peu plus pour mieux observer le firmament. Tu trembles, tu palpites, comme un papillon. Un sourire énigmatique se dessine sur tes lèvres rouges alors que tu jettes un coup d’œil à Yasha. — Merci encore de m’avoir accompagné, mon chou. On rentre ? Tu hisses sur la pointe des pieds puis tu déposes un baiser contre sa joue avant de l’observer plus attentivement.
Boom. Le mur tremble sous ton poids. Ta jambe est tendue en suspens, dans le vide, maintenue par la semelle de tes bottines noires, qui s’enfonce dans le mur. Tes mains glissent avec volupté le long de ta cuisse refermant d’un coup sec les lacets de tes Doc Martens. Satisfaite, tu te redresse sur tes pieds, avant d’admirer ta tenue vestimentaire : une jolie robe blanche et une veste en cuir noire. Tu jettes un coup d’œil à l’horloge, tu n’es pas en retard. Yasha est ce garçon qu’on ne doit pas faire attendre, que tu ne veux pas faire attendre, alors tu t’efforces d’être à l’heure. Après tout, c’est toi qui a insisté pour sortir ce soir. Tu soupires tout en riant de ton imagination capable de redessiner la tête boudeuse du russe, tu jubiles à l’idée de le voir en colère et pourtant tu te prépares pour ne pas que cela arrive. Ce soir, tu es déterminée à t’amuser, à te changer les idées, comme habitée par le feu du Diable en personne, tu n’en demeures pas moins farouche malgré ta petite taille ; Tes bottines ne font que te surélever légèrement pour mieux diriger le monde comme tu l’entends. Le hululement d’un hibou t’incite à reprendre tes esprits. Enivrée avant même de déambuler dans les rues d’Inverness, tu as soif d’alcool et de musique. Un sourire nait sur tes lèvres pourpres à l’idée de danser dans une boîte de nuit amorçant l’ambiance festive la plus tendance de toute la ville. Ni une, ni deux, tu prends tes clés sur la table basse tout en balayant ta chambre du regard. Déserte, Heather et Isalynn ne sont pas là, et l’idée de rester seule ne t’emballe pas pour autant. Tu hausses les épaules avec dédain avant de claquer la porte que tu fermes à double tours. Non moins déçue de t’octroyer une soirée en compagnie de Yasha, tu dévales les escaliers quatre à quatre, quittant ainsi le dortoir filles des Ethelred dans lequel tu loges afin de rejoindre Yasha à la sortie de Hungcalf.
Le moteur se coupe, la portière claque, le Magicobus démarre en trombe. Sous la lumière fébrile des réverbères, tu lui donne la main puis tu te faufiles à travers la cohue qui anime chaque soir la rue qui permet de se rendre dans la boîte de nuit Vampire’s Night. C’est un vendredi soir, il est à peine vingt-trois heures, et l’établissement commence à faire rentrer les clients. Animée, grouillante de monde, sa traversée te procures un ravissement inaltérable, provoquant en toi des frissons. Le battement des basses colorent l’atmosphère, et tandis que tu poses ton regard sur un petit comité de personnes s’adonnant à une danse improvisée, tu ne peux que te délecter un peu plus de ta sortie. D’une humeur légère, tu joins ta joie d’un léger rire tandis que tu secoues ta crinière de lionne avec réjouissance. Le ciel d’Inverness se voile de son manteau d’encre le plus sombre et pourtant la ville continue de briller de mille feux, une véritable étoile sur Terre qui ne s'éteindra peut-être jamais. Un peu en retrait, non loin de l’entrée du bar qui est noire de monde, tes pensées s’entremêlent et tes yeux s’émerveillent à l’idée de voir le ciel se tâcher d’étoiles scintillantes. Tu te redresses un peu plus pour mieux observer le firmament. Tu trembles, tu palpites, comme un papillon. Un sourire énigmatique se dessine sur tes lèvres rouges alors que tu jettes un coup d’œil à Yasha. — Merci encore de m’avoir accompagné, mon chou. On rentre ? Tu hisses sur la pointe des pieds puis tu déposes un baiser contre sa joue avant de l’observer plus attentivement.
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Re: oh my beautiful disaster — yasha
Dim 31 Déc 2017 - 13:45
OH MY BEAUTIFUL DISASTER! - OZALEE HAWKINS — YASHA IVANOV - Well, they say that we are tragic. And they say we're born to lose. You're the misfit, I'm the sinner. You're the heathen, I'm the fool. But, today, you'll be the master or the slave. It's up to you. Oh my beautiful disaster ! Take me any way you choose. It's like a new religion. Speak in tongues, come see the light. Do not trip on inhibitions that will only waste my time. Let me tempt you with the evils of the flesh and so much more ⊹ OUTFIT OF THE DAY ⊹ Tolérance… Une notion bien abstraite pour un jeune homme comme Yasha. Ses pairs lui ressemblent toujours ; sang-purs, fêtards, sombres, garants de valeurs ancestrales, ignorants peut-être… Fourchelangs. Son regard se perd dans les cheveux d’Ozalee, dont les boucles rebondissent au rythme de sa gracieuse démarche. Il en rirait presque : le fléau d’une existence a trouvé grâce à ses yeux ; là où sa vie a été empoisonnée par la haine et le rejet, lui n’y voit qu’envoutement et poésie. Son regard ne se détache pas d’elle, il se questionne. Auraient-ils été amis sans ce don qui les unit ? Yasha le sait, car Yasha n’aime pas se complaire dans des illusions uniquement là pour faire plaisir à l’âme. Non, c’est ça la réponse. Son regard ne se serait pas arrêté sur cette fille de son cursus, tout comme le sien n’aurait pas plus considéré cet étranger scotché à son serpent. Un sourire pare un moment ses traits, imperturbable malgré les tremblements du Magicobus. Le destin fait bien les choses. Deux âmes mises en contact par le fruit du hasard… N’est-ce pas là encore un signe prouvant que cette langue des serpents est bénie des dieux ? Il aimerait le lui faire comprendre, qu’elle trône déjà sur un royaume ne demandant qu’à être conquis. Elle en a déjà l’allure, d’une reine ; elle n’a pas ces airs de petites pestiférées bonnes qu’à polluer le monde de leur présence. Mais le bus s’arrête ; le fil de ses pensées se coupe. Il cligne des yeux, secoue imperceptiblement la tête. L’heure n’est pas à la haine. La main d’Ozalee le garde sur terre, lui qui aime tant donner des directives se laisse guider sans rechigner par ce corps délicat. La foule aura toujours de quoi l’impressionner, lui dont les compagnons de fête n’ont été que les sapins et les épicéas pendant des années. Assez étonnamment, cela ne lui déplait pas ; il aime le monde de la nuit. Il aime voir les esprits se débrider, les hommes se vouer à des vices qu’ils penseront engloutis avec la lune au retour du jour. Ce groupe de danseurs éphémères ne lui cause qu’une profonde indifférence, mais il sourit. Car ce qu’il aime aussi, c’est ce doux rire qui parvient à ses oreilles malgré le brouhaha ambiant, cette joie communicative transmise par celle qui lui est chère. Son sourire s’agrandit suite au baiser qu’elle lui offre, celui-ci précédant la main qu’il laisse glisser dans ses boucles rebelles. « Après toi, Milady. » lâche-t-il alors que la course de sa main s’arrête au milieu du dos de la demoiselle, qu’il incite à avancer devant lui. Son accent, inaltérable malgré les quasi six années passées en Grande-Bretagne, roule avec ses mots et chante ses origines russes. « J’espère que tu ne m’as pas laissé une trace sur la joue, je serai dans l’incapacité de conclure avec quiconque de la soirée sinon. Tu crois sincèrement que je t’accompagne par bonté d’âme ?» Son ton ne laisse aucun doute quant au manque de sérieux de sa réflexion. Passer un moment en compagnie de cette douceur est toujours un plaisir, d’autant plus que Yasha est loin d’apprécier coincer une demoiselle contre son corps pour le simple fait de palper une poitrine et se prendre une langue jusque dans le fond de la gorge. Non, non, mais bon. S’il n’y a pas de rouge à lèvres, c’est quand même mieux, juste pour ne pas avoir l’air trop con, quoi. Il l’embrasse à son tour, sur le front cette fois. « Pas la peine de me remercier. Même si j’avoue que bénéficier de ma présence est une chance certaine. » code by lizzou — img/gifs by TUMBLR — 597 WORDS. |
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Re: oh my beautiful disaster — yasha
Jeu 25 Jan 2018 - 20:51
Oh my beautiful disaster
○ Well, they say that we are tragic. And they say we're born to lose. You're the misfit, I'm the sinner. You're the heathen, I'm the fool. But, today, you'll be the master or the slave. It's up to you. Oh my beautiful disaster ! Take me any way you choose. It's like a new religion. Speak in tongues, come see the light. Do not trip on inhibitions that will only waste my time. Let me tempt you with the evils of the flesh and so much more
(TENUE D'OZ )
Ta peau basanée palpite, gonfle sous les pores qui vibrent au rythme des basses. Le martèlement de la batterie marque la musique sur laquelle tes pieds dansent. Ozalee, comme tu es si féroce ce soir. Tu es comme une ombre qui se faufile contre Yasha, tu le repère tel un prédateur qui reconnaît sa proie. Lente et confiante, tu t’es collée contre lui pour l’embrasser sur la joue. En réponse à cette marque d’affection profonde, il te frôle à peine, lorsque ses doigts glissent dans ta crinière sauvage et terminent leur voyage contre ton dos. Il t’intime d’avancer, et c’est sans attendre que tu t’engouffres dans la foule. — Allons-y alors. Souriante, sûre de toi, de ta vie, tu te laisses entraîner par cet homme que tu emprisonnes pour la soirée, sans peur d’un futur immédiat ou lointain. — Tu crois réellement pouvoir conclure alors que je suis avec toi ? Elles ne feront pas le poids face à moi. Tu lèves au ciel avant de conclure d’une voix amusée : — Tu n’as rien sur la joue, Patate ! Tu marches, Ozalee Hawkins, tu effleures dans une caresse attendrissante la porte de la boîte de nuit que tu pousses, le passage devant le vigile annonce votre arrivée en ce lieu de beuverie déjà bien peuplé. Le brun sombre de tes iris balaye d’un regard circulaire le lieu avant d’indiquer deux places libres au comptoir du bar. Tu te réjouis intérieurement d’avoir trouvé deux places de choix pour être livrés rapidement en boisson. Tu t’apprêtes à fanfaronner lorsqu’il dépose un baiser sur ton front. Délicatement, tes doigts touchent la zone de contact alors que tes lèvres rouges s’étirent pour former un grand sourire, dévoilant ta rangée de dents adamantines. — Epargne moi ce baratin et garde le pour les autres, tu veux ? Des piques que vous vous lancez à longueur de journée, des petites vacheries qui témoignent de votre forte affection. Car il est ce garçon que tu adores plus que tout, il est garçon qui te ressemble et te comprend. Il est ce trésor, cette rencontre improbable mais si chère à tes yeux. Cette relation vous reliant étant si intense qu’elle t’embrase de l’intérieur rien qu’en pensant à lui. Yasha est ce Roi qui règne dans ton cœur et gouverne ta vie en la colorant de mille et une teintes.
Intrépide, tu foules gracieusement le sol du haut de tes talons compensés, faisant vibrer le sol d’un martèlement régulier et harmonieux. Le brouhaha intempestif semble quelque peu baisser en intensité tandis que tu t’installes au bar où un serveur s’empresse de te questionner sur ta commande. Tu fais signe au garçon de te rejoindre alors que tu commandes une vodka redbull. — Il commande quoi, Monsieur le Don Juan ? Un éclat de rire s’échappe de tes lèvres alors que tu secoues doucement ta crinière, tes longues boucles suivent chaque mouvement de tête comme une couronne asservie à sa reine.
Ta peau basanée palpite, gonfle sous les pores qui vibrent au rythme des basses. Le martèlement de la batterie marque la musique sur laquelle tes pieds dansent. Ozalee, comme tu es si féroce ce soir. Tu es comme une ombre qui se faufile contre Yasha, tu le repère tel un prédateur qui reconnaît sa proie. Lente et confiante, tu t’es collée contre lui pour l’embrasser sur la joue. En réponse à cette marque d’affection profonde, il te frôle à peine, lorsque ses doigts glissent dans ta crinière sauvage et terminent leur voyage contre ton dos. Il t’intime d’avancer, et c’est sans attendre que tu t’engouffres dans la foule. — Allons-y alors. Souriante, sûre de toi, de ta vie, tu te laisses entraîner par cet homme que tu emprisonnes pour la soirée, sans peur d’un futur immédiat ou lointain. — Tu crois réellement pouvoir conclure alors que je suis avec toi ? Elles ne feront pas le poids face à moi. Tu lèves au ciel avant de conclure d’une voix amusée : — Tu n’as rien sur la joue, Patate ! Tu marches, Ozalee Hawkins, tu effleures dans une caresse attendrissante la porte de la boîte de nuit que tu pousses, le passage devant le vigile annonce votre arrivée en ce lieu de beuverie déjà bien peuplé. Le brun sombre de tes iris balaye d’un regard circulaire le lieu avant d’indiquer deux places libres au comptoir du bar. Tu te réjouis intérieurement d’avoir trouvé deux places de choix pour être livrés rapidement en boisson. Tu t’apprêtes à fanfaronner lorsqu’il dépose un baiser sur ton front. Délicatement, tes doigts touchent la zone de contact alors que tes lèvres rouges s’étirent pour former un grand sourire, dévoilant ta rangée de dents adamantines. — Epargne moi ce baratin et garde le pour les autres, tu veux ? Des piques que vous vous lancez à longueur de journée, des petites vacheries qui témoignent de votre forte affection. Car il est ce garçon que tu adores plus que tout, il est garçon qui te ressemble et te comprend. Il est ce trésor, cette rencontre improbable mais si chère à tes yeux. Cette relation vous reliant étant si intense qu’elle t’embrase de l’intérieur rien qu’en pensant à lui. Yasha est ce Roi qui règne dans ton cœur et gouverne ta vie en la colorant de mille et une teintes.
Intrépide, tu foules gracieusement le sol du haut de tes talons compensés, faisant vibrer le sol d’un martèlement régulier et harmonieux. Le brouhaha intempestif semble quelque peu baisser en intensité tandis que tu t’installes au bar où un serveur s’empresse de te questionner sur ta commande. Tu fais signe au garçon de te rejoindre alors que tu commandes une vodka redbull. — Il commande quoi, Monsieur le Don Juan ? Un éclat de rire s’échappe de tes lèvres alors que tu secoues doucement ta crinière, tes longues boucles suivent chaque mouvement de tête comme une couronne asservie à sa reine.
- Spoiler:
- Désolé pour l'attente rp :blob: je reprends le rp petit à petit today,
et c'est difficile haha ! Je me rattraperai plus tard o/
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