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You can be so cruel, I like it ~ Octave
Ven 30 Avr 2021 - 22:48
You can be so cruel, I like it
Elle était assise sur une chaise prise au hasard à une fille de seconde année, elle n’en n’avait rien à faire des reproches que lui lançait cette dite élève. Elle avait traîné la chaise tout le long du niveau inférieur. Elle ne se préoccupait en rien du bruit que le bois pouvait faire sur le sol, elle n’avait que faire des regards interrogateurs des étudiants. Elle marchait en regardant droit devant elle, jusqu’à arriver devant l’ancienne salle de torture. Ce couloir était très peu fréquenté, les ondes de la pièce aujourd’hui condamnée ne plaisait pas aux passants, une ambiance de mort et une odeur de moisissure régnait tout autour de cette zone. L’air était froid, silencieux, glaçant, parfait pour Freyja qui n’avait aucunement envie d’être vue ici accompagnée de ce pauvre étudiant de sixième année qui était dans l’incapacité de bouger. Avec un bruit sourd, elle posa sa chaise en face de l’homme qui la suppliait du regard. La suédoise le contempla un instant, bascula sa tête de droite à gauche, puis de gauche à droite. Elle se demanda en premier lieu, comment elle allait procéder. Du pouce, elle caressa sa lèvre inferieur toujours perdue dans ses sombres pensées. « Par quoi vais-je commencer » Elle prit en main sa baguette et laissa le bois frotter les habits de son prisonnier, cette question était plus pour elle que pour l’homme au sol, tremblant et pleins de sueur. « Il semblerait… » La blonde laissa sa phrase en suspens, laissant son geste remonter de son ventre jusqu’à son menton, « Que tu aies fait souffrir ma sœur… » Son regard azur rencontra celui de son appât, un marron perçant. « Sache qu’à l’avenir, on ne touche pas à ma famille ». Son regard transperça le siens, elle était calme, son geste était mesuré et de sa baguette, elle pointa le poignet du pokeby « Diffindo » Le jeune homme mima la douleur mais aucun son ne sortait de sa bouche, le sortilège du bloclang fonctionnait à merveilles. Le sourire de la Summerbee fit pâlir le violet. Qu’avait-elle en tête ? Il ne voulait pas mourir, il ne voulait pas souffrir, et à en juger par la satisfaction de son bourreau, elle n’allait pas en finir avec lui. Elle se redressa et garda son air satisfait « ça fait mal n’est-ce pas ? »,du sang coula de l'entaille effectuée plus tôt par Freyja. il était dans l’incapacité de lui répondre, s’il en avait la possibilité, il n’aurait pas pris le risque de dire quoi que ce soit, il n’était pas en position pour. Elle croisa les bras, « Je vais bien m’amuser ».
(c) princessecapricieuse
@Octave Muller
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Re: You can be so cruel, I like it ~ Octave
Sam 1 Mai 2021 - 1:16
You can be so cruel, I like it ft. @Freyja DalgaardSanctuaire à l’atmosphère aussi sombre et silencieuse qu’un tombeau, la salle de Potions n’abrite en son sein qu’un seul élève, habité des lieux depuis des années. C’est ici qu’il vient se perdre entre deux cours, n’éprouvant nullement le besoin de se confronter aux normes sociales qui lui imposent de converser avec ses camarades autour d’un déjeuner ou d’un encas. Ragots, rumeurs et autres indélicatesses sont le centre de ces commérages qui n’ont pour Octave qu’une importance minime. Il préfère donner plus de valeur à ce qu’il intercepte dans le cerveau des gens plutôt qu’à leurs paroles qui, somme toute, n’ont pas le moindre sens en règle générale. Si le Muller devait raconter sa vie, beaucoup de ses histoires commenceraient par ledit sanctuaire où il y trouve calme, repos et sérénité. Cela quand on décide de ne pas le déranger avec une explosion, des bavardages ou une préparation de cours. Il attend de cette heure qu’elle ne soit pas différente des autres qu’il a pu passer ici auparavant, mais c’est sans compter les loisirs de ses camarades.
Il entend bientôt un son étrange et continu, comme un objet qu’on racle sur le sol ou fait traîner derrière soi. Intérieurement, Octave supplie de ne pas être dérangé et le bruit s’arrête un peu avant la porte de la salle de Potions, à moitié entrouverte. Une voix se fait alors entendre, bien distincte et posée, qu’il ne tarde pas à reconnaître. Que fait donc Freyja dans le niveau inférieur ? Le Grymm tend l’oreille et les paroles qu’il interceptent ne sont que celles de la jeune femme, dont les propos sortis de leur contexte semblent particulièrement incohérent. Il n’en faut pas plus pour qu’Octave quitte sa table de travail ainsi que ses livres pour rejoindre l’embrasure de la porte. Un coup d’œil rapide lui permet de visualiser la scène qui se déroule dans le couloir, près de la salle de torture. La dragonne et sa victime, paralysée par la peur et soumise à un sort lui empêchant de prononcer la moindre plainte.
Ingénieux, pense-t-il aussitôt, alors qu’elle lui entaille la peau et que le sang vient tâcher les vêtements de l’élève imprudent. S’en prendre aux Dalgaard, c’est se mettre dans de mauvaises dispositions avec Freyja et tout le monde sait cela - comme tout le monde sait que toucher à Lilith équivaut à se mettre Octave à dos, si ce n’est pas déjà naturellement le cas. Ce dernier la laisse effectuer son petit tour et le sourire de satisfaction sur ses lèvres provoque le sien en retour. Son petit jeu semble passionnant et il finit par l’interrompre en ouvrant silencieusement la porte pour apparaître derrière la Summerbee.
“On s’adonne à son sport favori à ce que je vois ? Qu’a-t-il pu bien te faire pour mériter tel châtiment ?” Le regard de la pauvre victime sur lui n’est que supplication car sûrement espère-t-il recevoir de sa part une quelconque aide. Mais c’est bien mal connaître Octave, qui n’est qu’un grand coutumier de cet exercice passionnant. Et s’il ne l’a pas encore reconnu, cela ne devrait pas tarder.
“Puis-je me joindre à toi ? C’est bien plus amusant à deux.”
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Re: You can be so cruel, I like it ~ Octave
Mar 11 Mai 2021 - 22:14
You can be so cruel, I like it
Elle mordilla la pointe de sa langue, elle ne pouvait garder sa satisfaction de voir sa victime souffrir, elle regarda le corps du jeune homme, elle était comme une prédatrice guidant sa proie, cherchant un endroit précis où mordre pour le neutraliser et en finir. Mais elle n’était pas à ce stade, elle allait le laisser vivre, en tout cas suffisamment pour qu’il comprenne. Elle passa son index sur la plaie béante et appuya dessus sans ménagement, le visage de la victime se crispa de douleur, elle regarda longuement, sourire aux lèvres. Cela faisait bien des années qu’elle n’avait pas fait cela, elle n’irait pas à dire que cela lui manquait, mais elle y prenait un certain plaisir.
Une voix l’interrompit cependant dans son geste, le regard de l’étudiant devenait suppliant, elle roula des yeux accompagner d’un soupir. Qu’est-ce qu’il croyait après tout, elle avait reconnu la voix du curieux derrière elle et ce n’est pas lui qui le sauvera, elle en était certaine. Elle se retourna et pointa la victime de sa baguette sans le regarder « Cet insecte a eu la brillante idée de faire miroiter à ma petite sœur qu’il avait des sentiments pour elle ». Elle s’interrompit et regarda le grymm d’un air exaspéré « Il n’avait pas pensé que j’allais lui tomber dessus », ses paroles prononcées était une voix calme, paisible, « Il avait probablement pensé, que je plaisantais ». Elle se mit de nouveau dans le sens de l’étudiant et secoua la tête « Tu sauras à l’avenir, que l'humour n'est pas ce qui ressort le plus chez moi ». Elle se baissa vers lui pour lui chuchoter « Surtout lorsque cela concerne ma famille » De sa baguette, elle releva un pan de son pantalon pour faire apparaître sa cheville et prononça le même sort, infligée la même blessure, plus profondément avant de s’interrompre et de se retourner, « ça faisait longtemps que je n’avais pas fait cela, tu en fait ce que tu veux » Elle lui fît un geste d’approcher et pointe du doigt le jeune homme comme s’il n’était rien d’important sur terre, un simple objet. Elle était certaine qu’il aura d’autres moyen de faire mal, d’autres idées pour jouer avec lui, le rendre mal, l’abîmer rien qu’un peu, suffisamment jusqu’à obtenir satisfaction, mais la trouvera-t-elle ?
Une voix l’interrompit cependant dans son geste, le regard de l’étudiant devenait suppliant, elle roula des yeux accompagner d’un soupir. Qu’est-ce qu’il croyait après tout, elle avait reconnu la voix du curieux derrière elle et ce n’est pas lui qui le sauvera, elle en était certaine. Elle se retourna et pointa la victime de sa baguette sans le regarder « Cet insecte a eu la brillante idée de faire miroiter à ma petite sœur qu’il avait des sentiments pour elle ». Elle s’interrompit et regarda le grymm d’un air exaspéré « Il n’avait pas pensé que j’allais lui tomber dessus », ses paroles prononcées était une voix calme, paisible, « Il avait probablement pensé, que je plaisantais ». Elle se mit de nouveau dans le sens de l’étudiant et secoua la tête « Tu sauras à l’avenir, que l'humour n'est pas ce qui ressort le plus chez moi ». Elle se baissa vers lui pour lui chuchoter « Surtout lorsque cela concerne ma famille » De sa baguette, elle releva un pan de son pantalon pour faire apparaître sa cheville et prononça le même sort, infligée la même blessure, plus profondément avant de s’interrompre et de se retourner, « ça faisait longtemps que je n’avais pas fait cela, tu en fait ce que tu veux » Elle lui fît un geste d’approcher et pointe du doigt le jeune homme comme s’il n’était rien d’important sur terre, un simple objet. Elle était certaine qu’il aura d’autres moyen de faire mal, d’autres idées pour jouer avec lui, le rendre mal, l’abîmer rien qu’un peu, suffisamment jusqu’à obtenir satisfaction, mais la trouvera-t-elle ?
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Re: You can be so cruel, I like it ~ Octave
Dim 16 Mai 2021 - 15:58
You can be so cruel, I like it ft. @Freyja DalgaardIl est toujours intéressant de voir faire les autres. Il y a toujours des choses à apprendre des erreurs ou des tentatives d’autrui. Il en va de même pour la torture. Les idées d’Octave à ce sujet peuvent être nombreuses, mais c’est l’un des rares sujets pour lesquels il apprécie un avis extérieur. Celui de Freyja n’est clairement pas à renier car sa base est plutôt solide, il a pu le constater depuis qu’elle a fait son apparition dans le couloir. Après l’avoir regardé faire un petit moment et avoir jugé son style, le Muller finit par sortir de l’ombre et la rejoindre. Le ton de sa voix et le sens de ses paroles met tout de suite un terme aux espoirs de la victime, qui pensait sûrement voir en lui un sauveur inopiné. Si seulement il avait conscience de la galère dans laquelle il s’est embarqué en s’en prenant à une Dalgaard… Octave est d’ailleurs curieux de connaître la raison de ce châtiment, même s’il ne doute pas de sa validité. Et puis, y a-t-il nécessairement besoin d’une bonne raison pour faire mal aux autres ? Les tester, eux et leur endurance à la douleur ? C’est un service rendu. Le manque d’humanité dans la voix de Freyja ne fait qu’émoustiller son intérêt et il jette un regard sur le sorcier. Un rictus se forme sur son visage alors qu’il apprend toute l’histoire.
“Ce n’est pas faute de les prévenir. Mais c’est comme s’ils cherchaient à se faire punir. Peut-être qu’en fin de compte, ce châtiment lui fait plaisir…” Il se penche à son tour vers le jeune homme, un air sadique dans le regard car il sait pertinemment que ce dernier, bâillonné par un sort, n’est pas en mesure de contredire ses propos. Ils peuvent donc en faire ce qu’ils veulent, ce qui est très tentant et intéressant à la fois. Octave en vient à espérer qu’elle le laissera participer aux festivités et la réponse ne se fait pas attendre. Il a le feu vert. Carte blanche.
“Ravi de voir que tu redécouvres le plaisir d’une activité sous-considérée.” Octave ne parle pas torture avec beaucoup de personnes. En réalité, rares sont celles qui savent qu’il la pratique vraiment - d’autres ne font que le supposer ou faire courir la rumeur. Après aujourd’hui, la rumeur pourra s’avérer fondée de bout en bout ! Avec un témoin. Quoiqu’il serait facile de démentir…
“Pourquoi as-tu fait croire cela, hun ? Est-ce que c’était le seul moyen de t’en approcher ? Ou est-ce qu’en fin de compte, tu n’aimerais pas un peu trop qu’on te fasse du mal ?” C’est à son tour de sortir sa baguette mais il ne s’en sert pas tout de suite. Le Muller fixe du regard l’autre sorcier et vu son état émotionnel, il n’est guère difficile pour lui d’entrer dans sa tête. Accablé par la douleur, ses peurs viennent sauter à la figure d’Octave, qui n’a aucun mal à trouver celle qui le terrifie plus que toutes les autres. De quoi s’amuser un petit peu… Le contact n’est guère long et il se recule légèrement après cela.
“Serpensortia” en quelques secondes, un long et fin serpent sort de la baguette du Muller pour venir se glisser sur le corps du sorcier ligoté, qui gigote et hurle silencieusement de peur. Pourquoi ont-ils tous cette grande peur des serpents ? Il l’ignore, mais le voir convulser d’horreur est plutôt amusant à avoir. Surtout que le serpent en question n’est en rien une menace, pas même venimeux. “Regarde-le, n’est-ce pas satisfaisant ?” Il ne lui dira pas comment il a su que le reptile aurait un tel effet sur sa victime, ils ne sont pas si proches non plus…
- InvitéInvité
Re: You can be so cruel, I like it ~ Octave
Mer 19 Mai 2021 - 12:40
You can be so cruel, I like it
Elle resta silencieuse, en qualité d’observatrice cette fois, elle laissa faire le Muller, plus expérimenté là-dessus par rapport à elle. Freyja avait probablement perdu la main, cela faisait des années qu’elle n’avait plus pratiqué cette méthode de torture, il y avait un moment qu’elle n’avait pas atteint une telle colère. Faut dire que voir sa sœur débarquer en pleine nuit, en pleur, sanglot, prise de tristesse et de déception, n’ont été que la goutte d’eau. Faut dire que la danoise avait atteint le seuil, le départ de Cygnus suivi de près par Jake, lui ont confirmé qu’elle n’est pas faite pour l’amour, les sentiments. Elle ne s’écoutait plus et cet étudiant en était la preuve, elle ne retenait plus ses vieux démons du passé. Ses sœurs en ont été témoins à Poudlard, elle était discrète mais redoutable, sa réputation la précédait, personne s’en prenait à sa famille.
Octave avait plus de pratique en la matière, c’est pourquoi elle le laissa faire. Elle était curieuse de savoir ce qu’il allait en faire de ce petit insecte. Elle connaissait le sort utilisé par le Grymm et son sourire en disait long sur la satisfaction qu’elle éprouve en voyant le regard de sa victime. La peur se lit dans son regard, son corps tremble de tout son être, elle bascula sa tête de côté et pris seulement maintenant la parole, d’une voix plus basse accompagné d’un sourire satisfait « Mes sœurs m’avaient demandé d’arrêter cette pratique » Et comme il pouvait l’imaginer, Freyja ne voulait en aucun cas décevoir ses sœurs….jusqu’à ce soir. Klara l’avait deviné dès le moment où elle s’était écartée d’elle pour sortir. Elle était allée directement chercher l’homme en question dans le but de lui faire du mal. « Ton serpent à l’air de lui faire de l’effet » Les tremblements du sorcier s’intensifie alors que l’animal s’approchait de son visage, de son oreille. « Pauvre de lui » Il n’y avait aucune pitié dans cette remarque, une pointe de dédain. De la pointe de sa baguette, elle ouvra la main de l’étudiant et posa sa baguette sur la paume « Je ne ferais plus jamais de mal à une femme ». Sa voix était douce, calme, posée, mesurée, la phrase s’inscris doucement sur la peau laissant une plaie à vif. « A nous deux, nous allons en tirer peut-être quelque chose », elle adresse un regard à Octave accompagné d’un sourire.
Octave avait plus de pratique en la matière, c’est pourquoi elle le laissa faire. Elle était curieuse de savoir ce qu’il allait en faire de ce petit insecte. Elle connaissait le sort utilisé par le Grymm et son sourire en disait long sur la satisfaction qu’elle éprouve en voyant le regard de sa victime. La peur se lit dans son regard, son corps tremble de tout son être, elle bascula sa tête de côté et pris seulement maintenant la parole, d’une voix plus basse accompagné d’un sourire satisfait « Mes sœurs m’avaient demandé d’arrêter cette pratique » Et comme il pouvait l’imaginer, Freyja ne voulait en aucun cas décevoir ses sœurs….jusqu’à ce soir. Klara l’avait deviné dès le moment où elle s’était écartée d’elle pour sortir. Elle était allée directement chercher l’homme en question dans le but de lui faire du mal. « Ton serpent à l’air de lui faire de l’effet » Les tremblements du sorcier s’intensifie alors que l’animal s’approchait de son visage, de son oreille. « Pauvre de lui » Il n’y avait aucune pitié dans cette remarque, une pointe de dédain. De la pointe de sa baguette, elle ouvra la main de l’étudiant et posa sa baguette sur la paume « Je ne ferais plus jamais de mal à une femme ». Sa voix était douce, calme, posée, mesurée, la phrase s’inscris doucement sur la peau laissant une plaie à vif. « A nous deux, nous allons en tirer peut-être quelque chose », elle adresse un regard à Octave accompagné d’un sourire.
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@Octave Muller