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Ainsi vole le temps
Mar 13 Avr 2010 - 3:08
Je marchais sur les rues de Venise avec ma soeur Johana, main dans la main, elle me posait sans cesse des questions et je lui répondais de mon mieux. Oui, je suis un coeur tendre avec mes proches et les enfants. Johana était une petite fille curieuse qui n'avait pas encore atteint l'âge adulte. Elle me demandait souvent ce que s'était d'être vieux, selon son language. Bref, je voulais lui acheter un nouveau balais, quoi faire de plus lorsqu'on a autant d'argent? Nous marchions sur le chemin peuplé de beaucoup de sorcier.
- Tu sais, il a un monsieur un jour qui m'a touché, est-ce parce qu'il m'aime?
Je fus prit de surprise.
-QUOI?!
Elle me regardait avec un sourire qui ne ressemblait en rien a de la peur. Puis, tout devient noir. J'étais dans une ruelle sombre et ma soeur n'était plus a mes côtés. Je tournais en trois cent soixante et j'entendis un crie. Ma soeur était emprisonné dans une cage, la pauvre, et pleurait. Deux mangemorts étaient a ses côtés.
*Bastardo de puto !!! *
J'allais les attaqué directement, mais avant que je sortie ma baguette de ma manche, je me réveilla en sursaut.
-------
Je marchais dehors, il devait être environ 6 heure du matin et il faisait un peu frisquait. Je portais une chemise de soie noir , un pantalon propre, des souliers assorties et une cheinette au coup avec une croix. Je marchais tête baisser et mes mains étaient installés a l'intérieur de mes poches. Mes yeux d'un bleu ciel perçant observait chaque mèches de gazon jusqu'à j'atteint un sol terreux. Je relevais mes yeux lorsque je vis d'énormes remparts devant moi. Plus loin, il y avait des marches pour y monter. Donc, je décida de pendre ce chemin.
Mon frère et mes soeurs me manquaient terriblement. Je m'accouda sur les ramparts et regarda le monde a l'extérieur de l'enceinte. Les oiseaux chantonnaient et voltigeaient de partout. Mêmes les écureuils étaient la de bonne heure. Mon cerveau était remplis a cent pour cent, mais quelque chose me fit sortir de mon esprit. Quelqu'un venait de poussé un petit crie de douleur. Lorsque je me retourna je vis une jeune femme....
------------------
Désolé si j'écris pas beaucoup, mais j'étais un peu pressé =S
- Tu sais, il a un monsieur un jour qui m'a touché, est-ce parce qu'il m'aime?
Je fus prit de surprise.
-QUOI?!
Elle me regardait avec un sourire qui ne ressemblait en rien a de la peur. Puis, tout devient noir. J'étais dans une ruelle sombre et ma soeur n'était plus a mes côtés. Je tournais en trois cent soixante et j'entendis un crie. Ma soeur était emprisonné dans une cage, la pauvre, et pleurait. Deux mangemorts étaient a ses côtés.
*Bastardo de puto !!! *
J'allais les attaqué directement, mais avant que je sortie ma baguette de ma manche, je me réveilla en sursaut.
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Je marchais dehors, il devait être environ 6 heure du matin et il faisait un peu frisquait. Je portais une chemise de soie noir , un pantalon propre, des souliers assorties et une cheinette au coup avec une croix. Je marchais tête baisser et mes mains étaient installés a l'intérieur de mes poches. Mes yeux d'un bleu ciel perçant observait chaque mèches de gazon jusqu'à j'atteint un sol terreux. Je relevais mes yeux lorsque je vis d'énormes remparts devant moi. Plus loin, il y avait des marches pour y monter. Donc, je décida de pendre ce chemin.
Mon frère et mes soeurs me manquaient terriblement. Je m'accouda sur les ramparts et regarda le monde a l'extérieur de l'enceinte. Les oiseaux chantonnaient et voltigeaient de partout. Mêmes les écureuils étaient la de bonne heure. Mon cerveau était remplis a cent pour cent, mais quelque chose me fit sortir de mon esprit. Quelqu'un venait de poussé un petit crie de douleur. Lorsque je me retourna je vis une jeune femme....
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Désolé si j'écris pas beaucoup, mais j'étais un peu pressé =S
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Re: Ainsi vole le temps
Mer 14 Avr 2010 - 12:51
Le soleil commençait à peine à se lever lorsque mes pas me ramenèrent vers le parc de Hungcalf. Je venais de passer une nuit à faire la fête près de l’étang avec mes habituels compagnons de débauches. Qu’il était bon parfois de laisser libre court à ses envies pour mieux revenir ensuite à l’être sage et calme que j’étais le reste du temps. Mon esprit se mit à divaguer sur le spectacle du soleil qui jouait de ses rayons orangés sur les remparts du château de Hungcalf. Les créneaux de cette ancienne bâtisse devaient dater au moins du 12eme ou du 13eme siècle. J’étais une férue d’histoire et d’architecture depuis que j’avais visité avec mes parents des endroits aussi merveilleux et inoubliables que l’Egypte, la France, le Mexique et encore bien d’autres pays. Ils m’avaient transmis leur amour pour la civilisation aussi bien moldue que sorcière. Une idée complètement folle me vint et bien qu’il n’était encore que 5 ou 6h00 du matin et que je devais avoir dans le sang un taux d’alcoolémie assez élevé, je pris le chemin qui menait aux remparts. J’avais eu envie de prendre de la hauteur pour clarifier mes idées et respirer l’air frais du matin. Vêtue d’une robe rouge à fines bretelles s’arrêtant au dessus du genou et d’un long gilet noir la recouvrant partiellement je tenais mes talons aiguilles dans une main.
A présent je voyais tout le domaine de Hungcalf, l’étang, les jardins, le vieux château, la forêt et encore des dizaines d’endroits que j’aimais et je redécouvrais sans cesse avec plaisir. Je fermais les yeux et laisser le soleil réchauffer doucement ma peau endormie par les vapeurs d’alcool, de weed et par la fraîcheur matinale. Le sourire aux lèvres je caressais doucement la pierre d’un rempart qui avait du abrité de nombreuses batailles durant le Moyen-Âge. Repenser à cette période historique lointaine me fit penser à Ezechiel. Il avait envers moi une attitude toute chevaleresque et par bien des points cela me faisait penser à ce que les moldus historiens appelaient l’amour courtois. Lorsque les hommes prenaient le temps de faire la cour, de gagner le cœur de leur promise. Mais ces temps étaient plus que révolus ! Les princes charmants n’étaient plus de ce monde et les princesses non plus. D’ailleurs en y réfléchissant bien je n’étais en rien digne des femmes de ce temps là, il y avait bien longtemps que j’avais perdu ma vertue mais de temps à temps être courtisée était agréable.
En déambulant, en divaguant, le regard perdu sur la nature qui s’éveillait peu à peu, je ne fis pas attention à un morceau de verre brisé qui se trouvait sur le sol, vestige d’une soirée arrosée. Mon pied rentra en contact avec l’objet coupant et se planta dans ma chaire sans aucune difficulté. Je poussais une plainte de douleur sans pouvoir la retenir. Le souffle coupé j’essayais tant bien que mal de ne pas paniquer comme une petite idiote. Le sang commençait à couler le long de mon talon en un flot constant et cela ne me présageait rien de bon. Heureusement que je n’étais pas du genre à m'évanouir à la vue du sang… Soudain mon regard fut attirée par un mouvement, je n’étais pas seule finalement sur les remparts à cette heure très matinale. Un garçon vêtu de noir, le regard bleu acier et la chevelure longue et brune se retourna vers moi. Je n’avais pas l’impression de le connaître vraiment, nous avions dû nous croiser une fois ou deux mais jamais nous n’avions engagé la conversation.
Excuse-moi ? Est-ce que je peux te demander un peu d’aide ? lâchais-je en essayant de serrer les dents pour ne pas de nouveau pousser un cri de souffrance.
Si tu pouvais m’aider pour que je puisse m’asseoir sur le rempart juste là je t’en serrais vraiment reconnaissante. J’ai voulu faire la maligne en marchant pieds nus, résultats je me suis plantée un morceau de verre dans le pied.
Mon regard s’accrocha au sien avec espoir. Le souffle court je me mordis l’intérieur de la joue lorsque je posais mon pied blessé l’espace d’une seconde d’inattention. Les réflexes du corps humain étaient à ce point irréfléchis que je n’avais pas pris garde de maintenir mon pied en l’air. A présent le minéral s’était un peu plus enfoncé dans ma chair. Une larme de douleur perla au coin de mon œil.
A présent je voyais tout le domaine de Hungcalf, l’étang, les jardins, le vieux château, la forêt et encore des dizaines d’endroits que j’aimais et je redécouvrais sans cesse avec plaisir. Je fermais les yeux et laisser le soleil réchauffer doucement ma peau endormie par les vapeurs d’alcool, de weed et par la fraîcheur matinale. Le sourire aux lèvres je caressais doucement la pierre d’un rempart qui avait du abrité de nombreuses batailles durant le Moyen-Âge. Repenser à cette période historique lointaine me fit penser à Ezechiel. Il avait envers moi une attitude toute chevaleresque et par bien des points cela me faisait penser à ce que les moldus historiens appelaient l’amour courtois. Lorsque les hommes prenaient le temps de faire la cour, de gagner le cœur de leur promise. Mais ces temps étaient plus que révolus ! Les princes charmants n’étaient plus de ce monde et les princesses non plus. D’ailleurs en y réfléchissant bien je n’étais en rien digne des femmes de ce temps là, il y avait bien longtemps que j’avais perdu ma vertue mais de temps à temps être courtisée était agréable.
En déambulant, en divaguant, le regard perdu sur la nature qui s’éveillait peu à peu, je ne fis pas attention à un morceau de verre brisé qui se trouvait sur le sol, vestige d’une soirée arrosée. Mon pied rentra en contact avec l’objet coupant et se planta dans ma chaire sans aucune difficulté. Je poussais une plainte de douleur sans pouvoir la retenir. Le souffle coupé j’essayais tant bien que mal de ne pas paniquer comme une petite idiote. Le sang commençait à couler le long de mon talon en un flot constant et cela ne me présageait rien de bon. Heureusement que je n’étais pas du genre à m'évanouir à la vue du sang… Soudain mon regard fut attirée par un mouvement, je n’étais pas seule finalement sur les remparts à cette heure très matinale. Un garçon vêtu de noir, le regard bleu acier et la chevelure longue et brune se retourna vers moi. Je n’avais pas l’impression de le connaître vraiment, nous avions dû nous croiser une fois ou deux mais jamais nous n’avions engagé la conversation.
Excuse-moi ? Est-ce que je peux te demander un peu d’aide ? lâchais-je en essayant de serrer les dents pour ne pas de nouveau pousser un cri de souffrance.
Si tu pouvais m’aider pour que je puisse m’asseoir sur le rempart juste là je t’en serrais vraiment reconnaissante. J’ai voulu faire la maligne en marchant pieds nus, résultats je me suis plantée un morceau de verre dans le pied.
Mon regard s’accrocha au sien avec espoir. Le souffle court je me mordis l’intérieur de la joue lorsque je posais mon pied blessé l’espace d’une seconde d’inattention. Les réflexes du corps humain étaient à ce point irréfléchis que je n’avais pas pris garde de maintenir mon pied en l’air. A présent le minéral s’était un peu plus enfoncé dans ma chair. Une larme de douleur perla au coin de mon œil.
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Re: Ainsi vole le temps
Ven 16 Avr 2010 - 0:03
Mon regard s'était posé sur cette jeune femme qui venait de pousser le crie qui exprimait évidement de la douleur. Ma bouche était a moitié ouverte, de surprise j'imagine, en voyant cette dernière se tenir contre les remparts pour éviter de se blesser.
"-Excuse-moi ? Est-ce que je peux te demander un peu d’aide ?"
M'avait-elle demander d'une douceur imprévue. J'étais planté, la, devant elle, comme pétrifié a l'idée de la voir souffrir. Puis, elle fit un geste qui venait de la nature humaine, un geste évidement irréprochable. Elle reposa le même pied ensanglanté sur le sol. C'est a ce moment que j'acta un mouvement qui devait ressembler a un attend, je vais t'aider, une seconde je dois juste revenir sur terre.
"-Si tu pouvais m’aider pour que je puisse m’asseoir sur le rempart juste là je t’en serrais vraiment reconnaissante. J’ai voulu faire la maligne en marchant pieds nus, résultats je me suis plantée un morceau de verre dans le pied."
C'est a ce moment que je me réveilla. Je fis une marche rapide jusqu'a elle et sans demander la permission je la souleva délicatement du sol, la prenant d'une manière princière portant sa douce jusqu'au chateau ( qui en ce moment était le rebord du rempart) et la déposa , fesses sur les briques légèrement lisses. Mes mains étaient reposés sur ses bras et mes yeux bleus la dévisageait sans cesse. Elle était si jolie. * Pas le temps de jouer les Don Juan, mon vieux, il y a une jeune femme en détresse juste sous tes yeux.* Toutefois, j'avais une étrange impression de déja vue. Cette jeune femme me disait bien quelque choses. Oui, je m'en souviens ! Je marchais en compagnie de....personne, a mon cours et je l'avais croisé dans mon chemin. Évidement je l'avais vue puisque sans faire exiprès elle m'avait légèrement bousculer.
Puis, je regarda la perle salé couler le long de sa peau satiné. Je l'a recuiellis de mon index, et leva son menton délicatement.
-Aucun problème madona, vous n'êtes aucunement maligne. Ce n'est pas vous qui avez mit ce vilain morçeau de verre sur le sol. Maintenant, laissez moi faire, per favor.
J'avais ce vilain accent italien qui, malheureusement pour certains, mais heureusement pour d'autre, resterait tout probablement a vie en moi. Évidement, je devais me forcer a parler comme ces gens d'ici et a accomplir avec brio l'apprentissage de tout ces mots difficiles.
Bref, je m'agenouilla sans aucun mot a dire de plus et d'une seule main prit le talon de la demoiselle pour en vérifier le malheureux résultat. Le verre était entré profondément dans sa chair et s'était bien triste, mais il fallait l'extraire. Je releva ma tête et dit d'une voix sérieuse:
- Sa risque de faire un peu mal, mais je n'ai pas le choix. Faite moi confiance.
Je laissa glisser ma baguette le long de ma manche et attrapa mon fardeau. D'un coup de baguette le verre menaca de s'extraire lentement et puis se fut comme un coup de fusil. La seul problématique était que son jolie petit pied saignait abondament. Je fis apparaitre un liquide désinfectant du bout de ma baguette et enroula un gaz stérile autour de son pied, évitant de trop lui faire de mal, mais elle semblait résister.
Enfin je déploya mon grand six pied et lui fit un sourire ravageur, tout a fait dentifrice extrème blancheur, main sur les hanches, fier du résultat.
- Voila !
"-Excuse-moi ? Est-ce que je peux te demander un peu d’aide ?"
M'avait-elle demander d'une douceur imprévue. J'étais planté, la, devant elle, comme pétrifié a l'idée de la voir souffrir. Puis, elle fit un geste qui venait de la nature humaine, un geste évidement irréprochable. Elle reposa le même pied ensanglanté sur le sol. C'est a ce moment que j'acta un mouvement qui devait ressembler a un attend, je vais t'aider, une seconde je dois juste revenir sur terre.
"-Si tu pouvais m’aider pour que je puisse m’asseoir sur le rempart juste là je t’en serrais vraiment reconnaissante. J’ai voulu faire la maligne en marchant pieds nus, résultats je me suis plantée un morceau de verre dans le pied."
C'est a ce moment que je me réveilla. Je fis une marche rapide jusqu'a elle et sans demander la permission je la souleva délicatement du sol, la prenant d'une manière princière portant sa douce jusqu'au chateau ( qui en ce moment était le rebord du rempart) et la déposa , fesses sur les briques légèrement lisses. Mes mains étaient reposés sur ses bras et mes yeux bleus la dévisageait sans cesse. Elle était si jolie. * Pas le temps de jouer les Don Juan, mon vieux, il y a une jeune femme en détresse juste sous tes yeux.* Toutefois, j'avais une étrange impression de déja vue. Cette jeune femme me disait bien quelque choses. Oui, je m'en souviens ! Je marchais en compagnie de....personne, a mon cours et je l'avais croisé dans mon chemin. Évidement je l'avais vue puisque sans faire exiprès elle m'avait légèrement bousculer.
Puis, je regarda la perle salé couler le long de sa peau satiné. Je l'a recuiellis de mon index, et leva son menton délicatement.
-Aucun problème madona, vous n'êtes aucunement maligne. Ce n'est pas vous qui avez mit ce vilain morçeau de verre sur le sol. Maintenant, laissez moi faire, per favor.
J'avais ce vilain accent italien qui, malheureusement pour certains, mais heureusement pour d'autre, resterait tout probablement a vie en moi. Évidement, je devais me forcer a parler comme ces gens d'ici et a accomplir avec brio l'apprentissage de tout ces mots difficiles.
Bref, je m'agenouilla sans aucun mot a dire de plus et d'une seule main prit le talon de la demoiselle pour en vérifier le malheureux résultat. Le verre était entré profondément dans sa chair et s'était bien triste, mais il fallait l'extraire. Je releva ma tête et dit d'une voix sérieuse:
- Sa risque de faire un peu mal, mais je n'ai pas le choix. Faite moi confiance.
Je laissa glisser ma baguette le long de ma manche et attrapa mon fardeau. D'un coup de baguette le verre menaca de s'extraire lentement et puis se fut comme un coup de fusil. La seul problématique était que son jolie petit pied saignait abondament. Je fis apparaitre un liquide désinfectant du bout de ma baguette et enroula un gaz stérile autour de son pied, évitant de trop lui faire de mal, mais elle semblait résister.
Enfin je déploya mon grand six pied et lui fit un sourire ravageur, tout a fait dentifrice extrème blancheur, main sur les hanches, fier du résultat.
- Voila !
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