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- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8255
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
» particularité : animagus
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 8244
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Re: Teenage dream - ft. Maximilien (terminé)
Sam 6 Jan 2024 - 11:16
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]C’est vrai qu’on s’y sent bien. C’est une grande fierté qui vient peindre ton jeune visage alors que ton regard dérive vers les montagnes aux alentours. L’été est chaud, les cimes commencent à brûler mais malgré tout, la verdure est bien présente, presque étouffante. Cela ne vous empêche pas de déjeuner tranquillement et d’en profiter jusqu’à ce que sonne l’heure de repartir. Le soleil est bien haut dans le ciel et tu le sens taper dans ton dos comme s’il cherchait à te cramer personnellement. Les sensations sont très différentes quand tu es sous ta forme animale. L’astre est toujours aussi brûlant mais le vent qui accompagne tes mouvements te permet de l’approcher sans risque et t’offre un peu de fraîcheur. Si d’aventures tu te laisses planer jusqu’à la mer, tu es certain d’y trouver bien plus que du rafraîchissement mais aussi une étrange sensation d’être… grand. Plus puissant que ce que tu crois. Ou plus petit ? C’est indéchiffrable.
La peau cuisante, tu es bien ravi de pouvoir t’allonger dans un lit, dans une pièce fraîche, et de dormir tout ton saoul. D’ailleurs, tu ne sais pas comment James fait pour se concentrer à cette heure-là de la journée, après une telle marche, quand tout ton être crie de faire la larve. M’enfin, vous n’avez sûrement pas le même système de fonctionnement et tu ne bouderas pas ton plaisir d’être au calme, la tête lourde à force de céder aux assauts du soleil.
La boule de feu a largement continué sa course lorsque tu ouvres un œil, puis le deuxième. Personne à tes côtés, ce qui te laisse penser que James est toujours à sa peinture et n’a pas ressenti l’envie de te rejoindre pour un peu de repos. Après un verre d’eau bien mérité, tu attrapes deux glaces dans le congélateur et en apportes une au sorcier qui, en effet, n’a pas bougé de sa place. Sa toile, elle, est bien plus remplie qu’à ton départ.
« Bien oui. » Tu regardes ta montre sorcière et réalises soudainement qu’il est bien tard. As-tu vraiment dormi tout ce temps ? Tu voudrais en être désolé mais étant donné le bien que ça t’a fait… N’était-ce pas une nécessité en fin de compte ?
« On peut reporter à demain, t’as l’air bien absorbé et autant que tu aies le temps de finir ta peinture ! Je vais faire un p’tit footing rapide en forêt, on se retrouve tout à l’heure ? » La glace dans la bouche, tu t’étires autant que possible avant de commencer à trottiner gentiment pendant plusieurs mètres, puis tu t’y mets plus sérieusement en allongeant tes foulées. Après quelques minutes, le souffle un peu plus court, tu t’arrêtes en plein chemin et regardes au-dessus de toi en direction du ciel.
« C’est parti. » Tu reprends un petit trottinement léger sur cette ligne droite et te concentres au mieux. L’aigle se forme dans ton esprit et s’envole jusqu’en haut des cimes, écartant ses ailes au maximum. Il plane au-dessus de la forêt jusqu’à passer au-dessus de la cabane des Leroy et tu pousses un cri animal en direction de James avant de disparaître presqu’aussi vite. Tu passes un long moment dans le ciel, parcours de nombreux kilomètres avant de revenir à ton point de départ. Cette liberté momentanée t’a fait un bien fou elle aussi et quand tu reviens à la cabane sous ta forme humaine, un sourire long comme ton bras s’affiche sur ton visage.
« J’ai la daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalle ! »
La peau cuisante, tu es bien ravi de pouvoir t’allonger dans un lit, dans une pièce fraîche, et de dormir tout ton saoul. D’ailleurs, tu ne sais pas comment James fait pour se concentrer à cette heure-là de la journée, après une telle marche, quand tout ton être crie de faire la larve. M’enfin, vous n’avez sûrement pas le même système de fonctionnement et tu ne bouderas pas ton plaisir d’être au calme, la tête lourde à force de céder aux assauts du soleil.
La boule de feu a largement continué sa course lorsque tu ouvres un œil, puis le deuxième. Personne à tes côtés, ce qui te laisse penser que James est toujours à sa peinture et n’a pas ressenti l’envie de te rejoindre pour un peu de repos. Après un verre d’eau bien mérité, tu attrapes deux glaces dans le congélateur et en apportes une au sorcier qui, en effet, n’a pas bougé de sa place. Sa toile, elle, est bien plus remplie qu’à ton départ.
« Bien oui. » Tu regardes ta montre sorcière et réalises soudainement qu’il est bien tard. As-tu vraiment dormi tout ce temps ? Tu voudrais en être désolé mais étant donné le bien que ça t’a fait… N’était-ce pas une nécessité en fin de compte ?
« On peut reporter à demain, t’as l’air bien absorbé et autant que tu aies le temps de finir ta peinture ! Je vais faire un p’tit footing rapide en forêt, on se retrouve tout à l’heure ? » La glace dans la bouche, tu t’étires autant que possible avant de commencer à trottiner gentiment pendant plusieurs mètres, puis tu t’y mets plus sérieusement en allongeant tes foulées. Après quelques minutes, le souffle un peu plus court, tu t’arrêtes en plein chemin et regardes au-dessus de toi en direction du ciel.
« C’est parti. » Tu reprends un petit trottinement léger sur cette ligne droite et te concentres au mieux. L’aigle se forme dans ton esprit et s’envole jusqu’en haut des cimes, écartant ses ailes au maximum. Il plane au-dessus de la forêt jusqu’à passer au-dessus de la cabane des Leroy et tu pousses un cri animal en direction de James avant de disparaître presqu’aussi vite. Tu passes un long moment dans le ciel, parcours de nombreux kilomètres avant de revenir à ton point de départ. Cette liberté momentanée t’a fait un bien fou elle aussi et quand tu reviens à la cabane sous ta forme humaine, un sourire long comme ton bras s’affiche sur ton visage.
« J’ai la daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalle ! »
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 1898
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» crédits : ECK ou Google est mon ami
» multinick : L'hermine (Holly De L.) et le moineau (Luan N.) (RIP l'alligator (Aroha H.) et le Leprechaun (Adrian O'C.))
» âge : 25 ans (26/06/1998)
» situation : fiancé et amoureux (de plusieurs personne, chut)
» année d'études : 5e année
» options obligatoires & facultatives : Options obligatoires
• Botanique
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• Astronomie
Options facultatives
• Vol/Sport
• Potions
» profession : plus ou moins apprenti potioniste
» particularité : aucune mais cherche à apprendre l'occlumancie
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Re: Teenage dream - ft. Maximilien (terminé)
Sam 13 Jan 2024 - 16:28
07.2014
C'est avec un sourire ravi que tu regardes ton petit-ami retourner dans la petite maison pour sa sieste, puis que tu t'installes pour peindre. S'il recharge ses batteries dans le sommeil, toi, ces moments - heures même - passés seul avec tes pinceaux te fond le plus grand bien. C'est calme, apaisant. Un côté contemplatif, méditatif, presque, qui te rend plus serein que jamais. C'est la glace qui pointe sous ton nez qui te tire de ton oeuvre et tu souris au brun revenu près de toi, acceptant l'offrande avec plaisir, après t'être essuyé les mains autant que possible dans le chiffon que tu gardes près de toi.
« On peut reporter à demain, t’as l’air bien absorbé et autant que tu aies le temps de finir ta peinture ! Je vais faire un p’tit footing rapide en forêt, on se retrouve tout à l’heure ? »
-Ca marche, merci !
Tu le regardes encore un instant comme il s'éclipse après quelques étirements, jusqu'à ce que sa silhouette disparaisse au détour du chemin. Il est beau, ne peux-tu t'empêcher de songer, avant d'inspirer profondément et secouer légèrement la tête, les joues rosies. La glace a le don de te rafraîchir un peu les idées et après l'avoir engloutie - avais-tu faim à ce point ? - tu reprends ton oeuvre où tu l'avais laissée.
Un aigle passe au-dessus de toi et son cri attire ton attention. La main en visière comme tu lèves la tête vers le ciel, tu aperçois seulement un instant le volatile avant qu'il ne disparaisse au loin. Voler. Le lieu s'y prête agréablement. Peut-être que vous pourrez enfourcher quelques balais à un moment ? Il faudra que tu songes à le demander plus tard.
Quand un long moment après, le visage du français reparaît, c'est porteur d'un large sourire qui en provoque un chez toi aussi.
« J’ai la daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalle ! »
Tu ris devant cette affirmation on ne peut plus naturelle, et plus encore quand c'est ton estomac qui lui répond.
-Là, je ne peux vraiment pas nier que moi aussi !
Tu t'attelles donc à ranger tes affaires, assez satisfait de ta peinture quoi que tu n'aies pasparfaitement rendu la lumière brillante des lieux comme tu le soulignes en rentrant dans la maison.
-Je reviens , signifies-tu avant de déposer un baiser furtif sur les lèvres du Leroy et te rendre à la salle de bains une fois ton matériel ordonné, pour retirer de tes doigts toute trace de peinture. La moindre des choses avant que vous n'envisagiez de préparer le repas et de passer à table.
Evidemment, les allusions de Peter ne manquent pas, et si tes joues s'empourprent invariablement, tu glisses tes doigts dans la main de Max, assurant ta présence autant que cherchant la sienne. Finalement, c'est sur un ton plus amusé qu'agacé que tu te tournes vers l'aîné, imaginant assez qu'il se soucie surtout du bien-être de son cadet.
-Mais ça vient d'où cette obsession pour ce qu'on fait, en fait ? Freya ! Heureusement que ma soeur est pas là, on s'en sortirait pas !
Tu ris un peu, imaginant aisément ta cadette poser le même genre de questions. La discussion tournerait sans doute à l'interrogatoire, et si tu le prends à la dérision là maintenant, c'est bien parce qu'elle n'est pas dans le coin. La fin du repas approchant, tu sens cependant une certaine pression revenir sur tes épaules, pas trop sûr de ce que vous ferez une fois la porte de votre chambre refermée. T'aimes pas cet embarras palpable, et une fois que vous avez chacun achevé de vous préparer pour la nuit, tu viens t'asseoir non loin de lui, cherchant à nouveau à nouer tes doigts aux siens.
-Max...
T'es pas forcément très à l'aise avec les mots ni le sujet, mais il te semble nécessaire de crever l'abcès. Aussi maladroitement cela soit-il.
-Tu sais... C'est pas parce qu'on dort dans le même lit que... qu'on est obligés de... Enfin... tu vois ? Enfin je dis pas que j'en ai pas un peu envie mais... Hum... On... On fera... comme on le sent ? Si on le sent ?
Bon, t'es beaucoup moins assuré que tu le voudrais, mais faut dire que tu navigues complètement en mer inconnue, là. Tout ce que tu sais, c'est que t'as pas envie que ça soit tout le temps tendu entre vous dès lors que le soir approche...
C'est avec un sourire ravi que tu regardes ton petit-ami retourner dans la petite maison pour sa sieste, puis que tu t'installes pour peindre. S'il recharge ses batteries dans le sommeil, toi, ces moments - heures même - passés seul avec tes pinceaux te fond le plus grand bien. C'est calme, apaisant. Un côté contemplatif, méditatif, presque, qui te rend plus serein que jamais. C'est la glace qui pointe sous ton nez qui te tire de ton oeuvre et tu souris au brun revenu près de toi, acceptant l'offrande avec plaisir, après t'être essuyé les mains autant que possible dans le chiffon que tu gardes près de toi.
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Tu le regardes encore un instant comme il s'éclipse après quelques étirements, jusqu'à ce que sa silhouette disparaisse au détour du chemin. Il est beau, ne peux-tu t'empêcher de songer, avant d'inspirer profondément et secouer légèrement la tête, les joues rosies. La glace a le don de te rafraîchir un peu les idées et après l'avoir engloutie - avais-tu faim à ce point ? - tu reprends ton oeuvre où tu l'avais laissée.
Un aigle passe au-dessus de toi et son cri attire ton attention. La main en visière comme tu lèves la tête vers le ciel, tu aperçois seulement un instant le volatile avant qu'il ne disparaisse au loin. Voler. Le lieu s'y prête agréablement. Peut-être que vous pourrez enfourcher quelques balais à un moment ? Il faudra que tu songes à le demander plus tard.
Quand un long moment après, le visage du français reparaît, c'est porteur d'un large sourire qui en provoque un chez toi aussi.
« J’ai la daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalle ! »
Tu ris devant cette affirmation on ne peut plus naturelle, et plus encore quand c'est ton estomac qui lui répond.
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Tu t'attelles donc à ranger tes affaires, assez satisfait de ta peinture quoi que tu n'aies pas
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Evidemment, les allusions de Peter ne manquent pas, et si tes joues s'empourprent invariablement, tu glisses tes doigts dans la main de Max, assurant ta présence autant que cherchant la sienne. Finalement, c'est sur un ton plus amusé qu'agacé que tu te tournes vers l'aîné, imaginant assez qu'il se soucie surtout du bien-être de son cadet.
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Tu ris un peu, imaginant aisément ta cadette poser le même genre de questions. La discussion tournerait sans doute à l'interrogatoire, et si tu le prends à la dérision là maintenant, c'est bien parce qu'elle n'est pas dans le coin. La fin du repas approchant, tu sens cependant une certaine pression revenir sur tes épaules, pas trop sûr de ce que vous ferez une fois la porte de votre chambre refermée. T'aimes pas cet embarras palpable, et une fois que vous avez chacun achevé de vous préparer pour la nuit, tu viens t'asseoir non loin de lui, cherchant à nouveau à nouer tes doigts aux siens.
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T'es pas forcément très à l'aise avec les mots ni le sujet, mais il te semble nécessaire de crever l'abcès. Aussi maladroitement cela soit-il.
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Bon, t'es beaucoup moins assuré que tu le voudrais, mais faut dire que tu navigues complètement en mer inconnue, là. Tout ce que tu sais, c'est que t'as pas envie que ça soit tout le temps tendu entre vous dès lors que le soir approche...
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Re: Teenage dream - ft. Maximilien (terminé)
Dim 14 Jan 2024 - 14:28
La journée est si facile à apprivoiser, comme un vieux chat bien rôdé par les années qui sait ce qui l’attend, et quand. Tu ne crains rien de ces heures-là car elles répondent à tes besoins et que l’attente que l’on fait peser sur toi s’allège, pour un temps. Et puis, vient le dîner où Peter se fait un peu plus insistant. Il faut le connaître pour discerner chez lui les traces d’inquiétude mêlées à la curiosité commune des Leroy. Il ne veut que ton bien, c’est indéniable, mais n’a jamais vraiment su comment s’y prendre pour la manifester sans te brusquer, toi l’être plus sensible qu’il ne l’est. À ta place, il saurait répondre par une boutade un peu provocante, faisant hausser les sourcils de votre père et pincer les lèvres de votre mère. Et si par mégarde ton grand-père était dans les parages, il aurait énoncé un jugement réprobateur à l’égard de ton aîné qui, se sachant dans ses bonnes grâces, ne l’aurait pas pris à titre personnel. L’aisance de Peter dans ses relations aux autres te fascine toujours autant et tu aimerais tirer des leçons de ses erreurs, sans jamais parvenir à atteindre son niveau. Bien que bon élève au comportement plus que respectable, tu as plus d’attrait pour l’ombre que la lumière et en cela, vous vous accordez bien. Les spotlights sur ta vie privée sont les pires à tes yeux car tu ne sais jamais quoi dire ni comment l’expliquer. D’ailleurs, est-il réellement nécessaire de le faire ? Alors que tu regardes James lorsqu’il ne te voit pas faire, tu te demandes s’il ressent la même pression et surtout, ce qu’il a décidé d’en faire. Donc oui, les soirs sont redoutés et redoutables, ils viennent avec leur lot de questionnement et d’appréhension. Tu as pu y échapper la veille, comment feras-tu ce soir ? Tu ne peux reculer indéfiniment le moment d’aller se coucher, il est vrai. Il finit bien par arriver le temps d’entrer dans la pièce et d’évaluer les options qui s’offrent à vous.
Vous en êtes là, assis l’un à côté de l’autre, les doigts aussi noués que les cœurs. Tu déglutis difficilement face à cette conversation qui ne te met pas à l’aise et abîme ta joie. Tu es pourtant soulagé d’entendre James te laisser le choix. Vous n’avez jamais discuté de vos attentes l’un envers l’autre pendant ces vacances et la logique voudrait qu’avec la nouvelle année universitaire qui s’ouvre devant toi, vous décidiez de sauter le pas. De marquer le coup. Et ainsi, peut-être, pérenniser votre engagement. Mais tu n’as pas envie de le faire « parce que ce serait la meilleure décision en vue des circonstances ». Tu veux attendre que la sensation vienne d’elle-même, que l’urgence se proclame – à l’image des héros dans les livres que tu dévores – et que l’acte soit inévitable. Comme une évidence. Là, tout de suite, ça ne l’est pas. Ni pour l’un, ni pour l’autre d’ailleurs, penses-tu en le dévisageant.
« Merci. » Ta voix est comme un souffle alors que la tension disparaît de tes épaules. « Ce n’est pas que je ne veuille pas du tout, c’est juste que je ne me sens pas encore prêt. On n’est pas pressés de toute façon, hein ? » D’aucun pourrait penser le contraire pour les raisons évoquées plus tôt, mais tu préfères te dire que tu n’as encore que dix-huit ans et que, même si beaucoup de tes camarades s’y sont déjà attelés, tu es encore jeune et as le temps devant toi. Beaucoup de temps. Sur ces bonnes paroles, tu embrasses le Drummond avec tendresse et l’invites à s’allonger à tes côtés pour un moment doux, loin du stress et des obligations d’un couple. Un moment rien qu’à vous, de discussion, de respect et d’un peu de joie parsemée ici et là, parce qu’il en faut bien pour continuer à avancer.
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Vous en êtes là, assis l’un à côté de l’autre, les doigts aussi noués que les cœurs. Tu déglutis difficilement face à cette conversation qui ne te met pas à l’aise et abîme ta joie. Tu es pourtant soulagé d’entendre James te laisser le choix. Vous n’avez jamais discuté de vos attentes l’un envers l’autre pendant ces vacances et la logique voudrait qu’avec la nouvelle année universitaire qui s’ouvre devant toi, vous décidiez de sauter le pas. De marquer le coup. Et ainsi, peut-être, pérenniser votre engagement. Mais tu n’as pas envie de le faire « parce que ce serait la meilleure décision en vue des circonstances ». Tu veux attendre que la sensation vienne d’elle-même, que l’urgence se proclame – à l’image des héros dans les livres que tu dévores – et que l’acte soit inévitable. Comme une évidence. Là, tout de suite, ça ne l’est pas. Ni pour l’un, ni pour l’autre d’ailleurs, penses-tu en le dévisageant.
« Merci. » Ta voix est comme un souffle alors que la tension disparaît de tes épaules. « Ce n’est pas que je ne veuille pas du tout, c’est juste que je ne me sens pas encore prêt. On n’est pas pressés de toute façon, hein ? » D’aucun pourrait penser le contraire pour les raisons évoquées plus tôt, mais tu préfères te dire que tu n’as encore que dix-huit ans et que, même si beaucoup de tes camarades s’y sont déjà attelés, tu es encore jeune et as le temps devant toi. Beaucoup de temps. Sur ces bonnes paroles, tu embrasses le Drummond avec tendresse et l’invites à s’allonger à tes côtés pour un moment doux, loin du stress et des obligations d’un couple. Un moment rien qu’à vous, de discussion, de respect et d’un peu de joie parsemée ici et là, parce qu’il en faut bien pour continuer à avancer.
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Re: Teenage dream - ft. Maximilien (terminé)
Lun 15 Jan 2024 - 17:33
Ca fourmille dans ta petite tête inquiète quand tu t'assois près de ton petit-ami, sans trop savoir comment aborder le sujet qui semble peser trop lourd dans cette pièce, sur vos deux paires d'épaules. La seule chose dont tu es sûr, c'est que tu n'as pas envie que ça reste ainsi. Tu voudrais pouvoir profiter de ces moments ensemble sans cette pression qui vous gagne chaque soir. Juste retrouver le naturel de vos rencontres à BeauxBâtons, celui qui vous gagne à nouveau en journée, et qui s'étiole dès que le soleil descend à l'horizon.
Assis tout à côté de lui, la main dans la sienne, tu te sens aussi inquiet que tu sens l'inquiétude le gagner aussi, à l'amorce de cette conversation inédite. T'es pas sûr d'être très clair dans tes propos, mais c'est avec soulagement que tu entends le brun te répondre dans un léger souffle témoin de l'allègement de ses propres tensions.
« Merci. »
T'esquisses un léger sourire, pas très certain qu'il y ait vraiment de remerciement à donner, un peu plus apaisé qu'il y a quelques minutes.
« Ce n’est pas que je ne veuille pas du tout, c’est juste que je ne me sens pas encore prêt. On n’est pas pressés de toute façon, hein ? »
-Je comprends parfaitement. On n'est pas pressés, non, puis je crois que je ne voudrais pas... gâcher ce moment en allant trop vite non plus.
Un baiser tendre achève de dénouer tes épaules et vous terminez cette seconde soirée étendus l'un près de l'autre à discuter paisiblement de tout et de rien avant que le sommeil ne finisse par vous gagner. Toi le premier, plus assommé par la marche et l'après-midi à peindre que tu ne l'avais réalisé.
Le lendemain matin ressemble trait pour trait au précédent, si ce n'est qu'avant que vous ne partiez pour le lac comme prévu et de rejoindre Max au dehors, tu interceptes Peter.
-Hey Peter... Hum... Dis... Est-ce qu'on peut arrêter les insinuations sur ce qu'on fait ou pas Max et moi ? Ca nous met tous les deux mal à l'aise... et en vrai... Ca arrivera quand ça arrivera, tu vois ? On devrait pas se mettre de pression pour ça...
A mesure que tu parlais, t'as fini par tourner la tête vers le Leroy qui t'attend dehors, un sourire tendre pointant sur tes lèvres comme la plupart du temps quand ton regard se pose sur lui.
-Je vais y aller... Il m'attend pour aller faire un tour du côté du lac... A ce soir ?
Question rhétorique, plus une manière de prendre congé qu'autre chose, et tu rejoins ton ami au dehors, prêt à découvrir un autre endroit de ces magnifiques contrées.
Assis tout à côté de lui, la main dans la sienne, tu te sens aussi inquiet que tu sens l'inquiétude le gagner aussi, à l'amorce de cette conversation inédite. T'es pas sûr d'être très clair dans tes propos, mais c'est avec soulagement que tu entends le brun te répondre dans un léger souffle témoin de l'allègement de ses propres tensions.
« Merci. »
T'esquisses un léger sourire, pas très certain qu'il y ait vraiment de remerciement à donner, un peu plus apaisé qu'il y a quelques minutes.
« Ce n’est pas que je ne veuille pas du tout, c’est juste que je ne me sens pas encore prêt. On n’est pas pressés de toute façon, hein ? »
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Un baiser tendre achève de dénouer tes épaules et vous terminez cette seconde soirée étendus l'un près de l'autre à discuter paisiblement de tout et de rien avant que le sommeil ne finisse par vous gagner. Toi le premier, plus assommé par la marche et l'après-midi à peindre que tu ne l'avais réalisé.
Le lendemain matin ressemble trait pour trait au précédent, si ce n'est qu'avant que vous ne partiez pour le lac comme prévu et de rejoindre Max au dehors, tu interceptes Peter.
-
A mesure que tu parlais, t'as fini par tourner la tête vers le Leroy qui t'attend dehors, un sourire tendre pointant sur tes lèvres comme la plupart du temps quand ton regard se pose sur lui.
-
Question rhétorique, plus une manière de prendre congé qu'autre chose, et tu rejoins ton ami au dehors, prêt à découvrir un autre endroit de ces magnifiques contrées.
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: Teenage dream - ft. Maximilien (terminé)
Dim 21 Jan 2024 - 17:15
Tu l’attends patiemment et dans un sens, tu te doutes de ce qu’il est en train de faire actuellement. Tu peux apercevoir sa silhouette face à celle de ton frère, dont l’expression ne t’est pas inconnue. C’est la même que lorsque vos parents viennent lui faire la morale et s’il y a bien une chose que Peter déteste, c’est qu’on lui dise quoi faire. La volonté n’est pas mauvaise mais il y a de fortes chances que ça joue en leur défaveur. Après tout, n’est-ce pas à toi d’aborder cette discussion avec ton aîné, comme un grand ? De toute façon il le faudra bien, histoire d’apaiser les tensions futures. Car tu le devines à ses épaules relevées et la crispation de sa mâchoire, au tic déformant le coin supérieur de sa joue gauche…
Pour le moment, tu ne dis rien et souris à James, qui pense sûrement avoir bien fait, lorsqu’il te rejoint. Vous partez pour le lac et cette journée loin de l’autre couple devrait participer à cet apaisement.
En effet, lorsque tu rejoins Peter près de l’âtre éteint le soir-même, après une journée à sauter dans l’eau, bronzer et discuter de beaucoup de choses – dont l’avenir, son tic a disparu et il sirote sa bière sans mot dire. Ce silence est éloquent et il vous faut une bonne demi-heure pour débloquer ce qui ne va pas. Sauf que tu as l’habitude. Vous êtes si proches l’un de l’autre que ce n’est pas la première fois qu’une friction est résolue de cette façon. Votre mère vous l’a appris : la parole est salvatrice lorsqu’elle est mesurée.
Le reste du séjour se fait plus calme, plus détendu. Les réflexions ont disparu et tu as bien remarqué que Peter se tient à l’écart avec sa copine. Vous vous êtes mis d’accord pour avoir, chacun, votre espace vital. Le reste de la semaine n’est donc que repos, amusement, découvertes et grosses chaleurs. Un été que tu n’oublieras pas.
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Pour le moment, tu ne dis rien et souris à James, qui pense sûrement avoir bien fait, lorsqu’il te rejoint. Vous partez pour le lac et cette journée loin de l’autre couple devrait participer à cet apaisement.
En effet, lorsque tu rejoins Peter près de l’âtre éteint le soir-même, après une journée à sauter dans l’eau, bronzer et discuter de beaucoup de choses – dont l’avenir, son tic a disparu et il sirote sa bière sans mot dire. Ce silence est éloquent et il vous faut une bonne demi-heure pour débloquer ce qui ne va pas. Sauf que tu as l’habitude. Vous êtes si proches l’un de l’autre que ce n’est pas la première fois qu’une friction est résolue de cette façon. Votre mère vous l’a appris : la parole est salvatrice lorsqu’elle est mesurée.
Le reste du séjour se fait plus calme, plus détendu. Les réflexions ont disparu et tu as bien remarqué que Peter se tient à l’écart avec sa copine. Vous vous êtes mis d’accord pour avoir, chacun, votre espace vital. Le reste de la semaine n’est donc que repos, amusement, découvertes et grosses chaleurs. Un été que tu n’oublieras pas.
- TERMINÉ -
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