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De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Mar 8 Mar 2022 - 20:20
De polyamour et d'eau presque fraîche ft. @Azazel Alighieri | 08.03.22S’appeler Wyatt Nightingal et être en couple, cela n’avait absolument rien d’ordinaire. Moi le premier, j’en avais parfaitement conscience ! Je ne savais même pas comment j’en étais arrivé à ça, alors que j’étais bien loin de ressembler à ces monogames qui couraient les rues prônaient la supériorité de leur façon de vivre. Je m’étais toujours considéré comme quelqu’un de très libre et je m’imaginais que, si un jour je devais me mettre en couple, ce dernier serait aussi libéré que le vent. La réalité me décevait parfois un peu. J’avais pour Erwin des sentiments profonds qui existaient depuis maintenant dix ans et je ne regrettais pas de lui consacrer un pan de ma vie personnelle. Mais parfois, je regardais d’autres hommes sur mon chemin et je me sentais obligé de m’empêcher de les reluquer trop longtemps. Je devais me battre contre cette envie permanente de passer du bon temps avec eux, alors même que mon botaniste me satisfaisait pleinement. Peut-être avais-je un problème, en fin de compte ? Je n’en discutais jamais avec Erwin par peur de le blesser. Nous avions tenté le couple libre, avant de revenir à quelque chose de plus… traditionnel et socialement acceptable. Je n’irais pas jusqu’à dire que je ne m’épanouissais pas dans la monogamie, mais quelque chose me manquait affreusement et je mis bientôt le doigt sur ce que c’était : la liberté. Et un Wyatt enchaîné n’était plus un Wyatt. Pour autant, je ne me voyais pas quitter Erwin. Cette simple idée m’emplissait de tristesse. Il me comprenait mieux que personne, m’acceptait pleinement et ne cherchait pas à me changer. Tout le monde pouvait-il en dire autant de leurs partenaires ? Certainement pas.
J’essayais donc de me convaincre que je n’avais besoin de rien d’autre et dans les grandes lignes, je réussissais. Mais souvent, ma discussion d’il y a quelques mois avec Kashmiri me revenait en tête. Surtout la façon dont je l’avais encouragé à s’engager dans des relations libres, détachées de toutes obligations. Vivait-il cela avec Azazel, actuellement ? Si c’était le cas, je ne pouvais m’empêcher de les envier. En parlant du loup, on frappa à la porte de l’appartement que je partageais dorénavant avec le botaniste et j'accueillais mon ami de longue date - et ancien amant par la même occasion - avec un grand sourire sur les lèvres. L’Italien était toujours aussi beau et fringuant que dans mes souvenirs.
« Az’, vieille branche ! Welcome ! Je vois que l’âge n’a pas d’emprise sur toi, comme d’habitude. Allez entre, entre ! Je t’ai préparé un verre de rouge dans la cuisine. » Pour moi, ce sera une bière bien évidemment, mais je savais que le semi-vampire appréciait un bon verre de vin à l’occasion. Je refermais la porte derrière lui et le poussais presque jusqu’à la cuisine où nous attendaient docilement nos boissons.
« Sympa l’appart’, hein ? »
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Re: De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Lun 11 Avr 2022 - 18:53
Appartement de Wyatt et Erwin
Un paquet rectangulaire et fin sous le bras, Azazel frappa à la porte du nouvel appartement du dragonologue. Son éternelle chemise trop serrée sur son buste, les premiers boutons ouverts pour dévoiler son torse, il attendait un sourire séducteur sur le coin des lèvres qu'on lui ouvre. Wyatt ne tarda pas à apparaître de l'autre côté de la porte, un magnifique sourire sur les lèvres.
_ T'es pas mal non plus, ancora così sexy. Je suis presque déçu de te trouver habillé. Lança-t-il en riant.
Il sourit, ravi de voir que Wyatt avait pensé à lui en préparant un verre de vin rouge. Il se dirigea rapidement vers la cuisine, le dragonologue ne lui laissait pas vraiment le choix. Il attrapa la boisson et posa le paquet sur la table.
_ Et si on trinquait à la fin de nos études et à notre future réussite !
Il avança son verre pour le faire sonner contre la bière de Wyatt avant d'en boire une gorgée. Il poussa ensuite le paquet du bout des doigts vers le dragonologue.
_ Un piccolo regalo pour la déco de ton nouvel appart.
Le paquet contenait un cadre avec une photographie de Wyatt dans une tenue des plus érotiques, mettant parfaitement en valeur le corps séduisant du dragonologue. Azazel avait fait encadrer la photo la plus sensuelle qu'il avait de son ami, un cadeau qui plairait sans doute autant à Wyatt qu'au petit ami de ce dernier.
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Re: De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Lun 11 Avr 2022 - 21:04
De polyamour et d'eau presque fraîche ft. @Azazel Alighieri | 08.03.22J’eus un petit rire à son évocation de ma fâcheuse tendance à ouvrir la porte de mon ancien appartement complètement à poil. Ma marque de fabrique. J’oubliais bien souvent de remettre des habits et cela avait toujours son petit effet sur mes invités. Ou ceux qui passaient par là pour voir l’un de mes anciens colocataires. L’effet en question n’était d’ailleurs pas toujours positif, mais j’accordais peu d’importance à ces personnes-là.
« Que veux-tu, j’essaye de faire des efforts ! » Erwin avait tenté de me rassurer quant au fait qu’il n’avait aucun souci avec ma nudité presque perpétuelle mais par égard pour lui - autant qu’il en avait pour moi - j’essayais de rester au moins la moitié de mon temps dans l’appartement avec au moins un boxer sur les fesses. J’avais bien conscience de ses efforts pour me supporter, qu’il faisait de bon cœur d’ailleurs, alors je ne pouvais que lui rendre la pareille en réglant quelques “soucis” dans mon comportement. Accueillir Azazel à poil ne l’aurait certainement pas dérangé mais il y avait le risque que l’un.e des voisin.e.s de l’immeuble passe par là et je n’avais pas envie de me retrouver avec une plainte sur le dos pour attentat à la pudeur. Pas encore.
Je le poussais jusqu’à la cuisine et laissais ma bière venir s’entrechoquer avec le verre de vin de mon ami. Nous avions réussi à passer le cap des études et ça me semblait toujours bizarre, en réalité. Je n’arrivais pas à me faire à l’idée que désormais, j’étais un homme dans la vie active. Cela ne me ressemblait pas, j’étais plutôt le trublion de la cour de récréation, l’éternel enfant. Le Peter Pan du monde sorcier.
« Oh merci, fallait pas ! » Mais j’étais bien content d’avoir un cadeau tout de même donc, après avoir posé ma bière sur la table, je déchirais l’emballage comme un enfant le matin de Noël. Je découvris alors le cadeau spécial d’Azazel pour mon emménagement avec Erwin et j’éclatais de rire. Je n’avais aucun mal à me voir dans cette tenue et position. Je trouvais même ça plutôt sexy et intéressant. J’espérais qu’il allait apprécier l’attention autant que moi.
« J’adooooooore, merci ! Je verrais avec Erwin mais je pense qu’on va le mettre dans la chambre. Avec un peu de chance, ça lui fera encore plus plaisir qu’à moi. » Je fis un clin d’œil au semi-vampire et vins lui offrir une accolade de mon crû. Très chaleureuse et exprimant ma sincère gratitude.
« Bon alors et toi, comment ça va ? » Ma question se portait essentiellement sur sa relation avec Kash, dont j’attendais les ragots avec énormément d’excitation car je les trouvais très sexy ensemble. Mon petit fantasme du moment. « Le taf ? Ton emploi du temps est-il aussi tendu que ta chemise ? »
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Re: De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Mar 10 Mai 2022 - 18:36
Appartement de Wyatt et Erwin
Wyatt avait l'air heureux dans son couple, ça faisait plaisir à voir. Le semi-vampire se laissa alors entraîner jusqu'à la cuisine du nouvel appartement du dragonologue. Les deux hommes trinquèrent de bon cœur, le vin pour l'un et la bière pour l'autre. Certaines choses avaient bien changé, mais les goûts en termes d'alcool restaient là, tout comme l'amitié que les deux amis se portaient. Azazel restait fidèle à lui-même, alors forcément, le cadeau qu'il offrit à Wyatt était quelque chose de sensuel, une ravissante photographie qui mettait parfaitement en valeur le dragonologue.
_ Tu le mérites bien.
Le rire de Wyatt était contagieux et le semi-vampire se mit à rire aux éclats avec son ami. Azazel était ravi de voir que son cadeau plaisait.
_ Ravi que ça te plaise. Erwin a de la chance lui, il peut profiter de la réalité, pas juste de la photo. Taquina-t-il avec un petit sourire en coin.
Azazel répondit avec l'accolade en souriant. Il en profita pour claquer les fesses de Wyatt. Le semi-vampire ne cherchait pas à s'immiscer dans le couple de son ami, mais il aimait taquiner ses amis et il avait toujours été quelqu'un de très tactile, trop aux goûts de certains.
Azazel laissa échapper un petit rire à la question de son ami. Il s'écarta et reprit une gorgée de vin avant de reprendre, le regard brillant.
_ Toi, tu veux savoir si on a couché ensemble. Et oui, on a remis ça. J'ai pas besoin de te donner les détails, je crois que tu peux te faire un'idea. Lança-t-il en riant.
J'essaye de l'aider à reprendre du poil de la bête et à s'occuper de son fils.
E per la mia camicia, si elle te gêne, je peux l'enlever. Dit-il en défaisant un bouton de manière provocatrice avant de s'arrêter.
Figure-toi que j'ai plus de temps qu'avant, je n'ai plus que deux travails, à la Chouette Enchaînée et comme photographe et vu que je dors pas, j'ai du temps.
Le semi-vampire n'avait pas continué très longtemps sur Kashmiri, pour une raison très simple, il ne savait lui-même pas où il en était. Il avait promis d'être toujours là pour le sorcier, mais qu'est-ce que ça voulait vraiment dire ? Lui, l'être de la nuit qui n'avait jamais cherché à créer une relation de couple commençait à avoir envie d'essayer en compagnie de Kashmiri. Tout ça était assez perturbant pour lui. Il réalisa alors que Wyatt était sans doute passé par le même questionnement.
_ Dimmi, qu'est-ce qui t'a poussé à te poser ? Erwin est si bon au lit que ça ?
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Re: De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Mer 11 Mai 2022 - 22:44
De polyamour et d'eau presque fraîche ft. @Azazel Alighieri | 08.03.22Je répondis à la provocation d’Azazel par un sourire entendu. Ma relation avec le semi-vampire avait pris une tournure plus amicale et familiale, même si nous ne nous empêchions jamais de nous provoquer un peu. Il n’y avait aucun mal à se taquiner, sachant que nous aimions tous deux jouer à ce jeu-là ! Mais je n’y jouais pas spécialement en posant ces questions, espérant tomber sur une réponse concernant Kash. Bien sûr que je m’intéressais tout particulièrement à eux, qui ne le ferait pas ? Ils étaient attrayants séparément et encore plus l’un avec l’autre, ce qui ne gâchait absolument rien. Le médicomage ne m’avait pas donné d’update sur sa dernière rencontre avec mon ami ici présent alors je faisais ce que je pouvais pour aller à la pêche aux informations. Je ne comptais pas laisser Az sortir de cet appartement sans m’avoir donné de quoi être satisfait et il me connaissait suffisamment pour s’en douter, vu qu’il parlait directement du sujet qui m’intéressait.
Je bus chacune de ses paroles avec une excitation innocente de plus en plus grandissante. Ces deux-là, même s’ils ne recherchaient rien de sérieux, je voulais les voir ensemble. « Oh oui je m’en fais une ! » Il y avait quelque chose de noble dans les actions d’Azazel car en effet, Kash avait besoin d’aide mais n’était pas toujours le premier à la demander. Je n’imaginais même pas ce que ça devait être d’être un parent célibataire. Ou si, un peu, grâce à ma mère. Il n’y avait rien de facile, rien d’écrit, aucune notice à suivre pour y arriver parfaitement. Rien que pour cela, Kash avait tout mon respect.
« Tu ne changeras donc jamais… » dis-je dans un rire et j’espérais bien qu’il ne le ferait pas. J’appréciais Azazel pour ce qu’il était vraiment et je ne l’imaginais pas autrement. À mon sens, il n’y avait absolument rien à changer. Un bon ami, un bon amant et un bon photographe. Que demander de plus ? J’hochais de la tête à sa réponse sur son travail et trouvais sympa qu’il ait pu se libérer un peu de temps pour ses loisirs. Deux travails, c’était déjà beaucoup à mes yeux ! Je m’attendais à ce qu’il parle de ça et pris une gorgée de ma bière avant de répondre, des étincelles dans les yeux et un peu de gêne sur les joues. Ce qui ne m’arrivait tout bonnement jamais.
« Un génie, que crois-tu ! Ce sont toujours ceux qui ont l’air les plus coincés qui sont les meilleurs au lit. » La blague passée, je repris plus sérieusement. « Non en vrai… Je ne suis pas encore tout à fait sûr de la raison. Peut-être parce que j’ai déjà tenté une fois avec Erwin et que j’en ai toujours gardé un bon souvenir. Qu’il a été mon ami pendant de longues années après ça, sans me lâcher une seule fois. J’ai entièrement confiance en lui, envie de m’investir dans quelque chose avec lui et la tentation d’aller voir ailleurs s’amenuise avec cette pensée. Au bout d’un moment, c’est étrange mais, on arrête de regarder à côté. Ou on regarde mais on ne voit pas vraiment, je ne sais pas si c’est très clair ! » J’émis un nouveau rire. « Et puis je crois qu’au fond, il est vraiment bon pour moi. Il me calme un peu et tu sais que j’en ai bien besoin parfois ! »
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Re: De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Sam 11 Juin 2022 - 11:35
Appartement de Wyatt et Erwin
_ Et je suis sûr qu'elle est très imagée. Rit-il.
Il savait bien que Wyatt avait pu goûter à la compagnie de Kashmiri autant que la sienne. Le dragonologue ne devait donc avoir aucun mal à imaginer comme les deux hommes étaient ensemble au lit. Il y avait plus que du sexe entre le médicomage et le semi-vampire, Azazel s'efforçait d'aider au mieux de son ami, que ce soit avec son fils ou dans d'autres tâches.
L'être de la nuit était fidèle à lui-même et il aurait suffi d'un mot de Wyatt pour qu'il retire sa chemise, même si les choses n'iraient pas plus loin. Il continua en expliquant qu'il avait quitté son poste de barman pour pouvoir avoir assez de temps pour se lancer dans la photographie de manière professionnelle.
Assez parlé de lui, Azazel était curieux d'en savoir plus sur la relation entre Wyatt et Erwin. Pendant des années, le dragonologue avait été comme le semi-vampire, un éternel célibataire assumant sa libido sans aucune gêne et voilà qu'aujourd'hui il était en couple. Forcément, tout ça intéressait beaucoup le semi-vampire. Il rit avec Wyatt à la blague sur les performances du botaniste.
_ Oh, je suis sûr qu'il est bon au lit, t'aurais pas autant la pêche sinon. Plaisanta-t-il.
Oh, je comprends ce que tu veux dire, l'impression d'avoir trouvé une sorte de foyer auprès de cette personne, avere un luogo.
Il ne le réalisait pas encore, du moins pas consciemment, mais c'était exactement ce qu'il ressentait auprès de Kashmiri.
_ Il arrive à te canaliser ? C'est donc pour ça che siete vestiti. Rit-il.
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Re: De polyamour et d'eau presque fraîche (ft. Azazel)
Sam 11 Juin 2022 - 17:51
De polyamour et d'eau presque fraîche ft. @Azazel Alighieri | 08.03.22Tout était imaginé avec nous. Nous avions tous deux goûté à Kash, tout comme lui et Azazel m’avaient expérimentés. À vrai dire, le seul à rester assez intact, c’était Erwin et cela me plaisait que les choses restent ainsi. Mais oui, je pouvais parfaitement me faire une idée de ce qu’il signifiait par là. C’était amusant et très intriguant à la fois.
La vie du semi-vampire avait bien changée et de façon positive, ce qui ne gâchait rien. J’écoutais avec bonheur Azazel me parler de sa vie, de ses changements positifs et j’étais content pour lui. Il le méritait. Tout le monde ne le comprenait pas forcément mais ceux qui y parvenaient pouvaient s’estimer heureux de l’avoir dans leur entourage. Je faisais partie de ce deuxième groupe, j’en étais un fier membre. Beaucoup de personnes dans ma vie la rendraient incomplète si elles disparaissaient et le photographe en faisait définitivement partie.
Je n’ai jamais eu pour habitude d’avoir du mal à parler de ma petite personne mais les circonstances avaient bien changées. Je faisais face désormais à un nouveau “moi” et il pouvait être difficile d’expliquer comment j’en étais arrivé là. Je ne savais même pas par quoi commencer et cela se sentait dans les propos que je destinais à Azazel. Rien n’avait de sens et tout en avait à la fois. Je décrivais cette sensation étrange d’être à sa place aux côtés de l’autre sans pour autant être certain qu’il soit en capacité de me comprendre. Nous étions les mêmes et j’avais parfois l’impression de l’avoir trahi en me mettant en couple. N’était-ce pas ridicule ? Je me doutais bien qu’il ne pensait pas ainsi mais je me posais la question. M’étais-je trahi moi-même en me mettant en couple avec Erwin ?
« Oui, c’est plus ou moins ça. Le truc, c’est que je n’en cherchais même pas un ! Étrange, non ? Je ne pensais même pas en avoir besoin et voilà maintenant que je ne me vois pas m’en passer… » Je lui parlais alors de la façon dont il parvenait à me canaliser et ce verbe décrivait totalement notre relation. Erwin était la sagesse et le calme incarné quand moi, à l’opposé, je n’étais bien souvent qu’irresponsabilité et mouvement perpétuel. Nous nous aidions l’un l’autre à modifier ces comportements qui, aux extrêmes, pouvaient s’avérer difficiles à vivre.
« Tu ris mais c’est vrai ! J’évite d’accueillir mes invités à poil maintenant. Je mets toujours au moins un pantalon. C’est un grand progrès ! » Ma pauvre mère, si elle entendait cela… Elle me ferait un bon juron espagnol tout en se tapant la paume de la main contre le front !
« Vous la jouez détaché avec Kash ? Pas exclusif ? Juste du fun ? »
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