- InvitéInvité
Fear or the dark [Léandren]
Lun 30 Juil 2018 - 20:48
- Rambo t'es où mon bébé ?! Reviens voir maman !
Mais qu'est-ce que tu fous dans l'université aujourd'hui ? Ah oui tu t'en souviens. Une soirée arrosée au Grenier. Une soirée faite à l'arrache à laquelle tu t'es incrustée sans invitation. Tant qu'il y a de quoi boire et fumer, le reste n'a pas d'importance. Tu as juste besoin d'oublier. De l'oublier. Tu as la tête dans le cul et le cul dans le brouillard. Tu as mis du temps avant de capter que ton rat n'était plus sur ton épaule et que la porte de la salle où tu as fini la soirée, en vrac, est ouverte. Tu ne sais pas pourquoi tu as atterri ici, au quatrième étage. Mais ça on s'en fout comme du premier slip du doyen. C'est bien là un mystère que tu ne comptes pas résoudre. Et puis, si ça se trouve, il ne porte même pas de slip.
Ni une, ni deux tu te lèves pour partir à la recherche de Rambo. Normalement, il ne devrait pas être loin. Enfin, tu l'espères. Tu n'oses pas imaginer, ta réaction si tu perdais ton Rambo d'amour.
Tu l'appelles, tu l'entend couiner et faire du bordel, au fur et à mesure que tu te rapproches de l'origine des bruits. La salle est entrouverte. Ça ne te dis rien qui vaille. Et si ton bébé était pris dans les griffes d'un chat ? Tu dois le sauver ! Tu rentres dans la pièce. Putain, il fait sombre là dedans. Et dire qu'on te reproche ton bordel. Le tien, n'est rien comparé à celui qui tient ce bureau. C'est flippant. Il y a des parchemins un peu partout, avec du charabia. Seulement éclairée à la lumière de la bougie, tu te cognes le flanc dans un des coin du bureau. Tu lâche un juron bien senti et promets au meuble assassin de lui coller une bonne raclée. Une fois que ton rat sera en sécurité. Tu manques de te casser la margoulette, une dizaine de fois. C'est alors que tu vois Rambo, en train de faire le fifou dans un coin. Tu t'avances pour venir le chercher. Tu n'es pas à l'aise dans cette salle.
Soudain, la chose, fait son apparition devant toi. La pièce se transforme. Les murs, le plafond st le sol sont devenus du verre. Tu es tétanisé. Les battements de ton coeur s'affolent. Ton souffle est coupé. Tu es prise de panique. Tu te recroquevilles sur le sol. Jamais, tu n'as ressenti une telle peur. Ce que tu vois, dépasse les plus horribles de tes cauchemars. À côté Chucky, te semble être un chaton tout mignon.
Rien est réel. Pourtant, tout semble l'être. Les parois de la salle se rapprochent de plus en plus, les unes aux autres. Tu te sens comprimée, oppressée dans cette prison de verre. Les sensations que tu ressens, sont si réelles à tes yeux. Tu vois ta mort arrivée. Lentement et si vite à la fois. Si seulement, tu n'avais pas sécher les cours de défenses contre les forces du mal, sur le sujet de l'Épouvantard. Puisque c'est de cela qu'il s'agit. Tu aurais pu savoir comment t'en défendre. Sauf que tu ne le sais pas. Tu n'en as aucune idée. Tu hurles à t'en arracher les cordes vocales. Tu chiales les larmes de ton corps, pris de tremblements. Tu frappes dans le vide avec tes poings. Le verre reste intact. Cruelle illusion. Ça ne change strictement rien. Tu vas finir écrabouillée par les parois de ce foutu cube dans lequel tu ne peux pas t'échapper. Aplatie comme une crêpe.
Mais qu'est-ce que tu fous dans l'université aujourd'hui ? Ah oui tu t'en souviens. Une soirée arrosée au Grenier. Une soirée faite à l'arrache à laquelle tu t'es incrustée sans invitation. Tant qu'il y a de quoi boire et fumer, le reste n'a pas d'importance. Tu as juste besoin d'oublier. De l'oublier. Tu as la tête dans le cul et le cul dans le brouillard. Tu as mis du temps avant de capter que ton rat n'était plus sur ton épaule et que la porte de la salle où tu as fini la soirée, en vrac, est ouverte. Tu ne sais pas pourquoi tu as atterri ici, au quatrième étage. Mais ça on s'en fout comme du premier slip du doyen. C'est bien là un mystère que tu ne comptes pas résoudre. Et puis, si ça se trouve, il ne porte même pas de slip.
Ni une, ni deux tu te lèves pour partir à la recherche de Rambo. Normalement, il ne devrait pas être loin. Enfin, tu l'espères. Tu n'oses pas imaginer, ta réaction si tu perdais ton Rambo d'amour.
Tu l'appelles, tu l'entend couiner et faire du bordel, au fur et à mesure que tu te rapproches de l'origine des bruits. La salle est entrouverte. Ça ne te dis rien qui vaille. Et si ton bébé était pris dans les griffes d'un chat ? Tu dois le sauver ! Tu rentres dans la pièce. Putain, il fait sombre là dedans. Et dire qu'on te reproche ton bordel. Le tien, n'est rien comparé à celui qui tient ce bureau. C'est flippant. Il y a des parchemins un peu partout, avec du charabia. Seulement éclairée à la lumière de la bougie, tu te cognes le flanc dans un des coin du bureau. Tu lâche un juron bien senti et promets au meuble assassin de lui coller une bonne raclée. Une fois que ton rat sera en sécurité. Tu manques de te casser la margoulette, une dizaine de fois. C'est alors que tu vois Rambo, en train de faire le fifou dans un coin. Tu t'avances pour venir le chercher. Tu n'es pas à l'aise dans cette salle.
Soudain, la chose, fait son apparition devant toi. La pièce se transforme. Les murs, le plafond st le sol sont devenus du verre. Tu es tétanisé. Les battements de ton coeur s'affolent. Ton souffle est coupé. Tu es prise de panique. Tu te recroquevilles sur le sol. Jamais, tu n'as ressenti une telle peur. Ce que tu vois, dépasse les plus horribles de tes cauchemars. À côté Chucky, te semble être un chaton tout mignon.
Rien est réel. Pourtant, tout semble l'être. Les parois de la salle se rapprochent de plus en plus, les unes aux autres. Tu te sens comprimée, oppressée dans cette prison de verre. Les sensations que tu ressens, sont si réelles à tes yeux. Tu vois ta mort arrivée. Lentement et si vite à la fois. Si seulement, tu n'avais pas sécher les cours de défenses contre les forces du mal, sur le sujet de l'Épouvantard. Puisque c'est de cela qu'il s'agit. Tu aurais pu savoir comment t'en défendre. Sauf que tu ne le sais pas. Tu n'en as aucune idée. Tu hurles à t'en arracher les cordes vocales. Tu chiales les larmes de ton corps, pris de tremblements. Tu frappes dans le vide avec tes poings. Le verre reste intact. Cruelle illusion. Ça ne change strictement rien. Tu vas finir écrabouillée par les parois de ce foutu cube dans lequel tu ne peux pas t'échapper. Aplatie comme une crêpe.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Lun 30 Juil 2018 - 22:05
Aujourd'hui, je rend visite aux Lufkin qui sont restée à l'université. Je rend visite à ceux ayant besoin de mon aide que ce soit pour remonter la pente ou même pour exceller l'année suivante. Je rend visite aussi aux amis que j'ai pu me faire vivant sur le campus. Pour ma part, je n'habitais pas ici, j'avais ma propre petite maison à part mais afin de me faire du réseau indépendant de celui de mon père, il me fallait me faire voir. J'aidais un élève à réviser lorsque j'entendis un cri retentir. Ce cri si les autres se demandaient de qui il pouvait s'agir, pour moi il n'y avait aucun doute. Ren. " J'y vais, je la connais ! " Dis je un peu comme si j'interdisais les autres de venir avec moi.
Arrivant dans la piece, je la vois là totalement apeuré devant un épouvantard. Sterenn n'a pas suivi tout les cours à Poudlard, je le sais, j'étais avec elle suivant exactement les mêmes cours qu'elle en même temps. Pourquoi, il fallait qu'elle soit totalement anticonformiste, totalement à l'opposé et ça des sa première année à Poudlard. Aujourd'hui, elle en paie les conséquences. Je la vois penser qu'elle est entrain de se faire écraser par des murs en verre.
" Ren, ne crois pas ce que tu vois devant toi ! "
Je ne savais pas si elle allait m'écoutais après tout depuis notre dernière entrevue, elle n'a pas de raison de le faire. Je sais que si je me montre devant l'épouvantard, il prendrait mes peurs et je me montrerais totalement nu devant Sterenn. Est ce qu'elle allait pouvoir s'en sortir, je n'en suis pas totalement sur. Avait elle au moins potaser un minimum le cours, ne serais ce qu'en théorie.
" Il faut que tu utilises le sort de riddikulus ! Pense à quelque chose de ridicule ! "
Arrivant dans la piece, je la vois là totalement apeuré devant un épouvantard. Sterenn n'a pas suivi tout les cours à Poudlard, je le sais, j'étais avec elle suivant exactement les mêmes cours qu'elle en même temps. Pourquoi, il fallait qu'elle soit totalement anticonformiste, totalement à l'opposé et ça des sa première année à Poudlard. Aujourd'hui, elle en paie les conséquences. Je la vois penser qu'elle est entrain de se faire écraser par des murs en verre.
" Ren, ne crois pas ce que tu vois devant toi ! "
Je ne savais pas si elle allait m'écoutais après tout depuis notre dernière entrevue, elle n'a pas de raison de le faire. Je sais que si je me montre devant l'épouvantard, il prendrait mes peurs et je me montrerais totalement nu devant Sterenn. Est ce qu'elle allait pouvoir s'en sortir, je n'en suis pas totalement sur. Avait elle au moins potaser un minimum le cours, ne serais ce qu'en théorie.
" Il faut que tu utilises le sort de riddikulus ! Pense à quelque chose de ridicule ! "
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Lun 30 Juil 2018 - 23:02
La Peur. Non la Terreur. Pour la première fois de ta vie tu la ressens. Ce que te redoutes tant au fond de toi, bien avant de le savoir, te saute en pleine face. La peur de l'étouffement, de l'écrasement. Celle de mourir confinée dans un espace qui devient étroit. De plus plus étroit. Les murs se rapprochent dangereusement. Prêt à te percuter. À t'écraser. Comme ton petit frère. Lui qui aurait pu avoir une belle vie. Tu as essayé d'occulter ce que t'avais dit ce connard d'Aaron. Ce cousin que tu hais tant. Tes parents ont bien fait de brûler vifs... Ton petit frère écrasé par la tôle de la voiture...c'est toujours mieux que de vivre et de te supporter. Ils ont bien fait de ne pas pouvoir se libérer. Tu as enfoui ses paroles au fond de toi. Jamais tu n'en a parlé à quiconque. Tu as gardé ça pour toi. Tu es juste devenue plus rebelle. Ta soif de liberté s'est accentuée de plus belle. Ton besoin de vivre à mille à l'heure. De cramer la vie avant qu'elle ne te crame.
Tu entends sa voix, au loin et pourtant il est si proche. Ne crois pas ce que tu as devant toi. Plus facile à dire qu'à faire. Ton esprit n'est pas apte à réagir avec rationalité. Penses à quelques chose de ridicule. À quoi ? Il n'y a rien de ridicule qui te vient. Juste l'horreur et le tragique. Tu arrives à peine à prendre ta baguette en main. Tu trembles de tout ton être. Tu essayes encore et encore. En vain. Tu ne ressens que la Terreur.
Tu n'as pas la force. Bordel pourquoi est ce que tu n'a pas suivi ses foutu cours de défenses contre les forces du mal sur les épouvantards. Parce que tu avais peur de ce que tu pourrais voir. Si seulement tu avais été moins toi. Tu ne te serais sans doute pas retrouvée dans cette situation.
- J'y...j'y arrive pas.
Les mots sont prononcés difficilement. Ils sont à peine audibles. Tu arrives à peine à les sortir. Ils se bloquent dans ta gorge.
Tu entends sa voix, au loin et pourtant il est si proche. Ne crois pas ce que tu as devant toi. Plus facile à dire qu'à faire. Ton esprit n'est pas apte à réagir avec rationalité. Penses à quelques chose de ridicule. À quoi ? Il n'y a rien de ridicule qui te vient. Juste l'horreur et le tragique. Tu arrives à peine à prendre ta baguette en main. Tu trembles de tout ton être. Tu essayes encore et encore. En vain. Tu ne ressens que la Terreur.
Tu n'as pas la force. Bordel pourquoi est ce que tu n'a pas suivi ses foutu cours de défenses contre les forces du mal sur les épouvantards. Parce que tu avais peur de ce que tu pourrais voir. Si seulement tu avais été moins toi. Tu ne te serais sans doute pas retrouvée dans cette situation.
- J'y...j'y arrive pas.
Les mots sont prononcés difficilement. Ils sont à peine audibles. Tu arrives à peine à les sortir. Ils se bloquent dans ta gorge.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mar 31 Juil 2018 - 13:21
Je tente de la conseiller, malgré tout mais je ne sais même pas si elle a vue un minimum ce cours. Vu comment elle peine à m'écouter, je la sent totalement rongé par la peur, paralysée. Je connais un peu son histoire de par nos un an de relation, et je devine que sa peur est liais à sa tragique histoire. Elle peine à me parler et d'autant plus elle me dit qu'elle y arrive pas.
Je sais dors et déjà que si je n'interviens pas, elle pourrait être gravement blessé. Il faut que je me positionne devant l'épouvantard, il faut que je surmonte mes propres peur pour elle. Ma plus grande peur, je la connais, il s'agit de mon père me disant que je suis un mauvais fils et il faut que je parvienne à penser à autre chose quelque chose de drôle. Je n'ai jamais montré à Sterenn ma plus grande peur, elle ne le sait pas et pour cause elle n'était pas présente à ce cours.
Je vois la pièce se rétrécir de plus en plus sur elle, je vois bien qu'elle finira par mourir de peur et cette fois-ci je n'hésite plus. Je me positionne devant l'épouvantard, avant qu'il ne se transforme en un homme d'une cinquantaine d'année aux cheveux brun qui tend vers le poivre et sel. Il est mon père et il ne cesse de me répéter que je suis une honte pour lui, que je n'aurais jamais du naître que je ne fais que le décevoir. Je suis figé devant lui pendant plusieurs minutes.
Il faut que je me souvienne du sort riddikulus, comment on le lance déjà. Il faut que je pense à quelque chose de drole, qui ridiculisera mon père. Mais ses mots se font de plus en plus cru et je suis à mon tour paralysé devant ce monstre qui contrôle nos peurs. Un peu de courage, il m'en faut un peu. " Riddikulus. " criais je et l'épouvantard, se transforma en un clown ce qui me fit rire et fait fuir le monstre.
" Merci Sterenn ! " Lui dis je un peu par méchanceté tout en me retournant vers elle. Je lui en voulais de ne jamais m'écoutais, de ne jamais être comme les autres. Aujourd'hui, elle m'a forcé à me mettre à nu devant elle et je ne le supportais pas.
Je sais dors et déjà que si je n'interviens pas, elle pourrait être gravement blessé. Il faut que je me positionne devant l'épouvantard, il faut que je surmonte mes propres peur pour elle. Ma plus grande peur, je la connais, il s'agit de mon père me disant que je suis un mauvais fils et il faut que je parvienne à penser à autre chose quelque chose de drôle. Je n'ai jamais montré à Sterenn ma plus grande peur, elle ne le sait pas et pour cause elle n'était pas présente à ce cours.
Je vois la pièce se rétrécir de plus en plus sur elle, je vois bien qu'elle finira par mourir de peur et cette fois-ci je n'hésite plus. Je me positionne devant l'épouvantard, avant qu'il ne se transforme en un homme d'une cinquantaine d'année aux cheveux brun qui tend vers le poivre et sel. Il est mon père et il ne cesse de me répéter que je suis une honte pour lui, que je n'aurais jamais du naître que je ne fais que le décevoir. Je suis figé devant lui pendant plusieurs minutes.
Il faut que je me souvienne du sort riddikulus, comment on le lance déjà. Il faut que je pense à quelque chose de drole, qui ridiculisera mon père. Mais ses mots se font de plus en plus cru et je suis à mon tour paralysé devant ce monstre qui contrôle nos peurs. Un peu de courage, il m'en faut un peu. " Riddikulus. " criais je et l'épouvantard, se transforma en un clown ce qui me fit rire et fait fuir le monstre.
" Merci Sterenn ! " Lui dis je un peu par méchanceté tout en me retournant vers elle. Je lui en voulais de ne jamais m'écoutais, de ne jamais être comme les autres. Aujourd'hui, elle m'a forcé à me mettre à nu devant elle et je ne le supportais pas.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mar 31 Juil 2018 - 18:11
La forme se transforme en une personne que tu n'as connu que trop peu. Juste assez pour comprendre de qui il s'agit du père de Léandre. Tu reconnais bien ces tempes poivres et sels, le timbre de cette voix si sèche et son regard. Ainsi c'est donc lui sa plus grande terreur ?
Tu avais toujours pensé au contraire qu'il vouait une admiration à son père, qu'il voulait lui ressembler à tout prix. Tu te rends comptes que ce n'est pas du tout le cas.
Ridikkulus ! le vois s'acharner à prononcer la formule. Il y arrive au bout d'un moment. L'Epouvantard disparaît dans une fumée. Ton rat saute sur tes épaules, juste après.
Le reproche vient, tu le sens au timbre de sa voix. Mais ce n'est pas l'endroit pour commencer une énième dispute. L'ambiance est pesante, malaisante. Si tu n'a jamais suivi de cours sur les épouvantards, tu te doutes bien que la créature risque d'apparaître à tout moment. Bien que tu sois une fille qui aime le danger et prendre des risques, il y a des limites à la connerie. Serais-tu devenue raisonnable ? Non, pas du tout. C'est juste que pour le coup, voir cette horrible chose. Ressentir cette peur profondément ancrée en toi, tu n'as pas envie de vivre cela. Et tu ne veux pas non plus que la chose s'attaque à lui.
Tu prends Léandre fermement par le bras. Tu ne sais pas si tu lui fais mal ou pas, mais au vu de la situation, l'urgence est de sortir de cette salle à tout prix. Une fois dehors, tu fermes la salle rapidement.
- Je suis désolée.
Tu es sincère quand tu lui dis ses mots faiblement. Tu aurais pu t'énerver sur lui. Lui répliquer que tu ne lui a pas forcer à venir t'aider. Sauf que c'est autre chose que de la colère que tu as en toi. C'est de la tristesse que tu ressens. Pour lui. Et des regrets. Pour vous. Peut être que tout aurait été différents si il n'avait pas autant le poids de sa peur qui pèse sur ses épaules. Peut être.
- C'est donc à cause de lui que tu as ce besoin d'être parfait en toute circonstances ?
Tu lui demande cela d'une voix douce. Il n'y a aucun reproche. C'est juste une interrogation.
Tu avais toujours pensé au contraire qu'il vouait une admiration à son père, qu'il voulait lui ressembler à tout prix. Tu te rends comptes que ce n'est pas du tout le cas.
Ridikkulus ! le vois s'acharner à prononcer la formule. Il y arrive au bout d'un moment. L'Epouvantard disparaît dans une fumée. Ton rat saute sur tes épaules, juste après.
Le reproche vient, tu le sens au timbre de sa voix. Mais ce n'est pas l'endroit pour commencer une énième dispute. L'ambiance est pesante, malaisante. Si tu n'a jamais suivi de cours sur les épouvantards, tu te doutes bien que la créature risque d'apparaître à tout moment. Bien que tu sois une fille qui aime le danger et prendre des risques, il y a des limites à la connerie. Serais-tu devenue raisonnable ? Non, pas du tout. C'est juste que pour le coup, voir cette horrible chose. Ressentir cette peur profondément ancrée en toi, tu n'as pas envie de vivre cela. Et tu ne veux pas non plus que la chose s'attaque à lui.
Tu prends Léandre fermement par le bras. Tu ne sais pas si tu lui fais mal ou pas, mais au vu de la situation, l'urgence est de sortir de cette salle à tout prix. Une fois dehors, tu fermes la salle rapidement.
- Je suis désolée.
Tu es sincère quand tu lui dis ses mots faiblement. Tu aurais pu t'énerver sur lui. Lui répliquer que tu ne lui a pas forcer à venir t'aider. Sauf que c'est autre chose que de la colère que tu as en toi. C'est de la tristesse que tu ressens. Pour lui. Et des regrets. Pour vous. Peut être que tout aurait été différents si il n'avait pas autant le poids de sa peur qui pèse sur ses épaules. Peut être.
- C'est donc à cause de lui que tu as ce besoin d'être parfait en toute circonstances ?
Tu lui demande cela d'une voix douce. Il n'y a aucun reproche. C'est juste une interrogation.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mar 31 Juil 2018 - 19:47
Tu n'en revenais toujours pas, cela te rendait complètement fou que Sterenn ai pu se mettre dans cette situation, en danger. Tu es fou de rage aussi qu'elle ai pu voir ta plus grande faiblesse, tu ne voulais pas qu'elle te voit si faible. Il y a plusieurs année cela ne t'aurais pas déranger, vous n'étiez pas ensemble lors de ce cours. Maintenant non seulement vous avez vécu une histoire ensemble, mais en plus vous n'êtes plus ensemble. Tu as couchais avec elle, il y a quelques jours et elle a déjà vue une de tes faiblesses, elle et désormais voilà qu'elle voit ta deuxième faiblesses.
Elle t’emmène en dehors de la pièce, loin de ce monstre des peurs. Elle ne prend pas réellement gare au fait de te faire mal ou non, elle t’emmène en dehors, c'est tout. Et dans ta colère, tu ne ressent pas la douleur. Voilà désormais qu'elle te dit qu'elle est désolé. Cela te rend d'autant plus fou, comment peut elle être désolé. Personne ne rentre dans ce bureau, il est abandonné et ce n'est pas pour rien mais en plus elle est completement nule du fait d'avoir louper des cours.
" BORDEL STERENN ! TU TE FOUS DE MOI, TU ES DÉSOLÉ ! TU SAIS CE QUE J'EN FAIS DE TES PUTAIN DE DÉSOLÉ ! TU POUVAIS PAS SUIVRE LES COURS COMME TOUT LE MONDE ! NON, TU CROIS QUE C'EST EN OPTION TOI ! "
Tu lui criais dessus comme tu avais déjà pu le faire dans le passé mais tu la vois totalement sincère que tu finis par t'adoucir. Elle te demande si c'est à cause de ton pere si tu as tant ce besoin d'être parfait. Tu lui a pourtant déjà dit que chez les Cauldwell on ne peux pas se permettre de ne pas être parfait mais comme toujours elle t'a écoutais d'une oreille.
" Tu m'écoutes parfois quand je te parle ? " Lui demande tu d'un regard plein de question. " Tu m'écoutes quand je te dit que j'ai pas le droit de ne pas être parfait ? " Insistes-tu. " Oui c'est à cause de lui, oui j'ai peur de lui. " Lui dis tu d'un son presque inaudible.
Lorsque tu étais enfant, tu l'avais vu taper sur ta mère, et tu n'avais rien dit de peur qu'il s'en prenne à toi. Lorsqu'il t'avais dit que c'est de la faute de ta mère, tu n'as rien dit pourtant tu savais que ce n'était pas le cas. Que la pauvre faisait ce qu'elle pouvait avec ses quatre enfants à charge. Et lorsqu'il était parti en voyage d'affaire et que tu avais laissé faire et que tout avait changer, que tu avais si peur que ton père soit déçu que tu avais pris la décision de te comporter comme lui, c'est uniquement par crainte. Tout ces faits, tu en avais jamais parler à qui que ce soit, tu avais préféré garder tout à l’intérieur. Tellement que aujourd'hui, tu es devenu comme lui.
" Tu n'as rien au moins, Ren ? " Dis tu bien plus calmement, bien plus sereinement.
Elle t’emmène en dehors de la pièce, loin de ce monstre des peurs. Elle ne prend pas réellement gare au fait de te faire mal ou non, elle t’emmène en dehors, c'est tout. Et dans ta colère, tu ne ressent pas la douleur. Voilà désormais qu'elle te dit qu'elle est désolé. Cela te rend d'autant plus fou, comment peut elle être désolé. Personne ne rentre dans ce bureau, il est abandonné et ce n'est pas pour rien mais en plus elle est completement nule du fait d'avoir louper des cours.
" BORDEL STERENN ! TU TE FOUS DE MOI, TU ES DÉSOLÉ ! TU SAIS CE QUE J'EN FAIS DE TES PUTAIN DE DÉSOLÉ ! TU POUVAIS PAS SUIVRE LES COURS COMME TOUT LE MONDE ! NON, TU CROIS QUE C'EST EN OPTION TOI ! "
Tu lui criais dessus comme tu avais déjà pu le faire dans le passé mais tu la vois totalement sincère que tu finis par t'adoucir. Elle te demande si c'est à cause de ton pere si tu as tant ce besoin d'être parfait. Tu lui a pourtant déjà dit que chez les Cauldwell on ne peux pas se permettre de ne pas être parfait mais comme toujours elle t'a écoutais d'une oreille.
" Tu m'écoutes parfois quand je te parle ? " Lui demande tu d'un regard plein de question. " Tu m'écoutes quand je te dit que j'ai pas le droit de ne pas être parfait ? " Insistes-tu. " Oui c'est à cause de lui, oui j'ai peur de lui. " Lui dis tu d'un son presque inaudible.
Lorsque tu étais enfant, tu l'avais vu taper sur ta mère, et tu n'avais rien dit de peur qu'il s'en prenne à toi. Lorsqu'il t'avais dit que c'est de la faute de ta mère, tu n'as rien dit pourtant tu savais que ce n'était pas le cas. Que la pauvre faisait ce qu'elle pouvait avec ses quatre enfants à charge. Et lorsqu'il était parti en voyage d'affaire et que tu avais laissé faire et que tout avait changer, que tu avais si peur que ton père soit déçu que tu avais pris la décision de te comporter comme lui, c'est uniquement par crainte. Tout ces faits, tu en avais jamais parler à qui que ce soit, tu avais préféré garder tout à l’intérieur. Tellement que aujourd'hui, tu es devenu comme lui.
" Tu n'as rien au moins, Ren ? " Dis tu bien plus calmement, bien plus sereinement.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mar 31 Juil 2018 - 21:24
Les reproches, les hurlements. Tu es comme une enfant que l'on gronde sévèrement. En tant normal, tu aurais répliqué. Sauf qu'avec lui, tu n'y arrives pas. Tu as défendre les opprimés avec ardeur. Dans ta situation, tu réagis comme une vraie carpette. Belle ironie ! Tu tombes à genoux sur le sol et tu prends ta tête en les main. Comme un enfant qui culpabilise et veut se cacher.
- Ne me cries-pas dessus...s'il te plaît. Arrêtes...s'il te plaît.
Ça te rappelle les mauvais souvenirs de quand vous étiez ensemble. Les injures de plus en plus violentes, les réflexions rabaissantes. Et le coup, cette baffe dans la gueule qu'il t'avait collé. Celle qui a provoqué la fin de votre histoire. Et si tu n'avais pas réagi, jusqu'à où cela aurait été ? Jusqu'à quel point il aurait pu être violent avec toi ?
Et tout d'un coup il redevient doux avec toi. Attentionné. Comme au début de votre amour. Le fait de connaître sa plus grande peur t'as émue. Il souffle le chaud et le froid. Tu n'arrives pas à l'oublier. Le souvenir de vos retrouvailles dans la baignoire est gravé en toi. Tu n'arrêtes pas d'y penser. Tu lui répond juste après t'être remise de tes émotions. Du moins, tant bien que mal. Ta voix est encore faible, tu arrives à peine à parler.
- Ça va aller. Merci.
Est-ce pour lui ou pour toi que tu dis cela ? Au fond qu'est ce que tu veux vraiment ? Ton ventre fait un bordel monstre. Tu n'as rien avalé depuis la veille. Toutes ces émotions fortes t'ont creuser l'appétit. Tu te remets debout. Soudain, un voile se forme devant tes yeux. Ta vision se trouble. Tu es blanche comme un linge. Tes jambes arrivent à peine à supporter ton poids. Ça tourne autour de toi. Tu t'accroches au lufkin avec difficulté. Il ne manque plus que ça. Te voilà en train de faire une crise d'hypoglycémie.
- Ne me cries-pas dessus...s'il te plaît. Arrêtes...s'il te plaît.
Ça te rappelle les mauvais souvenirs de quand vous étiez ensemble. Les injures de plus en plus violentes, les réflexions rabaissantes. Et le coup, cette baffe dans la gueule qu'il t'avait collé. Celle qui a provoqué la fin de votre histoire. Et si tu n'avais pas réagi, jusqu'à où cela aurait été ? Jusqu'à quel point il aurait pu être violent avec toi ?
Et tout d'un coup il redevient doux avec toi. Attentionné. Comme au début de votre amour. Le fait de connaître sa plus grande peur t'as émue. Il souffle le chaud et le froid. Tu n'arrives pas à l'oublier. Le souvenir de vos retrouvailles dans la baignoire est gravé en toi. Tu n'arrêtes pas d'y penser. Tu lui répond juste après t'être remise de tes émotions. Du moins, tant bien que mal. Ta voix est encore faible, tu arrives à peine à parler.
- Ça va aller. Merci.
Est-ce pour lui ou pour toi que tu dis cela ? Au fond qu'est ce que tu veux vraiment ? Ton ventre fait un bordel monstre. Tu n'as rien avalé depuis la veille. Toutes ces émotions fortes t'ont creuser l'appétit. Tu te remets debout. Soudain, un voile se forme devant tes yeux. Ta vision se trouble. Tu es blanche comme un linge. Tes jambes arrivent à peine à supporter ton poids. Ça tourne autour de toi. Tu t'accroches au lufkin avec difficulté. Il ne manque plus que ça. Te voilà en train de faire une crise d'hypoglycémie.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mar 31 Juil 2018 - 21:46
Tu crie de plus en plus fort, tu es tellement fou de rage qu'elle se soit mise en danger. Tu as eu peur pour elle, tu t'es mis à nu devant elle pour ne pas que la situation se dégrade plus. Tu lui en veut sérieusement de ne pas avoir suivi les cours comme les autres. A l'époque vous n'étiez pas ensemble alors tu n'avais aucun droit sur elle mais tu es persuadé que même pendant elle ne t'aurais pas plus écoutais. Mais tu la vois tomber là à terre devant toi en te suppliant d’arrêter de lui crier dessus. Toi comme toujours il te faut du temps pour te calmais pour redescendre alors tu inspires un grand coup. Puis à ton tour, tu te met accroupi à côté d'elle, tu ne veux pas la voir si faible, toi qui connais Ren et qui est tombé amoureux de sa force envers les autres.
" Sterenn, tu peux pas me poser une tel question, tu comprends ? " Lui dis tu avec calme.
Tu agis comme toujours, tu la soumet à toi. Tu fais en sortes que ce soit elle la fautive, et pour dire vrai, tu n'avais pas demandais à ce qu'elle soit en danger. Mais elle n'a pas non plus demander que tu l'aides sauf que toi tu ne pouvais pas la laisser dans un danger tel, les sentiments sont bien plus fort. Tu as un besoin de la protéger, tu la veux pour toujours en sécurité, si seulement cela pouvait être avec toi. Puis tu lui demande comment elle va, elle te réponds que ça va aller. Sauf que lorsqu'elle se lève, tu vois pertinemment que ça n'ira pas. Tu la rattrapes de justesse avant qu'elle ne s'écroule. Tu tentes de faire en sorte de l'assoir par terre mais tu luttes.
" Ren ? Ren ? Ca va pas là ? Tu as manger aujourd'hui ? "
Tu ne sais pas pourquoi mais tu lui caresses les cheveux, tu es tellement inquiète pour elle. Même s'il y a quelques minutes tu lui hurlais dessus, maintenant tu lui montres des signes de tendresse.
" Sterenn, tu peux pas me poser une tel question, tu comprends ? " Lui dis tu avec calme.
Tu agis comme toujours, tu la soumet à toi. Tu fais en sortes que ce soit elle la fautive, et pour dire vrai, tu n'avais pas demandais à ce qu'elle soit en danger. Mais elle n'a pas non plus demander que tu l'aides sauf que toi tu ne pouvais pas la laisser dans un danger tel, les sentiments sont bien plus fort. Tu as un besoin de la protéger, tu la veux pour toujours en sécurité, si seulement cela pouvait être avec toi. Puis tu lui demande comment elle va, elle te réponds que ça va aller. Sauf que lorsqu'elle se lève, tu vois pertinemment que ça n'ira pas. Tu la rattrapes de justesse avant qu'elle ne s'écroule. Tu tentes de faire en sorte de l'assoir par terre mais tu luttes.
" Ren ? Ren ? Ca va pas là ? Tu as manger aujourd'hui ? "
Tu ne sais pas pourquoi mais tu lui caresses les cheveux, tu es tellement inquiète pour elle. Même s'il y a quelques minutes tu lui hurlais dessus, maintenant tu lui montres des signes de tendresse.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mer 1 Aoû 2018 - 0:49
Lors de tes premières années à Poudlard, tu as connu des problèmes liés à ton poids. Après l'accident de ta famille, tu as sombré dans la boulimie. On s'est moqué de toi, de ton poids, de ton apparence. Aaron ne se privait pas pour te rabaisser, tout comme il le faisait avec Niamh. De la boulimie, tu es passée à sa soeur jumelle l'anorexie. Tu alternais entre engloutissement intensif de nourriture et de rejets que tu provoquais par un simple geste. Ça a duré pendant des années. Même après que tu ais cassé la gueule à l'un de tes harceleurs.
Tu as perdu du poids, tu as commencé à plaire, Quand tu voyais que ton corps attirait, non plus les regards de dégoût, mais d'envie, ça te confortais dans tes agissements. C'est aussi, à partir de ce moment que tu as commencé à t'habiller avec des tenues provocantes. Si le regard des autres sur toi avait changé, l'image qui se reflétait dans ton miroir était celle d'un monstre difforme. Tu étais tombé dans un cercle vicieux.
Puis tu as commencé à picoler et à fumer pour calmer ton anxiété. Au fil du temps, d'autres substances se sont mélangées au tabac que tu mettais dans tes roulées. C'est à partir de ce moment que tu as arrêté de te faire vomir. L'alcool et la drogue ont pour effet de te rendre moins anxieuse, de te faire oublier tes galères. Comme le tabac à un effet coupe faim, tu as arrêté de grignoter. Les démons Anorexie et Boulimie, ont laissé leur place aux démons Alcool et Weed.
Cela fait un moment que tu n'as pas fait de crise d'hypoglycémie. Les dernières avaient eu lieu après votre rupture. Il s'inquiète pour toi. Tu as la tête posée sur ses genoux, il te caresses les cheveux. Comme après vos disputes. Il te demande si tu as mangé aujourd'hui. Tu hoches la tête de gauche à droite, pour lui avouer que non, tu n'a rien mangé.
- Je n'avais pas faim. J'étais en soirée.
La faim te tiraille à présent l'estomac. Tu te sens mal. Tu sors une clope de ton paquet. Ce n'est pas ce qu'il y a de mieux. Mais tu en ressens le besoin physique. Pas sûr que Léandre approuve ton geste.
Tu as perdu du poids, tu as commencé à plaire, Quand tu voyais que ton corps attirait, non plus les regards de dégoût, mais d'envie, ça te confortais dans tes agissements. C'est aussi, à partir de ce moment que tu as commencé à t'habiller avec des tenues provocantes. Si le regard des autres sur toi avait changé, l'image qui se reflétait dans ton miroir était celle d'un monstre difforme. Tu étais tombé dans un cercle vicieux.
Puis tu as commencé à picoler et à fumer pour calmer ton anxiété. Au fil du temps, d'autres substances se sont mélangées au tabac que tu mettais dans tes roulées. C'est à partir de ce moment que tu as arrêté de te faire vomir. L'alcool et la drogue ont pour effet de te rendre moins anxieuse, de te faire oublier tes galères. Comme le tabac à un effet coupe faim, tu as arrêté de grignoter. Les démons Anorexie et Boulimie, ont laissé leur place aux démons Alcool et Weed.
Cela fait un moment que tu n'as pas fait de crise d'hypoglycémie. Les dernières avaient eu lieu après votre rupture. Il s'inquiète pour toi. Tu as la tête posée sur ses genoux, il te caresses les cheveux. Comme après vos disputes. Il te demande si tu as mangé aujourd'hui. Tu hoches la tête de gauche à droite, pour lui avouer que non, tu n'a rien mangé.
- Je n'avais pas faim. J'étais en soirée.
La faim te tiraille à présent l'estomac. Tu te sens mal. Tu sors une clope de ton paquet. Ce n'est pas ce qu'il y a de mieux. Mais tu en ressens le besoin physique. Pas sûr que Léandre approuve ton geste.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mer 1 Aoû 2018 - 11:41
Te voilà passant des cris à une inquiétude qui t'adoucit. Tu n'aime pas la voir dans cet état, tu as jamais supporter la voir dans de tel états lorsqu'elle revenait de soirée, lorsqu'elle loupait un repas. Tu t'es souvent demandais si cela n'avait pas un rapport avec son poids d'autrefois, sans jamais osé lui poser la question. Tu voulais la respecter en tout cas sur les points qui pourrait la faire le plus souffrir. Elle te dit qu'elle n'avait pas faim, sauf que à la voir dans cet état, tu te dis plutôt qu'elle n'a pas écouter ses besoins primaire. C'est une raison pour laquelle, tu voulais diriger sa vie, tu savais exactement ce qui était bon pour elle. Elle en ajouta une nouvelle couche en te disant qu'elle était en soirée. Tu imagine tres bien la soirée que Ren a pu passer, drogue, fumette, alcool. Est ce que tu pouvais réellement la blâmer ? Est ce que tu pouvais réellement dire quelque chose alors que tu as bu à en perdre la raison lorsque tu es parti des thermes. D'autant plus que celle qui t'a ramassait se trouve être sa cousine, alors elle est peut être au courant.
" Tu reste là, je reviens immédiatement ! "
Tu te lèves en trombe, et tu vas dans la pièce commune des Lufkins. Tu prends ce qui te tombe sous la main, bonbons, chocolat, biscuit. Tu retournes rapidement au prés de Ren qui t'a attendu sagement comme tu lui avais demander sauf que tu la vois avec une cigarette. Ni une, ni deux, tu lui arraches des mains et tu l'écrases sans dire un mot. Autrefois, tu avais le courage d'une énième dispute mais la en ce moment précis tu ne l'as pas.
" Mange plutôt quelque chose, s'il te plait ! "
Tu ne sais pas encore si elle va prendre à manger mais tu reprends ta place assis au prés d'elle et tu allonges sa tête sur tes genoux, tu retournes à tes caresses sur ses long cheveux. Tu aimerais tellement qu'elle prenne soin d'elle, tu aimerais tellement pouvoir prendre soin d'elle et en être celui qui le mérite le plus à ses yeux. Tu as perdu ce droit mais aujourd'hui, tu le fais quand même parce qu'elle est mal devant toi et cela te peine.
" Tu reste là, je reviens immédiatement ! "
Tu te lèves en trombe, et tu vas dans la pièce commune des Lufkins. Tu prends ce qui te tombe sous la main, bonbons, chocolat, biscuit. Tu retournes rapidement au prés de Ren qui t'a attendu sagement comme tu lui avais demander sauf que tu la vois avec une cigarette. Ni une, ni deux, tu lui arraches des mains et tu l'écrases sans dire un mot. Autrefois, tu avais le courage d'une énième dispute mais la en ce moment précis tu ne l'as pas.
" Mange plutôt quelque chose, s'il te plait ! "
Tu ne sais pas encore si elle va prendre à manger mais tu reprends ta place assis au prés d'elle et tu allonges sa tête sur tes genoux, tu retournes à tes caresses sur ses long cheveux. Tu aimerais tellement qu'elle prenne soin d'elle, tu aimerais tellement pouvoir prendre soin d'elle et en être celui qui le mérite le plus à ses yeux. Tu as perdu ce droit mais aujourd'hui, tu le fais quand même parce qu'elle est mal devant toi et cela te peine.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mer 1 Aoû 2018 - 15:03
Après lui avoir avoué ne rien avoir avalé de la veille, tu t'attends à ce qu'il te réprimande. Tu t'attends à ce qu'il te reproche d'avoir été en soirée. Il le faisait souvent à l'époque. Tu ne pouvais pas partir faire la fête toute seule, sans qu'il ne te fasse une scène. Il fallait qu'il soit toujours là, pour surveiller tes faits et gestes et surtout pour surveiller ceux qui pouvaient te tourner autour.
Mais ce n'est pas le cas. Pas cette fois. Il te demande de rester ici. Quand bien même, tu voudrais partir, tu ne le pourrais pas. Tu arrives à peine à tenir debout. Alors marcher n'en parlons pas. Tu le vois partir précipitamment.
Ton manque de nicotine se fait ressentir. Tu as beau savoir que ce n'est pas raisonnable, dans ton état. La clope t'appelle. L'envie de fumer t'obsèdes. Ça ne te feras pas de mal. C'est ce que ton corps en manque te dicte. Tu allumes ta cigarette. Deux, trois taffes. Tu as l'impression que ça te fais un bien fou. Addiction.
Il revient très vite. Te prends la cigarette des mains. Tu ne réagis pas et le regarde avec stupéfaction. Il te demande de manger quelque chose. S'il te plait. Tu regardes rapidement ce qu'il a apporté. Bonbons, biscuits....chocolat ! Tu as un petit sourire amusé par la situation. Tu lui montre le chocolat de la tête. Tu dois être l'une des rares personnes qui ne mange pas de chocolat. ll paraît que ça fait du bien.Tu entends souvent dire que ça a beaucoup d'effet vertueux Pour toi ça a, surtout, un effet dangereux. Foutue allergie !
- Tu comptes m'assassiner ?
Une petite boutade que tu lances comme ça à la volée. Tu te doutes que dans la précipitation, il a pris les premières denrées qu'il a trouvé.
- Merci Léandre.
La tête posée sur ses genoux, tu mange les biscuits. Il te caresse les cheveux. Un simple geste qui signifie tant pour toi. Ça te rappelle, ces moments de tendresses. À ne penser à rien, qu'à l'instant présent. Tu fermes les yeux quelques secondes, apaisée par les mouvements de sa main dans ta chevelure.
Mais ce n'est pas le cas. Pas cette fois. Il te demande de rester ici. Quand bien même, tu voudrais partir, tu ne le pourrais pas. Tu arrives à peine à tenir debout. Alors marcher n'en parlons pas. Tu le vois partir précipitamment.
Ton manque de nicotine se fait ressentir. Tu as beau savoir que ce n'est pas raisonnable, dans ton état. La clope t'appelle. L'envie de fumer t'obsèdes. Ça ne te feras pas de mal. C'est ce que ton corps en manque te dicte. Tu allumes ta cigarette. Deux, trois taffes. Tu as l'impression que ça te fais un bien fou. Addiction.
Il revient très vite. Te prends la cigarette des mains. Tu ne réagis pas et le regarde avec stupéfaction. Il te demande de manger quelque chose. S'il te plait. Tu regardes rapidement ce qu'il a apporté. Bonbons, biscuits....chocolat ! Tu as un petit sourire amusé par la situation. Tu lui montre le chocolat de la tête. Tu dois être l'une des rares personnes qui ne mange pas de chocolat. ll paraît que ça fait du bien.Tu entends souvent dire que ça a beaucoup d'effet vertueux Pour toi ça a, surtout, un effet dangereux. Foutue allergie !
- Tu comptes m'assassiner ?
Une petite boutade que tu lances comme ça à la volée. Tu te doutes que dans la précipitation, il a pris les premières denrées qu'il a trouvé.
- Merci Léandre.
La tête posée sur ses genoux, tu mange les biscuits. Il te caresse les cheveux. Un simple geste qui signifie tant pour toi. Ça te rappelle, ces moments de tendresses. À ne penser à rien, qu'à l'instant présent. Tu fermes les yeux quelques secondes, apaisée par les mouvements de sa main dans ta chevelure.
- InvitéInvité
Re: Fear or the dark [Léandren]
Mer 1 Aoû 2018 - 17:02
Tu t'es précipité dans la salle commune des Lufkins pour prendre à manger. Tu as pris tout ce qui te passait sous la main sans réellement réfléchir aux goûts de Ren et encore moins à ses allergies. Cela fait six ans que vous n'êtes plus ensemble et si tu te rappelles de plein de souvenirs, pour ce qui est des goûts alimentaire tu as des trous. Alors quand tu proposes à Ren du chocolat, elle te regarde en te demandant si tu ne veux pas l’assassiner. Toi, rapidement tu penses que pour s'assassiner, elle n'as pas besoin de toi. La drogue, l'alcool, la fumette, le fait suffisamment bien sans que tu en rajoutes.
" Je crois que tes cigarettes, le fait suffisamment ! " Lui dis tu en pointant du doigt la cigarette que tu as écrasais en revenant. " Surtout que je suppose que tu ne fumes pas que ça ! " Continue tu. " Mais non, je ne veux pas t'assassiner. " Finis tu par la rassurer.
Etant donné que toi aussi tu as un creux, tu manges le chocolat. Tu ne t'en ai jamais privé, à vrai dire tu t'es jamais privé de rien pour Sterenn. Tu aurais peut être dû, en tout cas sur certaine chose, cela l'aurait beaucoup moins blesser mais tu es comme ça.
" De rien Ren ! Ca fait combien de temps que tu n'as pas manger ? " Lui demande tu car tout ce que tu sais, c'est qu'elle n'avait pas faim.
Tu l'as dans tes bras, et tu es heureux. Tu lui caresses les cheveux comme autrefois, comme à chaque fois que tu prenais soin d'elle. Et là, c'est plus fort que toi, tu déposes sur ses lèvres un baiser. Aussitôt tu as peur de sa réaction, qu'elle t'éjecte étant donnée qu'elle a dit que vous deux ça ne se reproduirait pas. Tu décides donc de changer de sujet et de retourner sur le sujet initiale, sa présence dans la pièce.
" Tu étais venue faire quoi dans ce bureau ? "
" Je crois que tes cigarettes, le fait suffisamment ! " Lui dis tu en pointant du doigt la cigarette que tu as écrasais en revenant. " Surtout que je suppose que tu ne fumes pas que ça ! " Continue tu. " Mais non, je ne veux pas t'assassiner. " Finis tu par la rassurer.
Etant donné que toi aussi tu as un creux, tu manges le chocolat. Tu ne t'en ai jamais privé, à vrai dire tu t'es jamais privé de rien pour Sterenn. Tu aurais peut être dû, en tout cas sur certaine chose, cela l'aurait beaucoup moins blesser mais tu es comme ça.
" De rien Ren ! Ca fait combien de temps que tu n'as pas manger ? " Lui demande tu car tout ce que tu sais, c'est qu'elle n'avait pas faim.
Tu l'as dans tes bras, et tu es heureux. Tu lui caresses les cheveux comme autrefois, comme à chaque fois que tu prenais soin d'elle. Et là, c'est plus fort que toi, tu déposes sur ses lèvres un baiser. Aussitôt tu as peur de sa réaction, qu'elle t'éjecte étant donnée qu'elle a dit que vous deux ça ne se reproduirait pas. Tu décides donc de changer de sujet et de retourner sur le sujet initiale, sa présence dans la pièce.
" Tu étais venue faire quoi dans ce bureau ? "
|
|