- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
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La vengeance de la tarte aux myrtilles ratée. (Victoria)
Mer 28 Juin 2023 - 20:46
Si Cataleya Blackthorn avait passé des semaines à défier sa mère aux échecs pour obtenir son elfe, c'est qu'elle avait parfaitement conscience qu'elle était incapable de se nourrir seule et que son temps était trop précieux pour qu'elle le perde à s'y essayer. Un elfe était donc nécessaire à sa survie, quand bien même elle le démentirait formellement jusqu'à sa mort. Elle avait également le luxe d'être dans les sacro-saint papiers de papa-maman, de pouvoir ponctionner comme bon lui semblait leur or sans avoir à toucher à ses propres économies et, de fait, la livraison était devenu un quotidien dans lequel elle se complaisait lorsqu'elle se lassait des repas de Nifty. Ou des repas qu'elle arrivait parfois à soutirer à @Arthur Batthyány , moyennant une odieuse tentative de flatterie en roumain, et son plus beau sourire.
Pourtant, en ce matin de juin, une effroyable fumée noir fuyait le Yard Manor. Rampait loin de la cuisine et de cette sorcière rousse qui, les mèches sèchement ramenée en une queue de cheval haute, pestait à tout va devant un four quasis possédé. Celui-ci crachait des flammes dès lors qu'elle tentait d'ouvrir la porte pour sauver une tarte calcinée qui, tordue en tout sens, craquelé effroyablement, semblait hurler à l'agonie en dépit de sa condition de charbon aux charbons raide mort.
Mouais. Sa tarte aux myrtilles ressemblait bien plus à une âme hurlant de terreur qu'à un dessert pleinement comestible, quoi qu'ai essayé de lui faire croire un Nifty dubitatif, sagement penché sur la chose. S'il lui proposa une énième fois son aide, c'est têtue que la sorcière usée par les gardes s'acharna à progresser seule. Incapable de verbaliser que, ce dessert là, elle devait le réussir seule puisqu'il était destiné à l'âme qui ravissait son cœur depuis déjà des mois. A croire qu'elle voulait impressionner @Miguel Pajares après les pâtes sans eau qui avait prise feu sous leurs yeux.
- Peut-être vaudrait-il mieux demander conseil à votre cousin Kaiden, maîtresse Quarta.
- Plutôt m'écorcher vive.
Le ton se fait sans appel alors que, mue d'une noblesse froide, Cataleya observe d'un regard plissé la fumé évacuer son domaine à toute allure. Mouaiiiiis. Puisque appeler James pour satisfaire les papilles de son nouveau copain n'était pas la chose la plus saine à faire, c'est un peu résignée que la Blackthorn tend ses griffes irisée à son elfe. Reclamant sans un mot son portable rose à paillette, et le numéro d'une Tertia qu'elle boudait un peu depuis qu'elle enchainait les bêtises.
Si l'hésitation qui parcourt son indexe se fait palpable, c'est une moue vexée par sa propre faiblesse qu'elle observe leurs derniers messages. Elle ne sait pas comment aborder la chose, n'est pas même sûre de vraiment vouloir s'abaisser à demander de l'aide mais, foutue pour foutue, c'est une série de photo de tarte aux myrtilles carbonisée qu'elle lui envoie, sans réel contexte.
Elle comprendrait peut être l'appel à l'aide.
@Victoria Blackthorn
Pourtant, en ce matin de juin, une effroyable fumée noir fuyait le Yard Manor. Rampait loin de la cuisine et de cette sorcière rousse qui, les mèches sèchement ramenée en une queue de cheval haute, pestait à tout va devant un four quasis possédé. Celui-ci crachait des flammes dès lors qu'elle tentait d'ouvrir la porte pour sauver une tarte calcinée qui, tordue en tout sens, craquelé effroyablement, semblait hurler à l'agonie en dépit de sa condition de charbon aux charbons raide mort.
Mouais. Sa tarte aux myrtilles ressemblait bien plus à une âme hurlant de terreur qu'à un dessert pleinement comestible, quoi qu'ai essayé de lui faire croire un Nifty dubitatif, sagement penché sur la chose. S'il lui proposa une énième fois son aide, c'est têtue que la sorcière usée par les gardes s'acharna à progresser seule. Incapable de verbaliser que, ce dessert là, elle devait le réussir seule puisqu'il était destiné à l'âme qui ravissait son cœur depuis déjà des mois. A croire qu'elle voulait impressionner @Miguel Pajares après les pâtes sans eau qui avait prise feu sous leurs yeux.
- Peut-être vaudrait-il mieux demander conseil à votre cousin Kaiden, maîtresse Quarta.
- Plutôt m'écorcher vive.
Le ton se fait sans appel alors que, mue d'une noblesse froide, Cataleya observe d'un regard plissé la fumé évacuer son domaine à toute allure. Mouaiiiiis. Puisque appeler James pour satisfaire les papilles de son nouveau copain n'était pas la chose la plus saine à faire, c'est un peu résignée que la Blackthorn tend ses griffes irisée à son elfe. Reclamant sans un mot son portable rose à paillette, et le numéro d'une Tertia qu'elle boudait un peu depuis qu'elle enchainait les bêtises.
Si l'hésitation qui parcourt son indexe se fait palpable, c'est une moue vexée par sa propre faiblesse qu'elle observe leurs derniers messages. Elle ne sait pas comment aborder la chose, n'est pas même sûre de vraiment vouloir s'abaisser à demander de l'aide mais, foutue pour foutue, c'est une série de photo de tarte aux myrtilles carbonisée qu'elle lui envoie, sans réel contexte.
Elle comprendrait peut être l'appel à l'aide.
@Victoria Blackthorn
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Re: La vengeance de la tarte aux myrtilles ratée. (Victoria)
Dim 2 Juil 2023 - 20:38
Dramatique en tout point, Cataleya se laisse retomber en croix sur la table de sa cuisine. Elle voudrait crier, ne serait-ce que pour évacuer toute la frustration qui pulse en elle mais se contente de rouler à droite, puis à gauche, puisque sa longue robe noire étrangle une partie de ses mouvements et que Nifty s'affaire à chasser la fumée à toute vitesse. Le dos, pourtant, se redresse vivement lorsqu'un pas se presse dans les couloirs de son manoir et, irrépressiblement, c'est la l'instinct qui s'alerte. Lui commande de veiller. Qu'est-ce qu-. Tertiaaaaaa ! Un appel plaintif s'élève parmi les trop long couloirs du Yard Manor, tournant l'oeil des tableaux qui les composent en direction de cette cuisine où serpentent milles plantes en cascade. Si Cataleya n'en sort pas précipitamment, c'est qu'une main infiniment soucieuse court sur les pans de sa robe pour en chasser maladivement les plis. Alors, sublime en dépit de cette suie qui tache sa joue, de ces cheveux ondulant comme six tentacule autour de son visage, Cataleya se pare d'un sourire. L'air y est désolé, mais la démarche en direction de cette douceur blonde se fait en tout point noble. Presque éthéré. Vestige d'une passion pour la danse à laquelle elle ne pouvait plus prétendre, faute de temps.
Il fallait avouer que si ce catharsis de l'âme lui était essentiel, les exigences maternelles et ses études creusait déjà bien des cernes, sans parler de ses gardes à sainte marie et des travaux qu'elle menait pour les capes noires. Sa vie sociale en était lourdement affectée -mais avait-elle un jour été radieuse ?- si bien qu'en dehors des chauffes-plats et d'une Ofélia qu'elle croisait quasis quotidiennement, il lui fallait lutter tout crocs dehors pour trainer sa carcasse diaphane jusque chez Miguel. Pour croiser Wyatt... Elle se contentait depuis deux semaines de marquer sa survie par le biais de quelques messages et avait développé l'effroyable lubie d'envoyer des photos de ses repas à @Arthur Batthyány pour lui prouver qu'elle trouvait le temps de s’alimenter et de se délecter de son jugement. Oui, elle pouvait se nourrir exclusivement de madeleine !
J'ai promis à Eliott que je passerai durant les vacances, et je voulais m'entraîner à cuisiner quelque chose pour Tobias... La voix prend des accents presque infantile tant elle semble bouder, pourtant l'évocation de ce neveu sacro-saint semble éveiller une tendresse toute particulière dans le regard du dragon Blackthorn. Mais Maman avait sans doute raison, tout ceci n'est pas de ma condition...
Si Aloysius voyait certainement en ces dessert ratés des tentatives d'empoisonnement destiné à leur entière lignée, connaissant trop bien les desseins de sa fille et son ambition notoire, Claudia n'était pas dupe et se désespérait de voire sa Favorite perdre son temps dans des tâches aussi avilissante. Et il est vrai que Quarta ne persévérait jamais lorsqu'elle la savait à la maison.
Un soupire, pourtant, pèse sur les lèvres de la rousse lorsqu'elle vient à pincer la peau de son poignet, là, sous les perles et diamant. Les sourcils se froncent une seconde, mais l'air se fait pleinement radieux lorsqu'elle s'en rend compte. Formaté par les griffes de Claudia.
Souhaites tu boires quelques choses ?
Il fallait avouer que si ce catharsis de l'âme lui était essentiel, les exigences maternelles et ses études creusait déjà bien des cernes, sans parler de ses gardes à sainte marie et des travaux qu'elle menait pour les capes noires. Sa vie sociale en était lourdement affectée -mais avait-elle un jour été radieuse ?- si bien qu'en dehors des chauffes-plats et d'une Ofélia qu'elle croisait quasis quotidiennement, il lui fallait lutter tout crocs dehors pour trainer sa carcasse diaphane jusque chez Miguel. Pour croiser Wyatt... Elle se contentait depuis deux semaines de marquer sa survie par le biais de quelques messages et avait développé l'effroyable lubie d'envoyer des photos de ses repas à @Arthur Batthyány pour lui prouver qu'elle trouvait le temps de s’alimenter et de se délecter de son jugement. Oui, elle pouvait se nourrir exclusivement de madeleine !
J'ai promis à Eliott que je passerai durant les vacances, et je voulais m'entraîner à cuisiner quelque chose pour Tobias... La voix prend des accents presque infantile tant elle semble bouder, pourtant l'évocation de ce neveu sacro-saint semble éveiller une tendresse toute particulière dans le regard du dragon Blackthorn. Mais Maman avait sans doute raison, tout ceci n'est pas de ma condition...
Si Aloysius voyait certainement en ces dessert ratés des tentatives d'empoisonnement destiné à leur entière lignée, connaissant trop bien les desseins de sa fille et son ambition notoire, Claudia n'était pas dupe et se désespérait de voire sa Favorite perdre son temps dans des tâches aussi avilissante. Et il est vrai que Quarta ne persévérait jamais lorsqu'elle la savait à la maison.
Un soupire, pourtant, pèse sur les lèvres de la rousse lorsqu'elle vient à pincer la peau de son poignet, là, sous les perles et diamant. Les sourcils se froncent une seconde, mais l'air se fait pleinement radieux lorsqu'elle s'en rend compte. Formaté par les griffes de Claudia.
Souhaites tu boires quelques choses ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: La vengeance de la tarte aux myrtilles ratée. (Victoria)
Sam 22 Juil 2023 - 21:47
Le nez se fronce un peu lorsque le pouce de Victoria vient à frotter la joue de cette enfant trop capricieuse, pourtant ça n’endigue en rien le flot ininterrompu de sa parole puisqu’il est communément admis que, contrairement à James, Cataleya est bavarde. Définitivement trop bavarde. La voix se stoppe pourtant net à l’évocation de Claudia et, si les sourcils se froncent une seconde, à deux doigts de défendre la toute puissance maternelle puisque, Mother Knows Best, Maman n’avait jamais tort, c’est radieuse que la discussion reprend sa route. Cataleya ignore un peu ce qu’elle a dans les placards puisque c’est essentiellement Nifty -son elfe- et Ofélia qui font les courses, aussi furète t’elle avidement en quête de sa réserve de thé. Un premier placard s’ouvre brusquement mais ne laisse entrevoir que des épices qui froncent de nouveau les sourcils de la rousse. Nouvel essai, des légumes aux formes étranges qu’elle ne connaît assurément pas sous cette forme. C’est que les légumes, avant d’être cuisinés, sont des matériaux bruts ! A deux doigts d’hurler le nom de son elfe pour être aiguillé dans sa propre cuisine, le regard s’illumine soudainement lorsqu’il croise le chemin de ses boîtes de thé. Ooh !
« Tout va bien en ce moment, Pumpkin ? »
Sursautant brutalement, Cataleya manque de laisser échapper ses fleurs de jasmin et ramène aussitôt ses grands yeux bleu sur Victoria. Un peu alertée par une phrase pourtant des plus banale. La tête penche un peu sur le côté, comme si ce simple angle pouvait permettre aux regards de la rousse de plonger plus profondément encore dans celui de sa cousine ; creuser un peu, en dépit d’une absence de don adéquat, des intentions qu’elle ne saisit pas.
Tu t’essayes aux interrogatoires ? Le ton, dénué de reproche, s’élève doucement sous les boiseries anciennes du Yard Manor et sans ciller ou quitter des yeux Victoria, la théière se met subitement à crépiter sous de larges flammes. Tu es toujours infiniment stressante quand tu me demandes comment je vais..
Pourtant consciente qu’elle ne pouvait pas demander à Victoria de mettre son don sur le bouton “off”, tout comme elle était incapable d’elle même réfréner l’odorat qu’induisait son animagus défectueux, la rousse s’adosse à son plan de travail et consent enfin à baisser les yeux. Songeuse. Elle cherche un peu ses mots mais finit par tourner son attention en direction du chaudron qui bulle paisiblement à sa droite.
Je dirai que ça va mieux, je parle un petit peu avec Kiran. Bon, seulement parce qu'il avait avancé le prêt d'une chemise bleu roi cannonsisime comme argument et qu'il couvrait son énorme matou gris, Lord Pattypan squash premier du nom, de compliment dès qu'il venait. Il faut dire que ce chat était désespérément fabuleux, et désespérément tolérant avec les lubies de sa maîtresse en dépit d'un comportement particulièrement grincheux. Avec @James Blackthorn c'est toujours un peu bizarre et... Kaiden a prit la confiance depuis qu'il m'a offert mon chat, donc j'ai du lui rappeler qu'on n'avait pas élevé les veaudelune ensemble. Ce qui était vrai : Kaiden s'était odieusement barré durant leur enfance et les avait laissé tomber. Si James avait fait étonnamment amis-amis ces derniers temps, Cataleya lui soufflait toujours quelques "traître" dès lors qu'il n'allait pas dans son sens. C'est à dire souvent.
Si les épaules se hausse machinalement, c'est en tout point gracile qu'elle vient cueillir la théière et quelques tasses, parsemant l'eau de quelques fleurs de jasmin avant d'agrémenter la sienne de six goutte de philtre de paix.
Sursautant brutalement, Cataleya manque de laisser échapper ses fleurs de jasmin et ramène aussitôt ses grands yeux bleu sur Victoria. Un peu alertée par une phrase pourtant des plus banale. La tête penche un peu sur le côté, comme si ce simple angle pouvait permettre aux regards de la rousse de plonger plus profondément encore dans celui de sa cousine ; creuser un peu, en dépit d’une absence de don adéquat, des intentions qu’elle ne saisit pas.
Tu t’essayes aux interrogatoires ? Le ton, dénué de reproche, s’élève doucement sous les boiseries anciennes du Yard Manor et sans ciller ou quitter des yeux Victoria, la théière se met subitement à crépiter sous de larges flammes. Tu es toujours infiniment stressante quand tu me demandes comment je vais..
Pourtant consciente qu’elle ne pouvait pas demander à Victoria de mettre son don sur le bouton “off”, tout comme elle était incapable d’elle même réfréner l’odorat qu’induisait son animagus défectueux, la rousse s’adosse à son plan de travail et consent enfin à baisser les yeux. Songeuse. Elle cherche un peu ses mots mais finit par tourner son attention en direction du chaudron qui bulle paisiblement à sa droite.
Je dirai que ça va mieux, je parle un petit peu avec Kiran. Bon, seulement parce qu'il avait avancé le prêt d'une chemise bleu roi cannonsisime comme argument et qu'il couvrait son énorme matou gris, Lord Pattypan squash premier du nom, de compliment dès qu'il venait. Il faut dire que ce chat était désespérément fabuleux, et désespérément tolérant avec les lubies de sa maîtresse en dépit d'un comportement particulièrement grincheux. Avec @James Blackthorn c'est toujours un peu bizarre et... Kaiden a prit la confiance depuis qu'il m'a offert mon chat, donc j'ai du lui rappeler qu'on n'avait pas élevé les veaudelune ensemble. Ce qui était vrai : Kaiden s'était odieusement barré durant leur enfance et les avait laissé tomber. Si James avait fait étonnamment amis-amis ces derniers temps, Cataleya lui soufflait toujours quelques "traître" dès lors qu'il n'allait pas dans son sens. C'est à dire souvent.
Si les épaules se hausse machinalement, c'est en tout point gracile qu'elle vient cueillir la théière et quelques tasses, parsemant l'eau de quelques fleurs de jasmin avant d'agrémenter la sienne de six goutte de philtre de paix.
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Re: La vengeance de la tarte aux myrtilles ratée. (Victoria)
Ven 4 Aoû 2023 - 10:06
« Cat... » Le regard se baisse intuitivement, prêt à accueillir ce qu'elle sentait venir gros comme un Pansedefer ukrainien et, évidemment, ça ne manque pas. L'expression de Quarta est coupable ; pas d'avoir macérée de telle pensée puisqu'elle les pense désastreusement, mais d'éveiller chez sa cousine un profond mal-être. C'est qu'elle réalise parfaitement la teneur de leur relation et qu'elle même se courbait comme mille démon lorsqu'on osait porter le moindre reproche à Nullus, son aîné, sacro-sainte entité intouchable. Pourtant, de ces deux modèles l'un était validé et l'autre aux frontière de la répudiation. Kaiden, de part ses choix de vie, glissait peu à peu loin du trône Blackthorn et ce fait avait tant ponctué les repas à table lorsque, seule contre ses parents et Tibérius Cataleya picorait à peine, que ça avait fini par sournoisement s'inscrire dans son propre cerveau. Cela faisait des années qu'elle entendait les remarques acerbe de cette triade toute puissante, tout d'abord aussi impuissante que pouvait l'être Alicia, puis de plus en plus actrice puisque valider, même d'un bref hochement de tête, les mots de ses parents garantissait à Cataleya un sursit appréciable. C'était grâce à ça qu'elle avait pu arracher James à l'Egypte : le ramener auprès d'elle, au prix de leur histoire d'amour puisqu'il avait fallut qu'elle renonce à leur mariage, à chacun de ses rêves puisqu'il lui fallait aujourd'hui épouser un homme qu'elle n'aimait pas. Quitter une famille dans laquelle elle peinait déjà à trouver sa place et ce, pour embrasser une autre qui la détestait -quoi que Maximillien oserait lui dire-. Alors certes, ses mots n'étaient jamais tendre à l'égard de Kaiden mais au moins avait-elle la décence de les lui dire en face. Pas comme d'autres
( Ce n'était pas contre toi )
Facile à dire ; il ne mettait les pieds au manoir qu'en cas de force majeur et n’entamait qu'un vague dialogue que depuis que Quarta avait conquit le sien propre. Après vingt ans, c'était un peu tard. Quand bien même Cataleya lui accordait le fait qu'à coller si viscéralement son père -puisqu'elle dormait littéralement sous son fauteuil lorsqu'elle prenait forme animale-, elle n'avait pas souvent prit une allure engageante à l'égard de l'héritier familial. Elle était même quasiment certaine de lui avoir déjà montré les crocs lorsqu'il avait osé répondre à Tibérius. Meh. On aurait pu faire plus sexy en effet.
( […] parce que je t'aime, pumpkin )
La moue se forme, à la fois contrariée et dubitative. C'est que sa mère, sa si parfaite mère lui soufflait à l'oreille depuis ses quatres ans que la seule capable de l'aimer, c'était elle. Que les autres l'abandonnerait et, en définitive, elle n'avait jamais eu tord là dessus. Prima l'avait remplacée, Nullus ne vivait que pour courir après Juliet, lui aussi et ces deux simple fait étaient fondamentalement dévastateur puisque ces deux aînés constituait le maigre repère parental qu'elle parvenait encore à sauvegarder. Et ne parlons pas de James qui..
-Lui aussi, il m'aimait. La parole prend le pas sur la pensée puisqu'elle a pleinement conscience qu'à cet instant même, Victoria gratte ses neurones du bout des ongles. Mais c'est une émotion qui s'effondre si on ne la cultive pas.
Amère, elle repense à tout ces jours où elle campait encore dans sa robe de marié sur les escaliers du manoir puisque son père, pervers et cruel, lui avait fait miroité le retour de cette âme sœur plus d'une fois. Pourtant, s'il avait bien accédé à ses suppliques anxieuse puisqu'elle se laissait dépérir depuis deux ans, n'ayant que pour seule compagnie sa sœur morte, force était de constater que James avait infiniment changé à son retour. Et qu'elle aussi. Le gouffre s'était doucement creusé bien avant qu'il lui avoue l'avoir trompé. Enfin, qu'elle lui arrache cet aveux puisqu’elle doutait qui le lui souffle un jour de lui-même. Victoria coupe pourtant ses pensées en abordant une sortie à deux et, si un regain d'enthousiasme semble soudainement happer la plus jeune, la notion de pleine lune l'horrifie aussitôt.
- Il faut être fou et inconscient pour sortir par Nuit aux loups. Marque t'elle, tout d'abord pleinement bercée par les récits horrifique que se plaisait à égrainer Aloysius à ses oreilles depuis son adoption, puis pleinement traumatisée par ses propres chasses aux loups. Elle peine encore à se remettre de la dernière, puis de la gestion catastrophique de Jolan puisque toute deux avaient manqué de la tuer. Et de tuer des être cher. Le regard se clos subitement pour échapper aux réminiscences mais elle ne voit que trop bien ses doigts maculé de sang. Elle ne revit que trop bien la panique et cette odeur poisseuse qui l'étouffait autant que les cris autour d'elle. Elle ne supportait plus l'odeur du sang. La gorge se serre, les muscles se tendent un peu, mais subitement consciente de ce qu'elle avait en face d'elle, le regard s'ouvre brutalement et l’ordre aboie avec force.
-Sors de ma tête ! Jamais Cataleya ne lève la voix sur Victoria, c'est bien peut être la seule avec Baby d'ailleurs, mais s'il y a bien un sujet qu'elle se refuse à aborder, c'est celui-ci. Je dois aborder des livres monstrueux dans le cadre de ma thèse de médicomagie ; je ne veux pas que tu lises ça. Tu n'en dormirai plus.
Facile à dire ; il ne mettait les pieds au manoir qu'en cas de force majeur et n’entamait qu'un vague dialogue que depuis que Quarta avait conquit le sien propre. Après vingt ans, c'était un peu tard. Quand bien même Cataleya lui accordait le fait qu'à coller si viscéralement son père -puisqu'elle dormait littéralement sous son fauteuil lorsqu'elle prenait forme animale-, elle n'avait pas souvent prit une allure engageante à l'égard de l'héritier familial. Elle était même quasiment certaine de lui avoir déjà montré les crocs lorsqu'il avait osé répondre à Tibérius. Meh. On aurait pu faire plus sexy en effet.
La moue se forme, à la fois contrariée et dubitative. C'est que sa mère, sa si parfaite mère lui soufflait à l'oreille depuis ses quatres ans que la seule capable de l'aimer, c'était elle. Que les autres l'abandonnerait et, en définitive, elle n'avait jamais eu tord là dessus. Prima l'avait remplacée, Nullus ne vivait que pour courir après Juliet, lui aussi et ces deux simple fait étaient fondamentalement dévastateur puisque ces deux aînés constituait le maigre repère parental qu'elle parvenait encore à sauvegarder. Et ne parlons pas de James qui..
-Lui aussi, il m'aimait. La parole prend le pas sur la pensée puisqu'elle a pleinement conscience qu'à cet instant même, Victoria gratte ses neurones du bout des ongles. Mais c'est une émotion qui s'effondre si on ne la cultive pas.
Amère, elle repense à tout ces jours où elle campait encore dans sa robe de marié sur les escaliers du manoir puisque son père, pervers et cruel, lui avait fait miroité le retour de cette âme sœur plus d'une fois. Pourtant, s'il avait bien accédé à ses suppliques anxieuse puisqu'elle se laissait dépérir depuis deux ans, n'ayant que pour seule compagnie sa sœur morte, force était de constater que James avait infiniment changé à son retour. Et qu'elle aussi. Le gouffre s'était doucement creusé bien avant qu'il lui avoue l'avoir trompé. Enfin, qu'elle lui arrache cet aveux puisqu’elle doutait qui le lui souffle un jour de lui-même. Victoria coupe pourtant ses pensées en abordant une sortie à deux et, si un regain d'enthousiasme semble soudainement happer la plus jeune, la notion de pleine lune l'horrifie aussitôt.
- Il faut être fou et inconscient pour sortir par Nuit aux loups. Marque t'elle, tout d'abord pleinement bercée par les récits horrifique que se plaisait à égrainer Aloysius à ses oreilles depuis son adoption, puis pleinement traumatisée par ses propres chasses aux loups. Elle peine encore à se remettre de la dernière, puis de la gestion catastrophique de Jolan puisque toute deux avaient manqué de la tuer. Et de tuer des être cher. Le regard se clos subitement pour échapper aux réminiscences mais elle ne voit que trop bien ses doigts maculé de sang. Elle ne revit que trop bien la panique et cette odeur poisseuse qui l'étouffait autant que les cris autour d'elle. Elle ne supportait plus l'odeur du sang. La gorge se serre, les muscles se tendent un peu, mais subitement consciente de ce qu'elle avait en face d'elle, le regard s'ouvre brutalement et l’ordre aboie avec force.
-Sors de ma tête ! Jamais Cataleya ne lève la voix sur Victoria, c'est bien peut être la seule avec Baby d'ailleurs, mais s'il y a bien un sujet qu'elle se refuse à aborder, c'est celui-ci. Je dois aborder des livres monstrueux dans le cadre de ma thèse de médicomagie ; je ne veux pas que tu lises ça. Tu n'en dormirai plus.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» année d'études : 9ième
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Re: La vengeance de la tarte aux myrtilles ratée. (Victoria)
Sam 2 Sep 2023 - 22:49
Le regard se fragilise à l’évocation de James et d’un amour qui n’était plus inconditionnel puisque, toujours, elle avait été la seule et l’unique. Puisque, toujours, elle avait été suffisante pour le combler. Jusqu’à ce l’arrivé de ce moldu du moins. Le coeur se pique d’orgueil mais l’inspiration est suffisante pour chasser ce nuage venu peser sur son esprit, quoi que les mots de Victoria la contrarie. « [...] mais il tient à toi. » Ce n’était pas ce qu’elle voulait, et l’esprit s’acharne à piétiner les quelques sursauts d’espoir que traîne la voix de sa cousine dans son sillage. Non. Quarta ne serait pas épanouie dans ce manège à trois, quatre… Qui sait même plus. Elle pouvait partager ses cuisses mais pas son coeur, et attendait de régner en maîtresse absolue sur celui de son compagnon. Le sujet s’efface pourtant au profit d’un autre, plus épineux encore. « On trouvera un coin en sécurité. » Le regard s’écarquille, horrifié, et toute sa posture s’en retrouve tordue. Les griffes posées entre elles et un étranglement singulier au bout de la voix. A deux doigts d’aboyer que personne n’était jamais en sécurité par temps de pleine lune, l’excuse soudaine de Victoria désarçonne si fort la rousse qu’elle désengage aussitôt la situation, laissant la lufkin dans un épais brouillard où les émotions se faisait indisciplinées et chaotiques.
Le coeur palpite encore trop fort, réminiscence de toutes ces soirées où les mâchoires claquaient derrière elle et où les grondements pesaient lourd sur ses pensées. La voix de Victoria, pourtant, caresse doucement le cortisol et les angoisses, ramène inexorablement sa jeune cousine à une situation sécuritaire puisque, tout ici, était rassurant. Le manoir était imprenable, les loups tenu loin dehors ou savamment caché dans sa cave, tout était sous contrôle et plus jamais une nuit comme celle qui avait emporté Keir ne pourrait se reproduire.
« Je suis désolée, Pumpkin, [...]» La tête se secoue doucement et intuitivement la médicomage s’accroupie, bras croisé sur la table, le menton à peine posé dessus. C’était elle qui avait à s’excuser ; elle réagissait de manière disproportionné à tout, s’angoissait pour rien, et nécessairement entraînait avec elle les inquiétudes de sa famille. Et ça ne manque pas, le sujet tombe. Celui-là même qui pesait si lourd sur les lèvres de Nullus lorsqu’il la voyait bouder son repas, celui là même qui obligeait presque James à lui envoyer des colis à deux heures du matins parce qu’elle avait raté son plat : comme si lui mettre une plâtrée gargantuesque sous les yeux l’inciterait à y goûter. En désespoir de cause, la tête s’enfonce profondément entre ses bras et la voix s’efforce de répondre sans tomber dans le murmure.
« Pas assez.. Tout me répugne en ce moment… » La tête daigne émerger de son cocon blanc, mais le regard se pose dans le vide puisque conscient que tout ceci n’était pas normal. Elle fuit un peu le regard de Victoria, honteuse, mais s’efforce de s’enhardir sur une inspiration contrôlée. « En fait… » Non. Elle ne sait pas même poser des mots sur le mal qui la ronge, quoi qu’elle sait que Miguel le résumerait en un nom unique ; “Claudia”. « Tout a un goût de sang… » Le ton est plaintif, le regard brouillé par l’usure. La jambe voudrait relever sa carcasse mais le précieux joyaux de maman demeure au sol, le menton sur ses bras constellé ci et là de charmantes étoiles sur fond nacré. « Tu sais, à sainte marie je sens la peur de gens, leur stress, je peux te donner l’état d’un patient sans même entrer dans sa chambre parce que la maladie a une odeur. Je.. Je crois que mon cerveau doit faire des associations bizarre. Tout me dégoute, je sens vraiment ces odeurs partout… Comme si.. Ah. Je ne sais pas. Comme si ma nourriture sentait la Mort et le sang. » Clairement, animagus chien et médicomage aurait pu être une sublime combinaison s’il avait s’agit là d’une vocation et pas d’une décision plaqué sur son front pour satisfaire papa / maman, mais la vérité était que, si la nourriture la dégoutait depuis le départ de James, son esprit ne faisait cette sordide association nourriture = sang que depuis décembre. Depuis que @Charlie Keir avait été emporté par une froide nuit de décembre. Le regard coule un peu plus dans le vide mais la main fini par taper deux coups sur la table pour se redonner du courage avant de se redresser. « M’enfin ! Note que j'essaye tout de même de manger ! J'ai fais un tarte ! »
Tu as fait bruler une tarte Cat, il y avait une subtile nuance.
Le coeur palpite encore trop fort, réminiscence de toutes ces soirées où les mâchoires claquaient derrière elle et où les grondements pesaient lourd sur ses pensées. La voix de Victoria, pourtant, caresse doucement le cortisol et les angoisses, ramène inexorablement sa jeune cousine à une situation sécuritaire puisque, tout ici, était rassurant. Le manoir était imprenable, les loups tenu loin dehors ou savamment caché dans sa cave, tout était sous contrôle et plus jamais une nuit comme celle qui avait emporté Keir ne pourrait se reproduire.
« Je suis désolée, Pumpkin, [...]» La tête se secoue doucement et intuitivement la médicomage s’accroupie, bras croisé sur la table, le menton à peine posé dessus. C’était elle qui avait à s’excuser ; elle réagissait de manière disproportionné à tout, s’angoissait pour rien, et nécessairement entraînait avec elle les inquiétudes de sa famille. Et ça ne manque pas, le sujet tombe. Celui-là même qui pesait si lourd sur les lèvres de Nullus lorsqu’il la voyait bouder son repas, celui là même qui obligeait presque James à lui envoyer des colis à deux heures du matins parce qu’elle avait raté son plat : comme si lui mettre une plâtrée gargantuesque sous les yeux l’inciterait à y goûter. En désespoir de cause, la tête s’enfonce profondément entre ses bras et la voix s’efforce de répondre sans tomber dans le murmure.
« Pas assez.. Tout me répugne en ce moment… » La tête daigne émerger de son cocon blanc, mais le regard se pose dans le vide puisque conscient que tout ceci n’était pas normal. Elle fuit un peu le regard de Victoria, honteuse, mais s’efforce de s’enhardir sur une inspiration contrôlée. « En fait… » Non. Elle ne sait pas même poser des mots sur le mal qui la ronge, quoi qu’elle sait que Miguel le résumerait en un nom unique ; “Claudia”. « Tout a un goût de sang… » Le ton est plaintif, le regard brouillé par l’usure. La jambe voudrait relever sa carcasse mais le précieux joyaux de maman demeure au sol, le menton sur ses bras constellé ci et là de charmantes étoiles sur fond nacré. « Tu sais, à sainte marie je sens la peur de gens, leur stress, je peux te donner l’état d’un patient sans même entrer dans sa chambre parce que la maladie a une odeur. Je.. Je crois que mon cerveau doit faire des associations bizarre. Tout me dégoute, je sens vraiment ces odeurs partout… Comme si.. Ah. Je ne sais pas. Comme si ma nourriture sentait la Mort et le sang. » Clairement, animagus chien et médicomage aurait pu être une sublime combinaison s’il avait s’agit là d’une vocation et pas d’une décision plaqué sur son front pour satisfaire papa / maman, mais la vérité était que, si la nourriture la dégoutait depuis le départ de James, son esprit ne faisait cette sordide association nourriture = sang que depuis décembre. Depuis que @Charlie Keir avait été emporté par une froide nuit de décembre. Le regard coule un peu plus dans le vide mais la main fini par taper deux coups sur la table pour se redonner du courage avant de se redresser. « M’enfin ! Note que j'essaye tout de même de manger ! J'ai fais un tarte ! »
Tu as fait bruler une tarte Cat, il y avait une subtile nuance.
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