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If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:27
✤ Grymm Salut !!! Moi c'est Vânia Monalisa Sleeman, j'ai 22 ans, et je suis d'origine anglo-brésilienne. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle avec une préférence pour les jolies brunettes. , mais aussi célibataire et issu d'une famille 50/50 . A Hungcalf, j'ai choisi justice magique , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois d'Ebène d'environ 23cm et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de mante religieuse. avatar ... ? || icônes ... ? |
Back To Hogwarts.
« Il parait que sa moldue de mère s’est suicidée après avoir compris qu’elle était une sorcière et son pauvre père ne l’a pas supporté. Il l’aurait abandonné chez ses grands-parents maternels, moldus eux aussi. Vous imaginez ? Vivre avec les parents moldus de votre mère qui s’est elle-même suicidée ? Pas étonnant qu’elle soit si étrange. Allez savoir comment ils la traitaient mais vu l’état dans lequel elle revenait après les vacances, je parie mon hiboux qu’elle devait vraiment en baver. Pas étonnant qu’elle soit devenue folle. » Melinda, Serpentard.
« Vânia tu dis? Sûrement l’une des plus belles filles de mon année. Faut dire qu’elle faisait tout pour se rendre désirable et belle à en mourir. J’agi pas eu la chance de mieux la connaître, faut dire qu’elle se laissait approcher que par certaines personnes. Inaccessible et a couper le souffle, et en plus de ça il paraît qu’elle aime aussi bien les filles que les mecs. Que demander de plus ? » Igor, Pouffsoufle.
« Je la vois souvent dans les couloirs, elle n’est jamais seule. Il y a toujours plusieurs personnes qui l’entourent. C’est comme si elle avait une aura spéciale, comme si tout ceux qui croisaient son regard océan devenaient fous d’elle. Rare est l’occasion où je la voyais assise sous un arbre dans le parc à contempler une tour du château. Elle avait l’air tellement fragile, tellement vulnérable. Grossière erreur, Vânia est tout sauf fragile. Il n’y avait qu’à voir son comportement lorsqu’elle piquait ses crises. Une vraie furie, tout volait autour d’elle, ses yeux se fonçaient tellement qu’ils en devenaient presque noir - bon j’exagère -, et une seconde après, la tempête se calmait, elle reprenait son sourire ensorcelant et tout le monde pardonnait ses excès de colère. » Eric, Serdaigle
« Parait qu’elle était obsédée par le prof’ de potion. Elle le suivait partout, restait dans sa classe après les cours. La rumeur a vite fait le tour de l’école mais elle en avait rien à faire Vânia, quand quelqu’un lui plaisait, elle ne lâchait pas l’affaire. J’ai entendu dire qu’elle était tellement dingue de lui qu’elle avait envoyé une lettre de menace à sa femme pour lui ordonner de quitter le prof. Je ne sais pas si c’est vrai, mais je l’ai toujours trouvé bizarre cette fille. Il a démissionné quelques mois plus tard, je ne vous dis pas la réaction de Vânia ! On dit qu’elle a du atterrir à l’infirmerie pour tentative de suicide. Moi je te le dis, cette fille vaut mieux pas lui plaire, sinon t’es foutu. » Aria, Gryffondor.
« - Bonjour Vânia. Comment te sens tu aujourd’hui ?
- Comme la dernière fois que l’on s’est parlés Dr Bennet, je vais bien, que vous le croyiez ou non. »
Tout recommençait. Comme une route qui ne finissait jamais. Il ne comprenait pas. Ils n’acceptaient pas qui j’étais. J’avais beau leur dire qu’aucune thérapie ne changerait ce que je suis, mes grands-parents continuaient à m’envoyer chez ce médecin moldus. Garder les apparences, se fondre dans la masse, changer de sujet lorsque les questions concernant leur petite-fille devenaient trop dure à répondre. A quel internat va-t-elle ? Pourquoi l’avez-vous envoyée si loin ? Est-elle vraiment malade ?
Il fallait éviter les ragots, on ne pouvait compter que sur les apparences dans la haute société. Comment aurait-ils pu seulement tenter d’expliquer que leur petite fille, l’unique héritage de leur défunte fille, était différente ? Qu’elle était capable d’exploits que personne ne pouvait croire sans le voir ? Non, au diable la vérité, sauvons les apparences.
Assise sur le divan en cuir noir, face à ce psychiatre moldus, je scrutais la fenêtre, pensive. Poudlard me semblait bien loin, tout ce que représentait cette école qui avait su m’accueillir sans poser de questions sur ma vie me manquait atrocement. Mon cœur se serra en y pensant, faisant remonter au creux de ma gorge une gigantesque boule qui m’oppressait, me coupant le souffle. Je n’étais pas à ma place ici, devant cet ignoble bonhomme que mes grands-parents me forçaient à voir trois fois par semaines à chaque fois que je venais pour les vacances. Mes yeux azurs se posèrent sur l’homme en face de moi, son regard tenta vainement de me transpercer. Inutile pour lui d’essayer de comprendre ce que j’étais, pourtant ce n’était pas raison d’essayer. A chaque séance, la même discussion, les mêmes questions qui finissaient invraisemblablement par quelques hochements de tête qui se voulaient compréhensif, ou désespérés.
« - Vânia, si tu veux avancer, surmonter tout cela, tu dois me parler.
- Bien, soit. Mais vous parler de quoi ?
- Et bien. De tes parents. Comment te sens-tu en ce moment ? Est-ce que ça te plaît de vivre avec tes grands-parents ?
- Je n’ai pas vraiment mon mot à dire là-dessus. Ma pauvre mère, comme vous le savez, s’est tuée il y a un an de cela, jour pour jour. Mon père, ce lâche, ne supportait pas de me voir pendant les vacances, apparemment je lui rappellerais trop ma mère. Il m’a donc abandonné avec mes grands-parents, des fanatiques religieux qui ne pensent qu’à prier quatre fois par jour et qui n’osent pas rester dans la même pièce que moi. Comment dois-je me sentir Docteur ? Mal je suppose. Et pourtant, oh douce joie, je me sens vide. Et lorsque l’on ne ressent rien, impossible d’avoir mal. »
Mon regard s’était planté dans le sien. Je l’observais, un léger sourire en coin. Il me contemplait lui aussi, pris de court. Pauvre homme, comment réagir lorsqu’une gamine de 12 ans vous avouait qu’elle ne ressentait rien ? Je devinais qu’il devait me prendre pour une dépressive borderline. Il pensait sûrement que je ne passerais pas mes seize ans, que j’en aurais fini avec cet enfer de vie avant ma majorité. Quelle grossière erreur. Je ne pensais pas à mot de ce que je venais de dire, excepté pour mes grands-parents. La pire chose qui me soit arrivée était d’avoir été confiée à leurs soins. Et quels soins ! Ils ne me parlaient que rarement, me forçait à prier avec eux un Dieu dont je ne connaissais ni le véritable nom, ni l’apparence. Je me retrouvais enfermée plusieurs heures par jour dans ma chambre, forcée à me repentir de ce que j’étais. Pauvres moldus ignorants, ils ne comprenaient pas que j’étais hautement supérieur à eux, que bientôt ils n’arriveraient plus à canaliser mes colères en m’enfermant dans cette maudite chambre sans fenêtre. Les punitions cesseront alors, maudits chrétiens et leur rédemption. Je remontai mes jambes sous moi et appuyai ma tête sur mes genoux, observant toujours mon psychiatre.
« - C’est bien Vânia. Nous faisons des progrès, tu me dis enfin la vérité. On se rapproche doucement de la fin, tu le sais ça ?
- Ça veut dire que je devrais plus venir ici ? Vous direz à mes grands-parents que je ne suis pas dépressive et encore moins folle ?
- Tout ce qui se passe ici, reste ici, tu le sais bien.
- Conneries. On a fini je pense.
- Mais il reste encore... »
Je ne le laissais pas finir. A quoi bon ? Après-demain, je me retrouverais encore une fois dans ce foutu sofa, à écouter cet homme qui pensait tout savoir de moi et qui ne se doutait pas une seconde que tout le monde se fichait de lui ouvertement. Sauver les apparences, agir en conséquences et surtout, ne jamais avouer sa vraie nature. Voilà les mots que grand père me lançait avec dégoût chaque jour que je passais dans cette immense maison avec eux. Déjà, j’avais atteint la porte et l’ouvrit à la volée, ne contenant plus ma rage. Chaque session se terminait ainsi; je bouillonnais de rage, il ne comprenait pas et je partais en le laissant pantois de surprise et d’incompréhension. Pauvre fou, tu ne comprendras jamais. Personne ne comprendra jamais. La petite Vânia qui courrait dans les champs trois ans plus tôt était bel et bien morte, remplacée par une préadolescente en colère, qui venait de signer sa descente aux Enfers.
« Vânia tu dis? Sûrement l’une des plus belles filles de mon année. Faut dire qu’elle faisait tout pour se rendre désirable et belle à en mourir. J’agi pas eu la chance de mieux la connaître, faut dire qu’elle se laissait approcher que par certaines personnes. Inaccessible et a couper le souffle, et en plus de ça il paraît qu’elle aime aussi bien les filles que les mecs. Que demander de plus ? » Igor, Pouffsoufle.
« Je la vois souvent dans les couloirs, elle n’est jamais seule. Il y a toujours plusieurs personnes qui l’entourent. C’est comme si elle avait une aura spéciale, comme si tout ceux qui croisaient son regard océan devenaient fous d’elle. Rare est l’occasion où je la voyais assise sous un arbre dans le parc à contempler une tour du château. Elle avait l’air tellement fragile, tellement vulnérable. Grossière erreur, Vânia est tout sauf fragile. Il n’y avait qu’à voir son comportement lorsqu’elle piquait ses crises. Une vraie furie, tout volait autour d’elle, ses yeux se fonçaient tellement qu’ils en devenaient presque noir - bon j’exagère -, et une seconde après, la tempête se calmait, elle reprenait son sourire ensorcelant et tout le monde pardonnait ses excès de colère. » Eric, Serdaigle
« Parait qu’elle était obsédée par le prof’ de potion. Elle le suivait partout, restait dans sa classe après les cours. La rumeur a vite fait le tour de l’école mais elle en avait rien à faire Vânia, quand quelqu’un lui plaisait, elle ne lâchait pas l’affaire. J’ai entendu dire qu’elle était tellement dingue de lui qu’elle avait envoyé une lettre de menace à sa femme pour lui ordonner de quitter le prof. Je ne sais pas si c’est vrai, mais je l’ai toujours trouvé bizarre cette fille. Il a démissionné quelques mois plus tard, je ne vous dis pas la réaction de Vânia ! On dit qu’elle a du atterrir à l’infirmerie pour tentative de suicide. Moi je te le dis, cette fille vaut mieux pas lui plaire, sinon t’es foutu. » Aria, Gryffondor.
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« - Bonjour Vânia. Comment te sens tu aujourd’hui ?
- Comme la dernière fois que l’on s’est parlés Dr Bennet, je vais bien, que vous le croyiez ou non. »
Tout recommençait. Comme une route qui ne finissait jamais. Il ne comprenait pas. Ils n’acceptaient pas qui j’étais. J’avais beau leur dire qu’aucune thérapie ne changerait ce que je suis, mes grands-parents continuaient à m’envoyer chez ce médecin moldus. Garder les apparences, se fondre dans la masse, changer de sujet lorsque les questions concernant leur petite-fille devenaient trop dure à répondre. A quel internat va-t-elle ? Pourquoi l’avez-vous envoyée si loin ? Est-elle vraiment malade ?
Il fallait éviter les ragots, on ne pouvait compter que sur les apparences dans la haute société. Comment aurait-ils pu seulement tenter d’expliquer que leur petite fille, l’unique héritage de leur défunte fille, était différente ? Qu’elle était capable d’exploits que personne ne pouvait croire sans le voir ? Non, au diable la vérité, sauvons les apparences.
Assise sur le divan en cuir noir, face à ce psychiatre moldus, je scrutais la fenêtre, pensive. Poudlard me semblait bien loin, tout ce que représentait cette école qui avait su m’accueillir sans poser de questions sur ma vie me manquait atrocement. Mon cœur se serra en y pensant, faisant remonter au creux de ma gorge une gigantesque boule qui m’oppressait, me coupant le souffle. Je n’étais pas à ma place ici, devant cet ignoble bonhomme que mes grands-parents me forçaient à voir trois fois par semaines à chaque fois que je venais pour les vacances. Mes yeux azurs se posèrent sur l’homme en face de moi, son regard tenta vainement de me transpercer. Inutile pour lui d’essayer de comprendre ce que j’étais, pourtant ce n’était pas raison d’essayer. A chaque séance, la même discussion, les mêmes questions qui finissaient invraisemblablement par quelques hochements de tête qui se voulaient compréhensif, ou désespérés.
« - Vânia, si tu veux avancer, surmonter tout cela, tu dois me parler.
- Bien, soit. Mais vous parler de quoi ?
- Et bien. De tes parents. Comment te sens-tu en ce moment ? Est-ce que ça te plaît de vivre avec tes grands-parents ?
- Je n’ai pas vraiment mon mot à dire là-dessus. Ma pauvre mère, comme vous le savez, s’est tuée il y a un an de cela, jour pour jour. Mon père, ce lâche, ne supportait pas de me voir pendant les vacances, apparemment je lui rappellerais trop ma mère. Il m’a donc abandonné avec mes grands-parents, des fanatiques religieux qui ne pensent qu’à prier quatre fois par jour et qui n’osent pas rester dans la même pièce que moi. Comment dois-je me sentir Docteur ? Mal je suppose. Et pourtant, oh douce joie, je me sens vide. Et lorsque l’on ne ressent rien, impossible d’avoir mal. »
Mon regard s’était planté dans le sien. Je l’observais, un léger sourire en coin. Il me contemplait lui aussi, pris de court. Pauvre homme, comment réagir lorsqu’une gamine de 12 ans vous avouait qu’elle ne ressentait rien ? Je devinais qu’il devait me prendre pour une dépressive borderline. Il pensait sûrement que je ne passerais pas mes seize ans, que j’en aurais fini avec cet enfer de vie avant ma majorité. Quelle grossière erreur. Je ne pensais pas à mot de ce que je venais de dire, excepté pour mes grands-parents. La pire chose qui me soit arrivée était d’avoir été confiée à leurs soins. Et quels soins ! Ils ne me parlaient que rarement, me forçait à prier avec eux un Dieu dont je ne connaissais ni le véritable nom, ni l’apparence. Je me retrouvais enfermée plusieurs heures par jour dans ma chambre, forcée à me repentir de ce que j’étais. Pauvres moldus ignorants, ils ne comprenaient pas que j’étais hautement supérieur à eux, que bientôt ils n’arriveraient plus à canaliser mes colères en m’enfermant dans cette maudite chambre sans fenêtre. Les punitions cesseront alors, maudits chrétiens et leur rédemption. Je remontai mes jambes sous moi et appuyai ma tête sur mes genoux, observant toujours mon psychiatre.
« - C’est bien Vânia. Nous faisons des progrès, tu me dis enfin la vérité. On se rapproche doucement de la fin, tu le sais ça ?
- Ça veut dire que je devrais plus venir ici ? Vous direz à mes grands-parents que je ne suis pas dépressive et encore moins folle ?
- Tout ce qui se passe ici, reste ici, tu le sais bien.
- Conneries. On a fini je pense.
- Mais il reste encore... »
Je ne le laissais pas finir. A quoi bon ? Après-demain, je me retrouverais encore une fois dans ce foutu sofa, à écouter cet homme qui pensait tout savoir de moi et qui ne se doutait pas une seconde que tout le monde se fichait de lui ouvertement. Sauver les apparences, agir en conséquences et surtout, ne jamais avouer sa vraie nature. Voilà les mots que grand père me lançait avec dégoût chaque jour que je passais dans cette immense maison avec eux. Déjà, j’avais atteint la porte et l’ouvrit à la volée, ne contenant plus ma rage. Chaque session se terminait ainsi; je bouillonnais de rage, il ne comprenait pas et je partais en le laissant pantois de surprise et d’incompréhension. Pauvre fou, tu ne comprendras jamais. Personne ne comprendra jamais. La petite Vânia qui courrait dans les champs trois ans plus tôt était bel et bien morte, remplacée par une préadolescente en colère, qui venait de signer sa descente aux Enfers.
✎...M
Dans la vraie vie, j'ai 17 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à Bazzart je pense mais je le connais depuis longtemps de vue. et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à Ptit Lu (l) Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que Le prochain qui m'appelle tampax jle bouffe . code règlement : Okay by Erhy |
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Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:27
Why so serious?
I. Was is something I did?
« Mais si je te jure Celia, monsieur Montgomery est partit hier dans la nuit ! » Instantanément, mes jambes cessèrent de fonctionner, s’arrêtant en plein milieu du couloir, me faisant ainsi bousculer par quelques élèves qui n’avaient pas eu le temps de réagir à ma brutale réaction. Mon ouïe devait me faire défaut, je ne venais pas d’apprendre cette nouvelle destructrice. Poussée par un énième élève, je me décidai enfin à revenir vers les deux pimbêches qui discutaient avidement sans faire attention aux autres. D’un pas lent et qui se voulait sûr, je me posais à côté de l’une d’elle. La dénommée Celia cessa de parler immédiatement, son visage venait de se décomposer à la vue de ma personne. Je fus légèrement surprise par cette réaction mais il valait mieux ne rien faire paraître, je me contentais donc de fixer les deux demoiselles de mes yeux perçants, tandis qu’elles réfléchissaient déjà un moyen de fuir ma présence. « Madeleine, peux-tu répéter ce que tu viens de dire? Je pense avoir mal entendu. » Mes lèvres charnues s’étirèrent en un sourire charmant, faisant ainsi pétiller légèrement mes yeux d’une douce folie qui me berçait depuis longtemps déjà et que j’avais de plus en plus de mal à cacher. Mes doigts tripotaient la baguette magique que je tenais entre mes mains, la faisant tournoyer devant moi sans vraiment me rendre compte que c’était probablement cela qui avait fait peur à ma chère Celia. « Je disais que le professeur Montgomery est partit hier dans la soirée. Sa femme aurait pété un câble et l’aurait forcé à quitter les lieux. » Mes doigts se resserrèrent lentement sur ma baguette magique, bientôt la pression était tellement fortes que mes phalanges avaient prises une teinte blanchâtre. Je ne lâchais pas la dite Madeleine des yeux, ne sachant pas comment assimiler la nouvelle. Il fallait que je parte d’ici, je ne pouvais pas me permettre de craquer en plein milieu du couloir devant les professeurs. Je ne pouvais pas montrer à quel point son départ m’affectait, et quand bien même tout le monde savait que j’avais le béguin pour Montgomery, personne ne connaissait la vérité. Mes jambes me portèrent loin de ces deux vipères sans leur jeter un regard.
« Vânia calme toi voyons, tu vas alarmer les professeurs !
- Non, il n’a pas le droit de me faire ça. Comment a-t-il pu ? » Je bouillonnais littéralement de rage, mes yeux lançaient des éclairs à tout ceux qui osaient croiser mon regard devenu sombre. Dans la salle commune, je faisais des allers-retours sans pouvoir m’arrêter, balançant contre les murs tout ce qui me tombait sous la main. Il m’avait quitté, sans même me dire au revoir, sans explications. Nous aurions pu avoir un si bel avenir, il venait de tout gâcher. « Cette garce a tout gâchée, elle me le payera tu verras » Je m’étais arrêtée devant mon ami, assis sur un des fauteuils, un sourire chargé de sous-entendus pendait sur mes lèvres. Mon regard s’était fait fiévreux, ma rage était animée d’un désir ardu de vengeance envers cette femme qui venait de me voler l’amour de ma vie. Je savais parfaitement ce que tout le monde disait sur notre relation; tout le monde pensaient que ce n’était qu’une invention de mon esprit dérangés mais ils ne savaient pas tout ce que je savais, ils n’avaient pas vu les regards qu’il me lançait lorsque je venais lui rendre visite dans sa chambre. Et bien qu’il n’y ait jamais rien eu entre nous, j’étais convaincue que tout allait bientôt commencer. Cette garce avait du être jalouse et n’avait pas supporter voir qu’une femme plus jeune et plus belle qu’elle était entrain de lui voler son mari. Mes membres étaient sujets à de longs frissons de colère tandis que des larmes de tristesse dévalaient mes joues creusant des sillons de maquillages au fil de leur descente.
Mes jambes flanchèrent et je me laissais tomber sur la moquette, affaiblie devant Manoah, mon seul véritable ami à Poudlard. Je sentis ses bras m’entourer et me porter jusqu’à ma chambre tandis que je criais d’immondes insulte envers cet homme qui venait de me briser le cœur. Certains pensaient que j’étais folle de m’être entichée d’un professeur pourtant au fond de moi j’étais persuadée qu’il m’aimait en retour, que cette indifférence et ces rejets étaient simplement dû au fait qu’il tentait de préserver sa réputation à l’école.
« Manoah, j’aurais tout lâcher pour lui tu sais. Je sais qu’il m’aimait, mais pourquoi est-il partit alors ? » Ma voix tremblait tandis que d’immenses sanglots faisait trembler mon corps. Couchée dans mon lit, je m’accrochais de toutes mes forces à cet ami qui ne disait rien, qui se contentait de me caresser les cheveux en me chuchotant que tout irait bien. Pouvais-je seulement le croire ? Rien n’avait jamais été bien dans ma vie. J’étais entourée de malheur, de dégoût, d’une folie que je sentais naître au creux de mon ventre sans pouvoir l’arrêter. Le visage enfoui dans le torse de Manoah, je commençais doucement à m’endormir, bercée par ses caresses amicales, par son ton de voix qui m’empêchait de sombrer un peu plus dans cette rage aveugle qui m’avait fait perdre mon sang froid quelques minutes plus tôt. Tout était fini, je le savais. Plus jamais je n’aimerais de cette façon, plus jamais je n’accorderais mon affection à quelqu’un. Mon corps, mon cœur ne pouvait plus supporter toutes ces fissures qui ne cicatrisaient jamais. Il me fallait oublier ce qu’était d’avoir de véritables sentiments et feindre des émotions afin de ne plus jamais être blessée par qui que ce soit. Mes yeux se fermèrent, lourdes de tristesse, tandis que mon esprit se perdait dans les profonds abysses du sommeil.
II. Welcome to my life.
Les rêves représentent la liberté. Plongé profondément des les bras de Morphée, l’esprit se libère, le corps relâche toute la pression accumulée dans la journée. On se sent libres. Libre de tous ces maux, tous ces reproches et tourments de la vie quotidienne. Pendant quelques heures, fuir la réalité, les malheurs du monde et ne penser qu’à soi. Pas étonnant que ma pauvre mère ait choisie une boite de somnifères à la place d’une lame de rasoir. C’est évident; rien ne vaut le repos, les rêves, l’insouciance.
Quelques rayons de soleil vinrent me lécher le visage, brisant ainsi mes quelques heures de liberté absolue, pénétrer mon sanctuaire le plus précieux. Doucement, mon esprit embrumé par le sommeil commença à s’éclaircir tandis que mes yeux restaient obstinément fermés. Quelques secondes encore, juste quelques instants, avant de faire face à la réalité. J’étirais lentement mon corps dans tous les sens, tentant vainement de réanimer mes membres engourdis lorsqu’on entra précipitamment dans ma chambre sans prendre la peine de toquer.
« Ce n’est pas trop tôt, encore un peu et j’appelais les urgences. » grogna Adrien Suarez, mon cher tuteur et, accessoirement, grand-père. Ces paroles furent comme un puissant électrochoc qui ôta chaque parcelle de sommeil qui résidait encore dans mon corps. Ma main massa lentement ma nuque tandis que je restais silencieuse à son discours matinal, vide de sens comme toujours. De temps à autre, j’esquissais un sourire forcé, il était inutile de le contrarier dès le matin. Je n’étais pas prête à affronter une autre dispute, une autre punition. Pas encore et surtout pas aujourd’hui. « Et bien, qu’attends-tu? Habille toi et descend, tu ne vas pas passer ta journée ici. » La porte claque une fois de plus. Je pris place sur le bord du lit et contemplais mes pieds sur la moquette. Il ne restait que vingt jours avant de pouvoir quitter enfin ces lieux et couper définitivement les ponts avec ces personnes qui représentaient sa famille. Machinalement, je me levai et m’habillai, prenant les premiers vêtements qui me tombaient sous la main. J’étais fin prête à descendre, à rejoindre ceux qui n’avaient plus voulu de moi dès qu’ils avaient su ce que j’étais. Je m’approchais du miroir fixé au mur et me contemplai un instant. Ma longue chevelure rougeoyante me tombait gracieusement sur les épaules, mes yeux azurs faisaient ressortir les nombreuses tâches de rousseur qui perlaient ma peau laiteuse. Satisfaite de mon reflet, je sortis de ma chambre et refermai doucement la porte derrière moi.
« Nous avons pris une décision, ta grand-mère et moi. » Mes yeux se posèrent sur le visage ridé de mon grand-père, interrogateur. Lorsqu’ils prenaient des décisions, ce n’étaient jamais bon, et ça, je le savais pertinemment. L’atmosphère se chargea d’un coup, comme si mes pensées avaient été dites de vive voix. « Tu n’iras pas à cette université dont tu nous a parlé. » Mon cœur s’arrêta, ma respiration se fit plus douloureuse. Je sentais battre le sang dans mes tempes, tandis que la colère montait rapidement. « Nous ne pouvons pas nous permettre de faire parler de nous encore une fois. Que pensera le voisinage s’ils apprennent que tu pars encore dans un autre pensionnat ? » Je ne l’écoutais plus, ses paroles me cognaient brutalement; il me fallut un moment pour reprendre mes esprits, furieuse. « C’est donc ça. Il ne faut surtout pas que les voisins apprennent ce que je suis vraiment n’est-ce pas ? Où c’est vous qui ne l’acceptez pas ? Bon sang, je suis une sorcière, va falloir vous y faire ! » Ma voix s’était faite mordante et dure comme l’acier. Ils ne pouvaient pas m’empêcher de partir, c’était hors de question. Sans attendre mon reste, je pris l’initiative de partir. Grossière erreur, on ne tourne pas le dos à l’homme de la maison. Une forte pression s’abattit sur mon bras, le tordant et me forçant à me retourner. J’avais une fois de plus sous-estimée la force de ce vieillard. Sa main rencontra ma joue en un claquement sec et bruyant, faisant ainsi ricocher ma tête contre le mur le plus proche. « Comment oses-tu nous parler ainsi? Après tout ce que nous avons fait pour toi, c’est ainsi que tu nous remercies ? Petite ingrate ! » Mes doigts frôlèrent ma joue rougie par la claque, tandis que je fixais toujours l’homme devant moi, hors de moi. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Je n’en pouvais plus, il fallait que je parte.
« Ne te voiles pas la face, tu n’as jamais rien fais pour moi. Ni toi, ni cette affreuse bonne femme qui te sers de femme. Mais ne vous inquiétez pas, je m’en vais. Tu n’auras cas dire aux voisins que je suis morte, tout comme ta fille. » Sur ces mots, je me défis de l’emprise de celui qui m’avait tant de fois battue depuis des années, pensant qu’il n’y avait que cette option pour chasser le prétendu démon qui se trouvait en moi, et en moins de dix minutes, je rassemblais toutes mes affaires dans un unique sac enchanté.
Devant la demeure où j’avais passée toute mon adolescence, mon sac en main, je me surpris à contempler une dernière fois cette gigantesque bâtisse. J’étais enfin libre. Un sourire se dessina sur mes lèvres. « Joyeux dix-huitième anniversaire, Vânia » murmurai-je doucement, m’éloignant d’un pas léger. Une nouvelle vie commençait.
III. I'm Addicted to You.
J’ouvris doucement les yeux. Ma tête semblait prête à exploser d’une minute à l’autre tandis que je tentais de rassembler mes esprits. Où étais-je ? Qu’avais-je fais la nuit dernière ? Je laissais échapper un grognement de douleur, incapable de bouger, mon corps tout entier hurlait de douleur. Mes yeux semblaient vouloir se refermer à chaque battement de paupière trop violente. J’aspirais lentement l’air de la chambre, essayant de me calmer. J’avais dû boire trop une fois de plus et j’étais rentrée avec l’aide d’un bon samaritain sûrement. Oui, c’était la seule possibilité envisageable. Je ne voulais pas penser à toutes les conneries que j’avais bien pu dire et fait avec le taux d’alcool qui avait parcourut mes veines à cette soirée. J’avais la vague impression d’être encore saoule, tandis que je tentais doucement de me redresser sans faire de mouvement brusque. Quelque chose clochait, ma chambre avait changée. Je tournait la tête, posait mon regard sur les murs, fronçant légèrement les sourcils. Cette décoration n’était pas la mienne, ces draps non plus. Je portais ma main à mon front; étais-je encore entrain de rêver ou étais-ce un état second dû à l’effet d’une drogue quelconque ? Non, je ne transpirais pas, mes mains ne tremblaient pas et je n’avais aucun des symptômes qu’entraîne la consommation de ces illégalités.
La conclusion fit son passage à travers les nuages de début de gueule de bois que mon cerveau tentait tant bien que mal de filtrer sans succès; je n’étais pas chez moi. Je soulevais légèrement les draps et fronçais les sourcils avant de déplacer mon regard vers l’autre pair de jambes immobiles à côté des miennes. Mes yeux détaillaient ces fines jambes sans oser remonter plus haut. Qu’avais-je donc fais cette nuit. Je me levais du lit, enfilant mes sous-vêtements et mon débardeur, je tentais de me souvenir de la fameuse soirée. Black out, je n’avais aucun souvenir, juste des sentiments confus qui se partageait mon corps.
Il fallait que je vois son visage, tout me reviendrais sûrement, ou du moins une partie. Sur la pointe des pieds, je contournais le lit et m’approchait du corps endormi profondément, recouvert des draps. Je déplaçais lentement ce drap afin de découvrir les traits de la personne avec qui j’avais passée la nuit. Sa chevelure noire et sa peau à l’apparence si parfaite me coupèrent un moment le souffle. Et comme je l’avais prédis, tout me revint; le bar, les nombreux verres, cette fille aux yeux verts miel et à la chevelure sombre qui s’était approchée d’un pas assuré vers moi, les paroles échangées, les nouveaux verres, les rires et l’état d’ébriété qui montait au fur et à mesure qu’elles s’étaient rapprochée. Et je me rappelais à présent de la nuit que nous venions de passer ensemble, de ses baisers brûlant ma peau laiteuse, son parfum enivrant, je revoyais ses courbes si sensuelles et ses yeux qui me transperçaient de toutes parts. Mon souffle se fit plus saccadé au fur et à mesure où je me rappelais le moment si précieux que j’avais eu avec cette femme qui ne semblait pas se réveillée. Je m’assis par terre, à hauteur de son visage. Mon cœur battait à tout rompre tandis que je tentais en vain de détacher mon regard de ces traits si fins si envoûtant. Je ne pouvais vraiment pas me permettre de retomber dans ce cercle, j’étais déjà passée par là et le résultat avait été fatal. Je caressais doucement la joue de ma belle endormie du bout des doigts, espérant qu’elle ne se réveillerait pas, je ne voulais pas risquer de tout gâcher. Pas maintenant, il ne fallait pas que je m’attache, ce n’était que la première fois après tout. Il n’y aurait sûrement aucune autre fois.
Mes yeux se baladaient fébrilement partout, rasant les murs, rebondissant sur le doux visage de celle qui prendrait la place de ce cher Montgomery dans mon cœur et qui le briserait également en mille morceaux. Je savais d’hors et déjà que j’aurais dû partir dès que mes yeux s’étaient ouverts, pourtant à présent je n’arrivais pas à esquisser le moindre mouvement. C’était comme si une force invisible m’empêchait de sortir de cette pièce. L’envie soudaine me prit de la réveiller, de réveiller cette beauté pour voir si lorsqu’elle parlerait je ressentirais encore quelque chose mais mon corps ne répondait plus, il n’obéissait plus aux ordres stricts de mon cerveau en peine. Je devais partir d’ici, au plus vite, avant de faire une bêtise que je regretterais à tout jamais. Au fond de moi, je savais que la machine s’était déclenchée, que je ne pourrais plus la laisser s’éloigner de moi, et bien que j’étais consciente de cette folie, je n’avais pas la force d’y remédier. Lentement je me relevai et m’habillai, m’aspergeant du parfum de Caliope, je me regardais dans le miroir. Mes traits étaient tirés par le manque de sommeil, mon teint étaient pâle et verdâtre dû aux maux de tête de la gueule de bois qui m’empêchait de réfléchir correctement. Je me retournai vers la belle Lufkin et m’approchai une dernière fois.
Je me penchais sur elle, mes cheveux frôlant comme une caresse son corps et je déposais un doux baiser sur ses lèvres avant de sortir de sa chambre, prenant bien soin de refermer doucement la porte derrière moi. Je n’avais laissé aucun mot, aucune lettre de remerciement, je n’en voyais pas l’utilité. J’étais à présent persuadée que je la reverrais d’ici peu. Je ferais tout pour la revoir. You’ll be mine, Caliope.
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:27
au cas où :brille:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:34
Rebienvenue Serviette hygiénique :huhu:
Je te réserve la magnifique Cintia pour 7 jours :D
Je te réserve la magnifique Cintia pour 7 jours :D
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:40
GRRR
Merci quand même vilaine :huhu: (l)
Merci quand même vilaine :huhu: (l)
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:42
moi quand je vois Sleeman, j'pense à la bière
rebienvenue :inlove: :brille:
rebienvenue :inlove: :brille:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:50
Re-bienvenue parmi nous ♥
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 17:58
Jpréfère encore qu'on pense à la bière :snif:
Merci :inlove:
Merci Jared (l) :huhu:
Merci :inlove:
Merci Jared (l) :huhu:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 18:10
Rien que pour le titre je t'aime :inlove:
Re-bienvenue (l)Tampax ça te va bien pourtant :angel:
Re-bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 18:27
Vânia ça déchire hâte de voir ce nouveau perso :brille:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 18:32
Niels V. Ericsson a écrit:moi quand je vois Sleeman, j'pense à la bière
T'es alcoolique c'pour ça mon chat :haaaaa:
Rebienvenuuuuuue (l) :inlove:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 20:24
Calie - rien que pour le titre? tu vas m'aimer pour le tout tu verras :sol: Merci babe :inlove: Jvais te bouffer fais gaffe
Whiskas Je t'aime toi :brille: ! Enfin une qui me comprend :baveuh: Je poste la première partie bientôt néhé
Eury Merciiiii (l) (l) :brille:
Whiskas Je t'aime toi :brille: ! Enfin une qui me comprend :baveuh: Je poste la première partie bientôt néhé
Eury Merciiiii (l) (l) :brille:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 20:49
Re !!! Diis, t'es qui, t'es qui ?
Good luck !
Good luck !
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 20:56
C'est top secret :sol: *bafff*
Joke, c'est Amabel :huhu:
Merci (l)
Joke, c'est Amabel :huhu:
Merci (l)
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 21:02
AMAGUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIZ :cracrac:
Rebienvenue en tout cas xD et bon courage pour ta fiche tampax :huhu:
Rebienvenue en tout cas xD et bon courage pour ta fiche tampax :huhu:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 21:05
Kitty Jolieeeeeeeeeee :cracrac: :baveuh:
Tu me déçois je ne pensais pas que tu aurais osé :snif: jvais devoir te bouffer toi aussi
Merci (l)
Tu me déçois je ne pensais pas que tu aurais osé :snif: jvais devoir te bouffer toi aussi
Merci (l)
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 23:12
Tampax :seduction: (owi mange moi ! :baveuh: )
rebienvenue (aa)
rebienvenue (aa)
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 23:17
( du coup je suis plus asexuée hein *baf*)
Merci :brille:
Merci :brille:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Lun 16 Mai 2011 - 23:19
hmph, j'avoue ça change tout :001:
de rien ma biche :brille:
de rien ma biche :brille:
- InvitéInvité
Re: If I just lay here would you lie with me and just forget the world? - V.
Ven 20 Mai 2011 - 19:30
Rebienvenue
Chère folle furieuse
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Quelques petites fautes, mais rien de bien grave, d'autant plus que j'ai adoré ta fiche (l) J'ai presque envie d'aimer Vânia, quand on voit pourquoi elle est devenue telle qu'elle est, mais Zach risque de ne pas l'apprécier Have fun, et si tu as des questions, n'hésite pas (l)
Chère folle furieuse
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Quelques petites fautes, mais rien de bien grave, d'autant plus que j'ai adoré ta fiche (l) J'ai presque envie d'aimer Vânia, quand on voit pourquoi elle est devenue telle qu'elle est, mais Zach risque de ne pas l'apprécier Have fun, et si tu as des questions, n'hésite pas (l)
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