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Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Lun 11 Mai 2020 - 17:31
Heureusement que le Sylvestre n’est pas une plante trop compliquée à reproduire, ce n’est pour l’instant qu’un petit arbre mignon et non une fleur aux nombreuses couleurs et formes. Parce que sur le moment l’idée semblait bonne, mais je ne suis pas une grande dessinatrice non plus. Il reste à espérer que cette plante ne soit pas trop susceptible, sinon je vais être embêtée pour la suite du cours… Alors je m’applique, sans trop faire attention aux bavardages qu’il y a autour. Certains doivent trouver intéressant de tenter de s’entraider, mais je préfère travailler seule avec le Sylvestre. Celui-ci est d’ailleurs en train de me regarder, peut-être curieux de savoir ce que je fais ainsi assise avec un crayon et un carnet à la main ? Je lui souris gentiment, «Regarde» en tournant en douceur le croquis terminé vers lui «C’est toi !». Il n’a pas l’air mécontent, plutôt même satisfait. Ça se voit dans son regard, ça s’entend aussi – il fait un drôle de bruit comme un gazouillement d’oiseau, c’est mignon.
Je délaisse quelques instants le Sylvestre contemplant son reflet dessiné pour mieux me concentrer, écouter et enregistrer les paroles du professeur qui se met à parler. Apparemment, notre plante du jour est comparable à une créature magique ou même à un enfant bien qu’elle reste incapable de penser et de dialoguer, ce qui fait qu’elle "n’est qu’une plante" d’après notre enseignant. Cette remarque me laisse quelque peu perplexe, après tout on dit d’un poisson qu’il ne pense pas et qu’il ne dialogue pas. En même temps, un poisson n’est pas une plante, le Sylvestre est une plante surtout par sa composition de tronc et de feuilles et par ses multiples propriétés j’imagine. Gardant en tête qu’il faut être doux, gentil et bienveillant comme avec chaque plante et chaque être vivant plus généralement, je me retourne vers mon plant au joli regard curieux tandis que les derniers mots sont prononcés – parler gentiment, faire des geste doux, le soigner. Dit comme ça, s’occuper d’un Sylvestre ne semble pas bien compliqué, pourtant je sais que ce n’est jamais facile de veiller sur un être vivant.
Le dessin maintenant terminé, je décide de commencer à lui faire la conversation. Après tout, peut-être que la plante a envie de bavarder ? Même si le professeur a dit qu’elle ne pouvait pas dialoguer, ça pourrait être intéressant. Ne pas oublier, il faut parler doucement. «J’espère que tu es bien installé, Sylvestre. Il est confortable ton pot ? Normalement, ça devrait l’être puisqu’on ne va pas le changer, mais sinon n’hésite pas à le dire je suis sûre qu’on pourra se débrouiller.» Enfin, c’est pas trop sûr mais rien n’empêche de le rassurer. Il a tout de même l’air content, en tout cas ses branches ne s’agitent pas méchant. Puces-pucerons-larves-insectes. Je me répète les différentes petites gênes que pourrait ressentir le Sylvestre en me penchant un peu. Le but étant de vérifier sa santé, il faut tout bien chercher ! Je lui demande en même temps «Est-ce que tu sens que quelque chose te dérange ?», parce qu’il pourrait m’aider. Même si je ne sais pas trop comment les enlever, le professeur ne vient-il pas de dire que des pinces aciers seraient trop froides ?
Je délaisse quelques instants le Sylvestre contemplant son reflet dessiné pour mieux me concentrer, écouter et enregistrer les paroles du professeur qui se met à parler. Apparemment, notre plante du jour est comparable à une créature magique ou même à un enfant bien qu’elle reste incapable de penser et de dialoguer, ce qui fait qu’elle "n’est qu’une plante" d’après notre enseignant. Cette remarque me laisse quelque peu perplexe, après tout on dit d’un poisson qu’il ne pense pas et qu’il ne dialogue pas. En même temps, un poisson n’est pas une plante, le Sylvestre est une plante surtout par sa composition de tronc et de feuilles et par ses multiples propriétés j’imagine. Gardant en tête qu’il faut être doux, gentil et bienveillant comme avec chaque plante et chaque être vivant plus généralement, je me retourne vers mon plant au joli regard curieux tandis que les derniers mots sont prononcés – parler gentiment, faire des geste doux, le soigner. Dit comme ça, s’occuper d’un Sylvestre ne semble pas bien compliqué, pourtant je sais que ce n’est jamais facile de veiller sur un être vivant.
Le dessin maintenant terminé, je décide de commencer à lui faire la conversation. Après tout, peut-être que la plante a envie de bavarder ? Même si le professeur a dit qu’elle ne pouvait pas dialoguer, ça pourrait être intéressant. Ne pas oublier, il faut parler doucement. «J’espère que tu es bien installé, Sylvestre. Il est confortable ton pot ? Normalement, ça devrait l’être puisqu’on ne va pas le changer, mais sinon n’hésite pas à le dire je suis sûre qu’on pourra se débrouiller.» Enfin, c’est pas trop sûr mais rien n’empêche de le rassurer. Il a tout de même l’air content, en tout cas ses branches ne s’agitent pas méchant. Puces-pucerons-larves-insectes. Je me répète les différentes petites gênes que pourrait ressentir le Sylvestre en me penchant un peu. Le but étant de vérifier sa santé, il faut tout bien chercher ! Je lui demande en même temps «Est-ce que tu sens que quelque chose te dérange ?», parce qu’il pourrait m’aider. Même si je ne sais pas trop comment les enlever, le professeur ne vient-il pas de dire que des pinces aciers seraient trop froides ?
- Résumé:
- Lucinda termine son croquis et le montre au Sylvestre qui semble l'apprécier. Elle écoute ensuite les paroles du professeur puis se met à parler à son plant en cherchant des petits parasites et en se demandant comment les retirer
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Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Jeu 14 Mai 2020 - 13:51
La lufkin nota les réponses du professeur aux question de son compagnon de maison, ajoutant quelques pensées entre parenthèses, des notes à approfondir plus tard à la bibliothèque. Après avoir reposé sa plume, elle attrapa une petite pince, comme une pince à épiler, en métal qu'elle approcha d'une des branches de son sylvestre, lui parlant avec douceur pour lui expliquer ce qu'elle allait faire. Quand bien même il avait l'air apaisé jusque là, son plant émit un petit cri strident, auquel Pina réagit directement en reculant sa main, regardant le plant se secouer, comme s'il était mécontent. Le professeur choisis ce moment la pour passer à côté d'elle. « Les plants n'aiment ni le froid, ni le feu, ni la brutalité. Pensez-y, Mlle Jakobsen. L'acier des pinces ne serait-il pas trop froid pour un sylvestre ? »
Relevant la tête pour observer un instant son professeur, elle hocha la tête, pensive, avant de se concentrer sur le plant qui était à nouveau moins enclin à la laisser approcher. Elle réfléchit alors rapidement et entreprit d'attraper un petit bac, qu'elle remplit d'eau d'un mouvement de baguette, puis souffla une formule afin de chauffer la même eau, y plonger quelques instants l'instrument. Elle le récupéra et le sécha soigneusement dans un tissus, testa la température sur sa peau et renouvela l'essais que de le présenter au plant devant elle. Il bougeait cette fois-ci doucement de gauche à droite, comme s'il dansait lentement. Elle prit ça pour un oui et essaya d'attraper un des moucherons sur son tronc. La manipulation fut un succès et le plant restait content.
A voir pourtant le nombre de moucherons et puces sur le plant, elle se demanda s'il n'y avait pas une solution plus efficace et rapide. Elle nota quelques recherches sur son parchemin, et décida d'entreprendre de le défausser de ses puces avant de chercher une potion qui pourrait les tenir à distance. Elle leva néanmoins à nouveau la main pour avoir un information. « Y a t-il une odeur ou quelque chose comme ça, qui pourrait répugner les puces sans engendrer de mal au sylvestre ? »
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Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Lun 18 Mai 2020 - 23:56
Au moment indiqué par le professeur, je me levais comme les autres, et venait prendre un plant. Sans prétention, je laissais Mr Fraser me donner l'un d'entre eux, et revenait à ma place le pot entre les mains. Ecartant du coude mes affaires, je regardais l'Homonculus. C'était amusant en effet de voir comment il pouvait ressembler à un petit de mandragore, mais j'appréciais qu'il n'en partage pas le cri.
A la ferme, il y en avait peu de ce genre dans la serre, et je n'avais pas du souvent m'en occuper. A tel point qu’honnêtement, je n'étais pas à l'aise. L'idée même de ne pas savoir quoi faire sur l'instant pour m'occuper d'une plante, c'était presque désagréable. Cherchant la créature du regard, jouant un peu avec elle et un peu de terreau, je me demandais du coup comment réagir.
Les différentes observations de mes condisciples attiraient au début mon attention, autant que les réponses, puis finalement, je me laissais distraire, étudiant du regard le plant et ses réactions à tels ou tels gestes.
Ils n'aiment ni le froid, ni le feu, ni la brutalité.
De ce coté-là, rien à craindre. J'étais d'un naturel trop calme que pour m'en prendre à une plante. Pourtant, j'avais envie de plus. D'approcher la pince de ses tiques pour les lui retirer. Mais avant, mon esprit me guidait, suite aux propos du professeur, de nouer avec l'Homonculus un lien positif, presque un début d'amitié. Un peu comme quand vous voulez approcher un chien qui a subit un accident. L'animal peut alors à juste titre être craintif, se méfier de tout et de tout le monde. Dans ce cas-là, le mieux est encore de l'approcher en tenant un symbole qui parle à l'animal. J'avais une fois vu ça : le chien aboyait, se risquait à devenir agressif, jusqu'à ce que quelqu'un le calme en tenant dans ses bras son copain, un autre chien que l'animal connaissait, en le caressant.
Sauf que je n'avais pas d'autres spécimen un peu plus calme, plus disposé à se laisser faire en exemple. Non, je n'avais que lui. Me rappelant alors de ce qui avait été dit plus avant sur les différences entre mandragores et homonculus -notamment pour les racines-, je sortais de mon sac une petite bouteille d'eau que j'entreprenais d'ouvrir.
-"T'a peut-être soif..."
Et doucement, je venais verser un peu d'eau dans la terre proche de la créature, la laissant réagir.
A la ferme, il y en avait peu de ce genre dans la serre, et je n'avais pas du souvent m'en occuper. A tel point qu’honnêtement, je n'étais pas à l'aise. L'idée même de ne pas savoir quoi faire sur l'instant pour m'occuper d'une plante, c'était presque désagréable. Cherchant la créature du regard, jouant un peu avec elle et un peu de terreau, je me demandais du coup comment réagir.
Les différentes observations de mes condisciples attiraient au début mon attention, autant que les réponses, puis finalement, je me laissais distraire, étudiant du regard le plant et ses réactions à tels ou tels gestes.
Ils n'aiment ni le froid, ni le feu, ni la brutalité.
De ce coté-là, rien à craindre. J'étais d'un naturel trop calme que pour m'en prendre à une plante. Pourtant, j'avais envie de plus. D'approcher la pince de ses tiques pour les lui retirer. Mais avant, mon esprit me guidait, suite aux propos du professeur, de nouer avec l'Homonculus un lien positif, presque un début d'amitié. Un peu comme quand vous voulez approcher un chien qui a subit un accident. L'animal peut alors à juste titre être craintif, se méfier de tout et de tout le monde. Dans ce cas-là, le mieux est encore de l'approcher en tenant un symbole qui parle à l'animal. J'avais une fois vu ça : le chien aboyait, se risquait à devenir agressif, jusqu'à ce que quelqu'un le calme en tenant dans ses bras son copain, un autre chien que l'animal connaissait, en le caressant.
Sauf que je n'avais pas d'autres spécimen un peu plus calme, plus disposé à se laisser faire en exemple. Non, je n'avais que lui. Me rappelant alors de ce qui avait été dit plus avant sur les différences entre mandragores et homonculus -notamment pour les racines-, je sortais de mon sac une petite bouteille d'eau que j'entreprenais d'ouvrir.
-"T'a peut-être soif..."
Et doucement, je venais verser un peu d'eau dans la terre proche de la créature, la laissant réagir.
- résumé:
- Gabriel s'essaye aux approches douces et gentil, tentant d'établir un climat de confiance avec la plante.
Finalement, il tente de l'abreuver pour lui montrer qu'il lui veut du bien.
- InvitéInvité
Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Mar 21 Juil 2020 - 18:47
La Suissesse dut délaisser son croquis et sa conversation avec @Anna Reed pour écouter laisser parler l'enseignant qui circulait parmi les étudiants et étudiantes. Les Sylvestres sont en effet semblables par leur comportement aux créatures magiques. Ou à des enfants plus précisément. Mais ce ne sont que des plantes, ils ne pensent pas et ne dialoguent pas. Ils réagissent à la voix comme à la lumière, ils aiment les voix douces plutôt que les voix cassantes, et les gestes calmes plutôt que brutaux. Si vous vous débrouillez bien, vous pourrez même leur apprendre quelques mots, adultes certains adoptent deux ou trois mots qu’ils répètent sans cesse, comme des perroquets. Loin d'elle l'idée de dresser une plante à faire des tours comme un animal de cirque, mais Dalia comprit qu'elle serait en difficulté avec le Sylvestre si elle n'y mettait pas du sien : sa réticence à traiter une plante comme un petit animal attendrissant rendait justement son attitude cassante et désagréable, elle qui d'ordinaire se montrait méthodique et soignée en botanique.
Maintenant que vous avez effectué une première approche, trois premiers pas sont à favoriser, vous l’aurez je pense compris : la parole aimable, des gestes doux et les soins. Elle soupira pour essayer de se détendre et de repartir à zéro en portant un regard neuf sur le plant qui lui faisait face. La réaction du Sylvestre "agressé" par @"Pina Jakobsen" lui arracha un petit sourire amusé. Elle refusait de parler directement à sa plante, mais consentit à avoir des gestes doux et lents, pour respecter le besoin d'amabilité du végétal. Dalia ôta donc ses gants pour manipuler les feuilles du Sylvestre à mains nues, après avoir soufflé dedans pour s'assurer de leur chaleur. Elle examinait alors son plant délicatement.
Y a t-il une odeur ou quelque chose comme ça, qui pourrait répugner les puces sans engendrer de mal au sylvestre ? demanda sa camarade. La Pokeby réfléchit à son tour et proposa une idée, autant à Pina qu'à @Kerr Fraser. Pourquoi pas une lotion ou un spray à base de lavande ou d'oeillet d'Inde ? L'ail pourrait être un répulsif également, mais je suppose que l'odeur peut incommoder une plante aussi capricieuse.
résumé : Elsbeth écoute les conseils de Kerr et enlève ses gants pour manipuler en douceur la plante, sans consentir à lui parler. Elle propose une idée pour faire fuir les pucerons qui envahissent les plants.
Maintenant que vous avez effectué une première approche, trois premiers pas sont à favoriser, vous l’aurez je pense compris : la parole aimable, des gestes doux et les soins. Elle soupira pour essayer de se détendre et de repartir à zéro en portant un regard neuf sur le plant qui lui faisait face. La réaction du Sylvestre "agressé" par @"Pina Jakobsen" lui arracha un petit sourire amusé. Elle refusait de parler directement à sa plante, mais consentit à avoir des gestes doux et lents, pour respecter le besoin d'amabilité du végétal. Dalia ôta donc ses gants pour manipuler les feuilles du Sylvestre à mains nues, après avoir soufflé dedans pour s'assurer de leur chaleur. Elle examinait alors son plant délicatement.
Y a t-il une odeur ou quelque chose comme ça, qui pourrait répugner les puces sans engendrer de mal au sylvestre ? demanda sa camarade. La Pokeby réfléchit à son tour et proposa une idée, autant à Pina qu'à @Kerr Fraser. Pourquoi pas une lotion ou un spray à base de lavande ou d'oeillet d'Inde ? L'ail pourrait être un répulsif également, mais je suppose que l'odeur peut incommoder une plante aussi capricieuse.
look
en anglais, léger accent italien
en anglais, léger accent italien
résumé : Elsbeth écoute les conseils de Kerr et enlève ses gants pour manipuler en douceur la plante, sans consentir à lui parler. Elle propose une idée pour faire fuir les pucerons qui envahissent les plants.
Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Ven 4 Sep 2020 - 16:29
Je s'appelle Groot
Homonculus Sylvester
S’il y avait bien une occasion pour laquelle Kerr acceptait d’être bavard, il s’agissait des cours qu’il donnait à l’université. L’éternel visage de pierre ne pouvait rester stoïque quand il s’agissait d’une matière qu’il affectionnait tant. Les plus indélicats auraient même dit qu’il parlait davantage aux plantes qu’aux étudiants. Tel un botruc, l’enseignant aimait prendre soin de ses plantes, et appréciait les étudiants qui étaient intéressés, vraiment intéressés, ceux qui aimaient la nature pour ce qu’elle avait de plus beau à offrir. Il y en avait plusieurs ici même dans cette salle, il le voyait bien, et tâchait de se montrer un enseignant doux et compréhensif. Il n’était pas de ces enseignants aimant affirmer leur autorité avec virulence. Non. Kerr était aussi doux que le vent, même s’il jaugeait rapidement autrui. Il y en avait comme le jeune Erwin Fumeterre, qui se nourrissait des mots de l’enseignant comme une plante assoiffée absorbe l’eau que l’on verse sur son terreau. Son approche était intéressante, et réfléchi, car il était en train de réchauffer le métal de la pince en fer pour éviter de brusquer le sylvestre. Exactement la méthode à suivre. Ce qui fut accompagné d’un sourire approbateur de l’enseignant. Une méthode qui fut rapidement reproduite par d’autres étudiants. Le cours se déroulait bien, pas d’incident à déplorer et des plants de sylvestre heureux.
Une autre étudiante choisit une méthode un peu plus longue mais tout aussi efficace qui consistait à réchauffer l’instrument à l’aide d’eau chaude. Une technique moins naturelle ou en tout cas moins intuitive mais tout aussi efficace, tant que l’eau utilisée était saine bien entendu, il ne fallait pas instiller des germes sur le plant et c’est le risque qui existait parfois avec une telle technique. Puis vint une question sur les odeurs, un sujet intéressant tant la plupart des sorciers restent persuadés que les odeurs n’ont pas d’influence sur les plantes. Et pourtant…
Miss Jakobsdóttir et Ballarini vos remarques sont perspicaces. Il est reconnu que les huiles essentielles de certaines plantes ou fleurs ont des vertus répulsives pour les parasites ou les insectes. Une orange percée de clous de girofle éloignera ainsi les araignées et les doxys de vos armoires. Personnellement j’utilise un fin mélange d’huile neutre, souvent de l’huile de colza, pour moitié avec les huiles essentielles, un quart d’huile essentielle de géranium, un huitième de menthe poivré et un dernier huitième de petit grain bigarade. Vous pouvez y rajouter un soupçon d’huile essentielle de ravegourde, cela permet à l’huile de rester stable plus longtemps. Il faut ensuite diluer quelques gouttes de cette huile avec de l’eau clair avant de la pulvériser sur le sylvestre.
L’ail par contre n’est pas conseillé, pour la simple est bonne raison que le sylvestre essaierait de le manger. Et il pourrait tomber malade.
Kerr marque une pause, pendant laquelle il se rend derrière son bureau où il se penche pour récupérer une fiole dans un des nombreux tiroirs, fiole en verre avec un bouchon en argent. Très simple. Comme le personnage. Il saisit deux pulvérisateurs et y dilue quelques gouttes de la fiole, flacons qu’il tend ensuite aux deux jeunes femmes.
Allez-y Mesdemoiselles, essayez donc. Avec de la chance, les pucerons fuiront plus facilement la plante. J’accorde 5 points à vos deux maisons. Quelqu’un d’autre aurait-il une idée de biais plutôt que la pince ou l’huile essentielle pour se débarrasser des pucerons du sylvestre ?
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- résumé:
- Kerr observe les étudiants arroser ou aborder leur plante, d'autres réchauffer les pinces. Il répond positivement aux remarques des jeunes filles, leur donne des points et un pulvérisateur anti puceron.
Briseann an dúchais tri shúile an chat
Terre de cuivre couverte par un manteau de verdure et d'émeraude. Beauté juvénile d'un royaume ancestral. Panser ses blessures, masquer ses fêlures ▵ le chant des sirènes.
- Juliet BlackthornBaby sixtine - Little sun
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Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Dim 6 Sep 2020 - 19:40
Juliet avec les deux bouts de la pince entre ses gants pour la réchauffer depuis si longtemps qu'elle en avait presque oublié son existence. Cela faisait plusieurs minutes qu'elle regardait la peau... non n'importe quoi... l'écorce de la plante à la recherche de pucerons et elle n'en voyait absolument aucun... Ceci dit, elle ne savait pas vraiment à quoi ça ressemblait pour être honnête mais elle imaginait un minuscule insecte. Elle avait beau regarder, elle n'avait absolument rien trouver qui pourrait ressembler à ça... Pourquoi est ce qu'elle cherchait des parasites d'ailleurs ? Etait ce vraiment le professeur qui avait demandé ça expressément pour est ce qu'elle suivait bêtement les idées des autres puisqu'elle ne savait absolument pas quoi faire ? Les deux peut être.
La plante bougea et vint déposer une sorte de caresse sur la joue de Juliet qui sursauta brusquement, faisant sursauter le sylvestre à son tour. Elle avait tellement eut envie de voir les pucerons et d'avancer dans le TP qu'elle s'était rapprochée très très très près du plant sans vraiment s'en rendre compte. Si il (ou elle...) avait décidé de l'adopter, il devait avoir changé d'avis suite à la réaction de la blondinette :
- Oh non... Je suis tellement désolée...
Voila qu'elle se mettait à réagir comme les autres avec le petit arbre vivant. La jeune femme chercha de nouveau des idées dans les actes de ses camarades et vit un Elthered verser de l'eau à la plante. Juliet faillit se taper la main sur la tête. Peut être qu'elle aurait pu commencer par ça non ? C'était pas une crack en botanique mais arroser une plante c'était dans ses cordes. Prenant un petit arrosoir la blondinette versa un peu d'eau dans le pot. Le sylvestre semblait apprécier, aussi en ajouta-t-elle encore un peu en écoutant le professeur parler d'huiles qui pourraient aider à la protection de la plante contre les parasites. Elle le regarda sortir des fiole et faire un mélange. Ah... ça c'était beaucoup plus son truc. Ca ressemblait aux potions plus qu'à la botanique. Dommage que ce n'était pas vraiment le sujet du cour d'aujourd'hui... D'ailleurs le Professeur demandait comment éviter les parasites... Presque instinctivement, Juliet, plus pour elle que pour quiconque répondit :
- Des coccinelles...
Pas dit que le Professeur ni qui que ce soit l'ait entendu, mais le fait est que de toute façon elle n'avait pas vraiment de coccinelle sous la main. Finalement, les huiles essentielles c'était très bien. Mais comme son sylvestre était le plus propre de tous, elle ne voyait pas bien l'utilité de lui en mettre.
La plante bougea et vint déposer une sorte de caresse sur la joue de Juliet qui sursauta brusquement, faisant sursauter le sylvestre à son tour. Elle avait tellement eut envie de voir les pucerons et d'avancer dans le TP qu'elle s'était rapprochée très très très près du plant sans vraiment s'en rendre compte. Si il (ou elle...) avait décidé de l'adopter, il devait avoir changé d'avis suite à la réaction de la blondinette :
- Oh non... Je suis tellement désolée...
Voila qu'elle se mettait à réagir comme les autres avec le petit arbre vivant. La jeune femme chercha de nouveau des idées dans les actes de ses camarades et vit un Elthered verser de l'eau à la plante. Juliet faillit se taper la main sur la tête. Peut être qu'elle aurait pu commencer par ça non ? C'était pas une crack en botanique mais arroser une plante c'était dans ses cordes. Prenant un petit arrosoir la blondinette versa un peu d'eau dans le pot. Le sylvestre semblait apprécier, aussi en ajouta-t-elle encore un peu en écoutant le professeur parler d'huiles qui pourraient aider à la protection de la plante contre les parasites. Elle le regarda sortir des fiole et faire un mélange. Ah... ça c'était beaucoup plus son truc. Ca ressemblait aux potions plus qu'à la botanique. Dommage que ce n'était pas vraiment le sujet du cour d'aujourd'hui... D'ailleurs le Professeur demandait comment éviter les parasites... Presque instinctivement, Juliet, plus pour elle que pour quiconque répondit :
- Des coccinelles...
Pas dit que le Professeur ni qui que ce soit l'ait entendu, mais le fait est que de toute façon elle n'avait pas vraiment de coccinelle sous la main. Finalement, les huiles essentielles c'était très bien. Mais comme son sylvestre était le plus propre de tous, elle ne voyait pas bien l'utilité de lui en mettre.
- Spoiler:
- Juliet manque de faire faire une crise cardiaque à son arbre. Elle n'a pas trouvé de parasite donc elle décide de suivre l'exemple de @Gabriel Wilson et de l'arroser un peu. Elle répond à la question de @Kerr Fraser sans s'adresser à quiconque.
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
- pride:
- InvitéInvité
Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Jeu 10 Sep 2020 - 23:33
« Pourquoi pas une lotion ou un spray à base de lavande ou d'oeillet d'inde ? L'ail pourrait être un répulsif également, mais je suppose que l'odeur peut incommoder une plante aussi capricieuse. » Pina sourit en observant sa colocataire, relevant d'un regard accentué le léger cynisme dont elle faisait preuve envers les plantes quelles étaient en train d'examiner (et de choyer était un mot plus adéquat). La lufkin posa sa pince quand leur professeur reprit la parole, notant la composition du répulsif afin d'en refaire plus tard pour l'appartement, et en profita pour finir rapidement le croquis qu'elle avait commencé plus tôt.
Quand Mr. Fraser s'approcha d'elles en offrant pulvérisateurs et points aux deux filles, Pina lui sourit poliment, hochant légèrement la tête en signe de remerciement. Elle pulvérisa un peu du mélange sur un coin de son parchemin pour le porter à son nez, y découvrant les différents parfums, qui étaient finalement assez doux. « Okay, here we go. » murmura t-elle en pulvérisant le mélange sur une des branches de son plant afin de voir sa réaction. Sans cri ni attaque de la part de la plante, Pina continua alors le processus et pulvérisa chaque branche puis le tronc principal, enlevant les feuilles les plus abîmées.
- InvitéInvité
Re: Je s'appelle Groot [Cours de botanique]
Dim 18 Oct 2020 - 15:31
Miss Jakobsdóttir et Ballarini, répondit l'enseignant, vos remarques sont perspicaces. Il est reconnu que les huiles essentielles de certaines plantes ou fleurs ont des vertus répulsives pour les parasites ou les insectes. Une orange percée de clous de girofle éloignera ainsi les araignées et les doxys de vos armoires. Personnellement j’utilise un fin mélange d’huile neutre, souvent de l’huile de colza, pour moitié avec les huiles essentielles, un quart d’huile essentielle de géranium, un huitième de menthe poivré et un dernier huitième de petit grain bigarade. Vous pouvez y rajouter un soupçon d’huile essentielle de ravegourde, cela permet à l’huile de rester stable plus longtemps. Il faut ensuite diluer quelques gouttes de cette huile avec de l’eau claire avant de la pulvériser sur le sylvestre. Dalia se dépêcha de noter les mesures données en griffonnant quelques symboles sur son carnet. L’ail par contre n’est pas conseillé, reprit-il, pour la simple est bonne raison que le sylvestre essaierait de le manger. Et il pourrait tomber malade. La reine du sarcasme leva les yeux au ciel en apprenant la stupidité du sylvestre, mais elle prit soin de noter ce conseil également, au cas où elle l'oublierait.
@Kerr Fraser sortit alors le mélange présenté de son bureau et tendit un pulvérisateur pour chacune des deux jeunes femmes. Allez-y Mesdemoiselles, essayez donc. Avec de la chance, les pucerons fuiront plus facilement la plante. J’accorde 5 points à vos deux maisons. Dalia jeta une oeillade complice de fierté à @Pina Jakobsdóttir pour le gain des points, avant de se tourner vers son plant. Sa main libre protégeant les yeux du sylvestre, elle pulvérisa le produit à plusieurs reprises sur l'ensemble de son corps, puis s'essuya la main mouillée par le processus. Ecco qui, prononça-t-elle par réflexe, se surprenant à prendre une voix maternelle avec le végétal.
Sans contre-indication enseignante, elle proposa le pulvérisateur à quelqu'un d'autre et attendit que les pucerons fuient son plant, tout en écoutant les autres propositions des élèves à la question du sorcier.
résumé : Elsbeth est contente d'avoir récolté des points en compagnie de Pina. Elle pulvérise le mélange donné par Kerr sur son sylvestre puis passe le produit à qui veut.
@Kerr Fraser sortit alors le mélange présenté de son bureau et tendit un pulvérisateur pour chacune des deux jeunes femmes. Allez-y Mesdemoiselles, essayez donc. Avec de la chance, les pucerons fuiront plus facilement la plante. J’accorde 5 points à vos deux maisons. Dalia jeta une oeillade complice de fierté à @Pina Jakobsdóttir pour le gain des points, avant de se tourner vers son plant. Sa main libre protégeant les yeux du sylvestre, elle pulvérisa le produit à plusieurs reprises sur l'ensemble de son corps, puis s'essuya la main mouillée par le processus. Ecco qui, prononça-t-elle par réflexe, se surprenant à prendre une voix maternelle avec le végétal.
Sans contre-indication enseignante, elle proposa le pulvérisateur à quelqu'un d'autre et attendit que les pucerons fuient son plant, tout en écoutant les autres propositions des élèves à la question du sorcier.
look
en italien
en italien
résumé : Elsbeth est contente d'avoir récolté des points en compagnie de Pina. Elle pulvérise le mélange donné par Kerr sur son sylvestre puis passe le produit à qui veut.
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