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n i a m h ω Ecrire l'histoire est une façon comme une autre de se libérer du passé
Mar 17 Avr 2018 - 20:15
someone in the crowd could be the one you need to know
the someone who could lift you off the ground
the someone who could lift you off the ground
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(NOM COMPLET) Niamh Viola Walsh-Muller. (ÂGE) 31 ans. (STATUT CIVIL) mariée. (NATIONALITÉ) irlandaise. (MÉTIER) accueillante d'enfants / prof de danse. (DATE DE NAISSANCE) 17 mars 1992. (LIEU DE NAISSANCE) Dublin. (SITUATION FINANCIÈRE) financièrement indépendante depuis ses 18 ans. (COPYRIGHT) fiche (moonshadow), icons (tweek).
— ADVENTURE OF A LIFETIME —
Irlandaise ; gryffondor puis grymm ; orpheline depuis son adolescence ; danseuse rigoureuse, chanteuse, passionnée par l'art sous toute ses formes; son passé est compliqué, de nombreuses rumeurs la porte au rang de briseuse de couple, de petite peste hautaine, ce n'était qu'une partie de la vérité; brisée et peu sûre d'elle, elle ne cesse jamais de vouloir progresser; rêve de perfection; poissarde en amour; maniaque; adore les enfants et à ouvert une crèche en février 2019; croit au coup de foudre et à l'amour d'une vie; adore cuisiner; chante toute la journée et s'avoue un faible pour les groupes des années 90
1992
17 mars : naissance des jumaux Niamh et Aedan à Dublin au sein d'une famille moldue
2003
01 septembre : entrée a Poudlard, répartie chez les Gryffondor
2006
24 avril : décès des parents Walsh dans un accident de voiture, les jumeaux sont confiés à leur aîné, Declan, qui abandonnera ses études pour subvenir aux besoins de la famille. Elle ne sera plus jamais la même après ça.
2010
Dernière année à Poudlard, elle s'est créée une réputation de peste, toujours a rabaisser les autres, laisser entendre qu'elle est meilleure qu'eux tous; ce n'est que l'expression de son mal être, du harcèlement qu'exerce Declan.
Naïve, elle se laisse séduire par le fiancée de celle qui était sa meilleure amie a l'époque, @"Isalynn Fraser". Lynn surprendra les deux amants ensemble, triste journée qui signa la fin d'une amitié, de fiançaille, mais surtout l'apogée d'une réputation de garce pour Niamh.
Septembre : elle entre a Hungcalf, se réinvente, choisi de suivre le cursus d'art du spectacle et retrouve son amie Scylla Muller avec qui elle grandira et reprendra confiance en elle.
2018
Janvier : création du groupe "KissingsDolls" avec Scylla Muller
Mars : après une soirée de travaille dans un club, elle se fait agresser sexuellement sur le chemin du retour. Seule, elle ne devra son salut qu'au hasard, qu' @Calliope Muller passait par là, elle fera fit de ce qu'elle pense de la sorcière pour l'aider. Un secret qu'elles gardent encore aujourd'hui.
Mars : alors qu'il est la dernière personne qu'elle souhaite voir, @Caël Muller devient un soutient inattendu pour elle.
Mai : elle apprend qu'elle est enceinte, grossesse de l'horreur, elle s'amaigri encore un peu, cumule les malaises et la culpabilité du dégout qu'elle ressent pour cet enfant qui grandit en elle.
Juin : après s'être retrouvée coincée dans la réserve avec @"Isalynn Fraser", elle fait une fausse-couche, un sentiment étrange de soulagement et de vide. C'est le choc de trop, elle quittera Hungcalf et n'y reviendra plus.
Juillet : lors d'un weekend entre amies, elle se retrouve a flirté avec un de ces anciens souffre-douleur, petite jalousie semble pointer le bout de son nez chez @Caël Muller
aout/septembre : voyage au bout du monde, elle retrouve son meilleur ami Hunter pour un voyage dans le monde de l'art, lui qui est danseur pour les compagnies les plus prestigieuses, ça la rendrait presque jalouse.
2019
Janvier : ouverture de Citrons et Papillon, milieu d'accueille pour enfant
2020
2021
14 février : annonce sa grossesse à @Caël Muller, accepte de l'épouser
17 juillet : deviens maman d'un petit Liam Walsh-Muller
2022
20 mars : épouse @Caël Muller
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Re: n i a m h ω Ecrire l'histoire est une façon comme une autre de se libérer du passé
Mar 17 Avr 2018 - 20:28
confidanses x hyacinthe
it's the same old theme x isalynn
now you see me x caël
qu'en dis tu ? x giacomo
puisse le sort vous être favorable x sterenn
faites moi un grand nettoyage x dhan
peace offering x isalynn & aedan
merry xmas inverness x commun
règlement de compte x sky
open your mind x samwell
i don't know you anymore x isalynn
the darkest hour x lilas
i'll be fine, i swear x samwell
casser la croute x caël
a la découverte du monde x samwell
something to tell youx sky
viens là minou x giacomo
young, wild and free x giacomo
pas de répit, même l'été x caël
GLEDE AV Å VITE x gabriel
it's a new begin x giacomo
nous sommes un x ian [supprimé]
merry x-mas inverness x giuther - sasha - sapphire
soirée entre coloc x naïa & samwell
i can't get no satisfaction x isaac
Hé, t'es complètement fou ! Je vais pas me déguiser en vahiné ! aloha ! x grayson [supprimé]
la journée de la déraison x léandre [supprimé]
- InvitéInvité
Re: n i a m h ω Ecrire l'histoire est une façon comme une autre de se libérer du passé
Sam 29 Sep 2018 - 12:54
tw : agression sexuelle
La nuit est bien avancée, tu es fatiguée, tes jambes flageolent et ton estomac crie famine. Il te tarde de rentrer chez toi, pourtant tu préfères marcher, tu as besoin de prendre l’air, de remettre du calme dans ton esprit avant de pouvoir aller te coucher. Voilà plusieurs semaines déjà que tu as rejoins l’appartement de Samwell et Naïa, c’est plus confortable que la chambre du dortoirs, tu apprécies le calme de même que la liberté que ce nouvel arrangement t’offre. La nuit est fraîche, tu remontes l’écharpe de ta maison sur le bas de ton visage, ce n’est pas le moment de tomber malade car tu as un concert prochainement et ta voix doit être au mieux. Les rues de Myrddin Wyllt District sont désertes et pourtant tu ne crains rien tu marches d’un bon pas, tu as la tête haute comme toujours, si tu n’avais pas eu les écouteurs de ton lecteur mp3 tu aurais peut-être perçu des bruits de pas derrière toi, si la musique n’allait pas si fort dans tes oreilles, si tu ne chantonnais pas comme tu le fais toujours tu aurais entendus les paroles que l’on t’adressait, mais tu n’as rien entendu.
Tu sens ton bras se tordre, ton cœur rate plusieurs battements, tu cries par surprise et avant même de comprendre tu sens une douleur fulgurante au niveau de ta joue, de ton dos, tu réalises sans réellement comprendre quand ton dos heurte la pierre dure d’une ruelle plus sombre encore que la situation. Ton esprit occulte les évènements, tu sais que tu ressens de la douleur, tu pense te débattre, mais est-ce la réalité ou simplement ton espoirs ? Les coups se répètent, on t’invective de rester tranquille et tu sens tes forces te quitter peu à peu, quel serait l’utilité de te débattre ? C’est comme un Filet du diable, tu sens bien que plus tu tentes de t’échapper plus l’emprise se resserre. Les minutes passent, tu ne dis plus rien, les larmes roulent sur tes joues dans cette ruelle sombre, tu focalises le peu de ton attention encore disponible sur les notes qui s’échappent des écouteurs, tu te sens déchirée de l’intérieur, tu as l’impression de mourir peu à peu.
[…] le sol froid te réceptionne, tu ramènes les genoux contre ta poitrine, la tête appuyée contre le mur froid tu pleures en silence, tu n’as jamais eu peur, tu t’es toujours pensée au-dessus des autres, tu n’aurais jamais imaginer faire partie de ce genre de femme, celle qui sont un jour abîmée par un homme, celles qui ne pourront plus jamais être les mêmes parce qu’on leurs à pris leur confiance, parce qu’elles sont blessées au plus profond d’elles. Des pas attirent ton attention, tu te recroqueville encore un peu, les cheveux en bataille, les joues humides, les yeux rougit, les vêtements partiellement abîmés. Tu n’es que l’ombre de toi-même dans cette ruelle, tu ne veux pas lever le regard, mais la peur fait faire des choses stupides, ton regard accroche une silhouette, une chevelure blonde, un visage fermé, tu baisses les yeux fatiguée, tu n’as pas la force de te battre cette nuit, c’est pas le moment Muller. Le fantôme de ton adolescence, la personne qui t’a persécutée durant de nombreuses années, celle que tu détestes peut-être autant que ton frère, sur toute la population il fallait que ce soit Lilas Muller qui passe-là, la chance semble vraiment t’avoir abandonné.
La douleur n'est rien en rapport à la sensation qui t'habite en cet instant. Tu te sens mal, coupable, faible, tu te détestes et pourtant tu n'y es pour rien. Les minutes défilent, tu repasses un millier de fois au moins, ce que tu aurais pu, aurais du faire. Ton corps frêle tremblote sur le sol froid de la ruelle, tu tentes te te reprendre, tu sais que tu seras seule, comme tu l'es toujours, pour traverser cette épreuve. Tu ne voudras pas mêler qui que ce soit à cette histoire, ton frère est trop doux pour supporter ce drame, tes amis, ceux que tu as, en qui tu as confiance sont rares et tu ne vois pas comment aborder le sujet, tu ne veux pas les inquiéter, non, tu feras comme tu fais toujours, tu garderas ce secret enfuit au fond de ton cœur. Les pas qui approchent font se resserrer encore un peu plus ton cœur, tu lèves les yeux et le regard de la reine des glaces se pose sur toi. Tu voudrais mourir, ne pas avoir à subir ses paroles, ses regards auxquels tu es habituées depuis des années. Protection oblige, tu sors les crocs avant qu'elle ne le fasse, tu n'as pas envie de jouer, tu n'as pas la force et tu voudrais simplement qu'elle passe son chemin, qu'elle oublie ta présence, qu'elle oublie ton existence, juste ce soir. S'il te plaît ...
Tu aimerais qu'il en soit autrement, tu voudrais être plus forte, mais les larmes roulent toujours sur tes joues, des larmes sans sanglots, des larmes vraies, comme celles qui ont inondés ton oreiller quand tes parents ont disparus. Ce chagrin silencieux est le plus violent qui existe, le sang qui glisse dans tes veines est brûlant, l'ensemble de ton corps est douloureux et quand elle pose sa main sur ta joue tu recules un peu brutalement. Ce contact, tu ne t'y serais jamais attendue. Lilas reste impassible, t'ordonne presque de rester tranquille et bien que ta mâchoire se crispe, tu lui laisses observer tes hématomes en prenant soin d'éviter le regard de la blonde. Les gestes de Lilas sont étrangement apaisants, elle t'aide à te remettre sur pieds, le sol s'éloigne et tu prends appuis contre le mur de pierre humide, consciente désormais de chaque parcelle de ton anatomie. Les lancements que tu ressens au plus profond de toi t'arrache quelques grimaces, tu croises les bras sous ta poitrine laissant échapper un soupire tout en mordant ta lèvre, tu essaies de reprendre le contrôle. Tu es poussée par la fierté, si c'était n'importe qui d'autre à tes côtés, tu ne sais pas comment tu aurais réagi, mais c'est ton pire cauchemar et pourtant ... m...merci lilas. Que pourrais-tu dire d'autre ? Elle était là, présente malgré vos années de bagarre. Son regard n'est pas rempli de pitié comme l'aurait été celui d'une autre, non, elle reste fidèle à elle-même et pour ça tu remercies sincèrement la jeune femme. Tu tournes le regard vers elle rapidement, tu balaies la ruelle vous êtes seules. Le silence alentours fait poindre l'ombre d'une angoisse, tu n'as jamais eu peur du noir, pourtant ce soir tu es terrifiée, tu trembles et ton cœur bat bien trop vite tu peux juste rester deux minutes ... s'il te plaît ... tu comptes transplaner jusqu'à chez toi, tu pries pour Naïa et Sam soient déjà couchés, mais tu ne peux pas le faire dans cet état de stress, c'est dangereux et tu ne saurais pas rester seule, alors tu fais la chose que tu aurais crus impossible il y a encore quelques heures, tu supplies Lilas de rester à tes côtés. Parce que c'est bien de ça qu'il s'agit, ce n'est pas une formule de politesse, ta voix est bien trop fragile pour masquer l'intention, tu as besoin d'elle et c'est encore plus difficile pour toi de te l'avouer.
Son regard te transperce, non pas comme il le fait d'ordinaire avec mépris et dégout , non, c'est comme si la blonde lisait en toi, comme si elle était capable de te percer à jour et c'est encore pire. C'est douloureux. Tu voudrais être loin, ailleurs. Tu sens tes jambes se dérober, elle te rattrape. Ennemie de toujours qui devient soutient inestimable. Tes remerciements sont sincères, tu les laisses s'échapper dans un souffle, un soupire, une lamentation à peine masquée. Faiblesse insoupçonnée. Pas bête, la Muller te tends tes écouteurs, t'oblige à te défaire de ta propre étreinte. Cette chose ne reviendra pas Tu aimerais la croire. Ton corps tout entier frémit à cette pensée, à ce retour qu'elle dit impossible et pourtant auquel tu crois. Après tout, ne dit-on pas qu'un criminel revient toujours sur ses pas ? Peut-être pas ce soir, peut-être pas demain, mais un soir prochain ? Comment pourrais tu à nouveau vivre, te balader sans craindre à nouveau des bleus sur ton corps ?
Rien n'est clair dans ton esprit, tu trembles, ta respiration est douloureuse, chacune de tes inspirations brûlent tes poumons et elle pose une question intelligente. À nouveau. Une larme roule sur ta joue. Tu ne sais pas. Tu ne sais plus. Pourquoi est-ce qu'elle voudrait le savoir ? Ta requête n'est pas compliquée pourtant, tu ne lui demandes rien de plus qu'une présence, le temps que ton sang circule à nouveau, que tu retrouves tes sens et que tu puisses rentrer chez toi. Ton regard croise le sien. Impénétrable comme toujours. Fenêtre close sur son âme torturée, probablement comme la tienne, si ce n'est pire. Au fond, peut-être n'êtes-vous pas si différentes ? Sa main tendue, ses paroles spontanées, tu lèves un sourcil méfiante alors qu'elle est ta seule source de chaleur. Pourquoi est-ce que tu lui ferais confiance ? Tu hésites. Elle le ressentira. Tu es un animal blessé, méfiant, tu suffoques. Tu saisis finalement sa main. Peau froide opalescente dans la nuit noire. Ton coeur est brisé. Ta fierté est réduite à néant, alors tu acceptes l'aide qu'elle te propose. Elle te guide jusqu'à chez elle, tu poses ta confiance, ce qu'il en reste, en une personne qui t'a toujours méprisée.
Accepter cette main, c'est embrasser ce qu'elle est, ce qu'elle représente à tes yeux. C'est difficile de faire confiance à une personne qui a été si longtemps ton bourreau, mais t'es mal, plus que tu ne l'as jamais été et ce soir, plus que jamais tu as besoin d'aide. T'es pas du genre à te laisser aller, à abandonner sans te battre, non, t'es tout le contraire, et pourtant t'en es là. La blonde vous fait parcourir quelques rues et tu pénètres dans son antre. Ton sang se glace, tu réalises qu'elle qui te déteste tant tiens pour ainsi dire ta vie entre ses mains, tu seras désormais tributaire de son silence, elle possédera une arme redoutable contre toi : la vérité.
Délicate, elle te laisse prendre place sur son lit, luxueux, raffiné, tout comme elle. La blonde te souffle qu'elle revient, tu n'as pas envie de rester seule dans cet endroit inconnu, mais elle tient parole, sa silhouette réapparaît dans la pièce c'est drôle comme ce qui te terrorisait il y a quelques années peut être un soulagement en ce moment. Jamais tu n'aurais cru que ton salut viendrait de Lilas Muller. Ton regard glisse sur elle, on dirait qu'elle panse les blessures d'un enfant qui vient de s'égratigner le genou, au mieux avec la douleur tu auras l'impression d'être vivante. Elle fait preuve d'une délicatesse insoupçonnée, tu te contentes de maintenir les apparences. T'es vide. T'as plus rien qui bat à l'intérieur, te voilà devenue zombie, spectatrice de ta propre vie. T'entends la voix de Lilas te dire que si tu veux prendre une douche, c'est par-là. Tu hoches la tête sans réellement t'en rendre compte, mais tu te sens tellement sale. Les dernières ressources de ton corps sont pour mener ta coquille vers la salle de bain, tu te déshabilles sans même te toucher, chaque effleurement te soulève le coeur et tu entres dans la douche, l'eau chaude détends tes muscles, tu autorises les larmes à couler abondamment tant que t'es sous l'eau, on ne voit jamais les larmes d'un poisson pas vrai ? Le temps se fige, tu saurais pas dire si t'es restée deux minutes ou une heure, t'avais juste envie d'arracher chaque centimètre de peau corrompue, salie par un homme qui t'aura volé bien plus qu'un morceau de chaire, c'est un bout de ton âme qui est partie avec lui ce soir. Dans ton sac se trouve d'autres vêtements, des tenues de rechange, tu passes un pantalon en lycra et un pull ample, ceux que tu utilises pour tes répétitions de danse, tissus réconfortant à l'odeur familière. Tu embarques tes affaires hors de la salle de bain, la chambre est vide, sur la pointe des pieds tu sors et tombe sur une Lilas installée dans son salon. Tu ne sais pas quoi lui dire, tu voudrais la remercier, parce qu'elle n'était pas obligée, parce qu'elle ne t'a montré aucune pitié, mais plutôt de la compassion - la différence est importante. T'approches silencieuse tout en l'observant. Une gamine qui craint la réprimande paternelle, voilà ce que t'es, c'est dingue, tu sais pas comment faire. T'es pas une victime, tu l'as jamais été, t'as pas le mode d'emplois alors simplement merci Lilas. Son regard tombe dans le tiens et tu prends une inspiration profonde pour te donner du courage, tout ça ... c'est vague, tu le sais, mais tu peux pas être plus précise de toute façon, tu peux le garder pour toi ? s'il te plait. Elle l'entend la peur dans ta voix,tu crois ? T'as pas envie que ça arrive à des oreilles mal intentionnées ou pire ... Familières. T'as pas envie qu'on sache, t'as pas envie qu'on te juge ou qu'on te regarde. T'as vécu l'enfer cette nuit, c'est pas pour vivre le reste de ta vie avec ça dans le regard des autres. De tes frères .... si jamais ils l'apprennent, t'as pas envie de connaitre leurs réactions, parce que tu sais déjà qu'elles seraient diamétralement opposées et bien trop impulsive en plus. Tu veux pas qu'ils vivent avec ça sur le coeur, c'est ton drame, il t'appartient.
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