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Quand les masques tombent ... [Winnie&Phaedra]
Ven 2 Déc 2016 - 15:27
Quand les masques tombent ...
L'amour est un fardeau, il détruit les ambitions.
Lorsque les derniers arbres perdent leurs feuillages, lorsque que le vent froid prend des températures glaciale, que l'herbe se givre d'une couleur blanche éclatante comme un diamant aux derniers rayons de soleil de l'année. Lorsque l'hiver arrive, que l'on sent dans l'air cet odeur d'hiver profond, de neige, de sapin de noël, de bûche sucrée, de pain d'épice qui sort du four. Lorsque rien n'est plus appréciable qu'un bon feu de cheminée, l'on sait qu'il va bientôt être temps de quitter Hungcalf, quitter le château pour rentrer dans la maison de famille, retrouver ses parents, ses grand-parents, ses cousins et cousines. Cette perspective remplient de joie certains, en rendent morose d'autre. Elle les voient, rires, préparer les cadeaux, s'échanger des anecdotes, les filles comparer leurs tenue de fête. Et elle n'en peux plus de tout ce brouhaha, de toute cette agitation au sujet d'une fête qu'elle devra subir plus qu'apprécier. Noël chez les Earnshaw, Noël avec les Strugatsky, une perspective dévastatrice pour la jeune fille évitant soigneusement depuis quelques années son futur fiancé. Il l'avait trahi, l'avait bafouer, de plus il ne lui apporterait rien dans son ascension futur pour atteindre les sphères du ministère, il ne serait qu'un fardeau, et elle ne voulait pas d'un fardeau qui l'avait blesser, laminé, détruite au plus profond de son estime et de son coeur. Certains dirons qu'elle n'approuve pas se mariage par fierté, d'autre que c'est parce qu'elle ni décrochera aucun intêret, les deux raisons restent valable. Phaedra se leva doucement de son canapé, étirant son corps endoloris, il fallait qu'elle bouge, qu'elle sorte du château trop effervescent pour elle. Qu'elle trouve une occupation moins joyeuse, il y avait trop de plaisir autour d'elle, elle devait ressentir sa dose de chaos pour tenir le coup. Elle ne voulais pas être la seule à se sentir déprimé aujourd'hui. Sa cape d'hiver sur les épaules, elle se dirigea vers les extérieurs, le froid frigorifiant réveillerait sans doute en elle une idée de méfaits.
L'air glaciale fouetta son visage, qui se mis à rougir sous la violence du changement de température. Elle n'avait jamais été une grande amoureuse du froid mais il fallait avouer qu'elle se sentait beaucoup mieux. Elle se mit alors à marcher dans une direction quelconque, ne cherchant pas spécialement à se rendre quelque part. Le parc était vide, le lac un peu moins. Au loin elle pu apercevoir deux amoureux, debout sur leurs patins à glace, bien emmitouflé dans leurs vêtements et leurs amours dégoulinant. Phaedra eu un haut le coeur et s'approcha sans se faire remarquer. Sa baguette dans sa poche vibra alors qu'elle posa ses doigt délicat et glacé autour. La sortant de sa poche elle visa la glace sous les pieds de ses prochaines victimes et d'un coup sec envoyé un éclair de lumière. Un craquement, des cris et les deux sorciers furent submergé. Un petit rire transperça le silence et sans même regarder les deux sorciers qui tant bien que mal parvenait à sortir de leurs baignades forcé se dirigea vers la fontaine des gobelins ....
L'air glaciale fouetta son visage, qui se mis à rougir sous la violence du changement de température. Elle n'avait jamais été une grande amoureuse du froid mais il fallait avouer qu'elle se sentait beaucoup mieux. Elle se mit alors à marcher dans une direction quelconque, ne cherchant pas spécialement à se rendre quelque part. Le parc était vide, le lac un peu moins. Au loin elle pu apercevoir deux amoureux, debout sur leurs patins à glace, bien emmitouflé dans leurs vêtements et leurs amours dégoulinant. Phaedra eu un haut le coeur et s'approcha sans se faire remarquer. Sa baguette dans sa poche vibra alors qu'elle posa ses doigt délicat et glacé autour. La sortant de sa poche elle visa la glace sous les pieds de ses prochaines victimes et d'un coup sec envoyé un éclair de lumière. Un craquement, des cris et les deux sorciers furent submergé. Un petit rire transperça le silence et sans même regarder les deux sorciers qui tant bien que mal parvenait à sortir de leurs baignades forcé se dirigea vers la fontaine des gobelins ....
black pumpkin
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Re: Quand les masques tombent ... [Winnie&Phaedra]
Jeu 8 Déc 2016 - 18:12
quand les masques tombent
L'hiver.
La pire saison du monde. Du moins, à mes yeux. C'est vrai, quoi. L'hiver, c'est supposé être la période où l'on s'allonge au coin du feu avec notre petit copain, notre petite copine, et qu'on lit un bouquin en lisant de la tisane, profitant l'un de l'autre pour se réchauffer, non ? C'est un peu la période de l'amour, quand même, parce qu'avec le froid, on se rapproche, on se câline, on s'aime. On se réchauffe, à deux. On aime, à deux. Et moi, je suis là, seule, à regarder ces couples s'aimer, fatiguée, dans l'attente constante. Je me sens toujours un peu triste, quand l'hiver s'installe. Je peux pas m'empêcher. Je crois que même si je le voulais, j'y arriverais pas. Alors, je me retranche un peu sur moi-même, je me retranche dans mes passions dévorantes, et j'attend. Un signe quelconque, n'importe quoi qui arriverait, en fait.
Par Merlin, j'attend juste un signe.
Je sais d'avance que je ne vais pas rentrer chez moi, durant les prochaines vacances. Je crois que Leopold, lui, rentre chez les Nott. Raisons de plus, donc, pour rester au château, profiter un peu de la solitude qu'engendrera les congés, profiter de la neige et de la soirée qu'on se fera pour le nouvel an. Ouais, c'est une bonne chose, que je reste ici. Je vais pouvoir m'avancer sur mes devoirs, défaire mes plants afin qu'ils ne meurent pas à cause du gèle, et dormir, dormir, et encore dormir. Je vais pouvoir me balader dans le château enroulé dans ma couette, et rien ne pourrait me faire plus plaisir. La seule chose, c'est que j'aurais moins l'occasion de fumer. Déjà, parce qu'il fait froid, et que j'ai vraiment la flemme de sortir pour ça, mais aussi et surtout parce que je vais essayer d'écouler mon stock avant que les gens ne partent, histoire de pouvoir déplanter chaque plante. Pas envie qu'elles s'abîment. Mes pauvres bébés. Ce qui me rappelle d'ailleurs que j'ai du temps devant moi, et que je ferais presque mieux de rejoindre la serre pour commencer dès maintenant à déraciner. Alors j'me couvre, j'enfile une parka, manteau moldu tenant vraiment chaud durant l'hiver, et je sors, j'affronte le froid extérieur pour rejoindre les serres.
Jusqu'à ce que.
Jusqu'à ce qu'un crac assourdissant se fasse entendre, attirant immédiatement mon attention. Chose qui n'arrive quasiment jamais, en fait. Mes pas, plus vifs que précédemment, me guident jusqu'au lieu du crime, et je découvre un couple, transi de froid, trempés aussi. Mes réflexes se font immédiat, et ma main attrape ma baguette, afin de leur jeter un sort rapide pour les sécher. Ben, ouais. J'suis p'têt amorphe, mais j'suis aussi gentille. Non mais oh. J'm'empresse d'aller vérifier qu'ils n'ont rien, avant de leur demander ce qu'il vient de se passer. Et alors qu'ils me racontent comment la glace s'est fendu sous eux, je remarque le bruissement d'une cape, pas loin, plutôt proche. Mes yeux qui scrutent à proximité, recherchant d'où vient ce bruit, et même s'il fait sombre, même si elle est de dos, je reconnais immédiatement la personne.
Phaedra Earnshaw.
Petite amie officielle de Leopold Nott, fille que je déteste par principe, et cause de la chute du couple dans les eaux glacés. Putain. Est-ce que j'vais lui refaire son portrait ? Oui, très certainement. En tout cas, c'est ce qu'annonce mes pieds lorsqu'ils se mettent à se mouver en direction de la Grymm. « Phaedra ! » Ma voix porte, un soupçon de colère s'y reflétant. Oui, je suis énervée. Sans aucun doute parce que c'est elle, la cause. Sans aucun doute parce que ce qu'elle a fait à ce pauvre couple n'est que méchanceté. « Dit moi, Leopold est au courant de ce que tu fais de ton temps libre, ou ça se passe comment ? » Son prénom roule entre mes lèvres, douce mélodie qui me châtouille l'estomac. Mais je ne me laisse pas décontenancer, et me place face à la verte, toujours cette lueur de colère brillant dans mes pupilles.
roller coaster
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Re: Quand les masques tombent ... [Winnie&Phaedra]
Ven 9 Déc 2016 - 19:10
Quand les masques tombent ...
L'amour est un fardeau, il détruit les ambitions.
Un bourdonnement strident vint briser le silence de mes noirs pensées, qu'est-ce-que l'être humain peut être agaçant, qu'est-ce-que la gentillesse, l'empathie et le courage de certaines personnes les rendent stupides, téméraire et insupportable à mon sens. Lorsque la voix qui dérange ma charmante après-midi de méfait résonne dans mes oreilles prononçant mon prénom haut et fort comme-ci le dire ainsi à haute voix, le criant que dis-je défigurant la noblesse de mon patronyme avec cet air de mère de famille en colère après une quelconque bêtise de sa progéniture à le don de me faire hérisser les poils de dégoût. Je continue donc mon chemin, ignorant superbement la jeune demoiselle qui a sans doute du croire dans un élan de courage qu'elle était autre chose qu'un simple moustique que je pourrais sans remord aucun écraser entre mes doigts délicat. Un sourire se dessine sur mon visage, être prise en flagrant délit n'as jamais été une chose que j'apprécie mais après tout, personne n'avait rien vu, j'y avait pris grand soin, elle avait sans aucun doute du arriver une fois les deux tourtereaux sauvé des eaux glaciales, mais effectivement ma présence sur les lieux du crime pouvait porter à confusion, mais comme il est dit *Innocente jusqu'à preuve du contraire". Je continuais donc mon chemin fuyant sans un regard la harpie qui suis mes pas tel un petit toutou en colère, comme-ci son ton, sa démarche que je sens lourde et colérique allait avoir une quelconque incidence sur moi, comme-ci j'allai me confondre en excuses pour quelque chose dont personne n'a la certitude de mon implication. Il était de ses personnes se sentant pousser des ailes lorsque pour défendre la veuve et l'orphelin, enfilant des capes de super-héro qu'ils n'étaient aucunement venaient s'en prendre à plus fort qu'eux en imaginant que le bien triomphe toujours du mal, bercé par des comptines, des contes pour enfant ou tout simplement trop près du mur si vous voulez mon avis. J'avais un spécimen parfait ici, qui n'avait à l'évidence pas l'intention de me laisser en paix.
Léopold Nott, ce nom roula entre ses lèvres et je décelai une gène, une douleur peut-être ? Je n'en était pas sur, et puis je compris. La jeune jaune se placa devant moi, autoritaire à en mourir de rire, un petit air suffisant suite à ses derniers mots censé sans aucun doute me toucher. Mais qu'avais-je à faire d'une petite impertinente qui en plus de mettre sans arrêt les pieds dans le plat à n'importe qu'elle occasion, était sans aucun doute LA cible à éliminer dans mon plan pour garder Nott bien près de moi dans la prévision d'un possible futur mariage. Il m'arrivait très souvent d'entrer dans l'esprit de mon officiel petit ami, et j'en avais découvert qu'il était inconsciemment fou amoureux de la petite puce irritante qui fulminait devant moi. Pire encore, le peu de fois ou j'avais pu croisé la jeune Summerbe qui prenait grand soin de nous éviter lorsque j'étais seul avec Leopold, j'avais pu lire dans son esprit une pointe de jalousie. Leurs amour étant réciproque, j'avais très vite compris que la jeune sorcière me mettrai tôt ou tard des bâtons dans les roues et qu'il allait falloir à défaut de l'éliminer, la faire taire. J'haussai un sourcils et soupirai. Puis prenant un air effrayé et suppliant je m'écriai "Oh non, s'il te plait, ne dit pas à Leopold que je me promène seule dans le parc en pleine journée, il en serait dévasté ! " Un large sourire se dessina sur mon visage, puis en essayant d'être la moins désagréable possible, si elle pouvait décamper rapidement et me laisser profiter de mon après-midi ce serait véritablement parfait. "Ecoute, tu es super mignonne quand tu hausse le ton ainsi, vraiment... on dirait ses petits chiots moldu lorsqu'on leurs vole leurs baballe. Mais comme tu peux le voir ça n'as strictement aucun effet sur moi mis à part le don de m'agacer. Et comme je me vois mal expliquer à Leopold pourquoi son ami d'enfance agresse sans raison sa petite amie, ça m'enchanterai vraiment que tu dégage de mon chemin"
Léopold Nott, ce nom roula entre ses lèvres et je décelai une gène, une douleur peut-être ? Je n'en était pas sur, et puis je compris. La jeune jaune se placa devant moi, autoritaire à en mourir de rire, un petit air suffisant suite à ses derniers mots censé sans aucun doute me toucher. Mais qu'avais-je à faire d'une petite impertinente qui en plus de mettre sans arrêt les pieds dans le plat à n'importe qu'elle occasion, était sans aucun doute LA cible à éliminer dans mon plan pour garder Nott bien près de moi dans la prévision d'un possible futur mariage. Il m'arrivait très souvent d'entrer dans l'esprit de mon officiel petit ami, et j'en avais découvert qu'il était inconsciemment fou amoureux de la petite puce irritante qui fulminait devant moi. Pire encore, le peu de fois ou j'avais pu croisé la jeune Summerbe qui prenait grand soin de nous éviter lorsque j'étais seul avec Leopold, j'avais pu lire dans son esprit une pointe de jalousie. Leurs amour étant réciproque, j'avais très vite compris que la jeune sorcière me mettrai tôt ou tard des bâtons dans les roues et qu'il allait falloir à défaut de l'éliminer, la faire taire. J'haussai un sourcils et soupirai. Puis prenant un air effrayé et suppliant je m'écriai "Oh non, s'il te plait, ne dit pas à Leopold que je me promène seule dans le parc en pleine journée, il en serait dévasté ! " Un large sourire se dessina sur mon visage, puis en essayant d'être la moins désagréable possible, si elle pouvait décamper rapidement et me laisser profiter de mon après-midi ce serait véritablement parfait. "Ecoute, tu es super mignonne quand tu hausse le ton ainsi, vraiment... on dirait ses petits chiots moldu lorsqu'on leurs vole leurs baballe. Mais comme tu peux le voir ça n'as strictement aucun effet sur moi mis à part le don de m'agacer. Et comme je me vois mal expliquer à Leopold pourquoi son ami d'enfance agresse sans raison sa petite amie, ça m'enchanterai vraiment que tu dégage de mon chemin"
black pumpkin
- InvitéInvité
Re: Quand les masques tombent ... [Winnie&Phaedra]
Jeu 5 Jan 2017 - 9:22
quand les masques tombent
Putain, j'ai tellement envie d'la brûler.
« Oh non, s'il te plait, ne dit pas à Leopold que je me promène seule dans le parc en pleine journée, il en serait dévasté ! »
Littéralement, j'aimerais lui mettre le feu.
J'ai jamais beaucoup aimé cette fille. Mais au moins, avant, elle était loin de moi. J'n'avais absolument pas à me soucier de sa présence dans ma vie, alors, ça allait. Sauf que ça fais déjà quelques temps qu'elle sort avec Leo, et que sa présence, indirect, dans ma vie, me fait chier. Si j'suis peut-être pas du genre à m'énerver en général, là, j'en mène pas large. Et p'têt bien, ouais, p'têt bien qu'si c'était pas la copine du fils Nott, j'lui jetterais un p'tit sort sympa, l'genre de truc qui la défigurerait à vie. Ou alors... En quoi le fait qu'elle soit la copine de Leopold m'empêcherait de l'attaquer, en fait ? Ah oui, c'est parce que j'ai été bien élevée, en fait. Rien à voir avec lui, donc. Parfait. Un problème en moi à me soucier. Tant mieux, putain.
« Ecoute, tu es super mignonne quand tu hausse le ton ainsi, vraiment... on dirait ses petits chiots moldu lorsqu'on leurs vole leurs baballe. Mais comme tu peux le voir ça n'as strictement aucun effet sur moi mis à part le don de m'agacer. Et comme je me vois mal expliquer à Leopold pourquoi son ami d'enfance agresse sans raison sa petite amie, ça m'enchanterai vraiment que tu dégage de mon chemin. »
Je crains qu'elle me prenne pour un chaton sans défense, amusant comme fait d'ailleurs. Pas parce que j'fume et que j'suis souvent dans l'pâté que j'saurais pas lui botter l'cul, en fait. Loin de là, même. Idiote qu'elle peut être. J'peux pas m'empêcher de rouler des yeux, d'ailleurs, tellement ça me fait de la peine d'en arriver là. Inconsciemment, ma main, qui était dans ma poche depuis le début, se serre autour de ma baguette. J'pense pas en avoir à arriver là, mais on sait jamais. Mieux vaut prévenir que guérir, non ? Pas que j'sois vraiment une adepte de la violence, faut dire que j'suis même plutôt pacifique. Les babas cool et tout ça, c'est plus mon style. Mais j'supporte pas l'injustice, et j'supporte pas non plus les gens qui se sentent supérieur aux autres. Surtout si c'est juste une question de valeur du sang.
Quelle idiotie.
« Ben tu vois, moi, j'aimerais revenir dans le passé pour aller à Woodstock, mais bon, on peut pas avoir tout ce qu'on veut, hein ? » Un bref haussement d'épaule, un petit sourire amusé qui s'étire sur mes lèvres. J'me laisserais clairement pas intimidée, et c'est exactement ce qu'annonce ce sourire. Elle veut faire la maligne ? Très bien, j'peux le faire aussi. Mon pied se met à gratter le sol, distraitement. « En fait, tu vois, je pense qu'en effet, ça t'atteindrait pas particulièrement de te faire quitter par Leopold. Enfin, bien sûr, ta fierté en prendrait un coup, c'est normal, personne n'aime se faire quitter... En revanche, j'pense que c'que tu viens de faire, là, c'est suffisamment grave pour te faire expulser. » Je fronce les sourcils, faussement interrogatrice. « Ouais, tu te ferais virer de l'école. Et j'me demande bien c'que dirait Papa Earnshaw, lui qui semble si ambitieux pour sa fifille, si celle-ci se faisait virer comme une malpropre. »
roller coaster
- InvitéInvité
Re: Quand les masques tombent ... [Winnie&Phaedra]
Jeu 2 Mar 2017 - 20:29
RP archivé pour cause de suppression d'un participant.
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