- Cameron DullahanOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 109
» miroir du riséd : Felix Yongbok Lee
» crédits : pint & signa le chant des sirènes
» multinick : Apsa la dancin'queen / Lewis le Grumpy Cat
» âge : 22
» situation : Célibataire
» année d'études : x
» options obligatoires & facultatives : ★ Anxiété
★ Hypersensibilité
★ Amour disproportionné
» profession : Tatoueur/perceur au Styx
» particularité : Métamorphomage
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The password isn't 1234 ft Juliet
Mer 3 Avr 2024 - 9:14
The password isn't 1234 @Juliet Blackthorn
Vendredi 29 mars 2024 - soirée
La tête blonde dodelinait de droite et de gauche, collant au rythme d’une mélodie qu’elle seule semblait pouvoir entendre. Elle l’entrainait tant et si bien que le buste suivait, que les hanches roulaient pourtant désespérément collées à son tabouret. L’assise se pliait à ses caprices mais les roues, elles, restaient indéniablement plantées dans le sol. Son pied martelait cet unique point d’ancrage, comme si l’inconscient cherchait à conserver cet accès au réel. Il était pourtant loin Cameron. Rien ne semblait pouvoir le sortir de sa transe. Ni le départ au compte-gouttes des clients du shop, ni l’arrivée des joueurs invétérés qui flânaient ci et là avant de disparaitre par la cave. Rien n’était suffisamment intéressant pour permettre à son esprit de s’ouvrir. Il était perdu dans son monde et s’y enfonçait chaque seconde un peu plus. Il esquivait les lumières qui menaçaient de lui brûler la rétine, occultait les sons qui lui hérissait les poils, déglutissait et claquait sa langue contre son palais dans un vœux de silence surprenant. Il était à deux doigts de défaillir, le grand sensible. La fin de semaine avait été particulièrement intense et les stimulations incessantes. Trop vives. Trop fortes. Trop constantes. L’explosion aurait pu être dévastatrice, s’il ne s’était pas refugié derrière sa bulle de verre. Ultime rempart face à l’exaltation folle de ses sens.
Pas d’affreux Jo pour apaiser la torture ce soir. L’un comme l’autre étaient déjà passés de l’autre côté, prêts à fouler la scène pour le plus grand plaisir des spectateurs. Et le sien ? Il avait l’impression que ça faisait une éternité qu’il ne les avait pas admirés. Eux, sous les feux des projecteurs. Lui, dans l’ombre rassurante. Ses services n’avaient pas été sollicités depuis un moment et seuls ses horaires excessifs au salon de tatouage lui permettaient d’approcher la face cachée du Styx. Il perçait un collègue entre deux clients, souriait au nom de Rainbow et redressait la tête à la mention du Graal. Si le premier était connu de tous, le second ne subsistait que grâce à la mémoire de ses plus anciens collègues. Barman. Serveur. Tatoueur. Perceur. Il jonglait entre différentes casquettes mais préféraient les deux dernières. De loin. Elles lui permettaient d’être lui-même, sans honte. Lorsqu’il œuvrait, à la création ou à l’encrage, il n’avait aucun besoin de se cacher. Ses mèches dorées étaient libres de changer de couleur à volonté, à l’image de ses iris ou taches de rousseur. Ici, il n’était pas difforme mais unique. Il y brillait par son talent et non pas sa malédiction.
Une main se posa sur son épaule à l’instant même où la mine de charbon quitta le papier. Ça le fit sursauter, bien sûr, mais il se reprit bien vite. Les sourcils se froncèrent à peine, non pas à l’attention de cet élément perturbateur, mais face à sa feuille. Sa surprise n’avait pas rajouté de ligne étrange, superflue ou irrécupérable. Il avait gardé le contrôle jusqu’au bout et ce constat, si futile pour certains, le fit soupirer de soulagement.
« Une cliente pour toi. »
L’esprit torturé métamorphosa ses traits. L’agitation erratique de sa jambe cessa instantanément. La nervosité exorcisée par le dessin, il semblait plus enclin à reprendre contact avec le monde des vivants. Quelle heure était-il ? Tard. Il ne restait plus que lui, dans le coin qui lui était dédié, et son ancien mentor prêt à le quitter. C’était son tour de tenir la "boutique" pour permettre la descente aux Enfers. Parfait. Il avait encore des idées plein la tête, voulait mettre un peu de couleur sur un projet, rajouter du…
« Elle t’attend. »
L’homme pointa du doigt une silhouette cachée par son corps trapu. Les doigts se crochetèrent au siège et il se pencha, encore et encore, jusqu’à croiser le regard d’une blonde. Il l’avait déjà vu. Elle travaillait de l’Autre côté. Ça expliquait pourquoi il l’avait invité à se rapprocher, alors que les dermographes étaient posés pour la soirée.
« ‘Key. Bonne soirée Patron. »
L’homme releva exagérément les yeux avant d’abattre avec force sa main sur la crinière blonde. Il le gratifia d’un « A demain, p’tit » avant de se jeter une épaisse cape sur ses épaules et de disparaitre. A son départ, la chevelure se ternit légèrement mais rien de bien flagrant. Rien à voir avec les mèches pâlottes qu’il avait dû afficher en pleine gestion de crise.
« En quoi est-ce que je peux t’aider ? »
Il tira de sous la table un deuxième tabouret et le fit rouler à ses côtés, sa main en tapotant rapidement l’assise en guise d’invitation. Ses mouvements, vifs pour la plupart, conduisait sa chemise blanche à se soulever de temps à autre. Les chaines dorées qui y étaient fixées glissaient sur sa peau et le ravissait. S’il avait été déçu de ne pas trouver pareille rangée de perles, comme celle de @Cataleya Blackthorn , il devait bien avouer que ce chemisier avait son charme. Accompagné d’un pantalon slim déchiré de façon précise, la tenue avait de quoi faire son petit effet. Avec elle, il attirait l’attention plutôt que de la subir.
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- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : miguel pajares & calliope muller & andrew hill
» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» année d'études : 6eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
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Re: The password isn't 1234 ft Juliet
Mer 10 Avr 2024 - 9:12
Les mains qui frénétiquement cherchent et retournent ses innombrables poches de sa robe de sorcière, enfilée à la va vite après avoir quitté son uniforme vert qu’elle trainait dans les couloirs de Sainte Marie. Tout ça pour ensuite enfiler une autre robe, noire comme la nuit et courte comme ses nuits… Encore fallait il pour cela trouver le morceaux de parchemin sur lequel la rune qui lui ouvrait les portes du cabaret était dessinée.
A quelques mètres de là, le regard lourd de l’avidité pèse sur ses épaules, maintenant qu’elle a posée son sac par terre et qu’elle offre un piètre spectacle en sortant tout ce qui peut être dedans, c’est à dire bien des choses puisque le sortilège d’extension lui offrait la possibilité de stocker tout ce qu’elle voulait de manière quasi-compulsive.
- Clio…
- Je sais !
Elle répond peut-être un peu trop impulsivement, le nez dans un livre au cas où le petit morceau de parchemin se serait glissé entre deux pages…
- Je sais, Greed !
Elle souffle tandis qu’iel fronce les sourcils. Fermant le livre d’un coup sec, elle soupire.
- Je t’avais dis que si ça arrivait encore…
- Je sais…
« Une cliente pour toi. » Voila. Ca avait été acté presque à l’insu de son pleins gré. Elle serre les dents, essayant de se faire à l’idée que des aiguilles allaient transpercer sa peau, pour glisser sous l’épiderme de l’encre éternelle. L’idée lui arracha un frisson d’anxiété. Si elle commençait a se faire à l’idée de travailler pour les ténébrer, le fait de l’ancrer sur sa peau de manière indélébile lui donnait la terrible impression de se voir passer les fers… « En quoi est-ce que je peux t’aider ? » Elle ne r épond pas de suite, observant quelques secondes le tabouret puis l’ancien camarade de Poudlard qu’elle n’a jamais vraiment fréquenté.
- Tatoue lui la rune, je n’en peux plus de la voir chercher après perdu trois nuits par semaine.
Le sourire de Juliet est terriblement forcé.
- Le plus petit possible, s’il te plait.
Comme si ça changeait quelque-chose…
A quelques mètres de là, le regard lourd de l’avidité pèse sur ses épaules, maintenant qu’elle a posée son sac par terre et qu’elle offre un piètre spectacle en sortant tout ce qui peut être dedans, c’est à dire bien des choses puisque le sortilège d’extension lui offrait la possibilité de stocker tout ce qu’elle voulait de manière quasi-compulsive.
- Clio…
- Je sais !
Elle répond peut-être un peu trop impulsivement, le nez dans un livre au cas où le petit morceau de parchemin se serait glissé entre deux pages…
- Je sais, Greed !
Elle souffle tandis qu’iel fronce les sourcils. Fermant le livre d’un coup sec, elle soupire.
- Je t’avais dis que si ça arrivait encore…
- Je sais…
« Une cliente pour toi. » Voila. Ca avait été acté presque à l’insu de son pleins gré. Elle serre les dents, essayant de se faire à l’idée que des aiguilles allaient transpercer sa peau, pour glisser sous l’épiderme de l’encre éternelle. L’idée lui arracha un frisson d’anxiété. Si elle commençait a se faire à l’idée de travailler pour les ténébrer, le fait de l’ancrer sur sa peau de manière indélébile lui donnait la terrible impression de se voir passer les fers… « En quoi est-ce que je peux t’aider ? » Elle ne r épond pas de suite, observant quelques secondes le tabouret puis l’ancien camarade de Poudlard qu’elle n’a jamais vraiment fréquenté.
- Tatoue lui la rune, je n’en peux plus de la voir chercher après perdu trois nuits par semaine.
Le sourire de Juliet est terriblement forcé.
- Le plus petit possible, s’il te plait.
Comme si ça changeait quelque-chose…
SUNSHINE
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Re: The password isn't 1234 ft Juliet
Ven 12 Avr 2024 - 14:41
The password isn't 1234 @Juliet Blackthorn
L’oreille fut attirée par la voix de son ancien mentor mais l’œil, lui, ne se détourna pas une seconde du visage de la sorcière. Ainée qu’il n’avait fait que croiser du temps de Poudlard, voilà qu’il la retrouvait figée devant lui. Il prit un instant pour en détailler ses traits, loucher un peu sur les vaguettes blondes. C’est qu’il n’avait jamais eu le temps de couler sur elle un seul regard. Ne l’avait jamais pris, du moins. Les stimuli étaient nombreux de l’Autre Côté et son attention, trop vite dispersée. Il y avait eu Joshua à regarder, une fois glissé derrière le comptoir. Joeïa, des années plus tard. Elle avait un beau visage, de ceux qu’on se plait à coucher sur papier. Sans doute le fera-t-il, une fois la tache accomplie. Si elle l’acceptait, bien sûr. Bossy avait beau le lui avoir demandé, il n’entamait jamais une peau sans l’accord tacite du propriétaire : que ce soit par la pointe d’une dent, d’une langue ou d’une aiguille. Question de savoir vivre.
« Fais semblant d’écouter Greed. Il finira par s’en aller quand il comprendra que c’est pour de faux. »
L’homme s’offusqua et le traita de gamin insolent, doublé d’un qu’est-ce que j’ai pu bien faire pour mériter un morveux aussi peu respectueux ? Il abattit vivement sa main sur la chevelure, le salua et claqua la porte derrière lui. Enfin seuls, puisque le plus gros des employés de la partie immergée était déjà passé. Rien de plus normal, à cette heure. Ne restait à attendre que les retardataires, clients et… Tête en l’air. Comme Juliet.
« Seulement si tu le souhaites Clio. »
Un doux sourire s’arma sur ses lippes. Il se saisit d’un crayon et griffonna la rune sur une feuille de papier blanc, de plus en plus petit…
« Dis-moi ce qui te conviendrait le mieux. On pourra faire un essai avant, pour que tu te rendes comptes du résultat avant de l’encrer. Tu as déjà une idée de l'emplacement ? »
Un mouvement de bassin et sa chaise pivota dans sa direction.
« Je peux aussi rajouter des petites choses, si tu en as envie. »
Elle n’était pas obligée d’être marquée comme une bête, après tout. Enfin, qui était-il pour juger le kink d’autrui ?
« Fais semblant d’écouter Greed. Il finira par s’en aller quand il comprendra que c’est pour de faux. »
L’homme s’offusqua et le traita de gamin insolent, doublé d’un qu’est-ce que j’ai pu bien faire pour mériter un morveux aussi peu respectueux ? Il abattit vivement sa main sur la chevelure, le salua et claqua la porte derrière lui. Enfin seuls, puisque le plus gros des employés de la partie immergée était déjà passé. Rien de plus normal, à cette heure. Ne restait à attendre que les retardataires, clients et… Tête en l’air. Comme Juliet.
« Seulement si tu le souhaites Clio. »
Un doux sourire s’arma sur ses lippes. Il se saisit d’un crayon et griffonna la rune sur une feuille de papier blanc, de plus en plus petit…
« Dis-moi ce qui te conviendrait le mieux. On pourra faire un essai avant, pour que tu te rendes comptes du résultat avant de l’encrer. Tu as déjà une idée de l'emplacement ? »
Un mouvement de bassin et sa chaise pivota dans sa direction.
« Je peux aussi rajouter des petites choses, si tu en as envie. »
Elle n’était pas obligée d’être marquée comme une bête, après tout. Enfin, qui était-il pour juger le kink d’autrui ?
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Re: The password isn't 1234 ft Juliet
Mar 23 Avr 2024 - 21:16
« Fais semblant d’écouter Greed. Il finira par s’en aller quand il comprendra que c’est pour de faux. » Elle ne sait pas sur quel pied danser, Juliet, puisque les deux hommes semblent prendre cet acte à la rigolade. C’est qu’ils sont tout deux avidement encré et qu’elle est vierge en la matière comme le plus neuf des parchemins. L’espace d’une seconde, elle envisage d’appeler Pride à son secours. Mais rien ne lui assurait que la pécheresse prendrait le partie de son employée plutôt que celui de son comparse.
« Seulement si tu le souhaites Clio. » Le regard qui s’était focalisé sur le tabouret se relève sur le visage de tatoueur lequel s’affaire déjà. Elle aimerait rétorquer que ce n’est pas comme si elle avait vraiment le choix… Greed n’était pas de ceux dont elle osait discuter les ordres. Et inconsciemment ou pas, Cameron le savait, puisqu’il s’affairait déjà crayon en main. Il essaye de la rassurer pourtant et l’interroge : « Tu as déjà une idée de l'emplacement ? »
- Aucune…
Elle avait eut moult occasion d’y penser, depuis que le pêché de l’avidité la menaçait. Mais elle était si réfractaire à l’idée qu’elle avait furieusement refusé de se pencher sérieusement sur la question. « Je peux aussi rajouter des petites choses, si tu en as envie. »
- Mhm…
Evidemment tant qu’à faire, ça serait peut être plus sympa d’y ajouter quelques détails qu’elle apprécie plutôt que de simplement se tatouer la rune qui marquait son appartenance au Styx.
- Comment ça fonctionne… après ? Je veux dire. La rune qui sert à passer change chaque semaine. Comment elle va changer sur ma peau ?
« Seulement si tu le souhaites Clio. » Le regard qui s’était focalisé sur le tabouret se relève sur le visage de tatoueur lequel s’affaire déjà. Elle aimerait rétorquer que ce n’est pas comme si elle avait vraiment le choix… Greed n’était pas de ceux dont elle osait discuter les ordres. Et inconsciemment ou pas, Cameron le savait, puisqu’il s’affairait déjà crayon en main. Il essaye de la rassurer pourtant et l’interroge : « Tu as déjà une idée de l'emplacement ? »
- Aucune…
Elle avait eut moult occasion d’y penser, depuis que le pêché de l’avidité la menaçait. Mais elle était si réfractaire à l’idée qu’elle avait furieusement refusé de se pencher sérieusement sur la question. « Je peux aussi rajouter des petites choses, si tu en as envie. »
- Mhm…
Evidemment tant qu’à faire, ça serait peut être plus sympa d’y ajouter quelques détails qu’elle apprécie plutôt que de simplement se tatouer la rune qui marquait son appartenance au Styx.
- Comment ça fonctionne… après ? Je veux dire. La rune qui sert à passer change chaque semaine. Comment elle va changer sur ma peau ?
SUNSHINE
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Re: The password isn't 1234 ft Juliet
Mar 30 Avr 2024 - 16:01
The password isn't 1234 @Juliet Blackthorn
Une moue compatissante tordit les traits du métamorphomage. Greed pouvait être excessivement chiant. Il l’avait compris dès le jour de leur rencontre et l’homme n’avait fait que donner plus de matière au dossier à chaque minute passée en sa compagnie. Il était bougon, imposant, peut-être même un peu effrayant sur les bords mais au fond, il n’avait rien de bien méchant. Il faisait partie de cette catégorie étrange de personnalité ourso-typique qu’on apprenait à apprécier avec le temps. La première impression était souvent désagréable mais avec un peu d’effort et d’ouverture d’esprit, on finissait par en apprécier les qualités. Il était comme un bon vin, l’aspect enivrant en moins.
« Je peux te poser des stencils à différents endroits pour que tu puisses te rendre compte de ce que tu souhaites, ou non. Certaines parties du corps sont à privilégier selon la taille et la complexité du tatouage pour une question esthétique mais la beauté diffère selon les regards. En définitive, tu auras le dernier mot. »
Il se répétait Rainbow, mais n’en avait que faire. C’était son corps, sa décision. Le grizzly tempêterait pendant plusieurs jours mais c’était le cadet de ses soucis. Il ne l’écoutait déjà pas tant lorsqu’il était de bonne humeur, alors en le sachant furibond… Le crayon fut habillement calé derrière son oreille, entre deux mèches blondes, et le dos reculé de façon à tenir contre la table.
« Le shop se fait livrer des encres spécifiques pour les commandes du genre. Il suffit de lier le dessin principal à la cible et celui-ci se modifiera dès que nécessaire. Le charme n’est pas permanent puisque les lignes finissent par souffrir des changements répétés. Si tu le laisses se dégrader, tu auras un souci d’efficacité et des traits affreux, là où un tatouage classique n’aurait besoin qu’un coup de frais à l’occasion. »
Nouveau mouvement de hanche et le sorcier se retrouva face au bureau, les deux coudes négligemment appuyé dessus et le menton en coupe.
« Et si jamais tu te demandais, ça ne fait pas mal. Pas plus qu’un tracé lambda. Chaque personne est différente bien sûr, et les zones n’ont pas toutes la même sensibilité mais… Pour faire plus simple, dis-toi que généralement, la douleur est corrélée à la complexité. »
Les doigts se mirent à tapoter les joues constellées, visiblement mal à l’aise avec l’inactivité.
« Alors Clio ? »
« Je peux te poser des stencils à différents endroits pour que tu puisses te rendre compte de ce que tu souhaites, ou non. Certaines parties du corps sont à privilégier selon la taille et la complexité du tatouage pour une question esthétique mais la beauté diffère selon les regards. En définitive, tu auras le dernier mot. »
Il se répétait Rainbow, mais n’en avait que faire. C’était son corps, sa décision. Le grizzly tempêterait pendant plusieurs jours mais c’était le cadet de ses soucis. Il ne l’écoutait déjà pas tant lorsqu’il était de bonne humeur, alors en le sachant furibond… Le crayon fut habillement calé derrière son oreille, entre deux mèches blondes, et le dos reculé de façon à tenir contre la table.
« Le shop se fait livrer des encres spécifiques pour les commandes du genre. Il suffit de lier le dessin principal à la cible et celui-ci se modifiera dès que nécessaire. Le charme n’est pas permanent puisque les lignes finissent par souffrir des changements répétés. Si tu le laisses se dégrader, tu auras un souci d’efficacité et des traits affreux, là où un tatouage classique n’aurait besoin qu’un coup de frais à l’occasion. »
Nouveau mouvement de hanche et le sorcier se retrouva face au bureau, les deux coudes négligemment appuyé dessus et le menton en coupe.
« Et si jamais tu te demandais, ça ne fait pas mal. Pas plus qu’un tracé lambda. Chaque personne est différente bien sûr, et les zones n’ont pas toutes la même sensibilité mais… Pour faire plus simple, dis-toi que généralement, la douleur est corrélée à la complexité. »
Les doigts se mirent à tapoter les joues constellées, visiblement mal à l’aise avec l’inactivité.
« Alors Clio ? »
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