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A Last Day ! A Day of my Liberty ! *w* ▬ Miss Hemmett
Ven 23 Avr 2010 - 0:48
Stage Three: « Student VS Teacher ! »
Phobia Hemmett & Ximon Poditeïr
Phobia Hemmett & Ximon Poditeïr
- Oué -_-‘ ! Tu parles d’une galère. - Oh mon pauvre, elle doit te faire vivre un enfer la vieille Hemmett ? - Bah tu devrais plus dire. Si moi je ne lui fais pas vivre un Enfer ! - Ah Bon ? Explique toi… - J’espère bien réussir à la faire craquer se soir ! - Tu changeras jamais… - Faut bien que je me fasse rembourser mes 5 heures de plaisir journalier qu’elle ma sucré… » | Découvrez la playlist Topix5 avec Les Wriggles |
Dernière heure de cours, encore une fastidieuse journée qui se finira par une heure de retenu, par la prof d’histoire de la magie. Elle trouvait que je depassais les bornes, j’ai séché une fois son cours et je lui ai fait un coup qu’elle se souvenu toute sa vie. Après avoir parler avec mon camarade de classe, je pris les devants pour allais au deuxième étages. En montant les marches, je venais de voir un cochon déambulait dans les escaliers en grognant. Je secouais ma tête pensant que je venais d’assister à une hallucination, mais ce fus tout autre quand je vis un première année déambuler lui aussi les escaliers en criant :
- E l è v e ▬ « Annette ! Annette ! Reviens faut prendre ton bain ! »
Mais quel bande de taré dans cette école… Tien j’avais bien envie de disséqués un ou deux rat du laboratoire de potion… Mais j’évitais de trop penser à ça, sinon j’allais découper Phobia en petit cube a donné a manger au Gliccomore. C’était des plantes carnivore extrêmes féroces que faisait pousser une maniaque des plantes dans les serres botanique ! Je franchissais enfin les marches de l’escalier me demandant ce qui allait m’arrivais encore se soir qui sait !
Me voici devant la porte de la salle d’histoire de la magie pour ma dernière heure de colle, après cette heure ce sera la liberté conditionnelle avec félicitation pour bon comportement ! Comment ça bon comportement ? Je vais lui en faire voir de toutes les couleurs un peu comme toute la semaine. J’ai tout tenté pour lui faire perdre la tête, entre les sorts de disparition en faisant disparaitre ses affaires, puis ainsi fut un vêtement qu’elle portait, mais j’ai gagné une bonne paire de claque cela dit. J’ai fait amener un esprit frappeur dans sa salle de cours. C’était bien drôle le lendemain en cours avec la salle toute désordonné, mais tout à commencer alors que j’étais à son cours :
▬ FLASHBACK :
X i m o n ▬ « Putain... Je suis encore en retard ! »
Je me levais comme d'habitude en retard, mais la c'était diffèrent je sens que la journée allait être longue, je m'habillais en quatrième vitesse, bon j'avais la chance que notre salle commune était aux même étages je n'avais pas besoin de me forcer à monter des escaliers ... J'avais fini de m'habiller je prenais une pomme en courant dans les couloirs la mangeant a pleine dent, quand en m'approchant de la porte de Phobia. Je l'ouvris par mégarde, quand tout le monde était déjà assis à étudier le GRAND Izydor... Quand Phobia se retourna et s'approchait de moi me disant :
P h o b i a ▬ « Monsieur Poditeïr... Encore en retard... De plus vous séchez mon cours... Je crains devoir vous mettre en retenue !
X i m o n ▬ - Par... PARDON ! Parce que quoi ? J'ai séché deux heures de vos cours ennuyeux et je suis arrivé quelques fois en retard mon Hiboux-réveil est en panne c'est temps si ! »
Elle esquivait ma réponse nan, mais la garce... Voilà pourquoi je n'aimais pas cette prof je me mettais à mon bureau quand j'entendis la prof redire quelque mot :
P h o b i a ▬ « Monsieur Poditeïr, vous serez en retenu toute la semaine, ce soir après les cours je vous veut dans mon bureau !
X i m o n ▬ - Vous me voulez ? Intéressant... C'est bien trop d'honneur que vous me faites la ! »
Eh voila ! Comment je me retrouve dans sa classe depuis le début de semaine, je n’avais vraiment pas de chance… Enfin non j’avais de la chance, passer une heure par jour avec une si jolie femme, c’est plus un paradis que l’enfer des damnés ! Une semaine a supporter ses heures de retenues… J’espère qu’au moins je serais récompensé pour ma « bonne conduite ».
▬ Fin FLASHBACK
Je me motivais à frapper à la porte, j’étais habiller simple : Un jeans délavé et taché de sang, je n’allais pas non plus faire un effort vestimentaire, une chemise blanche avec les manches remontaient au niveau du coude. Je serrais le poing le posant sur la porte puis j’inspirais profondément et je toquai une douzaine de fois. J’attendais une réponse pour rentré, j’enclenchais la poignée de la porte et en rentrant je vis une ombre au fond de la salle je dis doucement :
- X i m o n ▬ « Rebonjour Mademoiselle Hemmett… Eh bien qui l’eu crus que je ne sois pas mort après cette semaine de retenue ! »
Je fermais la porte derrière moi, en m’approchant de plus en plus frôlant de mes doigts mon bureau, ou je me plaçais pendant les cours de phobia. Puis je vis un siège qui m’était destiné depuis le début de la semaine, je posais mon cul sur la chaise et je posais ainsi mes pieds sur le bureau. Je croisais mes doigts les posant sur mon abdomen, attendant patiemment le travail qu’allais me donner aujourd’hui l’une des profs les plus sexy de Hungcalf !
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Re: A Last Day ! A Day of my Liberty ! *w* ▬ Miss Hemmett
Lun 26 Avr 2010 - 20:02
- La porte de la salle de cours vide s'ouvrit et sans même regarder qui pouvait bien entrer, je sus qu'il s'agissait de Monsieur Poditéïr. Ça faisait une semaine presque qu'il venait chaque soir, de six à sept, histoire de faire de menus travaux que je ne voulais pas faire. Oh, je ne lui demandais pas de faire le cours à ma place, loin de là, mais il s'agissait de ranger la salle, de la nettoyer de fond en comble, ou d'autres choses de ce genre. Généralement, il se vengeait en partie puis qu'il s'était amusé plus d'une fois à faire disparaître mon chemisier -que j'avais fait réapparaître la seconde d'après sans vraiment montrer qu'il commençait à me taper sur le système. Pendant un temps, même, j'avais envisagé de supplier Andy de surveiller ce foutu Poditéïr. Mais il fallait bien que j'assume mes actes et que je prenne sur moi, de temps à autre. Regardant donc au dehors, les bras croisés devant ma poitrine, ma baguette dans la main droite, j'entendis donc sa voix que je commençais à exécrer s'élever doucement :
- « Rebonjour Mademoiselle Hemmett… Eh bien qui l’eut cru que je ne sois pas mort après cette semaine de retenue ! »
Haussant les épaules, j'écoutais les bruits : la porte qui se fermait, les pas sur le sol dallé grossièrement, le raclement de la chaise sur le sol et le bruit sourd qui annonçait qu'il s'était assis. Me retournant enfin, je constatais qu'il se tenait avec nonchalance dans une position hautement irrespectueuse. Et sans décroiser mes bras, d'un mouvement vif du poignet (et donc de ma baguette) je faisais s'écarter la table sur laquelle il avait posé ses pieds et la chaise où il était avachi. Ses pieds retombèrent au sol tandis que je me contentais d'un commentaire glacial :
- « Si vous ne voulez pas nettoyer toutes les tables de cette salle avec votre langue, vous seriez bien avisé de mieux vous tenir. »
Mes yeux, sombres, fixaient avec dureté l'élève qui avait été tellement insupportable pendant ces deux dernières semaines que je n'avais pas eu d'autre choix que de lui coller une semaine de retenue. Ça avait usé ma patience jusqu'à l'os, mais après tout, tout serait fini ce soir et je pourrais enfin redevenir calme, affable, et joyeuse. Un coup d'œil rapide à sa tenue me permit de constater l'état déplorable de ses habits. Mes yeux s'attardèrent un instant sur les tâches de sang de son pantalon délavé, mais je m'empêchais de les observer plus longtemps. Je connaissais mes phobies, je savais quelles étaient mes angoisses et je savais pertinemment que si je me laissais happer par elles, je n'en ressortirais pas saine d'esprit. Andy m'aidait à y voir plus clair jour après jour, il m'était d'un soutien incomparable pendant cette période bien trop dure pour moi. Il ne m'avait pas repoussée, au contraire, il avait fait comme si je ne lui avais jamais dit que nous ne pouvions continuer à être amants. Il m'avait pardonné ce rejet, m'avait rouvert ses bras et avait de nouveau essuyé mes larmes de ses doigts et de ses lèvres. Le chemin était encore long pour que je puisse me dire que Caleb ne reviendrait pas, mais j'y arriverai… Il fallait bien ça, hein ? Je ne pouvais pas persévérer dans cet espoir là, ça me consumait à petit feu… Consciente que j'avais été absente quelques instants, je reprenai soudainement mes esprits et je repris la parole comme si de rien n'était…
- « Bien, j'imagine que vous n'avez rien écouté aujourd'hui, comme d'habitude, donc ce que je vous propose ne vous paraîtra pas être de la redite. »
Un mouvement du poignet plus tard, une pile de livres s'abattait sur la table -encore éloignée- du Wright. Et la faisant glisser jusqu'à lui, j'ajoutai :
- « Vous consignerez tout ce que vous pouvez trouver dans ces livres à propos des partisans de Gurb le Malchanceux sur un parchemin. J'ose espérer que vous n'avez pas trop fatigué votre poignet aujourd'hui… Quoique vu ce que vous dormez en cours, vous ne devez pas tellement noter de choses, n'est-ce pas ? »
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