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- Calliope Mullersensitive bitch
- » parchemins postés : 775
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» nature du sang : sang-pur
» particularité : occlumens
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» gallions sous la cape : 1403
Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Dim 18 Juil 2021 - 22:23
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 19 Juil 2021 - 16:14
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 19 Juil 2021 - 22:15
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 19 Juil 2021 - 23:21
Dans la vie, il y a des moments charnières. Rien n'aurait pu réellement prédire qu'un moment de ce genre à moins d'avoir le troisième oeil, mais que tu saches, ce n'est pas votre cas. Le fait que tu rencontres précisément Calliope alors qu'elle a pris du veritaserum est plus qu'une aubaine. Cependant jusqu'ici, on ne peut pas dire que tu ais appris grand chose, à part qu'elle te désire et ne te détestes pas. Si tu étais au courant pour la première, le deuxième concept semblait être aussi nouveau pour toi que pour elle. Elle s'est surprise seule.
Dans tes bras, il est clair qu'elle ne te déteste pas. Elle ne cherche pas à se tirer comme elle a pu le faire du bureau de Lian. Elle ne se soustrait pas à ton étreinte mais au contraire elle en redemande cherchant le contact peau contre peau. C'est terrible comme sensation, ça n'arrange pas ce que tu ressens, alimentant au contraire ton obsession pour cette femme et vos échanges violents que ça soit verbal ou physique. C'est une lutte davantage qu'un partage. Chacun prend les rênes à son tour, ne laissant pas de répit à l'autre, ne faisant pas de quartier. Vous n'êtes pas partenaires mais ennemis qui ont un but commun contrôler l'autre… Et c'est divin. Le jeu en vaut la chandelle, son corps tu le réclames, tu en redemandes. Elle est la seule à qui tu as cédé une prise de pouvoir depuis longtemps, sans doute jamais.
Tu commences à te tendre à nouveau. Tu as envie d'elle, tu l'as rassasiée mais toi tu n'as pas été jusqu'au bout de ton désir. Tu voudrais plus, tellement plus. Elle porte encore sa robe, un sous vêtement, et toi tu es complètement vêtu.
La situation aurait pu dégénérer à nouveau si tu n'avais pas ouvert la bouche. Tu aurais dû te taire, oui, tu n'aurais dû rien dire. Si ça avait été le cas, cet instant aurait duré plus longtemps. Mais la réponse de Calliope change tout. Absolument tout.
"Je ne suis pas vraiment une Muller. "
L' information met un certain moment à monter à ton cerveau et d'autant plus pour qu'il l'assimile. Calliope réagit au moment où l'étincelle de génie se fait finalement. Tu as compris. Elle n'est pas une Muller. Elle n'est pas qui elle prétend être. Elle est peut être la plus grande usurpatrice que tu ais connue.
Tu l'as tient contre toi mais elle ne tarde pas à vouloir te rejeter, tu ne lui en laisses pas l'occasion. C'est fermement que tu reprends là où vous en étiez sauf que sz robe est ouverte dévoilant son corps et ta chemise ouverte sur ton torse.
"Jamais. "
Ta voix est ferme. Dans ta tête, ainsi que dans ton corps, c'est la tempête. Chacun réclame des choses différentes. Tu ne veux qu'une chose, la récupérer dans tes bras, l'embrasser, la prendre sur ce lavabo, encore et encore…
" Qui es tu si tu n'es pas une Muler ? Qui sont tes parents ? "
L'auror en toi semble soudainement prendre le dessus sur le reste. Tes mains tiennent fermement ses poignets, il se pourrait que tu lui fasses mal. Tu es dans un état second.
"Qui est au courant de ça ? "
Il semblerait que tu ais perdu l'esprit un instant. Ton obsession pour Calliope Muller n'est peut être pas simplement destinée à son corps mais à tout ce qui la touche de près ou de loin…
"Répond. "
Il y a une violence passive agressive dans ta voix. Tu veux savoir, tu as besoin de savoir.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Lun 19 Juil 2021 - 23:49
Elle n’était pas vraiment une Muller. Si son acte de naissance lui attribuait le nom de Kenneth, ce père qui l’avait élevée bien malgré lui… aucun de ses gènes, aucune de ses traits n’avaient été hérité du britannique. Elle n’avait de Muller que le nom. Que l’apparence. Que la prétention. Plutôt… elle avait tout d’une Muller sans en avoir la génétique. Puisque Kenneth Muller n’était pas son père. Techniquement, elle n’était pas donc pas vraiment une Muller… mais si elle l’avait été, elle aurait sûrement été la plus sage d’entre eux.
Cette révélation, Calliope ne l’a jamais faite à voix haute. Elle se l’est souvent répétée dans sa tête, comme pour s’obliger à accepter l’idée. Mais jamais les mots tels quels n’étaient sortis de sa bouche. Jamais. Et alors qu’elle s’était rendu compte de ce que le sérum venait de lui faire dire, la brune se met aussitôt à paniquer.
Ce secret, elle l’a caché toute sa vie durant. Ou plutôt, la moitié de sa vie. A partir du moment où elle en a eut connaissance jusqu’à cet instant où elle voudrait être attrapée par les enfers pour échapper au Majewski. Parce qu’il a très bien entendu. Très bien entendu et aussitôt réagit. Elle a voulu transplaner mais il a rattrapé ses poignet et elle n’en est plus capable. Elle tremble de peur. Son visage se décompose tandis qu’elle lui hurle de la lâcher.
« Jamais ». Voilà pourquoi elle le craint. Voilà pourquoi elle est méfiante. Voilà pourquoi elle n’a pas confiance. Parce que Dimitri Majewski est incapable de laisser couler ce genre d’opportunité. Elle essaye de se débattre mais il serre ses poignets. Ses os pourraient grincer tant ils sont sous pression mais Calliope ne ressent pas la douleur.
Tout ce qu’elle ressent, à cet instant, c’est la panique. L’angoisse qui influe en elle et la submerge en quelques secondes. La terreur de ce secret révélé et des conséquences que cela aura sur sa vie. Tout ceci là dépasse. Tant et si bien que la Muller commence une crise d’angoisse qui décompose son visage et fait soulever sa poitrine sans pourtant qu’elle soit capable d’avaler la moindre quantité d’air.
De ses question, de son regard inquisiteur, il l’a harcele. Et c’est une lutte entre le veritaserum et la crise d’angoisse qui se déroule dans son corps et se lit sur ses traits. Elle commence à pleurer sans le moindre sanglot alors que le mot « Répond » claque comme un fouet. Les larmes coulent d’elle même sur les joues cramoisies devenues blêmes en une fraction de seconde. Le pire était arrivé. Elle n’arrivait plus à respirer et chaque mot qu’elle prononçait était une lutte :
- Ma mère est Atalante Delenikas. Je ne sais pas qui est mon père.
Elle n’avait jamais voulu savoir. Elle n’était pas sure que son père, que Kenneth, le sache lui même. Et Atalante emporterait sûrement son secret dans la tombe quand il serait tant.
- Ma mère le sait. Kenneth Muller également. Il n’y a qu’eux …
Et lui, désormais. A sa connaissance. C’était trop. Trop pour elle. Trop pour son esprit fragilisé depuis des années par cette épée de Damoclès qui trainait au dessus de sa tête. Elle est pétrifiée, incapable de bouger. Ses yeux écarquillés fuient le regard de Dimitri. Sa poitrine se soulève mais sans jamais lui procurer le plaisir, le besoin d’oxygénation. Elle se sent mourir.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 20 Juil 2021 - 0:23
Tu veux savoir. Tu as besoin de savoir qui, pourquoi ? Oui, c'est une nécessité que d'avoir les informations nécessaires pour te satisfaire. Est ce que tu seras satisfait quand tu auras les réponses ? Peut être que oui. Mais tu sais que non. Tu ne pourras pas accepter si peu que des mots. Tu as besoin de plus, de choses que tu n'as pas pu recevoir car tu t'es autorisé un écart de comportement. C'est exactement pour ce genre de situation que tu t'assures d'avoir plusieurs coups d'avance. Être pris au dépourvu est la pire des choses qui pourrait t'arriver. Mais malgré les calculs savants de ton cerveau, tu n'es pas capable d'aller si loin dans les prédictions. Non c'était au delà de tes espérances.
Tu as appris le plus grand secret de Calliope Muller, tu en es sûr et certain. Que pourrait il y avoir de plus gros ? De plus insoupçonné ?
Tu es aveugle à l'expression sur le visage de 'a jeune femme. Tu ne vois pas, ou refuse de voir, son teint blême, les larmes qui roulent sur ces joues. Tu ne penses qu'à une seule chose, incapable de voir plus loin que le vout de ton nez. Ton obsession est trop importante, elle te ravage l'esprit.
Le veritaserum fait son effet. A tes questions elle finit par répondre, contrainte et forcée de le faire. Tu apprends enfin des informations intéressantes. Sa mère a donc comi un adultère. C'est le genre de choses qui arrivent dans toutes les familles sans doute… elle ne sait que peu de chose. Elle ne sait pas qui est son père.
Ton cerveau calcule rapidement. Une question subsiste cependant. Qu'elle est la nature de son sang ? Tu sais que c'est la question. Il faut la poser, c'est important de savoir.
Mais des questions tu en as posé deux et la seconde réponse ne tarde pas à fuser. Tu as vu juste : c'est un secret. Ce qu'on appelle un secret de polichinelle.
Elle ne lutte plus mais tu ne le réalises pas, pas plus que le fait que tu lui fasses sans doute mal en la retenant si fort alors qu'elle n'est pas même capable de partir seule d'ici.
"Ton sang est il pur ? "
Pourquoi poser cette question ? Ca ne t'a jamais importé, tu ne fais pas la différence. Tu sais que la pureté du sang attire des tares génétiques. Ce n'est pourtant pas une question que l'on se pose entre sorciers civilisés, mais tu n'es plus un de ceux là.
"pourquoi est ce que tu mens ? "
La réponse peut être tout à fait simple comme compliquée. Tu veux pourtant la vérité. Et avec le veritaserum, elle te la doit.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 20 Juil 2021 - 18:21
Chaque mot qui sort de sa douche est une torture. Pas seulement parce qu’ils étalent un peu plus au grand jour le plus grand secret de son existance, mais aussi parce qu’ils l’empêchaient de respirer alors qu’elle avait déjà du mal à contenir le réflexe d’hyperventilation qui est le sien. Elle envie de mourir. Elle a l’impression de mourir. Sans oxygène, il est certain qu’elle ne tiendra plus très longtemps de toute façon… Ca ne sera que délivrance.
Alors que les larmes coules sur ses joues, que sa poitrine se soulève à un rythme irraisonnable, que ses yeux sombres sont écarquillés et affichent sans rien dissimuler l’angoisse qui la traverse, il continue. Il continue. Tout humain normalement constitué se serait rendu compte qu’elle était sur le point de s’éteindre. Qu’elle n’était plus capable de rien. Les questions continues, elles pleuvent. Et c’est une torture supplémentaire parce que la brune n’est plus capable de répondre. Elle n’a plus de mots. Plus de souffle. Plus rien ne sort ni ne rentre de sa gorge qui est colmatée par la terreur.
A cet instant, oui, elle le déteste. Elle le déteste de la regarder se liquéfier sans sourciller. Comme s’il prenait plaisir à la voir défaillir. Elle aurait pu faire un arrêt respiratoire qu’il aurait continué à lui poser des questions… espérant que le sérum continue d’agir. Et il continuait. Mais elle était incapable de répondre. Son corps ne pouvait pas. Et le sérum forçait sur son esprit puisqu’elle était incapable de parler…
Elle dit non de la tête pour contenter la magie qui était liée à la potion qu’elle avait ingurgité mais elle était incapable de répondre à la deuxième question. Incapable au point où ses jambes refusaient désormais de la porter. Malgré ses poignets qu’il tenait si fort que ses mains semblaient plus pâle que le reste de son corps, malgré cela, elle est obligée de se recroquevillée au sol. A moitié nue, son corps lutte pour survivre. Son esprit se demande si ça ne serait pas mieux d’abandonner.
A quoi bon une vie où elle ne serait plus Calliope Muller ? A quoi bon une vie où elle serait le fruit d’un adultère aux yeux de tous ? A quoi bon une vie banale de sang-mêlée ? A quoi bon ?
Alors que les larmes coules sur ses joues, que sa poitrine se soulève à un rythme irraisonnable, que ses yeux sombres sont écarquillés et affichent sans rien dissimuler l’angoisse qui la traverse, il continue. Il continue. Tout humain normalement constitué se serait rendu compte qu’elle était sur le point de s’éteindre. Qu’elle n’était plus capable de rien. Les questions continues, elles pleuvent. Et c’est une torture supplémentaire parce que la brune n’est plus capable de répondre. Elle n’a plus de mots. Plus de souffle. Plus rien ne sort ni ne rentre de sa gorge qui est colmatée par la terreur.
A cet instant, oui, elle le déteste. Elle le déteste de la regarder se liquéfier sans sourciller. Comme s’il prenait plaisir à la voir défaillir. Elle aurait pu faire un arrêt respiratoire qu’il aurait continué à lui poser des questions… espérant que le sérum continue d’agir. Et il continuait. Mais elle était incapable de répondre. Son corps ne pouvait pas. Et le sérum forçait sur son esprit puisqu’elle était incapable de parler…
Elle dit non de la tête pour contenter la magie qui était liée à la potion qu’elle avait ingurgité mais elle était incapable de répondre à la deuxième question. Incapable au point où ses jambes refusaient désormais de la porter. Malgré ses poignets qu’il tenait si fort que ses mains semblaient plus pâle que le reste de son corps, malgré cela, elle est obligée de se recroquevillée au sol. A moitié nue, son corps lutte pour survivre. Son esprit se demande si ça ne serait pas mieux d’abandonner.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 20 Juil 2021 - 19:53
Tu es allé trop loin. Beaucoup trop loin. Aveuglé par ton besoin de connaissance, par ton désir, ton obsession, tu n'es pas capable de voir que tu lui fais du mal. Toi non plus tu ne la déteste pas. Ce qui te fait perdre les pédales c'est que tu n'arrives pas à te sortir Calliope de l'esprit. Ton intention première n'a cependant jamais été de lui faire du mal que ça soit physiquement ou psychologiquement. Tu n'arrives pourtant pas à rester lucide face à cette situation. Tu ne vois que l'information primordiale qu'elle t'as apprise. Et elle confirme ce que tu soupçonnais. Elle est de sang mêlé. Calliope Mullet est une imposteuse. Une menteuse sur toute la ligne, y compris sur son nom. Tu sais pourquoi elle ment, tu lui as demandé mais la réponse est simple. Si la vérité est levée sur ses origines, elle perdra tout. Ses parents l'ont protégée en ne disant rien à personne, pas même à leur autres progénitures. C'est aussi pour ça qu'elle est différente, qu'elle n'agit pas comme si tout lui était dû même si elle a leur arrogance. Tu devines facilement qu'elle n'a pas été traitée comme les autres, qu'elle a été le vilain petit canard. Et que même si ses parents n'ont jamais fait la distinction, elle se sentait différente. Est ce que tu aurais pu prédire cela avant qu'elle ne te l'annonce ? Non, c'était impossible. Il n'y a avait aucune faille dans son comportement qui aurait pu la trahir. Rien qui n'aurait laissé deviner son affiliation non noble. C'est tout à son honneur.
Elle tombe au sol alors que ton cerveau tourne en boucle et imagine la suite. Le poids de son corps inerte tire sur tes bras et sans même y réfléchir tu la retiens pour l'empêcher de s'écrouler. Elle t'entraîne vers le bas, quand tu réalises tu la lâches. Tu la regardes sans comprendre. Tu as vu les larmes, son expression sur le visage, pourtant tu n'as pas lâcher, tu n'as pas abandonné l'idée de savoir la vérité. Pourtant Calliope semble brisée, perdue, absente. Son visage est trempé de larmes. Au sol, enfin libre, elle se replie sur elle-même mais n'essaie pas de fuir. Respire-t-elle seulement ?
Tu la regardes sans rien dire un long moment. C'est comme si tu avais eu un moment d'absence, tu n'es pas encore revenu mais l'instinct te pousse à la protéger. A la sauver. L'ironie du sort veut que c'est toi qui l'a mise dans cet état, mais que n'y a que toi pour la sauver de cet endroit, la ramener chez elle, la faire sortir de sa léthargie.
Tu t'accroupies, passes un bras sous elle et l'autre sous ses jambes pour la soulever et la prendre contre toi. Elle ne réagit pas, elle ne réagira plus.
Avant de transplaner tu lèves les sorts protégeant les toilettes pour permettre aux moldus de réinvestir les lieux.
Tu te retrouves rapidement devant chez elle, avec elle toujours dans les bras, le corps à peine couvert.
Devant la porte tu bloques il faut que tu trouves comment l'ouvrir. Tu soupirs, ce n'est pas le moment d'avoir un mystère à résoudre. Tu passes ta baguette devant la porte tant bien que mal, et la poignée s'illumine. Tu échanges la baguette pour la main de la jeune femme et et pose sur la poignée en espérant que ca suffise. Un craquement se fait entendre et tu prends le risque d'essayer d'ouvrir. Devant toi s'étale l'appartement de la jeune femme dans la pénombre. Tu n'es jamais arrivé si loin. Tu t'es limité dans tes recherches à l'immeuble, au couloir même.
Tu avises le canapé, c'est là que tu la déposes, là où elle se recroqueville a nouveau. Tu vois ses poignets. Il y a une marque rouge sur chacun. Elles bleuissent à vue d'œil. La scène te revient en tête. Tu l'as serrée sans pouvoir la lâcher. C'est toi, qui l'a blessée. Voilà que le remord fait son apparition dans le fond de ton esprit. C'est à cause de toi qu'il est comme ça. Tu enregistres cette information pour la première fois.
"Calliope? "
Un genou à terre tu es proche d'elle. Sur son visage des mèches de cheveux. Elle tremble, elle est brûlante… que faire ? Partir ? La laisser là… c'est de ta faute si elle est dans le mal à cet instant. Tu es détenteur de son secret, tu possèdes un pouvoir sur elle, tu peux l'anéantir si t'en prend l'envie. Tu n'as jamais eu autant de pouvoir sur quelqu'un sans doute. S'en est presque intimidant.
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mar 20 Juil 2021 - 23:19
Terrassée. Calliope de retrouve sur le carrelage froid. En pleine crise d’angoisse elle lutte à chaque fois qu’elle inspire. Elle a l’impression d’avoir oublier comment respirer. La tête lui tourne, elle ne voit plus rien. Ou peut être est ce les larmes qui maculent ses jours qui empêche sa vision. Elle tremble. Elle tremble sur chaque parcelle de son corps. Elle est incapable de transplaner, sa magie semble bloquer quelque part dans son insconscient, inaccessible dans l’état ou elle se trouve…
Le pire vient d’arriver. C’est tout son monde qui s’écroule. Toute sa vie a été bâtie sur un mensonge. En se dévoilant ainsi, c’est comme si les fondations s’écroulaient et elle était absolument persuadée que tout allait suivre. Sa famille, ses pairs, ses proches. Ils allaient tout savoir. Ce qu’elle était. Et surtout ce qu’elle n’était pas. Elle allait finir comme ces bêtes de foires, elles que l’ont regarde en pointant du doigt, en se lamentant sur leur malchance mais en se délectant du spectacle affligeant qu’elles présentent. L’absence de mariage, l’impossibilité d’avoir des enfants quand le modèle qu’elle souhaiterait. Tout ce qui la contrariait concernant son statut dissimulé, tout ceci lui semble futile comparé à la possibilité d’être estampillée « sang mêlée » parmi les sangs purs.
Et tout ça, c’est à cause de lui. Il a ce qu’il voulait. Il voulait la dominer, il voulait avoir le dessus sur elle… il venait de trouver le meilleur filon qu’il pouvait. Et il l’a exploité jusqu’au bout. Sans davantage être perturbé par la détresse de sa victime. Si elle ne le détestait pas, c’est le cas maintenant. Trop faible pour l’exprimer, certes, trop faible pour en prendre la mesure. Elle le hait. Elle hait ce regard qu’il pose sur elle. Comme s’il venait de résoudre une équation particulièrement compliqué.
Elle voudrait hurler, le frapper, se venger. Elle en est incapable. Elle lutte pour respirer. C’est tout ce dont elle est capable de faire. Elle veut qu’il s’en aille, qu’il aille se faire foutre lui et ses questions obsessionnelles. Mais il l’a prend dans ses bras et elle est incapable de l’en empêcher. Ballottée puis calée contre son torse, elle tremble. Ses poignets rouges bleuissent. Ses larmes coulent comme si elles ne pouvaient plus jamais se tarir.
Elle est a peine consciente des mouvements qui s’opèrent jusqu’à ce qu’il l’a dépose. Elle est à peine consciente d’être dans son propre canapé. Elle n’entend pas ce qu’il lui dit même si elle sait qu’il est tout prêt d’elle. Elle voudrait qu’il parte. Non. Il ne peut pas partir en sachant cela. Qui sait a qui il le dirait. La paranoïa la saisit. Elle imagine tout ce qu’il pourrait faire de cette information.
Il lui faut de nombreuses minutes pour se calmer. Pour retrouver un semblant de souffle. Pour se retrouver elle même. Elle est chez elle et son regard las gonfle par les larmes croise celui du Grymm. De ses mains encore tremblante elle couvre son corps à moitié nu en remettant sa robe devant elle. Il lui faut d’autres minutes pour retrouver la capacité de parler. En réalité elle ne sait pas quoi dire, elle ne sait plus comment se comporter.
- Va-t-en.
Souffle-t-elle.
- Va. Gâche ma vie.
L’épuisement la submerge. L’orgasme suivit de la crise d’angoisse ont affaiblit tant son corps que son esprit. Ses yeux se ferment. Et elle abandonne la lutte, se laisse aller à l’oubli qui ne sera malheureusement que temporaire …
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Re: how to handle the devil part 1 alinea 2 x callimitri#5 (terminé)
Mer 21 Juil 2021 - 14:16
De ta faute, son état est entièrement dû à toi et ton insistance sans faille. Il fallait que tu saches, que tu ais le fin mot de l’histoire. Elle n’a maintenant plus de secret pour toi c’est dit. Tout est dit, le reste ne doit être que dérisoire tu en es sûr. Est ce que le jeu en vaut la chandelle ? Tu ne voulais pas qu’elle finisse rouler par terre, tu ne lui veux pas de mal.
Tu finis bien par la ramener chez elle, réaliser ce que tu as fait, et rester là sans savoir quoi faire. T’es pas du genre à faire dans la dentelle, à être rassurant, tu ne vas pas la prendre dans tes bras pour s’assurer qu’elle va bien. Non, tu ne feras pas ça. Tu l’appelles par son nom. Elle n’est plus vraiment présente parmi vous, elle est éteinte, au bord d’un précipice duquel elle pourrait se jeter à tout moment. Faut-il que tu la fasses revenir ? Ne vas tu simplement pas empirer la situation? C’est possible. Encore une fois, si elle en est là, c’est de ton fait. Tu l’as cassée, tu as créé cette fêlure en découvrant son secret. Peu importe que ça soit fait exprès ou non, le résultat est le même.
La culpabilité est un sentiment que tu ne connais que très mal. Tu ne la que peu ressenti, tu n’es pas du genre à regretter tes actes, en général tout ce que tu fais est prémédité, tu ne laisses pas de place à l’inconnu, justement pour éviter ce genre de mauvaise surprise. Tu as perdu le contrôle ce soir, ce n’était pas tout que de s’offrir physiquement. Tu as essayé d’avoir le contrôle total sur elle, tu as réussi, mais tu n’as pas l’impression d’avoir gagné pour autant. Tu ne te sens pas mieux, tu as l’impression d’avoir fait quelque chose de mal sans arriver à mettre la main sur quoi. Tu as déjà fait pire, en interrogatoire notamment, ça ne t’as jamais dérangé de briser les gens.
Elle te demande de partir. Encore. Sa voix est faible, elle met longtemps avant d’émerger du silence. Tu ne compteras pas le nombre de fois où elle aura fait cette demande ce soir. Oui, elle veut que tu partes, et tu veux bien croire que ça soit sincère. Cette fois ci, tu as envie d'obtempérer.
Mais c’est ton égo qui est piqué quand elle te dit d’aller gâcher sa vie. Oh non. Il n’est pas question pour toi de répandre la moindre rumeur sur elle. Si tu te sers de ce secret un jour, ça sera en une occasion bien définie. On ne gâche pas une occasion comme ça aussi facilement. C’est un moyen de pression offert sur un plateau. Tu as la capacité de lui faire faire ce que tu veux. Tu en as conscience.
Tu ne vas pas débattre avec elle, encore moins déballer l’ombre d’un plan.
Ses yeux se ferment. Tu as un dernier geste avant de partir. Tu prends la couverture légère pliée soigneusement sur l’accoudoir, tu le déplies et l’étend sur elle pour couvrir son corps. Tes doigts effleurent son épaule. Ton corps oscille entre deux comportements distincts, la colère, le désir mêlés, ne font pas bon ménage. A nouveau elle est à ta merci, mais tu ne feras rien. Tu en as suffisamment en ta possession, et bizarrement l’impression de ne pas en avoir assez aussi.
Quelques instant plutard tu es chez toi, tu envoies valser cravatte et veste et cherche fièvreusement une cigarette que tu vas fumer appuyer sur le balcon. Tu as vue sur la ville, maginifique, mais tu ne vois rien, ton esprit est bouché, obstrué par l’image de Calliope Muller.terminé
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