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You forget, baby it's a dream land ~ libre
Dim 13 Mai 2018 - 5:51
You forget, baby it's a dream land
Nerveusement, je passe une main sur mon visage comme pour en chasser quelque chose. Une fatigue, une tension, plus qu’un éventuel insecte trop intrépide. Avec tout autant de nervosité, je fais tourner le portable entre mes doigts. Toujours pas de réponse d’Aloïs. Elle devait me tenir au courant après son rendez vous avec le toubib aujourd’hui. Peut-être me suis-je encore trompé dans mon calcul du décalage horaire, tout simplement. Peut-être que je m’en fais trop, trop vite, trop souvent. Ma cadette n’est plus une enfant, c’est une grande fille à présent, une femme même, bientôt une mère. Il va falloir que je m’y fasse. Mais à l’heure actuelle, je suis encore bien incapable de faire preuve d’un peu de détachement et de me concentrer sur ce que j’étais venu faire ici. Assis le jean à même la pelouse sous cet arbre, dans un coin isolé du parc, je cherchais un peu de calme pour enfin parvenir à un croquis qui me convienne. Il faut dire que pour la première fois depuis longtemps, j’ai quelque chose de bien plus joyeux en tête que les délires autodestructeurs de notre mère, et bien plus distrayant que les cours où je m’efforce tant bien que mal de m’illustrer. Et plutôt que de gribouiller des essais de manches plus aérodynamiques, voila que je noircie des pages entières de petits couffins ou de petits chaussons. Je deviens une vraie bonne femme avec cette histoire au point que j’en arrive à me faire peur. Je suppose que le coup de la nouveauté passé, tout rentrera dans l’ordre, mais je sais aussi que si je ne reprends pas rapidement mes esprits tout finira par partir à vaux l’eau.
C’est cette certitude en tête que je me décide à tourner les pages du carnet en quête d’une feuille vierge de toute distraction pour me forcer à y noter ce que je dois absolument faire pour ne pas sombrer définitivement dans la niaiserie gâteuse où l’idée de devenir un oncle me plonge peu à peu. Premièrement, sortir. Pour fêter ça, d’une part, parce qu’il est vrai que si j’ai cogité, je n’ai pas encore pris le temps d’aller boire un verre à la santé de ce gosse qui arrive. Et puis ce sera l’occasion de faire quelques rencontres, qui sait. J’en ai besoin aussi. Je n’ai pas vraiment pris le temps de retrouver un semblant de vie sociale depuis mon retour de Louisiane. Ce qui m’amène à la seconde entrée, retrouver les autres. Les copains. Ceux que j’ai laissé en plan quand je suis parti. Je note quelques noms, j’en griffonne certains. Eleanor par exemple. Elle n’a pas besoin que je revienne perturber sa vie, elle a dû tourner la page. La troisième entrée vient d’elle-même, en complément des deux autres. Organiser un repas entre coloc. J’ai à peine pris le temps de lire les noms de ceux qui partagent le loyer avec moi. C’est bête à dire mais je crois que je n’en connais aucun. A peine les ai-je aperçus. Ça ne me ressemble pas, il est plus que temps de remédier à ça. Je rajoute une Etoile à coté de cette idée-là, elle me semble plus importante que les autres.
Relisant ces quelques entrées, je me laisse aller à imaginer les scènes en question. Me voir un verre à la main me semble tellement… étrange. La dernière cuite que j’ai prise remonte à cette mauvaise bouteille vidée seul dans la cuisine déserte de mawmaw dans le bayou. Mais boire seul est bien moins agréable que savourer une soirée entre amis. Là-dessus, aucun doute. Et c’est un léger rictus aux lèvres, l’esprit vagabondant à de vieux souvenirs de virées dans les clubs du quartier sorcier ou les pubs moldus que je relève la tête vers l’étang un peu plus loin. C’est drôle, il fut un temps où la simple vue de cette étendue d'eau m’aurait fait perdre le sourire aussi sec, reveillant de vieilles angoisses, mais pas cette fois. Pas alors que j’ai autant de belles images en tête. Les souvenirs des soirs passés et les projections de ceux à venir s’entremêlent et je suis plus décidé que jamais. Je vais reprendre tout ça en main. J’en viens même à sourire de plus belle à la première silhouette qui traverse mon champ de vision, le carnet toujours ouvert sur mes genoux. J’ajoute un « Salut. Belle journée pas vrai ? » Est-ce que je connais la personne en question ? Aucune idée. Est-ce que j’ai besoin d’une excuse pour ça ? Je suis de bonne humeur, n’est-ce pas la meilleure des excuses ?
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Re: You forget, baby it's a dream land ~ libre
Lun 14 Mai 2018 - 0:18
You forget, baby it's a dream land
ft. Charley Twiddle
Je suis à quatre pattes dans l'herbe depuis cinq bonnes minutes. N'importe qui passant par là me trouverait sûrement très étrange. Mon appareil photo en main, je m'approche à petits pas de l'étang, faisant attention à être la plus discrète et silencieuse possible. Au moment même ou j'allais appuyer sur le bouton pour prendre la photo, j'entend des battements d'ailes et des bruits d'eau. Le joli canard que j'avais repéré s'était envolé quelques mètres plus loin, et j'étais restée dans une position ridicule pour rien.
"Fichtre, diantre, sacrebleu.. merde ! Reviens espèce d'oiseau nul !"
L'envie de balancer mon appareil était très tentante mais le rappel du prix de l'objet et mon léger manque d'argent actuel me dit que ce n'était peut-être pas l'idée du siècle... Je retourne m'asseoir, adossée à un arbre et je regarde les dernières photos prises aujourd'hui. nul... nul... pas trop mal... oh j'aime bien celle-ci ! oulah celle là est à supprimer directement... Je soupire et éteins l'appareil qui de toute façon commençait à arriver à court de piles. L'arbre n'étant pas le dossier le plus confortable du monde, je me lève et allume une clope, vérifiant bien qu'il n'y ait personne autour et je vais me poser sur un rocher juste devant l'étang. J'ai pris l'habitude d'aller fumer par ici parce qu'il n'y a jamais personne. Je ne me suis fait prendre qu'une fois en trois ans que je fume, ça va. Le bâton de nicotine fini, je l'écrase contre le rocher et le jette dans le lac. Vive la pollution ! pensais-je. L'ennui et le manque d'activité commençait à se faire sentir, je me lève pour me dégourdir un peu les jambes et décide de rentrer pour réviser un peu. Le parc me parait être l'endroit le plus rapide par lequel passer pour rentrer. La musique dans les oreilles (on dit merci les écouteurs et portable moldus.), je marchais sans vraiment faire attention à ce qui se passait autour. Entre deux musiques, j'entendis une voix m'appeler.
"Salut. Belle journée pas vrai ?" entendis-je.
Ce serait mentir de dire que la première pensée qui m'est venue en tête n'était pas c'est qui lui, il veut quoi ? Parce que je suis polie, je coupe ma musique et je lui réponds tout de même.
"Salut... Euh, ouais, il fait beau c'est cool."
Bravo Ellie, quelle sociabilité, tu passes encore pour quelqu'un de désagréable. Je ne connaissais que de vue la personne qui m'avait demandé ça, il avait l'air beaucoup plus vieux, et on ne s'était jamais adressés la parole. Je voulais continuer ma route, j'avais remis mes écouteurs. Quelques mètres me séparent de cette homme et la distance continue de s'agrandir. Je m'arrête subitement et me retourne. Bon... t'as rien à faire et c'est toujours mieux que de réviser nan... nan ? J'avance vers l'homme qui m'avait poliment saluée et vais m'asseoir en tailleur en face de lui avec un grand sourire planté sur mon visage.
"Désolée, j'ai peut-être eut l'air un peu froide. Sympa ton carnet, y a quoi là-dedans ?"
La discrétion et la subtilité n'étaient pas mes points forts, tant pis si ce que contenait le carnet était un secret, maintenant c'était trop tard et j'étais assez curieuse de voir les dessins de l'homme en face de moi. Je penchais ma tête en avant de manière assez indiscrète pour essayer de voir à l'envers mais de là où j'étais je n'y parvenais pas.
"Qu'est-ce qui te rend joyeux ? T'as l'air de sacré bonne humeur, l'arbre t'a raconté une blague ?"
Oui, j'avais cinq ans d'âge mental. Maximum. Et aucun filtre concernant les conneries que je pouvais sortir. Mais pour une fois que je me décide à aller parler à quelqu'un sans l'envoyer en bouler...
"Fichtre, diantre, sacrebleu.. merde ! Reviens espèce d'oiseau nul !"
L'envie de balancer mon appareil était très tentante mais le rappel du prix de l'objet et mon léger manque d'argent actuel me dit que ce n'était peut-être pas l'idée du siècle... Je retourne m'asseoir, adossée à un arbre et je regarde les dernières photos prises aujourd'hui. nul... nul... pas trop mal... oh j'aime bien celle-ci ! oulah celle là est à supprimer directement... Je soupire et éteins l'appareil qui de toute façon commençait à arriver à court de piles. L'arbre n'étant pas le dossier le plus confortable du monde, je me lève et allume une clope, vérifiant bien qu'il n'y ait personne autour et je vais me poser sur un rocher juste devant l'étang. J'ai pris l'habitude d'aller fumer par ici parce qu'il n'y a jamais personne. Je ne me suis fait prendre qu'une fois en trois ans que je fume, ça va. Le bâton de nicotine fini, je l'écrase contre le rocher et le jette dans le lac. Vive la pollution ! pensais-je. L'ennui et le manque d'activité commençait à se faire sentir, je me lève pour me dégourdir un peu les jambes et décide de rentrer pour réviser un peu. Le parc me parait être l'endroit le plus rapide par lequel passer pour rentrer. La musique dans les oreilles (on dit merci les écouteurs et portable moldus.), je marchais sans vraiment faire attention à ce qui se passait autour. Entre deux musiques, j'entendis une voix m'appeler.
"Salut. Belle journée pas vrai ?" entendis-je.
Ce serait mentir de dire que la première pensée qui m'est venue en tête n'était pas c'est qui lui, il veut quoi ? Parce que je suis polie, je coupe ma musique et je lui réponds tout de même.
"Salut... Euh, ouais, il fait beau c'est cool."
Bravo Ellie, quelle sociabilité, tu passes encore pour quelqu'un de désagréable. Je ne connaissais que de vue la personne qui m'avait demandé ça, il avait l'air beaucoup plus vieux, et on ne s'était jamais adressés la parole. Je voulais continuer ma route, j'avais remis mes écouteurs. Quelques mètres me séparent de cette homme et la distance continue de s'agrandir. Je m'arrête subitement et me retourne. Bon... t'as rien à faire et c'est toujours mieux que de réviser nan... nan ? J'avance vers l'homme qui m'avait poliment saluée et vais m'asseoir en tailleur en face de lui avec un grand sourire planté sur mon visage.
"Désolée, j'ai peut-être eut l'air un peu froide. Sympa ton carnet, y a quoi là-dedans ?"
La discrétion et la subtilité n'étaient pas mes points forts, tant pis si ce que contenait le carnet était un secret, maintenant c'était trop tard et j'étais assez curieuse de voir les dessins de l'homme en face de moi. Je penchais ma tête en avant de manière assez indiscrète pour essayer de voir à l'envers mais de là où j'étais je n'y parvenais pas.
"Qu'est-ce qui te rend joyeux ? T'as l'air de sacré bonne humeur, l'arbre t'a raconté une blague ?"
Oui, j'avais cinq ans d'âge mental. Maximum. Et aucun filtre concernant les conneries que je pouvais sortir. Mais pour une fois que je me décide à aller parler à quelqu'un sans l'envoyer en bouler...
Codage par Libella sur Graphiorum
- InvitéInvité
Re: You forget, baby it's a dream land ~ libre
Lun 14 Mai 2018 - 13:52
You forget, baby it's a dream land
Oh j’ai bien conscience de n’avoir que d’infimes chances de décrocher ne serait-ce qu’une réponse. A moins de tomber sur une vieille connaissance ou quelqu’un qui partage ma soudaine bonne humeur. Aussi ne suis-je pas vraiment surpris en la voyant reprendre son chemin après avoir confirmé banalement le beau temps. Elle a replacé ses écouteurs et je n’insiste pas plus. D’une part, parce que je risquerais de passer pour un stalker de première en l’interpelant de nouveau, ensuite parce qu’il me vient une idée et que j’ai déjà tourné une autre page de mon carnet pour reprendre mes croquis. Cette fois pas de layette, c’est tout naturellement que la mine de mon crayon trace les courbes d’un balai et griffonne les quelques mesures que je vérifierais plus tard. A croire que j’avais simplement besoin de ça, cette petite liste des choses à faire pour me vider la tête, pour... et bien me vider la tête aussi surement que si je les avais appliquées. Hors de question de ne pas mettre en place ce que j’ai noté plus tôt pour autant, mais nous verrons plus tard. Chaque chose en son temps. Et je suis tellement absorbé par mes croquis que je ne l’ao pas vue revenir. Pas vue s’asseoir devant moi. Il n’y a que lorsqu’elle reprend la parole que je m’aperçois de sa présence dans un sursaut avant de laisser échapper un ricanement. Le ridicule ne tue pas, pas vrai ? Tant mieux pour moi.
Elle s’excuse de son attitude de tantôt et je m’empresse de secouer la tête de droite et de gauche pour la rassurer. Je ne lui tiens absolument aucune rigueur pour cela. Elle a pris le temps de me répondre, c’était déjà beau. Et comme elle embraye sur mon carnet toujours sur les genoux, je prends le temps de la détailler un peu plus. Je ne suis pas le genre de personne à me baser sur les apparences pour juger quelqu’un mais ça aide un peu à se faire une idée. Elle a l’air bien plus jeune que moi, première ou deuxième année ? Ses origines ? Je m’en moque éperdument. Ce n’est pas ce que l’on est qui compte, c’est qui on est. Elle est souriante, rayonnante presque, ce qui laisse présager une conversation agréable. Je n’ai besoin de rien de plus pour le moment. Elle est à Pokeby si j’en juge par l’écusson que je vois. J’avais de bons amis là-bas, avant mon voyage. Tout en analysant toutes ces informations, j’en oublie presque la conversation. « Rien en particulier. » Maigre réponse quand elle me demande ce qui me met de si bonne humeur, et je m’empresse de compléter. « Ce platane n’est pas assez bavard pour ça. » Je laisse planer un silence en me mordant la lèvre pour ne pas éclater de rire à ma blague tout aussi faible que la sienne, mais je finis par ricaner de nouveau.
J’hésite un instant. Elle a fait preuve de curiosité vis-à-vis de mes notes et mes croquis et je me tâte à lui répondre. Comment décrire le foutoir monstrueux qui règne sur ces pages ? Le plus simple reste encore de la laisser voir par elle-même. N’ayant rien à cacher, pas sur celui-ci en tous cas, je le lui tends donc tout simplement le cahier. « Des dessins principalement. N’aies pas peur, rien d’obscène, rien de compromettant. » Mais avant qu’elle ne le prenne, je recule ma main brièvement en fronçant les sourcils. « Attends… qu’est ce qui me prouve que tu ne vas pas me piquer mes idées ? » Et cette fois, j’ai bien plus de facilité à feindre mon sérieux avant de finalement tendre à nouveau l’objet en riant. « Fais pas cette tête. J’ai pas beaucoup plus d’humour que le platane, faut m’pardonner. » Je lui souhaite bonne chance si elle compte me piquer quoi que ce soit de toute façon. Non seulement ce carnet ci contient bien plus de niaiseries en rapport avec mon neveu qu’autre chose, mais si les croquis sont universels, la plupart de mes notes sont écrite en gallois ou dans un mauvais français qui n’appartient qu’au bayou. Je ne suis pas paranoïaque, je ne cherche pas à crypter mes idées, c’est juste une salle manie qui date d’il y a trop longtemps pour pouvoir être corrigée.
- InvitéInvité
Re: You forget, baby it's a dream land ~ libre
Jeu 28 Juin 2018 - 2:13
You forget, baby it's a dream land
ft. Charley Twiddle
J'étais donc assise devant l'inconnu qui m'avait saluée, zieutant son carnet. Il a l'air plutôt sympathique et je n'avais rien de mieux à faire que d'aller lui parler de toute façon. Retourner dans ma chambre ? Et pour faire quoi, réviser ? Flemme. Enorme flemme même. Ca attendra, l'inconnu a l'air plus intéressant que mes cahiers. Je faisais, pour une fois, un effort de sociabilisation, ça se fête non ? Tenir une conversation sans paniquer restait tout de même difficile pour moi. Alors quand il se contente d'un "Rien de particulier." en réponse à ma question, je me dis que j'ai du être trop envahissante d'un coup. "Ce platane n'est pas assez bavard pour ça." Je ris légèrement à la blague.
"Ah oui, c'est bien dommage, quoiqu'heureusement qu'ils n'ont pas la parole, imagine le boucan dans une foret !"
La conversation démarre plutôt bien, bien qu'un peu gênée je fais l'effort de répondre à ses blagues par des blagues également. Son carnet toujours sur ses genoux, il se décide à me le tendre après ma demande. "Des dessins principalement. N'aie pas peur, rien d'obscène, rien de compromettant." Oh super un autre dessinateur ! pensais-je. "Oh tu dessines ? C'est cool ! On est deux !" "Attends… Qu'est-ce qui me prouve que tu ne vas pas me piquer mes idées ?" Je sentais bien qu'il n'était pas sérieux mais je ne pus m'empêcher de froncer les sourcils face à sa remarque. "Fais pas cette tête. J'ai pas beaucoup plus d'humour que le platane, faut m'pardonner." "T'inquiètes pas pour ça, copier c'est pas trop mon délire je préfère avoir mon style." Je regardais ce qu'il y avait sur cette page de carnet. Pas de l'anglais, et des dessins que je ne comptais toute façon pas copier. "Je reconnais un peu de français, mais c'est quoi l'autre langue ?"
Ce gars semblait intéressant, du peu de temps qu'on avait discuté. Il est drôle et il dessine un peu aussi, ces traits là me suffisent à commencer à apprécier une personne. Bien que je n'ai pas compris grand chose à sa page de carnet (je parle pas assez de langues pour ça, l'anglais, l'allemand et le chinois me suffisent amplement.) ça avait l'air important et intéressant. J'espère que j'en apprendrais plus après une petite traduction de sa part.
"Ah oui, c'est bien dommage, quoiqu'heureusement qu'ils n'ont pas la parole, imagine le boucan dans une foret !"
La conversation démarre plutôt bien, bien qu'un peu gênée je fais l'effort de répondre à ses blagues par des blagues également. Son carnet toujours sur ses genoux, il se décide à me le tendre après ma demande. "Des dessins principalement. N'aie pas peur, rien d'obscène, rien de compromettant." Oh super un autre dessinateur ! pensais-je. "Oh tu dessines ? C'est cool ! On est deux !" "Attends… Qu'est-ce qui me prouve que tu ne vas pas me piquer mes idées ?" Je sentais bien qu'il n'était pas sérieux mais je ne pus m'empêcher de froncer les sourcils face à sa remarque. "Fais pas cette tête. J'ai pas beaucoup plus d'humour que le platane, faut m'pardonner." "T'inquiètes pas pour ça, copier c'est pas trop mon délire je préfère avoir mon style." Je regardais ce qu'il y avait sur cette page de carnet. Pas de l'anglais, et des dessins que je ne comptais toute façon pas copier. "Je reconnais un peu de français, mais c'est quoi l'autre langue ?"
Ce gars semblait intéressant, du peu de temps qu'on avait discuté. Il est drôle et il dessine un peu aussi, ces traits là me suffisent à commencer à apprécier une personne. Bien que je n'ai pas compris grand chose à sa page de carnet (je parle pas assez de langues pour ça, l'anglais, l'allemand et le chinois me suffisent amplement.) ça avait l'air important et intéressant. J'espère que j'en apprendrais plus après une petite traduction de sa part.
Codage par Libella sur Graphiorum
- Spoiler:
- Je suis réellement désolée pour le temps que j'ai mis à répondre, j'ai même pas d'excuses...
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
- » parchemins postés : 1898
» miroir du riséd : Lucky Blue Smith
» crédits : ECK ou Google est mon ami
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» année d'études : 5e année
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» particularité : aucune mais cherche à apprendre l'occlumancie
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» gallions sous la cape : 932
Inventaire Sorcier
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Re: You forget, baby it's a dream land ~ libre
Mer 1 Aoû 2018 - 2:13
RP archivé suite à la suppression des participants
– the best –
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