Tu inspires longuement, une cage, qu'est-ce que cela peut bien signifier ? Ton esprit vagabonde et essaie de trouver un sens, une explication à tout cela. Tes phalanges teintées de noir effleurent les barres adjacentes. Que faut-il comprendre ? Cet environnement, celui d'une cage pourrait réveiller la bête qui sommeille à l'intérieur. Intolérance à la perte de liberté. Il y a aussi cette lettre que tu conserves précieusement au coin de ta poitrine, présence sensuelle mais invisible de la défunte Auror.
Eden, ou "Sykes" comme tu te plaisais à la dénommer, que ferait-elle en l'instant ? Observer, analyser les moindres détails. C'est ube alternative pertinente. Mais tu as ce besoin passionnel de vérifier que … Que ta magie fonctionne encore, subtile mais éternelle alliée. Tu t'en remets à elle, c'est tellement plus sécurisant. Ta paume droite crépite. Tu te tournes vers l'étudiante. "Par Asmodée, cessez de bramer de la sorte ou je vous fait connaître l'effroi sur le champ !".
Tu réajustes ta veste de cuir noir sur ton chemisier rouge sang. "Je vous préviens, Mitchell, je compte bien réduire cette cage en cendres". Tu contournes ce maudit cube, les bagues que tu portes frappent chaque barreau dans un rythme glauque. De quoi évoquer ce que les Non-Majs nomment des films d'horreur. "Cela me rappelle ces lieux sans intérêt fréquentés par moldus et sorciers, les cirques". Tu reprends une inspiration. "Une suggestion avant que je n'emploie la manière forte ?"
- Spoiler:
- Résumé : Cléopatra met du temps à émerger, elle prend le temps de faire le tour de la cage et de réprimander l'étudiante avec elle. Elle compte faire exploser la cage pour en sortir, par chance si elle n'a pas sa baguette elle dispose de la magie sans baguette. Elle émet l'hypothèse d'un cirque, convaincue qu'il y a quelque chose d'anormal.