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Une question existencialiste en attend pas une autre...
Mer 31 Mar 2010 - 3:29
La veille j'avais été répartie dans la maison des Wright et j'adorais. Les élèves en rouge et or m'avaient tous accueillient les bras ouverts. Surtout la jolie petite blonde aux yeux bleus qui était devant moi. Malheureusement, les sorciers riaient un peu de mon accent, car évidement je suis née a Venise et donc, je garde mes racines. Toutefois, ce qu'ils ne savaient pas s'était que moi je riais de leur accent plus qu'ils en riaient du miens. Ils sont si bizarres. Je pense que la première langue fut l'Italien, pourquoi pas? Bref, nous avions écoutés le long discours ennuyeux du directeur et avions tous mangés comme des boeufs. Moi y comprit. Pour une fois que je trouvais la nourriture délicieuse... C'était un hit !
Enfin, hier soir j'avais été visité la salle commune des Wright qui est annexé a nos chambres. J'avais trouvé cette salle tout a fait chaleureuse! Mamamia... Que s'était relaxant avec ses sofas et cette cheminée tout le feu crépillait de bonheur. Il n'y avait pas beaucoup de bruit, sauf le bourdonnement sourd du silence. C'est fou, mais moi j'ai remarqué cela.
Le silence signifie l'absence de son, mais moi je pouvais prouver le contraire. Faite la petite expérience, mettez vous seul dans une pièce, COMPLÈTEMENT isolé ou tout est fermé chez vous. Écoutez le "silence" et vous en aurez les oreilles qui scillent a vous en percer les tympans. C'est ce qui prouve que le silence n'existe pas! Tout comme les ultra-sons pour chien, on ne les entend pas, mais les chiens l'entendent. Alors qui dit que les animaux n'entendent pas ce "silence" bruiteux?
Bon assez de cette argumentation, passons aux choses sérieuses. J'avais dormit quand même assez bien. Je m'ennuyais de Joana, de Rosela, d'Agostino, de Patrizia et de Serena et j'avais rêver d'eux. Enfin, ce matin je me suis levé les yeux rouges de fatigue par ce long et périlleux voyage. Les gars m'avaient tous regarder croche, mais je m'en fichais. Je m'étais habillé proprement, chemise rouge, pantalon propre noir, soulier assortit au pantalon et une cravate noire. Pourquoi? Et bien majoritairement je m'habille toujours ainsi lorsque j'ai pas cours, question de respect. J'avais été visité l'école en partie. Ensuite sur l'heure du diner je suis été marcher dehors et voir le lac. Il y avait tant de belles femmes, mais le menu n'était fait qu'a regarder. Je ne voulais pas faire mauvaise impression en sautant sur n'importe qui.
Puis, après le souper, j'étais encore seul, je suis parti visité les jardins suspendus. J'en avais entendu parler par un couple plus vieux que moi....
---
Aujourd'hui encore je venais ici. A vrai dire, j'aimais cette endroit. C'était ici que je relaxais et méditais sur les questions existencielles de la vie. Les d'ou venons-nous, qui sommes-nous et ou allons-nous me revenait souvent en tête. C'était vrai ! Personne ne se posait la question aussi souvent que moi, j'étais un philosophe dans l'âme j'en étais persuadé, ou pas. ahah On verra.
Cette soirée était fraiche, je portais encore mon uniforme rouge et or. Évidement, après une journée surchargée comme celle-ci tu pars en courant sans regarder derrière toi vers les jardins suspendus ! Ouii, Michelangelo, ouii, c'est cela.
Je regardais de mes yeux bleus mers le beaux paysage des fleurs, des arbres, des plantes quoi? Je pensais au pourquoi le bleu est bleu et le rouge est rouge, jusqu'a j'entendis des pas derrière moi...
Enfin, hier soir j'avais été visité la salle commune des Wright qui est annexé a nos chambres. J'avais trouvé cette salle tout a fait chaleureuse! Mamamia... Que s'était relaxant avec ses sofas et cette cheminée tout le feu crépillait de bonheur. Il n'y avait pas beaucoup de bruit, sauf le bourdonnement sourd du silence. C'est fou, mais moi j'ai remarqué cela.
Le silence signifie l'absence de son, mais moi je pouvais prouver le contraire. Faite la petite expérience, mettez vous seul dans une pièce, COMPLÈTEMENT isolé ou tout est fermé chez vous. Écoutez le "silence" et vous en aurez les oreilles qui scillent a vous en percer les tympans. C'est ce qui prouve que le silence n'existe pas! Tout comme les ultra-sons pour chien, on ne les entend pas, mais les chiens l'entendent. Alors qui dit que les animaux n'entendent pas ce "silence" bruiteux?
Bon assez de cette argumentation, passons aux choses sérieuses. J'avais dormit quand même assez bien. Je m'ennuyais de Joana, de Rosela, d'Agostino, de Patrizia et de Serena et j'avais rêver d'eux. Enfin, ce matin je me suis levé les yeux rouges de fatigue par ce long et périlleux voyage. Les gars m'avaient tous regarder croche, mais je m'en fichais. Je m'étais habillé proprement, chemise rouge, pantalon propre noir, soulier assortit au pantalon et une cravate noire. Pourquoi? Et bien majoritairement je m'habille toujours ainsi lorsque j'ai pas cours, question de respect. J'avais été visité l'école en partie. Ensuite sur l'heure du diner je suis été marcher dehors et voir le lac. Il y avait tant de belles femmes, mais le menu n'était fait qu'a regarder. Je ne voulais pas faire mauvaise impression en sautant sur n'importe qui.
Puis, après le souper, j'étais encore seul, je suis parti visité les jardins suspendus. J'en avais entendu parler par un couple plus vieux que moi....
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Aujourd'hui encore je venais ici. A vrai dire, j'aimais cette endroit. C'était ici que je relaxais et méditais sur les questions existencielles de la vie. Les d'ou venons-nous, qui sommes-nous et ou allons-nous me revenait souvent en tête. C'était vrai ! Personne ne se posait la question aussi souvent que moi, j'étais un philosophe dans l'âme j'en étais persuadé, ou pas. ahah On verra.
Cette soirée était fraiche, je portais encore mon uniforme rouge et or. Évidement, après une journée surchargée comme celle-ci tu pars en courant sans regarder derrière toi vers les jardins suspendus ! Ouii, Michelangelo, ouii, c'est cela.
Je regardais de mes yeux bleus mers le beaux paysage des fleurs, des arbres, des plantes quoi? Je pensais au pourquoi le bleu est bleu et le rouge est rouge, jusqu'a j'entendis des pas derrière moi...
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Re: Une question existencialiste en attend pas une autre...
Jeu 1 Avr 2010 - 23:03
- J’étais épuisée, fatiguée, voir anéanti. J’étais détruite par la peur, la colère et l’angoisse. Elle était là, tout près de moi. Cependant, les fantômes de mon enfance me hantaient. Sa présence persistait toujours et ne voulait pas me laisser seule. J’ai fait de gros efforts pour me dire qu’elle n’était plus là, mais même si elle était avec moi, j’étais seule depuis le début.
Le visage de Camille, ma sœur cadette assassinée ne cessait de m’apparaître. Durant la nuit, j’entendais ses hurlements et ses pleurs que je chassais inlassablement en chantant une chanson. Quand elle criait, je me battais loin de ses craintes. Je tenais sa main et la conduisait là ou elle devrait aller…
C’est alors que je me suis réveillée brusquement. Le front en sueur, le cœur qui battait si vite que j’aurais cru avoir couru un marathon si je n’avais pas été assise sur le matelas moelleux de mon lit. Paniquée, tout comme rassurée, je passai une main dans mes cheveux longs noirs. Puis j’ai soupiré, soulagé de réalisée que ce n’était qu’un cauchemar.
Revoir ma sœur tout les soirs depuis mon arrivée à Hungcalf devenait pénible à vivre. Je crois qu’elle essayait de me faire passer un message. Un message appuyé sur des images floues ou un courant d’émotions aussi différentes les une que les autres.
Difficilement, je m’étais levée et j’étais allée en cours toute la journée. Mes idées seraient embrouillées par la matière que l’on m’enseignerait aujourd’hui ; je n’aurais donc pas à repenser à ses rêves avant cette nuit. Mais je devinais que mon regard était absent ; j’étais présente de corps, mais pas d’esprit.
Des cernes s’étaient creusés sous mes yeux bleus clairs affichant publiquement mes problèmes de sommeil… Génial Aurore, trahit par ton propre corps…
Distraite, j’avais entendu deux jeunes hommes de ma classe parler d’un jardin. Ou plutôt, des jardins suspendus. Et à les entendre, cet endroit semblait être parfais pour la méditation et la tranquillité. J’en avais plus que besoin !
J’ai donc décidé de venir y faire un tour ce soir là.
Et comme de fait, c’est endroit était magnifique.
J’avais l’impression de me retrouver dans un parc, mais le vent plutôt frais ce soir me rappelait que j’étais sur le toit. Par chance, j’avais pensé amener un coupe vent en plus de mon uniforme traditionnel.
Puis, je sentis que je n’étais pas seule à avoir choisit cet endroit ce soir. Et comme de fait, après avoir fait quelques pas, j’ai découvert un jeune homme qui admirait le paysage. Je ne lui ai accordé aucune attention, je n’ai même pas daigné le regarder. J’ai tout simplement laisser l’indifférence nous entouré et j’ai fermé les yeux, tâchant de me plonger dans mes pensées.
- InvitéInvité
Re: Une question existencialiste en attend pas une autre...
Mar 6 Avr 2010 - 0:22
Le vent balayait mes cheveux sur mes épaules, les étoiles scintillaient dans le ciel et cette jeune femme se posta non-loin de moi. Mes yeux bleu ciel se tournèrent vers elle conhtemplant cette magnifique créature d'une beauté infinie. Elle avait de belles courbes, de beaux atouts, de beaux cheveux noirs, un visage d'une douceur de porcelain et un sacré caractère pour m'ignorer ainsi, moi, ce bel apolon. Je retournais mon regard vers le jardin en pensant a une tactique pour l'attirer vers moi.
*Bonsoir, qui êtes-vous? Moi, c'est Michelangelo... Non trop de base. Il fait froid ce soir, qu'est-ce qu'une belle femme comme vous fait dehors si peu habiller? Il te faut un homme pour te réchauffer... Non trop risqué. Hum...*
- Hum hum, ouais, sa fait du bien de pensé, ici, sa relaxe... A vous voir, vous méditez aussi. C'est bien...
J'avais emprunté l'accent de mon pays, cet accent qu'aucunes femmes jusqu'ici avaient put résister. Cependant, elle ne bronchait même pas.
*Merda*
Je me leva lentement, m'étira et marcha lentement vers elle. Elle ne bougeait toujours pas. Bon passons a la méthode de base.
- Je m'appelle Michelangelo De Luca, et vous charmante demoiselle?
Je montrais ma main, prêt a lui faire un baisemain, mais elle ne bronchait toujours pas. Elle n'a fait que me toiser.
* Perfecto, j'aime les défis*
Je racla ma gorge, me sentant un peu mal de perdre la partie aussi vite et joignit mes deux mains derrières mon dos. Je me posta a ses côtés et nous regardions le jardin, ensemble.
- Vous voyez les fleurs violettes et roses la-bas? A tout les veuilles de pleine lune, elles écloent et brillent intensément. J'ai put m'en rendre compte, puisque je viens tout les soirs ici.
Je lui afficha mon célèbre sourire dentifrice fraicheur, mais elle ne me disait toujours rien.
* Sa annonce rien de bon...*
Je pinça mes lèvres, me balança a l'aide de mes pieds et dit d'un voix un peu plus froide.
-Vous avez une langue ou quoi? Que vous ai-je fais pour que vous ne causez pas?
Je l'a regardait avec des yeux pleins d'espor. Elle allait me répondre c'était sur ou sinon je réussirais a l'a faire parler.
*Bonsoir, qui êtes-vous? Moi, c'est Michelangelo... Non trop de base. Il fait froid ce soir, qu'est-ce qu'une belle femme comme vous fait dehors si peu habiller? Il te faut un homme pour te réchauffer... Non trop risqué. Hum...*
- Hum hum, ouais, sa fait du bien de pensé, ici, sa relaxe... A vous voir, vous méditez aussi. C'est bien...
J'avais emprunté l'accent de mon pays, cet accent qu'aucunes femmes jusqu'ici avaient put résister. Cependant, elle ne bronchait même pas.
*Merda*
Je me leva lentement, m'étira et marcha lentement vers elle. Elle ne bougeait toujours pas. Bon passons a la méthode de base.
- Je m'appelle Michelangelo De Luca, et vous charmante demoiselle?
Je montrais ma main, prêt a lui faire un baisemain, mais elle ne bronchait toujours pas. Elle n'a fait que me toiser.
* Perfecto, j'aime les défis*
Je racla ma gorge, me sentant un peu mal de perdre la partie aussi vite et joignit mes deux mains derrières mon dos. Je me posta a ses côtés et nous regardions le jardin, ensemble.
- Vous voyez les fleurs violettes et roses la-bas? A tout les veuilles de pleine lune, elles écloent et brillent intensément. J'ai put m'en rendre compte, puisque je viens tout les soirs ici.
Je lui afficha mon célèbre sourire dentifrice fraicheur, mais elle ne me disait toujours rien.
* Sa annonce rien de bon...*
Je pinça mes lèvres, me balança a l'aide de mes pieds et dit d'un voix un peu plus froide.
-Vous avez une langue ou quoi? Que vous ai-je fais pour que vous ne causez pas?
Je l'a regardait avec des yeux pleins d'espor. Elle allait me répondre c'était sur ou sinon je réussirais a l'a faire parler.
- InvitéInvité
Re: Une question existencialiste en attend pas une autre...
Mar 6 Avr 2010 - 17:11
Je n'étais pas du tout emballée par la présence de ce jeune homme. J'avais d'ailleurs immédiatement reconnu une tactique de drague dans les paroles douces qu'il m'avait adressé. J'ai perçu à son accent qu'il n'était pas plus anglais que moi. Mais je ne ne lui répondis rien, puisque je tâchais tant bien que mal à comprendre les messages que Camille m'avait envoyé la nuit précédente. Sauf que la présence de mon voisin se voulait insistante d'autant plus qu'il continuait à patauger dans les eaux de ma patiente. Je fronçai les sourcils puisque je sentis sa présence se rapprocher de moi, chose que je n'aimais pas vraiment...
- Hum hum, ouais, sa fait du bien de pensé, ici, sa relaxe... A vous voir, vous méditez aussi. C'est bien...
Je dissimulai un sourire niais sous mes longues boucles noire. Il essayait par tout les moyens de me faire parler. Et il n'y parviendrais pas sans plus grands efforts, parce que j'étais la reine du silence. Je préférais en effet discuter avec mon âme puisqu'elle me comprenait mieux que celle des autres mortels.
Je tentai de couper les ponts avec la réalité pour plonger complétement dans mon âme, mais le jeune Italien (à en entendre par son accent) persistait à vouloir me parler. Il s,était présenté et m'avait présenté sa main si je me fiais sur le vent qui avait caresser ma peau. J'ai ouvert les yeux et malgré le magnifique sourire qu'il m'offrait, je le toisai indifférente avant de plonger de nouveau dans mes pensées, fixant une fleur.
Il était venu me rejoindre et fixait les fleurs en ma compagnie (décidément, il n'abandonnerait jamais). Il m'expliqua ensuite certaines choses sur les fleurs du jardin. Mais je n'y fit pas attention, puisque j'espérais que mon indifférence le fasse partir. Il continuait de me présenter ses dents, et je continuais de l'ignorer. Sauf que sa dernière remarqua m'arracha malgré moi un sourire amusée. Du coup, j'ai tournée ma tête, mes longs cheveux se laissait bercer par le vent.
Je lui ai sourire et je lui répondu :
- Oui, j'en ai une mais je ne vois pas la nécessitée de l'utiliser pour le moment.
Je lui ai laissé le temps d'admirer mes yeux clairs avant de tourner de nouveau la figure vers l'horizon, à présent trop dérangée pour plonger dans mes pensées.
- Hum hum, ouais, sa fait du bien de pensé, ici, sa relaxe... A vous voir, vous méditez aussi. C'est bien...
Je dissimulai un sourire niais sous mes longues boucles noire. Il essayait par tout les moyens de me faire parler. Et il n'y parviendrais pas sans plus grands efforts, parce que j'étais la reine du silence. Je préférais en effet discuter avec mon âme puisqu'elle me comprenait mieux que celle des autres mortels.
Je tentai de couper les ponts avec la réalité pour plonger complétement dans mon âme, mais le jeune Italien (à en entendre par son accent) persistait à vouloir me parler. Il s,était présenté et m'avait présenté sa main si je me fiais sur le vent qui avait caresser ma peau. J'ai ouvert les yeux et malgré le magnifique sourire qu'il m'offrait, je le toisai indifférente avant de plonger de nouveau dans mes pensées, fixant une fleur.
Il était venu me rejoindre et fixait les fleurs en ma compagnie (décidément, il n'abandonnerait jamais). Il m'expliqua ensuite certaines choses sur les fleurs du jardin. Mais je n'y fit pas attention, puisque j'espérais que mon indifférence le fasse partir. Il continuait de me présenter ses dents, et je continuais de l'ignorer. Sauf que sa dernière remarqua m'arracha malgré moi un sourire amusée. Du coup, j'ai tournée ma tête, mes longs cheveux se laissait bercer par le vent.
Je lui ai sourire et je lui répondu :
- Oui, j'en ai une mais je ne vois pas la nécessitée de l'utiliser pour le moment.
Je lui ai laissé le temps d'admirer mes yeux clairs avant de tourner de nouveau la figure vers l'horizon, à présent trop dérangée pour plonger dans mes pensées.
- InvitéInvité
Re: Une question existencialiste en attend pas une autre...
Mar 13 Avr 2010 - 0:15
Aïe ! Une gifle en pleine face aurait été beaucoup moins douloureuse. Elle venait non seulement de me dire qu'elle ne trouvait aucun moyen d'utiliser sa langue, mais elle avait dit dans une seule phrase qu'elle n'avait aucun gout de me parler. Sérieusement, ma confiance en moi venait de rétrograder. Il ne faut pas jouer avec le feu me disait souvent papa. Cette fois seulement je lui donnerai raison, mais le grand Michelangelo De Luca n'allait surtout pas lâcher sa proie aussi facilement.
Alors, j'enroula mon bras autour de sa taille, l'approcha très près de moi et lui dit d'une voix sensuel:
- Alors utilise là pour quelque chose d'autre.
Erreur monumental, elle m'envoya un poing en plein figure et partie rapidement. Aïe, aïe, aïe ! Que de douleur. Je décida de la rattrapper. Alors j'accourus vers elle, sans savoir pourquoi je voulais autant cette femme prêt de moi ( c'était comme-ci....non je ne pouvais pas avoir eu un coup de foudre, je suis le grand apolon...) bref, sa gifle avait éveiller en moi quelque chose que je n'avais pas ressentit depuis longtemps. Je l'attrapa par la main et alors qu'elle allait me lancer un autre poing dans la tronche, je l'a retint.
Elle rageait et moi je l'observais sérieusement en l'a suppliant d'attendre quelque secondes. Nous nous regardions droit dans les yeux pendant cinq secondes, oui je l'ai ai compter, ses yeux me retenaient prisonnier. Je l'a relâcha doucement et lui dit d'une voix sincère:
-Allez chérie, je t'en prie, pardonne moi. Je.... Je n'ai pas voulu.... Je... Je ne connais personne ici, je viens de venise et je voudrais de connaitre. Fait au moins un effort.
Je ravala ma salive et conclua:
- Je t'en prie...
Mes yeux bleus s'enfonca dans la noirceur des siens. Elle était si mystérieuse et sans savoir pourquoi, je voulais percer ce mystère.
Alors, j'enroula mon bras autour de sa taille, l'approcha très près de moi et lui dit d'une voix sensuel:
- Alors utilise là pour quelque chose d'autre.
Erreur monumental, elle m'envoya un poing en plein figure et partie rapidement. Aïe, aïe, aïe ! Que de douleur. Je décida de la rattrapper. Alors j'accourus vers elle, sans savoir pourquoi je voulais autant cette femme prêt de moi ( c'était comme-ci....non je ne pouvais pas avoir eu un coup de foudre, je suis le grand apolon...) bref, sa gifle avait éveiller en moi quelque chose que je n'avais pas ressentit depuis longtemps. Je l'attrapa par la main et alors qu'elle allait me lancer un autre poing dans la tronche, je l'a retint.
Elle rageait et moi je l'observais sérieusement en l'a suppliant d'attendre quelque secondes. Nous nous regardions droit dans les yeux pendant cinq secondes, oui je l'ai ai compter, ses yeux me retenaient prisonnier. Je l'a relâcha doucement et lui dit d'une voix sincère:
-Allez chérie, je t'en prie, pardonne moi. Je.... Je n'ai pas voulu.... Je... Je ne connais personne ici, je viens de venise et je voudrais de connaitre. Fait au moins un effort.
Je ravala ma salive et conclua:
- Je t'en prie...
Mes yeux bleus s'enfonca dans la noirceur des siens. Elle était si mystérieuse et sans savoir pourquoi, je voulais percer ce mystère.
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Re: Une question existencialiste en attend pas une autre...
Lun 19 Avr 2010 - 22:36
Nous avions échangé un bref regard- froid quant au mien alors que le sien était illuminé d’une flamme provocante, mais enveloppante – et j’ai détourné les yeux tout en me plongeant de nouveau dans de profondes réflexions. Mais son attitude se voulait insistante ; j’ai rapidement deviné que je ne pourrais pas me pencher davantage sur mes questions. Précipitamment, il m’a attrapé par la taille et a rapproché nos corps. Le jeune homme m’a ensuite demandé d’utiliser ma langue d’une autre façon.
Quel culot ! D’abord, je ne le connaissais même pas et – et je n’en avais aucun envie – et il osait me parler comme ça. Ensuite, un tel rapprochement intime doit se faire dans le consentement. J’ai froncé les sourcils. Je me suis alors mise à bouillir de rage. J’étais provoquée et insultée par le geste posé de cet étranger.
Mon poing s’est resserré et il a tremblé Je l’ai levé et il s’est écrasé contre le visage de jeune homme. J’ai senti son nez craqué, mais j’étais déçue de ne pas l’avoir cassé. Néanmoins l’impacte avait été suffisamment puissant pour le faire lâcher prise.
- Non mais pour qui tu te prends ?! Me suis-je exclamée. Gros imbécile, ai-je ajouté en français avant de quitter la scène d’un pas rapide
Pas question de m’éterniser à. Mais je ne voulais pas attirer l’attention alors je n’ai pas couru et je n’ai pas crié non plus.
J’allais quitter ce jardin et regagner ma salle commune en oubliant tout ça.
J’étais tellement embrouillée par les tourbillons de fureur dans ma tête que je ne l’ai pas entendu approcher de nouveau. Il m’avait rattrapé et avait saisi mon bras de manière si inattendu que lorsque je me suis retournée, mon poing s’était de nouveau levé, près a frapper. Il l’a arrêté sans effort.
De nouveau, nos regards se sont croisés. Et malgré la rage qui m’habitait, j’ai senti une vague de clémence m’envahir doucement. J’ai donc baisé mon poing en même temps qu’il me relâchait. Je sentais ses yeux prisonniers de mon emprise…
Il s’est alors exprimer d’une façon sincère, ce qui m’a de nouveau adoucit. Mais je n’aimais pas qu’il m’appelle chéri, j’ai donc grimacé, sans plus.
Nos yeux ne se quittèrent pas. J’aurais bien voulu les faire glisser et ainsi perdre l’emprise que j’avais sur lui, mais j’en étais incapable. Une intuition me poussait à soutenir son regard de braise.
Mes airs sauvages sont adoucis, mon visage s’est alors affiché sous ses airs doux et joyeux. Mes lèvres se sont étirées, laissant place à mes dents. J’ai finalement baisé les yeux et je lui ai dit :
- J’adore l’acharnement que tu as… Michelangelo. On ne rencontre pas toujours des hommes avec autant d’audace…
Quel culot ! D’abord, je ne le connaissais même pas et – et je n’en avais aucun envie – et il osait me parler comme ça. Ensuite, un tel rapprochement intime doit se faire dans le consentement. J’ai froncé les sourcils. Je me suis alors mise à bouillir de rage. J’étais provoquée et insultée par le geste posé de cet étranger.
Mon poing s’est resserré et il a tremblé Je l’ai levé et il s’est écrasé contre le visage de jeune homme. J’ai senti son nez craqué, mais j’étais déçue de ne pas l’avoir cassé. Néanmoins l’impacte avait été suffisamment puissant pour le faire lâcher prise.
- Non mais pour qui tu te prends ?! Me suis-je exclamée. Gros imbécile, ai-je ajouté en français avant de quitter la scène d’un pas rapide
Pas question de m’éterniser à. Mais je ne voulais pas attirer l’attention alors je n’ai pas couru et je n’ai pas crié non plus.
J’allais quitter ce jardin et regagner ma salle commune en oubliant tout ça.
J’étais tellement embrouillée par les tourbillons de fureur dans ma tête que je ne l’ai pas entendu approcher de nouveau. Il m’avait rattrapé et avait saisi mon bras de manière si inattendu que lorsque je me suis retournée, mon poing s’était de nouveau levé, près a frapper. Il l’a arrêté sans effort.
De nouveau, nos regards se sont croisés. Et malgré la rage qui m’habitait, j’ai senti une vague de clémence m’envahir doucement. J’ai donc baisé mon poing en même temps qu’il me relâchait. Je sentais ses yeux prisonniers de mon emprise…
Il s’est alors exprimer d’une façon sincère, ce qui m’a de nouveau adoucit. Mais je n’aimais pas qu’il m’appelle chéri, j’ai donc grimacé, sans plus.
Nos yeux ne se quittèrent pas. J’aurais bien voulu les faire glisser et ainsi perdre l’emprise que j’avais sur lui, mais j’en étais incapable. Une intuition me poussait à soutenir son regard de braise.
Mes airs sauvages sont adoucis, mon visage s’est alors affiché sous ses airs doux et joyeux. Mes lèvres se sont étirées, laissant place à mes dents. J’ai finalement baisé les yeux et je lui ai dit :
- J’adore l’acharnement que tu as… Michelangelo. On ne rencontre pas toujours des hommes avec autant d’audace…
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