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Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 20:54
Je suis une Lufkin | personnage inventé
«Quand la patience disparaît c’est qu’il est l’heure de faire chanter la mélopée de la douleur»
WIZARD CARD INFORMATIONS Rédigez quelques lignes sur les particularités (physiques, intellectuelles ou magiques) de votre personnage ainsi que sa baguette, son épouvantard, son animal de compagnie, sa matière préférée ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! - Mon épouvantard : Une table d’écolier pour enfant lestée aux pieds, approximativement un mètre de hauteur pour deux de large avec une boucle de menotte accrochée au trou pour maintenir l’encrier et relié à une solide chaîne qui se termine par une autre menotte. Des papiers recouvrent toute la surface et sont remplis d’arabesques. - Mon animal de compagnie : Un serpent magique (Longévité, intelligent) qui n’a pas de nom. - Mes disciplines préférées : Dans l’ordre donc, Charme et enchantements, Potions, Soins aux créatures magiques, Botanique, Sortilèges et magie noire, défenses contre les forces du mal et tout le reste ensuite. -Dans le risèd je vois : Mon reflet qui me sourit, ma silhouette qui s’éloigne et l’étendue de mes connaissances, de mes conquêtes et de ma puissance qui dort sous mes pieds, comme une montagne de trésors que j’ai acquis. -Amortentia : Une odeur de sang frais, métallique, enivrante et rare. -Les sombrals: Je peux les voir puisque j’ai assisté au suicide de mon arrière grand-père qui avait ingéré une décoction de Laurier-rose quand j’étais petite. Je ne m’en rappelle pas, mais mes deux prénoms, Oléandre et Lauraine, sont des mots qui désignent la plante dont s’est servi mon aïeul et qui sont censé me rappeler qui je suis (Les prénoms de la famille sont souvent des noms de plantes et/ou de poisons). -Mon patronus est un basilic, il est grand, imposant mais demande une volonté particulièrement forte pour devenir corporel et compte tenu de ma vie, c’est relativement rare que j’arrive à lui donner forme (c’est arrivé une fois seulement pour l’instant). En plus de tout cela, cette forme a beau être imposante, elle n’est pas extrêmement puissante pour autant, je n’aime pas beaucoup ce sort de toute manière. -Un petit surnom: Mes amies françaises m’appellent “Olé”, les anglaises préfèrent généralement “Olie”. | ©InStyle Magazine♥ Peyton Roi List |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
C'est dans cette partie que vous pourrez nous raconter la vie trépidante (ou pas) de votre personnage (rédigez votre histoire comme vous le sentez : roman, anecdotes ...). Il n'y a pas de nombre de lignes minimum imposé !
Pour en revenir au sujet principal, Moi, je suis l’enfant d’un cousinage dans la même famille, une des dernières tentatives désespérée de mon “Noble héritage” pour concevoir quelque chose de plus “pur” et plus “puissant”, après tout deux demi font un n’est-ce-pas? Pas de bol, si au début ça s’annonçait bien, au final il se pourrait bien que je soit un plus gros problème pour les Falciguë que mes parents. Pourquoi? Et bien je dirais simplement que ce qu’ils ont eu, c’est un peu comme si de leur désir de voir émaner quelque chose d’eux de positif c’était concrétisé au delà de leurs espérances. Mon pouvoir m’échappait presque tant j’en débordais. Mon enfance fût particulièrement redondante et vous la raconter en entier pourrait prendre quelques années que je synthétiserais en “Je suis restée enfermée à la maison en bouffant des livres tous les jours tout en manipulant la baguette de ma mère avant qu’elle explose… La baguette, pas ma mère.”. Pas d’amis à voir, à me faire, juste les encouragement (Plus ou moins durs) de mes parents qui visiblement vivaient leur vie par procuration à travers mes petites mains et mes yeux d’enfant. C’était… Le bon vieux temps.
Malheureusement pour eux j’ai fini par mal tourner, parce que ce genre d’histoire en arrive toujours à cela, l’espoir de mes parents et les efforts qu’ils me demandaient de faire en plus parce que j’avais des “facilités” commencèrent à retourner mon cerveau infantile dans tout les sens. J’en venais à me demander si la mort n'était pas préférable, et avant dix ans, c’est étrange que l’on commence à se poser ce genre de question. La lettre de Beauxbatons arriva enfin, les parents étaient jouasses et je souriais, peut être une lueur de liberté.
Mes premières heures dans le palais me donnèrent presque envie de retourner dans ma chambre du fond de Beauregard. Trop de bruit, d’excitement, de lumière, je voulais que cela cesse. j’étais prise à partie le premier jour, j’avais crié, la magie s’était déclaré et je n’avais même pas ma baguette en main, de quoi s’assurer une bonne première année. Le test des maisons me posa probablement la première colle de mon existence… Gévaudan, ou Triton? Je décidais de ne pas suivre certaines pulsions, surtout concernée que j’étais par rapport à ma détresse de quelques instants auparavant et était donc envoyée vers l’eau. Coupée du reste et peu soutenue par les autres, je n’étais qu’un poisson dans une grande marre, maison de l’eau ou seules les créatures avaient de l’affection pour moi, avec les professeurs, mais cela ne me faisait ni chaud ni froid au final. C’était pareil à la maison et à ce moment précis je m’en rendais compte, rien n’avait d’importance, à par ce que je souhaitais. Mes réflexions se tournaient vers moi même, sur mes aspirations personnelles et mes espoirs. Je voulais avoir une libertée, faire ce que je voulais, avoir la puissance adéquates à mes ambitions et surtout, le savoir qui va avec. Temps pis pour le reste, je développais mes capacités, sans cesses et sans autre objectif que le bout du bout du chemin, mais je ne savais pas quoi mettre au bout.
Les livres que j’avais dévorés étant enfant n’étaient pas des contes parlant de fées ou de lutins mignons qui vivent de palpitantes aventures, ainsi j’avais de l’avance sur les programmes. J’avais en revanche décidé de m’affranchir des matières qui n’apportent rien. L’histoire de la magie? L’astronomie et la voyance? L’arithmancie est plus utile que tout ça et ne demande pas de talent particulier pour voir. Le vol en balais m’eccoeurais presque, ce n’était pourtant pas sorcier.. Les potions, peut être la seule matière pour laquelle mes parents avaient un tant soit peu de don. Après tout, la confection de potion était probablement une des matières les plus équitables de la sorcellerie.
Troisième année donc, je commençais mes cours particulier avec mes propres méthodes, sur quel sujet? Les relations sociales! Le but de cette année était de me faire des amies, des amis, de comprendre les gens, même mes ennemis. Je me rendais compte pendant cette année que le gouffre que j’avais instauré était tout aussi présent dans ma tête que dans celle de ceux que j’avais ignoré les années précédentes. Dinguerie, en plus de cela, visiblement il me manquait beaucoup de chose, des références musicales au savoir vivre d’écolier. J’étais crispée comme une main sur une baguette. En parlant de main sur une baguette, une des filles avec qui j’essayais d’établir un dialogue lâchais dans la bibliothèque à l’une de ses amies que j’étais coincée et que je devrais peut être me trouver un petit copain. Son amie renchérit en disant que probablement que je devrais m’occuper de cela toute seule, parce que j’avais la côte avec personne. Innocente que j’étais j’absorbais l’info avec la plus simple des facilités et recherchais sur le sujet dans les livres… Les interactions sociales se trouvent généralement dans l’étude des moldus, intéressant de voir que ce qui définit le comportement de certains qui se trouvent supérieur se trouve justement dans les livres qui indiquent les agissements de leurs “inférieurs”. Je devenais rouge d’avoir lu tout cela et d’avoir recherché de la littérature moldue sur le sujet, mais pourquoi pas après tout… Jouer solo n’est pas dangereux, au final c’est même agréable. Visiblement j’avais l’air détendue, mais passons sur cette histoire, c’est trop… Indiscret pour le moment. Dans tout ce fatras de nouvelles relations sociales, probablement à cause de mon angoisse de ne pas comprendre les gens, j’avais fini par entendre des murmures, des voix dans ma tête et à ressentir vaguement ce que les autres voulaient me faire parvenir comme message sans même qu’ils aient à me le délivrer. J’en parlais nerveusement à un de mes professeurs qui se pencha sur la question, se demandant si je ne devenais pas folle et m’envoya voir l’infirmière qui m’avait conseillé de m’ouvrir un peu plus aux expériences de la “vie en commun”... Après divers examen, elle m’annonçait que j’allais bien, mais que mon esprit était disposé à utiliser un talent que d’autre développaient généralement en secret, ou pour le bien de la communauté. Mon “empathie naturelle” était en fait magique, et la faculté d’utiliser ce don était en particulier facilité par l’apport de connaissance que fournit la légilimancie. Par “chance”, dans ma famille la légilimancie avait été quelque chose fût un temps, et mes parents, bien que Cracmols, avaient su me faire parvenir des livres sur le sujet, mais je devrais pratiquer plus, probablement à la maison avec quelqu’un de compétent pour maîtriser cette capacité.
Sixième légèrement tendue par mes parents, la septième était celle qui comptait probablement le plus, après l’équivalent des BUSES, l’équivalent des ASPICS. Pour résumer, voilà mes notes:
(BUSES) matières principales
Métamorphose Effort Exceptionnel
Sortilèges Optimal
Potions Optimal
Histoire de la magie Troll
Défense contre les forces du Mal Optimal
Astronomie Troll
Botanique Optimal
Matières secondaires
Soins aux créatures magiques Optimal
Arithmancie Optimal
Étude des Runes Optimal
Pour les ASPICS c’est simple mais, vous prenez toutes les notes qui passent pour les BUSES et vous recommencez. Simple comme une lettre à la poste, tout comme le transplanage, mes parents étaient fier de moi, mais bien entendu, c’était pas assez, ni pour eux ni pour moi…
Le campus, enfin une vraie vie éloignée de mes parents qui me lâchaient un peu la bride en décidant que je pourrais rester la bas pendant les vacances pour étudier. J’avais plus envie de rester à Hungcalf en vérité pour éviter de retourner à la maison, la pression familiale si faisait de plus en plus étouffante et j’étais pratiquement estomaquée chaque fois que je devais ouvrir du courrier venant de chez moi. Des bouquins de sortilèges, des tomes d’études de la magie noire qu’il fallait que je “regarde par acquis de conscience” ou encore mieux, du matériel scolaire. J’avais pris conscience de mon apparence il y avait quelques temps lors de flirts ou j’étais désaxée par rapport aux instant… Les garçons et filles que j’avais eu en face avaient l’air intéressés, mais quelque chose en moi était comme brisé, dur de savoir comment tout cela fonctionnait au final. J’avais ressenti des trucs, mais curieusement, comme tout le reste cela restait du domaine du contrôlable, et comme toutes les autres émotions j’avais réussi à la canaliser. Tristement, deux de mes camarades d’université me dirent après que je leurs ai expliqué que si je faisait cela, probablement que je découvrirais mon cœur velu plus tard. J’avais vécu dans la mauvaise famille pour apprendre ce conte de Beedle le barde, on m’avait donc prêté dans la foulée un petit livre que j’avais dévoré. Le cœur velu était simple, et le deal me paraissait relativement acceptable, je doutais que l’on me vois comme quelqu’un véritablement sans cœur si j’acceptais de temps en temps de me faire accompagner.
Du côté de mes études, le rythme d’Hungcalf était légèrement plus lâche même avec les options en plus. J’avais du temps pour traîner au campus à côté, faire des expériences et voir ce qui existait en boutique en terme de sorts, de créatures et autres. Je finissais par développer une attraction pour ce genre de hobby, créer des objets enchantés, jouer avec les potions, à mes frais, c’était quelque chose qui m'intéressait grandement au point qu’au bout de ma deuxième année je regardais tout mon parcours pour me dire qu’avec mon savoir je pourrais bien ouvrir ma propre boutique… Je regardais ce jour la mon emplois du temps, jetais un regard à la photo de mes parents sur ma table de chevet… Au pire c’est qu’une dernière année à faire avant le D.U.C.s.
Oui, mes deux parents sont cracmols…
Si il y a quelque chose de plus risible lorsque qu’on est en école de sorcier que d’être issus de parents moldus c’est surement d’avoir un parent cracmol et un moldu… Alors deux cracmols..Pour en revenir au sujet principal, Moi, je suis l’enfant d’un cousinage dans la même famille, une des dernières tentatives désespérée de mon “Noble héritage” pour concevoir quelque chose de plus “pur” et plus “puissant”, après tout deux demi font un n’est-ce-pas? Pas de bol, si au début ça s’annonçait bien, au final il se pourrait bien que je soit un plus gros problème pour les Falciguë que mes parents. Pourquoi? Et bien je dirais simplement que ce qu’ils ont eu, c’est un peu comme si de leur désir de voir émaner quelque chose d’eux de positif c’était concrétisé au delà de leurs espérances. Mon pouvoir m’échappait presque tant j’en débordais. Mon enfance fût particulièrement redondante et vous la raconter en entier pourrait prendre quelques années que je synthétiserais en “Je suis restée enfermée à la maison en bouffant des livres tous les jours tout en manipulant la baguette de ma mère avant qu’elle explose… La baguette, pas ma mère.”. Pas d’amis à voir, à me faire, juste les encouragement (Plus ou moins durs) de mes parents qui visiblement vivaient leur vie par procuration à travers mes petites mains et mes yeux d’enfant. C’était… Le bon vieux temps.
Malheureusement pour eux j’ai fini par mal tourner, parce que ce genre d’histoire en arrive toujours à cela, l’espoir de mes parents et les efforts qu’ils me demandaient de faire en plus parce que j’avais des “facilités” commencèrent à retourner mon cerveau infantile dans tout les sens. J’en venais à me demander si la mort n'était pas préférable, et avant dix ans, c’est étrange que l’on commence à se poser ce genre de question. La lettre de Beauxbatons arriva enfin, les parents étaient jouasses et je souriais, peut être une lueur de liberté.
De Beauregard à Beauxbatons
Je sortais enfin de chez moi, voyais la façade de ma maison pour la première fois et c’était pour la quitter. J’avais mes bagages, ma baguette personnelle que mes parents avaient fait venir avec un artisan de la famille pour qu’il recommence jusqu’à que ce soit “la bonne”. Mon compteur de baguettes détruites avait atteint trois puisque deux autres n’avaient pas tenu, des craquelures avaient surgi dans le bois sans véritablement se briser. Au final c’était tout simplement possible que la cause soit notre artisan et sa conception. La famille tenait à tout faire elle même plutôt que de faire appel à d’autres sorciers. Finalement, celle-ci était longue, droite et rigide, elle focalisait tout mon potentiel, mais fatalement avait commencé à me poser problème dans le sens ou l’ampleur de mes sortilèges basique devenait rapidement colossale si je laissais libre court à mes émotions.Mes premières heures dans le palais me donnèrent presque envie de retourner dans ma chambre du fond de Beauregard. Trop de bruit, d’excitement, de lumière, je voulais que cela cesse. j’étais prise à partie le premier jour, j’avais crié, la magie s’était déclaré et je n’avais même pas ma baguette en main, de quoi s’assurer une bonne première année. Le test des maisons me posa probablement la première colle de mon existence… Gévaudan, ou Triton? Je décidais de ne pas suivre certaines pulsions, surtout concernée que j’étais par rapport à ma détresse de quelques instants auparavant et était donc envoyée vers l’eau. Coupée du reste et peu soutenue par les autres, je n’étais qu’un poisson dans une grande marre, maison de l’eau ou seules les créatures avaient de l’affection pour moi, avec les professeurs, mais cela ne me faisait ni chaud ni froid au final. C’était pareil à la maison et à ce moment précis je m’en rendais compte, rien n’avait d’importance, à par ce que je souhaitais. Mes réflexions se tournaient vers moi même, sur mes aspirations personnelles et mes espoirs. Je voulais avoir une libertée, faire ce que je voulais, avoir la puissance adéquates à mes ambitions et surtout, le savoir qui va avec. Temps pis pour le reste, je développais mes capacités, sans cesses et sans autre objectif que le bout du bout du chemin, mais je ne savais pas quoi mettre au bout.
Les livres que j’avais dévorés étant enfant n’étaient pas des contes parlant de fées ou de lutins mignons qui vivent de palpitantes aventures, ainsi j’avais de l’avance sur les programmes. J’avais en revanche décidé de m’affranchir des matières qui n’apportent rien. L’histoire de la magie? L’astronomie et la voyance? L’arithmancie est plus utile que tout ça et ne demande pas de talent particulier pour voir. Le vol en balais m’eccoeurais presque, ce n’était pourtant pas sorcier.. Les potions, peut être la seule matière pour laquelle mes parents avaient un tant soit peu de don. Après tout, la confection de potion était probablement une des matières les plus équitables de la sorcellerie.
Seule c'est plus dur
La deuxième année se déroula sans encombre, et mon écart se creusait de plus en plus, j’étais fière de moi, mais intérieurement quelque chose me rongeait. C’est avec l’apparition de mes premières lunaisons que je comprenais quelque chose d’important… Je peux ignorer les gens et essayer de poursuivre mon chemin toute seule, mais c’est plus facile de s’appuyer les uns sur les autres, ou à défaut de s’appuyer simplement sur les autres. Qu’est ce qu’on se retrouve conne quand pour le première fois que l’on a besoin de quelqu’un y’a personne… Ce truc décidait de se déclencher un soir d’hiver, les filles dormaient déjà toutes, interdiction de sortir du dortoir… Je sortais quand même, me précipitant vers l’infirmerie parce que je ne comprenais pas cette chose que mes parents ne m’avaient tout simplement pas expliqué. Pas d’infirmière, je me posais sur un lit en serrant un coussin bien fort entre mes jambes pour passer la pire nuit de toute mon existence. L’affaire avait été étouffée, et l’infirmière et moi avions une discussion, celle avec les réflexions que je m’étais faite la veille, je comprenais son avis mais j’avais déjà entendu cela de ma propre bouche, cela m'embêtait de ne pas pouvoir la couper, encore une leçon, la patience… Comme pour les potions, les gens ont besoin de savoir qu’on les écoutes et qu’on va leur laisser le temps de dévoiler tout ce qu’ils ont besoin d’exprimer.Troisième année donc, je commençais mes cours particulier avec mes propres méthodes, sur quel sujet? Les relations sociales! Le but de cette année était de me faire des amies, des amis, de comprendre les gens, même mes ennemis. Je me rendais compte pendant cette année que le gouffre que j’avais instauré était tout aussi présent dans ma tête que dans celle de ceux que j’avais ignoré les années précédentes. Dinguerie, en plus de cela, visiblement il me manquait beaucoup de chose, des références musicales au savoir vivre d’écolier. J’étais crispée comme une main sur une baguette. En parlant de main sur une baguette, une des filles avec qui j’essayais d’établir un dialogue lâchais dans la bibliothèque à l’une de ses amies que j’étais coincée et que je devrais peut être me trouver un petit copain. Son amie renchérit en disant que probablement que je devrais m’occuper de cela toute seule, parce que j’avais la côte avec personne. Innocente que j’étais j’absorbais l’info avec la plus simple des facilités et recherchais sur le sujet dans les livres… Les interactions sociales se trouvent généralement dans l’étude des moldus, intéressant de voir que ce qui définit le comportement de certains qui se trouvent supérieur se trouve justement dans les livres qui indiquent les agissements de leurs “inférieurs”. Je devenais rouge d’avoir lu tout cela et d’avoir recherché de la littérature moldue sur le sujet, mais pourquoi pas après tout… Jouer solo n’est pas dangereux, au final c’est même agréable. Visiblement j’avais l’air détendue, mais passons sur cette histoire, c’est trop… Indiscret pour le moment. Dans tout ce fatras de nouvelles relations sociales, probablement à cause de mon angoisse de ne pas comprendre les gens, j’avais fini par entendre des murmures, des voix dans ma tête et à ressentir vaguement ce que les autres voulaient me faire parvenir comme message sans même qu’ils aient à me le délivrer. J’en parlais nerveusement à un de mes professeurs qui se pencha sur la question, se demandant si je ne devenais pas folle et m’envoya voir l’infirmière qui m’avait conseillé de m’ouvrir un peu plus aux expériences de la “vie en commun”... Après divers examen, elle m’annonçait que j’allais bien, mais que mon esprit était disposé à utiliser un talent que d’autre développaient généralement en secret, ou pour le bien de la communauté. Mon “empathie naturelle” était en fait magique, et la faculté d’utiliser ce don était en particulier facilité par l’apport de connaissance que fournit la légilimancie. Par “chance”, dans ma famille la légilimancie avait été quelque chose fût un temps, et mes parents, bien que Cracmols, avaient su me faire parvenir des livres sur le sujet, mais je devrais pratiquer plus, probablement à la maison avec quelqu’un de compétent pour maîtriser cette capacité.
Prendre le contrôle
Quatrième et cinquième année tranquille, globalement beaucoup à rattraper avec les premières amies que je me faisais vraiment, sans vraiment toujours sonner “juste” d’après elle. Mais à les écouter, j’avais fini par être convaincue que quelque chose était pété dans ma manière de réagir. Tout était biaisé avec moi, j’avais une manière de fonctionner et de résonner que je n’arrivais pas à calquer sur mes amies, chose d’autant plus renforcée que parfois, mon talent inné se déclenchait selon son bon vouloir, à plus ou moins grande ampleur, me faisant entendre ou ressentir les sensations des gens alentours sans que je ne puisse vraiment les focaliser. Dans ses grand moment de brouhaha j’allais en général passer un peu de temps seule, vider mon esprit d’autres esprits.Sixième légèrement tendue par mes parents, la septième était celle qui comptait probablement le plus, après l’équivalent des BUSES, l’équivalent des ASPICS. Pour résumer, voilà mes notes:
(BUSES) matières principales
Métamorphose Effort Exceptionnel
Sortilèges Optimal
Potions Optimal
Histoire de la magie Troll
Défense contre les forces du Mal Optimal
Astronomie Troll
Botanique Optimal
Matières secondaires
Soins aux créatures magiques Optimal
Arithmancie Optimal
Étude des Runes Optimal
Pour les ASPICS c’est simple mais, vous prenez toutes les notes qui passent pour les BUSES et vous recommencez. Simple comme une lettre à la poste, tout comme le transplanage, mes parents étaient fier de moi, mais bien entendu, c’était pas assez, ni pour eux ni pour moi…
Simple comme une lettre au hibou
Je rédigeais un matin la lettre pour Hungcalf, détaillant toute ma volonté de poursuivre mes études, d'accroître mon savoir et totalisant la somme d’expérience et de puissance que je possédais déjà sans me vanter ou enjoliver. La réponse arriva trois jours plus tard et je signais pour découvrir les lettres épelant le mot Lufkin.Le campus, enfin une vraie vie éloignée de mes parents qui me lâchaient un peu la bride en décidant que je pourrais rester la bas pendant les vacances pour étudier. J’avais plus envie de rester à Hungcalf en vérité pour éviter de retourner à la maison, la pression familiale si faisait de plus en plus étouffante et j’étais pratiquement estomaquée chaque fois que je devais ouvrir du courrier venant de chez moi. Des bouquins de sortilèges, des tomes d’études de la magie noire qu’il fallait que je “regarde par acquis de conscience” ou encore mieux, du matériel scolaire. J’avais pris conscience de mon apparence il y avait quelques temps lors de flirts ou j’étais désaxée par rapport aux instant… Les garçons et filles que j’avais eu en face avaient l’air intéressés, mais quelque chose en moi était comme brisé, dur de savoir comment tout cela fonctionnait au final. J’avais ressenti des trucs, mais curieusement, comme tout le reste cela restait du domaine du contrôlable, et comme toutes les autres émotions j’avais réussi à la canaliser. Tristement, deux de mes camarades d’université me dirent après que je leurs ai expliqué que si je faisait cela, probablement que je découvrirais mon cœur velu plus tard. J’avais vécu dans la mauvaise famille pour apprendre ce conte de Beedle le barde, on m’avait donc prêté dans la foulée un petit livre que j’avais dévoré. Le cœur velu était simple, et le deal me paraissait relativement acceptable, je doutais que l’on me vois comme quelqu’un véritablement sans cœur si j’acceptais de temps en temps de me faire accompagner.
Du côté de mes études, le rythme d’Hungcalf était légèrement plus lâche même avec les options en plus. J’avais du temps pour traîner au campus à côté, faire des expériences et voir ce qui existait en boutique en terme de sorts, de créatures et autres. Je finissais par développer une attraction pour ce genre de hobby, créer des objets enchantés, jouer avec les potions, à mes frais, c’était quelque chose qui m'intéressait grandement au point qu’au bout de ma deuxième année je regardais tout mon parcours pour me dire qu’avec mon savoir je pourrais bien ouvrir ma propre boutique… Je regardais ce jour la mon emplois du temps, jetais un regard à la photo de mes parents sur ma table de chevet… Au pire c’est qu’une dernière année à faire avant le D.U.C.s.
RÉSERVEZ VOTRE AVATAR
- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>peyton roi list</b> ━ @"Oléandre Lauraine Falciguë"</bottin>
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 21:05
Une très belle frenchie trempée dans les arts obscurs, tu pourras passer venir voir ma japonaise si cela te dit
Plus sériseusement, c'est un personnage très intéressant, j'ai hâte de te voir en jeu !
Bon courage pour ta validation (ça c'est de l'efficacité ) !
Et bienvenue chez toi, petit chat
Plus sériseusement, c'est un personnage très intéressant, j'ai hâte de te voir en jeu !
Bon courage pour ta validation (ça c'est de l'efficacité ) !
Et bienvenue chez toi, petit chat
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 21:05
Coucouche
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 21:06
Bienvenue !
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 21:08
Bienvenue !
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 21:28
Bienvenue à toi
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Mer 10 Oct 2018 - 22:13
ohhhh une beauxbâtons de la même année que pina, on va pouvoir se faire un lien datant de cette époque bienvenue sur le forum
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Jeu 11 Oct 2018 - 2:45
Le titre
le nom
l'avatar
bienvenido
le nom
l'avatar
bienvenido
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Jeu 11 Oct 2018 - 13:12
Très intéressant ce personnage
Officiellement bienvenue
Officiellement bienvenue
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Sam 13 Oct 2018 - 22:50
Bienvenue
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Sam 13 Oct 2018 - 23:12
Bienvenue
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Dim 14 Oct 2018 - 8:41
Fort prometteur comme personnage
Bienvenue parmi-nous & bon courage pour la suite de ta fiche..
Bienvenue parmi-nous & bon courage pour la suite de ta fiche..
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Dim 14 Oct 2018 - 10:52
Bienvenue Frenchy
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Dim 14 Oct 2018 - 21:26
Coucou ma belle
Je vais te valider, mais avant, je voulais voir avec toi si nous étions d'accord sur quelques points de ta fiche: tout d'abord, le fait qu'elle soit plus "puissante" que la moyenne me gêne un peu, tout comme cette histoire de contrôle d'émotions. Après, tant que dans le rp, tu restes soft, ça peut passer. Je ne veux juste pas que cela vire à l'héroïne super-puissante.
Deuxième chose: je n'ai pas bien saisi l'histoire de la famille. Elle est versée dans la magie noire mais ne compte pas de mage noir parmi elle? C'est un peu étrange je trouve... Est-ce que tu pourrais m'expliquer?
Je vais te valider, mais avant, je voulais voir avec toi si nous étions d'accord sur quelques points de ta fiche: tout d'abord, le fait qu'elle soit plus "puissante" que la moyenne me gêne un peu, tout comme cette histoire de contrôle d'émotions. Après, tant que dans le rp, tu restes soft, ça peut passer. Je ne veux juste pas que cela vire à l'héroïne super-puissante.
Deuxième chose: je n'ai pas bien saisi l'histoire de la famille. Elle est versée dans la magie noire mais ne compte pas de mage noir parmi elle? C'est un peu étrange je trouve... Est-ce que tu pourrais m'expliquer?
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Dim 14 Oct 2018 - 22:15
Bonjour/bonsoir, je reprend les points et j'éclairci comme demandé.
"tout d'abord, le fait qu'elle soit plus "puissante" que la moyenne me gêne un peu, tout comme cette histoire de contrôle d'émotions. Après, tant que dans le rp, tu restes soft, ça peut passer. Je ne veux juste pas que cela vire à l'héroïne super-puissante. "
->Dans les livres harry potter, il arrive que les pouvoirs de certains personnages soient légèrement plus développés que d'autres, soit par l'expérience et la maîtrise, comme pour Voldemort et Albus par exemple, soit de manière totalement innée et parfois contrôlable ou non. Principalement mon idée à la base en écrivant ces mots était une justification de pourquoi mon personnage se focalise beaucoup sur ses émotions et à quel point cela la mettait à l'écart du reste. La puissance en soi est vecteur de d'empathie surtout quand elle menace son utilisateur.
Ce n'est donc comme tu la remarqué dans mes textes pas une justification pour faire un personnage gros-bill complètement overcraqué mais plus dans un soucis de marquer mon personnage d'un fait qui peut l’amener à avoir des situations dans laquelle sa magie ne fonctionne plus ou plus de la manière dont elle le souhaiterais (un peu à l'instar du système de dé de magie instauré sur le forum). Mon personnage ne sera jamais plus fort que les autres personnages ou en tout cas pas grâce à ça (pour lancer un maléfice ou sortilège proprement il faut être maître de ses émotions hors c'est quand elle s'écarte de cette voie que sa magie fait n'importe quoi, comme pour beaucoup d'autre).
"je n'ai pas bien saisi l'histoire de la famille. Elle est versée dans la magie noire mais ne compte pas de mage noir parmi elle? C'est un peu étrange je trouve... Est-ce que tu pourrais m'expliquer?"
De la même manière que les aurors sont obligés d’apprendre les rituels et techniques de leurs adversaires pour mieux les combattre, les membres de la famille Falciguë sont des sortes de chasseurs de mages noirs ou d'entités obscures qui ont besoin du même genre de connaissances. La magie noire est une magie moralement douteuse, seulement la magie noire comme la traditionnelle sont des moyens pas des fins en soit, tout dépend de l'usage que l'on en fait. C'est pour cela que je fais la distinction entre les Falciguë et les mage noirs, car bien qu'ils aient étudiés ce genre de magie ils ne s'en servent pas pour faire le mal, c'est un moyen pour la plupart d'entre eux de se prémunir des dégâts que pourraient leurs infliger des mages noirs(Connaitre le sortilège doloris donne les informations pour lutter contre, de même qu'un utilisateur de sectumsempra connaîtra les sorts pour récupérer des plaies infligées par ce maléfice, etc..).
J'espère que mes explications sont satisfaisante, j'apprécie ton passage sur ma présentation et te remercie d'avance pour ton prochain passage, a bientôt !
"tout d'abord, le fait qu'elle soit plus "puissante" que la moyenne me gêne un peu, tout comme cette histoire de contrôle d'émotions. Après, tant que dans le rp, tu restes soft, ça peut passer. Je ne veux juste pas que cela vire à l'héroïne super-puissante. "
->Dans les livres harry potter, il arrive que les pouvoirs de certains personnages soient légèrement plus développés que d'autres, soit par l'expérience et la maîtrise, comme pour Voldemort et Albus par exemple, soit de manière totalement innée et parfois contrôlable ou non. Principalement mon idée à la base en écrivant ces mots était une justification de pourquoi mon personnage se focalise beaucoup sur ses émotions et à quel point cela la mettait à l'écart du reste. La puissance en soi est vecteur de d'empathie surtout quand elle menace son utilisateur.
Ce n'est donc comme tu la remarqué dans mes textes pas une justification pour faire un personnage gros-bill complètement overcraqué mais plus dans un soucis de marquer mon personnage d'un fait qui peut l’amener à avoir des situations dans laquelle sa magie ne fonctionne plus ou plus de la manière dont elle le souhaiterais (un peu à l'instar du système de dé de magie instauré sur le forum). Mon personnage ne sera jamais plus fort que les autres personnages ou en tout cas pas grâce à ça (pour lancer un maléfice ou sortilège proprement il faut être maître de ses émotions hors c'est quand elle s'écarte de cette voie que sa magie fait n'importe quoi, comme pour beaucoup d'autre).
"je n'ai pas bien saisi l'histoire de la famille. Elle est versée dans la magie noire mais ne compte pas de mage noir parmi elle? C'est un peu étrange je trouve... Est-ce que tu pourrais m'expliquer?"
De la même manière que les aurors sont obligés d’apprendre les rituels et techniques de leurs adversaires pour mieux les combattre, les membres de la famille Falciguë sont des sortes de chasseurs de mages noirs ou d'entités obscures qui ont besoin du même genre de connaissances. La magie noire est une magie moralement douteuse, seulement la magie noire comme la traditionnelle sont des moyens pas des fins en soit, tout dépend de l'usage que l'on en fait. C'est pour cela que je fais la distinction entre les Falciguë et les mage noirs, car bien qu'ils aient étudiés ce genre de magie ils ne s'en servent pas pour faire le mal, c'est un moyen pour la plupart d'entre eux de se prémunir des dégâts que pourraient leurs infliger des mages noirs(Connaitre le sortilège doloris donne les informations pour lutter contre, de même qu'un utilisateur de sectumsempra connaîtra les sorts pour récupérer des plaies infligées par ce maléfice, etc..).
J'espère que mes explications sont satisfaisante, j'apprécie ton passage sur ma présentation et te remercie d'avance pour ton prochain passage, a bientôt !
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Lun 15 Oct 2018 - 21:21
j'adore le choix de pseudo et le vava (pour le coup, je connaissais pas cette jolie demoiselle )
bienvenue sur le forum et bon courage pour la validation
bienvenue sur le forum et bon courage pour la validation
- InvitéInvité
Re: Oléandre Falciguë - C'est pas très Olé Olé tout ça.. [Terminé bis]
Sam 20 Oct 2018 - 19:57
ta nouvelle et grande famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
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Have fun sur Hung !
PS : Merci beaucoup pour toutes les précisions que tu as apportées, c'était en effet plus clair et je peux donc te valider sans problèmes! J'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous Have fun, petit chat
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