- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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[célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Dim 9 Avr 2023 - 14:29
Têtue, Cataleya l'était jusqu'au bout des griffes, mais jamais son mentor ne s'était laissé intimider par son si bleu regard qu'il aurait pu l'entraîner dans des profondeurs insondables et l'y noyer. Non. Aussi terrible sifflait-elle, aussi sauvage abattait-elle ses mains sur la table, ses cris glissait toujours sur cet iceberg et se perdait dans le vent. Il gagnait toujours cette bataille de regard, ou du moins trop souvent, et c'était le port de tête désespérément haut qu'elle avait accepté de laisser filer cette soirée qu'elle idolâtrait pour assumer jusqu'au bout ses idées. Adieu piste de danse, bonjour service au bar.
Elle avait prétendu vouloir faire comme les petites gens, gagner sa croûte à la sueur de son front, et s'était faite étonnamment solaire, là, à la caisse. Merci maman de lui avoir apprit l'hypocrisie et à sourire si joliment lorsqu'elle était contrariée. Et puis, elle avait comprit qu'elle avait raté sa vocation lorsque l'un des magimixologue lui avait proposé de lui montrer comment réaliser quelques cocktails facile, elle qui s'était par trois fois venté d'être une potionniste de talent. Et Circée en soit témoin, ce premier verre réalisé avait tant nourrit sa folie créative que, depuis, elle rayonnait tout bonnement.
Noblement tenue dans cette robe aux accents de sirène, la peau irisée sous de discrètes paillettes bleuté, c'est une bien belle Néréide qui enchante depuis des heures déjà les verres alignés sur le bar. Elle se laisse aller à rire ainsi couronnée de perle et coquillage, quand bien même le rythme n'est pas toujours facile à tenir, quand bien même il y a quelques visages connus qui s'effondrent parfois non loin de sa baguette, mais la simple vision de quelques convives lévitant tout près d'elle lui arrache cet air trop malicieux. Divin, en dépit du fait que les vapeurs et la courses on finit par défaire quelque peu sa rousse chevelure. Une mèche ondule étrangement sur son crâne, antenne satellite tordue qui se balance inlassablement durant ses échanges, et plusieurs de ses tresses perlé de nacre se sont défaites à force de courir, mais jamais elle ne s'est faite aussi belle qu'amourachée des jeux de lumières qui se reflète sur sa peau. Qu'en pinçant, à la manière d'une enfant, la paille de son sirop de rose lorsqu'elle daignait enfin reprendre son souffle. Mais voilà, si elle s'était clairement échinée à ne pas la servir elle-même, il y a bien cette ombre qui se profilait sur son tableau et qui tombait en décrépitude au gré des heures.
La vision d'un Miguel ivre tenait du surréaliste, lui qui tenait pourtant si bien ses soirées, et si Cataleya s'était tout d'abord contenté d'un levé de sourcil circonspect, c'était mi inquiète, mi désespérée qu'elle le contemplait maintenant s'écrouler devant elle. Il avait déjà abandonné son portable sur le comptoir plus tôt dans la soirée, était à deux doigts de perdre sa baguette, et si Cataleya ne comprenait pas tout à fait à quel jeu il jouait à mi chemin entre pseudo discrétion et grotesque, c'est dans un soupire las qu'elle finit par largement se pencher sur le comptoir pour rattraper la baguette qui menaçait dangereusement de tomber. Faute de poche, elle la noue là, au cœur d'un chignon prestement fait, avec sa propre baguette. Il était hors de question de la lui rendre tant qu'il n'aurait pas dessaouler. Faisant fi de toute protestation, elle claque un virgin mojito devant lui et croise les bras sur le bar pour le coincer sous ses grands yeux bleu.
-Qu'est-ce qui te chagrine Miguelito ? A cette heure ci tu devrais être au cou d'une jolie brune. Si le ton se fait constant, refusant de plier sous une image qu'il lui déplaît un peu, avouons le, la voix se fait étonnamment douce. D'un geste gracile, Cataleya plante une paille et ramène doucement le mojito sans alcool à ses lèvres, puisqu'elle s'était surpassée en cette étrange soirée et méritait bien plus qu'un sirop à l'eau.
En plus les grymm ont fait une chouette saison, c'est de fierté dont tu devrais être ivre ! Elle le pensait, même si pour la première fois depuis l'entame de sa scolarité elle avait quitté son écharpe des grymms pour celle des summerbees la dernière fois qu'elle était venu le voir jouer. Question de principe.
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mar 11 Avr 2023 - 21:15
Il avait bu. Beaucoup trop bu. Et pour une fois, ce n’était pas à cause d’Esther… Sa jumelle astrologique avait pour habitude d’un peu trop charger ses verres mais cette fois-ci, il était le seul responsable de l’affreuse gueule de bois qu’il étrennerait demain matin. Et de tout ce qui pourrait se passer de bon et de moins bon d’ici là.
Depuis sa première année à Hungcalf, le madrilène avait été plus que séduit par la célébration de la licorne. Surtout par tout ce qu’elle pouvait représenter après vingt et une heure. Très peu pour lui les chasses à la licorne et les concours de chiffons. Quoi que cette année, il adorait celui qu’Esther avait trouvé. Et même s’il avait hérité du panneau « reality » (il avait jamais été très bon à pierre-feuille-ciseau), il se trouvait canon dans son costume trois pièce. Même Evan aurait été fier de lui.
Dans ce genre de soirée, son truc c’était de se caler au barre, de boire des pintes et quelques shoot et de causer avec quelques potes ou de draguer la barmaid. Sauf qu’il avait pas prévu que Cataleya Blackthorn soit celle qui oeuvrerait, verres de cocktail en main.
Il avait passé son début de soirée à picoler avec Esther et Heaven. Puis avec Niven et l’équipe des Wright. Il avait une descente particulièrement raide ce soir là et plus les minutes passaient, plus sa diction se faisait laborieuse et ses pas mal assurés. Il avait tellement bu qu’il en avait oublié pourquoi…
« Qu'est-ce qui te chagrine Miguelito ? A cette heure ci tu devrais être au cou d'une jolie brune. » Ah. Pour ça. Il la regarde la sorcière récupérer sa baguette et pousse un grognement. D’un geste vague, il essaye de la récupérer mais se rendant compte qu’il n’en est pas capable sans abandonner la sobriété à laquelle il essaye de prétendre, il laisse tomber.
- Il est encore tôt pour danser, tu ne crois pas ?
Il fait des efforts, véritables, pour parler correctement. Enfaite il a presque l’impression de réussir. Mais de l’extérieur, il faut le reconnaître. C’est fort pateux. Mais dans le fond il n’a pas tort. C’est beaucoup trop tôt pour lui danser. Il danse a genre… quatre grammes. Il n’est qu’à trois grammes et demi. Alors, il boit volontiers quelques gorgées du cocktail qu’elle lui a glissé sur le bar. Il s’arrête en se rendant compte qu’il n’y a pas d’alcool dedans. Il le repousse aussitôt.
- J’suis puni ? Parce que je t’ai brisé le coeur ?
Depuis sa première année à Hungcalf, le madrilène avait été plus que séduit par la célébration de la licorne. Surtout par tout ce qu’elle pouvait représenter après vingt et une heure. Très peu pour lui les chasses à la licorne et les concours de chiffons. Quoi que cette année, il adorait celui qu’Esther avait trouvé. Et même s’il avait hérité du panneau « reality » (il avait jamais été très bon à pierre-feuille-ciseau), il se trouvait canon dans son costume trois pièce. Même Evan aurait été fier de lui.
Dans ce genre de soirée, son truc c’était de se caler au barre, de boire des pintes et quelques shoot et de causer avec quelques potes ou de draguer la barmaid. Sauf qu’il avait pas prévu que Cataleya Blackthorn soit celle qui oeuvrerait, verres de cocktail en main.
Il avait passé son début de soirée à picoler avec Esther et Heaven. Puis avec Niven et l’équipe des Wright. Il avait une descente particulièrement raide ce soir là et plus les minutes passaient, plus sa diction se faisait laborieuse et ses pas mal assurés. Il avait tellement bu qu’il en avait oublié pourquoi…
« Qu'est-ce qui te chagrine Miguelito ? A cette heure ci tu devrais être au cou d'une jolie brune. » Ah. Pour ça. Il la regarde la sorcière récupérer sa baguette et pousse un grognement. D’un geste vague, il essaye de la récupérer mais se rendant compte qu’il n’en est pas capable sans abandonner la sobriété à laquelle il essaye de prétendre, il laisse tomber.
- Il est encore tôt pour danser, tu ne crois pas ?
Il fait des efforts, véritables, pour parler correctement. Enfaite il a presque l’impression de réussir. Mais de l’extérieur, il faut le reconnaître. C’est fort pateux. Mais dans le fond il n’a pas tort. C’est beaucoup trop tôt pour lui danser. Il danse a genre… quatre grammes. Il n’est qu’à trois grammes et demi. Alors, il boit volontiers quelques gorgées du cocktail qu’elle lui a glissé sur le bar. Il s’arrête en se rendant compte qu’il n’y a pas d’alcool dedans. Il le repousse aussitôt.
- J’suis puni ? Parce que je t’ai brisé le coeur ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» miroir du riséd : Abigail Cowen
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» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mar 11 Avr 2023 - 22:21
Arquant un sourcil inquisiteur, Cataleya pince sa paille entre ses lèvres et sirote innocemment son cocktail puisque Miguel n'en veut pas. Si la tête penche doucement sur le côté pour suivre une posture qui lui semble quelque peu chancelante, elle a tôt fait de coincer sous ses canines belliqueuses les sursauts d'un égo franchement piqué. Elle n'a pas le cœur brisé., parce que ce serait admettre qu'elle ressassait encore leur dernière dispute lorsque l'esprit venait à reprendre son inspirations, pourtant noyé sous milles informations. Lorsqu'elle parvenait, par Miracle, à se poser tout bonnement. La moue se forme pourtant un peu, les joues à peine gonflée à la manière d'un hamster un poil fâché.
« Tu es puni parce que tu es complètement ivre Miguel. »
Le constat claque un peu, mais demeure bien moins intense que ces bleus iris venu se ficher là, à la manière d'un couteau jeté en pleine âme. Et toi Miguel, tu es ivre parce que je t'ai brisé le cœur ? Si l'esprit arque le dos prêt à mordre, Cataleya sait que la voix faiblirait devant ce triste constat. Murmurerait à peine ces mots, plus inquiète que belliqueuse. Quand bien même Miguel démentirait assurément. L'expression s'adoucie pourtant considérablement devant cette force de la nature qui, dodelinait presque, traînant chacun de ses mots sans grande vigueur. S'il fait bien ce qu'il veut, les mains se détachent doucement de son verre pour prendre appui sur le comptoirs et s'y hisser souplement.
« Et si j'attends toujours le jour où tu m’emmèneras danser, c'est moi qui est punie. Pas de danse pour la petite Cat. Je suis triste. Ô drame, ô désespoir. » Elle prend un air capricieux Cataleya, forçant ouvertement la moue pour tenter d'arracher un sourire à ce madrilène qu'elle à lentement observer perdre de sa prestance au gré des heures. Si percer à jour son petit cervelas n'est pas chose aisé, force est d'admettre que ça fait un petit moment déjà qu'il paraît contrarié Mr tête de mûle alors, réalisant qu'il était certainement trop bourré pour se rappeler de sa soirée, Cataleya consent à verser dans l'altruisme. Si elle lève une seconde les yeux au ciel parce qu'elle se juge, son verre claque sur le bar et les bras se tendent doucement vers le brun.
- « Du coup j'ai besoin de tes bras musclés pour chasser mes larmes de crocodile. » Cette même expression toute enfantine au bout des traits, un véritable regard de chaton au bout des cils aiguisés sur la patience de ses aînés, Cataleya tend doucement les bras vers le duelliste pour réclamer une étreinte. Offrir un étreinte, puisque pour une fois, il semblait en avoir besoin. Et quand bien même ce n'était pas le cas, il ne cracherait pas sur un peu de proximité.
« Tu es puni parce que tu es complètement ivre Miguel. »
Le constat claque un peu, mais demeure bien moins intense que ces bleus iris venu se ficher là, à la manière d'un couteau jeté en pleine âme. Et toi Miguel, tu es ivre parce que je t'ai brisé le cœur ? Si l'esprit arque le dos prêt à mordre, Cataleya sait que la voix faiblirait devant ce triste constat. Murmurerait à peine ces mots, plus inquiète que belliqueuse. Quand bien même Miguel démentirait assurément. L'expression s'adoucie pourtant considérablement devant cette force de la nature qui, dodelinait presque, traînant chacun de ses mots sans grande vigueur. S'il fait bien ce qu'il veut, les mains se détachent doucement de son verre pour prendre appui sur le comptoirs et s'y hisser souplement.
« Et si j'attends toujours le jour où tu m’emmèneras danser, c'est moi qui est punie. Pas de danse pour la petite Cat. Je suis triste. Ô drame, ô désespoir. » Elle prend un air capricieux Cataleya, forçant ouvertement la moue pour tenter d'arracher un sourire à ce madrilène qu'elle à lentement observer perdre de sa prestance au gré des heures. Si percer à jour son petit cervelas n'est pas chose aisé, force est d'admettre que ça fait un petit moment déjà qu'il paraît contrarié Mr tête de mûle alors, réalisant qu'il était certainement trop bourré pour se rappeler de sa soirée, Cataleya consent à verser dans l'altruisme. Si elle lève une seconde les yeux au ciel parce qu'elle se juge, son verre claque sur le bar et les bras se tendent doucement vers le brun.
- « Du coup j'ai besoin de tes bras musclés pour chasser mes larmes de crocodile. » Cette même expression toute enfantine au bout des traits, un véritable regard de chaton au bout des cils aiguisés sur la patience de ses aînés, Cataleya tend doucement les bras vers le duelliste pour réclamer une étreinte. Offrir un étreinte, puisque pour une fois, il semblait en avoir besoin. Et quand bien même ce n'était pas le cas, il ne cracherait pas sur un peu de proximité.
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Dim 16 Avr 2023 - 20:44
C’était vrai. Il était complètement ivre, quand bien même il essayait de le dissimuler. Il faut dire qu’il avait picolé sans s’arrêter depuis le début de la soirée… Il ne s’était pas approché de ce qui servait de piste de danse, passant de groupe d’ami en groupe d’ami. Les hostilités avaient commencé avec @Heaven Mitchell et s’étaient terminées avec Niven. Entre deux, un joint de tentacula en charmante compagnie, même @Briseis Jenkins avait tiré dessus.
- Mais pas du tout ma belle, j’pourrais même boire encore tranquille si t’acceptais de me servir autre chose qu’une tisane.
Parce que c’était ça, un virgin mojito non ? De l’eau avec de la menthe, c’était ni plus ni moins qu’une tisane. En réalité, ça lui ferait sûrement pas de mal mais son égo était piqué, alors s'll devait boire encore pour prouver l'indéfendable, il le ferait sans sourciller.
- T’sais j’ai pas besoin d’être ivre pour refuser de danser. C’est vraiment pas mon truc.
Il l’observe se hisser légèrement sur le bar et ne se rend même pas compte qu’il phase plusieurs secondes, la trouvant belle à crever. Rien de nouveau sous le soleil, il l’avait toujours trouvé canon. Ils avaient beau appeler Juliet « Sunshine », il trouvait Cataleya bien plus solaire avec ses mèches rousses et ses iris céruléennes que semble refléter sa robe immaculée. Sans compter ce décolleté dans lequel il avait plongé son regard (pas) discret.
Il est absolument incapable de comprendre ce que la jeune femme lui demande alors même que les bras tendus sont explicites. Le madrilène la regarde intensément, complètement perdu.
- T’es tellement belle…
C’est tout juste s’il se rendait compte de ce qu’il disait, tenant lui aussi appui sur le bar mais plus pour empêcher le jardin botanique de basculer que pour se rapprocher de la barmaid apprivoisée.
- Mais pas du tout ma belle, j’pourrais même boire encore tranquille si t’acceptais de me servir autre chose qu’une tisane.
Parce que c’était ça, un virgin mojito non ? De l’eau avec de la menthe, c’était ni plus ni moins qu’une tisane. En réalité, ça lui ferait sûrement pas de mal mais son égo était piqué, alors s'll devait boire encore pour prouver l'indéfendable, il le ferait sans sourciller.
- T’sais j’ai pas besoin d’être ivre pour refuser de danser. C’est vraiment pas mon truc.
Il l’observe se hisser légèrement sur le bar et ne se rend même pas compte qu’il phase plusieurs secondes, la trouvant belle à crever. Rien de nouveau sous le soleil, il l’avait toujours trouvé canon. Ils avaient beau appeler Juliet « Sunshine », il trouvait Cataleya bien plus solaire avec ses mèches rousses et ses iris céruléennes que semble refléter sa robe immaculée. Sans compter ce décolleté dans lequel il avait plongé son regard (pas) discret.
Il est absolument incapable de comprendre ce que la jeune femme lui demande alors même que les bras tendus sont explicites. Le madrilène la regarde intensément, complètement perdu.
- T’es tellement belle…
C’est tout juste s’il se rendait compte de ce qu’il disait, tenant lui aussi appui sur le bar mais plus pour empêcher le jardin botanique de basculer que pour se rapprocher de la barmaid apprivoisée.
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Dim 16 Avr 2023 - 22:27
( T’es tellement belle… . )
Elle reste un peu stupide Cataleya, la gravité pesant lourdement sur des bras encore tendus. Le regard pleinement charmé par l'instant, en équilibre sur cette expression -presque vulnérable- qu'elle ne lui connaissait pas, elle se perd à son tour. Bon sang... Si la voix de Miguel se prêtait à merveille aux compliments, aiguisé sur une séduction qui semblait à la rousse quasis constante, elle ne peut écarter de son esprit le fait que, cette fois-ci, les mots sonnent désespérément sincères. Sublimes en tout point, ainsi couronné par les étoiles. Ils la troublent tant à dire vrai, peut être plus encore que le regard que lui lance le madrilène à cet instant précis, qu'elle en vacillerait presque petite nymphe au regard maritime. Alors le geste se fait plus intuitif qu'elle ne voudrait car c'est d'une main à la douceur ineffables qu'elle effleure la joue du brun comme pour le sauver du naufrage qui s’amorce. Le rattraper un peu, avant qu'il ne se laisse noyer par les entêtante courbes de sa poitrine. C'est que, ainsi penché sur lui pour le garder à ses côtés, elle lui foutrait presque les seins sous le nez...
Toi aussi tu es beau, Miguel. murmure l'esprit de la rousse qui, entêté, veille étrangement sur le duelliste échoué sur le bar. Elle aimerait pouvoir répondre proprement au compliment, mais seuls pèsent sur sa langue d'immense regret. Ceux liés à leur dernière disputes, évidemment ; Sans doute que si son approche s'était faite moins impulsive, elle aurait pu venir à cette soirée niché là, au creux de ses bras, roucoulant presque sous un accent qui la rendait folle. Ceux de décembre aussi, surtout. Si au petit jour elle s'était coulé hors des draps et avait parfaitement replié le t-shirt prêté sur le bureau de l'espagnol, elle avait longuement hésité à se recoucher. Nicher au plus près de lui, se moquant de tout.
Elle aurait dû s'écouter ce matin là.
Revenir sur chacun des pas qui l'avait guidé jusqu'au manoir.
Renouer avec la chaleur de ses bras et le remercier encore et encore d'être là.
Revenir sur chacun des pas qui l'avait guidé jusqu'au manoir.
Renouer avec la chaleur de ses bras et le remercier encore et encore d'être là.
« C'est dommage tu sais, pour la danse. » Entame t'elle à voix basse, parce qu'il était le seul avec qui elle voulait danser, elle s'en rendait maintenant compte. Le propos s'ose pourtant à peine, le visage penché sur le sien à mesure que la main glisse dans ses boucles brunes pour en masser doucement le cuir chevelu. « Téméraire, ambitieux, un sourire et accent à m'en damner toute entière et.. Bon sang, ces boucles ! Tu sais que je voue un culte à tes cheveux lorsqu'ils bouclent... Ah... Tu danserais et je t'aurai plaqué à ton lit depuis une éternité... » Le ton se veut confidentiel, veillé par cette cascade de feu qui retombent souplement autour d'eux lorsqu'elle récupèrent entre ses doigts les deux baguettes. « Une chance pour toi que tu es aussi merveilleux duelliste que poursuiveur, Miguelito. Ca compense. »
Si elle le contemple encore longuement, le dos finit par se redresser, se creusant un peu lorsque les bras virent, dans un geste purement félin, à s'étirer vers les astres. La soirée n'avait pas été aussi désastreuse qu'elle ne l'aurait pensé, même si elle plaignait déjà les maux de crânes qui étreindrait le madrilène à ses côtés au petit jour...
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Ven 21 Avr 2023 - 20:40
Dissimuler son ébriété lui demandait tant d’efforts qu’il n’était plus capable de dissimuler quoi que ce soit d’autre. Et son admiration à propos de la Lufkin en faisait définitivement parti intégrante. Il l’avait toujours trouvé belle et bien qu’il n’avait cessé d’essayer de la séduire ces dernières années, il n’avait jamais été aussi expressif à ce sujet. Pourtant il l’avait trouvé belle dès la première seconde où il avait posé les yeux sur elle, son air refrogné et sa crinière rousse.
Il faut dire que sa robe la met incroyablement en valeur et évidemment son regard se perd sur les courbes de sa poitrine même s’il ne se rend pas compte à quel point. La main manucurée de blanc de la Blackthorn vient extirper son regard de son décolleté pour le plonger dans ses prunelles céruléennes. Cette fille était belle de partout. C’était perturbant à souhait.
« Ah... Tu danserais et je t'aurai plaqué à ton lit depuis une éternité.. » L’image d’elle, à califourchon sur lui, lui revient instantanément en mémoire. Par contre, il a du mal à se rappeler pourquoi ils n’avaient pas été plus loin. Force est de constater que l’envie d’elle le chatouille toujours autant. « Une chance pour toi que tu es aussi merveilleux duelliste que poursuiveur, Miguelito. Ca compense. »
- Le meilleur de tous.
Le petit sourire en coin qu’il aurait du afficher est en réalité un sourire qui s’étire d’une oreille à l’autre. Il l’admire. Elle l’admire. Par Merlin comme il aurait aimé que ce soit mille fois plus simple.
- Pour danser c’est toujours non, mais on peut rentrer chez moi et cette fois j’te jure que j’me fouterais complet qu’ce soit ta première fois. J’suis beaucoup trop ivre pour les cas de conscience, t’vois.
Il faut dire que sa robe la met incroyablement en valeur et évidemment son regard se perd sur les courbes de sa poitrine même s’il ne se rend pas compte à quel point. La main manucurée de blanc de la Blackthorn vient extirper son regard de son décolleté pour le plonger dans ses prunelles céruléennes. Cette fille était belle de partout. C’était perturbant à souhait.
« Ah... Tu danserais et je t'aurai plaqué à ton lit depuis une éternité.. » L’image d’elle, à califourchon sur lui, lui revient instantanément en mémoire. Par contre, il a du mal à se rappeler pourquoi ils n’avaient pas été plus loin. Force est de constater que l’envie d’elle le chatouille toujours autant. « Une chance pour toi que tu es aussi merveilleux duelliste que poursuiveur, Miguelito. Ca compense. »
- Le meilleur de tous.
Le petit sourire en coin qu’il aurait du afficher est en réalité un sourire qui s’étire d’une oreille à l’autre. Il l’admire. Elle l’admire. Par Merlin comme il aurait aimé que ce soit mille fois plus simple.
- Pour danser c’est toujours non, mais on peut rentrer chez moi et cette fois j’te jure que j’me fouterais complet qu’ce soit ta première fois. J’suis beaucoup trop ivre pour les cas de conscience, t’vois.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Sam 22 Avr 2023 - 13:04
Les bras tendus vers les étoiles, Cataleya réprime un rire lorsque tombe le commentaire du madrilène. Elle n'irait pas jusqu'à dire qu'il est le meilleur car il y avait des poursuiveur érigé au statut de légende et qu'il faudrait encore bien des années au Pajares pour espérer les rattraper, mais il était vrai qu'ils ne se débrouillait pas trop mal, et que son assurance se faisait sublime lorsqu'il venait désarmer un adversaire. Aussi. Le sourire se pique un peu, tant et si bien à dire vrai que Cataleya se fait violence pour taire ce sursaut des zygomatiques qui, brusquement, vient à la trahir pour offrir un radieux écho à celui du Madrilène. Bon sang ! Elle aimerait souffler qu'il avait l'air désespérément con, à lui sourire comme ça, mais force était d'admettre qu'il versait dans un irrésistible qu'elle suivait à grand pas.
Alors, perdu dans son regard, amourachée de cette charmante lueur qui brille entre deux éclats d'ébriété, les lèvres se pincent un peu car désespérément conscientes du monde qui palpite autour d'eux. Sans doute que Miguel le comprend car, déjà, il propose une un remplit dans un endroit plus intimiste et, si l'idée est loin de déplaire à la rousse, c'est une phrase qui lui saisit brutalement le cœur.
(et cette fois j’te jure que j’me fouterais complet qu’ce soit ta première fois. )
Le sourire s'efface un peu, et c'est d'un mouvement emprunt de grâce que la Blackthorn se laisse glisser au sol. Si elle hésite encore un peu, c'est d'une douceur ineffable qu'elle ramène de nouveau le visage de Miguel à elle. Culpabilisait-il ? Ou du moins, regrettait-il leur chaste échange de décembre ? Sans doute. Certainement à dire vrai, car elle lui avait promis que ce n'était que partie remise et que les disputent avaient désespérément fait voler en éclat chacun de ses plans...
- « Mig... » Elle murmure à peine, ramène ses lèvres à son oreille comme pour garder sous le joug du privé les mots à suivre, quand bien même l'alcool voilerait bien des souvenirs au petit jour. Peut être même ceux du grymm. « Tu sais, tes cas de consciences te rendent plus désirable encore. Ils me prouve toujours que c'est toi, et personne d'autre, je te veux dans ma vie... T'es infiniment sexy quand tu joues les chevaliers. »
Elle ponctue la confidence d'un discret baisé posé sur son cou et s'éloigne de quelques pas, récupérant une à une ses affaires pour amorcer un départ. Vraisemblablement, elle n'a pas été compliquée à convaincre, quand bien même l'état de Miguel rentre en contradiction avec l'idée qu'elle se fait de leur première fois. Il s'était tant échiné à se faire une place auprès d'elle et ce, durant tant d'année, qu'elle se refusait à céder une nuit dont il ne garderait peut être aucun souvenir. Peut-être même que l'aube et les premières prises de conscience le ferait regretter cette proposition ; après tout, il n'avait pas été tendre lors de leur dernière altercation alors...
Le bras passe doucement sous celui du grymm, autant pour jouer les support à une démarche qu'elle devinait hasardeuse, que parce que son contact lui avait désespérément manqué.
« On va peut être attendre que l'alcool redescende un peu, maiiiis... Je vais avoir besoin d'une douche, et si tu es sage tu auras le droit de la prendre avec moi. » Sans quoi il se plaidait des paillettes retrouvés dans ses draps au petit matin. Si la moue s'efforce de ne pas verser dans un sourire en coin, le regard est en tout point malicieux et se tourne une nouvelle fois vers le brun pour le contempler de nouveau.Quelle idée d'avoir autant bu..
Alors, perdu dans son regard, amourachée de cette charmante lueur qui brille entre deux éclats d'ébriété, les lèvres se pincent un peu car désespérément conscientes du monde qui palpite autour d'eux. Sans doute que Miguel le comprend car, déjà, il propose une un remplit dans un endroit plus intimiste et, si l'idée est loin de déplaire à la rousse, c'est une phrase qui lui saisit brutalement le cœur.
Le sourire s'efface un peu, et c'est d'un mouvement emprunt de grâce que la Blackthorn se laisse glisser au sol. Si elle hésite encore un peu, c'est d'une douceur ineffable qu'elle ramène de nouveau le visage de Miguel à elle. Culpabilisait-il ? Ou du moins, regrettait-il leur chaste échange de décembre ? Sans doute. Certainement à dire vrai, car elle lui avait promis que ce n'était que partie remise et que les disputent avaient désespérément fait voler en éclat chacun de ses plans...
- « Mig... » Elle murmure à peine, ramène ses lèvres à son oreille comme pour garder sous le joug du privé les mots à suivre, quand bien même l'alcool voilerait bien des souvenirs au petit jour. Peut être même ceux du grymm. « Tu sais, tes cas de consciences te rendent plus désirable encore. Ils me prouve toujours que c'est toi, et personne d'autre, je te veux dans ma vie... T'es infiniment sexy quand tu joues les chevaliers. »
Elle ponctue la confidence d'un discret baisé posé sur son cou et s'éloigne de quelques pas, récupérant une à une ses affaires pour amorcer un départ. Vraisemblablement, elle n'a pas été compliquée à convaincre, quand bien même l'état de Miguel rentre en contradiction avec l'idée qu'elle se fait de leur première fois. Il s'était tant échiné à se faire une place auprès d'elle et ce, durant tant d'année, qu'elle se refusait à céder une nuit dont il ne garderait peut être aucun souvenir. Peut-être même que l'aube et les premières prises de conscience le ferait regretter cette proposition ; après tout, il n'avait pas été tendre lors de leur dernière altercation alors...
Le bras passe doucement sous celui du grymm, autant pour jouer les support à une démarche qu'elle devinait hasardeuse, que parce que son contact lui avait désespérément manqué.
« On va peut être attendre que l'alcool redescende un peu, maiiiis... Je vais avoir besoin d'une douche, et si tu es sage tu auras le droit de la prendre avec moi. » Sans quoi il se plaidait des paillettes retrouvés dans ses draps au petit matin. Si la moue s'efforce de ne pas verser dans un sourire en coin, le regard est en tout point malicieux et se tourne une nouvelle fois vers le brun pour le contempler de nouveau.Quelle idée d'avoir autant bu..
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Jeu 27 Avr 2023 - 19:46
Le meilleur amant de tout l’université n’est-ce-pas ? Peut être même du monde entier, n’en déplaisent à certains ou certaines. Il est assez éméché pour le croire, même si sobre il est raisonnablement convaincu de ne pas être un mauvais coup au lit. Un sourire à faussetés et quelques blagues moyennes ne lui permettrait pas d’attirer encore et encore la même fille dans son lit n’est-ce-pas ? Morgane sait pourtant que certaines ont étrenné ses draps à plusieurs reprises.
Et maintenant, c’est elle qu’il veut dans son lit. Et si tout n’est que brouillard et vapeurs de tequila, ce désir est clair comme du cristal. Il se mettrait des claques, là maintenant tout de suite, d’avoir été si raisonnable la fois dernière. Il fallait bien qu’elle y passe un jour non ? Alors autant que ce soit avec quelqu’un qui l’aime.
Il sursauterait presque en découvrant ses propres pensées. Il a l’impression de réfléchir à toute vitesse mais la réalité c’est qu’il est dans la lune. Et tout ce qu’il a retenu de la déclaration de la Blackthorn c’était « sexy » et « chevalier ».
- Hm. Quoi ?
Il sourit au baiser qu’elle dépose sur sa joue, essayant de comprendre ce qu’avait pu dire la jeune femme. Puis il comprend enfin (non).
- Ah ouais, j’serais grave sexy en chevalier mais c’pas moi qui ai choisi le costume, c’est @Esther Alvares .
Il montre la pancarte qui s’était un peu effacée à cause du sortilège qu’avait pu lui balancer @Elio Cooper . Mais sans rancune, Cataleya avait dit qu’il était ca-non avec ces boucles humides alors il lui en voulait pas du tout.
Le bras de la jeune femme passe sous le sien et cela vous surprendra peut-être mais elle réussit à le redresser un peu… faut dire qu’il était tellement avachi sur le bar que c’était pas si difficile. Suivant le mouvement, il pose un pied au sol. Puis le second. Bordel c’était dur. Il devait mettre toute ses capacités de concentration pour aligner deux pas et ça ne l’empêchait pas de tantôt tanguer, tantôt peser dangereusement sur l’épaule de la Lufkin.
- Ehhhhhhh ! Doucement…
Encore un pas, puis un autre…
- Tu sais, j’suis pas un homme facile hein ! Faut pas croire tout c’qu’on dit je couche pas avec … genre regarde bien… Ta copine Verena ! Jamais ! Jamais d’la vie je la touche par Merlin ! T’as vu ? Pourtant elle est ultra bonne. Mhm. Pardon. Ca s’dit pas. Hein ? Sexy, j’peux dire ?
Et maintenant, c’est elle qu’il veut dans son lit. Et si tout n’est que brouillard et vapeurs de tequila, ce désir est clair comme du cristal. Il se mettrait des claques, là maintenant tout de suite, d’avoir été si raisonnable la fois dernière. Il fallait bien qu’elle y passe un jour non ? Alors autant que ce soit avec quelqu’un qui l’aime.
Il sursauterait presque en découvrant ses propres pensées. Il a l’impression de réfléchir à toute vitesse mais la réalité c’est qu’il est dans la lune. Et tout ce qu’il a retenu de la déclaration de la Blackthorn c’était « sexy » et « chevalier ».
- Hm. Quoi ?
Il sourit au baiser qu’elle dépose sur sa joue, essayant de comprendre ce qu’avait pu dire la jeune femme. Puis il comprend enfin (non).
- Ah ouais, j’serais grave sexy en chevalier mais c’pas moi qui ai choisi le costume, c’est @Esther Alvares .
Il montre la pancarte qui s’était un peu effacée à cause du sortilège qu’avait pu lui balancer @Elio Cooper . Mais sans rancune, Cataleya avait dit qu’il était ca-non avec ces boucles humides alors il lui en voulait pas du tout.
Le bras de la jeune femme passe sous le sien et cela vous surprendra peut-être mais elle réussit à le redresser un peu… faut dire qu’il était tellement avachi sur le bar que c’était pas si difficile. Suivant le mouvement, il pose un pied au sol. Puis le second. Bordel c’était dur. Il devait mettre toute ses capacités de concentration pour aligner deux pas et ça ne l’empêchait pas de tantôt tanguer, tantôt peser dangereusement sur l’épaule de la Lufkin.
- Ehhhhhhh ! Doucement…
Encore un pas, puis un autre…
- Tu sais, j’suis pas un homme facile hein ! Faut pas croire tout c’qu’on dit je couche pas avec … genre regarde bien… Ta copine Verena ! Jamais ! Jamais d’la vie je la touche par Merlin ! T’as vu ? Pourtant elle est ultra bonne. Mhm. Pardon. Ca s’dit pas. Hein ? Sexy, j’peux dire ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Ven 28 Avr 2023 - 21:38
Il fait peine à voir Mig, ramant à contre-courant d’une discussion dont il ne retient que quelques mots. Sa démarche est lente, hésitante, et Cataleya lutte un peu lorsqu’il penche sur elle et manque de la faire chavirer. C'est que sa robe trop serrée et ses talons haut ne lui offre pas autant de stabilité qu’elle aurait aimé. Ehhhhhhh ! Doucement… Elle grimace un peu, réprime un cri lorsqu’elle sent l’équilibre lui manquer, mais feint l’assurance lorsqu’ils parviennent à laborieusement s’éloigner du bar.
(Faut pas croire tout c’qu’on dit …)
Mmh ? Rendue distraite par cet effet de contre-poids qu’elle réajuste inlassablement contre le corps du madrilène, Cataleya se laisse surprendre par les mots de celui-ci. A croire qu’il cherchait à la convaincre. Etrangement, et quand bien même le nom de chacune de ses conquêtes éclataient comme milles bulles sur ses neurones jalouses, Cataleya savait que le brun avait tout de même des principes. C’était certainement ce qui l’avait avait finir par la mettre en confiance en dépit du fait qu’elle n’était qu’un objet de défi pour lui. Comme il n’était un objet de défi pour Verena d’ailleurs. Le regard accroche longuement celui du grymm, se perd un peu sur les courbes de sa mâchoire lorsqu’il se reprend, et ce simple fait arrache un sourire à la Blackthorn. Elle aurait préféré qu’il pose une excuse sur autre chose, mais n’avait pas envie de déclencher quelques frictions.
- Tu as le droit de le dire. Brillante, dotée d’un admirable sens de la répartie, et terriblement sexy. Petite, je copiais honteusement ses gestes pour tenter d’être aussi canon ; Ca n’a pas vraiment marché. Elle laisse sa phrase en suspension, hésitant franchement à verbaliser ce qui la travaille. La moue se forme un peu, le regard agrippe le sol, mais l’épaule finit doucement par se presser contre celle du madrilène ; non plus pour le maintenir droit, mais bel et bien pour quérir sa présence. S’assurer qu’il ne prendrait pas pour acte de guerre cette poignée de mot qui lui brûlait les lèvres. “C’est… Parce que c’est une sang pure, que tu ne veux pas d’elle ? Ou c’est à cause de son caractère ?”
Elle connaissait son aversion pour tout ce qui approchait de la notion de pureté et avait trop souvent nourri les tensions venues le bouffer lorsque le sujet tombait inexorablement là, sur la table. Pourtant, cette fois-ci elle ne voulait pas mener de guerre et tout dans son langage corporel, dans cette façon dont elle se loverait presque contre lui, dans sa manière de lever les yeux dans sa direction, trahissait une volonté d'apaisement qu’elle eut tôt fait de sceller d’un discret baiser posé sur son épaule. L’espace d’une seconde, elle espère presque qu’il n’a rien entendu et secoue doucement sa tête pour renouer avec ses impériosités conquérantes.
- Tu n’as rien à me prouver, tu sais. Entame t’elle avec assurance, autant pour ne pas trahir des émotions qu’elle tentait d’écraser sous l’aiguille de ses talons, que parce que, en dépit d’une réputation déjà bien faite et du fait qu’elle connaissait le nom de chacune de ses amantes, elle s’était étrangement laissé convaincre par ses mots. Si Miguel était parfois con, il semblait surtout loyal. "J’ai confiance en toi Miguel, tu devrais le savoir à force. " Ose t'elle, l'allure rendu gracile par un rythme enfin trouvé en dépit de ses escarpins assassins qui cherchaient à la tuer. "Bon. Ici se pose la question cruciale de la soirée : Si on transplane, penses-tu vomir ? "
Mmh ? Rendue distraite par cet effet de contre-poids qu’elle réajuste inlassablement contre le corps du madrilène, Cataleya se laisse surprendre par les mots de celui-ci. A croire qu’il cherchait à la convaincre. Etrangement, et quand bien même le nom de chacune de ses conquêtes éclataient comme milles bulles sur ses neurones jalouses, Cataleya savait que le brun avait tout de même des principes. C’était certainement ce qui l’avait avait finir par la mettre en confiance en dépit du fait qu’elle n’était qu’un objet de défi pour lui. Comme il n’était un objet de défi pour Verena d’ailleurs. Le regard accroche longuement celui du grymm, se perd un peu sur les courbes de sa mâchoire lorsqu’il se reprend, et ce simple fait arrache un sourire à la Blackthorn. Elle aurait préféré qu’il pose une excuse sur autre chose, mais n’avait pas envie de déclencher quelques frictions.
- Tu as le droit de le dire. Brillante, dotée d’un admirable sens de la répartie, et terriblement sexy. Petite, je copiais honteusement ses gestes pour tenter d’être aussi canon ; Ca n’a pas vraiment marché. Elle laisse sa phrase en suspension, hésitant franchement à verbaliser ce qui la travaille. La moue se forme un peu, le regard agrippe le sol, mais l’épaule finit doucement par se presser contre celle du madrilène ; non plus pour le maintenir droit, mais bel et bien pour quérir sa présence. S’assurer qu’il ne prendrait pas pour acte de guerre cette poignée de mot qui lui brûlait les lèvres. “C’est… Parce que c’est une sang pure, que tu ne veux pas d’elle ? Ou c’est à cause de son caractère ?”
Elle connaissait son aversion pour tout ce qui approchait de la notion de pureté et avait trop souvent nourri les tensions venues le bouffer lorsque le sujet tombait inexorablement là, sur la table. Pourtant, cette fois-ci elle ne voulait pas mener de guerre et tout dans son langage corporel, dans cette façon dont elle se loverait presque contre lui, dans sa manière de lever les yeux dans sa direction, trahissait une volonté d'apaisement qu’elle eut tôt fait de sceller d’un discret baiser posé sur son épaule. L’espace d’une seconde, elle espère presque qu’il n’a rien entendu et secoue doucement sa tête pour renouer avec ses impériosités conquérantes.
- Tu n’as rien à me prouver, tu sais. Entame t’elle avec assurance, autant pour ne pas trahir des émotions qu’elle tentait d’écraser sous l’aiguille de ses talons, que parce que, en dépit d’une réputation déjà bien faite et du fait qu’elle connaissait le nom de chacune de ses amantes, elle s’était étrangement laissé convaincre par ses mots. Si Miguel était parfois con, il semblait surtout loyal. "J’ai confiance en toi Miguel, tu devrais le savoir à force. " Ose t'elle, l'allure rendu gracile par un rythme enfin trouvé en dépit de ses escarpins assassins qui cherchaient à la tuer. "Bon. Ici se pose la question cruciale de la soirée : Si on transplane, penses-tu vomir ? "
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Ven 28 Avr 2023 - 22:26
Le défi est de taille et il pense vraiment le relever avec brio. La réalité, c’est qu’il est la-men-table et que la jeune Blackthorn déploie des trésors de patience alors que bien des gens l’auraient laissés décuver quelque-part. N’importe où. Et quelques part… quelque-part, à l’intérieur de lui, il le sait.
Il a du mal à imaginer Cataleya imitant la pimbêche qu’il voyait en Verena. Il avait vraiment du mal à se le figurer. Il les trouvait si différentes. Incomparables. Non vraiment. Il était si attiré par la personnalité de la Blackthorn et presque dégouté par la Lacroix…
- T’es bien mieux qu’elle.
La voix est pâteuse mais le ton est assuré parce qu’il exprime son avis comme si c’était une évidence. Malheureusement, il est bien trop ivre pour argumenter. D’ailleurs le fait que la rouquine s’arrête soudainement et qu’elle se place face lui manque de lui faire perdre l’équilibre.
“C’est… Parce que c’est une sang pure, que tu ne veux pas d’elle ? Ou c’est à cause de son caractère ?” La question était peut être un peu trop technique pour son état d’ébriété mais ça ne l’empêche pas d’acceuillir l’étreinte de la sorcière aux cheveux de feu malgré tout.
- Elle se croit mieux que tout le monde. V’la pourquoi je la supporte pas. Et les p’tits sang-purs ont tendance à penser ça hein ? Ou en tout cas, vous nous faite sentir ça, tu vois ? Avoue que tu l’as pensé quand même. Même juste un p’tit peu. Que j’étais pas assez bien pour toi.
Y’a comme une fêlure dans sa voix. Et si, quelque-part, elle le pensait encore ? Et si… et si lui même le pensait ? Heureusement qu’elle fuit son regard. Parce que lui même ose pas vraiment se plonger dans ses yeux bleus. Et ils avaient reprit la marche vers la sortie avant même qu’il ait réponse a sa question. C’est donc assez soulagé qu’il entend l’idée émise de transplaner. Chaque pas était un véritable challenge.
- Vomit free since 2013. Et j’suis pas bourré. T’inquiète que j’vais pas vomir. Vas-y, on y va. En plus j’ai changé mes draps.
Il a du mal à imaginer Cataleya imitant la pimbêche qu’il voyait en Verena. Il avait vraiment du mal à se le figurer. Il les trouvait si différentes. Incomparables. Non vraiment. Il était si attiré par la personnalité de la Blackthorn et presque dégouté par la Lacroix…
- T’es bien mieux qu’elle.
La voix est pâteuse mais le ton est assuré parce qu’il exprime son avis comme si c’était une évidence. Malheureusement, il est bien trop ivre pour argumenter. D’ailleurs le fait que la rouquine s’arrête soudainement et qu’elle se place face lui manque de lui faire perdre l’équilibre.
“C’est… Parce que c’est une sang pure, que tu ne veux pas d’elle ? Ou c’est à cause de son caractère ?” La question était peut être un peu trop technique pour son état d’ébriété mais ça ne l’empêche pas d’acceuillir l’étreinte de la sorcière aux cheveux de feu malgré tout.
- Elle se croit mieux que tout le monde. V’la pourquoi je la supporte pas. Et les p’tits sang-purs ont tendance à penser ça hein ? Ou en tout cas, vous nous faite sentir ça, tu vois ? Avoue que tu l’as pensé quand même. Même juste un p’tit peu. Que j’étais pas assez bien pour toi.
Y’a comme une fêlure dans sa voix. Et si, quelque-part, elle le pensait encore ? Et si… et si lui même le pensait ? Heureusement qu’elle fuit son regard. Parce que lui même ose pas vraiment se plonger dans ses yeux bleus. Et ils avaient reprit la marche vers la sortie avant même qu’il ait réponse a sa question. C’est donc assez soulagé qu’il entend l’idée émise de transplaner. Chaque pas était un véritable challenge.
- Vomit free since 2013. Et j’suis pas bourré. T’inquiète que j’vais pas vomir. Vas-y, on y va. En plus j’ai changé mes draps.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Sam 29 Avr 2023 - 0:48
Avoue que tu l’as pensé quand même. Que j’étais pas assez bien pour toi. Le cœur éclate un peu, là, sur les contours d'une voix qu'elle sent presque fébrile. Evidemment qu'elle l'avait pensé car, de tout les Blackthorn, elle était certainement l'une de celle qui s'était le plus alignée sur les valeurs familiale. Et puis le rythme de vie de Miguel, en tout point éloigné du sien, avait longuement aiguisé les jugements de la rousse qui pourtant, depuis, les avaient doucement révisé. Sans doute que la patience du madrilène, ou le masochisme dont il faisait preuve en espérant la coucher sur son lit, avait fini par tranquilliser la Lufkin. Elle est pourtant incapable de répondre, le regard fuyant et le cœur lourd.
(Vomit free since 2013.)
Elle juge un peu, soyons honnête, peu convaincue par l'équilibre laborieux du grymm et de son ton pâteux. Comment, et surtout pourquoi, il avait autant bu ? C'était désastreux ; lui qui rayonnait une pinte à la main avait aujourd'hui des airs désespéré. Un bref soupire s'ose sur les lèvres de la rousse qui ramène le grymm tout contre elle pour préparer son transplanage. « En plus j’ai changé mes draps » Ok, là elle juge carrément tant cette dernière phrase semble relever de l'exploit. Elle qui était habituée à ses draps de soie, ses bougies parfumées, son bouquet de rose chaque matin, et un étirement rendu félin sous les premières lueur du jour... Oui, elle avait clairement pris des habitudes de princesse, et sa chambre, en dépit du glauque du Yard Manor, le retranscrivait sans grand mal.
Ils atterrissent sans encombre à quelques mètres de son appartement, mais déjà Cataleya vient à défaire l'emprise de ses escarpins. Elle serait tenté de les jeter à l'autre bout du couloir en hurlant un « assassins ! » qui se ferait en tout point cathartique, mais s'efforce de garder un semblant de contenance en dépit de l'état de Miguel. D'un geste gracile, elle consent à lui rendre sa baguette et finit par s'armer de ses affaires récupéré une à une au gré de la soirée, tant Miguel s'était éparpillé. Si elle s'était quelques seconde durant convaincue de proprement les poser sur le meuble le plus proche une fois rentrée, force est d'admettre qu'elle finit par tout fourrer dans les bras du brun lorsque la porte daignent enfin leur ouvrir un passage, et elle se trouve un peu stupide, tenue ainsi, tout près de la porte. Il est vrai qu'ils étaient naturellement parti du fait qu'elle resterait, mais le devait-elle seulement ? Ainsi, sagement tenue devant la porte désormais close, ses talons tenu le plus joliment du monde devant-elle, Cataleya hésite un peu. Miguel était rentré sain et sauf, c'était le plus important, c'était même là la volonté première de cette compagnie mais...
- « Je peux prendre ma douche.. ? Je ne plaisantais pas pour les paillettes, j'ai eu la main lourde sur celles-ci. Et je sens le mojito... souffle t'elle finalement, balayant d'un œil attentif les contours d'un appartement qu'elle foulé qu'une unique fois. La moue se pince, mais le geste se fait terriblement intuitif lorsque la démarche de Miguel lui semble encore une fois trop hasardeuse.
Lui aussi devrait prendre une douche ; il empestait un étrange mélange d'alcool que le flair de l'animagus chercher inlassablement à détailler, profondément perturbé par un problème qu'elle n'arrivait pas à résoudre. Absinthe, tequi-... La main se pose doucement sur les hanches du madrilène pour l'inviter à se faire plus droit, et d'une simple impulsion elle le guide jusqu'à sa chambre, un peu désespéré il est vrai. Et après ça, il n'était pas bourré...
Les doigts relâchent lentement le brun et s’attellent à démêler cette cascade rousse qui retombent souplement devant elle. Suivant le choc des talons rencontrant le parquet.
- « Tu sais... » La tête se redresse, les cheveux se secouent un peu pour libérer le cuir chevelu des tensions accumulés. « Mon ex était un sang-mêlé, ça ne m'a jamais empêché de l'aimer aussi fort que le pouvait mon coeur. Ca tombe un peu étrangement, il est vrai, mais Cataleya n'arrive pas à se sortir de la tête les mots soufflé par l'espagnol. « Que j’étais pas assez bien pour toi. » Ce n'était pas la première fois qu'il abordait l'idée, et si elle s'était, dans ses souvenir du moins, franchement insurgé la première fois, Cataleya s'efforce aujourd'hui d'aborder le sujet différemment. Rassurer une thématique qui semble tourner en boucle dans l'esprit du brun. « Et je n'ai jamais dis que tu n'étais pas assez bien, Miguel... Tu as des qualités devant lesquels personnes ne peut rivaliser, alors par pitié, sors toi ça de la tête... Tu es parfait., et c'est pourquoi tu m'es aussi précieux. »
Mais il est vrai qu'elle l'avait pensé, ramassée sur elle-même, feulant à grand cris car encore trop sauvage. Elle l'avait pensé, oui, mais parce que le monde semblait parfois trop bas pour la mériter elle. Miguel, ses profs, son manoir, sa famille... Il y avait des jours où rien ne semblait suffisant pour l'accueillir, mais cela n'avait rien à voir avec les qualités intrinsèques de chacun. Seul son esprit fracassé en était la cause.
Elle juge un peu, soyons honnête, peu convaincue par l'équilibre laborieux du grymm et de son ton pâteux. Comment, et surtout pourquoi, il avait autant bu ? C'était désastreux ; lui qui rayonnait une pinte à la main avait aujourd'hui des airs désespéré. Un bref soupire s'ose sur les lèvres de la rousse qui ramène le grymm tout contre elle pour préparer son transplanage. « En plus j’ai changé mes draps » Ok, là elle juge carrément tant cette dernière phrase semble relever de l'exploit. Elle qui était habituée à ses draps de soie, ses bougies parfumées, son bouquet de rose chaque matin, et un étirement rendu félin sous les premières lueur du jour... Oui, elle avait clairement pris des habitudes de princesse, et sa chambre, en dépit du glauque du Yard Manor, le retranscrivait sans grand mal.
Ils atterrissent sans encombre à quelques mètres de son appartement, mais déjà Cataleya vient à défaire l'emprise de ses escarpins. Elle serait tenté de les jeter à l'autre bout du couloir en hurlant un « assassins ! » qui se ferait en tout point cathartique, mais s'efforce de garder un semblant de contenance en dépit de l'état de Miguel. D'un geste gracile, elle consent à lui rendre sa baguette et finit par s'armer de ses affaires récupéré une à une au gré de la soirée, tant Miguel s'était éparpillé. Si elle s'était quelques seconde durant convaincue de proprement les poser sur le meuble le plus proche une fois rentrée, force est d'admettre qu'elle finit par tout fourrer dans les bras du brun lorsque la porte daignent enfin leur ouvrir un passage, et elle se trouve un peu stupide, tenue ainsi, tout près de la porte. Il est vrai qu'ils étaient naturellement parti du fait qu'elle resterait, mais le devait-elle seulement ? Ainsi, sagement tenue devant la porte désormais close, ses talons tenu le plus joliment du monde devant-elle, Cataleya hésite un peu. Miguel était rentré sain et sauf, c'était le plus important, c'était même là la volonté première de cette compagnie mais...
- « Je peux prendre ma douche.. ? Je ne plaisantais pas pour les paillettes, j'ai eu la main lourde sur celles-ci. Et je sens le mojito... souffle t'elle finalement, balayant d'un œil attentif les contours d'un appartement qu'elle foulé qu'une unique fois. La moue se pince, mais le geste se fait terriblement intuitif lorsque la démarche de Miguel lui semble encore une fois trop hasardeuse.
Lui aussi devrait prendre une douche ; il empestait un étrange mélange d'alcool que le flair de l'animagus chercher inlassablement à détailler, profondément perturbé par un problème qu'elle n'arrivait pas à résoudre. Absinthe, tequi-... La main se pose doucement sur les hanches du madrilène pour l'inviter à se faire plus droit, et d'une simple impulsion elle le guide jusqu'à sa chambre, un peu désespéré il est vrai. Et après ça, il n'était pas bourré...
Les doigts relâchent lentement le brun et s’attellent à démêler cette cascade rousse qui retombent souplement devant elle. Suivant le choc des talons rencontrant le parquet.
- « Tu sais... » La tête se redresse, les cheveux se secouent un peu pour libérer le cuir chevelu des tensions accumulés. « Mon ex était un sang-mêlé, ça ne m'a jamais empêché de l'aimer aussi fort que le pouvait mon coeur. Ca tombe un peu étrangement, il est vrai, mais Cataleya n'arrive pas à se sortir de la tête les mots soufflé par l'espagnol. « Que j’étais pas assez bien pour toi. » Ce n'était pas la première fois qu'il abordait l'idée, et si elle s'était, dans ses souvenir du moins, franchement insurgé la première fois, Cataleya s'efforce aujourd'hui d'aborder le sujet différemment. Rassurer une thématique qui semble tourner en boucle dans l'esprit du brun. « Et je n'ai jamais dis que tu n'étais pas assez bien, Miguel... Tu as des qualités devant lesquels personnes ne peut rivaliser, alors par pitié, sors toi ça de la tête... Tu es parfait., et c'est pourquoi tu m'es aussi précieux. »
Mais il est vrai qu'elle l'avait pensé, ramassée sur elle-même, feulant à grand cris car encore trop sauvage. Elle l'avait pensé, oui, mais parce que le monde semblait parfois trop bas pour la mériter elle. Miguel, ses profs, son manoir, sa famille... Il y avait des jours où rien ne semblait suffisant pour l'accueillir, mais cela n'avait rien à voir avec les qualités intrinsèques de chacun. Seul son esprit fracassé en était la cause.
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mar 2 Mai 2023 - 22:21
Vomit since 2013. Il s’était vanté de cet état de faits si souvent ces derniers mois, ces dernières années… Pourtant, il n’avait jamais eu la main légère en ce qui concernait l’alcool qu’il ingérait. Surtout le week-end… Mais ce soir, on pouvait dire qu’il avait était à deux doigts de ne plus jamais pouvoir fanfaronner cette affirmation tant le transplanage avait été… affreux.
Arrivé dans le couloir qui mène à son appartement, il pose sa main sur le mur pour ne pas s’écrouler alors qu’il penche la tête en avant et ferme les yeux. Il lui faut plusieurs minutes pour réprimer la violente nausée qui s’est insinuée en lui. Il n’est même pas spécialement soulagé d’enfin passer le pas de sa porte. Elle demande si elle peut se doucher et il n’est même pas capable de répondre par une blague beauf, ni même pour demander s’il peut l’accompagner. Il hoche simplement la tête.
Il en avait presque oublié cette affirmation pour laquelle il persistait et signait. Il était évident qu’elle y avait pensé… Et même si elle ne l’avouait qu’a demi-mot, même si elle repetait à qui voulait l’entendre qu’il avait des qualités intrinsèques incroyables… Etait-ce suffisant pour effacer la première impression qu’elle avait eut de lui ? Il se laisse tomber dans son lit. Le léger rebond du matelas manque de lui flanquer de nouveau une vilaine nausée.
- J’vais prendre une douche aussi.
La déclaration d’intention était ce qu’elle était. Mais il n’avait pas bougé d’un cil. Il n’avait même pas ouvert un oeil. Il pourrait aussi bien s’endormir à cet instant mais la présence de la Blackthorn était suffisante pour qu’il essaye désespérément de rester éveiller.
Et la force, venue dont ne sait où, revient à lui. Il se redresse d’un coup d’un seul, cherchant du regard la rouquine. Et la voir dans sa chambre, encore, c’était pas rien. Mais la voyant avec cet air brisé, il lui tend la main.
- On disait quoi déjà du coup ? J’suis génial même si avant tu m’trouvais pas assez bien pour toi. Et toi t’es géniale, même si t’es une sacré peste quand t’as décidé. Putain ça me donne mal au crâne tout ces trucs... Du coup c'est quoi le problème ?
Arrivé dans le couloir qui mène à son appartement, il pose sa main sur le mur pour ne pas s’écrouler alors qu’il penche la tête en avant et ferme les yeux. Il lui faut plusieurs minutes pour réprimer la violente nausée qui s’est insinuée en lui. Il n’est même pas spécialement soulagé d’enfin passer le pas de sa porte. Elle demande si elle peut se doucher et il n’est même pas capable de répondre par une blague beauf, ni même pour demander s’il peut l’accompagner. Il hoche simplement la tête.
Il en avait presque oublié cette affirmation pour laquelle il persistait et signait. Il était évident qu’elle y avait pensé… Et même si elle ne l’avouait qu’a demi-mot, même si elle repetait à qui voulait l’entendre qu’il avait des qualités intrinsèques incroyables… Etait-ce suffisant pour effacer la première impression qu’elle avait eut de lui ? Il se laisse tomber dans son lit. Le léger rebond du matelas manque de lui flanquer de nouveau une vilaine nausée.
- J’vais prendre une douche aussi.
La déclaration d’intention était ce qu’elle était. Mais il n’avait pas bougé d’un cil. Il n’avait même pas ouvert un oeil. Il pourrait aussi bien s’endormir à cet instant mais la présence de la Blackthorn était suffisante pour qu’il essaye désespérément de rester éveiller.
Et la force, venue dont ne sait où, revient à lui. Il se redresse d’un coup d’un seul, cherchant du regard la rouquine. Et la voir dans sa chambre, encore, c’était pas rien. Mais la voyant avec cet air brisé, il lui tend la main.
- On disait quoi déjà du coup ? J’suis génial même si avant tu m’trouvais pas assez bien pour toi. Et toi t’es géniale, même si t’es une sacré peste quand t’as décidé. Putain ça me donne mal au crâne tout ces trucs... Du coup c'est quoi le problème ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mer 3 Mai 2023 - 14:09
Dénouant ses rousses ondulations du bout des doigts, Cataleya observe l'état du grymm avec attention mais se laisse surprendre par cette main tendu vers elle, offerte. Si elle se maudit de la facilité avec laquelle ce simple geste la ramène au madrilène, du doux sourire qu'elle lui offre, ou bien des bras qu'elle finit par tendrement passer autour de son cou afin de renouer un peu le contact, force est d'admettre qu'elle a le regard amoureux Cataleya, en dépit de l'hésitation qui marque encore un peu un peu ses gestes. Elle pourrait répondre que le problème, c'était eux. Qu'ils étaient incapable de communiquer, qu'elle était aussi peste qu'il pouvait être con et qu'en définitive, ça ne mènerait en rien en dépit de leur attraction, de ce semblant d'amour qui arrivait à naître entre eux... Elle pourrait oser le fait que le problème, c'était la peur qui la bouffait, parce qu'elle savait que sa famille aurait vent de cette relation et que cela terminerait dans le sang. Celui de Miguel, le sien ou le leur. Elle pourrait, enfin, mettre des mots sur la mort de Cillian, et sur toute les sueurs froide qui l’éveillait lorsqu'elle venait à envisager une nouvelle relation, mais en tout point, Cataleya sait le moment mal choisit. Miguel était ivre, et elle était désespérément effrayée à l'idée qu'une dernière dispute ne brise définitivement leurs échanges. Alors, pendue à son cou, le nez frotte à peine contre celui de Madrilène. Le sourire s'ose un peu à mesure que son bleu regard se perd doucement sur cet air fatigué, cet équilibre instable, cet homme tout entier dont elle pleurait honteusement la perte lorsque personne n'était là pour la juger.
« Je ne sais pas.. » Murmure t'elle, conduisant finalement d'une main le brun jusqu'à son lit afin de l'y coucher. La jambe tente un instant de passer par dessus les hanches du brun, mais prisonnière de sa robe, Cataleya se voit contrainte de se lover là, à côté, faute de pouvoir s'ériger à califourchon sur lui. « On se dispute toujours pour rien toi et moi. Quand c'est toi qui fait un pas je surréagis, quand je dis que je t'aime tu me fous un râteau... On est un peu nul ensemble...»
La moue se forme un instant, mais le regard qu'elle avait gardé sur le panneau « reality », à moitié effacé, daigne enfin se redresser, se couler là, dans les entêtante iris du Pajares. La main remonte un peu pour permettre au pouce de doucement caresser la joue de l'espagnol avant qu'un bref soupire ne se pose sur les lèvres de la lufkin.
« Mais je sais que tu me manque, Miguel. Vraiment. Et je sais que j'ai envie que tu fasses partie intégrante de ma vie, si tu en as envie...»
« Je ne sais pas.. » Murmure t'elle, conduisant finalement d'une main le brun jusqu'à son lit afin de l'y coucher. La jambe tente un instant de passer par dessus les hanches du brun, mais prisonnière de sa robe, Cataleya se voit contrainte de se lover là, à côté, faute de pouvoir s'ériger à califourchon sur lui. « On se dispute toujours pour rien toi et moi. Quand c'est toi qui fait un pas je surréagis, quand je dis que je t'aime tu me fous un râteau... On est un peu nul ensemble...»
La moue se forme un instant, mais le regard qu'elle avait gardé sur le panneau « reality », à moitié effacé, daigne enfin se redresser, se couler là, dans les entêtante iris du Pajares. La main remonte un peu pour permettre au pouce de doucement caresser la joue de l'espagnol avant qu'un bref soupire ne se pose sur les lèvres de la lufkin.
« Mais je sais que tu me manque, Miguel. Vraiment. Et je sais que j'ai envie que tu fasses partie intégrante de ma vie, si tu en as envie...»
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mer 10 Mai 2023 - 22:57
Main tendue, paume vers le ciel, le madrilène a le bras lourd mais le coeur étonnamment léger alors qu’il invite sa belle à le rejoindre. Il sait bien ne pas être étranger à cet air défait, ce minoi desoeuvré. Et franchement, il en est bien désolé. Encore plus peut-être à cause de l’alcool qui le rend légèrement romantique. Elle hésite et il le comprend bien. Il comprendrait même si elle tournait les talons. Il voit milles questions défiler dans ses prunelles sans pouvoir les déchiffrer.
Elle cède finalement. Et Miguel soupçonne à peine la tempête sous les boucles rousses qu’elle a tenté de démêler. A peine vient elle se lover contre lui qu’il bascule dans le lit, l’emmenant avec elle. Leurs têtes contre la couette, les yeux plongés dans ceux de l’autre, ils restent un instant silencieux avant qu’elle ne brise la glace une nouvelle fois.
- Eh… Si j’avais su que t’allais me dire ça je t’aurais pas foutu un râteau hein.
La remarque est un peu acerbe. S’il avait été si distant, si désagréable avec la rouquine c’est bien parce qu’il pensait qu’elle se fichait royalement de lui, toute Blackthorn qu’elle était. Il est pas franchement en état de la contredire ni d’argumenter, mais il trouve vraiment pas qu’ils sont nuls ensemble. Il sourit alors qu’elle avoue qu’il lui manque. S’il était pas si ivre, il pourrait faire un top dix des moments exceptionnels qu’ils avaient pu passer ensemble. Oh et puis il s’y risque.
- On a passé des super moments ensembles ! Genre euh… La fois ou tu t’es vautrée au bar après seulement une bière parce que tu portais une robe trop longue. Ou la fois où t’as cramé tes sourcils et explosé un stand de forain. Ou la fois où tu t’es étouffée en voyant faire la belle en me piquant une cigarette. La fois où tu m’as écrasé l’orteil avec un grimoire quand t’as voulu me faire réviser l’exam de potion. La fois où t’as demandé si j’avais du vinaigre pour faire cuire des pâtes. La fois où tas réquisitionné tout les oreillers de l’appart, même ceux de mon coloc, pour pouvoir dormir dans mon lit… La fois où t’as parié, et perdu, une fortune parce que je t’avais dit que les Canons pouvaient pas perdre un match. Euh ça fait combien là ?
Il aurait du utiliser ses doigts pour compter. Mais en vrai, ça n’avait pas d’importance parce qu’il pourrait continuer cette liste encore longtemps. Sa main vient également caresser tendrement le visage de la rouquine, écartant au passage une boucle rousse.
- J’veux pas faire partie de ta vie Cat.
Il fronce le nez, conscient qu’il parle trop vite et qu’il réfléchit pas assez.
- Non, c’est pas ça que j’veux dire. Ce que j’veux dire c’est que ton monde de chichis et de règles à la con, il m’intéresse pas. Et ça ça changera jamais. Mais j’voudrais que toi, tu fasses partie de ma vie. J’ai pas une thune, mais j’te jure que c’est pas si terrible.
Il marque une pause et pensant à James et à cette relation qu’il ne comprendrait jamais, encore moins le sang mélangé à de l’absinthe, il ajoute.
- Et j’veux pas te partager.
Elle cède finalement. Et Miguel soupçonne à peine la tempête sous les boucles rousses qu’elle a tenté de démêler. A peine vient elle se lover contre lui qu’il bascule dans le lit, l’emmenant avec elle. Leurs têtes contre la couette, les yeux plongés dans ceux de l’autre, ils restent un instant silencieux avant qu’elle ne brise la glace une nouvelle fois.
- Eh… Si j’avais su que t’allais me dire ça je t’aurais pas foutu un râteau hein.
La remarque est un peu acerbe. S’il avait été si distant, si désagréable avec la rouquine c’est bien parce qu’il pensait qu’elle se fichait royalement de lui, toute Blackthorn qu’elle était. Il est pas franchement en état de la contredire ni d’argumenter, mais il trouve vraiment pas qu’ils sont nuls ensemble. Il sourit alors qu’elle avoue qu’il lui manque. S’il était pas si ivre, il pourrait faire un top dix des moments exceptionnels qu’ils avaient pu passer ensemble. Oh et puis il s’y risque.
- On a passé des super moments ensembles ! Genre euh… La fois ou tu t’es vautrée au bar après seulement une bière parce que tu portais une robe trop longue. Ou la fois où t’as cramé tes sourcils et explosé un stand de forain. Ou la fois où tu t’es étouffée en voyant faire la belle en me piquant une cigarette. La fois où tu m’as écrasé l’orteil avec un grimoire quand t’as voulu me faire réviser l’exam de potion. La fois où t’as demandé si j’avais du vinaigre pour faire cuire des pâtes. La fois où tas réquisitionné tout les oreillers de l’appart, même ceux de mon coloc, pour pouvoir dormir dans mon lit… La fois où t’as parié, et perdu, une fortune parce que je t’avais dit que les Canons pouvaient pas perdre un match. Euh ça fait combien là ?
Il aurait du utiliser ses doigts pour compter. Mais en vrai, ça n’avait pas d’importance parce qu’il pourrait continuer cette liste encore longtemps. Sa main vient également caresser tendrement le visage de la rouquine, écartant au passage une boucle rousse.
- J’veux pas faire partie de ta vie Cat.
Il fronce le nez, conscient qu’il parle trop vite et qu’il réfléchit pas assez.
- Non, c’est pas ça que j’veux dire. Ce que j’veux dire c’est que ton monde de chichis et de règles à la con, il m’intéresse pas. Et ça ça changera jamais. Mais j’voudrais que toi, tu fasses partie de ma vie. J’ai pas une thune, mais j’te jure que c’est pas si terrible.
Il marque une pause et pensant à James et à cette relation qu’il ne comprendrait jamais, encore moins le sang mélangé à de l’absinthe, il ajoute.
- Et j’veux pas te partager.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Jeu 11 Mai 2023 - 16:20
Le sourire se pince un peu pour ne pas rire lorsque Miguel s'évertue à lui remémorer les bons moment passés ensemble. Elle aimerait lui souffler qu'elle avait toujours cette maudite peluche licorne, là, dans son lit, celle là même qu'elle avait gagné -arraché- au fameux stand brûlé. Elle aimerait lui rétorquer que, ces derniers mois, elle avait parfaitement apprit à fumer et qu'il n'aurait plus l'occasion de se tordre de rire. Qu'elle passait à dire vrai tant ses nerfs sur ces amantes longiligne qu'elle n'en gardait désormais qu'une seule au fond de son sac pour mieux se rationner. Elle aimerait défendre son projet pâte / vinaigre car, potionniste de talent obligeait, elle sentait le potentiel de cette combinaison dont elle ne démordrait pas d'aussitôt. Cependant, chérissant tant le voix du madrilène qu'elle pourrait l'écouter parler des heures durant, Cataleya consent à ne pas le couper ; laisser son charmant accent la bercer. Elle préfère doucement fermer les yeux, épousant dans un soupire d'aise la caresse de cette main portée sur sa joue, ainsi que toute la douceur dont Miguel savait faire preuve à son égard...
L'oeil s'ouvre pourtant un peu lorsqu'il argue ne pas vouloir faire partie de sa vie, sans animosité aucune cependant. Sans doute réaliste t'elle aussitôt que les mots sont plus maladroit que porteur de désastre. D'ailleurs, l'expression de Miguel ne manque pas de le lui prouver, et si elle vient un instant à réfléchir sur la portée de ses mots -après tout, ces « chichis et règles à la cons » faisaient partie intégrantes de sa vie et l'avaient pleinement construite. -, c'est l'aspect monétaire qui semble le plus la surprendre. D'un geste doux, elle embrasse son torse, tout près du cœur.
Elle se moquait de l'argent car, en tout point, la peur d'être déshériter à chaque fois qu'elle venait à respirer, ou ne pas se courber à la seconde exactes où son père le lui intimait, la hantait tant depuis des années qu'elle avait soigneusement mis de côté. A croire que la présence de Charles Leroy, rat en puissance, n'avait qu'un peu plus accentuer cette épargne panique sur laquelle elle veillait à la manière d'un dragon. Elle avait acheté sa maison et la rénovait du mieux qu'elle la pouvait, serait bientôt une médicomage réputé, non, l'argent n'était définitivement pas le souci quoi qu'elle ne pouvait s'imaginer vivre d'amour et d'eau fraîche. L'espace d'une seconde, le regard se baisse comme conscient que ce n'était, en définitive, pas le principal problème de leur relation. Le pouce qui caressait sa mâchoire granuleuse migre un peu jusqu'à ses lèvres et les effleures, faute de pouvoir les embrasser.
Je ne veux pas te partager moi non plus... Murmure t'elle tout bas, cherchant dans le regard du madrilène la force qui vient à subitement lui manquer. Le sourire s’affûte doucement, en dépit de l'hésitation qui trône dans ses bleus iris, et après un bref silence elle ose finalement se jeter à l'eau. Mais si mes parents viennent à l'apprendre, tu t'exposes à de lourde conséquence Miguel...
Si elle chasse volontairement toute mention mortifères, autant pour ne pas sentir le spectre de Cillian peser sur son esprit que voir Miguel prendre la fuite, elle efface d'une main agile les sanctions qui s'appliqueront de pair à son charmant petit crane. Pas sûre que son père la laisse filer impunément si elle osait de nouveau murmurer qu'elle était amoureuse. L'effroyable lueur que prenait son regard lorsqu'il pliait son corps sous un doloris lui avait cent fois prouvé que, jamais, il n'hésiterait. Fille préférée ou non. Cette fois pourtant, les réminiscences des suppliques à la mort qu'elle lui avait offert, puis des rires nerveux qui l'avait poursuivit sur des semaines entière à chaque fois qu'on osait l'effleurer lui revienne au visage comme une brutale claque. Les larmes montent un peu mais la discipline chasse tout débordement.
- Et je ne suis plus sûre de pouvoir supporter qu'il arrive quoi que ce soit aux gens que j'aime.
L'oeil s'ouvre pourtant un peu lorsqu'il argue ne pas vouloir faire partie de sa vie, sans animosité aucune cependant. Sans doute réaliste t'elle aussitôt que les mots sont plus maladroit que porteur de désastre. D'ailleurs, l'expression de Miguel ne manque pas de le lui prouver, et si elle vient un instant à réfléchir sur la portée de ses mots -après tout, ces « chichis et règles à la cons » faisaient partie intégrantes de sa vie et l'avaient pleinement construite. -, c'est l'aspect monétaire qui semble le plus la surprendre. D'un geste doux, elle embrasse son torse, tout près du cœur.
Elle se moquait de l'argent car, en tout point, la peur d'être déshériter à chaque fois qu'elle venait à respirer, ou ne pas se courber à la seconde exactes où son père le lui intimait, la hantait tant depuis des années qu'elle avait soigneusement mis de côté. A croire que la présence de Charles Leroy, rat en puissance, n'avait qu'un peu plus accentuer cette épargne panique sur laquelle elle veillait à la manière d'un dragon. Elle avait acheté sa maison et la rénovait du mieux qu'elle la pouvait, serait bientôt une médicomage réputé, non, l'argent n'était définitivement pas le souci quoi qu'elle ne pouvait s'imaginer vivre d'amour et d'eau fraîche. L'espace d'une seconde, le regard se baisse comme conscient que ce n'était, en définitive, pas le principal problème de leur relation. Le pouce qui caressait sa mâchoire granuleuse migre un peu jusqu'à ses lèvres et les effleures, faute de pouvoir les embrasser.
Je ne veux pas te partager moi non plus... Murmure t'elle tout bas, cherchant dans le regard du madrilène la force qui vient à subitement lui manquer. Le sourire s’affûte doucement, en dépit de l'hésitation qui trône dans ses bleus iris, et après un bref silence elle ose finalement se jeter à l'eau. Mais si mes parents viennent à l'apprendre, tu t'exposes à de lourde conséquence Miguel...
Si elle chasse volontairement toute mention mortifères, autant pour ne pas sentir le spectre de Cillian peser sur son esprit que voir Miguel prendre la fuite, elle efface d'une main agile les sanctions qui s'appliqueront de pair à son charmant petit crane. Pas sûre que son père la laisse filer impunément si elle osait de nouveau murmurer qu'elle était amoureuse. L'effroyable lueur que prenait son regard lorsqu'il pliait son corps sous un doloris lui avait cent fois prouvé que, jamais, il n'hésiterait. Fille préférée ou non. Cette fois pourtant, les réminiscences des suppliques à la mort qu'elle lui avait offert, puis des rires nerveux qui l'avait poursuivit sur des semaines entière à chaque fois qu'on osait l'effleurer lui revienne au visage comme une brutale claque. Les larmes montent un peu mais la discipline chasse tout débordement.
- Et je ne suis plus sûre de pouvoir supporter qu'il arrive quoi que ce soit aux gens que j'aime.
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mar 16 Mai 2023 - 19:50
Ses paupières étaient terriblement lourdes mais au moins sa chambre ne tournait-elle plus tout autour de lui. Il avait cette sensation étrange d’être un étranger à l’intérieur de son propre corps. L’alcool ainsi que la tentacula en avaient pris le contrôle. Son encéphale semblait agrois perdu de sa circonférence et flotter allégrement dans sa boîte crânienne. C’était à la fois délicieux et déroutant. Tout comme cette conversation qu’il avait, malgré les effluves de Tequila qui émanaient de tous les pores de sa peau, avec Cataleya.
Il parle avec la sincérité de ceux qui avaient une chance de ne pas se souvenir des paroles prononcées. Même alcoolisé, il se souvient parfaitement de tout ces instants auprès de la rouquine et il ne s’emmêle presque pas les pinceaux en les énonçant. La maladresse de l’ivresse se livre plutôt au détour de mots glissés trop vite. D'une certaine manière, il essaye d’exposer ses conditions. Avoir un béguin prononcé pour une Blackthorn ne lui donnait pas envie de renier tout ce qu’il pouvait penser sur cette famille. Du moins de ce qu’il ne connaissait. Et s’il en connaissait davantage, yaurait des chances qu’il soit encore plus réfractaire.
“Mais si mes parents viennent à l'apprendre, tu t'exposes à de lourdes conséquences Miguel…”. S’il les considèrent comme particulièrement malsain, il n’a aucune idée quant à leur degré de dangerosité. Mais le madrilène était assez téméraire pour que son attitude ne vienne pas à changer même s’il le savait un jour. Il ne répond même pas, hausse simplement les épaules. Quelques millimètres à peine tant elles sont lourdes. “Et je ne suis plus sûre de pouvoir supporter qu'il arrive quoi que ce soit aux gens que j'aime.” Il fronce les sourcils, le cerveau embrumbé par l’alcool, il est bien incapable de comprendre les sous-entendus de la sorcière aux yeux océans :
- Ne soit pas si dramatique ! Tu crois pas ,que James avec son physique d’épingle, à nourrice pourrait me faire quoi que ce soit ? A part des vilains regards en coin, je risque pas grande chose.
James, James, James. Toujours James. Il arrivait pas à concevoir qu’il puisse y avoir ou y avoir eut quelque-chose entre eux. C’était comme si il avait un crush sur Pina. Ça n'avait pas de sens. Et des deux, c’était sûrement Pina dont il fallait se méfier… Elle avait pas l’air mais il l’avait déjà vu contrarier et c’était pas beau à voir.
- Quoi que là j’suis tellement rond qu’une pichenette de sa part et je m’effrondre.
Pourquoi ses paupières s’obstinaient à rester aussi lourdes ? D’une main aveugle, il caressait les boucles rousses de celle qui chamboulait son coeur, au risque de se bercer lui plutôt qu’elle.
- Plus jamais je boirais d'alcool...
Il parle avec la sincérité de ceux qui avaient une chance de ne pas se souvenir des paroles prononcées. Même alcoolisé, il se souvient parfaitement de tout ces instants auprès de la rouquine et il ne s’emmêle presque pas les pinceaux en les énonçant. La maladresse de l’ivresse se livre plutôt au détour de mots glissés trop vite. D'une certaine manière, il essaye d’exposer ses conditions. Avoir un béguin prononcé pour une Blackthorn ne lui donnait pas envie de renier tout ce qu’il pouvait penser sur cette famille. Du moins de ce qu’il ne connaissait. Et s’il en connaissait davantage, yaurait des chances qu’il soit encore plus réfractaire.
“Mais si mes parents viennent à l'apprendre, tu t'exposes à de lourdes conséquences Miguel…”. S’il les considèrent comme particulièrement malsain, il n’a aucune idée quant à leur degré de dangerosité. Mais le madrilène était assez téméraire pour que son attitude ne vienne pas à changer même s’il le savait un jour. Il ne répond même pas, hausse simplement les épaules. Quelques millimètres à peine tant elles sont lourdes. “Et je ne suis plus sûre de pouvoir supporter qu'il arrive quoi que ce soit aux gens que j'aime.” Il fronce les sourcils, le cerveau embrumbé par l’alcool, il est bien incapable de comprendre les sous-entendus de la sorcière aux yeux océans :
- Ne soit pas si dramatique ! Tu crois pas ,que James avec son physique d’épingle, à nourrice pourrait me faire quoi que ce soit ? A part des vilains regards en coin, je risque pas grande chose.
James, James, James. Toujours James. Il arrivait pas à concevoir qu’il puisse y avoir ou y avoir eut quelque-chose entre eux. C’était comme si il avait un crush sur Pina. Ça n'avait pas de sens. Et des deux, c’était sûrement Pina dont il fallait se méfier… Elle avait pas l’air mais il l’avait déjà vu contrarier et c’était pas beau à voir.
- Quoi que là j’suis tellement rond qu’une pichenette de sa part et je m’effrondre.
Pourquoi ses paupières s’obstinaient à rester aussi lourdes ? D’une main aveugle, il caressait les boucles rousses de celle qui chamboulait son coeur, au risque de se bercer lui plutôt qu’elle.
- Plus jamais je boirais d'alcool...
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
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» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Mar 16 Mai 2023 - 21:52
La nonchalance dont fait preuve le madrilène pique un peu l'expression de Cataleya qui, infiniment soucieuse, entrevoit pourtant parfaitement les desseins familiaux. Si elle pourrait rebondir, secouer désespérément le grymm pour lui faire comprendre qu'elle n’exagérait rien, le regard préfère se clore pour occulter la peur. Ils évoqueront le sujet se promet-elle, lorsque les brumes éthyliques se dissiperons, pourtant la menace que semble projeter James sur le duelliste arrache un rire franc à la Blackthorn. Un poil narquois, il est vrai. James ne se risquerait pas à dire ou faire quoi que ce soit. Sans doute connaissait-il suffisamment l'enfante d'Aloysius pour savoir qu'elle n'hésiterait pas à lui sauter au visage au moindre mot déplacé. Il faut dire qu'entre les coussins jetés à son visage pour un oui ou un non, et la vision d'une Cataleya fonçant -presque sauvage- sur le dos d'Eliott parce que celui-ci menaçait de brûler sa poupée préférée, James avait apprit à composer avec le caractère explosif de sa rousse. Elle s'offusquait d'un rien, se vexait trois fois par jour, et la violence paternelle l'avait rendue infiniment hargneuse au fil des années.
Cependant, si elle n'ignores pas avoir le dessus sur le potionniste, celui-ci préférant toujours milles fois s'effacer plutôt que créer du conflit avec Cataleya, la Blackthorn n'éprouve aucun doute sur le plein potentiel de James. Sans doute semblait-elle, à première vue, la plus terrible des deux mais jamais elle ne souhaitait se frotter à ses froides colères ; qui sait quel poison l'emporterait au moindre instant de faiblesse...
- « Ca veut dire que j'ai une chance de prendre le dessus si on lance un duel, là-maintenant ? » Murmure t'elle à peine, égrainant quelques tendre baisé sur la gorge du madrilène devant cet aveu d'ébriété. Elle avait bien plus de chance d'obtenir une victoire par forfait puisque Miguel semblait incapable de bouger le moindre musque, mais la perspective d'une victoire sur ce duelliste trop chanceux gonfla un instant l'égo de la lufkin.
Elle qui rêvait d'une douche brûlante est désormais incapable de se redresser. Peut être pourrait-elle mollement rouler sur le côté si le bras de Miguel n'entravait pas en partie son cheminement. Si cette main tentatrice, doucement passé dans ses cheveux trop sensible, ne la ramenait pas inlassablement aux bras de Morphée. Le nez se fronce un peu, contrarié par cette le fait qu'il lui fallait se lever, ou du moins se débarrasser de cette robe qui l'étouffait autant qu'elle étranglait chacun de ses gestes, mais le corps se refuse au mouvement. Les muscles sont engourdit par les caresses, le nez perdu dans la chemise du madrilène, et si la cuisse n'arrive pas à remonter sur celle du brun à cause de cette foutue robe trop serrée, c'est dans un grondement étouffée que Cataleya commence à gigoter maladroitement pour remonter celle-ci. Elle a des airs de carpe jeté hors de l'eau, un peu ridicule à se tortiller de la sorte, mais la prise qu'elle parvient enfin à refermer sur Miguel se fait en tout point impérieuse lorsque la cuisse plaque son règne sur les hanches du grymm.
- « Dans une semaine t'aura une bierreaubeurre dans les mains, ne mens pas ». Marmonne t'elle les yeux clos, passant difficilement un bras sous le dos du brun pour le garder tout contre elle. Si l'inspiration est en tout point apaisé, bercé par les caresses et le rythme d'un cœur sur lequel elle se cale intuitivement, le pincement des coutures de son dos finit par piquer le froncement léger des sourcils de Miss Blackthorn. « Mig... J'peux plus bouger.. Je te jure qu'il va falloir que tu m'arraches cette fichue robe. » La plainte est à peine murmurée tant elle se croit sombrer dans un épais sommeil, mais une main paresseuse entreprend de libérer le grymm de sa chemise pour favoriser son sommeil. Elle se stoppe pourtant avant les derniers boutons et retombe mollement sur son torse tant la fatigue la rattrape. Vile sorcellerie qu'était-ce cette main dans ses cheveux !
Cependant, si elle n'ignores pas avoir le dessus sur le potionniste, celui-ci préférant toujours milles fois s'effacer plutôt que créer du conflit avec Cataleya, la Blackthorn n'éprouve aucun doute sur le plein potentiel de James. Sans doute semblait-elle, à première vue, la plus terrible des deux mais jamais elle ne souhaitait se frotter à ses froides colères ; qui sait quel poison l'emporterait au moindre instant de faiblesse...
- « Ca veut dire que j'ai une chance de prendre le dessus si on lance un duel, là-maintenant ? » Murmure t'elle à peine, égrainant quelques tendre baisé sur la gorge du madrilène devant cet aveu d'ébriété. Elle avait bien plus de chance d'obtenir une victoire par forfait puisque Miguel semblait incapable de bouger le moindre musque, mais la perspective d'une victoire sur ce duelliste trop chanceux gonfla un instant l'égo de la lufkin.
Elle qui rêvait d'une douche brûlante est désormais incapable de se redresser. Peut être pourrait-elle mollement rouler sur le côté si le bras de Miguel n'entravait pas en partie son cheminement. Si cette main tentatrice, doucement passé dans ses cheveux trop sensible, ne la ramenait pas inlassablement aux bras de Morphée. Le nez se fronce un peu, contrarié par cette le fait qu'il lui fallait se lever, ou du moins se débarrasser de cette robe qui l'étouffait autant qu'elle étranglait chacun de ses gestes, mais le corps se refuse au mouvement. Les muscles sont engourdit par les caresses, le nez perdu dans la chemise du madrilène, et si la cuisse n'arrive pas à remonter sur celle du brun à cause de cette foutue robe trop serrée, c'est dans un grondement étouffée que Cataleya commence à gigoter maladroitement pour remonter celle-ci. Elle a des airs de carpe jeté hors de l'eau, un peu ridicule à se tortiller de la sorte, mais la prise qu'elle parvient enfin à refermer sur Miguel se fait en tout point impérieuse lorsque la cuisse plaque son règne sur les hanches du grymm.
- « Dans une semaine t'aura une bierreaubeurre dans les mains, ne mens pas ». Marmonne t'elle les yeux clos, passant difficilement un bras sous le dos du brun pour le garder tout contre elle. Si l'inspiration est en tout point apaisé, bercé par les caresses et le rythme d'un cœur sur lequel elle se cale intuitivement, le pincement des coutures de son dos finit par piquer le froncement léger des sourcils de Miss Blackthorn. « Mig... J'peux plus bouger.. Je te jure qu'il va falloir que tu m'arraches cette fichue robe. » La plainte est à peine murmurée tant elle se croit sombrer dans un épais sommeil, mais une main paresseuse entreprend de libérer le grymm de sa chemise pour favoriser son sommeil. Elle se stoppe pourtant avant les derniers boutons et retombe mollement sur son torse tant la fatigue la rattrape. Vile sorcellerie qu'était-ce cette main dans ses cheveux !
- InvitéInvité
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Ven 19 Mai 2023 - 21:28
Un faible sourire s’annonce sur le visage ensommeillé du madrilène en entendant le rire de la Blackthorn s’élever dans sa chambre à coucher. Il n’entend pas une once de la moquerie qui célèbre ce rire, tout ce qu’il entend, à défaut de le voir parce que ses paupières se ferment, c’est le sourire sur le visage de Cataleya. Comment pouvait il imaginer une seule seconde que le stalactite puisse lui causer le moindre tort, maintenant qu’elle l’avait choisit à sa place ?
« Ca veut dire que j'ai une chance de prendre le dessus si on lance un duel, là-maintenant ? » Il n’est même pas capable de rire. Fourrer son nez dans les cheveux de la rousse, sentir son entêtant parfum qu’il se surprend à connaître par coeur… Voila qui était d’avantage dans ses capacités à cet instant.
- Même pas dans tes rêves…
Voila qui fera office de baroud d’honneur. Il accueille volontiers la jambe de Cat au dessus de lui, glissant même une main ralentie derrière son genou. « Dans une semaine t'aura une bierreaubeurre dans les mains, ne mens pas » Elle avait sûrement raison… Mais une bierreaubeurre c’était à peine alcoolisé ça comptait pas. Ca lui prendrait au moins deux semaines avant de toucher de nouveau à un alcool fort. Et foi de Pajares, plus jamais il ne boirait une goutte d’absinthe. Plus jamais.
« Mig... J'peux plus bouger.. Je te jure qu'il va falloir que tu m'arraches cette fichue robe. » Ah si seulement il ne s’était pas endormi. Si Morphée n’avait pas eut raison de lui. Encore une occasion rater de lui arracher, cette fichue robe. Une de plus, une de moins… Pourtant, dans ses songes, il répondait de mille et une façon a ce qu’il percevait comme une authentique provocation. De la plus premier degré à la plus malicieuse.
Assurément, il lui listerait tout ça demain. Si elle était encore là.
« Ca veut dire que j'ai une chance de prendre le dessus si on lance un duel, là-maintenant ? » Il n’est même pas capable de rire. Fourrer son nez dans les cheveux de la rousse, sentir son entêtant parfum qu’il se surprend à connaître par coeur… Voila qui était d’avantage dans ses capacités à cet instant.
- Même pas dans tes rêves…
Voila qui fera office de baroud d’honneur. Il accueille volontiers la jambe de Cat au dessus de lui, glissant même une main ralentie derrière son genou. « Dans une semaine t'aura une bierreaubeurre dans les mains, ne mens pas » Elle avait sûrement raison… Mais une bierreaubeurre c’était à peine alcoolisé ça comptait pas. Ca lui prendrait au moins deux semaines avant de toucher de nouveau à un alcool fort. Et foi de Pajares, plus jamais il ne boirait une goutte d’absinthe. Plus jamais.
« Mig... J'peux plus bouger.. Je te jure qu'il va falloir que tu m'arraches cette fichue robe. » Ah si seulement il ne s’était pas endormi. Si Morphée n’avait pas eut raison de lui. Encore une occasion rater de lui arracher, cette fichue robe. Une de plus, une de moins… Pourtant, dans ses songes, il répondait de mille et une façon a ce qu’il percevait comme une authentique provocation. De la plus premier degré à la plus malicieuse.
Assurément, il lui listerait tout ça demain. Si elle était encore là.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: [célébration de la licorne] Unfortunate Soul (Miguel) - terminé
Sam 20 Mai 2023 - 14:32
Sous les paupières closes, l’esprit se débat comme le pire des démons. Cataleya lutte désespérément contre la léthargie qui la bouffe, égrenant inlassablement les points clefs du lendemain pour donner une nouvelle impulsion à ses muscles et ainsi se redresser, en vain. L’odeur de Miguel l'apaise et cette main, à peine posée sur sa cuisse, lui semble si lourde qu’elle abandonne doucement l’idée même de mouvoir ne serait-ce que sa jambe. Il lui faudra bien une dizaine de minute pour parvenir à rouvrir les yeux, retirer la pancarte qui pend au cou de son madrilène, avant de finalement se redresser sur les coudes dans une ultime tentative de se convaincre qu’il lui fallait rentrer chez elle. Encore une fois, les cils papillonnent sous le poids d’une tête devenue lourde, mais c’est en tout point têtue que la Blackthorn parvient à poser pied à terre. D’une démarche féline, elle progresse sans bruit dans cette chambre qui n’est pas le sien, prenant sans mal aucun ses marques en dépit de la pénombre et d’une progression faite à taton. Les yeux étant traître, sa confiance va à son flair et à ses doigts blancs qui courent habilement jusqu’à ses affaires. Elle arrache à son sac à main une bouteille d’eau qu’elle pose non loin de Miguel, devinant sans mal le dessèchement qui le cueillera au petit jour, mais à tôt fait de récupérer des escarpins qu’elle passerait presque si elle n’avait pas eu ce regard pour le lit, et pour un madrlène en tout point charmant, ainsi assoupi. Quoi qu’encore doté de chaussures.
Le poing sur la hanche, la rousse pousse un bref soupir et s’autorise enfin à rebrousser chemin, laissant choir au sol cette robe qui l'incommode tant avant de retirer les chaussures du grymm. Il dormira en chemise et pantalon, tant pis ! Et si la tentation de l’exclure des couettes se fait tentante puisqu’il repose allégèrement au-dessus de celles-ci, c’est le nez froncé par le défi qu’elle parvient à l’enrouler dans les couvertures sans même l’éveiller. Se faufilant à la manière d’un chat, là, tout contre lui, après un ultime baiser posé sur son front.
Le poing sur la hanche, la rousse pousse un bref soupir et s’autorise enfin à rebrousser chemin, laissant choir au sol cette robe qui l'incommode tant avant de retirer les chaussures du grymm. Il dormira en chemise et pantalon, tant pis ! Et si la tentation de l’exclure des couettes se fait tentante puisqu’il repose allégèrement au-dessus de celles-ci, c’est le nez froncé par le défi qu’elle parvient à l’enrouler dans les couvertures sans même l’éveiller. Se faufilant à la manière d’un chat, là, tout contre lui, après un ultime baiser posé sur son front.
Terminé