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how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Sam 26 Juin 2021 - 11:22
June,12th
Une drôle de soirée à n’en pas douter. Tu n’y serais peut être pas aller, tes grands parents ne t’ont pas laisser le choix. L’ont ils jamais fait ? C’était une soirée comme les autres avec cette bonne ambiance sang pur comme eux seuls savent l’organiser. Tout ce que tu ne tolères pas de cette société anglaise, que peu tolèrent tu en as conscience et que pourtant tout le monde subit en silence. Les singes dans la masse, les moutons dans la bergerie, innocents, insconcients même. Ce qui ne fait qu’aggraver leur cas déjà peu glorieux.
En quittant cette soirée qui t’as laissé une saveur douce amère sans même savoir pourquoi, tu t’es arrêté au bar de la tour. Cet endroit n’a aucun intérêt. Il est trop clair, trop propre, il n’a aucun cachet. Le seul avantage c’est que les spiritueux servis sont d’excellente facture. C’est leur fond de commerce, servir des boissons hors de prix à de riches hommes d’affaire, qui jouent avec les rennes de ce monde comme autant de petite fille avec des poupées de chiffon. Tu l’as vu rentrer, poursuivre après le même bar où tu es accoudé, pour rejoindre le restaurant.
Pourquoi l’attendre ? Elle joue l’anguille depuis bien trop longtemps, les occasion de la coincer sont rares. Et pourtant, elle a des comptes à rendre même si elle fait de son mieux pour jouer la carte de l’esquive. Vous n’avez pas eu l’occasion de parler à nouveau de ce qu’il se passe en haut de la tour du ministère. Tu as beau creuser de ton côté, toutes les pistes ne mènent que vers des impasses. Il ne t’est pas possible d’avoir les informations dont tu as besoin, et pourtant un pattern semble enfin découler de cette enquête. Le nombre de victimes augmentent sans que rien ne soit possible de faire. Tous ne meurs pas et pourtant, l’importance de la maladie semble bien être lié avec la pureté du sang de ceux qui sont touchés. C’est tout ce que tu as pour l’instant. Ne pas avancer commence à ronger sur ta présence d’esprit. Tu t’enfermes dans tes pensées, dans ton fort intérieur.
Le temps passe. Tu enchaînes les verres de whiskey de feu. Celui là doit venir du japon. Il y a quelques personnes dans le bar outre toi, mais nombre d’entre eux sont partis déjà.
Le son reconnaissable des talons qui claquent sur le sol se fait entendre. Un instant plus tard sa voix s’élève à quelques mètres de toi. Dîné pour un. Intéressant.
“Vous aurait on posé un lapin ?”
Tu regardes ton verre, ne tournes pas la tête dans sa direction, et pourtant il ne fait aucun doute au fait que tu t’adresses directement à elle.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 723
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1644
Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Sam 26 Juin 2021 - 12:34
C’était fort étrange comme sensation. Désagréable même. Comme si tout pouvait déraper en un instant. Comme si rien n’était sous son contrôle. Pas ses paroles en tout cas. Tout ce qui sortait de sa bouche était la vérité la plus pure. La plus transparente. Aucun filtre ne pouvait résister au veritaserum, même pour une Occlumens expérimentée comme pouvait l’être Calliope Muller. Elle avait mit longtemps à comprendre que le champagne qu’on lui avait servit n’était pas sans danger. Elle avait comprit quand son parrain @Matthew était venu lui demander, les yeux dans les yeux, si elle comptait rejoindre leurs rangs. elle avait répond par l’affirmative, évidemment, conquise par le discours du juge Muller dont l’éloquence n’était plus à prouver. Elle aurait pu être contrariée que son propre parrain doute d’elle, mais elle comprenait que cet instant était important pour lui, pour eux, et que toutes les sécurités devaient être de mise.
Elle n’avait pas été oubliétée. Elle n’avait donc pas oublié les échanges qui avaient eut lieu quelques secondes avant le discours, notamment ceux avec son cousin Sasha. Des semaines qu’ils n’avaient pas pu se voir, aussi avaient ils convenu de dîner ensemble le soir même. L’avocat l’avait même convaincue de rester dîner au restaurant du dernier étage. La vue était magnifique paraissait-il, et ce restaurant moldu faisait d’excellents plats de poisson. Elle avait accepté.
Ainsi, s’était elle malgré tout rendu au restaurant. Elle s’était installée au bar du fond, commandé un verre de vin en attendant que son cousin n’arrive. Compte tenu de son état, de la potion de vérité qu’elle avait ingurgité, il aurait été plus prudent de rentrer chez elle. Mais elle ne voulait pas éveiller de soupçons chez l’avocat lequel aura sans doute été oubliété. Si elle faisait faux bon après ce « concert » alors peut être se demanderait il pourquoi sa très ponctuelle et constante cousine pouvait lui fausser compagnie.
Elle avait terminé son verre de vin, patientant en lisant une scène de théâtre, quand elle se rendit compte qu’elle ne risquait pas de voir Sasha arriver. S’ils avaient oubliété toute la soirée alors le souvenir du rendez-vous était également tombé dans les abysses. Contrariée de ne pas y avoir pensé plus tôt, mais soulagée de rentrer chez elle, la brune commande un repas à emporter et on la dirige vers le bar à l’entrée pour payer et réceptionner son plat. C’est donc exactement ce qu’elle fait.
Quelques mots échangés avec la serveuse. Quelques gallions donnés pour payer son verre et son dîner. Son repas n’est pas encore prêt, il faudra patienter. Elle n’aura pas à le faire seule, même si elle aurait préféré. Car une voix qu’elle ne connait que trop bien se fait entendre à quelques pas. Elle fronce le nez, visiblement contrariée de croiser le Majewski ici. Il ne la regarde pas mais rien qu’au ton de sa voix, elle aurait pu parier que c’était à elle qu’il s’adressait.
- On m’aura oublié sans doute.
Elle ne contrôle pas les mots qui sortent de sa bouche, ni même le ton. Si son visage affiche sa contrariété, son ton est neutre, presque plat s’il n’y avait pas les inflexions naturelles de sa voix.
Elle n’avait pas été oubliétée. Elle n’avait donc pas oublié les échanges qui avaient eut lieu quelques secondes avant le discours, notamment ceux avec son cousin Sasha. Des semaines qu’ils n’avaient pas pu se voir, aussi avaient ils convenu de dîner ensemble le soir même. L’avocat l’avait même convaincue de rester dîner au restaurant du dernier étage. La vue était magnifique paraissait-il, et ce restaurant moldu faisait d’excellents plats de poisson. Elle avait accepté.
Ainsi, s’était elle malgré tout rendu au restaurant. Elle s’était installée au bar du fond, commandé un verre de vin en attendant que son cousin n’arrive. Compte tenu de son état, de la potion de vérité qu’elle avait ingurgité, il aurait été plus prudent de rentrer chez elle. Mais elle ne voulait pas éveiller de soupçons chez l’avocat lequel aura sans doute été oubliété. Si elle faisait faux bon après ce « concert » alors peut être se demanderait il pourquoi sa très ponctuelle et constante cousine pouvait lui fausser compagnie.
Elle avait terminé son verre de vin, patientant en lisant une scène de théâtre, quand elle se rendit compte qu’elle ne risquait pas de voir Sasha arriver. S’ils avaient oubliété toute la soirée alors le souvenir du rendez-vous était également tombé dans les abysses. Contrariée de ne pas y avoir pensé plus tôt, mais soulagée de rentrer chez elle, la brune commande un repas à emporter et on la dirige vers le bar à l’entrée pour payer et réceptionner son plat. C’est donc exactement ce qu’elle fait.
Quelques mots échangés avec la serveuse. Quelques gallions donnés pour payer son verre et son dîner. Son repas n’est pas encore prêt, il faudra patienter. Elle n’aura pas à le faire seule, même si elle aurait préféré. Car une voix qu’elle ne connait que trop bien se fait entendre à quelques pas. Elle fronce le nez, visiblement contrariée de croiser le Majewski ici. Il ne la regarde pas mais rien qu’au ton de sa voix, elle aurait pu parier que c’était à elle qu’il s’adressait.
- On m’aura oublié sans doute.
Elle ne contrôle pas les mots qui sortent de sa bouche, ni même le ton. Si son visage affiche sa contrariété, son ton est neutre, presque plat s’il n’y avait pas les inflexions naturelles de sa voix.
MULLER LIKE ME
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Sam 26 Juin 2021 - 15:45
Il s’avère qu’il est plus tôt que tu ne le croyais quand Calliope finit par pointer le bout de son nez. Comme elle a pris la direction du restaurant, la soirée aurait put trainer en longueur. L’aurais tu attendue jusque là ? Peut être. Tu es tenace, et quand tu es perdu dans tes pensées, cela peut être le cas plusieurs heures durant. Tu tergiverses, réfléchit, envisage, essaie des tactiques. Dans ton esprit tu fais le compte des pièces du puzzle, tu essaies de les imbriquer les unes avec les autres. Elles sont nombreuses, et pour l’instant il t’en manque encore trop sans doute, ou alors tu n’as pas le recul nécessaire pour voir le schéma d’un autre angle. Angle qui pourrait êter envisagé par une tierce personne, mais peu sont ceux au courant avec un oeil suffisamment critique pour te fournir de nouvelles perspectives.
Elle ne semble pas t’avoir remarqué avant que tu n’ouvres la bouche. D’un trait tu vides ton verre. A chaque nouvelle rencontre, l’ambiance change, jamais vous ne vous retrouvez deux fois au même endroit, est ce que cela a une quelconque importance ou souligne simplement l’improbabilité de cette relation dysfonctionnelle. Qui est le chat ? Qui est la souris ? Cela dépend entièrement de la situation dans laquelle vous vous trouvez. Cependant Calliope semble prendre un malin plaisir à jouer les souris des villes en s’échapant dès qu’elle le peut, en refusant de te voir. Il faut que tu l’accules à chaque fois pour avoir gain de cause, et tu n’abandonnes pas. Elle est trop mouillée dans cette affaire pour que tu renonces à son aide.
Son ton est différent de d’habitude quand elle s’adresse à toi. Tu finis par tourner le visage vers elle pour la dévisager. Elle n’est pas contente, contrariée. Est ce de te voir ici ? Ou est ce parce qu’il semble qu’effectivement on lui a posé un lapin.
“Qui aura osé vous faire cet affront ?”
Tu doutes qu’elle réponde à ta question. Tu commences à la connaître, il y a de grandes chances pour qu’elle pense que ce ne sont pas tes oignons, et qu’elle a mieux à faire: rentrer chez elle. C’est sans doute ce qu’elle se dit depuis le jour où sur le bureau de la capitaine, tout se soit enflammé. Pourtant tu n’es pas resté ici tout ce temps dans le but de la harceler sexuellement. Il y a quantité de sujet à aborder.
La cravatte autour de ton cou est serrée, tu n’en portes jamais, tu tires légèrement sur le noeud alors que tu attends de te faire recaller par la belle Muller.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Sam 26 Juin 2021 - 18:42
Calliope Muller ne s’attendait pas vraiment à voir Dimitri Majewski ici. En réalité, elle avait été assez étonnée de le voir invité à la le future parti politique PURE. Elle l’avait aperçue, de loin, mais il y avait tellement de monde qu’elle avait facilement pu faire en sorte d’être invisible à ses yeux. Muller parmi les Muller, sang-pur parmi les sang-purs. Ce qu’elle n’était pas tout à fait. L’invitation de Dimitri ne faisait pas sens aux yeux de la jeune femme, même si elle ignorait l’avis de l’auror sur la pureté du sang, elle avait cru comprendre que le parti se voulait plutôt à destination des sang-purs de grande bretagne dans un premier temps… Qu’est ce que le soviétique avait donc à faire ici ?
Et qu’est ce qu’il faisait assit à ce bar ? Elle ne pouvait s’empêcher de se dire qu’il l’avait suivi et qu’il l’attendait. C’est que depuis qu’ils avaient fauté, corps contre corps, dans cette brigade, il rivalisait d’inventivité pour la contacter et la rencontrer. Alors dire qu’il en était capable n’était pas complètement déconnant.
Evidemment, elle est agacée. Agacée par elle même, d’avoir perdu son temps à ce bar à attendre quelqu’un qui ne viendrait alors alors qu’elle même savait pour quelles raison, agacée par la vision de l’auror a quelques mètres d’elle qui lui arrache un léger frisson dans le dos. Elle ne peut mentir. Elle en est incapable. Alors elle lui répond. En temps normal, elle l’aurait sûrement envoyer promener et elle serait partie. Mais le veritaserum lui impose chaque mot qui sort de sa bouche et elle attend son repas avant de quitter la tour. Alors évidemment, il en profite… lui demandant qui a osé lui faire cet affront avec ce petit air de gamin insolent qu’elle ne supporte pas.
- Mon cousin.
Voix neutre, encore et toujours. Encore une fois, en temps normal, elle lui aurait bien explicité qu’il devrait plutôt se mêler de ce qui le concerne mais elle était obligée de répondre, le filtre de vérité faisant toujours son effet. Pour l’instant, aucun danger dans ces revelations. Au mieux pourra-t-il penser que la brune et dans de confortables dispositions. Elle voit la surprise dans son regard, cette surprise de ne pas se faire recaler, ce changement de dynamique dans leur duo.
Elle se force à tourner son regard vers le bar et non plus vers le soviétique. Le temps commence à être long pour la jeune Muller qui aimerait rentrer. Rester ici, auprès du Majewski, alors qu’elle est sous l’influence du veritaserum, relève du suicide… Pourtant, elle n’a pas vraiment le choix. Si elle partait subitement, sans son repas, soyez sûre que le russe y verrait quelque-chose de louche. Le meilleur moyen de se sortir de ce mauvais pas était encore d’essayer d’agir de la manière la plus normale possible, en attendant de pouvoir partir et en espérant que leurs conversations en restent à des banalités.
Pourtant, elle ne peut s’empêcher de jeter un oeil au jeune homme. Un regard de coin alors qu’il ne l’observe plus. Elle le voit desserrer sa cravate et elle ne peut s’empêcher de se rendre compte que ça lui va bien. Très bien même. En même temps, c’est un bel homme et Calliope Muller aime les hommes bien habillés. Rien de surprenant à cela…
- Vous devriez la laisser, cette tenue vous sied.
Elle ferme les yeux une seconde, histoire de ne pas montrer la surprise qui se lirait dans ses iris. C’était sorti tout seul…
Et qu’est ce qu’il faisait assit à ce bar ? Elle ne pouvait s’empêcher de se dire qu’il l’avait suivi et qu’il l’attendait. C’est que depuis qu’ils avaient fauté, corps contre corps, dans cette brigade, il rivalisait d’inventivité pour la contacter et la rencontrer. Alors dire qu’il en était capable n’était pas complètement déconnant.
Evidemment, elle est agacée. Agacée par elle même, d’avoir perdu son temps à ce bar à attendre quelqu’un qui ne viendrait alors alors qu’elle même savait pour quelles raison, agacée par la vision de l’auror a quelques mètres d’elle qui lui arrache un léger frisson dans le dos. Elle ne peut mentir. Elle en est incapable. Alors elle lui répond. En temps normal, elle l’aurait sûrement envoyer promener et elle serait partie. Mais le veritaserum lui impose chaque mot qui sort de sa bouche et elle attend son repas avant de quitter la tour. Alors évidemment, il en profite… lui demandant qui a osé lui faire cet affront avec ce petit air de gamin insolent qu’elle ne supporte pas.
- Mon cousin.
Voix neutre, encore et toujours. Encore une fois, en temps normal, elle lui aurait bien explicité qu’il devrait plutôt se mêler de ce qui le concerne mais elle était obligée de répondre, le filtre de vérité faisant toujours son effet. Pour l’instant, aucun danger dans ces revelations. Au mieux pourra-t-il penser que la brune et dans de confortables dispositions. Elle voit la surprise dans son regard, cette surprise de ne pas se faire recaler, ce changement de dynamique dans leur duo.
Elle se force à tourner son regard vers le bar et non plus vers le soviétique. Le temps commence à être long pour la jeune Muller qui aimerait rentrer. Rester ici, auprès du Majewski, alors qu’elle est sous l’influence du veritaserum, relève du suicide… Pourtant, elle n’a pas vraiment le choix. Si elle partait subitement, sans son repas, soyez sûre que le russe y verrait quelque-chose de louche. Le meilleur moyen de se sortir de ce mauvais pas était encore d’essayer d’agir de la manière la plus normale possible, en attendant de pouvoir partir et en espérant que leurs conversations en restent à des banalités.
Pourtant, elle ne peut s’empêcher de jeter un oeil au jeune homme. Un regard de coin alors qu’il ne l’observe plus. Elle le voit desserrer sa cravate et elle ne peut s’empêcher de se rendre compte que ça lui va bien. Très bien même. En même temps, c’est un bel homme et Calliope Muller aime les hommes bien habillés. Rien de surprenant à cela…
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 28 Juin 2021 - 23:37
Si pendant quelques secondes tu as pensé t'amuser avec Calliope Muller, ou plutôt aux dépens de Calliope, tu es rapidement mis à ta place. Elle répond à ta question sans chercher à louvoyer, sans te dire que ça ne te regarde pas. Parce qu’il est là le jeu, tu testes ses limites, et heureusement pour toi, elle en a de grandes te concernant, aussi elle a tellement à coeur de te rejeter, qu’elle ne se rend pas compte qu’elle s’embourbe. Alors qu’elle te réponde sans détour, sans même la moindre trace d’amertume ou d’impatience dans sa voix… C’est trop étrange pour te faire même sourire. Tu fronces les sourcils, accoudé au comptoir, tu finis par détourner le regard. Dans ta tête l’échiquier se remet en place et tu comptes à nouveau les coups à venir. Voilà qui a changé divers paramètres dans l’équation.
Cependant, cette première réponse n’est pas la plus étrange. Cette cravate que tu dessers, te sied apparement au dire de la jeune femme. Tu en aurais presque les oreilles écorchées d’un compliment dans cette bouche qui n’a de cesse que de cracher du venin dans ta direction. Tu la regardes du coin de l'œil, tu ne comprends pas ce qui est en train de se passer. Quel mouvement tactique pousserait Calliope à un tel comportement. Ce n’est pas impossible, mais c’est fourbe. Tu ne doute pas qu’elle soit capable de fourberie. Mais elle n’a jamais usé de ce genre de plan sur ta personne. Jusqu’ici elle t’a évité comme la peste, et tu étais persuadé qu’elle continuerait sur cette lancée.
Aussi, tu décides instinctivement de lancer un test.
« N’avez vous pas de préférence pour ce qui se trouve sous ces vêtements ? »
Tu as lancé la question sans aucune gêne. Il n’y a personne autour de vous apte à suivre cette conversation. C’est un simple test, tu veux savoir jusqu’où elle est capable d’aller dans son nouveau jeu. Tu n’as pas encore saisi les règles, mais tu comptes bien t’en donner les moyens. Voilà qui est intéressant.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 29 Juin 2021 - 11:34
La brune fait d’énormes efforts pour ne pas afficher à quel point elle est mortifiée par ce qu’elle vient de dire. Est ce qu’elle vient vraiment de le dire, d’ailleurs ? Est ce que c’est bien sa voix qui s’est faite entendre ? Venait elle vraiment de complimenter de façon explicite le Majewski ? Si c’était le cas, elle avait envie de disparaitre. Maintenant. Et à voir le regard de l’étudiant, c’était exactement ce qu’elle aurait du faire. Parce qu’elle voit dans ses yeux qu’il se rend compte que quelque-chose chose. Sans sûrement mettre le doigt sur le « quoi » exactement.
Elle voudrait s’enfuir mais elle sait qu’elle ne peut pas. Elle commence à connaitre le Grymm. Il a vu une faille, il allait l’exploiter. Si elle faisait semblant d’agir normalement peut être mettrait il cela sur les conséquences d’une humeur joueuse ? Après tout, ils avaient couché ensemble, il avait un aperçu de ses compétences lorsqu’elle avait le désir de s’amuser. Non ? Avec un peu de chance, il passerait à autre chose, son plat arriverait vite et elle pourrait partir sans attirer son attention.
Sauf que la chance de la jeune femme était aux abonnés absent. Un serveur venait d’apparaitre derrière le Grymm, lui apportant un verre de vin et lui expliquant qu’il y avait quelques petites soucis en cuisine qui risquaient d’allonger son temps d’attente. Il avait posé son verre, lui avait tiré la chaise du bar pour qu’elle s’installe et elle avait obtempéré non sans un regard excédé… La voila coincée. Et le voila qui incise.
- En ce qui vous concerne, certainement.
Complètement désappointée par sa propre réponse, la jeune femme cache son sentiment en buvant une gorgée de son verre. Ce n’est pas tant le fait de dire la vérité, bien que ce soit une problématique sérieuse, c’était surtout, surtout le contenu de cette vérité. Elle l’avait désigné explicitement. Pourquoi donc ? Elle avait connu plusieurs hommes dans sa vie, dont certains bien moins agaçants que le soviétique. Elle boit une autre gorgée de vin, plus longue cette fois. Pour se calmer. Pour se donner de la contenance. Elle n’a que ça à cet instant à quoi se raccrocher. Ca et prier pour que son plat arrive vite…
Elle profite que son regard accroche le sien pour simuler une oeillade brulante. Histoire de justifier ses propos. Et finalement, elle décide de se tourner vers le bar, ne faisant plus face au Dimitri. Peut être que si elle faisait mine de l’ignorer, ferait il de même ? Franchement, il fallait qu’elle essaye tout ce qu’elle pouvait.
Elle voudrait s’enfuir mais elle sait qu’elle ne peut pas. Elle commence à connaitre le Grymm. Il a vu une faille, il allait l’exploiter. Si elle faisait semblant d’agir normalement peut être mettrait il cela sur les conséquences d’une humeur joueuse ? Après tout, ils avaient couché ensemble, il avait un aperçu de ses compétences lorsqu’elle avait le désir de s’amuser. Non ? Avec un peu de chance, il passerait à autre chose, son plat arriverait vite et elle pourrait partir sans attirer son attention.
Sauf que la chance de la jeune femme était aux abonnés absent. Un serveur venait d’apparaitre derrière le Grymm, lui apportant un verre de vin et lui expliquant qu’il y avait quelques petites soucis en cuisine qui risquaient d’allonger son temps d’attente. Il avait posé son verre, lui avait tiré la chaise du bar pour qu’elle s’installe et elle avait obtempéré non sans un regard excédé… La voila coincée. Et le voila qui incise.
- En ce qui vous concerne, certainement.
Complètement désappointée par sa propre réponse, la jeune femme cache son sentiment en buvant une gorgée de son verre. Ce n’est pas tant le fait de dire la vérité, bien que ce soit une problématique sérieuse, c’était surtout, surtout le contenu de cette vérité. Elle l’avait désigné explicitement. Pourquoi donc ? Elle avait connu plusieurs hommes dans sa vie, dont certains bien moins agaçants que le soviétique. Elle boit une autre gorgée de vin, plus longue cette fois. Pour se calmer. Pour se donner de la contenance. Elle n’a que ça à cet instant à quoi se raccrocher. Ca et prier pour que son plat arrive vite…
Elle profite que son regard accroche le sien pour simuler une oeillade brulante. Histoire de justifier ses propos. Et finalement, elle décide de se tourner vers le bar, ne faisant plus face au Dimitri. Peut être que si elle faisait mine de l’ignorer, ferait il de même ? Franchement, il fallait qu’elle essaye tout ce qu’elle pouvait.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 29 Juin 2021 - 20:39
Ce n'est pas facile de te surprendre. Tu es souvent paré à diverses possibilités et quand on parvient quand même à faire quelque chose que tu n'avais pas prévu… tu es très bon pour faire semblant que tout va bien. Mais au cas d'une Calliope Muller décidée a répondre à tes questions sans détour tu ne l'avais pas préparé. Ça n'a jamais été dans votre dynamique, elle a toujours refusé quoi que ce soit venant de toi sauf ce moment échangé sur le divan vert. Alors tu sais, tu comprends qu'il y a quelque chose que tu ne saisis pas dans cette nouvelle équation. Il faut juste mettre la main sur l'information nécessaire pour comprendre. Il y a une explication.
Elle ne peut pas acquiescer sur le fait de vouloir ton corps sans ciller. Enfin ce n'est pas tout à fait vrai. Il y a une détresse dans son regard. Cette détresse se transforme en feu ardent et finalement elle se place de telle sorte qu'on dirait deux parfaits inconnus au même bar par hasard. Tout cela dans un laps de temps bien trop court pour être honnête. Tu fais rapidement les calculs.
"Calliope. Que se passe t'il? "
Tu t'es quelque peu penché vers elle pour lui poser ta question. Va t'elle te dire la vérité ? En temps normal tu en aurais largement douté. Elle aurait directement rétorqué que cela ne te regarde pas. Et elle n'aurait pas tort en réalité. Pourtant… essaie telle de parler en code? Si c'est le cas, tu devrais à ton tour lui donner des cours en la matière. Si quelqu'un essayait vraiment de la manipuler, qu'elle en serait la cause ? Pourquoi voudrait on maîtriser l'esprit de la jeune femme ?
" Êtes vous sous l'emprise d'un sort ou d'une quelconque substance ? "
Est ce la paranoïa qui parle ? Si elle est sous le coup d'un imperium tu pourrais trahir l'auteur ou le faire disparaître peut être de son esprit. Tu pourrais te tromper ? Peut être qu'elle a simplement trop bu. En tout cas elle semble vouloir siffler son verre de vin offert pour la remercier de sa patience.
Sur ton visage, tu affiches une mine concernée, peut être que tu es plus inquiet que tu ne vraiment lui montrer… son air est si étrange.
Tu laisses ton verre sur le comptoir, le serveur semble avoir pris ça comme un signal et ton verre se remplit à nouveau magiquement. Tu le regardes se remplir. Tu ne veux pas finir ivre. L'ivresse te fais perdre les pédales, tu n'as pas envie de perdre le contrôle ce soir, tu bois rarement au dessus d'un certain seuil.
Elle ne peut pas acquiescer sur le fait de vouloir ton corps sans ciller. Enfin ce n'est pas tout à fait vrai. Il y a une détresse dans son regard. Cette détresse se transforme en feu ardent et finalement elle se place de telle sorte qu'on dirait deux parfaits inconnus au même bar par hasard. Tout cela dans un laps de temps bien trop court pour être honnête. Tu fais rapidement les calculs.
"Calliope. Que se passe t'il? "
Tu t'es quelque peu penché vers elle pour lui poser ta question. Va t'elle te dire la vérité ? En temps normal tu en aurais largement douté. Elle aurait directement rétorqué que cela ne te regarde pas. Et elle n'aurait pas tort en réalité. Pourtant… essaie telle de parler en code? Si c'est le cas, tu devrais à ton tour lui donner des cours en la matière. Si quelqu'un essayait vraiment de la manipuler, qu'elle en serait la cause ? Pourquoi voudrait on maîtriser l'esprit de la jeune femme ?
" Êtes vous sous l'emprise d'un sort ou d'une quelconque substance ? "
Est ce la paranoïa qui parle ? Si elle est sous le coup d'un imperium tu pourrais trahir l'auteur ou le faire disparaître peut être de son esprit. Tu pourrais te tromper ? Peut être qu'elle a simplement trop bu. En tout cas elle semble vouloir siffler son verre de vin offert pour la remercier de sa patience.
Sur ton visage, tu affiches une mine concernée, peut être que tu es plus inquiet que tu ne vraiment lui montrer… son air est si étrange.
Tu laisses ton verre sur le comptoir, le serveur semble avoir pris ça comme un signal et ton verre se remplit à nouveau magiquement. Tu le regardes se remplir. Tu ne veux pas finir ivre. L'ivresse te fais perdre les pédales, tu n'as pas envie de perdre le contrôle ce soir, tu bois rarement au dessus d'un certain seuil.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mer 30 Juin 2021 - 12:11
C’était étrange l’effet du veritaserum. Elle était en pleine conscience de ce qu’elle faisait, de ce qu’elle disait, de ce qui lui arrivait … et pourtant elle avait l’impression de n’être maîtresse de rien du tout. Ses paroles, tout ce qui sortait de sa bouche, était mu par l’obligation de dire la vérité. Une prochaine pour les lèvres de la Muller qui n’avaient cure de mentir lorsque le besoin s’en faisait ressentir.
Il n’y avait pas que les mots. Il y avait le ton également. Elle qui avait souvent des accents piquants et des intonations sacarstiques, la voilà qui parlait sur un ton parfaitement neutre. Comme si sa conscience était éteinte et qu’elle fonctionnaire en mode automatique. Heureusement, ses gestes étaient contrôlés. Elle était libre de mouvement. Elle pouvait donc partir à tout moment. Elle aurait du d’ailleurs, mais elle ne voulait pas donner l’impression de cacher quelque chose et de mettre le parti PURE en difficulté.
Mais le Majewski est trop intelligent. Trop pour son propre bien. Il pose une question touchy à laquelle elle répond trop honnêtement pour que ça lui ressemble. Elle essaye de rattraper ces mots par des gestes qui pourraient la conforter mais elle voit au regard du russe qu’il n’est pas dupe. Il pose une première question, puis une deuxième, trop pertinente.
- Sous veritaserum.
Avant même que l’information ne sorte de sa bouche, la brune s’est levée. Elle a vu le regard inquiet du Russe et pour être honnête elle est surprise qu’il réagisse ainsi. Elle l’aurait plutôt imaginé avec un air de requin trop content d’avoir coincé sa proie. Mais elle n’a pas eut le choix que de répondre et elle se trouver en situation de faiblesse. En danger. Tout le corps de Calliope se met en état d’alerte. Elle pâlit, elle a très chaud d’un coup, sa tension vient de grimper violemment parce que son cœur s’emballe. Il n’y a plus qu’une solution.
La fuite. C’est exactement ce qu’elle fait. Elle boit puis repose son verre, se lève du tabouret et sans jeter un nouveau regard au Majewski elle prend ses talons à son cou pour quitter le bar. Son cerveau réfléchit à Mille a l’heure malgré la panique qui commence à la faire ventiler. Elle doit transplaner et vite. Elle prend la direction des toilettes, c’est l’endroit le plus proche où elle pourra se soustraire aux yeux des moldus et où elle transplaner pour rentrer chez elle. Il fallait qu’elle se mette en sécurité. Elle savait que le Russe ne la laisserait pas s’en tirer à bon compte si elle restait près de lui.
Il n’y avait pas que les mots. Il y avait le ton également. Elle qui avait souvent des accents piquants et des intonations sacarstiques, la voilà qui parlait sur un ton parfaitement neutre. Comme si sa conscience était éteinte et qu’elle fonctionnaire en mode automatique. Heureusement, ses gestes étaient contrôlés. Elle était libre de mouvement. Elle pouvait donc partir à tout moment. Elle aurait du d’ailleurs, mais elle ne voulait pas donner l’impression de cacher quelque chose et de mettre le parti PURE en difficulté.
Mais le Majewski est trop intelligent. Trop pour son propre bien. Il pose une question touchy à laquelle elle répond trop honnêtement pour que ça lui ressemble. Elle essaye de rattraper ces mots par des gestes qui pourraient la conforter mais elle voit au regard du russe qu’il n’est pas dupe. Il pose une première question, puis une deuxième, trop pertinente.
- Sous veritaserum.
Avant même que l’information ne sorte de sa bouche, la brune s’est levée. Elle a vu le regard inquiet du Russe et pour être honnête elle est surprise qu’il réagisse ainsi. Elle l’aurait plutôt imaginé avec un air de requin trop content d’avoir coincé sa proie. Mais elle n’a pas eut le choix que de répondre et elle se trouver en situation de faiblesse. En danger. Tout le corps de Calliope se met en état d’alerte. Elle pâlit, elle a très chaud d’un coup, sa tension vient de grimper violemment parce que son cœur s’emballe. Il n’y a plus qu’une solution.
La fuite. C’est exactement ce qu’elle fait. Elle boit puis repose son verre, se lève du tabouret et sans jeter un nouveau regard au Majewski elle prend ses talons à son cou pour quitter le bar. Son cerveau réfléchit à Mille a l’heure malgré la panique qui commence à la faire ventiler. Elle doit transplaner et vite. Elle prend la direction des toilettes, c’est l’endroit le plus proche où elle pourra se soustraire aux yeux des moldus et où elle transplaner pour rentrer chez elle. Il fallait qu’elle se mette en sécurité. Elle savait que le Russe ne la laisserait pas s’en tirer à bon compte si elle restait près de lui.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Jeu 1 Juil 2021 - 9:39
La laisser partir ? Il n’en est pas question. Tu ne peux pas la laisser s’enfuir aussi impunément, sans qu’il y ait la moindre conséquence vis à vis du fait qu’elle vienne de te dire qu’elle est sous veritaserum. Ça met tout en perspective, change la donne, il y a une quantité de possible que ton pauvre cerveau d’être humain à du mal à calculer. Toutes ses questions que tu as en tête, et que tu vas pouvoir lui poser sans qu’elle n’ait la chance de s’y soustraire… De plus, tout s’explique. Tu comprends pourquoi elle a agi de la sorte, comment elle s’est retrouvée à te faire un compliment, ou à répondre par l’affirmative à ta question pour le moins directe. Le veritaserum est un outil puissant utilisé à bon escient et il peut avoir des résultats catastrophiques sur celui qui en subit les conséquences sans le savoir. En tant que membre des forces d'élite, tu as déjà été sous son emprise, mais l'occlumencie permet d’éviter ces effets la plupart du temps.
Quand elle prend la tangente sous le coup de la panique, tu ne lui laisses pas l’occasion d’aller jusqu’au bout. Il ne faut qu’une fraction de seconde pour lâcher ton verre, te retourner, et dans son dos, placer tes mains sur sa taille pour la diriger où tu veux. Elle n’est pas idiote, si elle ne veut pas attirer l’attention sur elle, elle ne se débattra pas en place public. L’audience est trop nombreuse, bien sûr si quelqu’un imaginait que tu as de mauvaises intentions à son égard, on pourrait chercher à t’arrêter. Mais tu doutes réellement que le scandale soit quelque chose que Calliope Muller cherche à provoquer. Le piège se referme sur la petite souris alors que la mène doucement vers les toilettes. Où pourrais-tu aller d’autre ? Il n’y a qu’un nombre limité d'endroits clos dans cet endroit.
“Hominium revelio.”
Rien ne se passe alors que tu refermes la porte derrière vous. Bien vous êtes seuls. L’endroit fait comme un boudoir avant d’accepter de chaque côté aux toilettes repérés par les symboles sur les portes. L’endroit est luxueux et largement décoré, peut être même trop. Un miroir vous fait face reflétant vos deux corps, et pourtant tu n’as d’yeux que pour elle. A nouveau tu ressens l’urgence à son contact, cette fois ci pourtant, la tension sexuelle n’est pas la maîtresse de la situation.
“Qui vous a donné le veritaserum et pourquoi ?”
Tu lui barres la porte au cas où elle chercherait à se faire la malle. Avec ta baguette tu la verrouilles, et tu lances un sort pour protéger l’endroit des oreilles indiscrètes. On ne prend jamais trop de précautions.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 723
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1644
Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Jeu 1 Juil 2021 - 16:43
Son coeur bat à cent à l’heure. Bien plus vite que le rythme de ses escarpins sur le carrelage du bar. Son visage est blême et n’importe qui croisant son regard se rendrait compte que quelque-chose ne va pas. Elle se sent comme une souris dans un laboratoire et elle doit absolument s’en aller avant que la situation ne dérape d’avantage.
Elle réprime un violent frisson alors qu’elle sent un main se poser dans son dos. Elle n’a pas besoin de tourner le visage pour voir de qui il s’agit. En réalité, elle en est incapable. Elle est tétanisée par l’angoisse et ses jambes fonctionnent toute seule. Il la suit, non, plutôt l’accompagne jusqu’aux toilettes. Elle essaye de se calmer en se disant qu’elle pourra rapidement transplaner mais l’auror n’est pas stupide.
A peine sont-ils rentrés dans ses toilettes que la Muller essaye de transplaner. Mais le Grymm vient de lui attraper le bras et le serre assez fort pour qu’elle ne puisse pas se volatiliser. Elle pourrait forcer, mais elle risquerait de les désartibuler. Enfin… surtout elle. Ce qu’il pouvait arriver au Majewski lui était bien égal tant qu’elle pouvait se sortir de ce mauvais pas.
Elle force sur son bras, essaye de se faire de cette étreinte alors qu’il lance plusieurs sorts pour s’assurer qu’ils sont seuls. Elle préférerait presque qu’il y ait quelqu’un. Qu’elle puisse appeler au secours. Avoir une porte de sortie. Il ne lui suffisait qu’une seconde. Mais le Majewski est intelligent, il réagit vite et bien, la coinçant, ne pouvant que profiter de la situation qui pour une fois est à son avantage.
- Mon oncle. Pour s’assurer de ma sincérité.
Quand elle répond à ses questions, le serum fait effet et de nouveau sa voix est neutre. Posée. Pourtant ses yeux reflètent l’angoisse qui la ronge. Il ne faut pas qu’il l’interroge d’avantage. De nouveau, elle essaye de se débattre. Ca ne rime a rien, elle n’a pas le quart de sa force. La panique se lit dans ses yeux mais elle essaye de garder de la contenance.
- Lâchez moi. Vous n’avez aucun droit de me retenir, je pourrais porter plainte contre vous pour sequestration si vous persistez. Lâchez moi Majewski.
Elle marque une pose avant d’ajouter :
- C’est ce que vous désirez ? Une plainte pour harcèlement ? Ca ne fait pas très bel effet sur le dossier d’un futur auror !
Il fallait a tout prit qu’elle le détourne du veritaserum, et il fallait à tout prix qu’il la lâche.
Elle réprime un violent frisson alors qu’elle sent un main se poser dans son dos. Elle n’a pas besoin de tourner le visage pour voir de qui il s’agit. En réalité, elle en est incapable. Elle est tétanisée par l’angoisse et ses jambes fonctionnent toute seule. Il la suit, non, plutôt l’accompagne jusqu’aux toilettes. Elle essaye de se calmer en se disant qu’elle pourra rapidement transplaner mais l’auror n’est pas stupide.
A peine sont-ils rentrés dans ses toilettes que la Muller essaye de transplaner. Mais le Grymm vient de lui attraper le bras et le serre assez fort pour qu’elle ne puisse pas se volatiliser. Elle pourrait forcer, mais elle risquerait de les désartibuler. Enfin… surtout elle. Ce qu’il pouvait arriver au Majewski lui était bien égal tant qu’elle pouvait se sortir de ce mauvais pas.
Elle force sur son bras, essaye de se faire de cette étreinte alors qu’il lance plusieurs sorts pour s’assurer qu’ils sont seuls. Elle préférerait presque qu’il y ait quelqu’un. Qu’elle puisse appeler au secours. Avoir une porte de sortie. Il ne lui suffisait qu’une seconde. Mais le Majewski est intelligent, il réagit vite et bien, la coinçant, ne pouvant que profiter de la situation qui pour une fois est à son avantage.
- Mon oncle. Pour s’assurer de ma sincérité.
Quand elle répond à ses questions, le serum fait effet et de nouveau sa voix est neutre. Posée. Pourtant ses yeux reflètent l’angoisse qui la ronge. Il ne faut pas qu’il l’interroge d’avantage. De nouveau, elle essaye de se débattre. Ca ne rime a rien, elle n’a pas le quart de sa force. La panique se lit dans ses yeux mais elle essaye de garder de la contenance.
- Lâchez moi. Vous n’avez aucun droit de me retenir, je pourrais porter plainte contre vous pour sequestration si vous persistez. Lâchez moi Majewski.
Elle marque une pose avant d’ajouter :
- C’est ce que vous désirez ? Une plainte pour harcèlement ? Ca ne fait pas très bel effet sur le dossier d’un futur auror !
Il fallait a tout prit qu’elle le détourne du veritaserum, et il fallait à tout prix qu’il la lâche.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Sam 3 Juil 2021 - 18:29
Elle rêve si elle croit pouvoir t'échapper. Non tu ne la laisseras pas s'en aller sans demander ton reste sans avoir les informations que tu voulais avoir, sans tirer en réalité, le maximum d'informations possibles. Ce n'est pas tous les jours qu'on croise une Calliope Muller sous veritaserum. A la différence de toi, elle ne doit avoir aucun moyen de se défendre vis à vis de cela. Mais ce n'est pas si simple de s'imposer dans l'esprit de quelqu'un de l'obliger à faire ce qu'on veut, ou dire la vérité. C'est un sortilège impardonnable que de vouloir maîtriser un esprit, et de n'est pas pour rien que l'utiliser vaut un aller simple pour la prison noire. Quant au veritaserum… son utilisation est contrôlée, et le faire ne doit pas être pris à la légère. A la différence de l'imperium celui qui boit du veritaserum se rend vite compte de son action sur ses paroles. C'est pour que ça que Calliope cherche à fuir, elle le sait, elle te l'a dit et surtout elle ne veut pas divulguer davantage d'informations compromettantes. Mais tu n'es pas de cet avis.
Aussi tu la maintiens, aucune douceur dans tes gestes. La pression exercée sur son bras ne faibli pas peu importe qu'elle cherche à se débattre ou non.
Elle ne tarde pas à te donner la première chose intéressante. Son oncle. Son oncle pour s'assurer qu'elle ne mente pas. Intéressant. Bien sûr tu sais qui il est. Tu sais qu'il peut notamment se servir du veritaserum comme bon lui semble étant donné son rang dans cette société pourrie jusqu'à la moelle. Tu te prépares déjà à lui demander à quel sujet mais elle ne t'en laisse pas le temps hélas.
Elle gesticule de plus belle, se secoue dans tous les sens. Elle ne tarde pas à hurler. Allons bon. Heureusement pour toi, tu as insonorisé la pièce et personne ne pourra vous entendre. Personne ne pourra même rentrer dans les toilettes car le sort que tu as mis en place repousse momentanément les moldus.
Tu ne peux t'empêcher d'avoir un rire mauvais alors qu'elle te menace. Porter plainte. Elle n'a pas trouvé mieux que ça ? Tu trouves que c'est pathétique. Elle a de la ressource mais ce n'est pas ce qui va t'effrayer. Comment tu pourrais avoir peur de cette menace de plainte ?
"Vraiment? Vous me décevez Miss Muller. "
Tu vois dans ces yeux la panique, le tiens offre un reflet noir.
"Vous n'êtes pas en position de formuler la moindre menace, vous essayez simplement de gagner du temps."
Ta voix est froide, incisive. Tu t'es fait du souci pour elle, et maintenant tu le regrettes, tu as eu un instant de faiblesse.
"Pourquoi avoir si peur de moi Miss Muller ? "
Tu marques une pause.
"Pourquoi me fuir de la sorte ? Me détestez vous ? "
Elle n'a pas le choix que de te répondre,tu le sais, elle le sait.
Aussi tu la maintiens, aucune douceur dans tes gestes. La pression exercée sur son bras ne faibli pas peu importe qu'elle cherche à se débattre ou non.
Elle ne tarde pas à te donner la première chose intéressante. Son oncle. Son oncle pour s'assurer qu'elle ne mente pas. Intéressant. Bien sûr tu sais qui il est. Tu sais qu'il peut notamment se servir du veritaserum comme bon lui semble étant donné son rang dans cette société pourrie jusqu'à la moelle. Tu te prépares déjà à lui demander à quel sujet mais elle ne t'en laisse pas le temps hélas.
Elle gesticule de plus belle, se secoue dans tous les sens. Elle ne tarde pas à hurler. Allons bon. Heureusement pour toi, tu as insonorisé la pièce et personne ne pourra vous entendre. Personne ne pourra même rentrer dans les toilettes car le sort que tu as mis en place repousse momentanément les moldus.
Tu ne peux t'empêcher d'avoir un rire mauvais alors qu'elle te menace. Porter plainte. Elle n'a pas trouvé mieux que ça ? Tu trouves que c'est pathétique. Elle a de la ressource mais ce n'est pas ce qui va t'effrayer. Comment tu pourrais avoir peur de cette menace de plainte ?
"Vraiment? Vous me décevez Miss Muller. "
Tu vois dans ces yeux la panique, le tiens offre un reflet noir.
"Vous n'êtes pas en position de formuler la moindre menace, vous essayez simplement de gagner du temps."
Ta voix est froide, incisive. Tu t'es fait du souci pour elle, et maintenant tu le regrettes, tu as eu un instant de faiblesse.
"Pourquoi avoir si peur de moi Miss Muller ? "
Tu marques une pause.
"Pourquoi me fuir de la sorte ? Me détestez vous ? "
Elle n'a pas le choix que de te répondre,tu le sais, elle le sait.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 6 Juil 2021 - 15:00
La peur se lit dans ses yeux et pourtant la Muller essaye de la dissimuler, mettant en avant la colère et la haine qu’elle éprouve. Majewski est comme ces prédateurs que l’ont peut voir dans les cours de Soins Aux Créatures Magiques, ceux que la peur excite. Ceux que la peur enivre. Et elle ne peut pas de ça. Elle n’a besoin que d’une seconde d’inattention pour disparaitre loin de ce cauchemar. Il suffisait qu’il la lâche. Juste une seconde et elle s’évaporait.
Elle a peur, elle est nerveuse et elle sent une nausée pointer. Il est trop risquée pour elle de rester ici. Elle pourrait dévoiler des choses bien trop compromettantes : l’implication lointaine de son oncle dans cette affaire de drogue létale, la réunion de pure qui vient de se dérouler, des secrets professionnels parmi les plus sensibles… Elle a été stupide de venir jusqu’ici. Elle aurait du rentrer chez elle et ne plus en sortir avant que le serum ne se dissipe. Elle avait été négligente et elle payait pour ça.
Elle fait son possible mais c’est bien peine perdue. Le russe est trop intelligent, trop content de la voir dans cet état de faiblesse. Il ne lache pas sa proie et il a bien raison de ne pas le faire. Dans une situation similaire, Calliope n’aurait absolument pas laissé d’échappatoire à la personne face à elle. Et au plus le temps passé, au plus la panique montait, l’engloutissait, menaçait même de la terrasser alors qu’elle faisait en sorte de ne pas le laisser paraitre.
- Parce que vous êtes assez vil pour profiter de cette situation.
Pour une fois, une fois seulement, la réponse qui sort des lèvres de la brune est imposée mais elle convient et reflète parfaitement ce que pense Calliope. Voila pourquoi elle ne craint. Parce qu’il est ce genre de type opportuniste près à tout pour développer sa carrière et si cette situation n’est pas une opportunité pour lui, qu’est ce ? Elle n’a aucune, mais alors aucune confiance en lui. Elle s’en méfie comme de la peste. Elle n’est rien pour lui et il pourrait l’écraser si vite s’il posait les bonnes questions.
- Je ne vous déteste pas.
Alors là, l’assistante juridique ne peut plus cacher son incompréhension. Bien sur qu’elle le déteste ! Elle le hait ! elle ne le supporte pas ! Et ça depuis le premier jour où il s’était pointé avec cet air arrogant et ces exigences à n’en plus finir. Elle ne comprend pas pourquoi le veritaserum lui a fait dire le contraire. Elle ne comprend vraiment pas POURQUOI elle ne déteste pas le soviétique ?
- Cette potion fait vraiment dire n'importe quoi !!!
Elle s'énerve. Elle panique. La pression devient trop grande et Calliope Muller ne sait plus y faire face. Elle cherche une ultime parade mais il semblerait qu'elle soit dos au mur.
Elle a peur, elle est nerveuse et elle sent une nausée pointer. Il est trop risquée pour elle de rester ici. Elle pourrait dévoiler des choses bien trop compromettantes : l’implication lointaine de son oncle dans cette affaire de drogue létale, la réunion de pure qui vient de se dérouler, des secrets professionnels parmi les plus sensibles… Elle a été stupide de venir jusqu’ici. Elle aurait du rentrer chez elle et ne plus en sortir avant que le serum ne se dissipe. Elle avait été négligente et elle payait pour ça.
Elle fait son possible mais c’est bien peine perdue. Le russe est trop intelligent, trop content de la voir dans cet état de faiblesse. Il ne lache pas sa proie et il a bien raison de ne pas le faire. Dans une situation similaire, Calliope n’aurait absolument pas laissé d’échappatoire à la personne face à elle. Et au plus le temps passé, au plus la panique montait, l’engloutissait, menaçait même de la terrasser alors qu’elle faisait en sorte de ne pas le laisser paraitre.
- Parce que vous êtes assez vil pour profiter de cette situation.
Pour une fois, une fois seulement, la réponse qui sort des lèvres de la brune est imposée mais elle convient et reflète parfaitement ce que pense Calliope. Voila pourquoi elle ne craint. Parce qu’il est ce genre de type opportuniste près à tout pour développer sa carrière et si cette situation n’est pas une opportunité pour lui, qu’est ce ? Elle n’a aucune, mais alors aucune confiance en lui. Elle s’en méfie comme de la peste. Elle n’est rien pour lui et il pourrait l’écraser si vite s’il posait les bonnes questions.
- Je ne vous déteste pas.
Alors là, l’assistante juridique ne peut plus cacher son incompréhension. Bien sur qu’elle le déteste ! Elle le hait ! elle ne le supporte pas ! Et ça depuis le premier jour où il s’était pointé avec cet air arrogant et ces exigences à n’en plus finir. Elle ne comprend pas pourquoi le veritaserum lui a fait dire le contraire. Elle ne comprend vraiment pas POURQUOI elle ne déteste pas le soviétique ?
- Cette potion fait vraiment dire n'importe quoi !!!
Elle s'énerve. Elle panique. La pression devient trop grande et Calliope Muller ne sait plus y faire face. Elle cherche une ultime parade mais il semblerait qu'elle soit dos au mur.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Jeu 8 Juil 2021 - 10:59
Enfermés dans ces toilettes, vous êtes seuls au monde. Calliope en a conscience et elle sait que certaines choses peuvent lui arriver dans cette situation. Elle n’a aucun contrôle sur ce qui est en train de se passer. Elle panique, elle est en train de tomber au fond du trou, et elle ne peut pas se retenir au bord. Tu ne lui en laisseras pas même l’espoir. Elle est fait comme un rat et pourtant, ça ne te procure pas la joie que ça pourrait te procurer en temps normal. Peut être parce que tu te sens trop idiot d’être tombé dans le panneau, de t’être inquiété.
Calliope ne se fait d’idée sur toi et ce que tu pourrais faire d’une telle situation.
“Vous seriez déçue si j’abandonnais trop vite. Vous feriez exactement la même chose à ma place, ne jouez pas les innocentes.”
Calliope Muller a de toute façon l’air de beaucoup de choses, mais innocente n’a jamais été un de ces qualificatifs. Oui elle te craint, elle a raison de ressentir cela à ton égard. Et toi tu ressens la même chose à son égard. Elle possède des informations que tu lui as donné, et maintenant elle refuse de t’aider. Elle en sait déjà beaucoup, et donc tu ne peux pas la laisser partir aussi facilement… Cependant, malgré cette crainte qu’elle éprouve… Elle ne te déteste pas. En voilà une donnée intéressante. Ça aurait pu s’arrêter là. Elle finit pourtant par se trahir seule. L’incompréhension se lit sur son visage. Pourquoi ne te déteste-elle pas ? Sans doute que la question résonne autant dans son esprit que dans le sien.
Vous n’avez partagé qu’un instant volé au fil du temps tous les deux. Cependant ça va au-delà de ça, bien que ni l’un ni l’autre n’avez suffisamment de recul sur cette situation pour avoir les idées parfaitement claires. Quoi que peut montrer Calliope en temps normal, dans ses yeux ne résident plus qu’une peur froide derrière la colère de surface.
“N’importe quoi oui…”
Tu as un rictus. Ou la vérité. Tu ne le dis pas cependant, pas la peine de s’efforcer à prononcer davantage de mots, la situation est limpide. Elle ne peut pas s’enfuir, elle est coincée avec toi tant que tu décides que c’est le cas, tu ne vas pas la lâcher, du moins pas tant qu’elle est sous l’effet du veritaserum. Tu la tiens toujours. Tu pourrais lui envoyer un incarcerem, mais elle est à ta merci, tu es trop vigilant, et fait ainsi donc preuve d’indulgence.
“Alors qu’éprouvez vous pour moi Miss Muller ?”
Aurais tu dévié de ton sujet principal ? Peut être, mais tu prends un malin plaisir à la torturer puisque tu as compris que ça serait la voie la plus efficace. Et puisqu’elle ne semble pas le savoir, ça sera informatif pour tous les deux non ?
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Jeu 8 Juil 2021 - 21:09
En temps normal, elle répondu de façon sèche et en mentant éhontément. Evidemment, qu’elle aurait réagit comme lui si les rôles avaient été inversés. Sauf qu’elle aurait sûrement était bien plus incisive dans ses questionnements, elle aurait visé plus juste, elle aurait été plus pointilleuse qu’il ne le sera jamais. Elle ne se serait pas perdues en questions stupides concernant la façon dont il pouvait la percevoir, parce qu’elle s’en fichait pas mal.
Mais puis qu’il n’en est pas ainsi, elle ne perd pas son énergie en répliques clinquantes. Elle garde en tête son seul et unique objectif : faire en sorte qu’il la lâche afin qu’elle puisse profiter de cette seconde d’inattention pour transplaner en lieu sur. Et se concentrer sur cet objectif, c’est la seule raison qui fait qu’elle ne cède pas encore totalement à la panique.
La question qu’il pose n’est pas si dramatique. Elle n’entrainerait pas violation d’un quelconque secret. Enfin c’est ce qu’elle pense avant d’entendre la réponse. C’est sa voix sans l’être qu’elle entend répondre par la négative alors que la question était de savoir si elle le détestait. Elle s’attendait à un oui mais le sérum vient de répondre non. Elle ne peut cacher sa surprise, son incompréhension face à cette réponse qui n’est pas la sienne. Elle se demande même si elle n’a pas réussit à déjoué le veritaserum en mentant… Mais non. Et le rictus qui apparait sur le visage du soviétique donne envie à la Muller de brûler tout le bâtiment.
Bien sur qu’elle le déteste. Elle ne le supporte pas. Elle ne peut pas le voir, pas même en peinture. Il se pourrait même qu’il soit à l’origine des plaques d’eczèma qu’elle a développé sur le ventre. Il a l’air si satisfait et ça Calliope le ne supporte pas. Elle le frappe le plus violemment qu’elle peut sur le torse au moment où il lui demande ce qu’elle ressent pour lui. La réponse, aussi aberrante qu’elle puisse être, ne tarde pas.
- De la méfiance, de l’agaçement et du désir.
Le rouge qui monte aux joues de la brune est à mettre sur le compte de la colère, pas sur celui de la gêne. Elle ne peut que reconnaitre que ce n’est pas faux. Mais le dire à voix haute c’est… humiliant. Et son regard se remplit de mépris alors que l’auror stagiaire jubile.
Bien que complètement retournée par les révélations sorties de ses propres lèvres, le cerveau de la brune ne cède pas -totalement- à la panique. Il est si fier de cette réponse. Et si concentré sur ces révélations qu’il en a oublié qu’il pourrait l’interroger sur des choses bien plus intéressantes. Si elle ne peut pas faire en sorte qu’il la lâche, au moins peut elle essayer de gagner du temps. Elle ignorait combien de temps le veritaserum ferait encore effet mais chaque seconde de gagnée était une seconde de danger en moins…
- Vous semblez en être ravi. J’ai l’impression que vous n’avez entendu que ce que vous vouliez entendre n’est ce pas…
Elle s’approche d’un pas.
- Maintenant que vous savez ce qu’il en est, peut être pourriez vous répondre à la même question.
Un deuxième pas, elle est tout proche. Elle attrape le bas de la cravate du soviétique et baisse les yeux pour observer quelques secondes ses doigts la triturer. Elle relève les yeux et ajoute.
- Je vous désire. Il n’y a plus de secret entre nous. Dois-je vous mettre sous veritaserum pour que vous reconnaissiez qu’il en est de même pour vous ?
Mais puis qu’il n’en est pas ainsi, elle ne perd pas son énergie en répliques clinquantes. Elle garde en tête son seul et unique objectif : faire en sorte qu’il la lâche afin qu’elle puisse profiter de cette seconde d’inattention pour transplaner en lieu sur. Et se concentrer sur cet objectif, c’est la seule raison qui fait qu’elle ne cède pas encore totalement à la panique.
La question qu’il pose n’est pas si dramatique. Elle n’entrainerait pas violation d’un quelconque secret. Enfin c’est ce qu’elle pense avant d’entendre la réponse. C’est sa voix sans l’être qu’elle entend répondre par la négative alors que la question était de savoir si elle le détestait. Elle s’attendait à un oui mais le sérum vient de répondre non. Elle ne peut cacher sa surprise, son incompréhension face à cette réponse qui n’est pas la sienne. Elle se demande même si elle n’a pas réussit à déjoué le veritaserum en mentant… Mais non. Et le rictus qui apparait sur le visage du soviétique donne envie à la Muller de brûler tout le bâtiment.
Bien sur qu’elle le déteste. Elle ne le supporte pas. Elle ne peut pas le voir, pas même en peinture. Il se pourrait même qu’il soit à l’origine des plaques d’eczèma qu’elle a développé sur le ventre. Il a l’air si satisfait et ça Calliope le ne supporte pas. Elle le frappe le plus violemment qu’elle peut sur le torse au moment où il lui demande ce qu’elle ressent pour lui. La réponse, aussi aberrante qu’elle puisse être, ne tarde pas.
- De la méfiance, de l’agaçement et du désir.
Le rouge qui monte aux joues de la brune est à mettre sur le compte de la colère, pas sur celui de la gêne. Elle ne peut que reconnaitre que ce n’est pas faux. Mais le dire à voix haute c’est… humiliant. Et son regard se remplit de mépris alors que l’auror stagiaire jubile.
Bien que complètement retournée par les révélations sorties de ses propres lèvres, le cerveau de la brune ne cède pas -totalement- à la panique. Il est si fier de cette réponse. Et si concentré sur ces révélations qu’il en a oublié qu’il pourrait l’interroger sur des choses bien plus intéressantes. Si elle ne peut pas faire en sorte qu’il la lâche, au moins peut elle essayer de gagner du temps. Elle ignorait combien de temps le veritaserum ferait encore effet mais chaque seconde de gagnée était une seconde de danger en moins…
- Vous semblez en être ravi. J’ai l’impression que vous n’avez entendu que ce que vous vouliez entendre n’est ce pas…
Elle s’approche d’un pas.
- Maintenant que vous savez ce qu’il en est, peut être pourriez vous répondre à la même question.
Un deuxième pas, elle est tout proche. Elle attrape le bas de la cravate du soviétique et baisse les yeux pour observer quelques secondes ses doigts la triturer. Elle relève les yeux et ajoute.
- Je vous désire. Il n’y a plus de secret entre nous. Dois-je vous mettre sous veritaserum pour que vous reconnaissiez qu’il en est de même pour vous ?
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Ven 9 Juil 2021 - 9:43
Non elle ne te déteste pas contrairement à ce qu’on aurait pu attendre. Elle ne te déteste pas, pas plus qu’elle ne te méprise. En réalité elle te donne de l’importance puisqu’elle se méfie de toi, et qu’elle te désire. On pourrait croire que ces différents éléments font mauvais ménage, et pourtant… Pourtant il n’y a qu’un pas entre les deux, un petit pas. Le désir n’est pas mort quand vous l’avez consumé. Tu le sais, tu le ressens toi aussi. Cette attirance ne s’est pas tarie même si elle est bâillonnée depuis cette fameuse nuit. C’est terrible comme de l’avouer à haute voix est un aveux de faiblesse terrible, tu sais qu’elle le ressent ainsi, parce que tu le ressentirais de cette façon là toi aussi. Tu l’as forcée à avouer la vérité tu le sais, et pour ça elle t’en veux. Elle est en colère, elle est toujours désarmée face à toi à cause du veritaserum. Elle ne peut rien y faire, et tant que tu la tiens fermement, elle ne pourra aller nulle part, nulle part sans toi.
As tu réellement entendu ce que tu voulais entendre ? Peut être. Du moins au regard des pensées de Calliope, mais tu n’as pas encore toutes les informations qui t'intéressent et avec lesquelles tu pourras t’avouer réellement satisfait. Elle se rapproche de toi. Son comportement a changé, elle ne cherche plus à se débattre, à s’arracher à ton étreinte. Elle ne peut pas te mentir non plus, mais elle peut ruser. Elle s’est laissée surprendre par l’ampleur de ses sentiments, elle peut à présent les retourner contre toi. Tu sais qu’elle était sincère. De là à ce que tu lui rendes la pareille… Elle s’approche encore, tu le regardes sans te soustraire. La première elle quitte ton regard. C’est terrible parce que tu as beau être en position de force sur elle, tu sens le pouvoir qu’elle a sur toi.
Des menaces donc. A croire que vous ne savez communiquer tous les deux que sous pression. Cependant, tu n’es pas sous veritaserum. Donc tu n’as aucune obligation de répondre à cette question. Tu ne le feras pas, tu t’y refuses, tu ne te mettras pas de toi même en position faible pour lui faire plaisir, surtout qu’elle sait pertinemment qu’elle a visé juste. Tu la tiens toujours par le bras mais tu n’esquisses pour le moment aucun autre geste dans ta direction... Finalement de ta main libre tu viens soutenir son menton pour fixer ses yeux au tiens.
“Puisque vous me désirez Miss Muller, vous ne verrez aucun inconvénient à me laisser vous toucher ?”
Tu as même envie de l’embrasser, c’est une douce torture alors qu’elle si proche de toi maintenant. Tu perds un temps précieux, d’autant à vouloir la faire jouir pourtant c’est plus fort que toi. Tu ne peux pas rester de marbre alors qu’entre tes bras elle cherche à se glisser. Même si tu sais qu’elle fait les choses sciemment. A son corps, son regard de braise tu as souvent songé sans pouvoir t’en rassasier, sans savoir quand et si tu pourrais le faire à nouveau. Tu n’attendais pas une occasion comme aujourd’hui, elle passe à ta portée, et tu te rends compte que tu te sens incapable de résister à cet appel suave.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1644
Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Sam 10 Juil 2021 - 19:25
Une part d’elle est rassurée, il faut le reconnaitre. Cette « discussion » prend un chemin indésirable mais encore acceptable. Elle n’est pas ravie d’avoir reconnu, ou plutôt apprit, qu’elle désirait le Majewski mais ça aurait pu être pire. Il aurait pu l’interroger sur milles sujets plus intéressants mais il faut croire que ce qu’elle pensait de sa petite personne l’intéressait bien plus. Comme quoi, le nombrilisme du russe avait ses bons côtés.
Alors qu’elle se rend compte de cela, elle ne peut que s’adapter. Calliope Muller a toujours vécu de cette manière, il faut l’avouer. Prendre le meilleur parti d’une situation, la retourner pour qu’elle soit à son avantage. Tout comme le mensonge allait de paire avec son mode de vie, l’adaptation était une force de la jeune femme.
Oui, elle le désire. Elle ne peut que le reconnaitre, quand un coule un regard sur sa plastique parfaite. Et ce même air arrogant qu’elle ne supporte pas, il fait parti des choses qui le rendent extrêmement sexy. Elle n’avait plus qu’une chose à faire, assumer se désir et s’en servir aux meilleures fins.
Elle change son comportement mais pas trop soudainement. Il ne faudrait pas que le soviétique se méfie et de rende compte qu’elle n’a qu’un but : celui de le manipuler. Gagner du temps. Il n’y a que cela qui compte. Elle s’approche de lui lentement, avouant son désir, cherchant à le déstabiliser en lui demandant d’avouer le sien. Pourtant elle n’en a pas besoin. Il suffit de voir comment il l’a regarde. Volontairement, elle fuit son regard pour créer un manque. Elle touche à sa cravate pour qu’il transfère cette idée à son corps.
On vous a déjà dit que les hommes réfléchissaient d’avantage avec leurs parties génitales qu’avec leur cerveau ? Dimitri Majewski ne faisait visiblement pas exception à la règle. Il se saisit de son menton pour relever son visage et retrouver son regard. Elle ne cille pas, attend sa réponse. Evidemment, il croit malin de lui demander si il peut la toucher. C’est bien la première fois qu’il lui demande explicitement son consentement. D’habitude, le Grymm se sert sans demander.
- Non, aucun.
Elle ne peut pas mentir. Encore. Elle veut qu’il la touche. Encore. Sa voix est neutre parce qu’elle répond sous l’influence du sérum de vérité. Mais le regard de la brune ne manque pas d’éloquence. Non seulement cette idée lui permet de garder le cap qu’elle s’est fixé mais en plus elle est délicieusement tendue par la tension sexuelle qui vient planer dans ces toilettes de restaurant.
Sa main remonte le long de cette cravate qu’elle avait entre les doigts. Arrivée au noeud desserré , elle prend le temps de remettre correctement le col de sa chemise. Ses doigts effleurent la peau du jeune homme. C’est elle qui le touche, de la seule main qu’elle a le libre. Espérant qu’il finisse par oublier pourquoi il la tenait ainsi férocement. Elle passe sa main sous la cravate et de deux doigts la crochete au niveau du noeud pour l’attirer à elle. Elle se cambre légèrement pour éloigner sa bouche au moment où leurs lèvres auraient du se toucher :
- La fois dernière, nous avions commencé par un baiser.
Alors qu’elle se rend compte de cela, elle ne peut que s’adapter. Calliope Muller a toujours vécu de cette manière, il faut l’avouer. Prendre le meilleur parti d’une situation, la retourner pour qu’elle soit à son avantage. Tout comme le mensonge allait de paire avec son mode de vie, l’adaptation était une force de la jeune femme.
Oui, elle le désire. Elle ne peut que le reconnaitre, quand un coule un regard sur sa plastique parfaite. Et ce même air arrogant qu’elle ne supporte pas, il fait parti des choses qui le rendent extrêmement sexy. Elle n’avait plus qu’une chose à faire, assumer se désir et s’en servir aux meilleures fins.
Elle change son comportement mais pas trop soudainement. Il ne faudrait pas que le soviétique se méfie et de rende compte qu’elle n’a qu’un but : celui de le manipuler. Gagner du temps. Il n’y a que cela qui compte. Elle s’approche de lui lentement, avouant son désir, cherchant à le déstabiliser en lui demandant d’avouer le sien. Pourtant elle n’en a pas besoin. Il suffit de voir comment il l’a regarde. Volontairement, elle fuit son regard pour créer un manque. Elle touche à sa cravate pour qu’il transfère cette idée à son corps.
On vous a déjà dit que les hommes réfléchissaient d’avantage avec leurs parties génitales qu’avec leur cerveau ? Dimitri Majewski ne faisait visiblement pas exception à la règle. Il se saisit de son menton pour relever son visage et retrouver son regard. Elle ne cille pas, attend sa réponse. Evidemment, il croit malin de lui demander si il peut la toucher. C’est bien la première fois qu’il lui demande explicitement son consentement. D’habitude, le Grymm se sert sans demander.
- Non, aucun.
Elle ne peut pas mentir. Encore. Elle veut qu’il la touche. Encore. Sa voix est neutre parce qu’elle répond sous l’influence du sérum de vérité. Mais le regard de la brune ne manque pas d’éloquence. Non seulement cette idée lui permet de garder le cap qu’elle s’est fixé mais en plus elle est délicieusement tendue par la tension sexuelle qui vient planer dans ces toilettes de restaurant.
Sa main remonte le long de cette cravate qu’elle avait entre les doigts. Arrivée au noeud desserré , elle prend le temps de remettre correctement le col de sa chemise. Ses doigts effleurent la peau du jeune homme. C’est elle qui le touche, de la seule main qu’elle a le libre. Espérant qu’il finisse par oublier pourquoi il la tenait ainsi férocement. Elle passe sa main sous la cravate et de deux doigts la crochete au niveau du noeud pour l’attirer à elle. Elle se cambre légèrement pour éloigner sa bouche au moment où leurs lèvres auraient du se toucher :
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 12 Juil 2021 - 12:44
Elle est obligée de dire la vérité. Aussi c’est bel et bien un non qui fuse. Non, elle ne voit aucun problème au fait que tu la touches. Oui, elle désire que tu le fasses. Les réponses auraient elles été les mêmes à ce sujet si elle n’avait pas ingéré du veritaserum ? Peut être. Si vous en étiez arrivés à une situation similaires, peut être qu’elle aurait effectivement dit oui. Elle t’a déjà cédé une fois alors qu’il n’y avait aucune potion pour l’influencer. La tension qui est entrain de naître entre vous est de la même veine que celle qui vous a jadis animés. Tu la désires, il y a un feu qui se réveille en toi quand à ton esprit se rappelle son image, les braises au fond de son regard noir, la sensation de son corps contre le tiens, de vos intimités se rencontrant pour un échange brut et bref. Tu sais que tu as envie d’y retourner. Tu veux plus cette fois, pourtant, tu ne pourras sans doute pas avoir davantage étant donné cet endroit où vous vous trouvez.
Elle continue à se rapprocher dangereusement de toi. Ses doigts joues sur ta cravate, dans ton cou, ses doigts se perdent, effleurant la peau fine à cet endroit. Tu la laisses t’attirer à elle, un fin sourire se dessine sur tes lèvres. Te voilà plus prêt d’avoir ce que tu veux que tu ne l’aurais penser. L’embrasser, tu en as envie. Pourtant, tu ne vas pas le faire. Tu es encore maître de toi, si la lutte pour qui aura l’ascendant à commencer, ce n’est pas pour autant qu’elle a gagné, pas comme la dernière fois où tu t’es laissé happé par ses talents.
Comme tu as toujours une bonne prise sur son bras, c’est facile de la faire se retourner pour la placer devant toi, son dos reposant sur ton torse. A son oreille tu souffles doucement :
“La dernière fois nous étions pressés, ce soir j’ai tout mon temps.”
Une promesse ? Tant que le veritasérum fera effet, tu as l’avantage. Tu ne sais pas exactement la dose qu’elle a pu prendre, mais tu as l’espoir qu’un orgasme et quelques questions supplémentaires pourront lui être donné/posées.
Son bras tu le lâche, glissant sur sa taille ta main. Il ne te faut que quelques secondes pour défaire le noeud à la taille de sa ceinture retenant les pans de sa robe. Avec méthode tu défais les tâches restantes, et finalement le corps encore voilé de dentelle de la jeune femme apparaît. C’est dans le miroir en face que tu peux prendre le temps de la contemplation. Dans la surface réfléchissante tu peux fixer son regard noir.
Tu as annoncé que tu as tout ton temps mais ce n’est pas la vérité. Tu ne pourras pas entreprendre toutes les idées qui te traversent l’esprit, il faudra choisir. Cependant les vues offertes de ta position mais aussi du retour dans le miroir sont envoûtantes. Elle a un corps tout à fait remarquable, désirable, elle te donne envie.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 12 Juil 2021 - 22:32
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Jeu 15 Juil 2021 - 1:34
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Jeu 15 Juil 2021 - 20:12
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Jeu 15 Juil 2021 - 22:22
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Ven 16 Juil 2021 - 16:51
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Ven 16 Juil 2021 - 20:23
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Sam 17 Juil 2021 - 16:46
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Dim 18 Juil 2021 - 12:59
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