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I am the alcohol, the drug and the embodied love [Ceasar]
Mar 30 Nov 2010 - 15:24
I am the alcohol, the drug and the embodied love
&&.
Dolce &&. Ceasar.
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Dolce &&. Ceasar.
Hungcalf, quel plaisir de retrouver cet endroit que j’affectionnais particulièrement car ça avait beau être un lieu de débauche mais c’était un endroit où l’on rencontrait des gens extraordinaires. Pendant un mois j’avais été séparé de se petit cocon qui me protégeait de toutes les erreurs de la nature. Simplement au bout d’un moment nous ne sommes plus protégés, avec le décès d’Elisa Fillinger, j’avais eu besoin d’un moment de calme et de solitude. Un départ précipité avait été un bon moyen de m’évader mais aussi un beau moyen de faire la plus belle connerie de ma vie. Paris, c’était mon erreur et je le regrettais, est-ce le fait d’être revenue si différente par rapport à mon ancien moi ou le fait que j’ai rencontré une personne qui a changé ma vie à tout jamais. Je ne savais pas vraiment la cause de mon malheur mais je savais qu’au fond de moi j’étais triste, seule et perdue. Je n’avais plus aucun point de repère, comme si Hungcalf n’avait jamais existé dans ma vie, que de toute mon existence j’étais l’une de ses moldus qui ne connaissent rien du monde de la magie. Pourquoi suis-je partie ? Eh bien déjà pour faire un énorme point sur ma vie sentimentale et où j’en étais dans mon avancement, oui je me fixais des objectifs quand ce moment je ne respectais pas. Mais il y avait aussi l’histoire de vampires à Hungcalf qui m’avait tourmenté, certes j’étais fasciné par ces êtres mais ils me faisaient peur, j’aurais pu très bien être la prochaine sur la liste de ces suceurs de sang. Mais mon voyage avait mal tourné donc j’étais rentré. Je me trouvais dans la salle commune des Lufkin, j’étais venue ici par ma simple envie de me retrouver seule, certes il y avait mon appartement à Norwich mais les gens on vite fait de transplaner vous savez. Alors j’étais venue chercher la solitude, la nouvelle Dolce que j’étais devenue enfermée dans une carapace dur et impénétrable. Oui je m’étais fait trahir une fois et je ne voulais recommencer, j’ai souffert et cela m’a servit de leçon, ne pas faire confiance aux inconnus. Je marchais dans la salle, cherchant je-ne-sais-quoi, peut être un signe pour me dire que tout cela n’était pas vraiment réel, que tout cela n’était qu’un cauchemar auquel j’allais me réveiller mais non, rien de tout cela. Je faisais le tour, cherchant des tas de solutions à mon problème actuel, ne sachant que faire, je m’effondrais au bout d’un moment en larme contre le mur face à la porte d’entrée de la pièce. Les gouttes de perle blanche et luisante coulaient le long des mes joues pâles. J’avais l’impression d’être déshonoré, d’avoir perdue en quelque sorte mon honneur et la place que je m’étais faites. J’entendais des bruits de pas, relevant ma tête, je vis Ceasar, oh Ceasar, mon cher, si tu savais ce qui arrive à ta chère Conscience, elle perd le dessus et ne sait plus quoi faire. J’essuyais mes larmes et me relevais avec du mal mais j’y réussi. Je m’approchais de lui et le pris dans mes bras « Oh Ceasar ! Tu m’as manqué. » Ma voix suffoquait trompé par les larmes. Il fallait qu’il arrive dans un moment pareil, mais j’étais contente de le voir, j’avais une présence à qui je pourrais me confier et parler. Depuis que Ceasar était devenu amnésique je m’étais beaucoup plus rapproché de lui par rapport au début, où je joué un rôle pas si important que ça mais maintenant je savais que je comptais pour lui tout comme lui comptait pour moi. Je m’éloignais de lui et me retournais en recommençant à marcher « Si tu savais à quel point tu n’aurais pas du venir ici. » Je m’en voulais qu’il soit venu ici mais maintenant qu’il était là, il ne pouvait faire marche arrière. Je pris mon souffle et avec un courage dont je n’aurais jamais fait preuve auparavant je lui dis « Tu sais j’ai tellement souffert que j’ai besoin de parler simplement je ne serais pas la seule à souffrir. Un conseil protège toi bien car les méchants sont partout. » Je lui tournais toujours le dos restant sur mes gardes, même si je le connaissais et l’aimais énormément je ne comptais pas tomber à nouveau dans un piège stupide qui m’aura gâché ma vie. L’idée de souffrance me venait en tête, pourquoi il m’avait choisi moi ? Qu’avais-je fait pour souffrir autant et perdre ma dignité ? Je n’en savais rien et je ne voulais pas le savoir. Oui j’étais étrange mais vous voyez quand quelqu’un aime une personne, elle doit être au courant que la personne qu’on aime nous fera souffrir, mais lui il ne m’avait rien dit, il m’avait même menti. Je recommençais à pleurer, m’effondrant au sol, incapable de tenir sur mes jambes qui tremblaient. Je pris ma tête dans mes mains laissant les larmes chaudes coulaient le long de mon visage.
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Re: I am the alcohol, the drug and the embodied love [Ceasar]
Mar 28 Déc 2010 - 15:04
•• i am the alcohol, the drug and the embodied love ••
memories are like clouds, they fade away, unless you do something about it.
Ceasar était de retour à Hungcalf depuis Hallowe'en. Problème ? Il avait tout oublié de l'année qui venait de se dérouler. Oublié qu'il était tombé sous le charme d'une de ses partenaires récurrentes, la divine Bonnie Arton. Oublié qu'il l'avait épousée, en juillet, en présence de ses meilleurs amis et de leurs proches, dans une chapelle d'Écosse. Oublié le bond qu'avait fait son cœur en la voyant, resplendissante dans sa robe blanche. Oublié les frissons en l'embrassant après lui avoir passé son alliance à l'annulaire. Oui, Ceasar avait oublié tout ça. Il avait même oublié l'horreur qui avait suivi ce moment parfait. Il avait oublié la fausse couche, les cris, la terreur de la perdre juste après l'avoir épousée. Il avait oublié jusqu'à sa culpabilité, cette même culpabilité qui l'avait poussé à quitter les environs de Norwich et à partir se perdre au fin fond de la Sibérie. Pourtant, cet oubli était involontaire. Si une partie d'accablement avait été soulagée, il n'en restait pas moins qu'elle reviendrait sans doute décuplée lorsqu'il recouvrerait la mémoire. Décuplée par le fait d'avoir pu oublier sa femme, d'avoir pu oublier ce qu'il avait fait, son départ… Et surtout de se souvenir ce qu'il aurait fait pendant qu'il l'avait oublié. Eh oui. Déjà un mois qu'il avait vu sa chère amie, Dolce, sa conscience comme il aimait à l'appeler de temps à autre. Ils se connaissaient depuis l'arrivée de la demoiselle à Hungcalf. Bizarrement, apprenant qu'elle était vierge, il n'avait pas cherché à la mettre dans son lit. Peut-être n'était-il pas tant attiré par les rousses que certains autres de ses camarades. Qu'importe, me direz-vous. Toujours est-il qu'elle avait disparu du jour au lendemain sans qu'il sache vraiment où elle était partie. Il s'était inquiété, un peu. Et puis s'était dit qu'elle finirait bien par revenir tôt ou tard, qu'elle avait eu besoin de se changer les idées. Alors il avait arrêté de s'inquiéter et s'était occupé des nombreuses demoiselles qui lui offraient leurs faveurs chaque nuit. Pardon, Bonnie ? C'était une de ces demoiselles parmi d'autres. Croyant cela, il ne comprenait pas ce qu'elle pouvait lui reprocher et ne s'était donc pas alarmé. Elle, de son côté, avait peut-être pensé qu'il s'agissait d'une vengeance de la part du jeune homme qui avait reçu sa dernière lettre mais n'y avait point répondu. La raison pour laquelle il n'y avait pas répondu était qu'il avait été blessé par les mots de sa femme -quand il se souvenait encore qu'il était marié. Et que sentant qu'elle souffrait autant que lui de cette séparation éphémère, il avait décidé de retourner à Norwich pour mettre fin à cette torture. Problème, sur le chemin du retour, il s'était battu et un sortilège d'Oubliettes l'avait frappé. Un puissant, en plus de ça, et bien lancé. Une année entière avait disparu de la mémoire du Russo-Belge. C'était mal barré, il avait oublié sa femme et était redevenu le coucheur intenable.
Pendant un mois sans sa conscience (qui avait repéré le problème à partir de la soirée d'Hallowe'en —devinez qui n'avait plus son alliance au doigt ? oui, c'était lui), Ceasar n'avait pas plus retrouvé la mémoire qu'à son arrivée. Et pour cause : si Bonnie avait tenté puis baissé les bras ; Ethel Harris, grande amie de Ceasar depuis Hungcalf, avait tout fait pour le pousser dans les bras d'autres jeunes femmes, tout ça pour lui pourrir son couple, oui. En plus, elle avait été assistée de Lust Whitaker dans ce plan machiavélique, Lust qui ne cherchait pas à détruire le couple de son ami, mais simplement à lui rendre l'existence infernale. Bon ami, me direz-vous peut-être. En somme, Ceasar n'avait pas passé beaucoup de nuits avec sa femme dont il n'avait plus le souvenir et était passé entre les cuisses et les draps de bon nombre de demoiselles, notamment d'anciennes conquêtes qui s'étaient fait un plaisir de le retrouver aussi dragueur qu'avant son mariage. Et aucune, bien sûr, n'aurait voulu rappeler à Ceasar qu'il avait une femme. Faut-il préciser qu'on avait tenté, bien sûr, de le lui rappeler, mais qu'il avait cru à une plaisanterie de la part d'Arton. Fâcheux, certes, surtout quand la mémoire lui reviendrait. Ça n'était pas prêt d'être le cas, du moins pas ce soir.
Reprenons donc.
Un mois passé sans sa conscience à ses côtés n'avait pas tant alarmé Ceasar. Cependant, en entrant dans la Salle Commune des Lufkin à la recherche de sa conscience dont on lui avait signalé le retour, il la trouva non pas bronzée et pleine de vie à lui sauter au cou, non non. Ce furent des larmes roulant sur les joues d'une Dolce sanglotant qui accueillirent le russo-belge dans leur salle commune. Merlin, qu'avait-il pu se passer pour qu'elle soit dans un état aussi déplorable ? Allant à sa rencontre alors qu'elle s'approchait de lui et passa ses bras autour de son cou, il passa les siens autour de la taille de la rousse et l'enlaça dans une étreinte amicale et protectrice. Elle suffoquait, sanglotait dans ses bras, une poupée brisée, au teint de porcelaine encore plus blême qu'avant.
Merlin, elle était aussi désespérée que ça pour reconnaître un truc de ce genre ? Il raffermit son étreinte, et une de ses mains vint caresser les cheveux de la demoiselle. Puis elle s'écarta de Ceasar et reprit son errance dans la Salle Commune en reprenant la parole.
Sortant de ses poches un paquet de cigarettes sorcières russes (non-nocives pour la santé, vraiment, le monde sorcier est fa-bu-leux), il en prit une et l'alluma du bout de sa baguette. Quoi, fumer dans les locaux était interdit ? Le nombre de personnes venant dans la Salle Commune était fortement réduit, alors qu'on le laisse tranquille. Elle lui tournait le dos, continua alors qu'il n'avait pas dit un mot encore :
Les "méchants". Tout ceci était très simpliste comme discours. Mais elle était mal en point, pleurait, et revenait d'un voyage qui l'avait sans doute marquée dans le mauvais sens du terme. Alors qu'elle s'effondrait sur le sol, il se rapprochait d'elle rapidement et s'accroupissant à sa hauteur, la prenait dans ses bras, le dos de la demoiselle contre son torse, et se mit à la bercer. Sa cigarette était posée dans un cendrier, à se consumer sans qu'on aspire sa fumée, mais qu'importe. Alors qu'elle pleurait à grosses larmes de crocodile, Ceasar réfléchissait à la façon dont cette situation pouvait avancer. S'il la pressait dans ses explications, elle pouvait tout autant se fermer comme une huître que de fondre de nouveau en sanglots. Autant la calmer avant d'entamer l'interrogatoire, non ? Il la souleva donc du sol en pierres recouvertes par un tapis usé par les âges et l'emporta sur le canapé le plus proche. S'asseyant à ses côtés, il se mit à caresser doucement la joue de la demoiselle :
Oui, bon. Je sais ce que vous pensez. Qu'est-ce que c'est que ce Bougrov qui console la rouquine avec tendresse et tout ça. Eh bien c'est Ceasar sous son jour protecteur, sous son jour amical. Ce n'est point l'insigne idiot qui mériterait des baffes. C'est l'abruti qui a quand même bon fond, qui tient à Dolce et qui n'aime pas la voir pleurer. C'est celui qui a oublié plein de trucs, qui ne sait pas que la Dolce qu'il connaissait n'est plus tellement la même, qu'elle n'est plus vierge, plus innocente etc. N'empêche qu'il ferait pas mal de choses pour lui ramener le sourire, s'il n'y a que ça qu'il peut faire.
La sentant se calmer légèrement, il reprend d'une voix douce, basse :
Hm. Oui, il a le chic pour filer des surnoms bidons à ses protégées. Mais bon.
Pendant un mois sans sa conscience (qui avait repéré le problème à partir de la soirée d'Hallowe'en —devinez qui n'avait plus son alliance au doigt ? oui, c'était lui), Ceasar n'avait pas plus retrouvé la mémoire qu'à son arrivée. Et pour cause : si Bonnie avait tenté puis baissé les bras ; Ethel Harris, grande amie de Ceasar depuis Hungcalf, avait tout fait pour le pousser dans les bras d'autres jeunes femmes, tout ça pour lui pourrir son couple, oui. En plus, elle avait été assistée de Lust Whitaker dans ce plan machiavélique, Lust qui ne cherchait pas à détruire le couple de son ami, mais simplement à lui rendre l'existence infernale. Bon ami, me direz-vous peut-être. En somme, Ceasar n'avait pas passé beaucoup de nuits avec sa femme dont il n'avait plus le souvenir et était passé entre les cuisses et les draps de bon nombre de demoiselles, notamment d'anciennes conquêtes qui s'étaient fait un plaisir de le retrouver aussi dragueur qu'avant son mariage. Et aucune, bien sûr, n'aurait voulu rappeler à Ceasar qu'il avait une femme. Faut-il préciser qu'on avait tenté, bien sûr, de le lui rappeler, mais qu'il avait cru à une plaisanterie de la part d'Arton. Fâcheux, certes, surtout quand la mémoire lui reviendrait. Ça n'était pas prêt d'être le cas, du moins pas ce soir.
Reprenons donc.
Un mois passé sans sa conscience à ses côtés n'avait pas tant alarmé Ceasar. Cependant, en entrant dans la Salle Commune des Lufkin à la recherche de sa conscience dont on lui avait signalé le retour, il la trouva non pas bronzée et pleine de vie à lui sauter au cou, non non. Ce furent des larmes roulant sur les joues d'une Dolce sanglotant qui accueillirent le russo-belge dans leur salle commune. Merlin, qu'avait-il pu se passer pour qu'elle soit dans un état aussi déplorable ? Allant à sa rencontre alors qu'elle s'approchait de lui et passa ses bras autour de son cou, il passa les siens autour de la taille de la rousse et l'enlaça dans une étreinte amicale et protectrice. Elle suffoquait, sanglotait dans ses bras, une poupée brisée, au teint de porcelaine encore plus blême qu'avant.
- « Oh Ceasar ! Tu m’as manqué. »
Merlin, elle était aussi désespérée que ça pour reconnaître un truc de ce genre ? Il raffermit son étreinte, et une de ses mains vint caresser les cheveux de la demoiselle. Puis elle s'écarta de Ceasar et reprit son errance dans la Salle Commune en reprenant la parole.
- « Si tu savais à quel point tu n’aurais pas du venir ici. »
Sortant de ses poches un paquet de cigarettes sorcières russes (non-nocives pour la santé, vraiment, le monde sorcier est fa-bu-leux), il en prit une et l'alluma du bout de sa baguette. Quoi, fumer dans les locaux était interdit ? Le nombre de personnes venant dans la Salle Commune était fortement réduit, alors qu'on le laisse tranquille. Elle lui tournait le dos, continua alors qu'il n'avait pas dit un mot encore :
- « Tu sais j’ai tellement souffert que j’ai besoin de parler simplement je ne serais pas la seule à souffrir. Un conseil protège toi bien car les méchants sont partout. »
Les "méchants". Tout ceci était très simpliste comme discours. Mais elle était mal en point, pleurait, et revenait d'un voyage qui l'avait sans doute marquée dans le mauvais sens du terme. Alors qu'elle s'effondrait sur le sol, il se rapprochait d'elle rapidement et s'accroupissant à sa hauteur, la prenait dans ses bras, le dos de la demoiselle contre son torse, et se mit à la bercer. Sa cigarette était posée dans un cendrier, à se consumer sans qu'on aspire sa fumée, mais qu'importe. Alors qu'elle pleurait à grosses larmes de crocodile, Ceasar réfléchissait à la façon dont cette situation pouvait avancer. S'il la pressait dans ses explications, elle pouvait tout autant se fermer comme une huître que de fondre de nouveau en sanglots. Autant la calmer avant d'entamer l'interrogatoire, non ? Il la souleva donc du sol en pierres recouvertes par un tapis usé par les âges et l'emporta sur le canapé le plus proche. S'asseyant à ses côtés, il se mit à caresser doucement la joue de la demoiselle :
- « Eh là… Calme-toi, mon ange. Parle-moi, ma belle. Et ne t'occupe pas de me faire souffrir ou quoi que ce soit. N'aie pas peur, ne pleure plus, je suis là… Ça va aller… »
Oui, bon. Je sais ce que vous pensez. Qu'est-ce que c'est que ce Bougrov qui console la rouquine avec tendresse et tout ça. Eh bien c'est Ceasar sous son jour protecteur, sous son jour amical. Ce n'est point l'insigne idiot qui mériterait des baffes. C'est l'abruti qui a quand même bon fond, qui tient à Dolce et qui n'aime pas la voir pleurer. C'est celui qui a oublié plein de trucs, qui ne sait pas que la Dolce qu'il connaissait n'est plus tellement la même, qu'elle n'est plus vierge, plus innocente etc. N'empêche qu'il ferait pas mal de choses pour lui ramener le sourire, s'il n'y a que ça qu'il peut faire.
La sentant se calmer légèrement, il reprend d'une voix douce, basse :
- « Que s'est-il passé, mon poussin ? »
Hm. Oui, il a le chic pour filer des surnoms bidons à ses protégées. Mais bon.