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let's hurt tonight (stitch)
Lun 2 Avr 2018 - 17:23
— JB Stitch Romero St-James
Je suis un professeur | personnage inventé
« j'aurais aimé t'aimer. comme on aime le soleil. te dire que le monde est beau. et que c'est beau d'aimer. j'aurais aimé t'écrire. le plus beau des poèmes. et construire un empire. juste pour ton sourire. devenir le soleil. pour sécher tes sanglots. et faire battre le ciel. pour un futur plus beau. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | © hedgekey ◈ raúl esparza |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Il aime son travail, il l’adore. Il ne regrette rien – ou presque rien, qu’il soit honnête –, et s’il devait recommencer sa vie il ferait très probablement les mêmes choix. Cependant, il se sent terriblement fatigué. Une fatigue qui lui rappelle la naissance de sa princesse, sauf que le sentiment enivrant et léger de bonheur n’est plus aussi chaleureux que durant ces jeunes années. Est-ce qu’il est heureux ? Oui, il le pense. Mais il se sent lourd. Peut-être que c’est les quatre décennies qui le rappellent à l’ordre. Bien qu’il ait cette diffuse sensation que ce n’est très certainement pas la raison principale. Ce travail le draine, il lui draine toute son énergie. Mais cela en vaut la peine, le coup, s’il peut aider à faire avancer certaines choses. Sa relation avec Jazz est toujours aussi chaotique, et parfois c’est trop dur à gérer. Il se souvient rapidement de leur dernière dispute, il y a presque un mois de cela. Si il n’y a eu aucune agressivité physique l’un envers l’autre, elle a été plus violente que d’habitude. Et il n’est toujours pas revenu chez eux depuis. Sans oublier Emerald qui a beaucoup plus de – sale – caractère qu’il ne le pensait, ou semble se rendre compte. Sa migraine est encore plus tapante, et il commence à voir des petites étoiles blanches devant ses yeux. Merde.
Une fois chez lui, une fois les bretelles et la cravate tombées et lancées au hasard sur son lit qui semble bien trop grand lorsque Jazz n’est pas avec lui pour le réchauffer, une bière à la main, il sent se décontracter assez rapidement, se rendant compte ainsi qu’il se met peut-être trop la pression. Il soupire alors qu’il prend une gorgée. Bon Dieu, qu’est-ce qu’il a envie d’une cigarette. Non, il s’est dit qu’il arrêtait de fumer. Mais il est seul, personne n’aura à le savoir. Justement, c’est l’autre moitié de la pièce qui a tous les paquets, et il n’a vraiment pas envie de descendre pour aller en acheter. Tant pis. Il profite de sa solitude et du silence pour se reposer, lorsqu’il entend un bruit étrange. Pas fort, même très discret à tel point qu’il aurait pu passer à côté, mais cela a attiré son attention immédiatement. Il se lève, pose sa bière sur une table au hasard, et fait quelques pas dans la direction où il pense avoir entendu le son particulier. Il n’a pas le temps de comprendre qu’il y a une autre présence qu’il se fait sauter dessus, sa tête heurte le mur et il tombe au sol, déjà à moitié conscient.
Il se réveille petit à petit, ses yeux s’ouvrent mais ses rétines ne voient encore flou, agressées par la luminosité trop blanche de la pièce. Il n’a pas la tête qui tambourine, mais il a la nausée, un peu comme cette gueule de bois la première année où il a rencontré Jazz. À cette pensée, il émerge complètement, pour le trouver à moitié endormi à côté de lui. Il sourit, doucement, mais devine sans se voir que son expression doit être plus triste qu’autre chose, alors qu’il atteint sa main de la sienne. À ce contact, le grisonnant se réveille instantanément, et son regard bleuté somnolent tombe sur lui. « Hey. » L’ancien joueur lui sourit, et il peut lire une certaine tristesse dans ses traits, qu’il n’arrive pas à bien cacher, et il ne peut que se dire qu’il doit ressembler à quelque chose comme ça. Il bouge légèrement, et grimace de douleur, sent des bandages tout autour de lui qu’il n’avait pas remarqués avant. « Ils t’ont guéri, mais tu as été sérieusement amoché. Tu vas devoir prendre du temps pour te rétablir complètement. » Sans réellement se redresser, il essaie de voir son corps, qui est encore recouvert de pommades en tout genre pour cicatriser ses plaies encore bien visibles et moches, avant de laisser retomber sa tête sur l’oreiller de l’hôpital et regarder son mari en toute simplicité. Il ne croit pas qu’il ait déjà vu un air aussi inquiet et douloureux sur son visage. « Tu ne vas pas garder de trop grandes séquelles. Tu vas avoir quelques cicatrices, mais apparemment ça va aller. Tu as eu de la chance, il était parti pour te manger entièrement. » Stitch émet un petit son méprisant, pas à l’intention de cet homme qui essaie d’être aimant avec lui tout en lui disant la vérité, mais aux souvenirs qui lui reviennent en mémoire. Il était conscient. Il était conscient mais ne pouvait pas bouger, juste regarder ce qu’il était entrain de lui arriver. La douleur était tellement grande et aigue qu’il avait fini par ne plus la ressentir. Il ferme les yeux. Il aurait dû prendre certaines de ces menaces au sérieux, il le sait. Certaines personnes sont plus susceptibles et haineuses que d’autres, et il ne s’est pas fait que des amis. « J’ai pas eu de la chance, c’est toi qui m’as sauvé, cariño. » C’est au tour de Jazz d’émettre un bruit peu convaincu. Il était juste venu récupérer quelques affaires, et toujours pas parler au législateur, alors qu’il était toujours en colère contre lui. Cela, il ne le dira pas. Ça ne sert plus à rien, la donne a changé. « Stitch… Le sorcier qui t’a attaqué, c’est un loup-garou. J’ai réussi à le blesser, mais il a fui et on ne l’a pas attrapé. Mais… » Un souffle. Une grande inspiration, et une lente expiration. « Tu sais ce que ça veut dire… Le poison s’est répandu dans tes veines. » JB referme les yeux, ne pouvant pas supporter les prunelles lagon de son âme sœur présentement. Il sent la nausée revenir. Un loup-garou, il est un loup-garou. Il ne sait pas ce qu’il doit ressentir. Probablement du dégoût envers lui-même, de la colère que cette horreur lui soit arrivée, de la tristesse parce qu’il sait que ça annonce la fin de sa carrière au ministère de la magie. Toutefois, étonnamment, il ne ressent rien de tout cela. Il est presque vide. Peut-être qu’il est un peu sonné encore, mais il est juste fatigué. « J’ai envoyé un hibou urgent à Hungcalf, Emerald devrait pas tarder. » C’est à ce moment qu’il décide de rouvrir les paupières, de lui-même. D’accord, il peut faire en sorte que les choses marchent.
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Re: let's hurt tonight (stitch)
Lun 2 Avr 2018 - 17:24
+mille
en attendant une jolie mise en page.
(si elle vient un jour parce que branleur du dimanche.)
en attendant une jolie mise en page.
(si elle vient un jour parce que branleur du dimanche.)
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Re: let's hurt tonight (stitch)
Lun 2 Avr 2018 - 17:25
+mille(imagine le petit 3 au dessus).
pour toujours les liens.
pour toujours les liens.
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Re: let's hurt tonight (stitch)
Lun 2 Avr 2018 - 17:26
+mille(là c'est le petit 4).
PARCE QUE JE M'ÉTALE. ET VOILÀ À VOUS WSH.
PARCE QUE JE M'ÉTALE. ET VOILÀ À VOUS WSH.
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Re: let's hurt tonight (stitch)
Mer 4 Avr 2018 - 8:20
@JB Romero St-James Un petit lien ?
Etant donné que Monsieur Romero St-James est professeur de potion et qu'Oggie excelle dans ce domaine, je pense qu'il y a moyen de trouver quelque chose de sympa
Etant donné que Monsieur Romero St-James est professeur de potion et qu'Oggie excelle dans ce domaine, je pense qu'il y a moyen de trouver quelque chose de sympa
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Re: let's hurt tonight (stitch)
Mer 11 Avr 2018 - 10:20
@JB Romero St-James WSH m'oublie pas
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Re: let's hurt tonight (stitch)
Dim 22 Avr 2018 - 15:42
@JB Romero St-James Je crois que nous devons parler lien, toi et moi, Dindon !
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