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Quand je dis non, c'est non ! - enfin presque- [PV ENJA]
Dim 28 Fév 2010 - 20:03
- QUAND JE DIS NON, C'EST NON ! -ENFIN PRESQUE-
Le petit « zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzt zzzzzzzzzzzzzt zzzzt » strident et particulièrement agaçant du réveil commença à faire des siennes vers six heures du matin environ. Cependant notre Elia international n’y prêta aucunement attention et tapota gentiment dessus pour qu’il la ferme, ce petit jeu dura une heure ou deux, jusqu’à ce que, furieux, et bien agacé il pète littéralement un plomb et l’envoya valser à l’autre bout de sa chambre, atterrissant avec une douceur infinie contre le mur complètement fracassé. Il était trop fatiguée pour se lever ! Personne ne voulait comprendre ou quoi ? Et reparti au pays des rêves. C’est à se demander ce qu’il faisait de ses nuits la jeune homme… Après avoir eu raison du pauvre réveil dont les pièces jonchaient à présent le sol, un autre « obstacle » se mit en travers de son chemin et de son sommeil: le soleil ! celui-ci commença doucement, mais sûrement, à traverser les persiennes et à l’éblouir -pour ne pas dire aveugler- de ses rayons. C’est alors que ce dernier rabattit dans un mouvement extrêmement lent et mou la couette sur lui, héhé ! c’est qu’il ne manquait pas de ressources la petiot ! En même temps, qu’une voix s’éleva pas très loin, le conjurant de se lever et d’arrêter d’être aussi mou. Une réplique cinglante voulu sortir d’entre ses lèvres seulement il se retint en bon camarade qu’il était, enfin, disons que c’était surtout parce qu’il n’avait pas la force nécessaire d’hurler pour que son camarade chéri puisse l’entendre de là où il se trouvait ! Or, lorsque la lumière du jour se fit plus forte et beaucoup plus chiante à esquiver le jeune homme décida, enfin, de se lever, passa dans la salle de bain, prit une bonne douche, s’habilla et descendit prendre ce que communément on appelle le « petit déjeuner » mais bon, pas sur qu’à 11h le commun des mortels puisse appeler ça le un « p’tit déj’ » m’enfin que voulez vous les amis ! Nous sommes à Hung et qui plus ai un jour de week-end ! Tout le monde sait qu’a Hungcalf on vit la nuit ! -enfin non ca doit être quelque part à NY qu’on dit ca mais bon tout est une question d’opinion et de vocabulaire Darling. En même temps qu’il avalait son bol de céréales, le beau brun, la tête complètement dans le c*l, subissait les quotidiennes jérémiades de son camarade de chambre, un peu trop coincé pour comprendre ce qu’était profiter de la vie, quant à son attitude et notamment sur son comportement de « couche tard, lève tard » mais aussi de ses habitudes de vie qui étaient contraires à celui de son camarade, et qui soit dit en passant, devraient être « changées et éradiquées » s’il voulait continuer à partager sa chambre avec lui. Non, pas que ca l’enchantait – d’ailleurs, il ne devait l’avoir pas très bien compris mais que voulez vous bizut pour un jour, bizut pour toujours – mais il n’avait pas le choix. Elia ne cessa d’acquiescer en espérant avoir la paix, en même temps que pouvait-il faire d’autre ? on lui avait assigné c’te chambre et ce bizut donc faisons avec mais il se promit de demander une chambre séparé et seul la prochaine fois. De plus, notre beau brun avait un mal de crâne abominable et au moment où je vous parle il ne rêvait que d’un –deux ou trois-bon doliprane. Ouais on était en pleine semaine, et ouais on était en période de cours mais et alors ? Tout les moyens sont bon pour faire la fête. Hier, méga-fête-de-la-mort-qui-tue et qu’il ne pouvait rater en aucun cas ! durant laquelle, d’ailleurs, il ne se lésina pas sur la boisson et autres petites substances illicites qui vous font décoller et atterrir misérablement. Bref. Par conséquent et raisonnement logique, le jeune homme n’allait tout de même pas se lever à 8h pour faire plaisir à ce bizut et aller en cour pour jouer l’élève model qu’il n’avait jamais été !
Ce petit con devait vraiment se faire chier pour être aussi bavard aujourd’hui. Depuis quelque temps, il s’amusait à chercher la petite bête, c’était quoi son but ? en tout cas, il avait de la chance d’avoir Elia pour coloc’, flemmard et surtout fatigué comme il était, il n’entrait pas dans son petit jeu de provocation.
Sans un mot, le grymm attrapa son sac à la volée et sorti de la chambre. Entre temps, il se rappela que le prof de potion lui avait refilé un devoir en plus à faire à cause de ses nombreuses absences –plus relou tu crèves- ainsi il se dirigea vers la bibliothèque. Attention mesdames et messieurs, cela allait être la toute première fois qu’Elia ce rendait dans cet endroit ô mystérieux pour lui. D’ordinaire, il ne se serait pas soucié de ce devoir cependant là, il l’avait menacé de ne pas lui mettre la moyenne. Oui, assez problématique surtout vis à vis de ses petits parents chéris qui s’attendait à ce que leur fiston deviennent quelqu’un de très important, responsable, bla, bla, bla et bla…
Une fois qu’il arriva devant la grande porte en chêne, il l’ouvrit et fut comme estomaqué par le silence qui y régnait. Ce devait être le seul –oui oui je vous assure ! je n’exagère rien ! - endroit de Hung’ à être aussi calme et euh, « rangé » disons. Premier truc qu’il fit en arrivant : il sorti sa baguette, ouais un bon petit sortilège –Accio en l’occurrence- l’aiderait à trouver les livres dont il aurait besoin, il n’était pas d’humeur très bavarde pour aller discuter et charmer la bibliothécaire dans le but qu’elle l’aide. Bref. Il posa son sac sur une table, se vautra sur la chaise et murmura quelques mots incompréhensible et soudain une tonne de livre se mirent à voler dans sa direction et se posèrent sur la table devant lui. Sortir sa plume, du parchemin et l’encre fut une épreuve tout aussi éprouvante que de se lever se matin, la motivation était bien loin d’être là…
- Spoiler:
- c'est bof darling --' j'me rattraperais au prochain ! (l)(l)
- InvitéInvité
Re: Quand je dis non, c'est non ! - enfin presque- [PV ENJA]
Lun 1 Mar 2010 - 22:22
elia & enja
Enja Wakefield dans une bibliothèque ? Vous pensez que ce n'est pas possible ?! Toutes les personnes qui connaissaient un tant soit peu la jeune irlandaise savait qu'elle n'était pas du genre à passer son temps à travailler et donc encore moins à la bibliothèque. Oui, on ne peut pas dire que ce soit la première de la classe ou tout simplement une passionnée des études. Néanmoins, ses notes avaient toujours été correctes bien qu'elle ne travaille presque jamais. Un gros potentiel mais une flemme encore plus grande, voilà comment la voyaient souvent ses professeurs. La seule matière qui l'intéressait vraiment, c'était l'Histoire de la Magie... Pourquoi cette matière et pas une autre comme la Défense contre les forces du mal ou les Sortilèges qui sont certainement des matières plus intéressantes pour les élèves de Hungcalf ? Aucune idée. Depuis toute petite, elle était passionnée par l'Histoire, Histoire des sorciers mais aussi des moldus. Elle pourrait passer des heures à étudier cette matière et les seules fois où on pouvait la voir à la bibliothèque, c'était pour chercher un livre sur l'Histoire de la Magie. Cette fois-ci, c'était encore pour ça. Ce matin-là, elle avait décidé de lire pour une énième fois Histoire de la magie de Adalbert Lasornette tome trois, un livre que très certainement la plupart des élèves n'avaient jamais lu et ne liraient jamais.
Après avoir passé la matinée à flâner, Enja se décida enfin à faire quelque chose. Elle n'avait pas beaucoup dormi la nuit dernière mais elle avait l'habitude. Même si elle n'allait pas faire la fête, elle dormait souvent très mal il le faut dire. La jeune fille entra donc dans la bibliothèque sans saluer la bibliothécaire. De toute façon cette vieille peau ne l'aimait pas et c'était vraiment réciproque, elle le savait très bien. La première fois qu'elles s'étaient parlé c'était parce qu'Enja « aurait » abîmé un livre. Je dis bien « aurait » car en réalité, la jeune fille n'avait jamais touché de sa vie à ce livre... Connaissant le caractère explosif d'Enja, elle ne s'était pas laissé faire et avait exclue de la bibliothèque pendant un certain moment pour manque de respect et destruction de matériel (elle avait fini par insulter la bibliothécaire et par déchirer ce foutu livre sous ses yeux ébahis.) Heureusement, grâce à l'appui de son professeur d'Histoire de la Magie qui refusait que l'accès à la bibliothèque soit interdit à sa meilleure élève, elle avait pu y retourner, ne se gênant pas pour pavaner. Elle avait à peine posé le pied dans ce lieu rempli de livres qu'elle sentit le regard noir de la bibliothécaire se posait sur elle. La tête haute et avec toute la fierté dont elle pouvait faire preuve, elle passa devant elle. Elle se mit à parcourir les rayons en cherchant son fameux livre... Bizarrement, elle ne le trouvait pas. Après avoir parcouru deux ou trois fois l'étagère où ce livre devait se trouver, elle se résolue à se dire qu'il avait du être emprunté.
Enja n'aimait pas voir ses plans contrariés. Avec une moue, elle prit le tome deux qu'elle avait lu encore plus souvent que le troisième tome. Et la quête d'une table à laquelle s'installer commença. Elle ne pouvait plus emprunter aucun livre depuis le fameux incident avec la bibliothécaire, ce qui la foutait dans une colère noire. Elle n'avait le droit que de les consulter... Quelques élèves étaient présents à cette heure-là mais un surtout attira son attention... Il était affalé sur sa table, une tonne de livres à côté de lui et son sac. Un beau brun du nom d'Elia Devidson, un élève des Grymm. Leur histoire était un peu compliquée... Je te veux, je ne te veux plus... Ils jouaient au chat et à la souris. Au début, c'était le jeune homme qui courrait après Enja et qui voulait coucher avec elle, et finalement quand ils avaient appris à se connaître, il y avait renoncé... Ce qui ne plaisait pas vraiment à la jeune irlandaise qui n'avait pas l'habitude qu'on lui refuse quoique ce soit, et elle ne comptait pas se laisser faire !
Elle arriva à pas de loup derrière celui-ci, faisant le moins de bruit possible et posa son sac et son livre délicatement par terre. Enja se colla contre le dos du jeune homme. Se baissant un peu, elle l'enlaça et fit glisser ses mains sur le torse d'Elia tout en lui murmurant sensuellement à l'oreille :
ENJA – « Ne fais pas semblant de travailler chéri, je sais très bien que tu ne penses qu'à moi... »
La jeune fille laissa échapper un petit rire cristallin et embrassa doucement le cou de celui-ci, deux, trois fois, tout en parcourant le torse d'Elia avec le bout de ses doigts. Le jeune homme avait un torse bien sculpté, cela se sentait sous ses doigts. Elle mordilla rapidement le lobe d'oreille de celui-ci et se releva en rigolant. Elle adorait faire ça, chauffer les garçons, les séduire aussi bien en soirée que dans la vie quotidienne. Beaucoup de personnes la prenaient pour une garce à cause de ça, mais Enja n'était pas du genre à s'inquiéter de ce que les gens pensaient d'elle. Si elle le faisait, elle passerait ses journées à s'inquiéter de tous ses gestes, à avoir peur d'être constamment jugée... En ramassant son sac et son livre, elle alla se poser en face de lui. Elle tira sa chaise et s'assit. En appuyant sa tête, sur son avant-bras, Enja dit :
ENJA – « Alors, comment vas-tu mon sucre d'orge ? »
Elle attrapa la main d'Elia et commença à lui caresser l'intérieur. Il était indéniable que le jeune homme était un des plus beaux garçons qu'Enja connaisse et elle était prête à tout pour l'avoir.
- Spoiler:
- mais non, c'est parfait honey (l)
- InvitéInvité
Re: Quand je dis non, c'est non ! - enfin presque- [PV ENJA]
Mer 3 Mar 2010 - 15:14
ENJA && ELIA
Le monde fleurit par ceux qui cèdent à la tentation.
Julien Gracq
Julien Gracq
Elia dans une bibliothèque ouais légèrement -voire même complètement- choquant et très décalé. Prenez des photos les amis ! Rares seront les occasions où vous pourrez le voir dans cet endroit, ô grand Dieu, qui ne lui correspond pas du tout. C’est vrai, sa place était plutôt entouré de ses « potes » -c’est bien connu avec le Elia le monde se divise en deux catégories: lui et éventuellement Lust puis tout les autres donc « amis » c’était un peu fort mais l’idée est là- dans la salle des grymm vautré sur le plus confortable canapé en face, ou pas très loin, de la cheminée entrain de se blaguer ou faire un coup foireux. M’enfin que voulez-vous la vie est cruelle, injuste et fortement contraignante mais bon c’est la « life » et on fait avec… toute façon c’est pas comme si on avait le choix. Certains élèves passaient, le regardaient bizarrement, chuchotaient, murmuraient, puis s’en allaient le regard suspect. Genre Elia aurait eu le culot de venir là pour faire un sale coup ! - pour tout vous dire, le culot ca il l’avait et ca plutôt deux fois qu’une- Choquant vraiment ! Les gens de nos jours pensent vraiment n’importe quoi… Elia est un ange et ceci personne ne veut le comprendre. En plus de ne pas le comprendre certains s’amusent à venir l’importuner pendant sa phase de préparation psychologique au travail: en effet, la bibliothécaire vint lui dire avec un grand sourire de bien vouloir enlever son bonnet, d’éteindre c’te « chose » qui lui servaient d’mp3 et puis éventuellement se mettre au travail ou de sortir si ce n’était que pour occuper une table.
Les répliquent voulaient fuser, ca c’est moi qui vous le dit, cependant, se faire virer là comme ca et pour la première fois qu’il y foutait les pied c’était peut être un peu trop. Donc grand sourire complètement narquois et hautain, il obéit avant de se lever et d’aller tout au fond de la pièce, entre de grandes étagères, pour que c’te vipère ne puisse le voir d’où elle se trouvait.
Le jeune homme remit son bonnet en place ainsi que ces écouteurs avant de se remettre à comater. Quoique entre temps, il eut le temps de griffonner quelques petits mots sur son parchemin et d’ouvrir un livre où il jeta un coup d’œil furtif avant de se renfoncer au fond de sa chaise et de fermer les yeux.
Le beau brun senti une présence derrière lui et pria pour que ce ne soit pas la vipère que s’était ramenée pour lui donner encore ses petits conseils d’ordre pratique dans l’espoir de mieux travailler ou même terminer this fucking devoir. Mais il ne broncha pas et attendit. Au bout d’un petit moment, il senti la fameuse présence se rapprocher plus que la normale: dans le genre « je me colle contre ton dos » et là il se dit que ca ne pouvait vraiment pas être l’autre vieille pie auquel cas elle aurait retiré le bâton qu’elle avait dans le c*l précédemment, disons plus poliment qu’elle se serait vraiment dévergondée entre temps. Il senti qu’on l’enlaçait et que des mains aussi douce soit-elles étaient entrain de glisser sur son torse. Lui ? S’inquiéter ? Pourquoi devrait-il s’inquiéter ? Oui quelqu’un le tripotait et alors ? Toute façon ca ne pouvait être qu’une connaissance pour oser le toucher ou alors une demoiselle très très (…) très audacieuse c’est moi qui vous le dit. Et puis c’est pas comme si ca le dérangeais sérieusement. « Ne fais pas semblant de travailler chéri, je sais très bien que tu ne penses qu'à moi... » lui dit une voix sensuelle et familière. Il ne savait pas qui c’était enfin si mais hésitait voyez vous. Jusqu’à ce que la personne laisse un petit rire cristallin s’échapper et là immédiatement ce fut la révélation ! ENJA.
Une jolie rousse, bien mignonne et super attractive mais non il n’en était rien. Elia avait beau multiplier les conquêtes celle-ci il ne la toucherait pas. Enja c’est une sorte de coup de cœur, le genre qu’on respect un minimum et qu’on veut préserver. Donc c’était décidé, c’était non, il ne poserait pas les mains sur elle, les yeux et encore. Décision d’ailleurs que cette dernière n’acceptait pas le moins du monde et n’en faisait qu’à sa tête, le provoquait jusqu’à ce ses limites, le cherchait pour qu’il craque et se jette sur elle. Au début, c’était Elia qui la désirait, qu’il la voulait, et elle qui lui résistait maintenant les rôles s’étaient inversés. De plus, le fait de lui résister amusait Elia, eh ouais la petite irlandaise était une fille gâtée à qui on ne refusait rien et le fait qu’Elia lui refuse ceci la poussait à faire des choix, des retranchements plutôt divertissant et amusant. Que voulez-vous il a apprit à la connaitre.
La jolie rousse embrassa le cou du jeune homme qui une fois encore ne broncha pas et se laissa faire… Histoire de pousser la chose, cette dernière laissa ses doigts parcourir le torse musclé et bien dessiné -eh ouais là ici aussi c’est la vie les amis, il ne vous reste plus que vos yeux pour envier et pleurer maintenant- et une fois encore il ne dit rien, se contenta seulement de réguler sa respiration. Tout de même ! Ceci ne le laissait pas totalement indifférent donc rester calme s’imposait. Celui-ci sourie et se laissa aller entre les soins de la jeune demoiselle et plus il se laissait faire et plus celle-ci en profiter pour monter en flèche le stade provocation, elle lui mordilla le lobe d’oreille, là ce fut, comme qui dirais « de trop », et se leva brusquement en rigolant. Le jeune homme croisa le regard de la rousse, apparemment, satisfaite et affichant sont petit air mutin et aguicheur. Elia lui sourit une nouvelle fois puis se rassit et regarda la demoiselle se poster en face de lui. Enja était n’était pas une garce, enfin cela dépendait de la définition qu’on avait hein, elle aimait juste s’amuser et c’était un de ses jeu favori que voulez-vous ? Qu’on l’attache ? C’est comme si on retirait le jouet favori à un gosse parce qu’on trouvera ca blasphématoire ou autre ! Bon ok, comparé un jouer à son attitude c’était peut être trop mais c’est l’idée.
La summerbee appuya sa tête sur son avant bras. « Alors, comment vas-tu mon sucre d'orge ? » dit elle avant d’attraper la main d’Elia et commencer à la caresser. Ses lèvres s’étirèrent en un sourire des plus charmeur, soupira, avant de lui répondre. « Eh bien, je dirais que ca va, la routine quoi. Et toi ma belle ? tu m’as l’air bien excité aujourd’hui… » ajouta-t-il d’un air taquin.
La banalité du quotidien que voulez-vous, ce ne sont pas des super héros dont la vie est trépidante, ou autres, ce sont juste deux étudiants qui subissent la vie, rien d’autre. Elia regarda la jeune demoiselle affalée sur son bras, elle était décidément trop mignonne, il se plut à la contempler, la dévisager pendant plusieurs minutes, Enja était l’une des plus belles filles qu’il connaissait, si belle, et pourtant elle faisait également parti des rares qu’il avait décidé, de son plein gré, de ne pas « se faire » -pour parler poliment et encore-… ah ! Que la vie est cruelle ! Quelques micro secondes passèrent avant que celui ne se redresse, s’approche et aille replacer délicatement une mèche de cheveux qui tombait sur le visage de la belle rousse. Il lui adressa un sourire dont il avait le secret avant de réengager la conversation. « alors ma jolie, que fais-tu ici ? Cet endroit te ressemble si peu » et c’était lui qui disait ca ! Le monde tourne vraiment bizarrement c‘est moi qui vous le dit ! Quoique Enja non plus n’était pas un rat de bibliothèque et la voir dans cet endroit -tout comme Elia- était presque aussi rare que de trouver du pétrole au Groenland.
- InvitéInvité
Re: Quand je dis non, c'est non ! - enfin presque- [PV ENJA]
Dim 7 Mar 2010 - 22:48
ELIA & ENJA
> Hâtons-nous de succomber à la tentation, avant qu'elle ne s'éloigne. [Epicure]
Ah si seulement ils n'avaient pas été là, dans cette foutue bibliothèque. Oui, s'ils avaient n'importe où, dans n'importe quel endroit mais pas ici, exposés à tous ces regards de ces rats de bibliothèque, elle lui aurait bien sauté dessus... Quoique rien ne l'empêchait en fait. Sauf peut être les gens qui l'entouraient, ou peut être même la bibliothécaire qui était en train de les fixer de son œil mauvais, ce qui m'avait pas échappé à la jeune Summerbee. D'ailleurs, cela l'amusait beaucoup. Elle savait que cette vieille peau ne se risquerait pas à une nouvelle confrontation avec l'irlandaise vu comme ça s'était passé la dernière fois, elle avait bien trop peur pour sa santé et elle avait vu ce que la jeune irlandaise au caractère de feu pouvait faire quand elle était énervée. Néanmoins, Enja était certaine que la bibliothécaire n'hésiterait pas à l'exclure si elle faisait le moindre faux-pas, ce qui rendait la situation encore plus... excitante, c'est le mot. Le visage d'Elia fit place à un sourire des plus charmeurs, ce qui lui donnait un petit air taquin. Tout ça lui allait à merveille d'ailleurs devait très certainement faire craquer plus d'une fille. Ce garçon devait faire tomber les filles comme des mouches, il n'y avait pas de doute là-dessus.
ELIA – « Eh bien, je dirais que ca va, la routine quoi. Et toi ma belle ? tu m’as l’air bien excité aujourd’hui… »
ENJA – « Tu ne crois pas si bien dire...»
Un de ses sourcils se arqua et un sourire séducteur et amusé en même temps, pendant qu'elle approchait son pied de celui du jeune homme. Elle finit par le faire glisser lentement le long de la jambe du homme en se dirigeant dangereusement vers son entre-jambe, puis elle redescendit et recommença sa montée-descente. Son petit manège ne dura pas longtemps car elle vit du coin de l'œil la bibliothécaire les dévisageait, ce qui lui arracha un sourire malgré elle. Elle reposa son pied par terre, comme si de rien n'était, toujours en gardant un œil sur ce que faisait sa bonne vieille amie. Elle ne voulait pas se faire exclure de la bibliothèque alors que son petit jeu avec Elia venait tout juste de commencer et qu'il était loin, vraiment loin, d'être fini. Appuyée sur avant-bras, elle se mit à examiner avec précision les traits fins d'Elia. Il était d'une beauté rare. Hungcalf regorgeait certes de bels hommes bien dotés par la nature et qui étaient aussi très certainement de très bons coups, mais peu égalait le charme du beau brun. Elle le voulait lui, et personne d'autre. Lui, ou rien, voilà sa devise. Il replaça avec délicatesse une mèche de cheveux derrière l'oreille de la jeune fille ce qui la fit sourire.
ELIA – « alors ma jolie, que fais-tu ici ? Cet endroit te ressemble si peu »
ENJA – « Je m'instruis vois-tu... Je ne suis pas une de ces filles écervelées qui passent leur temps à parler chiffons - elle lui tendit par la même occasion son livre d'Histoire de la Magie pour étayer ses propos - Non, en réalité je t'ai poursuivi toute la journée à la recherche d'un moment où tu serais enfin seul et où je pourrais te sauter dessus sans avoir une de tes nombreux admiratrices sur le dos... »
Enja laissa échapper un petit rire en pensant que sa réponse n'en apportait aucune en fait. Bien que cette explication paraisse complètement improbable, elle était certainement plus plausible que le fait de la voir étudier. Et pourtant, elle était bien venue à la bibliothèque dans ce but, aussi étrange que ça puisse paraitre. Le fait qu'Elia soit là n'était que le fruit du hasard, un joli hasard il est bien vrai. Elle passa une main dans ses cheveux et commença à tripoter une de ses mèches, comme à son habitude.
ENJA – « Dis-moi, tu vas à l'anniversaire de Lust je présume ? Une idée pour ton costume ? »
La jeune fille ne risquait pas de se tromper en demandant cela et elle connaissait déjà la réponse. De un, Lust était un des meilleurs amis d'Elia et de deux, elle savait que le jeune homme était du même genre qu'elle : toutes les fêtes possibles et imaginables, il les faisait. Celle-ci tout particulièrement. Donc pourquoi poser une question dont on connait déjà la réponse ? Tout simplement pour mettre le sujet sur la table quand on attend quelque chose. Et c'était le cas. Elle nourrissait l'espoir secret que celui-ci lui propose d'y aller ensemble à cette fameuse fête d'anniversaire. Oui, car en plus d'arriver très bien accompagné, cela énerverait très certainement Meteora. Il lui semblait bien que ces deux-là s'entendaient bien et voir une de ses ennemies au bras d'un de ses amis ne ferait certainement pas plaisir à la jeune fille. Et Enja adoraiiiit embêter cette chère Meteora, et embêter est un mot gentil. La haine qu'elle lui portait était telle qu'elle faisait tout pour lui pourrir la vie. Ces rancunes étaient vieilles et avec le temps, auraient du s'adoucir, mais la jeune fille était du genre rancunière et possessive. D'ailleurs, le fait que Meteo' soit proche d'Elia l'énervait un peu. Elle pensait bien qu'il devait coucher ensemble, ce qu'il l'énervait encore plus. Pour elle, le fait qu'il couche avec son ennemie et pas avec était une forme de défaite, ce qu'il fait qu'elle avait encore plus envie de « se le faire ». Et même là, dans cette bibliothèque, entre deux rayons, au risque de se faire exclure, elle en était capable juste pour satisfaire ce désir d'être à la hauteur de Meteo' et cette attirance incontrôlable.
ELIA – « Eh bien, je dirais que ca va, la routine quoi. Et toi ma belle ? tu m’as l’air bien excité aujourd’hui… »
ENJA – « Tu ne crois pas si bien dire...»
Un de ses sourcils se arqua et un sourire séducteur et amusé en même temps, pendant qu'elle approchait son pied de celui du jeune homme. Elle finit par le faire glisser lentement le long de la jambe du homme en se dirigeant dangereusement vers son entre-jambe, puis elle redescendit et recommença sa montée-descente. Son petit manège ne dura pas longtemps car elle vit du coin de l'œil la bibliothécaire les dévisageait, ce qui lui arracha un sourire malgré elle. Elle reposa son pied par terre, comme si de rien n'était, toujours en gardant un œil sur ce que faisait sa bonne vieille amie. Elle ne voulait pas se faire exclure de la bibliothèque alors que son petit jeu avec Elia venait tout juste de commencer et qu'il était loin, vraiment loin, d'être fini. Appuyée sur avant-bras, elle se mit à examiner avec précision les traits fins d'Elia. Il était d'une beauté rare. Hungcalf regorgeait certes de bels hommes bien dotés par la nature et qui étaient aussi très certainement de très bons coups, mais peu égalait le charme du beau brun. Elle le voulait lui, et personne d'autre. Lui, ou rien, voilà sa devise. Il replaça avec délicatesse une mèche de cheveux derrière l'oreille de la jeune fille ce qui la fit sourire.
ELIA – « alors ma jolie, que fais-tu ici ? Cet endroit te ressemble si peu »
ENJA – « Je m'instruis vois-tu... Je ne suis pas une de ces filles écervelées qui passent leur temps à parler chiffons - elle lui tendit par la même occasion son livre d'Histoire de la Magie pour étayer ses propos - Non, en réalité je t'ai poursuivi toute la journée à la recherche d'un moment où tu serais enfin seul et où je pourrais te sauter dessus sans avoir une de tes nombreux admiratrices sur le dos... »
Enja laissa échapper un petit rire en pensant que sa réponse n'en apportait aucune en fait. Bien que cette explication paraisse complètement improbable, elle était certainement plus plausible que le fait de la voir étudier. Et pourtant, elle était bien venue à la bibliothèque dans ce but, aussi étrange que ça puisse paraitre. Le fait qu'Elia soit là n'était que le fruit du hasard, un joli hasard il est bien vrai. Elle passa une main dans ses cheveux et commença à tripoter une de ses mèches, comme à son habitude.
ENJA – « Dis-moi, tu vas à l'anniversaire de Lust je présume ? Une idée pour ton costume ? »
La jeune fille ne risquait pas de se tromper en demandant cela et elle connaissait déjà la réponse. De un, Lust était un des meilleurs amis d'Elia et de deux, elle savait que le jeune homme était du même genre qu'elle : toutes les fêtes possibles et imaginables, il les faisait. Celle-ci tout particulièrement. Donc pourquoi poser une question dont on connait déjà la réponse ? Tout simplement pour mettre le sujet sur la table quand on attend quelque chose. Et c'était le cas. Elle nourrissait l'espoir secret que celui-ci lui propose d'y aller ensemble à cette fameuse fête d'anniversaire. Oui, car en plus d'arriver très bien accompagné, cela énerverait très certainement Meteora. Il lui semblait bien que ces deux-là s'entendaient bien et voir une de ses ennemies au bras d'un de ses amis ne ferait certainement pas plaisir à la jeune fille. Et Enja adoraiiiit embêter cette chère Meteora, et embêter est un mot gentil. La haine qu'elle lui portait était telle qu'elle faisait tout pour lui pourrir la vie. Ces rancunes étaient vieilles et avec le temps, auraient du s'adoucir, mais la jeune fille était du genre rancunière et possessive. D'ailleurs, le fait que Meteo' soit proche d'Elia l'énervait un peu. Elle pensait bien qu'il devait coucher ensemble, ce qu'il l'énervait encore plus. Pour elle, le fait qu'il couche avec son ennemie et pas avec était une forme de défaite, ce qu'il fait qu'elle avait encore plus envie de « se le faire ». Et même là, dans cette bibliothèque, entre deux rayons, au risque de se faire exclure, elle en était capable juste pour satisfaire ce désir d'être à la hauteur de Meteo' et cette attirance incontrôlable.
- InvitéInvité
Re: Quand je dis non, c'est non ! - enfin presque- [PV ENJA]
Sam 20 Mar 2010 - 12:24
elia && enja
« Discuter avec la tentation, c'est être sur le point d'y céder. »
[Miguel De Unamuno]
[Miguel De Unamuno]
Toujours assis en face d’elle, le beau brun imaginait –ou du moins essayait d’imaginer- ce à quoi la belle rousse pouvait bien penser. Non en fait, il le savait rien qu’en plongeant ses prunelles bleu dans celles incandescente de la demoiselle. Son air mutin et provocatrice en disant long sur ses éventuelles intentions: si elle l’avait pu, ou du moins, s’ils avaient été ailleurs elle n’aurait pas une seule seconde hésité à lui sauter dessus… une habitude presque depuis quelques semaines, et, Elia semblait aussi bien se battre intérieurement pour ne pas céder mais en plus avec la jolie rousse qui semblait persévérer dans sa quête: « elle le voulait et elle l’aurait » disait-elle, pour ma part je dirais seulement « à cœur vaillant rien d’impossible » nan je déconne mais juste « qui vivra, verra ! ».
Aussi bien un jour, Elia en aura marre, il l’accueillera à bras ouvert et feront ce qu’ils auront à faire et tout le monde -ou presque- sera content, mais bon pour l’instant rien n’est acquis et le beau brun ne semble pas vouloir céder. Soudain une image traversa son esprit: celle d’eux deux entrain de faire certaines choses pas très catholiques dans la bibliothèque… avouez que ca ne manque pas de charme, ou disons plus simplement, que c’est « excitant », braver les interdits, bafouer la loi et l’ordre étaient ce qu’ils savaient faire de mieux et ils s’étaient montrés tout deux très brillant pour ca. Mais bon, là encore c’était Enja et il était tout simplement hors de question qu’il ne pose ne serait-ce que les yeux sur elle. J’ai l’impression de me répéter non ? Ouais, c’est bon, c’est juste pour insister sur le fait qu’il préfère la préserver quand bien même cette dernière est déjà bien dévergondée. La demoiselle afficha un de ses airs dont elle avait le secret, dans le genre: sourire charmeur et amusé avec en plus un sourcil arqué. « Tu ne crois pas si bien dire » répondit elle dès plus amusée. Elle préparait un sale coup c’était lisible et visible en fait, quand on la connaissait on savait que son petit air mutin n’annonçait généralement rien de bon. La jeune irlandaise n’allait certainement pas le ménager en cette belle matinée de samedi.
Elia jeta un coup d’œil furtif à la bibliothécaire qui les toisait d’un œil noir et avec son petit air hautain, avant de sentir une présence -le pied d’Enja- qui s’aventurait dangereusement et subtilement vers son entre-jambe, s’amusant à glisser le long de sa jambe plusieurs fois d’affilée. Elia retint son souffle quelques secondes avant de se redresser sur sa chaise d‘un air nonchalant, cette petite ne manquait pas de ressources sérieusement, cependant, son expression ne changea pas pour un sou, il se contenta de lui sourire et lui lancer un petit clin d’œil. « Je m'instruis vois-tu... Je ne suis pas une de ces filles écervelées qui passent leur temps à parler chiffons. » dit elle en lui mettant sous le nez un livre concernant l’histoire de la magie. celui-ci leva un sourcil vers elle, reposa son regard sur le livre, comme s’il essayait d’établir un lien entre le livre et le tempérament d’Enja avant de pouffer. « Tu te fiches de moi là ? » dit-il d’un air moqueur. Il avait entendu dire qu’Enja avait un penchant pour l’histoire de la magie mais il pensait que c’était un leurre, un mensonge, mais en fait, peut-être bien que non. Rien que de penser à cette matière, il en avait des nausées et une forte envie de dormir. A vrai dire, il détestait tout ce qui était trop théorique et qui selon lui, ne lui servirait jamais. En effet, il préférait et de loin le pragmatique. « Non, en réalité je t'ai poursuivi toute la journée à la recherche d'un moment où tu serais enfin seul et où je pourrais te sauter dessus sans avoir une de tes nombreux admiratrices sur le dos... » ajouta-t-elle en laissant échapper un petit rire. « Ah ! Voilà une réponse beaucoup plus sensée ! Mais tu sais que je ne compte pas poser les mains sur toi…» répondit-il en riant à son tour et avec un petit sourire en coin. Eh ouais, quand bien même, c'était dur de ne pas vouloir lui sauter dessus, il s'amusait à le lui rappeler histoire de la provoquer
Il l’a regarda passer sa mains dans ses cheveux roux et soyeux, replacer une mèche. Ouais, elle était carrément canon la Enja…plutôt deux fois qu’une d’ailleurs…mais pour une fois qu’il s’était fait une promesse disons responsable et sage, fallait qu’il tienne…question d’orgueil les amis, question d’orgueil… « Dis-moi, tu vas à l'anniversaire de Lust je présume ? Une idée pour ton costume ? » dit-elle en tirant Elia de ses songes.
« Hein ? Euh, ouais l’anniversaire de Lust, bien évidement que si j’y vais. » Rater une fête était improbable, inimaginable, qu’il ne soit pas invité à une fête et ce en mode « VIP » l’était également. Donc vous pensez bien qu’une fête en l’honneur de son meilleur pote et qui plus ai organisé par la belle Meteora était tout bonne impensable, et oui il irait, il s’y éclaterait comme d’habitude. « J’compte me déguiser en super héros et pas n’importe lequel…Zorro » répondit-il d’un air pervers tout en dessinant un Z dans le vide. « Et toi ma belle ? Dis moi tout en quoi vas-tu te déguiser, si tu y vas » demanda-t-il sachant pertinemment qu’elle y serait. Et puis, il avait bien envie de la voir à cette soirée, ils avaient déjà fait quelques fêtes ensemble et franchement il s’y était toujours amusé. Il savait bien qu’elle était le genre fêtarde et tout les moyens sont bon pour faire la fête à Hung’ alors quitte à s’inviter et s’incruster elle viendrait. Le grymm avait déjà l’intention de lui proposer de l’y accompagner si jamais celle-ci lui répondait qu’elle n’y allait pas, il savait que celle-ci ne résisterait pas à cette proposition. Elia était plutôt le genre informé et donc avait entendu dire que Meteora et Enja se vouaient une haine sans égal, bien évidement, il ne se prenait jamais la tête avec ce genre de choses mais quitte à jouer dessus pour avoir ce que l’on désire non ? J’vous avez prévenu: c’est un connard et alors ? Bref.
Le Grymm remarqua que sa très chère amie semblait captivée par la bibliothécaire -en trois ans d’étude à Hung’, il n’était toujours pas foutu de retenir ni même de savoir le nom de la gardienne des livres- et regarda également dans sa direction et s’aperçut que celle-ci guettait, observait, dévisageait, histoire de les virer au moindre faux pas, à la moindre chose de travers. Et puis là, soudainement, à l’instant, il avait à la fois envie de s’amuser avec Enja - sur ce point, il avait son idée croyez moi- et de braver les interdits dans l’unique but de provoquer c’te vieille pie qui ne cessait de les regarder. Ils savaient qu’ils étaient méga beau et qu’elle les enviaient mais bon f*ck à un moment ! Faut faire confiance aux jeunes même s’ils ont des têtes suspectes… si, si, c’est vrai ! Bon trêve d’enfantillage.
Elia se leva brusquement en faisant un max de bruit -sur ce coup, il ne l’avait « pas fait exprès »- attrapa la main d’Enja et la fit se lever tout en plongeant ses prunelles dans les siennes. Sillonna entre les rayons d’étagères lançant un ultime regard provocateur et n’annonçant rien de bon à la bibliothécaire « C’est quoi que tu voulais me montrer » lança-t-il à l‘intention de la jolie rousse qui ne comprit pas immédiatement. Enja toujours sur les talons, ils arrivèrent en deux secondes dans ce qui s’appelait la « réserve » il plaqua la beauté irlandaise contre le mur et approcha son visage dangereusement du sien et par la même occasion son corps d’apollon -ZBAAF- il senti la respiration saccadée de la demoiselle ce qui le fit sourire et s’arrêta d’avancer au moment où il senti le corps, les formes généreuses de la demoiselle contre le sien. A partir de là, il attendait deux choses, premièrement que la summerbee réagisse à ca et deuxièmement qu’ils aillent « plus loin » et le plus drôle: qu’ils se fasse surprendre. Son but ? S’amuser, oui certes mais encore ? il voulait à la fois provoquer et jouer avec Enja mais aussi la bibliothécaire qui ne tarderait pas à faire son apparition… croyez moi vu le regard qu’il lui avait adressé avant de filer avec la rousse… C’était assez stupide et plutôt con mais bon tout les moyens sont bon pour faire n’importe quoi…
- Spoiler:
- Désolé du retard mon sucre d’orge ! Et en plus c’est pas top ! Really sorry mon ange (l)(l)
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