- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : miguel pajares & calliope muller & andrew hill
» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» année d'études : 6eme année
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office under wood pv. james et cat (terminé)
Ven 27 Jan 2023 - 9:48
15 février 2023 - 21 heures
Les repas de famille imposé par leurs parents avaient toujours eu des airs d'enterrement, bien qu'Alicia s'essayait à quelques douce flatterie envers les uns et les autres. Mais depuis que James et Cataleya s'étaient déchirés l'un et l'autre, ces repas avaient vraiment prit des airs de salon de torture. Et l'anniversaire de Quarta n'avait vraiment pas échappé à la règle...
A chaque fois que quelqu'un ouvrait la bouche, Juliet sentait son estomac se contracter, comme si elle craignait qu'un "passe moi le sel s'il te plait" de Kiran puisse déclencher la troisième guerre mondiale. Elle est assise en face de James, lequel était à côté de la plus rousse des Blackthorn, comme si rien n'avait changé entre eux. Et pourtant...
Tiberius et Kiran échangeaient sur les importations prévues pour les Trois Corneilles... Apparement, la pénurie de poils de demiguise leur rendait la vie difficile. Tertia et Kaiden préféraient parler des études de cette dernière. Eliott était absent, le veinard. Juliet essayait de répondre correctement à Claudia laquelle l'interrogeait sur ses relations -devenues inexistantes- avec Nullus qui travaillait ce soir même et n'avait pu venir.
Les silences étaient nombreux. Les regards en coins plus nombreux encore. Juliet avait l'impression d'être trop serrée dans sa robe de velour et ce n'était pas la faute à un ventre trop remplis, elle n'avait presque rien su avaler. Aucune musique d'ambiance pour combler le vide et alleger la tension qui était presque palpable. L'interne se retient de regarder encore une fois vers sa montre, espérant que l'heure du gâteau, et donc de la libération, arrive vite.
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
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- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Ven 27 Jan 2023 - 23:17
Quand t'as quitté le Manoir, t'avais dans l'idée de ne plus jamais y mettre les pieds. Et si ça n'était pour ta fratrie, probablement que tu t'y serais tenu. Mais c'est l'anniversaire de Cat, et tu n'as plus l'excuse de la maladie qui t'a tenu couché pour t'éviter le calvaire de faire face à vos parents. Puis... Tu ne voulais clairement pas laisser ta luciole subir ça seule.
Quand bien même tu ne sais plus trop où vous en êtes.
T'as senti un poids sur tes épaules à peine la lourde porte franchie. Tu t'y étais attendu mais l'effet te saisit plus encore que tu ne l'avais anticipé et t'as l'impression d'avoir à nouveau du mal à respirer. Une sensation qui ne s'arrange pas vraiment quand tu constates l'état de Fire, à la chevelure blonde à présent, que tu espérais voir un moment seule avant que tout le monde n'arrive. Sa nervosité emplit toute la pièce, accentue la tienne et tu luttes contre l'envie furieuse de prendre la fuite.
Ou la prendre dans tes bras. Les deux options t'assurent l'ire de tous et tu te forces à l'immobilisme, rappelant à toi tous les mécanismes mis en place au fil des années pour survivre dans cette effroyable prison.
Et si tu t'étais senti oppressé jusque-là, dès lors que vous vous êtes installés à table, c'est pire encore. Si ta mère a parfois tenté un mot plus doux, t'as encaissé les remarques sur tes cernes, ta maigreur, ta pâleur, une constitution censément plus faible depuis toujours et le retard à rattraper pour ton cursus presque à la seconde où tu as paru devant ton père. Père qui s'entretient ensuite interminablement avec Kiran sur le sujet des importations pour les Trois Corneilles - un sujet de plus pour accentuer ta frustration. Tu gardes ton silence légendaire, écoutant distraitement les pâtissiers de la famille discuter entre eux, ton attention plus focalisée sur la reine de la soirée - censément célébrée toujours - que sur qui que ce soit d'autre, à l'exception de ta cadette dont tu perçois trop bien le malaise face à toi. Tes regards oscillent entre elles, cherchant vainement à assurer un soutien muet que vous ne pouvez évidemment pas manifester ouvertement.
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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Dim 29 Jan 2023 - 12:09
Souveraine du jour, Cataleya observe le triste reflet que lui renvoie la fenêtre de sa chambre lorsque les griffes maternelles se portent à sa gorge pour nouer une parure de perle et de diamant. Si son sourire s'essaye plus d'une fois à adoucir la grande Claudia Blackthorn, c'est brutalement que sa tête se tord en arrière lorsque les cheveux sont tiré, épinglé sans tendresse aucune en un chignon parfaitement élaboré. Impeccable poupée entre les les doigts de de l'avocate, Cataleya respire à peine mais suit avec une attention indéfectible les gestes maternel, terrifiée à l'idée de ne pas savoir se courber à l'endroit et au moment exacte où lui indiquerait ce démon au regard trop froid. Alors elle se fait docile Cat, tourne sur elle même plus d'une fois pour laisser le loisir à ce regard intransigeant de l'inspecter sous chacune de ses coutures. De cette chevelure décolorée, au bleu de ses yeux, en passant par une robe immaculée dont le col en cœur et la coupe sirène avait été choisit par l'expertise de cette mère qui ne tolérait aucun défaut. Et elle se délectait, Claudia, de cette superbe qui se sculptait sous ses griffes acérées.
Gracile et immaculée, le teint rendu diaphane par le mal qui la rongeait accentuait sans peine l'aura quasis irréelle qui nimbait la dernière de ses filles. Si bien que c'était en tout point spectrale qu'elle offrit une impeccable révérence aux patriarches qui l'attendaient au bas des escaliers.
Si le geste ne tremble en rien et que le regard s'appuit sur un point au loin pour ne pas défaillir malgré la nausée qui l'étrangle, force est d'admettre que depuis le début de la journée l'héritière vacille entre rire nerveux et crise de larme incontrôlée.Tout en elle lui hurle de fuir et ce, depuis qu'elle a osé un pas dans le manoir familial. Elle étouffe, le joyaux Blackthorn, et sent la terreur glisser sur son échine lorsqu'une liane chargée d'épine s'enroulent là, derrière elle, sur la rembarre d'escalier qu'elle effleure pourtant à peine. clear sky and sunshine, clear sky and sun... Shine. le rire est nerveux, le mantra frénétique dans son esprit, si bien que le regard fuit en tout sens pour échapper à cette mère tenue derrière, ce père droit devant. Respire Cat, les sens des prédateurs sont excités par la fuite ; si tu cours jusqu'à la porte, tu meurs.
Le regard se clos un instant, l'inspiration se veut contrôlée, mais l'air se fait si anxiogène qu'elle éclaterait presque en sanglot lorsqu'une rose daigne enfin fleurir, rapidement suivit par un florilèges de consœur venu se presser sous les doigts rougit de Cataleya Quarta Blackthorn. Et elle s'en remercie, Quarta, de ne pas être totalement dégénérée.
La respiration se bloque pourtant un instant et c'est en tout point craintive qu'elle ose descendre une nouvelle marche, un sourire superbe et factice aux lèvres pour tromper le chaos qui hurle en elle Tadaaaa... .
Le repas est pire, tout bonnement, et s'il manque deux
Alors les mains se range sous la table, le poignet se pince sous un pouce et index nerveux, et pas même la voix d'Alicia ne parvient à l'arracher à l'angoisse qui la dévore. Elle la ressent, la tension qui palpite tout autour d'elle, avec tant de violence à dire vrai qu'elle aurait presque pu croire que c'était là la sienne. Elle le ressent, ce besoin de fuite, le fait que personne ne voulait être là, et qu'un mot déplacé pourrait sans mal aucun mettre le feu aux rideaux. Elle fait de son mieux pour ne pas croiser le regard de James tant son état et la culpabilité qui la ronge lui soulève le coeur, se raccroche un peu au regard de Juliet mais s'effondre lorsqu'elle le sent, là, juste à côté, le regard de son père peser intensément sur son épaule. Clear sky and sunshine, tu ne mourrais pas aujourd'hui Quarta, pas avant d'avoir bouclé tes années d'étude et jeté au visage d'hungcalf la meilleure thèse qu'il aient lus. Clear sky and sunshine, tout irait pour le mieux. Ce n'était pas parce que tout le monde autour de la table rêvait de se pendre qu'ils associerait forcément ton anniversaire à quelque chose de négatif. Même si c'était synonyme de torture et... clear sky and sunshine. Ils t'aimaient, promis, et t'aimerait toujours. Ce n'était pas comme si la seule raison qui les avaient poussé à venir c'était l'impératif paternel. clear sky and sunshine La chaise se recule doucement lorsque la gorge se serre de trop et le regard se pend intuitivement à celui de son père.
« J'aimerai sortir de table. La fièvre remonte et je m'en voudrais terriblement de gâcher les festivités. Tout est si parfait.. » Le ton est doux, mais Quarta se fait en tout point violence pour contenir le tremblement à peine perceptible de sa voix. « Puis-je..? » Ca agace le terrible démon qui lui fait face, elle le sent jusque dans ses tripes, mais s'efforce de soutenir l'enfer de son regard sans ciller jusqu'à l’obtention d'une approbation pas même formulé. Quelques part sans doute, c'est soulagée qu'elle observe brièvement cette fratrie ainsi attablée mais n'offre aucune précipitation dans sa révérence, au contraire. Ca la tue de quitter le repas sans dessert et sans même avoir ouvert ses cadeaux -sensiblement le meilleur moment de l'année car elle pouvait s'indigner en murmurant à ses ainés qu'il ne l'aimait pas lorsque le cadeau lui déplaisait- « Merci d'avoir prit la peine de venir. Bonne soirée à tous. » Fuyez pauvres fous, comme si votre vie en dépendait !
— The Beast (♫) —
Explosant ses griffes sur la porte qui s'acharnait à la maintenir prisonnière, une ombre grattait. Inlassablement. Son grondement sinistre et sourd avait plus d'une fois retentit durant la nuit mais entra dans une singulière frénésie lorsque l’horloge sonna trois heures. Si elle se stoppa quelques fois et préféra mordre dans un matelas qu'elle était parvenu à éventrer pour contenir ses sursauts les plus sauvages, sa gueule acéré finit par avoir raison de la porte de sa chambre, assez du moins pour creuser un espace suffisant au passage de sa carcasse émaciée. Alors elle se coula hors de sa prison la terrible bête, s’érafla le corps contre le bois brisé et fila sous la caresse d'une lune au ventre rond. Plus d'une fois sa terrible mâchoire tenta de passer sous les portes de ses frères dans un glapissement à peine osé mais délaissa à dire vrai bien vite l'étage pour filer au travers du manoir, le flair rivé sur le parquet et ses pattes ensanglantée.
Si l'habitude la cantonnait à une brève balade dehors, du raticide et à une sieste roulée en boule au pied de la tour de Baby, c'est pleinement agitée que ce monstre aux allures de sinistros rode, tourne encore un peu dans le salon avant de subitement fuir en direction de la cuisine pour bondir sur l'un des plans de travail et se faufiler là, au travers d'une fenêtre cassé plus tôt. Quelque chose l'appelle par delà la roseraie, et ce n'est ni la tempête qui rugit, ni même l'énorme rat sur lequel elle vient de brutalement refermer sa mâchoire, non. Il y a quelque chose là bas, elle le ressent jusque dans ses tripes et cette simple information semble nourrir plus encore son hardiesse alors, peu concernée par le verre plongé dans sa chaire ou l'état de ses patte brulée autant par les entraves que par des heures passée à gratter frénétiquement, la Bête s'élance mais se fige brutalement lorsqu'une odeur la détourne de son aventure.
La tête se révulse en arrière, le cadavre de son rat pendant mollement entre ses canines nerveuses, mais si la queue bat frénétiquement pour évacuer le chaos qui pulse en elle, force est d'admettre que cette Terreur nocturne file déjà dehors sans invitation au jeu.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mar 7 Fév 2023 - 18:32
“ Vous nous ferez de très beaux enfants, des garçons, j’en suis sûre. Peut-être mes premiers petits enfants ! “. Juliet dissimule derrière un sourire factice la nausée qui l’étreint. Etait-ce l’idée de devoir coucher avec @Atticus Blackthorn qui lui retournait l’estomac où le fait que l’avocate avait oublié qu’elle avait déjà un petit fils malgré la distance qui la séparait des terres plus fraîches du royaume de Danemark. Mais Nullus était l'héritier. Eliott n’était que le second sur le chemin de la couronne, aujourd’hui. Mais où était donc ce satané gâteau ? Ne pouvait-on pas présenter les cadeaux à Cataleya dont les zygomatiques risquent de s’auto-détruire ?
“ J'aimerai sortir de table. La fièvre remonte et je m'en voudrais terriblement de gâcher les festivités. Tout est si parfait. “ Si Kiran n’avait pas été inquiet pour sa cadette, il aurait sûrement ri ouvertement de son hypocrisie. Le regard de Juliet s’arrête sur Claudia, dans son oeil une petite veine bat un peu plus vite qu’à la normale. Qui ne dit mot consent. Quarta sort de table et l’humeur générale s’assombrit encore un peu, si c’était possible.
Soigneusement emballé dans un papier cadeau rose et pailleté, le présent choisi pour Cataleya est abandonné sur un des guéridons qui meuble l’entrée. Elle ne sait même pas quoi en faire… Peut être aurait elle pu le garder ? Mais c’est plus fort qu’elle, il lui faut mettre un point final à cette soirée.
Enfin, c’était ce qu’elle pensait. Sa cape de velour vert foncé entourant son corps gracile, désireuse de la protéger contre les bourrasques glacées du mois le plus court de l’année, Juliet attend que Prima termine ses au revoirs pour rentrer avec sa cousine soeur, l’une des rares qui sait des difficultés de la blonde à transplaner seule depuis sa grossesse involontairement avortée.
Son regard se perd sur l’une des fenêtre du Manoir, couvrant lassement le jardin où autrefois elle avait pu jouer. Les lilas qu’elle aimaient tant paraissaient bien triste en hiver mais ce ne sont pas eux qui attirent l’attention de l’interne. La silhouette canine qui s’agite quelques étages plus bas… Il lui faut quelques secondes pour faire le lien entre le chien et sa cousine. Les mots de Tertia lui reviennent à l’esprit. Elle fronce les sourcils. Continue d’observer le manège canin qui ne semble pas “normal”. Autant qu’il puisse l’être…
- James … ?
Sa main vient attraper la manche de son frère alors qu’elle attire son attention discrètement vers la fenêtre. Son regard azuré cherche vainement des réponses dans celui glacé de son aîné.
“ J'aimerai sortir de table. La fièvre remonte et je m'en voudrais terriblement de gâcher les festivités. Tout est si parfait. “ Si Kiran n’avait pas été inquiet pour sa cadette, il aurait sûrement ri ouvertement de son hypocrisie. Le regard de Juliet s’arrête sur Claudia, dans son oeil une petite veine bat un peu plus vite qu’à la normale. Qui ne dit mot consent. Quarta sort de table et l’humeur générale s’assombrit encore un peu, si c’était possible.
***
Soigneusement emballé dans un papier cadeau rose et pailleté, le présent choisi pour Cataleya est abandonné sur un des guéridons qui meuble l’entrée. Elle ne sait même pas quoi en faire… Peut être aurait elle pu le garder ? Mais c’est plus fort qu’elle, il lui faut mettre un point final à cette soirée.
Enfin, c’était ce qu’elle pensait. Sa cape de velour vert foncé entourant son corps gracile, désireuse de la protéger contre les bourrasques glacées du mois le plus court de l’année, Juliet attend que Prima termine ses au revoirs pour rentrer avec sa cousine soeur, l’une des rares qui sait des difficultés de la blonde à transplaner seule depuis sa grossesse involontairement avortée.
Son regard se perd sur l’une des fenêtre du Manoir, couvrant lassement le jardin où autrefois elle avait pu jouer. Les lilas qu’elle aimaient tant paraissaient bien triste en hiver mais ce ne sont pas eux qui attirent l’attention de l’interne. La silhouette canine qui s’agite quelques étages plus bas… Il lui faut quelques secondes pour faire le lien entre le chien et sa cousine. Les mots de Tertia lui reviennent à l’esprit. Elle fronce les sourcils. Continue d’observer le manège canin qui ne semble pas “normal”. Autant qu’il puisse l’être…
- James … ?
Sa main vient attraper la manche de son frère alors qu’elle attire son attention discrètement vers la fenêtre. Son regard azuré cherche vainement des réponses dans celui glacé de son aîné.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Sam 11 Fév 2023 - 18:29
Tu les vois, ces doigts pinçant la chair. Quelques mois auparavant, tu aurais posé les tiens sur eux, cherchant à apaiser leurs mouvements frénétiques. Mais tu n’oses plus un geste. En aurais-tu seulement le droit ? N’empirerais-tu pas davantage la situation ? Sans doute que si, et si ton coeur se serre chaque seconde davantage, ce sont les années de conditionnement qui se rappellent à toi, assurent une posture et un immobilisme qu’on t’a toujours connus. Si Juliet picore à peine son assiette, tu forces chaque bouchée au fond de ta gorge nouée, certain de voir les remarques forcer encore sur ta carrure si tu osais ne pas faire honneur au moindre plat. La nausée qui t’étreint s’accentue encore lorsque les pieds de la chaise près de toi raclent le sol.
«J'aimerai sortir de table. La fièvre remonte et je m'en voudrais terriblement de gâcher les festivités. Tout est si parfait… »
Ta mâchoire se serre davantage encore, ton couvert repose finalement sur l’assiette mais tu ne relèves pas le regard certain de ne plus contenir la tempête qui bouillonne à l’intérieur de toi si tu venais à croiser celui de ta cousine. Tu pries les mères païennes qu’ils la laissent partir, mettent un terme à ce calvaire, bien que la clémence ne soit assurément pas leur qualité principale.
«Puis-je...? »
L’agacement qui flotte tout autour de vous te paralyse, tu crains un refus cinglant, pourtant la révérence se forme à ton côté, et tu réprimes un soupir de soulagement.
«Merci d'avoir prit la peine de venir. Bonne soirée à tous. »
Elle prend congé et si tu esquisses un salut que la bienséance oblige, ce n’est qu’une fois son dos offert à ta vue que tu oses suivre sa fuite du regard. Le reste du repas n’est plus qu’une vaste mascarade que tu noies difficilement dans ton unique verre de vin.
*
La nuit offre une échappatoire à ta cadette, prête à prendre la fuite avec votre aînée, que tu évites le plus soigneusement du monde. Oh… tu as bien envisagé de t’extirper de cette odieuse prison à ton tour, mais imaginer ton ancienne promise y demeurer seule te révulse davantage encore que les murs froids de ta chambre désormais vide ou ce bijou qui trône toujours sur ton ancien bureau. Un bijou qui roule entre tes doigts, que tu observes, songeur, après des souhaits de bonne nuit en tout point factices, jusqu’à ce qu’un grondement plaintif déchire le silence du corridor derrière ta porte, un bref instant seulement. Tu n’as guère le temps de sortir que la bête a disparu, mais tu n’as aucun doute sur ce qui a pu se produire, et si tu avais pris quelques aises pour passer la nuit étendu à défaut d’endormi, tu te rhabilles aussitôt, prêt à sortir dans le froid glacial des nuits d’hiver à la poursuite du malinois échappé. Ton regard s’attarde sur le jardin, là où la silhouette canine tourne et vire, accentue le sentiment d’urgence qui t’étreint.
- James… ?
Les doigts tirant ta manche détournent ton regard du manège sinistre en contrebas, et tes prunelles glacées croisent celles azurées de ta cadette, inquiète.
-Viens.
Vous ne serez pas trop de deux pour la rattraper, songes-tu. Tu sais la bête aussi entêtée que sa psyché humaine, et plus incontrôlable encore. Alors c’est tout d’abord vers la chambre de Tertia que tu te diriges, à la recherche de cette peluche usée qu’elle use pour attirer la forme canine auprès d’elle. Sans un mot de plus, ta main libre cherche celle de ta cadette, et tu t’élances vers une sortie de service, refusant de prendre le risque de tomber sur un de vos parents. Et si tu laisses quelques mètres de sécurité vous séparer de la lourde bâtisse du Manoir en direction de l’endroit où le chien fou rôdait tout à l’heure, tu commences à siffler le rappel de la bête aussi tôt que possible, espérant que le son autant que l’odeur du doudou dans ta main attire son attention.
«
Ta mâchoire se serre davantage encore, ton couvert repose finalement sur l’assiette mais tu ne relèves pas le regard certain de ne plus contenir la tempête qui bouillonne à l’intérieur de toi si tu venais à croiser celui de ta cousine. Tu pries les mères païennes qu’ils la laissent partir, mettent un terme à ce calvaire, bien que la clémence ne soit assurément pas leur qualité principale.
«
L’agacement qui flotte tout autour de vous te paralyse, tu crains un refus cinglant, pourtant la révérence se forme à ton côté, et tu réprimes un soupir de soulagement.
«
Elle prend congé et si tu esquisses un salut que la bienséance oblige, ce n’est qu’une fois son dos offert à ta vue que tu oses suivre sa fuite du regard. Le reste du repas n’est plus qu’une vaste mascarade que tu noies difficilement dans ton unique verre de vin.
La nuit offre une échappatoire à ta cadette, prête à prendre la fuite avec votre aînée, que tu évites le plus soigneusement du monde. Oh… tu as bien envisagé de t’extirper de cette odieuse prison à ton tour, mais imaginer ton ancienne promise y demeurer seule te révulse davantage encore que les murs froids de ta chambre désormais vide ou ce bijou qui trône toujours sur ton ancien bureau. Un bijou qui roule entre tes doigts, que tu observes, songeur, après des souhaits de bonne nuit en tout point factices, jusqu’à ce qu’un grondement plaintif déchire le silence du corridor derrière ta porte, un bref instant seulement. Tu n’as guère le temps de sortir que la bête a disparu, mais tu n’as aucun doute sur ce qui a pu se produire, et si tu avais pris quelques aises pour passer la nuit étendu à défaut d’endormi, tu te rhabilles aussitôt, prêt à sortir dans le froid glacial des nuits d’hiver à la poursuite du malinois échappé. Ton regard s’attarde sur le jardin, là où la silhouette canine tourne et vire, accentue le sentiment d’urgence qui t’étreint.
- James… ?
Les doigts tirant ta manche détournent ton regard du manège sinistre en contrebas, et tes prunelles glacées croisent celles azurées de ta cadette, inquiète.
-
Vous ne serez pas trop de deux pour la rattraper, songes-tu. Tu sais la bête aussi entêtée que sa psyché humaine, et plus incontrôlable encore. Alors c’est tout d’abord vers la chambre de Tertia que tu te diriges, à la recherche de cette peluche usée qu’elle use pour attirer la forme canine auprès d’elle. Sans un mot de plus, ta main libre cherche celle de ta cadette, et tu t’élances vers une sortie de service, refusant de prendre le risque de tomber sur un de vos parents. Et si tu laisses quelques mètres de sécurité vous séparer de la lourde bâtisse du Manoir en direction de l’endroit où le chien fou rôdait tout à l’heure, tu commences à siffler le rappel de la bête aussi tôt que possible, espérant que le son autant que l’odeur du doudou dans ta main attire son attention.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Dim 12 Fév 2023 - 14:28
Nimbé du clair de lune, la silhouette se découpe étrangement parmi les rosiers taillées bas et les lilas nus. Clopine un temps près de la serre mais s'en détourne bien vite, vraisemblablement plus intrigué par les branchages aux allures de griffes tenu là, plus loin, que par l'odeur entêtante et familière qui se mêle aux flagrances du thé matinal de James. La queue bat encore un peu, quoi que la mâchoire décharge presque frénétique sa nervosité sur le corps d'un rat au nez trop long. Oui, il y a décidément quelque chose qui a changé dans l’atmosphère, et si l'esprit peine à en trouver la source, le flair et l'ouïe s'aiguisent déjà sur le silence nocturne. Une seconde, peut être deux car subitement rappelé par le couinement caractéristique et ridicule d'une grenouille trop souvent rapiécé, la Bête file à toute allure et sur trois patte en direction de James. L'arrêt à un mètre de lui est franc, la mâchoire s'entrouvre, laisse mollement retomber le rat et si cette petite terreur nocturne pigne un peu devant ce troc qu'elle juge vraisemblablement légitime, c'est résignée qu'elle finit par se coucher en attente de cette peluche au parfum subtil d'églantier. Désespérément trop bien codée par les exigences parentales et des habitudes prises au côté de Tertia, elle attend, laisse le temps aux palpitations de son cœur de ralentir un peu, quoi que la mâchoire claque plus d'une fois au dessus de ses flancs enlaidie par le verre et les balafres. L'implantation étrange du poil sur le gauche trahit une séries de rune désespérément longue, le droit, lui, comporte une plaie à l'aspect tordue et filandreuse qui peine à cicatriser tant la magie qui la régit semble sombre et oubliée. Le corps a reprit un peu de peu de poids -à peine- mais les côtes se devinent encore aisément sous le poil sable et centre de ce titan au regard de feu.
Haletant de manière irrégulière, l'adrénaline redescend un peu mais le regard peine s'accrocher à James et Juliet. Le museau se repose un instant sur ses griffes explosées, lèche des tendons mis à rude épreuve par sa fuite, mais le corps se redresse brutalement lorsqu'un pas est esquissé en sa direction. L'appel au jeu est clair, la mâchoire tente subitement de claquer sur sa grenouille mais faute de succès, prend de nouveau la fuite jusqu'aux broussailles dont on l'avait détourné. Et elle aboie, petite terreur nocturne. Une fois, deux fois, marque des arrêts près des épines des prunelliers mais s'enfonce doucement sous les arbres, le museau dans l'humus, vraisemblablement entêté à suivre cette petite piste qui excitait tant ses sens.
Le plie caractéristique de l'herbe trahit des passages vraisemblablement répétés, quand bien même c'est vers les arbres et leur densité étouffante que préfère se tourner le malinois. Au moins a t-elle la décence d'attendre un peu les deux ombres qu'elle a si bien distancé malgré sa course étrange, hésitant visiblement à poser ses pattes au sol tant elle semble amoché de partout.
Le jappement bref qu'elle pousse -pourtant- flirt avec un grondement si lourd, si bas, qu'il détonne subitement avec le singulier enthousiasme qui l'avait poussé au départ. Et il faut l'avouer, le cadre dans lequel se découpe sa carcasse tordue n'est en rien rassurant lui non plus. Si le domaine familial est large, il y demeure des endroit un peu trop éloigné du manoir boudé par le plus grand nombre, et cet étrange petit bois, tordu en tout sens au dessus du crâne de la Bête semblait en faire parti.
Haletant de manière irrégulière, l'adrénaline redescend un peu mais le regard peine s'accrocher à James et Juliet. Le museau se repose un instant sur ses griffes explosées, lèche des tendons mis à rude épreuve par sa fuite, mais le corps se redresse brutalement lorsqu'un pas est esquissé en sa direction. L'appel au jeu est clair, la mâchoire tente subitement de claquer sur sa grenouille mais faute de succès, prend de nouveau la fuite jusqu'aux broussailles dont on l'avait détourné. Et elle aboie, petite terreur nocturne. Une fois, deux fois, marque des arrêts près des épines des prunelliers mais s'enfonce doucement sous les arbres, le museau dans l'humus, vraisemblablement entêté à suivre cette petite piste qui excitait tant ses sens.
Le plie caractéristique de l'herbe trahit des passages vraisemblablement répétés, quand bien même c'est vers les arbres et leur densité étouffante que préfère se tourner le malinois. Au moins a t-elle la décence d'attendre un peu les deux ombres qu'elle a si bien distancé malgré sa course étrange, hésitant visiblement à poser ses pattes au sol tant elle semble amoché de partout.
Le jappement bref qu'elle pousse -pourtant- flirt avec un grondement si lourd, si bas, qu'il détonne subitement avec le singulier enthousiasme qui l'avait poussé au départ. Et il faut l'avouer, le cadre dans lequel se découpe sa carcasse tordue n'est en rien rassurant lui non plus. Si le domaine familial est large, il y demeure des endroit un peu trop éloigné du manoir boudé par le plus grand nombre, et cet étrange petit bois, tordu en tout sens au dessus du crâne de la Bête semblait en faire parti.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mar 21 Fév 2023 - 14:03
“ Viens “. La cadette Blackthorn ne peut s’empêcher de grimacer. Elle n’est jamais très à l’aise avec les animaux. Encore moins quand il s’agit sous l’animal de sa cousine avec qui les relations sont… bizarres. Oui c’était le moins qu’on puisse dire. Est-ce qu’elle serait aussi allergique au chien s’il s’agissait d’un animagus ? Elle avait tant de raisons de refuser et pourtant, elle suit docilement son frère. Le passage par la chambre de Tertia l’interroge avant de comprendre ce pourquoi ils sont ici. Elle soupire.
Il fait si froid dehors. Elle a gentillement fait comprendre à Prima que ce n’était pas nécessaire de l’attendre sans prévenir l’aîné de l’étrange manège de Quarta sous sa forme canidé et espérant surtout qu’elle ne s’en aperçoive pas. Les relations entre les deux sœurs étaient encore plus électriques qu’entre la blonde et la rousse. Le vent de février semble vouloir s’infiltrer aux plus près de ses os. Juliet serre contre elle une cape de bonne facture mais qui ne suffit pas à la protéger.
Elle suit James, se demandant pourquoi elle était là. Elle ne savait absolument pas quoi faire. C’était même la première fois qu’elle voyait Cataleya sous forme animale bien qu’elle ait entendu parlé des crises qu’elle pouvait faire. Elle fronce le nez, s’interroge. Le chien semblait partagé entre le jeu et l’idée de poursuivre son chemin, ce qui les faisait avancer de plus en plus vers l’orée de la forêt qui bordait la demeure des Blackthorn.
- J’ai froid…
Se plaint elle plus pour elle même qu’à l’intention de son frère.
- Cataleya ! Viens ici. C’est n’importe quoi… Elle se prend vraiment pour un chien ou quoi ?
Et force était de constater que Juliet elle-même s’adressait à sa cousine comme si c’était vraiment un animal tant l’attitude canine est bien executée.
Il fait si froid dehors. Elle a gentillement fait comprendre à Prima que ce n’était pas nécessaire de l’attendre sans prévenir l’aîné de l’étrange manège de Quarta sous sa forme canidé et espérant surtout qu’elle ne s’en aperçoive pas. Les relations entre les deux sœurs étaient encore plus électriques qu’entre la blonde et la rousse. Le vent de février semble vouloir s’infiltrer aux plus près de ses os. Juliet serre contre elle une cape de bonne facture mais qui ne suffit pas à la protéger.
Elle suit James, se demandant pourquoi elle était là. Elle ne savait absolument pas quoi faire. C’était même la première fois qu’elle voyait Cataleya sous forme animale bien qu’elle ait entendu parlé des crises qu’elle pouvait faire. Elle fronce le nez, s’interroge. Le chien semblait partagé entre le jeu et l’idée de poursuivre son chemin, ce qui les faisait avancer de plus en plus vers l’orée de la forêt qui bordait la demeure des Blackthorn.
- J’ai froid…
Se plaint elle plus pour elle même qu’à l’intention de son frère.
- Cataleya ! Viens ici. C’est n’importe quoi… Elle se prend vraiment pour un chien ou quoi ?
Et force était de constater que Juliet elle-même s’adressait à sa cousine comme si c’était vraiment un animal tant l’attitude canine est bien executée.
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I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mer 22 Fév 2023 - 19:45
- J’ai froid…
Tu serres un peu la main de ta cadette, avant d'arrêter votre course et lâcher ses doigts pour extirper ta baguette et lancer un sortilège pour la réchauffer un peu, temporairement au moins. Un instant seulement avant de poursuivre tes tentatives pour rappeler la bête qui tourne et vire encore un peu, au loin.
Elle t'entend, visiblement, et tu la vois claudiquer jusqu'à toi. Tu pestes intérieurement : n'était-elle pas déjà assez amochée comme ça, ta luciole ? Du regard, tu cherches les blessures, quand elle dépose ce rat mort à quelques pas de vous, trépignant pour cette peluche élimée que tu tiens en main. Là, couchée au-devant de rosiers nus, elle semble vous attendre, et pourtant, dès lors que tu fais un pas vers elle, elle se redresse, prête à prendre la fuite. Pleinement emportée par le jeu. Elle tente de saisir la grenouille que tu lèves subitement hors de portée, et se détourne à nouveau vers ces broussailles auprès desquelles vous n'avez jugé intéressant de vous aventurer. Le malinois aboie un peu, s'approche encore, quelque peu à tâtons sous les épines, suivant une piste que seul son flair canin peut déceler.
- Cataleya ! Viens ici. C’est n’importe quoi… Elle se prend vraiment pour un chien ou quoi ?
-Elle ne contrôle plus... Qu'est-ce qu'elle cherche bon sang ? ne peux-tu t'empêcher de pester en prenant sa suite, inquiet de la démarche trahissant des blessures qu'il faudrait panser au plus vite - sous forme humaine, elle serait la première à le dire, n'est-ce pas ?
Là, sous le couvert de ces bois bordant le domaine, tu fronces les sourcils. Vous ne vous aventurez guère par ici, pourtant l'herbe couchée indique du passage, à l'évidence. Un instant, tu t'accroupis au sol, perplexe.
-Qui peut bien passer par ici ?
C'est aussi incompréhensible que l'envie irrépressible de l'animal cendré d'accéder à cet endroit en particulier. Alors tu cherches Cat du regard, croise ses prunelles de feu.
-Tu as senti quelque chose, n'est-ce pas ? demandes-tu alors à la silhouette canine qui s'efforce de trouver un chemin, là, parmi les ronces.
Et après un regard quelque peu interrogateur à ta petite soeur, tu reprends ta baguette, cherchant à flétrir les branchages piquants pour vous permettre un passage plus avant.
Tu serres un peu la main de ta cadette, avant d'arrêter votre course et lâcher ses doigts pour extirper ta baguette et lancer un sortilège pour la réchauffer un peu, temporairement au moins. Un instant seulement avant de poursuivre tes tentatives pour rappeler la bête qui tourne et vire encore un peu, au loin.
Elle t'entend, visiblement, et tu la vois claudiquer jusqu'à toi. Tu pestes intérieurement : n'était-elle pas déjà assez amochée comme ça, ta luciole ? Du regard, tu cherches les blessures, quand elle dépose ce rat mort à quelques pas de vous, trépignant pour cette peluche élimée que tu tiens en main. Là, couchée au-devant de rosiers nus, elle semble vous attendre, et pourtant, dès lors que tu fais un pas vers elle, elle se redresse, prête à prendre la fuite. Pleinement emportée par le jeu. Elle tente de saisir la grenouille que tu lèves subitement hors de portée, et se détourne à nouveau vers ces broussailles auprès desquelles vous n'avez jugé intéressant de vous aventurer. Le malinois aboie un peu, s'approche encore, quelque peu à tâtons sous les épines, suivant une piste que seul son flair canin peut déceler.
- Cataleya ! Viens ici. C’est n’importe quoi… Elle se prend vraiment pour un chien ou quoi ?
-
Là, sous le couvert de ces bois bordant le domaine, tu fronces les sourcils. Vous ne vous aventurez guère par ici, pourtant l'herbe couchée indique du passage, à l'évidence. Un instant, tu t'accroupis au sol, perplexe.
-
C'est aussi incompréhensible que l'envie irrépressible de l'animal cendré d'accéder à cet endroit en particulier. Alors tu cherches Cat du regard, croise ses prunelles de feu.
-
Et après un regard quelque peu interrogateur à ta petite soeur, tu reprends ta baguette, cherchant à flétrir les branchages piquants pour vous permettre un passage plus avant.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Dim 26 Fév 2023 - 22:31
Définitivement plus intriguée par l’odeur qu’elle file que par le sacro-saint pouic-pouic qu’elle n’a pu chiper plus tôt, la carcasse aux allures canines s’enfonce plus encore dans la nuit. S’écorche sur les ronces avec insistance mais pousse un jappement surpris lorsque les tentacules épineux rampent hors de son chemin. L’expression qu’elle tourne brusquement vers James et Juliet est en tout point singulière car à mi-chemin entre l’euphorie et une fierté toute Cataleyenne. Aussi reprend t’elle sa route, la queue balayant doucement les feuilles mortes avant de marquer une première fois là, tout près des ronces. Leurs sournoises griffes gardent pour trophée quelques sombres fils d’une cape de bonne facture, accroc bien discret trahissant, là encore, un passage humain.
Le Malinois s’en détourne bien vite lorsque les pas de sa fratrie se rapprochent, et c’est claudiquant avec panache qu’il reprend tranquillement sa route.
Le déni, vous soufflerez Quarta, c’était une puissance trop souvent mésestimée. Un Joker qu’elle abattait si régulièrement lorsque le corps était sur le point de lâcher qu’il était terrifiant de constater que, même sévèrement blessé, la douleur ne parvenait pas à l’arracher à ses songes. Pas un glapissement ne lui échappe alors qu’elle file, le nez collé à la terre et les oreilles pleinement agitées. Pas un grondement ne perce sa gueule entrouverte lorsque, pour la troisième fois, elle tourne autour de ce foutu chêne aux allures de serpent et tente de gratter à ses pieds. La frustration est palpable car si le premier tour s’était fait sincèrement enthousiaste, c’est tout doucement qu’elle s’acharne, creuse, se stoppe, tourne de nouveau et brusquement éternue. L'événement, somme toute lambda, se reproduit une seconde, troisième, quatrième fois, et avec tant d’énergie que l'animal se voit contraint de reculer de plusieurs pas.
Plus d’une odeur lui est franchement désagréable depuis que les crises de somnambulisme ont repris. Depuis que la Bête côtoie trop souvent, si ce n’est prend le dessus sur la dame. Les piments, tout d’abord, mais surtout une flopée de plantes urticantes dont semble se délecter Tibérius et qu’elle repère sans même avoir posé le pied dans la pièce. Pleinement dramatique comme à son habitude, son obsession pour que tous se lave les mains après avoir effleuré certaine d’entre elles passent le plus souvent pour un caprice de Cataleya “Controle freak” Blackthorn, mais force est d’admettre que, sans parler d'allergie, l’odeur de certaine d’entre elle se fait si agressive qu’elle peine à rester autour.
Alors il se recule, titan de cendre et sable, gronde longuement comme à chaque fois que sa part humaine peine à compléter ses devoirs, mais finit par se coucher à quelque mètres de cet arbre au bois à peine gravé, entêté mais bien moins téméraire.
Le Malinois s’en détourne bien vite lorsque les pas de sa fratrie se rapprochent, et c’est claudiquant avec panache qu’il reprend tranquillement sa route.
Le déni, vous soufflerez Quarta, c’était une puissance trop souvent mésestimée. Un Joker qu’elle abattait si régulièrement lorsque le corps était sur le point de lâcher qu’il était terrifiant de constater que, même sévèrement blessé, la douleur ne parvenait pas à l’arracher à ses songes. Pas un glapissement ne lui échappe alors qu’elle file, le nez collé à la terre et les oreilles pleinement agitées. Pas un grondement ne perce sa gueule entrouverte lorsque, pour la troisième fois, elle tourne autour de ce foutu chêne aux allures de serpent et tente de gratter à ses pieds. La frustration est palpable car si le premier tour s’était fait sincèrement enthousiaste, c’est tout doucement qu’elle s’acharne, creuse, se stoppe, tourne de nouveau et brusquement éternue. L'événement, somme toute lambda, se reproduit une seconde, troisième, quatrième fois, et avec tant d’énergie que l'animal se voit contraint de reculer de plusieurs pas.
Plus d’une odeur lui est franchement désagréable depuis que les crises de somnambulisme ont repris. Depuis que la Bête côtoie trop souvent, si ce n’est prend le dessus sur la dame. Les piments, tout d’abord, mais surtout une flopée de plantes urticantes dont semble se délecter Tibérius et qu’elle repère sans même avoir posé le pied dans la pièce. Pleinement dramatique comme à son habitude, son obsession pour que tous se lave les mains après avoir effleuré certaine d’entre elles passent le plus souvent pour un caprice de Cataleya “Controle freak” Blackthorn, mais force est d’admettre que, sans parler d'allergie, l’odeur de certaine d’entre elle se fait si agressive qu’elle peine à rester autour.
Alors il se recule, titan de cendre et sable, gronde longuement comme à chaque fois que sa part humaine peine à compléter ses devoirs, mais finit par se coucher à quelque mètres de cet arbre au bois à peine gravé, entêté mais bien moins téméraire.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mar 28 Fév 2023 - 11:40
La cadette Blackthorn grommelle quelques mots incompréhensibles alors que le sortilèges d’Ice l’entoure d’une agréable chaleur, douce contradiction. Elle, ce qu’elle aurait préféré, c’est rentrer chez elle au plus vite. Un feu dans la cheminée, un plaid épais, une verveine-camomille et quelques heures de sommeil avant d’attaquer une garde de quarante huit heures aux urgences, c'était trop demander ?
Visiblement c’était bien trop demander. Et de toute façon, en voyant l’animagus de Quarta boitiller, elle n’aurait pas le coeur à une si douce fin de soirée en sachant sa cousine blessée. Mais le canidé est déjà parti, obligeant James et Juliet à le suivre pour ne pas le perdre de vue. A voir comment l’animal se joue des rosiers, c’était pas franchement étonnant qu’il soit arrangé ainsi.
Elle grimace alors, apprenant que Cataleya ne se contrôlait plus. Su-per. Mais est ce que sous sa forme humaine la jeune femme se contrôlait seulement ? Juliet garde pour elle ses commentaires désagréables et repousse une branche pour continuer à suivre le chien.
- Ah parce qu’elle cherche un truc ?
Juliet avait plutôt l’impression que le malinois se foutait ouvertement de leur gueule et que tout ce qu’il voulait c’était jouer. Elle soupire un peu plus fort mais se fait violence et sort à son tour sa baguette puisque guidé par le chien, ils s’enfoncent davantage dans les bois.
Leur course semble s’achever auprès d’un énorme chêne aux racines tortueuses. Certaines sont si grandes qu’elles dépassent le mollet de la cadette Blackthorn. Elle n’allait que très rarement dans ce bois et jamais elle n’avait réalisé que cer arbre était là.
- Quel monstre…
Si James s'intéresse au chien, Juliet est assez fascinée par l’arbre qui leur fait face. Lentement, elle tourne autour et finit par s’accroupir sous la plus grosse des racines. Elle est énorme et lui arrive facilement au genou. Au plus Juliet la fixe, au plus elle semble vouloir échapper à son regard. Comme si quelque-chose était trouble. Elle fronce les yeux la douce Blackthorn, comme si elle avait besoin d’améliorer sa vision mais ça ne change rien.
- Y’a un truc qui …
Elle sursaute. Elle vient de passer sa main sous la racine mais elle n’en ressort pas de l’autre côté. Comme si elle était cachée par… un sortilège évidemment. C’était sûrement ce que sentait le ch… Cataleya. Restant dans cette position, elle appelle son frère qui de là où il est ne doit plus voir sa main au bout de son bras.
- James ?
Visiblement c’était bien trop demander. Et de toute façon, en voyant l’animagus de Quarta boitiller, elle n’aurait pas le coeur à une si douce fin de soirée en sachant sa cousine blessée. Mais le canidé est déjà parti, obligeant James et Juliet à le suivre pour ne pas le perdre de vue. A voir comment l’animal se joue des rosiers, c’était pas franchement étonnant qu’il soit arrangé ainsi.
Elle grimace alors, apprenant que Cataleya ne se contrôlait plus. Su-per. Mais est ce que sous sa forme humaine la jeune femme se contrôlait seulement ? Juliet garde pour elle ses commentaires désagréables et repousse une branche pour continuer à suivre le chien.
- Ah parce qu’elle cherche un truc ?
Juliet avait plutôt l’impression que le malinois se foutait ouvertement de leur gueule et que tout ce qu’il voulait c’était jouer. Elle soupire un peu plus fort mais se fait violence et sort à son tour sa baguette puisque guidé par le chien, ils s’enfoncent davantage dans les bois.
Leur course semble s’achever auprès d’un énorme chêne aux racines tortueuses. Certaines sont si grandes qu’elles dépassent le mollet de la cadette Blackthorn. Elle n’allait que très rarement dans ce bois et jamais elle n’avait réalisé que cer arbre était là.
- Quel monstre…
Si James s'intéresse au chien, Juliet est assez fascinée par l’arbre qui leur fait face. Lentement, elle tourne autour et finit par s’accroupir sous la plus grosse des racines. Elle est énorme et lui arrive facilement au genou. Au plus Juliet la fixe, au plus elle semble vouloir échapper à son regard. Comme si quelque-chose était trouble. Elle fronce les yeux la douce Blackthorn, comme si elle avait besoin d’améliorer sa vision mais ça ne change rien.
- Y’a un truc qui …
Elle sursaute. Elle vient de passer sa main sous la racine mais elle n’en ressort pas de l’autre côté. Comme si elle était cachée par… un sortilège évidemment. C’était sûrement ce que sentait le ch… Cataleya. Restant dans cette position, elle appelle son frère qui de là où il est ne doit plus voir sa main au bout de son bras.
- James ?
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
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» âge : 25 ans (26/06/1998)
» situation : fiancé et amoureux (de plusieurs personne, chut)
» année d'études : 5e année
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• Botanique
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mar 28 Fév 2023 - 13:07
Les réactions t'étonnent. Le jappement surpris du malinois lorsque les épines flétrissent moins que le grommellement de ta cadette, cependant. Elle avait froid, non ? T'as décidément du mal à comprendre les gens, indéniablement. Mais c'est pas vraiment une nouveauté. Alors tu te focalises sur l'animagus, le suis sans discontinuer, t'arrêtes chaque fois qu'il marque un temps d'arrêt.
- Ah parce qu’elle cherche un truc ?
Tu tournes un regard surpris vers ta cadette. N'est-ce pas évident ? Tu t'accroupis là où la bête s'est arrêtée, effleure des branchages épineux pour en extirper leur insolite trophée. Les fibres textiles renfrognent un peu plus l'expression de ton visage. T'aimes définitivement pas laisser ce genre de mystère irrésolu, et t'as pas l'intention d'en rester là. De toute façon, Cat non plus, et quand elle cercle plusieurs fois autour d'un vieux chêne aux racines tortueuses, tu es certain qu'il y a quelque chose par là.
Quelque chose qu'on s'est acharné à dissimuler derrière des ronces et des odeurs repoussantes pour le flair aiguisé d'un chien incontrôlable.
-Elle cherche définitivement quelque chose. Quelque chose que quelqu'un est venu régulièrement retrouver, et que cette personne s'est acharnée à dissimuler...
Tu t'es approché de Cat, flattant le crâne du titan cendre et sable, la félicitant silencieusement de sa trouvaille, presque. Derrière toi, Juliet s'approche de l'arbre immense.
- Quel monstre…
Tu vois Juliet s'accroupir du coin de l'oeil, inspectant une énorme racine.
- Y’a un truc qui…
Le sursaut détourne ton attention de ta cousine, ton regard suivant la ligne de son bras. Au bout duquel sa main a purement et simplement disparu sous un sortilège savamment exécuté.
- James ?
Tu te redresses pour t'approcher de ta cadette, un claquement de doigts en arrière à destination du malinois pour l'inviter à te suivre. A ton tour tu viens t'accroupir près de ce que tu supposes être une cachette secrète. Mais la cachette de quoi ? Si tu n'en sais rien pour l'heure, tu as bien l'intention de le découvrir. Et ta baguette reprend du service, probablement un peu trop simplement tout d'abord. Le finite incantatem que tu lances ne suffit pas à déjouer le sortilège, mais ça n'est pas si surprenant que ça, n'est-ce pas ?
-Ca aurait été trop simple , souffles-tu avec pourtant un léger sourire sur les lèvres.
Un casse-tête à résoudre ? Assurément. Et tu sais d'ores et déjà que tu vas t'acharner dessus jusqu'à en trouver la solution. Quitte à y passer la nuit s'il le faut.
- Ah parce qu’elle cherche un truc ?
Tu tournes un regard surpris vers ta cadette. N'est-ce pas évident ? Tu t'accroupis là où la bête s'est arrêtée, effleure des branchages épineux pour en extirper leur insolite trophée. Les fibres textiles renfrognent un peu plus l'expression de ton visage. T'aimes définitivement pas laisser ce genre de mystère irrésolu, et t'as pas l'intention d'en rester là. De toute façon, Cat non plus, et quand elle cercle plusieurs fois autour d'un vieux chêne aux racines tortueuses, tu es certain qu'il y a quelque chose par là.
Quelque chose qu'on s'est acharné à dissimuler derrière des ronces et des odeurs repoussantes pour le flair aiguisé d'un chien incontrôlable.
-
Tu t'es approché de Cat, flattant le crâne du titan cendre et sable, la félicitant silencieusement de sa trouvaille, presque. Derrière toi, Juliet s'approche de l'arbre immense.
- Quel monstre…
Tu vois Juliet s'accroupir du coin de l'oeil, inspectant une énorme racine.
- Y’a un truc qui…
Le sursaut détourne ton attention de ta cousine, ton regard suivant la ligne de son bras. Au bout duquel sa main a purement et simplement disparu sous un sortilège savamment exécuté.
- James ?
Tu te redresses pour t'approcher de ta cadette, un claquement de doigts en arrière à destination du malinois pour l'inviter à te suivre. A ton tour tu viens t'accroupir près de ce que tu supposes être une cachette secrète. Mais la cachette de quoi ? Si tu n'en sais rien pour l'heure, tu as bien l'intention de le découvrir. Et ta baguette reprend du service, probablement un peu trop simplement tout d'abord. Le finite incantatem que tu lances ne suffit pas à déjouer le sortilège, mais ça n'est pas si surprenant que ça, n'est-ce pas ?
-
Un casse-tête à résoudre ? Assurément. Et tu sais d'ores et déjà que tu vas t'acharner dessus jusqu'à en trouver la solution. Quitte à y passer la nuit s'il le faut.
– the best –
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
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» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mer 1 Mar 2023 - 22:33
Étendue à la manière d’un sphinx faute de pouvoir se coucher sur ses flancs blessés, la Bête baille largement, soumise à la chute de son adrénaline et une fatigue écrasante. Elle sursaute un peu au contact de la main de James mais, si le réflexe veut que la morsure prime sur la réflexion, c’est pleinement douce qu’elle se contente de poser ses canines aiguisés sur cette main. Plus pour lui faire comprendre qu’elle se refuse au contact que par réelle volonté de faire mal cependant. Tertia en serait soufflé. Alicia s’était déjà faite avoir en voulant reconduire sa nièce à l’intérieur et, si la peur plaquait toujours l’animal au sol lorsque c’était Aloysius qui croisait son chemin, force était d’admettre qu’elle cherchait toujours à lui arracher la main lorsqu’il venait à la pendre là, au dessus du sol par la peau du cou, pour sauvagement la jeter dans l’enceinte du manoir lorsque ce n’était pas un maléfice qui la projetait brutalement dans les tapis. Pas étonnant qu’elle s’éveillait toujours couverte de bleu. Ca ne l’empêchait pourtant jamais de reproduire ce même schéma, encore et encore, et Aloysius de persévérer dans la violence. Quarta vous répondrez que c’était une activité père-fille comme une autre, sans même percuter sur la gravité de ses mots.
Quoi qu’il en soit, c’est doucement que la mâchoire relâche la main de James au profit d’un bout de bois qu’elle lacère méticuleusement le temps que Juliet s'interroge sur l’arbre, mais le claquement de doigt l'arrache brutalement à son activité pour la plaquer contre la jambe du Pokeby.
Les oreilles sont plaquées sur le crâne et la queue basse tant l’odeur lui est infâme, mais le pas fait irrépressiblement écho à celui de James. Si elle grognotte un peu en s’approchant de la racine et que la queue bat tant nerveusement qu’elle frappe Juliet dans un rythme régulier, la gueule s'engouffre tout près de la main disparu de la douce blondinette dont la posture semble inspirer celle du malinois. Et elle se faufile petite bête émaciée, rendue grincheuse par ses éternuements à répétition et enhardie sur la détermination de son enquêteur préféré, autrement dit James.
Si le cul dépasse encore et accorde à la scène une aura digne des récits de Lewis Caroll, il finit par parfaitement disparaître, quoi que les éternuement frénétique mêlé au grondement frustré témoigne d’une présence qui n’a pas totalement disparu. Du moins pour cette poignée de seconde car, doucement, les éternuements se font distants, jusqu’à parfaitement s’éteindre aux frontières du mutisme le plus total. Elle s’est pleinement barrée, l’inspectrice Quarta.
Quoi qu’il en soit, c’est doucement que la mâchoire relâche la main de James au profit d’un bout de bois qu’elle lacère méticuleusement le temps que Juliet s'interroge sur l’arbre, mais le claquement de doigt l'arrache brutalement à son activité pour la plaquer contre la jambe du Pokeby.
Les oreilles sont plaquées sur le crâne et la queue basse tant l’odeur lui est infâme, mais le pas fait irrépressiblement écho à celui de James. Si elle grognotte un peu en s’approchant de la racine et que la queue bat tant nerveusement qu’elle frappe Juliet dans un rythme régulier, la gueule s'engouffre tout près de la main disparu de la douce blondinette dont la posture semble inspirer celle du malinois. Et elle se faufile petite bête émaciée, rendue grincheuse par ses éternuements à répétition et enhardie sur la détermination de son enquêteur préféré, autrement dit James.
Si le cul dépasse encore et accorde à la scène une aura digne des récits de Lewis Caroll, il finit par parfaitement disparaître, quoi que les éternuement frénétique mêlé au grondement frustré témoigne d’une présence qui n’a pas totalement disparu. Du moins pour cette poignée de seconde car, doucement, les éternuements se font distants, jusqu’à parfaitement s’éteindre aux frontières du mutisme le plus total. Elle s’est pleinement barrée, l’inspectrice Quarta.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mar 21 Mar 2023 - 11:08
Juliet n’a que peu d’affection pour les canidés et l’animagus de sa presque soeur ne fait pas exception à l’inverse de l’adorable boule de poil adoptée par @Maximilien Leroy et @Peter Drummond . Il faut dire que le malinois ne semble pas être adapté aux gratouilles sur le ventre, une tasse de thé à la main, face à une cheminée bien fournie… Ou alors était-ce la relation entre les deux cousines qui rendait la jeune Blackthorn si… nerveuse ?
Elle essaye d’ignorer la queue qui frappe sa cuisse tandis qu’elle s'échine avec son frère de comprendre ce qui se trame auprès de cet arbre. James semble arrivé aux mêmes conclusions qu’elle.. Il y avait un sortilège sous cette racine. Lequel ? Pourquoi ? Juliet aurait bien tourné les talons mais elle connaissait assez Ice pour savoir qu’il ne bougerait pas de cette forêt de malheur tant qu’il n’aurait pas réponse à ces question et plus encore.
- Bien essayé…
Commente-t-elle doucement en esquissant un sourire désolé alors que le sortilège d’annulation de son aîné échoue. Elle n’a pas le temps d’ajouter quoi que ce soit que Cataleya semble décidée à accélérer leurs recherches. Le corps du chien passe et disparaît sous la racine ce qui provoque l’agacement de la blonde.
- Cat !?
Elle ne sait même pas si sa cousine la comprend. Ni même si elle l’entend. Les éternuements du chien sont toujours audibles pourtant…
- Revelio.
Pas de baguette, seulement ses mains posées sur la racine de l’arbre qui au contact du sortilège grandit grandit… La blonde tombe à la renverse et fait face a ce qui semble être un tunnel creusé dans la terre. Au loin, elle aperçoit la queue du malinois qui semble bloqué. Le plafond est trop bas sur les premiers mètres, même l’animagus a dû ramper. La Blackthorn soupire mais ne prend même pas la peine de se reveler.
- Tu sais qu’en temps normal je refuserais catégoriquement de rentrer la dedans… Mais y’a définitivement un truc pas net. Alors… Après toi ?
Elle essaye d’ignorer la queue qui frappe sa cuisse tandis qu’elle s'échine avec son frère de comprendre ce qui se trame auprès de cet arbre. James semble arrivé aux mêmes conclusions qu’elle.. Il y avait un sortilège sous cette racine. Lequel ? Pourquoi ? Juliet aurait bien tourné les talons mais elle connaissait assez Ice pour savoir qu’il ne bougerait pas de cette forêt de malheur tant qu’il n’aurait pas réponse à ces question et plus encore.
- Bien essayé…
Commente-t-elle doucement en esquissant un sourire désolé alors que le sortilège d’annulation de son aîné échoue. Elle n’a pas le temps d’ajouter quoi que ce soit que Cataleya semble décidée à accélérer leurs recherches. Le corps du chien passe et disparaît sous la racine ce qui provoque l’agacement de la blonde.
- Cat !?
Elle ne sait même pas si sa cousine la comprend. Ni même si elle l’entend. Les éternuements du chien sont toujours audibles pourtant…
- Revelio.
Pas de baguette, seulement ses mains posées sur la racine de l’arbre qui au contact du sortilège grandit grandit… La blonde tombe à la renverse et fait face a ce qui semble être un tunnel creusé dans la terre. Au loin, elle aperçoit la queue du malinois qui semble bloqué. Le plafond est trop bas sur les premiers mètres, même l’animagus a dû ramper. La Blackthorn soupire mais ne prend même pas la peine de se reveler.
- Tu sais qu’en temps normal je refuserais catégoriquement de rentrer la dedans… Mais y’a définitivement un truc pas net. Alors… Après toi ?
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I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mar 21 Mar 2023 - 16:28
Le contact est refusé par la forme canine de ta cousine qui pose ses canines sur sa peau, sans toutefois aller jusqu'à la morsure. Tu hoches simplement la tête, retirant ta main tout aussi doucement qu'elle l'a relâchée.
-Compris.
Un murmure à peine, t'as le coeur qui vrille à chaque refus qu'elle t'oppose, mais tu sais bien que tu en es le seul responsable. Et que ce pourrait être bien pire, finalement. Si tu n'en as pas été témoin, tu sais les morsures qu'elle a pu infliger sous cette forme à ta mère notamment. Tu ne t'en sors pas si mal, au fond. D'autant moins que sur ton appel, elle se colle tout de même à ta jambe, la malinoise, prête à te suivre visiblement n'importe où, même là où les effluves de plantes qu'elle abhorre la dérangent ouvertement. Elle te devance, même, silhouette maigrelette qui s'enfonce sous la racine et disparaît dans les ténèbres après que ton sortilège a échoué.
- Bien essayé… Cat !?
Trop tard, à l'évidence, le chien s'est pleinement barré, ce qui t'arracherait presque un éclat de rire. Ta cadette pose les mains sur le bois sombre, et c'est avec un mélange d'admiration et de frustration que tu la regardes faire.
- Revelio.
Tu l'as déjà vue oeuvrer sans baguette, et clairement, la manumagie force ton admiration. Pour autant, tu n'as jamais vraiment souhaité t'y essayer. Ta baguette prend des allures d'artefact sacré dans ta main, et si l'idée de sortilèges informulés te séduit, toi qui restes si avare de mots au demeurant, celle de te passer du chêne blanc entre tes doigts ne t'effleure pas vraiment l'esprit.
- Tu sais qu’en temps normal je refuserais catégoriquement de rentrer là-dedans… Mais y’a définitivement un truc pas net. Alors… Après toi ?
-Je me doute. Mais on ne passera pas ainsi.
Tu t'es accroupi à ton tour, observant les ténèbres devant vous, et l'arrière-train de l'animagus, un peu bloqué là-bas. Puisque le tunnel a manifestement décidé de te résister, tu optes pour une autre tactique, et c'est un sortilège de ratatinage que tu destines à ta cousine tout d'abord. Elle t'en voudra peut-être plus tard, puisque tu n'as pas obtenu son accord avant de la soumettre au sortilège de réduction, mais tu songes amèrement que tu n'es plus vraiment à ça près.
-A notre tour , fais-tu seulement en direction de ta cadette, t'emparant d'une de ses mains comme si ce geste pouvait réellement apporter quelque réconfort, tandis que l'autre s'apprête à réduire vos tailles également, de sorte que vous puissiez avancer dans l'étroit passage avec moins de difficulté.
Un nouveau lumos pour éclairer votre passage, et l'instant d'après, vous vous engouffrez à la suite du chien pour déboucher dans une pièce aux allures de bureau ancien. Pourtant, l'état général de la pièce prouve qu'à l'évidence, on a utilisé les lieux encore tout récemment.
-Qu'est-ce qui se cache ici ? murmures-tu, clairement décidé à le découvrir.
Parce que le qui ? sous-jacent te semble tout dirigé vers vos parents, et que tu ne les dissocies pas vraiment dans l'histoire. Quel que soit celui qui use de cette pièce secrète principalement, t'es persuadé que les trois autres sont a minima au courant, voire tout aussi partie prenante dans l'histoire... Et sans perdre une seconde, après avoir annulé le sort qui réduisait vos tailles à tous les trois, tu commences à méticuleusement fouiller la pièce.
-
Un murmure à peine, t'as le coeur qui vrille à chaque refus qu'elle t'oppose, mais tu sais bien que tu en es le seul responsable. Et que ce pourrait être bien pire, finalement. Si tu n'en as pas été témoin, tu sais les morsures qu'elle a pu infliger sous cette forme à ta mère notamment. Tu ne t'en sors pas si mal, au fond. D'autant moins que sur ton appel, elle se colle tout de même à ta jambe, la malinoise, prête à te suivre visiblement n'importe où, même là où les effluves de plantes qu'elle abhorre la dérangent ouvertement. Elle te devance, même, silhouette maigrelette qui s'enfonce sous la racine et disparaît dans les ténèbres après que ton sortilège a échoué.
- Bien essayé… Cat !?
Trop tard, à l'évidence, le chien s'est pleinement barré, ce qui t'arracherait presque un éclat de rire. Ta cadette pose les mains sur le bois sombre, et c'est avec un mélange d'admiration et de frustration que tu la regardes faire.
- Revelio.
Tu l'as déjà vue oeuvrer sans baguette, et clairement, la manumagie force ton admiration. Pour autant, tu n'as jamais vraiment souhaité t'y essayer. Ta baguette prend des allures d'artefact sacré dans ta main, et si l'idée de sortilèges informulés te séduit, toi qui restes si avare de mots au demeurant, celle de te passer du chêne blanc entre tes doigts ne t'effleure pas vraiment l'esprit.
- Tu sais qu’en temps normal je refuserais catégoriquement de rentrer là-dedans… Mais y’a définitivement un truc pas net. Alors… Après toi ?
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Tu t'es accroupi à ton tour, observant les ténèbres devant vous, et l'arrière-train de l'animagus, un peu bloqué là-bas. Puisque le tunnel a manifestement décidé de te résister, tu optes pour une autre tactique, et c'est un sortilège de ratatinage que tu destines à ta cousine tout d'abord. Elle t'en voudra peut-être plus tard, puisque tu n'as pas obtenu son accord avant de la soumettre au sortilège de réduction, mais tu songes amèrement que tu n'es plus vraiment à ça près.
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Un nouveau lumos pour éclairer votre passage, et l'instant d'après, vous vous engouffrez à la suite du chien pour déboucher dans une pièce aux allures de bureau ancien. Pourtant, l'état général de la pièce prouve qu'à l'évidence, on a utilisé les lieux encore tout récemment.
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Parce que le qui ? sous-jacent te semble tout dirigé vers vos parents, et que tu ne les dissocies pas vraiment dans l'histoire. Quel que soit celui qui use de cette pièce secrète principalement, t'es persuadé que les trois autres sont a minima au courant, voire tout aussi partie prenante dans l'histoire... Et sans perdre une seconde, après avoir annulé le sort qui réduisait vos tailles à tous les trois, tu commences à méticuleusement fouiller la pièce.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Dim 2 Avr 2023 - 22:46
Plus hantée que véritablement entêtée, c’est mécaniquement que la carcasse émaciée de la Bête se coule parmi les ombres. Quelques pâles rayons de lune viennent percer les crevasses du sol pour souligner une à une les blessures qu’elle traîne ; se reflète sur les morceaux de verres encore fichés dans ses flancs sans que cela ne semble véritablement l’arracher à cet état de semi-transe dans laquelle elle se noie. L’allure est erratique car claudicante mais ininterrompue, quand bien même des racines s'opposent à sa progression. Spectre véritable, elle passe outre les obstacles avec une facilité déconcertante. Pas étonnant qu’elle soit autant de fois parvenu à nicher au plus haut de la tour de Baby ; elle était agile, bien plus encore lorsqu’elle laissait parler l’instinct et ne s’embarrassait pas des craintes qu’avait méthodiquement fait croitre en elle Claudia.
L’étroitesse du passage, cependant, complexifie la tâche mais ne décourage définitivement ce bulldozer sur patte qui entreprend de creuser frénétiquement, explosant plus encore ses griffes abîmées. Le réveil serait douloureux, certainement plus qu’à l’accoutumé.
Un ratatinage et une course folle plus tard -le chemin étant devenu plus accessible, elle s’était vraisemblablement sentit pousser des ailes-, le malinois déboule soudainement dans une pièce qu’elle ne détaille pas véritablement. Sagement assise au pied du bureau, haletant un peu dans un souffle brûlant. La queue s’agite nerveusement derrière elle tandis que le museau hume frénétiquement l’air et ses effluves renfermées. Elle n’aime pas ce qu’elle ressent dans cette pièce et, dans un glapissement étrange, la gueule cherche un temps la main de James comme pour s’extraire des tensions qui glace chacun de ses muscles. Pourtant, la mâchoire à tôt fait de suivre les investigations du blond, et c’est dressé sur les pattes arrières, celles de devant posé sur l’étage de la bibliothèque, qu’elle hume attentivement les ouvrages. Éternue devant la poussière. Non, elle se sera pas d’une grande efficacité dans pareil contexte et, après un large bâillement, c’est en se roulant en boule sous le bureau qu’elle le fait comprendre.
Est-ce qu’elle est vraiment parti se coucher ? Pas tout à fait sans doute car les oreilles pointent encore Juliet et James au moindre bruit, mais le regard s’est pleinement clos.
L’étroitesse du passage, cependant, complexifie la tâche mais ne décourage définitivement ce bulldozer sur patte qui entreprend de creuser frénétiquement, explosant plus encore ses griffes abîmées. Le réveil serait douloureux, certainement plus qu’à l’accoutumé.
Un ratatinage et une course folle plus tard -le chemin étant devenu plus accessible, elle s’était vraisemblablement sentit pousser des ailes-, le malinois déboule soudainement dans une pièce qu’elle ne détaille pas véritablement. Sagement assise au pied du bureau, haletant un peu dans un souffle brûlant. La queue s’agite nerveusement derrière elle tandis que le museau hume frénétiquement l’air et ses effluves renfermées. Elle n’aime pas ce qu’elle ressent dans cette pièce et, dans un glapissement étrange, la gueule cherche un temps la main de James comme pour s’extraire des tensions qui glace chacun de ses muscles. Pourtant, la mâchoire à tôt fait de suivre les investigations du blond, et c’est dressé sur les pattes arrières, celles de devant posé sur l’étage de la bibliothèque, qu’elle hume attentivement les ouvrages. Éternue devant la poussière. Non, elle se sera pas d’une grande efficacité dans pareil contexte et, après un large bâillement, c’est en se roulant en boule sous le bureau qu’elle le fait comprendre.
Est-ce qu’elle est vraiment parti se coucher ? Pas tout à fait sans doute car les oreilles pointent encore Juliet et James au moindre bruit, mais le regard s’est pleinement clos.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Sam 15 Avr 2023 - 14:02
Comme depuis trop de mois, la moindre magie infligée à son corps lui retourne l’estomac. Le sortilège de ratatinage imposé par son frère ne fait pas exception. Le monde autour d’elle semble s’allonger alors qu’en réalité c’est elle qui rapetisse au même rythme que James. La main glacée d’Ice attrape la sienne et la douce Blackthorn se laisse entrainer dans ce qui est presque devenu un couloir.
Le lumps exécuté parfaitement lui fait vriller les iris mais elle l’imite en sortant sa baguette, c’est un sort qu’elle apprécie assez peu pratiquer en manumagie. Elle grimace parce que le tunnel semble pouvoir s’effondrer à tout instant. Elle marche vite.
« Qu'est-ce qui se cache ici ? » Elle n’en a aucune idée mais tout son corps semble frissonner. Et elle sait très bien pourquoi. L’endroit est chargé de magie. La pièce ressemble à un bureau avec tellement d’armoire qu’elle ne sait où donner de la tête. Si James se dépêche de leur redonner taille originelle pour commencer à fouiller, Juliet reste interdite et silencieuse, particulièrement mal à l’aise.
Il lui faut plusieurs secondes d’observation minutieuse avant de se rendre à l’évidence. Elle n’aimait pas ça. Vraiment pas. Son instinct tout entier lui hurlait qu’il y avait un danger…
- James… Ralentis…
Elle serre les dents, inquiète.
- Il y a beaucoup trop de magie ici… S’il y a quelque-chose de caché ce n’est pas dans un tiroir.
L’attitude de l’animagus est étrange. La cadette s’approche du malinois et pour la première fois elle a un geste affectueux, s’accroupissant face à l’animal et posant ses mains doucement autour de sa gueule pour attirer son regard vers le sien.
- Il y a quelque-chose qui ne va pas n’est ce pas ?
Le lumps exécuté parfaitement lui fait vriller les iris mais elle l’imite en sortant sa baguette, c’est un sort qu’elle apprécie assez peu pratiquer en manumagie. Elle grimace parce que le tunnel semble pouvoir s’effondrer à tout instant. Elle marche vite.
« Qu'est-ce qui se cache ici ? » Elle n’en a aucune idée mais tout son corps semble frissonner. Et elle sait très bien pourquoi. L’endroit est chargé de magie. La pièce ressemble à un bureau avec tellement d’armoire qu’elle ne sait où donner de la tête. Si James se dépêche de leur redonner taille originelle pour commencer à fouiller, Juliet reste interdite et silencieuse, particulièrement mal à l’aise.
Il lui faut plusieurs secondes d’observation minutieuse avant de se rendre à l’évidence. Elle n’aimait pas ça. Vraiment pas. Son instinct tout entier lui hurlait qu’il y avait un danger…
- James… Ralentis…
Elle serre les dents, inquiète.
- Il y a beaucoup trop de magie ici… S’il y a quelque-chose de caché ce n’est pas dans un tiroir.
L’attitude de l’animagus est étrange. La cadette s’approche du malinois et pour la première fois elle a un geste affectueux, s’accroupissant face à l’animal et posant ses mains doucement autour de sa gueule pour attirer son regard vers le sien.
- Il y a quelque-chose qui ne va pas n’est ce pas ?
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» situation : fiancé et amoureux (de plusieurs personne, chut)
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» options obligatoires & facultatives : Options obligatoires
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Dim 23 Avr 2023 - 22:18
Dès le sortilège lancé, le malinois s'élance, vous obligeant à presser le pas. Mais tu n'avais pas vraiment l'intention de flâner de toute façon. A peine entrés dans la pièce, l'aura nocive vous étreint tous quand bien même tu t'efforces d'en faire fi. Et si ta main cherche un instant à apaiser ta cousine sous forme animale, tu te lances dans une inspection minutieuse des lieux - minutieuse et irraisonnée.
- James… Ralentis… Il y a beaucoup trop de magie ici… S’il y a quelque-chose de caché ce n’est pas dans un tiroir.
Tu le sais tout autant que ta cadette, et pourtant, tu as toutes les peines du monde à t'empêcher de retourner pièce par pièce tout l'endroit où vous vous trouvez. Comme si te mettre au-devant du danger ici présent pouvait expier quoi que ce soit. Comme si tu cherchais volontairement à subir les maléfices tapis aux quatre coins de la pièce. A la place de tes soeurs. Mais peut-être pas seulement...
Du coin de l'oeil, tu vois Juliet s'approcher tendrement de Cat, et l'image se grave sur ta rétine. Assurément, elle finira couchée sur une toile, un jour ou l'autre.
- Il y a quelque-chose qui ne va pas n’est ce pas ?
Tu te fais violence pour ne pas demander ce qui va, plutôt, parce qu'assurément, dans vos vies, le positif reste difficile à trouver. Particulièrement dès lors que vous approchez du Manoir. Tu fermes un instant les yeux, inspires profondément. Expires. L'endroit est tellement saturé en magie que ça pourrait en donner le tournis. Pourtant, ce n'est pas ça qui aiguise tes sens. Plus encore que tout le reste, il y a cette odeur, subtile, mêlée à celle de la poussière environnante qui a tantôt fait éternuer la bête tapie sous le bureau, qui ne colle pas. Tu n'aimes pas ça. Les poisons s'ajoutent probablement aux sortilèges pour éloigner les intrus.
Tu t'approches de la bibliothèque où le malinois s'est dressé un peu plus tôt, inspectes les ouvrages présents, cherchant autant les traces d'une magie plus forte que celles de poisons véritablement dispersés, mais aussi une anomalie dans le classement des ouvrages, qui vous mettraient sur la voie. Oh... Tu le trouves ce foutu schéma. Faut croire que vos habitudes de jouer aux détectives avec Cat, lorsque vous étiez enfants, ont la vie dure. Mais ta soeur a eu beau t'avoir mis en garde peu avant, tu te montres trop imprudent. Il est trop tard lorsque tu réalises qu'en déplaçant le bon ouvrage, tu as, certes, ouvert un coffre secret non loin de ta petite soeur, dont vous n'aviez même pas conscience de la présence jusque-là, mais aussi maculé tes doigts du poison auquel cette odeur diffuse que tu sens depuis tout à l'heure appartient sans doute... Tu n'en souffles mot pourtant, attirant plutôt l'attention de ta cadette sur la découverte d'un mouvement du menton.
-Sunshine...
Reste à déverrouiller sans dommage supplémentaire ce mystérieux coffret, cependant, et comme vous approchez - et tu t'efforces de garder ta main hors de vue de la médicomage - tu confirmes les craintes de ta cadette un peu plus tôt.
-Toutes les chances pour qu'il y ait des protections supplémentaires... Fais attention...
Pas comme toi, donc...
- James… Ralentis… Il y a beaucoup trop de magie ici… S’il y a quelque-chose de caché ce n’est pas dans un tiroir.
Tu le sais tout autant que ta cadette, et pourtant, tu as toutes les peines du monde à t'empêcher de retourner pièce par pièce tout l'endroit où vous vous trouvez. Comme si te mettre au-devant du danger ici présent pouvait expier quoi que ce soit. Comme si tu cherchais volontairement à subir les maléfices tapis aux quatre coins de la pièce. A la place de tes soeurs. Mais peut-être pas seulement...
Du coin de l'oeil, tu vois Juliet s'approcher tendrement de Cat, et l'image se grave sur ta rétine. Assurément, elle finira couchée sur une toile, un jour ou l'autre.
- Il y a quelque-chose qui ne va pas n’est ce pas ?
Tu te fais violence pour ne pas demander ce qui va, plutôt, parce qu'assurément, dans vos vies, le positif reste difficile à trouver. Particulièrement dès lors que vous approchez du Manoir. Tu fermes un instant les yeux, inspires profondément. Expires. L'endroit est tellement saturé en magie que ça pourrait en donner le tournis. Pourtant, ce n'est pas ça qui aiguise tes sens. Plus encore que tout le reste, il y a cette odeur, subtile, mêlée à celle de la poussière environnante qui a tantôt fait éternuer la bête tapie sous le bureau, qui ne colle pas. Tu n'aimes pas ça. Les poisons s'ajoutent probablement aux sortilèges pour éloigner les intrus.
Tu t'approches de la bibliothèque où le malinois s'est dressé un peu plus tôt, inspectes les ouvrages présents, cherchant autant les traces d'une magie plus forte que celles de poisons véritablement dispersés, mais aussi une anomalie dans le classement des ouvrages, qui vous mettraient sur la voie. Oh... Tu le trouves ce foutu schéma. Faut croire que vos habitudes de jouer aux détectives avec Cat, lorsque vous étiez enfants, ont la vie dure. Mais ta soeur a eu beau t'avoir mis en garde peu avant, tu te montres trop imprudent. Il est trop tard lorsque tu réalises qu'en déplaçant le bon ouvrage, tu as, certes, ouvert un coffre secret non loin de ta petite soeur, dont vous n'aviez même pas conscience de la présence jusque-là, mais aussi maculé tes doigts du poison auquel cette odeur diffuse que tu sens depuis tout à l'heure appartient sans doute... Tu n'en souffles mot pourtant, attirant plutôt l'attention de ta cadette sur la découverte d'un mouvement du menton.
-
Reste à déverrouiller sans dommage supplémentaire ce mystérieux coffret, cependant, et comme vous approchez - et tu t'efforces de garder ta main hors de vue de la médicomage - tu confirmes les craintes de ta cadette un peu plus tôt.
-
Pas comme toi, donc...
- Dé de destin:
- Impair - James ne parvient pas à découvrir de cachette secrète
Pair - James comprend le schéma pour déverrouiller un accès dans les livres de la bibliothèque1-2 L'inspection est judicieuse, mais trop audacieuse : les doigts de James effleurent des ouvrages qu'il n'aurait pas dû, entrant en contact avec un poison rare3-4 L'inspection est judicieuse, mais trop audacieuse : un maléfice se déclenche, engourdissant [partie du corps au choix]5-10 Grâce aux conseils de Juliet, James a pu se montrer assez prudent pour ne pas subir de dommage
Sur un10 , l'accès est dévoilé et les protections déverrouillées : vous pouvez trouver les documents secrets...
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Sam 3 Juin 2023 - 15:01
Épuisée, le Malinois semble s'être assoupit en dépit de l'atmosphère qui pèse lourdement sur ses tripes. En dépit de cette signature olfactive toute répugnante que comporte chacun des maléfices d'Aloysius Blackthorn. A croire que l'habituation a poussé bien loin les limites de sa tolérance et chassé toute notion de nausée tant elle collait la jambe de ses parents et ce, depuis ses plus jeunes années. Sa carcasse, en tout point douloureuse, se soulève faiblement sous le bureau de son père mais fait preuve d'une vivacité étonnante lorsque Juliet approche, contraignant malgré elle l'énorme chien à se redresser, du moins un peu car les blessures entrave lourdement ses mécanismes de fuite. Pourtant, si la Bête avait jusque là le regard un peu vide -vitreux-, il semble enfin gagner en vivacité entre les mains de Juliet. Un peu à la manière d'un éveil après une nuit étreinte par les cauchemars. Cataleya ne reprendra pourtant pas tout à fait ses esprits car balayé loin, si loin de la surface que ni la douleur, ni l'odeur du venin qui tache les mains de James ne parviennent pleinement à la ramener, pourtant quelque chose s'agite sous les flammes de son regard. A peine perceptible.
Aussi observe t'elle longuement Juliet, la gueule supporté par ses douces mains et le regard profondément fiché dans son âme avant que James ne l'en détourne en révélant un coffre qu'elle ne connaît pas. Si la Bête demeure encore de longs instant la tête plongé entre les mains de sa soeur, elle finit cependant par s'en détourner pour se trainer laborieusement sous le bureau. Parfaitement niché sous son ombre et ses tiroirs. Si elle semble bel et bien intéressé par ses derniers, elle a tôt fait de se rendormir lorsque sa tentative d'en déloger un de son support se solde par un lourd cognement de crane contre le bois. Boom ! Si vous avez cru au retour d'Aloysius, c'est que vous vous êtes fait vous aussi avoir par les dés.
Aussi observe t'elle longuement Juliet, la gueule supporté par ses douces mains et le regard profondément fiché dans son âme avant que James ne l'en détourne en révélant un coffre qu'elle ne connaît pas. Si la Bête demeure encore de longs instant la tête plongé entre les mains de sa soeur, elle finit cependant par s'en détourner pour se trainer laborieusement sous le bureau. Parfaitement niché sous son ombre et ses tiroirs. Si elle semble bel et bien intéressé par ses derniers, elle a tôt fait de se rendormir lorsque sa tentative d'en déloger un de son support se solde par un lourd cognement de crane contre le bois. Boom ! Si vous avez cru au retour d'Aloysius, c'est que vous vous êtes fait vous aussi avoir par les dés.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Mer 7 Juin 2023 - 21:43
Chaque seconde passé dans cet endroit semble susciter davantage d’angoisse dans l’esprit de la douce Blackthorn. Est-ce les maléfices disséminés ici et là ? Où la crainte d’un châtiment terrible si toutefois leur oncle finissait par découvrir leur passage en cette antre ? Il doit y avoir un sortilège de répulsion car toutes les fibres de son corps lui ordonnent de s’en aller. Loin. Il n’y a que la présence obtue de James et Cataleya pour la retenir.
Désespérément, elle cherche dans les prunelles canines une réponse, un indice, un chemin. De loin, Quarta est celle qui a passé le plus de temps auprès de son père et Juliet ne doute pas que sous sa forme humaine elle aurait été profondément utile. Sauf que le chien semble puiser dans ses maigres forces ne serait ce que pour soutenir son regard azuré.
« Sunshine ». Elle abandonne sa quête d’information auprès du malinois puisque James semble avoir trouvé quelque-chose. Désignant un coffret serti, il s’approche tandis que le chien déguerpi sous le bureau. Elle aurait juré que ce coffre, juste à côté d’elle, n’était pas là quelques secondes auparavant.
- Comment tu as fait ?
La question se fait dans un souffle alors qu’elle s’assoit près du contenant sans le toucher. Le bois est bardé de runes gravées et même si c’est une des matières préférées de Juliet, la quantité est telle qu’elle découragerait même certains thésard en sciences occultes, elle en jurerait.
Boom ! Juliet sursaute. Son coeur semble dévaler une falaise tant la peur l’étreint plus vivement que jamais. Elle qui n’avait pas transplané depuis des années, depuis sa grossesse, avait attrapé la main de son frère prête à disparaitre. Prête à abandonner sa cousine aux mains cruelles de son père. La honte prend toute la place qu’elle mérite en se rendant compte que sa couardise aurait pu coûter chère à sa loyauté. Heureusement, le gémissement canin explique le fracas.
- On va mourir ici…
D’une façon ou d’une autre, le constat est sans appel. Essuyant une perle de sueur imaginaire, la Blackthorn retourne à l’inspection du coffre.
- Ce sigil est l’enchantement principal, je pense. C’est un verrou ésotérique. Les autres runes doivent servir à créer une combinaison qui doit changer régulièrement et aléatoirement. Il y a forcément une formule quelque-part…
Impossible de connaître par coeur toutes les combinaisons et a quel moment celles-ci peuvent être utilisées. Il doit y avoir un guide, n’importe quoi, quelque-part. Le tiroir tombé du fait du chien n’attire pas spécialement l’attention de la blonde, pourtant la réponse y demeure.
Désespérément, elle cherche dans les prunelles canines une réponse, un indice, un chemin. De loin, Quarta est celle qui a passé le plus de temps auprès de son père et Juliet ne doute pas que sous sa forme humaine elle aurait été profondément utile. Sauf que le chien semble puiser dans ses maigres forces ne serait ce que pour soutenir son regard azuré.
« Sunshine ». Elle abandonne sa quête d’information auprès du malinois puisque James semble avoir trouvé quelque-chose. Désignant un coffret serti, il s’approche tandis que le chien déguerpi sous le bureau. Elle aurait juré que ce coffre, juste à côté d’elle, n’était pas là quelques secondes auparavant.
- Comment tu as fait ?
La question se fait dans un souffle alors qu’elle s’assoit près du contenant sans le toucher. Le bois est bardé de runes gravées et même si c’est une des matières préférées de Juliet, la quantité est telle qu’elle découragerait même certains thésard en sciences occultes, elle en jurerait.
Boom ! Juliet sursaute. Son coeur semble dévaler une falaise tant la peur l’étreint plus vivement que jamais. Elle qui n’avait pas transplané depuis des années, depuis sa grossesse, avait attrapé la main de son frère prête à disparaitre. Prête à abandonner sa cousine aux mains cruelles de son père. La honte prend toute la place qu’elle mérite en se rendant compte que sa couardise aurait pu coûter chère à sa loyauté. Heureusement, le gémissement canin explique le fracas.
- On va mourir ici…
D’une façon ou d’une autre, le constat est sans appel. Essuyant une perle de sueur imaginaire, la Blackthorn retourne à l’inspection du coffre.
- Ce sigil est l’enchantement principal, je pense. C’est un verrou ésotérique. Les autres runes doivent servir à créer une combinaison qui doit changer régulièrement et aléatoirement. Il y a forcément une formule quelque-part…
Impossible de connaître par coeur toutes les combinaisons et a quel moment celles-ci peuvent être utilisées. Il doit y avoir un guide, n’importe quoi, quelque-part. Le tiroir tombé du fait du chien n’attire pas spécialement l’attention de la blonde, pourtant la réponse y demeure.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Sam 10 Juin 2023 - 21:50
Juliet auprès de Cat, tu trouverais l'image touchante, si vous n'étiez pas dans cette ambiance sordide. Mais ton appel détourne la bête de ta cadette et la dirige vers le bureau tandis que la blonde inspecte le coffre dévoilé.
- Comment tu as fait ?
-Un coup de chance.
Ta réponse semble neutre, sobre. Pourtant, ce serait plutôt quelque malchance, si on en juge l'état de cette main que tu maintiens cachée aussi naturellement que possible.
Boum !
T'as sursauté au son brusque émis par le crâne de ta cousine heurtant le bois, et si tu n'en souffles mot, tu restes quelques instants à l'affût de toute autre présence que vous trois en ces lieux. Comme quoi malgré l'apparente nonchalance que tu affiches, tu n'en mènes pas si large, au fond. Tu n'es pas seul, car ta cadette a attrapé ton autre main, et si tu ne l'as pas lâchée, tu n'aurais, à l'évidence, pas apprécié de transplaner ainsi loin de ta muse, la laissant à la merci d'on ne savait quel supplice en représailles.
- On va mourir ici… souffle la plus jeune, et tu secoues la tête.
-Hors de question.
Tu serais prêt à faire écran, assurément, et à ordonner aux deux autres de prendre la fuite, si besoin. Mais tu gardes ces mots pour toi, préférant te centrer sur les réflexions de la jeune médicomage, plus versée que toi dans l'étude des runes.
- Ce sigil est l’enchantement principal, je pense. C’est un verrou ésotérique. Les autres runes doivent servir à créer une combinaison qui doit changer régulièrement et aléatoirement. Il y a forcément une formule quelque-part…
Tu hoches la tête, acquiesçant à la logique de ses réflexions. Pourtant, retourner à nouveau chaque recoin de la pièce te refroidit un peu plus maintenant que tu as essuyé un premier maléfice. Ton regard se reporte sur le malinois, plus proche de vous tous d'Aloysius quand sous forme humaine, et tu t'agenouilles près d'elle.
-Tu saurais, toi, trouver la formule ? lui demandes-tu d'une voix douce, ta main sauve approchant de son museau comme pour flatter la bosse qu'elle ne manquera pas de découvrir au réveil.
- Comment tu as fait ?
-
Ta réponse semble neutre, sobre. Pourtant, ce serait plutôt quelque malchance, si on en juge l'état de cette main que tu maintiens cachée aussi naturellement que possible.
Boum !
T'as sursauté au son brusque émis par le crâne de ta cousine heurtant le bois, et si tu n'en souffles mot, tu restes quelques instants à l'affût de toute autre présence que vous trois en ces lieux. Comme quoi malgré l'apparente nonchalance que tu affiches, tu n'en mènes pas si large, au fond. Tu n'es pas seul, car ta cadette a attrapé ton autre main, et si tu ne l'as pas lâchée, tu n'aurais, à l'évidence, pas apprécié de transplaner ainsi loin de ta muse, la laissant à la merci d'on ne savait quel supplice en représailles.
- On va mourir ici… souffle la plus jeune, et tu secoues la tête.
-
Tu serais prêt à faire écran, assurément, et à ordonner aux deux autres de prendre la fuite, si besoin. Mais tu gardes ces mots pour toi, préférant te centrer sur les réflexions de la jeune médicomage, plus versée que toi dans l'étude des runes.
- Ce sigil est l’enchantement principal, je pense. C’est un verrou ésotérique. Les autres runes doivent servir à créer une combinaison qui doit changer régulièrement et aléatoirement. Il y a forcément une formule quelque-part…
Tu hoches la tête, acquiesçant à la logique de ses réflexions. Pourtant, retourner à nouveau chaque recoin de la pièce te refroidit un peu plus maintenant que tu as essuyé un premier maléfice. Ton regard se reporte sur le malinois, plus proche de vous tous d'Aloysius quand sous forme humaine, et tu t'agenouilles près d'elle.
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Ven 4 Aoû 2023 - 9:03
Un peu sonné, le malinois n'esquisse aucun mouvement de recul lorsque James s'accroupit à ses côtés, mais il est vrai que quelque chose à changer dans son regard. Si ses pupilles vitreuse avaient gagnées en vivacité au contact de Juliet, les mots de James semblent doucement la ramener après le choc. Ou est-ce là la subite prise de conscience de cette douleur qui, sournoise, la vrille de part et d'autre de son propre corps ? Le flanc tremble sous les lacérations du verre, les doigts brûlent à trop avoir creusé cette porte qui la maintenait captive et, en définitive, le sang qui pèse sur sa langue lui arrache un soudain haut le cœur. Bon sang...
Si le chaos ambiant et la fièvre jouent de comorbidités afin de la perdre un peu plus, c'est un glapissement craintif qui déchire le silence de la nuit lorsque Cataleya Quarta Blackthorn réalise qu'une fois de plus, elle s'est enfermée dans un bureau où elle n'avait rien à faire sans son père. Et cette simple idée lui flanque une telle terreur au bout des yeux qu'intuitivement le corps se ramasse médiocrement sur lui-même lorsque le regard percute le tiroir tombé au sol, les livres déplacés, ce coffre qu'elle n'était pas même sure d'avoir déjà vu ailleurs que parfaitement rangé. Ces âmes qui vivent, là, et qui n'avaient pas leur place dans cet enfer. Pourquoi diable étaient-ils là? L'avait-ils suivit lors de ses divagations nocturne comme le faisait parfois encore Alicia malgré l'agressivité latente qui se dégageait de sa nièce lorsqu'on tentait une fois de trop de la rattacher ?
« Non... Non, non, non.. » Le corps a retrouvé son apparence sans mal, mais la cuisse est faible et l'équilibre s'en voit de fait malmené. Subitement alors, les doigts trop blanc de la sorcière s'accrochent à James mais le regard à tôt fait de fuir vers le bureau pour s'empresser d'y remettre de l'ordre. Quoi que la question de son cousin flotte à la manière d'un ordre dans son esprit et, qu'après avoir méticuleusement refermé le tiroir, Cataleya s'empresse de le rouvrir, feuilleter le carnet qui s'y trouve pour marquer une page qu'elle lui offre ; Définitivement trop habituée à ce lieu et ses ouvrages. Elle ne percutent pourtant pas qu'aucune raison logique n'aurait du conduire Juliet et James ici, et encore moins jusqu'à un coffre qu'elle-même n'avait pas le droit d'ouvrir sous peine d'éveiller le pire chez un paternel qui, d'un seul regard, la couchait au sol. Non, les seules choses qui bercent ses anxiétés soudaines résident en la faiblesse étrange qui la tient, la douleur qui la vrille à chaque respiration, mais l'idée même d'un Aloysius entré en une rage folle parce qu'elle était, une fois de plus, sortie de sa chambre en dépit des liens lui tord les viscères. Le corps se fige alors qu'il s’affairait à remettre frénétiquement chaque chose à sa place et, soudain, la rousse semble en apnée. Une telle terreur au fond de l'oeil que son visage blafard s'en tord un peu.
« Non... Non, non, non.. » Elle chouine, à mi-chemin entre le glapissement animal et la supplique de l'enfant, et redouble d'effort pour tout ranger sans pourtant parvenir à prêter attention à ses cousins puisque, prise dans ce tourbillons nébuleux de reprise de conscience et terreur, c'est tout juste si elle est capable de les entendre. De toute manière, déjà elle se précipite sur la porte comme si sa vie en dépendait puisqu'elle à pleinement conscience de ce qui l'attendait si son père la surprenait ici, sans sa validation et de nuit. Un vent glacial la cueille elle et sa robe de nuit maculé de sang, ainsi qu'une voix anxieuse mais presque soulagée.
-Quarta !
-Je suis désolée tante Alicia, j'ai … J'ai pourtant prit mes potions et me suis attachée. Je le jure ! Je te jure que j'ai tout fait bien... C'est cet endroit qui.. Je suis tellement désolée, pardonne moi...
En panique, bien loin de ses impériosités légendaire, la rousse s'engouffre dans l'ombre de sa tante lors qu’après un dernier coup d'oeil anxieux pour ce bureau maudit, celle-ci lui intime l'ordre de rentrer. Il fallait être fou pour s'attarder en ces lieux.
Si le chaos ambiant et la fièvre jouent de comorbidités afin de la perdre un peu plus, c'est un glapissement craintif qui déchire le silence de la nuit lorsque Cataleya Quarta Blackthorn réalise qu'une fois de plus, elle s'est enfermée dans un bureau où elle n'avait rien à faire sans son père. Et cette simple idée lui flanque une telle terreur au bout des yeux qu'intuitivement le corps se ramasse médiocrement sur lui-même lorsque le regard percute le tiroir tombé au sol, les livres déplacés, ce coffre qu'elle n'était pas même sure d'avoir déjà vu ailleurs que parfaitement rangé. Ces âmes qui vivent, là, et qui n'avaient pas leur place dans cet enfer. Pourquoi diable étaient-ils là? L'avait-ils suivit lors de ses divagations nocturne comme le faisait parfois encore Alicia malgré l'agressivité latente qui se dégageait de sa nièce lorsqu'on tentait une fois de trop de la rattacher ?
« Non... Non, non, non.. » Le corps a retrouvé son apparence sans mal, mais la cuisse est faible et l'équilibre s'en voit de fait malmené. Subitement alors, les doigts trop blanc de la sorcière s'accrochent à James mais le regard à tôt fait de fuir vers le bureau pour s'empresser d'y remettre de l'ordre. Quoi que la question de son cousin flotte à la manière d'un ordre dans son esprit et, qu'après avoir méticuleusement refermé le tiroir, Cataleya s'empresse de le rouvrir, feuilleter le carnet qui s'y trouve pour marquer une page qu'elle lui offre ; Définitivement trop habituée à ce lieu et ses ouvrages. Elle ne percutent pourtant pas qu'aucune raison logique n'aurait du conduire Juliet et James ici, et encore moins jusqu'à un coffre qu'elle-même n'avait pas le droit d'ouvrir sous peine d'éveiller le pire chez un paternel qui, d'un seul regard, la couchait au sol. Non, les seules choses qui bercent ses anxiétés soudaines résident en la faiblesse étrange qui la tient, la douleur qui la vrille à chaque respiration, mais l'idée même d'un Aloysius entré en une rage folle parce qu'elle était, une fois de plus, sortie de sa chambre en dépit des liens lui tord les viscères. Le corps se fige alors qu'il s’affairait à remettre frénétiquement chaque chose à sa place et, soudain, la rousse semble en apnée. Une telle terreur au fond de l'oeil que son visage blafard s'en tord un peu.
« Non... Non, non, non.. » Elle chouine, à mi-chemin entre le glapissement animal et la supplique de l'enfant, et redouble d'effort pour tout ranger sans pourtant parvenir à prêter attention à ses cousins puisque, prise dans ce tourbillons nébuleux de reprise de conscience et terreur, c'est tout juste si elle est capable de les entendre. De toute manière, déjà elle se précipite sur la porte comme si sa vie en dépendait puisqu'elle à pleinement conscience de ce qui l'attendait si son père la surprenait ici, sans sa validation et de nuit. Un vent glacial la cueille elle et sa robe de nuit maculé de sang, ainsi qu'une voix anxieuse mais presque soulagée.
-Quarta !
-Je suis désolée tante Alicia, j'ai … J'ai pourtant prit mes potions et me suis attachée. Je le jure ! Je te jure que j'ai tout fait bien... C'est cet endroit qui.. Je suis tellement désolée, pardonne moi...
En panique, bien loin de ses impériosités légendaire, la rousse s'engouffre dans l'ombre de sa tante lors qu’après un dernier coup d'oeil anxieux pour ce bureau maudit, celle-ci lui intime l'ordre de rentrer. Il fallait être fou pour s'attarder en ces lieux.
(Cat rentre, sans quoi elle vous balancera à papa ou maman pour sa propre survie)
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Re: office under wood pv. james et cat (terminé)
Dim 3 Sep 2023 - 22:16
Rp à quatre mains avec @James Blackthorn
Juliet pensait aimer la quiétude d’un air de piano doucement joué. La tranquillité d’un livre lu sous les lilas. La sérénité d’un croquis esquissé tout près d’une tasse de thé. Quelle était donc cette sensation qui la prenait aux tripes et qui lui donnait l’impression de se sentir si… vivante. Ce coffre a définitivement excité sa curiosité, si bien qu’elle n’a pas vu les mains sensiblement abimées de James avant qu’il ne se tourne vers Quarta sous sa forme malinoise.
- James ! Tes mains… !
Comme une métaphore de leur vie, à peine Juliet s'inquiétait pour son frère que Cataleya entrait en scène, libérant James d’une réponse qu’il ne souhaitait aucunement formuler. Retrouvant forme humaine et manifestant un intérêt soudain pour l’ordre et le ménage, la rouquine semble en transe qui empêche même la cadette d’être contrariée. Elle s’active si vite, si frénétiquement que Juliet ne sait pas quoi dire, ni quoi faire. La panique est évidente, et même l’iceberg ne sait guère comment la gérer, si ce n’est en apportant un instant le soutien que la rousse recherche avant de s’élancer à la recherche de l’ordre parfait dans cette pièce que ses cousins ne connaissaient pas - et que la quatrième maîtrise parfaitement, à l’évidence.
Une page de carnet apparaît sous les yeux du blond, qui s’en saisit par réflexe, encore sous le coup de la stupeur, et bientôt pétrifié à son tour par des pas talonnés résonnant dans le couloir, soulevant le cœur de chacun à l’idée que Claudia ne les découvre ici. Elle a beau toujours s’en tenir aux défauts de Quarta, cette fois Juliet ne saurait que saluer son sens du sacrifice. Et si James est sur le point de la suivre, la blondinette s’est jetée sur le bras de son frère pour l’en empêcher. “Je suis désolée tante Alicia…” Un léger soupir de soulagement passe les lèvres du potionniste.
- C’est maman, tout va bien. Elle va bien. Il faut qu’on ouvre ce coffre, sinon on aura pris des risques pour rien. Si Aloysius cache quelque chose, je veux savoir quoi.
Il hoche la tête, confirmant sans un mot les dires de sa cadette. Lui aussi veut savoir. Il a besoin de savoir. Le calepin renfermant le précieux sésame entre les mains, il l’accompagne auprès de ce coffre aux runes étranges. James aime les énigmes, les mystères, mais celui-ci lui résiste, lui qui n’étudie pas les runes, et il s’en remet pleinement à sa si précieuse Sunshine.
- C’est ce que Cat t’a donné ?
Le carnet de cuir rouge se retrouvant entre les mains de la cadette, elle se met à le feuilleter à la recherche de ce qui pourrait être une formule pour décrypter la combinaison qui servira à ouvrir le coffre. Elle tourne les pages, encore et encore, s’essayant à quelques sortilèges, dépitée de ne rien trouver.
- Il n’y a rien là-dedans…
Elle ne sait pas si elle en veut à Cataleya, à Aloysius ou à la terre entière mais la contrariété est présente sur ses traits. Jusqu’à ce qu’ils s’illuminent en voyant parmi les décorations gravées dans le cuir le sigil qui est le même que sur le coffre. Elle définit du doigt le tracé de l'enchevêtrement de runes mais ça ne l’aide pas plus que ça.
La réponse doit être là dedans mais je ne trouve rien. Je cherche une suite de runes composées uniquement de berkana, dagaz, ehwaz, jera et wunjo…
A son tour, James observe le tracé que sa cadette a suivi du bout des doigts peu avant. Juliet sait-elle qu'il testera méthodiquement toutes les combinaisons possibles tant qu'il n'aura pas trouvé la bonne ? C'est bel et bien le cas et une à une les tentatives s'enchaînent avec une patience qui frôle l'inhumain. Ils ne devraient pas être ici et chaque minute qui passe représente un risque supplémentaire.
W-E-B-Y-D
Le coffret réagit enfin après maintes tentatives infructueuses, mais l'iceberg ne semble pas s'en émouvoir plus que ça. Pas plus que de la lueur diffuse qui émane de sa main encore affectée par le sortilège. Un regard interrogateur pourtant coule vers la plus jeune. Juliet a sursauté en entendant le coffre se déverrouiller et un sentiment d’excitation et de peur la saisit alors qu’elle plonge ses mains dans le coffre pour en sortir des liasses et des liasses de parchemins. Il y en a tellement. Des minuscules, des gigantesques. Au hasard, elle en ouvre quelques-uns pour les parcourir. Un reçu de Gringott pour le dépôt de pierres de lunes. Un jugement concernant une affaire d’escroquerie par polynectar. Une promesse de vente d’une boutique à Londres. Les parts de Tiberius au sein de Becs et Museaux… Le blond tique un peu, fronce les sourcils devant ces éléments disparates. Tous lui semblent appartenir à de sombres projets, et savoir la boutique de leur aîné au milieu de tout ça n'a rien d'engageant.
-
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
- pride:
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