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savaeh • can you hold me ?
Ven 2 Fév 2018 - 3:58
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savaeh
Sha', tu vas au truc du Loch? Haussement d'épaule, qu'est-ce que j'en sais moi ? J'ai une tête de romantique en perdition ou de fondu d'excursion ? Que ça soit les mièvreries misent en place pour les ado prépuberts ou les balades à dos de nessie : très peu pour moi. Puis putain c'est mon anniversaire, j'aimerais plus le passer à rouler sous les bars qu'à tenir la main d'un thon ... d'une sirène pardon ! Fin, c'est la même chose, ça doit être bon en sashimi non ? J'ai passé la plupart de la journée dans ma chambre à réviser un peu, regarder par la fenêtre beaucoup et puis je me suis rendu compte que tous le monde était à ce blue trucmuche, alors qu'il fallait que j'y aille aussi. Ça serait l'occasion de recruter du monde pour la soirée tant qu'à faire.
Tee-shirt blanc, jeans, boots, cheveux en bataille, tenue classique du Sasha qui n'en a rien à foutre. Il y a des choses bien plus grave en ce moment que mes problèmes vestimentaires. Le chantage de mon père, mes sautes d'humeurs, blanche ... oui, je ne comprend plus rien à ma vie, à son fonctionnement, j'ai l'impression d'être un automate qui avance sans raison. Je me lève, je vais en cours, je rentre, je bois trop et je me fais engueuler par Eliott souvent, c'est dingue, il n'est plus dans le dortoir mais j'y trouve toujours des paillettes et il sait toujours ce que je fais. Ce panda m'épate. Bref, tout ça pour finalement arriver sur place, il y a beaucoup de monde et je sens déjà l'exaspération me gagner prochaine bonne idée comme ça, casse toi la gueule Muller, je soupire, grommelle et avance à travers la foule. Ma grande taille est un avantage certains, je remarques quelques têtes connues, familières et réconfortantes en bordure de lac. Un sourire se pose malgré moi sur mes lèvres, il y a toujours des personnes qui arrivent à me faire sentir mieux. Je ne regarde pas vraiment devant moi et une douleur lancinante traverse mon pied , signal que quelqu'un vient de me marcher dessus, une pauvre victime toute désignée pour ma mauvaise humeur. 'TAIN Tu peux pas regarder où tu ... Oh merde ... presque deux mois que je l'évite et la blon... brune ? Elle est tellement belle en brune, elle semble si douce et pourtant le regard qu'elle me lance n'a rien de doux ... du tout. Je suis à un doigt de penser qu'elle a fait exprès de me marcher dessus. J'inspire sans quitter son regard et j'ai ce sentiment horrible qui refait surface, comme à chaque fois que je la croise. Ce sentiment d'impuissance, de perdition, cette impression d'être bouffé de l'intérieur et pourtant je pensais que j'allais mieux, qu'être loin d'elle était suffisant. Ce n'était qu'un futile espoir. d'Alverny
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Re: savaeh • can you hold me ?
Sam 3 Fév 2018 - 3:13
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savaeh
L’idée de ces festivités du Blue Love Day te rendait légèrement euphorique. Loin d’être attirée par ces mièvreries dégoulinantes de sentiments tu avais une ambition toute différente que celle de t’afficher avec un nouveau partenaire, aussi charmant puisse-t’il être. Mais tu étais là tout de même, dans un ensemble immaculé qui contrastait allègrement avec la toute nouvelle noirceur de ta chevelure. Tu avais des affaires à régler, des deals à nouer et la plupart des élèves étaient regroupés en cet endroit, attirée par le tintement des galions tu avais délaissé le confort de la salle commune des Grymm pour les bords du Loch Ness. La journée était ensoleillée et chacun se plaisait à laisser de côté ses problèmes personnels pour profiter de l’évènement, les rires et les échanges résonnaient de toute part mais tu n’y prêtais pas attention, bien trop concentrée sur d’autres mots, synonymes de tes maux.
Les mots de miss Radeva, l’infirmière de l’université et gardienne de ton secret n’avaient cessés de se jouer dans ton esprit, en particulier suite au bal de Noël car, même si tu te refusais de l’admettre, les voix s’étaient calmées depuis que tu avais avoué la vérité à Sasha. Elle avait eu raison, encore une fois. Tu allais mieux, les tremblements se calmaient, Héloïse, quoique toujours bavarde se manifestait avec moins de vigueur, elle semblait soulagée de savoir que son père te haïssait un peu moins. Du moins, c’est ce que tu avais cru de prime abord. Car celui faisait déjà presque deux mois qu’il t’évitait soigneusement dans les couloirs. Bien loin de chercher sa présence non plus tu ne pouvais t’empêcher d’être malgré tout un peu amère de cette situation, un instant de naïveté t’avait laissé à penser que ces confidences arrangeaient les choses entre vous… Ce n’était visiblement pas le cas à la vue du regard qu’il te lance en relevant la tête vers toi. « Regarder où je ? » Tu te pares de ton plus grand sourire pour contraster avec la mauvaise humeur visible de l’Elthered. Pourtant, au fond de tes pupilles claires se lisait aisément la rancoeur que tu pouvais ressentir à l’égard du sorcier. Pendant des semaines tu avais presque oublié à quel point sa présence pouvait avoir un impact sur ton humeur mais, maintenant qu’il se trouvait face à toi c’était une tempête d’émotions qui se déversait dans ton esprit torturé. Il peste et se reprend mais tu peux bien lire le désarroi dans ses yeux noisette : « Je t’en prie Sasha termine donc ta phrase. » Tu plantes ton regard dans le sien, tu cherchais autant à te délecter de ses nuances qu’à le mettre mal à l’aise. Mais c’était de bonne guerre n’est-ce pas?
« Que fais-tu donc là Muller ? Tu n’as pas d’occupations plus intéressantes que de rendre visite aux êtres de l’eau ? » Un léger rire s’échappe de tes lèvres, si la discussion semblait banale il n’en était rien, de même que tu aurais bien pu te détourner de son chemin lorsque tu l’avais aperçu fendre la foule au bord du lac. « A moins que tu n’attendes quelqu’un de.. particulier ? » Tu insistes sur ce dernier mot, il devait savoir que tu savais : comment pourrait-il en être autrement ? Tu étais au courant de tout ce qu’il se passait dans ce château et on ne pouvait dire que les tourtereaux se cachaient de quelconque regard : ces pensées te donnaient la nausée, tant de mièvrerie ne ressemblaient pas au Sasha que tu connaissais. Mais peut-être ne le connaissais-tu pas réellement après tout. La preuve était qu’il était là aujourd’hui alors que quelques semaines auparavant il n’aurait jamais envisagé cette possibilité, le sorcier l’intriguait : ou bien était-ce de le savoir s’éloigner qui t’imposait de le ramener à toi par tous les moyens. « Oh j’ai failli oublier ! » Ton regard brille légèrement, tu sais très bien que tes gestes seront épiés par les personnes présentes : « Bon anniversaire honey ! » Mutine et bien consciente de tes gestes tu entoures son cou de tes bras, te hissant sur la pointe de tes escarpins pour arriver à la hauteur de son visage et viens déposer un baiser sur sa joue qui, bien que chaste était mué d’une chaleur qui ne trompait personne : pas même vous.
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Re: savaeh • can you hold me ?
Dim 11 Fév 2018 - 13:43
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savaeh
La douleurs que j'ai ressenti sur mon pied se déplace très rapidement dans mon corps, je ressens une espèce d'engourdissement soudain quand mes yeux croisent les siens. Comme si ma journée n'avait pas déjà été assez pourrie comme ça. Je n'ai pas envie de me battre contre elle, je n'ai pas envie qu'elle s'invite dans mon esprit comme elle sait si bien le faire d'ordinaire. Je souffle son nom comme par dépit et avec son sourire elle m'invite à terminer ma phrase, je lève les yeux au ciel avant de les abaisser à nouveau vers elle sans avoir envie de dire quoique ce soit, pour la première fois depuis très longtemps j'ai envie de la fuir, elle et tout ce qu'elle représente. Je m'apprête à le faire, mais elle me retient avec sa voix si douce, étrangement elle est plus hypnotisante que les êtres de l'eau eux-même et grand benêt que je suis je me contente d'hausser les épaules, lui laissant ainsi l'occasion de renchérir quelqu'un de particulier ? Je suis surpris de sa question, depuis quand est-ce que Nevaeh s'intéresse à qui je fréquente et surtout depuis quand est-ce qu'elle estime que ça mérite sa curiosité ? C'est prévu ... plus tard... J'ai rarement été si peu convaincant (convaincu ? ) de ce que je dis. Je devais retrouver Blanche et les autres dans la soirée, mais vu comme les choses se passent ce n'est pas gagné et elle est toujours là. Avec ses grands-yeux à me regarder, je me déteste. Je ne supporte pas d'être ainsi à la merci de quelqu'un, d'elle, j'ai beau me battre et résister c'est comme si l'univers me poussait vers elle quoique je fasse.
Si la raison de ma visite lors de ses festivités m'est encore inconnue, je commence à regretter amèrement la chaleur de mon dortoir, le plafond de ma chambre et ses tâches d'humidités masquées avec quelques sortilèges de décorations. Alors que je pensais pouvoir reprendre ma route, laisser derrière moi cette femme tellement désirée, mais sa voix enjôleuse prononce quelques nouveaux mots. Que pouvait-elle bien avoir oublié ? Nevaeh me fait face, elle enroule ses bras autours de mon cou et je me retrouve vide de toute envie quand ses lèvres se collent délicatement contre ma joue. Comment est-ce humainement possible qu'un si simple contacte puisse procurer autant de sentiments contradictoire ? Mon corps ne m'aide pas vraiment, probablement par habitude ma main trouve le bas de son dos et le caresse délicatement tandis que mon esprit essaie de trouver une solution à ce problème. Merci Nevaeh, bravo Muller, tu parles d'une motivation et d'une détermination ! Malgré moi je lui souris, elle s'est au moins souvenue de mon anniversaire, ce qui m'étonne je dois bien l'avouer. Malgré ma main le long de son dos je me recule un peu, geste qui me coûte énormément, mon corps entier ne demandant qu'à se trouver contre le sien ce n'est pas un jeu équitable nevaeh. Aucun de nous n'est dupe, ce petit jeux est vieux comme le monde et on y joue depuis suffisamment longtemps pour en connaitre chaque règle, mais elle a toujours l'avantage. Je retire ma main de son dos, fais un pas en arrière et balaie l'assemblée du regard, personne ne semble avoir remarqué ce petit manège, mais rien n'est jamais certains avec les étudiants. Je ne voudrais pas que des rumeurs arrivent aux oreilles de Blanche, après tout, je lui ai fait un promesse que je comptes bien tenir malgré la difficulté ci-présente.
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Re: savaeh • can you hold me ?
Mar 13 Fév 2018 - 19:45
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savaeh
Tu n’aurais pas pensé croiser Sasha ici, mais ,étrangement, cela n’obscurcissait pas le soleil de ta journée comme tu aurais pensé que cela puisse le faire. Visiblement il n’était pas du même avis que toi car tu pouvais bien lire l’agacement dans son regard si reconnaissable. Tu ne pris pas la peine de t’en formaliser, ton jeu n’en serait que plus amusant. Car tu avais envie de jouer Nevaeh, tu avais trop souvent laissé tes démons te mettre en le brun et toi, t’empêcher de reprendre ce rôle que tu avais embrassé des années durant. Aujourd’hui, c’était l’occasion de prendre un nouveau départ, ou bien de rattraper le temps perdu si du moins c’était encore possible. « Oh, plus tard très bien ! » Un rire fluet s’échappe de tes lèvres, voilà qui te laissait suffisamment de temps pour essayer de percer le mystère du soudain changement de comportement du Muller. Ton regard glisse sur son visage, tu te demandes si, elle y glisse ainsi ses yeux de biche, tu te demandes aussi, légèrement amère, s’il lui offre les regards doux qu’il a pu t’offrir lorsque vous échappiez encore à votre auto-destruction.
Le destin avait voulu que vous vous déchiriez, mais vous étiez plus fort que ça. Du moins, tu l’avais imaginé, et malgré cette aversion à avouer tes échecs tu devais avouer que l’épisode Héloïse, qui t’offrait encore de nombreux cauchemars, avait eu raison de la douceur de vos échanges et de vos mots.
Pourtant, suite à ce rapprochement calculé, sa main glisse dans ton dos non sans créer un léger frisson qui se propagea dans tout ton corps. Ses mâchoires serrées avaient beau dire non, son regard et ses gestes laissaient imaginer tout le contraire. Alors tu t’en amusais Nevaeh, parce que ce jour là, tu voulais comprendre pourquoi il n’avait plus dénié se retourner sur ton passage après les révélations du Bal de Noël, pourquoi il avait préféré s’amouracher de cette douce Wright plutôt que de te pardonner. Etait-ce de la jalousie que tu sentais poindre au fond de ta poitrine ? Certainement pas, pour cela, il aurait fallu que tu ressentes de réels sentiments pour le Muller et ce n’était pas le cas. Du moins, la fierté que tu t’imposais le réfutais en bloc. Malgré tout, face à Sasha qui se refermait sur lui même tu prends le rôle de la douce princesse, un large sourire sur les lèvres et des manières travaillées tu offrais cette image au monde bien que chacun soit trop occupé à dépeindre son propre tableau : « Qui a dit que nous jouions ? » Tu papillonnes légèrement des cils, faussement innocente avant de retrouver quelques instants ton sérieux, tu jouais comme tu avais appris à le faire, ton masque se muait pour suivre tes désirs : « Et le monde n’est jamais bien juste mon cher Sasha, tu le sais bien. » Tu le vois jeter un oeil autour de vous, inquiet : « Oh ne t’inquiète pas pour ta douce mésange, ils sont tous trop préoccupés par leurs amours respectifs pour se préoccuper de tes faits et gestes. » A la fois désireuse de prouver tes dires et particulièrement provocatrice tu avances d’un pas vers lui, alors qu’il s’était éloigné quelques instants plus tôt. « Tu vois même si je fais ça… » Tu te rapproches dangereusement des lèvres de l’étudiant, les frôlant presque, mais sans les toucher dans un geste calculé et minutieux, avant de te reculer brusquement une main sur ta bouche dans une moue amusée : « Oh oups, au temps pour moi, peut-être que quelqu’un pourrait remarquer ça ! » Tu ris doucement en jetant un regard à Sasha qui n’avait pas l’air aussi amusé que tu l’étais. « Oh come on Muller, depuis quand es-tu aussi rabats-joie ? » Tu lèves les yeux au ciel avant de croiser les bras sous ta poitrine légèrement agacée par le comportement, peu coopératif, de ton interlocuteur, finalement cette journée n’était peut-être pas si douce qu’elle aurait pu l’être.
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Re: savaeh • can you hold me ?
Sam 17 Fév 2018 - 14:05
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savaeh
Son rire cristallin est probablement agréable pour ceux qui l’entendent, pour les âmes innocentes, pour ceux qui ignorent, mais pour moi il ne présage rien de bon. Ce rire fluet me glace, j'ai l'impression d'être un minuscule insecte prit au piège d'une toile d'araignée, cette dernière descendant et décidant de s'amuser avec son repas. En voilà une belle métaphore, je suis sûr que la grymm l'adorerait avant de m’arracher les yeux ! Pourtant, il y a un moment, pas si lointain où mes mains parcouraient son corps, où ses regards, ses sourires étaient sincères et illuminaient mes journées. Il n'y a pas encore si longtemps, j'avais des espoirs, des envies, même si ce n'est pas nous, même si c'est utopique, je me suis surpris à y croire, mais la vie est bien plus cruelle qu'on ne l'imagine. J'ai perdu tellement plus que de simples rêveries. Son regard se pose sur moi, je ne cille pas malgré cette envie furieuse de fuir, mais ça serait bien trop simple, beaucoup trop insipide pour la belle Nevaeh. Elle susurre et je plonge, mon corps retrouve des habitudes réprimées, ma main parcourt son dos, je la remercie, mais de quoi ? C'est tellement plus profond que les banalités que nous échangeons, cette lutte éternelle entre mon esprit et mon corps (si j'étais sûr d'en avoir un je pourrais presque dire mon coeur).
Je l'ai dit... parce que ça n'est que ça, ça l'a toujours été Bien sûr que ça n'est qu'un jeu, je le sais depuis le début et elle aussi. C'est comme ça que ça fonctionne, que ça a toujours fonctionné et je ne vois pas pourquoi est-ce que les choses changeraient aujourd'hui. Nous sommes incapables de changer. Elle fait les yeux doux et je détourne le regard avant de le poser à nouveau sur elle, l'air légèrement exaspérer désormais on le sait tous les deux. Je ne sais pas ce qu'elle veut, ce pourquoi elle manœuvre, mais je m'inquiète des gens autour et visiblement ça ne lui échappe pas. Comme si quelque chose pouvait lui échapper. Ta douce mésange, dans sa bouche cela sonne presque comme une insulte et pourtant elle à très vite cerner mon problème. Je n'ai pas envie qu'on se fasse de nouvelles idées sur elle, sur nous. J'ai donné avec ce satané chineur et je n'ai vraiment pas envie de m'y retrouver une nouvelle fois en sa compagnie. Ni en compagnie de personne d'ailleurs. L'espace que j'avais créé entre nous est à nouveau réduit à néant. Comme pour se donner raison - comme pour me prouver ma faiblesse aussi ? -, elle s'approche, bien trop près, ses lèvres ne sont qu'à quelques centimètres des miennes, le vent qui passe dans ses cheveux m'oblige à respirer son parfum et j'ai l'estomac qui se noue, je n'ai pas envie de jouer à ça. Nevaeh semble s'amuser comme une enfant, elle pose la main devant ses lèvres avec un oups qui me donne une nouvelle envie de meurtre. Je la déteste tellement ... et en même temps ... D'un léger coup sur l'épaule je l'éloigne une nouvelle fois et mademoiselle d'Alverny semble blasée, blessée aussi peut-être de voir que son manège ne fonctionne pas autant qu'elle le souhaiterait ? Je tente de garder mon calme, je respire profondément, balaie la foule tandis qu'elle reprend la parole. Je m'arrête net dans ma contemplation de la foule pour lui apporter toute mon attention, elle se fou de ma gueule en plus ? Je me penche légèrement vers l'avant pour être plus à sa hauteur depuis quand je suis rabat-joie ? Mon regard a retrouvé sa lueur joueuse, je m'approche encore un peu d'elle je ne sais pas, peut-être depuis que j'essaie de passer à autre chose ? Peut-être qu'essayer de vivre sans rien de toxique dans ma vie me rends rabat-joie à tes yeux, mais tu sais quoi honey ? j'ai plongé dans son regard, je cherche la moindre trace de sentiments qui pourraient m'éclairer sur son état d'esprit, mais comme toujours, elle est fermée et garde cet air suffisant qui est à la fois très enervant et très sexy. J'inspire et souris avant de reprendre faire le vide, mettre des priorités, trouver les bonnes personnes, ça fait un bien fou... tu devrais essayer. Mon visage n'est qu'à quelques centimètres du sien et si je n'avais pas cette promesse et surtout cette envie de la respecter, j'y placerais un baiser, juste pour m'amuser - et probablement me faire plus de mal qu'autre chose -.
- hrp:
jotem
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Re: savaeh • can you hold me ?
Mer 28 Fév 2018 - 5:44
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savaeh
Il cherchait à garder le contrôle, ce n’était pas une surprise, Sasha était autant dans les apparences que tu ne l’étais. C’était d’ailleurs en partie pour cela que vous vous étiez plus au premier abord, à l’époque où tout était plus simple. Tu te souvenais de vos nuits ensemble et une pointe de regret émergea dans ton coeur glacé. Si seulement il n’y avait pas eu Héloïse… Non, tu ne regrettais pas la naissance de ta fille… Tu regrettais seulement sa disparition. Mais il était évident que tout était bien plus simple entre vous avant ton départ d’Hungcalf pour cet exil en Suisse. Finalement le plus simple aurait été de ne pas reprendre contact avec lui, car à trop jouer avec le feu, ils s’étaient tous deux brûlés. « Obviously, ça n’a toujours été qu’un jeu pour toi ! Tu devrais savoir qu’à force de jouer, on peut perdre. » Le railles-tu un léger sourire au coin des lèvres. Vous saviez jouer à ce jeu, vous aviez l’habitude des coups bas et des tricheries, seulement les règles se muaient et se créaient sans que l’un ou l’autre ne puisse agir pour l’empêcher. Tu n’avoueras certainement pas au jeune homme qu’à ce jeu tu avais certainement autant, voire plus, perdu que lui, bien trop fière pour offrir du crédit à son attention et à sa présence. Tu caches tes réelles pensées sous les sifflements de la vipère et les provocations de la joueuse : il te connaissait assez pour savoir que le jeu ne terminait que lorsque tu le décidais, et ce jour là, il était hors de question de faire une trêve.
Comme s’il le comprenait, il reprend l’attitude du joueur, du prédateur, s’approche de toi un sourire conquérant au coin des lèvres et une lueur amusée au fond des pupilles, il espère te blesser par ses mots mais il y a t’il seulement quelque chose qui puisse être plus douloureux que la perte de ta fille ? Certainement pas, ainsi malgré un léger agacement tu ne laisses pas paraitre ton trouble, trop habituée à te confronter à la lui : « Oh… T’es vraiment adorable ! » Tu détaches les syllabes dans une lenteur théâtralisée en observant l’étudiant une moue amusée sur le visage. « C’est vraiment trop mignon de t'inquiéter ainsi pour moi, qu’elle a de la chance celle qui a finalement réussi à enchainer ton coeur… » Puisque ce n’était que ça, une chaine que tu doutais être suffisamment solide pour retenir Sasha bien longtemps. « Mais figure toi que je n’ai pas attendu tes conseils pour m’entourer des bonnes personnes comme tu le dis si bien. » Elle ne donne pas de noms, elle n’a pas besoin de prouver quoi que ce soit, il pouvait très bien ne pas la croire cela ne changerait finalement rien. « Cela ne m’empêche tout de même pas d’être suffisamment mature et bien élevée pour ne pas te dédaigner comme tu l’as fait depuis des mois. » Surtout vu ce qui nous lie. Tu as beau garder ton sourire, comme il le fait vous savez l’un comme l’autre que ce n’est qu’une arme supplémentaire. Pourtant, votre dernière rencontre n’avait pas été de celles qui se terminaient à feu et à sang mais vous n’aviez jamais été aussi éloignés que depuis celle ci. Il se tient proche de toi, bien trop proche pour que tu ne souhaites pas faire glisser tes doigts sur sa peau, plonger ton regard dans le sien et l’entrainer dans la course effrénée des corps qui se bousculent et se déchirent. Mais tu n’en fais rien, même si une lueur joueuse se tient toujours dans tes yeux verts et que tes dents viennent malmener ta lèvre dans un geste toutefois maitrisé. « Tu ferais mieux de te reculer, je ne voudrais pas t’attirer d’ennui si toutefois je venais gouter à tes lèvres… » Ton regard glisse un instant sur ces dernières avant que tu ne reprennes d'un ton légère plus froid, ou du moins, sérieux : « Et je pense qu’il y a bien trop de monde pour que tu puisses tenter, encore une fois, de m’étrangler alors abstient toi ça serait de mauvais gout. » Sans cesser de scruter son visage tu poses tes mains sur le torse de l’étudiant, le repoussant légèrement tout en caressant sa peau à travers sa chemise sans le laisser paraître.
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Re: savaeh • can you hold me ?
Sam 3 Mar 2018 - 3:26
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savaeh
C'est inéluctable, c'est quelque chose qui me dépasse, qui nous dépasses, ce jeu, cette attirance, cette fâcheuse tendance à se détruire mutuellement autant que nous avons pu nous « aimer » à certains moments. Il est hors de question que je lui laisses prendre l'ascendant, je me défends et lui rappelle que tout « ça » n'a jamais été qu'un jeu. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle retourne cette expression contre moi, je ne comprends pas, elle semble dire que j'étais le seul à considérer notre relation comme un jeu et la surprise, l'incompréhension passe rapidement sur mon visage. Cette femme à le don de me perdre dans ses réflexions. Comme si pour elle ça avait été autre chose ? J'essaie de ne pas penser plus loin, la torture ne sert à rien, c'est l'une de mes bonnes résolutions que j'essaie de mettre en œuvre depuis cette année : arrêter l'auto-flagellation pour des choses dont je ne suis pas responsable. Me lamenter sur le tragique destin d'Héloïse ne la ramènera pas, imaginer un instant que Nevaeh aurait pu être plus si j'avais insisté un peu, ne me mènera à rien d'autre qu'à de nouvelles désillusions, rien ne changera jamais. Je le sais, même si j'ai difficile à m'en convaincre réellement.
Je connais chaque parcelle de son corps, je connais ses cicatrices, ses attitudes, ses expressions, même si je ne comprends pas toujours la finalité, je sais que si elle veut s'amuser, rien que je puisse faire ou dire ne la faira cesser. Je tente malgré une attitude désinvolte, de la convaincre que finalement il y a peut-être d'autre chose dans la vie de plus bénéfique que l'amour de la haine et encore une fois, j'aurais mieux fait de me taire. « Enchaîner » ? Mes mâchoires se crispent, elle me connaît peut-être mieux que personne, elle sait que ce genre de champ lexical me déplaît fortement, trop indépendant, trop fier que pour admettre m'attacher et encore moins me faire enchaîner, je me fais prendre à mon propre piège. J'humidifie ma lèvre inférieur et roule des yeux en signe d'impatience. Elle m'aura à l'usure. Nevaeh se dépeint comme quelqu'un de mature et bien élevée, un rire léger traverse mes lèvres. Elle est sérieuse ? Je la dédaigne ? D'accord, je n'ai peut-être, probablement, pas eu une réaction géniale après le bal de noël, j'ai foiré totalement, mais elle me rend dingue depuis des mois, chaque pas que j'ai fais vers elle, elle en faisait deux en arrières. Je ne réplique rien, pourtant j'aimerais lui dire, lui expliquer que si elle l'avait voulu elle avait une place dans ma vie, une place bien plus légitime que n'importe qui d'autre.
Je masque mes craintes, mes faiblesses derrière ce masque de joueur, derrière la séduction à peine voilée, notre proximité pourrait être troublante si cette scène n'avait pas déjà été jouée des dizaines de fois. Nos regards se croisent et elle m’électrise, comme toujours, je ne recule pas et souris même à ses nouvelles paroles. Comme si elle se souciait de mes ennuis, son regard glisse sur moi, tout comme le mien sur elle. Elle est un délice divin, un fruit défendu, je me fais violence, je me contente de la caresser du regard, je laisse le soin à mon imagination de voir plus loin. Elle tente de me repousser, je fais mine d'accompagner son geste avant de placer une main le long de son cou, caressant du bout des doigts l'emplacement d'un ancien hématome, signe visible de ma faiblesse, de mon incapacité à gérer les événements, à la gérer elle. J'apprends de mes erreurs Ce n'est pas un pardon, certainement pas, mais plutôt une manière de lui dire que je ne veux pas la blesser, que ça n'a jamais été mon intention et que plus jamais je ne lui ferais de mal, quoiqu'il arrive. Le frôlement de ses doigts sur le tissus à quelque chose d’intrigant, de presque dérangeant, ma main toujours sur son cou mon regard glisse sur elle, je mords l'intérieur de ma joue et puis merde ... avant de poser un baiser sur ses lèvres, l'attirant contre moi, plongeant ma main dans son dos. Je sais que je vais le regretter, mais tant pis.
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Re: savaeh • can you hold me ?
Mer 14 Mar 2018 - 13:53
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savaeh
Tu réprimes un sourire alors qu’il se crispe à l’évocation de ses chaines : même si votre jeu malsain te poussait à le blesser tu connaissais bien le sorcier. Tu savais qu’il te ressemblait, au fond, qu’il n’était pas du genre à se bloquer dans une relation, qu’il était libre et qu’il ne supportait pas la dépendance. C’était en partie pour cela que votre duo avait si bien fonctionné au départ : parce que vous étiez sur la même longueur d’onde. Cela ne semblait plus être le cas désormais, c’était comme si le fait de finalement partager quelque chose de plus qu’un lit vous avez forcé à ouvrir les yeux sur l’autre. Néanmoins, vous jouiez encore, incapables de vous détacher réellement l’un de l’autre vous cherchiez à atteindre l’autre et tu ne pouvais t’empêcher d’avouer que le voir tourner la page te rendait malade. Parce que tu ne le pouvais pas toi-même.
Alors tu fais semblant, tu mets ton masque, tu le pousses dans ses retranchements et tu cherches à le piéger pour te rassurer. Finalement n’était-ce pas que t’enfermer un peu plus dans la nécessité de l’avoir auprès de toi ? Tu ne l’avouerais certainement jamais mais il n’y avait personne pour déclencher tant de choses en toi. Personne sauf lui.
Il soupire, fait mine de s’éloigner mais se contente de reculer d’un pas te laissant prendre le pas sur votre danse désarticulée. Tu fronces légèrement les sourcils lorsque sa main vient se glisser dans ton cou et ne peux t’empêcher de réprimer un léger mouvement de recul en sentant ses doigts sur ta peau. Mauvais souvenirs de sa main qui refusait de te laisser de l’air, de ce drap qui n’a pas été suffisamment rapide tu tentes de ne pas te perdre dans le passé. « J’apprends de mes erreurs » Sa voix te ramène au présent et tu penches légèrement la tête sur le côté en essayant de déterminer ce qu’il voulait insinuer par là. Toutefois, tu n’as pas le temps de renchérir que tu sens qu’il s’approche dangereusement. En quelques instants ses lèvres viennent se déposer sur les tiennes et vos corps se rencontrent par le geste de sa main qui se glisse dans ton dos. Le baiser est intense, et tu peux y ressentir à la fois la rage et l’envie, la consternation et l’abandon. Tu te surprends à y répondre et même à retenir Sasha contre toi en accrochant le col de sa chemise de tes doigts. Vous seriez certainement vus, il y avait fort à parier que les vipères allaient jaser et que cet écart de conduite arriverait aux oreilles de Blanche : ce n’était définitivement pas ton problème. Toutefois c’était certainement un moyen de jouer un peu. Alors que votre conversation te revient à l’esprit tu mets fin au baiser, repoussant une nouvelle Sasha, cette fois avec plus de conviction, faussement outrée : « Come on ! Je pensais que tu cherchais à passer à autre chose Muller. » Lui demandes-tu en haussant un sourcil. Tu tentes de ne pas exulter, néanmoins un léger sourire triomphant glisse sur tes lèvres tandis que tu glisses ton regard sur les siennes.
« Néanmoins… » Tu viens à nouveau presser tes lèvres sur les siennes, quelques instants avant de venir susurrer à son oreille d’un ton plutôt explicite sur ton humeur actuelle : « Si un jour te vient l’idée de renouer officiellement avec qui tu es… Tu sais où me trouver. » Un léger rire vient ponctuer la fin de ta phrase tandis que tu regardes quelques secondes autour de vous avant de reprendre une distance raisonnable entre vous, suffisamment pour pouvoir plonger ton regard dans le sien pour tenter de comprendre ce qu’il pouvait bien penser en cet instant.
- InvitéInvité
Re: savaeh • can you hold me ?
Mar 20 Mar 2018 - 5:53
tales as old as time
savaeh
Elle sourit, ce sourire que je connais si bien, tout comme elle me connaît, tout comme elle connaît mes forces mais surtout mes faiblesses. Elle appuie sur les mots comme s’il s’agissait d’une plaie et elle se délecte de ma rage montante. Quand je la caresse du regard, je ne peux empêcher mon esprit de replonger dans le passé, dans ce passé qui remonte à plusieurs années désormais, à l’époque où l’on passait de bons moments sans se prendre la tête et puis … et puis elle a disparut sans donner de nouvelles, sans prévenir qu’elle avait un enfant, s’enfermant dans son silence, sombrant peu à peu dans sa folie après la perte de ce bébé inattendu mais tellement aimé. Je sais que tu l’aimais, mais … est-ce que tu sais que je t’aimais aussi ? A cette pensée je lève les yeux vers le ciel lumineux malgré la fraîcheur du jour, plus j’avance, plus j’y pense, plus j’arrive à cette conclusion : si nous l’avions voulu, si nous n’étions pas passionner par notre destruction, peut-être qu’on aurait pu s’en sortir ensemble, peut-être que l’avenir nous aurais donné une chance, mais aujourd’hui, tout cela est bien terminé, enfin … c’est ce que je pensais.
Son regard ensorcelle mon esprit, je sais que je suis faible quand je suis à ses côtés, je n’arrive pas à résister à l’appelle que chacune des parties de son corps lance à mon égard. Elle est si belle, si parfaite pour moi. Mes doigts sur son cou, elle esquisse un mouvement de recule et si je ne sais pas tout, je sais que je suis responsable d’une partie de son appréhension, ce n’est tellement pas moi. Je ne suis pas cet homme violent, en tout cas pas envers les femmes et je m’en voudrais probablement toute ma vie de ce geste de désespoir, je voulais simplement qu’elle se taise, qu’elle cesse sa torture et je suis devenu dès lors son bourreau. Ce baiser non calculer, cette envie, cette passion, cette rage, cette urgence de vivre, il n’y a qu’elle qui peut me faire ressentir un tel mélange. C’est intense, explosif, comme ça l’est toujours entre nous, ma main presse le bas de son dos, l’amenant contre moi, elle ne me repousse pas, au contraire. Elle m’attire à elle, rendant l’échange encore plus intense avant de me repousser avec une expression outrée, expression de façade, joue pas à ça avec moi heaven. Un sourire vient fendre mes lèvres, sa réaction est prévisible, elle pourrait presque m’atteindre, mais je la connais et je contentes de sourire, son regard me transperce et ses lèvres viennent à la rencontre des miennes une nouvelle fois avant de murmurer à mon oreille, laissant échapper un petit rire à la fin, presque comme un défi, elle recule, m’observe et je fais de même avant de m’avancer à nouveau, posant une main sur sa hanche, l’amenant a moi dans un mouvement à la fois brusque et pourtant calculer, j’approche mon visage du sien, mes lèvres à son oreille, et … qu’est-ce que tu fais les prochaines heures? Délicatement, un baiser vient se poser à la base de sa nuque, subtil, délicat, tendre, il vise à éveiller ses sens comme elle éveille les miens, le reste de la journée est à nous, si elle le veut.
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Re: savaeh • can you hold me ?
Lun 26 Mar 2018 - 14:48
tales as old as time
savaeh
Sa main se pose sur ta hanche et t’attire vers lui d’un geste sec. A peine surprise, tu sens néanmoins ton corps se tendre et ton souffle s’accélérer légèrement alors qu’il s’approche à nouveau, réduisant la distance entre vous à la simple épaisseur de vos vêtements. Tu l’observes, cette même lueur de défi au fond des yeux tandis qu’il sourit, comme le chasseur qu’il était. Il semblait avoir retrouvé contenance, tes paroles ne l’atteignaient pas, plus, tu ne savais pas quand le changement s’était opéré. « Et… Qu’est ce que tu fais les prochaines heures ? » Tu te mords la lèvre, aussi réjouie qu’envieuse et bien déterminée à profiter de cette possibilité offerte à toi. Tu ne te recules pas, ne joues pas l’offusquée, il savait bien que ce n’était qu’une façade de toute façon. « Il parait que j’aide un vieil amant à se retrouver… » Souffles-tu en frémissant légèrement sous ses lèvres. Tes mains viennent se glisser dans ses cheveux tandis que ton coeur bat un peu trop fort dans ta poitrine, synonyme des émotions contraires qui prenaient place dans ton esprit. We’re toxic all day, it’s a warfare.
Car c’était ainsi avec Sasha. Il te rendait si faible, et à la fois si forte. Car il éveillait en toi tout ce qui t’avait jamais rendue heureuse et tout ce qui t’avait brisée. Cause I’m a little unsteady… Depuis le premier jour où vous vous étiez retrouvés jusqu’à aujourd’hui, la présence de Sasha n’avait cessée d’être source de joies, mais aussi de désillusions brulantes. Vous évoluiez tous les deux sur un fil, au dessus du vide et nombreuses avaient été les bourrasques menaçant de vous faire chuter. Pourtant vous étiez toujours là, tous les deux, alors qu’il aurait été tellement plus simple de disparaitre, de s’échapper de ce jeu malsain. You are the reason. Finalement, tu étais quasiment certaine qu’il avait toujours été différent des autres hommes que tu avais fréquentés. Même si tu avouais le contraire, même si tu n’accepterais réellement jamais ta position face à lui, tu ne comptais pas le laisser s’éloigner.
Tes lèvres viennent lui voler un baiser, brulant de désir et toutefois mesuré comme tu savais le faire. « On va chez toi ? » Murmures-tu à son oreille sans cesser de caresser sa peau du bout des doigts. Tu ne fais même pas attention aux regards qui glissaient sur vous, plus attention aux problèmes que Sasha pourrait avoir avec sa douce mésange, ni aux rumeurs que ce rapprochement pouvait lancer. Il n’y avait que vous et cette irrésistible attraction qui vous liait. Can you hold me ?
Est-ce que cette journée sonnait comme des adieux ? Peut-être pas, mais si c’était réellement le cas, vous l’auriez passée de la meilleure des manières. Ensemble. In the end, it’s you and I.
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