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Re: SUJET COMMUN ; Le bal de charité
Mer 20 Avr 2011 - 23:55
ϟ i don't wanna go home tonight.
Si j'avais pu prédire tout ce qui se produirait au cours de ce bal de charité complètement inutile, croyez-moi, je serais resté dans mon appartement, à contempler la magnificence d'une lune argenté qui formait un cercle parfait dans la pénombre du ciel abstrait. Mais le simple fait de la revoir, ne serait-ce que de l'apercevoir même avait suffi à me donner envie d'y rester, de profiter de chaque secondes à la contempler. Étais-je en plein délire? Peut-être bien, ou peut-être pas. J'avais tout simplement pressenti que quelque chose de grandiose allait se produire ici même.Si cela me concernait, et bien, ce ne serait qu'un bénéfice, qu'un avantage à devoir endurer toute cette folie qui sévissait parmi les élèves, à devoir écouter cette musique frétillante qui n'était pas tout à fait dans mes cordes, moi qui écoutait essentiellement du rock indépendant et qui généralement, créait ses propres compositions. Cette pop assommante avait le don de m'énerver, mais je gardai bien de le crier à quiconque. Je n'étais pas venu ici, somme toute, pour me faire des ennemis, mais pour revoir ce visage si singulier qui hantait chacune de mes pensées depuis une année entière. J'avais été bien vite été rejoins par ma cousine, puis ensuite par ma meilleure amie. C'aurait sans doute pu être une très belle soirée si elle ne s'était pas précipitée sur moi afin d'échanger un baiser, certes chaste, mais inattendu sur mes lèvres vierges depuis longtemps, beaucoup trop longtemps. Je n'avais strictement rien ressenti, sauf peut-être du dégoût de l'horreur ou un délicieux mélange de tout ça en même temps. Après tout, si Caliope m'avait aggripé la nuque pour m'embrasser, ce n'était pas pour m'avouer sa flamme. Je la connaissais par coeur et recherchai avidement des yeux ce qui avait pu être l'élément déclencheur de sa démence absolue « T'es vraiment beau ce soir Graminou, tu vas bien? » Je ne souriais point. Elle m'avait imposé quelque chose qui était au dessus de mes forces, et ce devant le regard de celle qui était la cause de tous mes tourments depuis quelques temps déjà. Au moment même où sa bouche s'était collée contre la mienne, j'avais sentis des prunelles à la teinte d'écorce me dévisager. C'était elle, Octhave Redfield, elle était au beau milieu de la piste de danse, au bras de celui pour qui j'avais une certaine répulsion et nous regardait.Extrêmement confus qu'elle aie été témoin de ce petit " incident " , je me retournai vivement vers ma meilleure amie en lui crachant « Qu'est-ce qui t'as pris Cali' ? » L'on pouvait sentir le malaise envahir chacun de mes mots, un peu comme une maladie vénérienne insoignable. Caliope avait commis un geste irréparable, mais je ne mis pas de temps à comprendre son raisonnement. Son mari, accompagné des parents de la belle se pointaient à l’horizon.Je connaissais toute son histoire, et normalement je l'aidais volontiers. Je me faisais souvent passer pour son amant, afin que ses parents daignent enfin à accepter que ces deux êtres distincts se divorcent. Il ne me fallut qu'une demi-seconde pour lui jeter un regard noir, elle saurait très bien ce que cela pouvait bien signifier. Je détestais servir de bouc émissaire. « Si tu m'aurais prévenu, Cali , j'aurais suivi tes plans. Erf. » dis-je en me renfrognant un peu plus.Pour en ajouter une couche, celle qui se devait d'être ma complice depuis notre adolescence dévorait ma cousine des yeux. Je poussai un long et douloureux soupir, n'allait-elle pas un jour calmer ses pulsions? Elle était bien pire qu'un homme, bien pire que moi. « Toi aussi tu es ravissante Yona, j'aurais presque envie de te mettre dans mon lit. » Cette fois, j'ouvris ma bouche d'un air franchement étonné, et dégoûté tout à la fois. Ceci ne changea pourtant pas lorsque la brunette se rattrapa, me jetant un regard pour s'assurer que je ne pétais pas les plombs.« Ce qui n'arrivera bien sûr pas. » Je levai mes yeux vers les cieux, prétendant être sérieusement en colère, alors qu'en fait j'étais plutôt plongé dans une immense confusion. Tout ça était arrivé beaucoup trop rapidement. J'avais l'habitude du calme, de la sérénité. Caliope venait peut-être de gâcher ma soirée, mais ce ne fut pas une raison pour lui en vouloir une éternité. Un sourire, le tout premier depuis que les incidents eurent lieu se glissait alors sur mes fines lèvres.. Un Graham un peu plus énergique, et dynamique tout à la fois s'avança alors vers sa meilleur amie, et laissa échapper de sa gorge un rire franc et amical.« T'as plutôt intérêt oui, je n'accepterais jamais que tu te frottes à un membre de ma famille, Cali' et ce, même si je t'adore.... » répliquai-je d'un ton cynique en risquant de temps à autres des regards en direction de la piste de danse. Mon coeur se tordait dans ma poitrine lorsque je vis Octhave avancer vers le buffet en toute innocence. C'est à ce moment précis que mon ex Erhy vint s'excuser de son retard auprès de ma meilleure amie. Mais moi, j'étais obnubilé que par elle. Callie l'avait compris et elle me donna rapidement un coup de coude pour m'encourager, une grimace faite à l'improviste et hop, je me retrouvai derrière elle à contempler son dos dénudé. Je ne sus combien de temps je fus là, immobile, à ne savoir que dire pour qu'elle se retourne, pour que son regard croise le mien, ne serait-ce qu'un bref instant, pour apercevoir l'ombre de son sourire. Et comme dans mes rêves les plus fous, elle inclina légèrement la tête, ressentant très certainement ma présence constante derrière sa personne.« Octhave... » Sans lui laisser le temps de réagir, je pris doucement sa main et la serrai contre la mienne. Je l'entrainai à l'extrémité de la piste de danse. C'était le seul moyen de fuir le reste du monde qui nous entourait. Elle déposa alors son verre qui tanguait légèrement lorsqu'elle me suivit au pas de course. La soirée allait être singulière, je le ressentais et pourtant je n'avais pas ses dons de voyance qu'elle camouflait avec brio.
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Re: SUJET COMMUN ; Le bal de charité
Dim 24 Avr 2011 - 1:57
D'accord ce baiser que je lui avais donné n'était peut être pas la meilleure idée que j'avais eu ce soir. Mais c'était ainsi. Il me connaissait, connaissait ma douleur quand à cet époux et ces parents que je devais supporter, je savais qu'au fond de lui, il trouverait le moyen de me pardonner, quand bien même mon geste l'ai dérangé. « Qu'est-ce qui t'as pris Cali' ? ». Qu'est-ce qui m'a prit de me pointer à ce fichu bal, oui bonne question. Pourquoi n'avais-je vu que le côté joyeux de pouvoir faire danser ma tendre Erhy un moment avant de nous éclipser peut être. Pourquoi n'avais-je pas envisager cette fichu possibilité qu'ils seraient là. Pourquoi il avait fallut que j'y pense tout juste arrivé, une fois qu'il était bien trop tard pour reculer? Tant de question pour si peu de réponse. Et déjà son regard à lui se fait noir. Mais il me pardonnera, je le sais. « Si tu m'aurais prévenu, Cali , j'aurais suivi tes plans. Erf. ». Il a raison dans un sens et ma seule réponse c'est de lui donner un sourire gêné. J'ai encore une fois mis tout en évidence mon manque de capacité à m'exprimer autrement que par mes gestes. Et cette pensée me fait sourire, parce que je sais combien cette tare chez moi déplait à ma mère. Ce soir je n'ai pas envie de lui plaire, j'ai juste envie de l'éviter, de faire comme si je n'étais pas là. J'espère juste que j'arriverais à trouver suffisamment d'échappatoire pour les éviter. Je regrettes que ma cavalière ne soit pas encore arrivée, je regrette de ne pas avoir pu l'embrasser elle. Par que ça, ça aurait encore plus déplus à ces parents qui sont sensé m'aimer. Au goût amer qui empli ma bouche je comprend vite que je grimace à mes propres pensées et le transforme tant bien que mal en sourire. J'avais fait comme si de rien était, je devais jouer le jeu, faire comme si leur présence ne m'atteignait pas plus que cela. « T'as plutôt intérêt oui, je n'accepterais jamais que tu te frottes à un membre de ma famille, Cali' et ce, même si je t'adore.... ». Et je réussi finalement à vraiment lui sourire après cette réplique. J'espère bien qu'il ignore que sa cousine et moi même avons déjà manqué de finir dans les même draps. Je ne m'attarde pas sur cette pensée parce que déjà je sens des doigts fins effleurer mon bras. Mon sourire s'agrandit, je n'imagine qu'une personne qui puisse me toucher de la sorte ce soir. « Pardon pour mon retard… ». Sa voix sonne à mes oreilles comme une bien plus jolie mélodie que celle qui est jouée. Je souris vraiment, me retournant vers elle. Elle ne m'as pas laissé tomber, elle est venue comme elle me l'avait dis. Mes yeux parcours son corps pour admirer la distinction de son costume. Elle est belle, magnifique et je suis ravie de l'avoir en temps que cavalière. Ma main s'empare de la sienne avec douceur. Elle me connait par cœur, elle sait combien je suis plus tactile que loquasse. « Ce n'est rien, tu es là, c'est le principal. ». Je lui souriais de nouveau, déposant un baiser à la commissure de ses lèvres avant de me retourner vers Graham. Je savais que la présence d'Erhy ne serait pas forcément pour lui plaire, je connaissais leur passé à tous les deux pour avoir été le témoin silencieux de la douleur que la jeune fille avait laissé chez mon meilleur ami. Il m'arrivait de m'en vouloir de lui infliger ça, mais je ne pouvais pas lutter contre ce besoin que j'avais d'elle. Mais visiblement ce soir Graham était obnubilé par une jolie blonde. Je le connais bien, il est pire que moi quand il s'agit de parler, même si lui il me semble que c'est plus par timidité qu'incapacité, m'enfin. Je lui donne un coup de coude amical pour l'encourager. Je lui dois bien ça, si elle a vu le baiser que j'ai donné à mon ami, elle a de quoi se poser des questions. Et il fini par la rejoindre et moi je me tourne de nouveau vers ma cavalière.
Je garde sa main dans la mienne et mêle mes doigts au sien. J'étais là pour elle ce soir. Bien sûr que j'espérais au fond de moi attirer l'attention de Joséphine, mais mes espoirs n'étaient pas bien grands. Si je n'avais pas fuit en voyant la présence de mes parents, c'était bien pour elle. Je n'abandonnerais pas ma cavalière et j'essaierais de rendre cette soirée aussi belle que je l'avais imaginer. Bien sûre je n'avais pas toutes les cartes en mains pour être sûre de ce qui arriverais. « Tu es magnifique. Je devine Perséphone n'est-ce pas? ». J'aime la mythologie, la connais, mais ne suis jamais à l'abri d'une erreur. J'en doute; mais préfère tout de même lui demander confirmation. Je serais un peu sa main dans la mienne. Et qu'importe qu'elle fut fille du Styx ou de Déméter, ce soir, si mon Erhy représentait bien Perséphone, elle était avant tout pour moi. Et il était hors de question que je laisse son grymm s'approcher d'elle. Enfin, c'était ce que je me plaisais à me dire, mais je savais pertinemment que si elle désirait aller à lui ou à quiconque d'autre, je ne l'en empêcherait pas. En regardant un peu plus loin je remarquait ceux que je ne voulais pas voir, discutant avec des gens dont je ne connaissais pas même le nom. Continuant mon tour d'horizon mes yeux se posèrent de nouveau sur Graham et Octhave. Je lui souriais bêtement et levais mes pouces en l'air comme pour l'encourager un peu plus. Après ce geste un peu idiot je reposais mon attention sur ma cavalière. « Pardonnes moi pour le baiser avec Graham. Je ne voulais pas que ma famille me repère. ». Je ne savais même pas si elle l'avait vu, mais je me confiais. Cette soirée promettait vraiment tout un tas de choses, je n'étais toute fois pas certaine qu'elles seraient toutes bonnes.
Je garde sa main dans la mienne et mêle mes doigts au sien. J'étais là pour elle ce soir. Bien sûr que j'espérais au fond de moi attirer l'attention de Joséphine, mais mes espoirs n'étaient pas bien grands. Si je n'avais pas fuit en voyant la présence de mes parents, c'était bien pour elle. Je n'abandonnerais pas ma cavalière et j'essaierais de rendre cette soirée aussi belle que je l'avais imaginer. Bien sûre je n'avais pas toutes les cartes en mains pour être sûre de ce qui arriverais. « Tu es magnifique. Je devine Perséphone n'est-ce pas? ». J'aime la mythologie, la connais, mais ne suis jamais à l'abri d'une erreur. J'en doute; mais préfère tout de même lui demander confirmation. Je serais un peu sa main dans la mienne. Et qu'importe qu'elle fut fille du Styx ou de Déméter, ce soir, si mon Erhy représentait bien Perséphone, elle était avant tout pour moi. Et il était hors de question que je laisse son grymm s'approcher d'elle. Enfin, c'était ce que je me plaisais à me dire, mais je savais pertinemment que si elle désirait aller à lui ou à quiconque d'autre, je ne l'en empêcherait pas. En regardant un peu plus loin je remarquait ceux que je ne voulais pas voir, discutant avec des gens dont je ne connaissais pas même le nom. Continuant mon tour d'horizon mes yeux se posèrent de nouveau sur Graham et Octhave. Je lui souriais bêtement et levais mes pouces en l'air comme pour l'encourager un peu plus. Après ce geste un peu idiot je reposais mon attention sur ma cavalière. « Pardonnes moi pour le baiser avec Graham. Je ne voulais pas que ma famille me repère. ». Je ne savais même pas si elle l'avait vu, mais je me confiais. Cette soirée promettait vraiment tout un tas de choses, je n'étais toute fois pas certaine qu'elles seraient toutes bonnes.
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Re: SUJET COMMUN ; Le bal de charité
Mer 4 Mai 2011 - 19:59
Nous étions enfin arrivés au lieu réunissant tout les convives : au plus profond de moi, je perdis quelque peu de mon assurance. Parmi toutes ses robes, toutes ses paillettes, il me semblait être d'un éclat terne affligeant. Je me sous-estimais sans doute, comme j'avais tendance à le faire depuis quelques années déjà, depuis toujours en y réfléchissant bien, mais entre nous : c'était un défaut dont je n'étais pas prête de me défaire. Néanmoins, je ne pu réprimer le reflet de mes pensées en murmurant quelques paroles à mon cavalier qui m'adressa un merveilleux sourire. Pour moi, cela équivalait toute les promesses du monde : la soirée se déroulerait parfaitement, serait peut-être ennuyeuse comme toute mondanité de cette trempe, mais ce soir lorsque je poserais ma tête sur mon oreiller, aucun ennui ne pèserait sur ma conscience, m'empêchant de me plonger entièrement offerte, à un sommeil réparateur. Je ne savais pas à quel point je me fourvoyais, et ce doute n'était que la piqûre de rappel, qui me soufflait qu'à Hungcalf, quoi qu'il arrive, rien ne se passe paisiblement.
« Tu veux qu'on retourne à l'appart' et qu'on se fasse une soirée chips et bière? » Alors que je tentais d'identifier les invités de ma connaissance, je souris et reportais mon attention sur mon compagnon. Je n'eus pas besoin de parler, je savais parfaitement que de part la simple transmission de mes prunelles havanes, le jeune homme comprendrait que c'était juste hors de question. Le tout enveloppé dans une terme qualifiant ce genre d'air " réprobateur ". Après quelques secondes, j'avisais un plateau transportant de délicats toasts. J'en saisissais un au passage, et avec amusement, je me retournais vers Maël pour ironiser « Pourquoi se contenter de chips, alors que nous avons là des toasts de caviar ? » Le ton était léger, digne de la plaisanterie. Je n'aimais pas le caviar - je n'avais eu qu'une seule occasion pour y goûter, et je l'avais rejeté dans mon assiette dès que mes parents avaient eu le dos tourné - et je doutais sérieusement que Maël en soit un adepte. Il me restait plus qu'à trouver ce que j'allais en faire ... « Allez viens, je t'offre un verre ! » Bonne initiative, songeais-je alors que je me pressais contre lui. Nous n'allions tout de même pas rester plantés comme des piquets à l'entrée ... Je déposais discrètement le fameux toast près du buffet, comme s'il n'avait jamais été touché et prit une flûte de champagne que je portais rapidement à mes lèvres. « Pffft regarde moi ces guignols. On dirait qu'ils ont un balai dans le cul ! » Mon regard s'adapta vers la direction qu'il m'indiquait et j'avisais les donzelles auxquelles il faisait allusion. J'éclatais d'un rire silencieux en jugeant leur tenue et leur posture, je lâchais « Si tu veux mon avis, c'est pas un balais qu'elle aimerait avoir là, si tu vois ce que je veux dire ... » Alors que je buvais une nouvelle gorgée de ma boisson et que le liquide ambré coulait le long de ma gorge, je failli m'étouffer toute seule. Damned ! J'avais vraiment dit ce que je venais de lâcher, sans aucune honte ?
« Tu veux qu'on retourne à l'appart' et qu'on se fasse une soirée chips et bière? » Alors que je tentais d'identifier les invités de ma connaissance, je souris et reportais mon attention sur mon compagnon. Je n'eus pas besoin de parler, je savais parfaitement que de part la simple transmission de mes prunelles havanes, le jeune homme comprendrait que c'était juste hors de question. Le tout enveloppé dans une terme qualifiant ce genre d'air " réprobateur ". Après quelques secondes, j'avisais un plateau transportant de délicats toasts. J'en saisissais un au passage, et avec amusement, je me retournais vers Maël pour ironiser « Pourquoi se contenter de chips, alors que nous avons là des toasts de caviar ? » Le ton était léger, digne de la plaisanterie. Je n'aimais pas le caviar - je n'avais eu qu'une seule occasion pour y goûter, et je l'avais rejeté dans mon assiette dès que mes parents avaient eu le dos tourné - et je doutais sérieusement que Maël en soit un adepte. Il me restait plus qu'à trouver ce que j'allais en faire ... « Allez viens, je t'offre un verre ! » Bonne initiative, songeais-je alors que je me pressais contre lui. Nous n'allions tout de même pas rester plantés comme des piquets à l'entrée ... Je déposais discrètement le fameux toast près du buffet, comme s'il n'avait jamais été touché et prit une flûte de champagne que je portais rapidement à mes lèvres. « Pffft regarde moi ces guignols. On dirait qu'ils ont un balai dans le cul ! » Mon regard s'adapta vers la direction qu'il m'indiquait et j'avisais les donzelles auxquelles il faisait allusion. J'éclatais d'un rire silencieux en jugeant leur tenue et leur posture, je lâchais « Si tu veux mon avis, c'est pas un balais qu'elle aimerait avoir là, si tu vois ce que je veux dire ... » Alors que je buvais une nouvelle gorgée de ma boisson et que le liquide ambré coulait le long de ma gorge, je failli m'étouffer toute seule. Damned ! J'avais vraiment dit ce que je venais de lâcher, sans aucune honte ?
- InvitéInvité
Re: SUJET COMMUN ; Le bal de charité
Jeu 12 Mai 2011 - 23:05
LE BAL FERME SES PORTES !
Merci à tous ceux qui ont participé !
Vous pouvez bien sûr continuer vos rps annexes à cette intrigue, mais nous ne compterons plus qu'1 point rp si vous les reportez au mur des triomphes.
Merci à tous ceux qui ont participé !
Vous pouvez bien sûr continuer vos rps annexes à cette intrigue, mais nous ne compterons plus qu'1 point rp si vous les reportez au mur des triomphes.
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