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Painting a picture of a better time • Tina
Sam 11 Nov 2017 - 13:45
Painting a picture of a better time
ft Tina
(c) made by panic!attack
ft Tina
J'avais insisté depuis des semaines. Pauvre Tina. Elle avait subi mes assauts à longueur de journée. J'étais toujours plus insistant, quémandant sans aucune patience. Elle avait finalement craqué. C'était le plus beau jour de ma vie. J'allais enfin voir des dauphins, cet animal moldu si particulier, avec elle. Elle serait mon guide, et la journée serait parfaite. C'était décidé. La journée serait parfaite. Dauphin, eau et Tina. Que pouvait-il se passer ?
Mes yeux s'ouvrent brusquement. Je suis dans mon lit, confortablement installé. J'ai bien dormi. Contrôler l'excitation a été plus difficile que prévu, mais les nombreuses interventions infructueuses des Beers flops pour me ramener à cette soirée ridicule qui aurait retourné ma tête. Pour une fois, l'alcool ne fait pas le poids face à ces magnifiques créatures moldus. voilà des années que tu voulais observer, les voir dans l'eau. Et voilà bien des années que j'embêtais la pauvre Tina pour qu'elle vienne avec moi. Bienheureux étais-je quand elle finalement dit oui. Je n'ai pu dormir de la semaine attendant avec impatience et excitation cette rencontre avec les mammifères marins. J'aurais bien sêché pour aller les voir, mais Tina est une fille sérieuse..
Le réveil est brusque. L'excitation est à son apogée. Je ne pouvais fermer les yeux. Les réveils successifs étaient nombreux, et c'est malgré tout avec le sourire aux lèvres que je me lèves. Il n'est pas question de rester une seconde de plus sur ce confortable matelas. Direction la marina ! Et vite ! Je me prépare rapidement, et je mange quelque chose pour être certain de ne pas avoir faim. Les dauphins m'appellent. Tina devra être à l'heure ! J'espère qu'elle sera à l'heure. Je suis beaucoup trop excité par cette journée. Elle devra tempérer mes ardeurs ! J'enfile rapidement ma robe de sorcier, et je me dirige plus rapidement possible vers la porte. Arrêt net. J'avais oublié. C'est en zone moldu. Il faut des tenues qui fassent plus .. non magicien. Je suis sang pur. J'hésite. Que dirait mes amis sang-mêlé et né-moldu ? Je ne sais pas me comporter comme un moldu. Ah. Je panique.
J'ôte rapidement mes vêtements. Nu devant l'armoire, je m'interroge. J'hésite, et pourtant je ne peux m'empêcher de conserver cette excitation enfantine. Elle a pris le contrôle de mon corps. Je souris outrageusement. Une pensée frappe mon esprit fragile. Je sais que je dois faire attention. Tina sera là. Elle ne doit en aucun cas savoir que j'ai fais pression sur les instances moldu pour qu'elle soit prise à son opéra moldu. On en revient au moldu. Je me concentre sur la garde robe. Je m'étire. « Faisons simple. Regardons les images. » C'est simple. Où ai-je donc rangé mes images moldu. Il y a ces albums marrants avec des images mortes. Pauvre personne, ils ne bougent jamais. Ils doivent s'ennuyer à rester immobile comme ça. Je cherche les cadeaux où on voit ces maudites personnes. Je fouille rapidement la malle sous le lit. Le bruit réveille mon petit démon.
Je n'ai le temps de ranger la malle, les images en main qu'il est déjà là. Je souris encore plus outrageusement. Sylph est beaucoup trop mignon. Je l'attrape dans mes bras, le balançant doucement. Je le caresse légèrement sous le museau. Le furet gémit. Il aime ça. Je souris alors. Je pense à chaque fois que le petit animal a remonté le moral déficient. Celui-ci me regarde. Il a quelque chose en tête je le sais je le vois immédiatement. Il saute de mes bras avec une vigueur incomparable, se glissant sous le lit. Rapidement les ténèbres l'entourent. Je ne vois plus. Images en main, je m'inspire des habillage des personnes présentes dessus. Je fouille rapidement ma garde-robe et je trouve les bons vêtements : blazer noir t-shirt gris à motifs de dragon rouge pantalon en velours noir.
L'horloge retentit. C'est l'heure et je suis déjà en retard. Il ne faut pas que Tina arrive avant moi. En pensant à elle, je me rappelle soudainement que je dois absolument lui cacher que j'ai payé pour son opéra musical pour moldu. C'est d’une importance capitale. Je suis pas sûr qu'elle puisse me pardonner de m'être mêlé de sa carrière musicale. Les dauphins revienne rapidement en tête et je souris bêtement. Je me laisse soudainement emporter par un voile noir pour atterrir près de la marina d’Inverness.
J'apparais dans une ruelle. Il fait sombre, c'est parfait personne ne m'a vu. Le sourire aux lèvres, j'avance heureux vers les magnifique créature marine que sont les dauphins. Je sais que mon rêve est sur le point de se réaliser grâce à Madame McKinnon et je ne peux pas lui être moins reconnaissant. J'entends, au loin, les dauphins qui m'appellent. C'est un petit son strident, je l'aime point. Chantonnant, je m'avance vers l'eau de la marina pour essayer de les apercevoir. Je suis heureux. Je me perds dans mon imagination, Le Dauphin doit être aussi puissant qu'un dragon rouge d'Irlande et aussi mystérieux qu'un sombral venu de Poudlard. J'ai hâte. Plus les secondes passent et moins j'arrive à cacher mon excitation.
Elle n’est pas la. Je l’attends, chantonnant doucement mon amour pour les créatures marines.
Mes yeux s'ouvrent brusquement. Je suis dans mon lit, confortablement installé. J'ai bien dormi. Contrôler l'excitation a été plus difficile que prévu, mais les nombreuses interventions infructueuses des Beers flops pour me ramener à cette soirée ridicule qui aurait retourné ma tête. Pour une fois, l'alcool ne fait pas le poids face à ces magnifiques créatures moldus. voilà des années que tu voulais observer, les voir dans l'eau. Et voilà bien des années que j'embêtais la pauvre Tina pour qu'elle vienne avec moi. Bienheureux étais-je quand elle finalement dit oui. Je n'ai pu dormir de la semaine attendant avec impatience et excitation cette rencontre avec les mammifères marins. J'aurais bien sêché pour aller les voir, mais Tina est une fille sérieuse..
Le réveil est brusque. L'excitation est à son apogée. Je ne pouvais fermer les yeux. Les réveils successifs étaient nombreux, et c'est malgré tout avec le sourire aux lèvres que je me lèves. Il n'est pas question de rester une seconde de plus sur ce confortable matelas. Direction la marina ! Et vite ! Je me prépare rapidement, et je mange quelque chose pour être certain de ne pas avoir faim. Les dauphins m'appellent. Tina devra être à l'heure ! J'espère qu'elle sera à l'heure. Je suis beaucoup trop excité par cette journée. Elle devra tempérer mes ardeurs ! J'enfile rapidement ma robe de sorcier, et je me dirige plus rapidement possible vers la porte. Arrêt net. J'avais oublié. C'est en zone moldu. Il faut des tenues qui fassent plus .. non magicien. Je suis sang pur. J'hésite. Que dirait mes amis sang-mêlé et né-moldu ? Je ne sais pas me comporter comme un moldu. Ah. Je panique.
J'ôte rapidement mes vêtements. Nu devant l'armoire, je m'interroge. J'hésite, et pourtant je ne peux m'empêcher de conserver cette excitation enfantine. Elle a pris le contrôle de mon corps. Je souris outrageusement. Une pensée frappe mon esprit fragile. Je sais que je dois faire attention. Tina sera là. Elle ne doit en aucun cas savoir que j'ai fais pression sur les instances moldu pour qu'elle soit prise à son opéra moldu. On en revient au moldu. Je me concentre sur la garde robe. Je m'étire. « Faisons simple. Regardons les images. » C'est simple. Où ai-je donc rangé mes images moldu. Il y a ces albums marrants avec des images mortes. Pauvre personne, ils ne bougent jamais. Ils doivent s'ennuyer à rester immobile comme ça. Je cherche les cadeaux où on voit ces maudites personnes. Je fouille rapidement la malle sous le lit. Le bruit réveille mon petit démon.
Je n'ai le temps de ranger la malle, les images en main qu'il est déjà là. Je souris encore plus outrageusement. Sylph est beaucoup trop mignon. Je l'attrape dans mes bras, le balançant doucement. Je le caresse légèrement sous le museau. Le furet gémit. Il aime ça. Je souris alors. Je pense à chaque fois que le petit animal a remonté le moral déficient. Celui-ci me regarde. Il a quelque chose en tête je le sais je le vois immédiatement. Il saute de mes bras avec une vigueur incomparable, se glissant sous le lit. Rapidement les ténèbres l'entourent. Je ne vois plus. Images en main, je m'inspire des habillage des personnes présentes dessus. Je fouille rapidement ma garde-robe et je trouve les bons vêtements : blazer noir t-shirt gris à motifs de dragon rouge pantalon en velours noir.
L'horloge retentit. C'est l'heure et je suis déjà en retard. Il ne faut pas que Tina arrive avant moi. En pensant à elle, je me rappelle soudainement que je dois absolument lui cacher que j'ai payé pour son opéra musical pour moldu. C'est d’une importance capitale. Je suis pas sûr qu'elle puisse me pardonner de m'être mêlé de sa carrière musicale. Les dauphins revienne rapidement en tête et je souris bêtement. Je me laisse soudainement emporter par un voile noir pour atterrir près de la marina d’Inverness.
J'apparais dans une ruelle. Il fait sombre, c'est parfait personne ne m'a vu. Le sourire aux lèvres, j'avance heureux vers les magnifique créature marine que sont les dauphins. Je sais que mon rêve est sur le point de se réaliser grâce à Madame McKinnon et je ne peux pas lui être moins reconnaissant. J'entends, au loin, les dauphins qui m'appellent. C'est un petit son strident, je l'aime point. Chantonnant, je m'avance vers l'eau de la marina pour essayer de les apercevoir. Je suis heureux. Je me perds dans mon imagination, Le Dauphin doit être aussi puissant qu'un dragon rouge d'Irlande et aussi mystérieux qu'un sombral venu de Poudlard. J'ai hâte. Plus les secondes passent et moins j'arrive à cacher mon excitation.
Elle n’est pas la. Je l’attends, chantonnant doucement mon amour pour les créatures marines.
(c) made by panic!attack
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Re: Painting a picture of a better time • Tina
Sam 25 Nov 2017 - 18:35
Je n’avais aucune envie d’y aller. Des semaines, non des mois voire des années qu’Emrys me harcelait pour observer des dauphins. Sérieusement Monsieur Cadfael ? J’avais toujours réussi à décliner poliment ses propositions, prétextant une répétition tardive avec les Sugar Quill ou encore un récital de violoncelle avec l’orchestre symphonique. Il me semble m’être également portée pâle à plusieurs reprises. Je détestais lui mentir, il était l’un de mes meilleures amis, mais je ne comprenais pas sa fascination pour ces mammifères marins. Et après tout, rien ne l’empêchait d’aller au port avec l’un des Wright. Pourquoi tenait-il tant à s’y rendre avec moi ? Cette fois-ci, cependant, je m’étais retrouvée à court d’excuses. Il avait tout planifié avec une extrême minutie, contrecarrant chacun de mes arguments. Sans doute était-il habitué à mes faux-fuyants… Cette rencontre n’aurait donc pas lieu en soirée, mais en début d’après-midi juste après mon cours d’études des runes. Il ne serait pas en retard suite à une trop alcoolisée et ferait même des efforts pour passer inaperçu en adaptant sa tenue vestimentaire aux ruelles peuplées d’Inverness. Que pouvais-je dire, si ce n’est « C’est d’accord… » ?
À la fin de mon cours, je me trainai donc jusqu’au centre ville afin de le retrouver. Je désirais de tout coeur que quelqu’un ou quelque chose se mette en travers de mon chemin. Néanmoins, à trop souhaiter que mes plans soient bouleversés, rien ne se produisit. Bien évidement ! Les bras croisés sur ma poitrine, j’affichais une moue boudeuse, mon regard sans cesse à la recherche d’un échappatoire. Je m’arrêtai machinalement dans un petit café sur le chemin. Cela me retarderait de quelques minutes, mais peu importe.
All you need is someone who joins you in your weirdness.Je commandai une poignée de petits sablés écossais au comptoir et songeai sérieusement à emporter des boissons chaudes par la même occasion. Étant donné les faibles températures, cela nous ferait le plus grand bien. Néanmoins, je laissai sitôt tomber l’idée en réalisant que je n’avais assez de monnaie que pour l’un de ces deux achats. Les fins de mois étaient toujours difficiles. Je déposai donc ces minuscules gâteaux dans mon sac déjà plein à craquer et me dirigeai vers la sortie. Une autre fois pour les chocolats chauds !
Apercevant au loin la mer du Nord, je devinai, par la même occasion, la silhouette d’Emrys. Cela me fit sourire. Si contempler des cétacés par ce froid ne m’enchantait pas particulièrement, j’étais tout de même très heureuse de retrouver cet étudiant. Trop occupé à chantonner, il ne remarqua pas ma présence. Tant mieux ! À pas de louve, je me faufilai derrière lui, posai mes mains sur son visage afin de lui couvrir les yeux. Je laissai le doute planer quelques secondes. Discrète et silencieuse. « Surpriiiiiiise ! » m'écriai-je finalement, en me plaçant face à lui. Je ne pus retenir un éclat de rire en détaillant son accoutrement. Son style n’était pas parfait, mais le coeur y était. En bonne amie que je suis, je partageai avec plaisir mon amusante observation: « Ce pantalon en velours te met particulièrement en valeur mon cher Emrys ! » Mon ton était espiègle, presque moqueur, bien que malicieux soit sans doute le terme le plus approprié.
L’enlaçant pour le saluer, je poursuivis allègrement avec cette question qui me brûlait les lèvres. « Avant toute chose, j’aimerais que tu m’expliques d’où te vient cette obsession pour les dauphins. Je n’ai rien contre eux, ce sont des créatures très intelligentes, un peu comme les êtres de l’eau à Poudlard, mais j’ai bien peur que la ressemblance s’arrête ici. Comment les imagines-tu ? » Je tentai d’illustrer mes propos avec des images simples qu’il comprendrait aisément, attendant ses élucidations avec impatience et curiosité. Jetant un regard anxieux en direction du rivage, j’étais bien incapable de distinguer le moindre mammifère. Maintenant que j’étais à ses côtés, j’escomptais bien le rendre heureux, sans pour autant le duper à l’aide d’un autre mensonge. Notre amitié ne reposait-elle pas sur un minimum d’honnêteté et de transparence ? « Je ne sais pas si nous aurons la chance d’en voir aujourd'hui Emrys… Tu ne m’en voudras pas si ce n’est pas le cas ? » Je lui adressai un sourire doux et réconfortant. En cas d’échec, je pourrais toujours lui en dessiner un, ne me séparant que très rarement de mes crayons et carnets de croquis. Et, il nous serait même possible de savourer ces fameux biscuits ensemble. Égarée dans mes pensées, je me pelotonnais dans mon écharpe en laine pour échapper au froid qui mordait mon visage. « Quoi qu’il en soit, il nous reste dix bonnes minutes de marche jusqu’à la baie. C’est là-bas que se trouve la réserve. » Le voir si enjoué me fit oublier ma prétendue mauvaise humeur et le tirai vivement par le bras: « En route, mauvaise troupe ! »
À la fin de mon cours, je me trainai donc jusqu’au centre ville afin de le retrouver. Je désirais de tout coeur que quelqu’un ou quelque chose se mette en travers de mon chemin. Néanmoins, à trop souhaiter que mes plans soient bouleversés, rien ne se produisit. Bien évidement ! Les bras croisés sur ma poitrine, j’affichais une moue boudeuse, mon regard sans cesse à la recherche d’un échappatoire. Je m’arrêtai machinalement dans un petit café sur le chemin. Cela me retarderait de quelques minutes, mais peu importe.
Emrys & Tina
All you need is someone who joins you in your weirdness.
Apercevant au loin la mer du Nord, je devinai, par la même occasion, la silhouette d’Emrys. Cela me fit sourire. Si contempler des cétacés par ce froid ne m’enchantait pas particulièrement, j’étais tout de même très heureuse de retrouver cet étudiant. Trop occupé à chantonner, il ne remarqua pas ma présence. Tant mieux ! À pas de louve, je me faufilai derrière lui, posai mes mains sur son visage afin de lui couvrir les yeux. Je laissai le doute planer quelques secondes. Discrète et silencieuse. « Surpriiiiiiise ! » m'écriai-je finalement, en me plaçant face à lui. Je ne pus retenir un éclat de rire en détaillant son accoutrement. Son style n’était pas parfait, mais le coeur y était. En bonne amie que je suis, je partageai avec plaisir mon amusante observation: « Ce pantalon en velours te met particulièrement en valeur mon cher Emrys ! » Mon ton était espiègle, presque moqueur, bien que malicieux soit sans doute le terme le plus approprié.
L’enlaçant pour le saluer, je poursuivis allègrement avec cette question qui me brûlait les lèvres. « Avant toute chose, j’aimerais que tu m’expliques d’où te vient cette obsession pour les dauphins. Je n’ai rien contre eux, ce sont des créatures très intelligentes, un peu comme les êtres de l’eau à Poudlard, mais j’ai bien peur que la ressemblance s’arrête ici. Comment les imagines-tu ? » Je tentai d’illustrer mes propos avec des images simples qu’il comprendrait aisément, attendant ses élucidations avec impatience et curiosité. Jetant un regard anxieux en direction du rivage, j’étais bien incapable de distinguer le moindre mammifère. Maintenant que j’étais à ses côtés, j’escomptais bien le rendre heureux, sans pour autant le duper à l’aide d’un autre mensonge. Notre amitié ne reposait-elle pas sur un minimum d’honnêteté et de transparence ? « Je ne sais pas si nous aurons la chance d’en voir aujourd'hui Emrys… Tu ne m’en voudras pas si ce n’est pas le cas ? » Je lui adressai un sourire doux et réconfortant. En cas d’échec, je pourrais toujours lui en dessiner un, ne me séparant que très rarement de mes crayons et carnets de croquis. Et, il nous serait même possible de savourer ces fameux biscuits ensemble. Égarée dans mes pensées, je me pelotonnais dans mon écharpe en laine pour échapper au froid qui mordait mon visage. « Quoi qu’il en soit, il nous reste dix bonnes minutes de marche jusqu’à la baie. C’est là-bas que se trouve la réserve. » Le voir si enjoué me fit oublier ma prétendue mauvaise humeur et le tirai vivement par le bras: « En route, mauvaise troupe ! »
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Re: Painting a picture of a better time • Tina
Sam 27 Jan 2018 - 14:03
RP archivé car l'un des participants est supprimé.
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