- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Night Talk - Ft Victoria
Mar 20 Sep 2022 - 15:27
Elle avait l'air presque irréelle la jolie Quarta, sagement assise en tailleur sur le muret trop haut du manoir familial. Drapée de perle et saphir venu renvoyer, le plus joliment du monde, le doux miroitement des étoiles. Si son regard avait un instant effleuré les massifs de roses tenu plus bas, il embrassa si ardemment la lune et la grande ourse que, quelque part sans doute, avait-elle espéré pouvoir disparaître parmi l’immense étendue lumineuse qui s'offrait à elle. Fuir des responsabilités qu'on lui avait sifflé à table, inlassablement, et qui ne manquerait pas de s'abattre sur sa gorge au moindre faux pas. Alors, pour une fois elle avait abandonnée ses enfantillages irraisonnés, délaissé les regards noirs offerts à sa fratrie pour épouser les ordres parentaux à l'aide d'une telle soumission qu'on peinait parfois à retrouver le tempérament si altier et impérieux du dragon aux morsures terribles qu'elle arborait pourtant au quotidien. Pas une seule fois elle n'avait délaissé le regard paternel, presque hypnotisée, prisonnière d'une aura si sombre, si puissante qu'elle n'osa pas même un mouvement d'approbation. Seul un « J'y arriverais, papa » avait été soufflé, si doux, infiniment doux qu'il était évident qu'elle s'était attendu à une brève et infime marque d'attention. A un geste mort-né, là, désespérément maintenu sur la table dans une attente qui lui rongeait les tripes. Alors le mutisme était retombé, le repas avait reprit, mais le regard de Quarta n'avait sû reprendre sa route. Désespérément pendu au visage de son père. Elle n'avait rien mangé, une fois de plus, et s'était entêté à piquer son poignet brûlé du bout de ses griffes verni de bleu. Frénétiquement. Durant une tablée si austère qu'elle s'en était faite terrifiante.
La rentrée guettait, se glissait perfidement là, entre les dernières journées d’été et si la jolie rousse s'évertuait à trouver quelques motivations pour retrouver la route de l'université, il fallait admettre qu'elle avait préparé ses plus belles robes sans grand entrain. En traînant presque la patte devant l'immense travail à fournir. Devant les attentes presque fantasmés qu'on lui imposait. Elle avait nullement envie d'embrasser une nouvelle année, les dernières lui avait laissé un goût amer, presque révulsant, tant et si bien que la grande Quarta appréhendait aujourd'hui le retour à l'université. Non, elle refusait une nouvelle année, les heures passée à pleurer, à plonger ses griffes dans son matelas pour taire l’anxiété qui l'étranglerait lorsque les devoirs, les notations qu'elle appréhendait la mort dans l'âme, remonteraient le long de sa peau pour la dévorer. Elle ne tenait plus et ne survivrait pas une année de plus. Du moins le répétait-elle depuis presque trois ans déjà, sans qu'elle ne se laisse abattre. Elle s'en sortait toujours, Quarta, et s'en sortirait une année de plus.
Divine lorsque, baigné par la lune, elle osa finalement s'étirer en un geste félin
Aimé des plus belles nymphes lorsqu'elle s'essayait à sourire. Quarta était
Nimbée des plus beaux astres. Prenait des airs de revenant, là, souveraine dans la pénombre.
Diaphane était sa peau, sombres les bleus aux allures de nébuleuse qui y trônait
Et pourtant, jamais elle n'avait paru aussi puissante qu'assise sur la pierre vieillissante.
L'éther au bout des doigts, rendu presque sylphide tant ses gestes tenait de l'
Irrél. Presque suspendu dans le temps, béni des muses et quelques autres entités innommables.
On en avait forgé l'esthétisme dans la danse, le mimétisme et les larmes mais
Nul ne pouvait nier qu'il y avait là de l'innée, savamment tapis derrière Un je ne sais quoi d'entêtant qui prenait aux tripes lorsque l'on osait plonger dans ses grands yeux bleu. Vaste étendue où naviguaient milles étoiles et qui se déversa, irrémédiablement, en
destination de l'ombre qui s'offrait à elle. Un instant du moins, pour ne pas fuir un pas qui éveillait depuis quelques années déjà les pires révoltes de sa jeune presque-soeur. Pour ne pas faiblir, ou du moins trahir la vulnérabilité qui la tenait. Quarta avait pleuré, fait indéniable, et pourtant elle s'était évertué à bannir tous les stigmate portés par ses sanglots. Si la voix tremblaient un peu, le regard était rougit mais intense. A défaut d'être fauve.
« - Tu ne dors pas ? »
Un peu moins sauvage qu'à l'habitude, l'infante d'Aloysius s'était longuement perdue sur le visage de la rousse nouvellement venue. Un peu hésitante, soyons honnête, quoique qu'infiniment droite. « - Si Juliet t'envoie reprendre ses robes, la réponse est négative. Elle n'a qu'a être plus souvent à la maison. Mon manoir, mes règles : Tout déserteur perd le droit sur ses affaires. »
La rentrée guettait, se glissait perfidement là, entre les dernières journées d’été et si la jolie rousse s'évertuait à trouver quelques motivations pour retrouver la route de l'université, il fallait admettre qu'elle avait préparé ses plus belles robes sans grand entrain. En traînant presque la patte devant l'immense travail à fournir. Devant les attentes presque fantasmés qu'on lui imposait. Elle avait nullement envie d'embrasser une nouvelle année, les dernières lui avait laissé un goût amer, presque révulsant, tant et si bien que la grande Quarta appréhendait aujourd'hui le retour à l'université. Non, elle refusait une nouvelle année, les heures passée à pleurer, à plonger ses griffes dans son matelas pour taire l’anxiété qui l'étranglerait lorsque les devoirs, les notations qu'elle appréhendait la mort dans l'âme, remonteraient le long de sa peau pour la dévorer. Elle ne tenait plus et ne survivrait pas une année de plus. Du moins le répétait-elle depuis presque trois ans déjà, sans qu'elle ne se laisse abattre. Elle s'en sortait toujours, Quarta, et s'en sortirait une année de plus.
Divine lorsque, baigné par la lune, elle osa finalement s'étirer en un geste félin
Aimé des plus belles nymphes lorsqu'elle s'essayait à sourire. Quarta était
Nimbée des plus beaux astres. Prenait des airs de revenant, là, souveraine dans la pénombre.
Diaphane était sa peau, sombres les bleus aux allures de nébuleuse qui y trônait
Et pourtant, jamais elle n'avait paru aussi puissante qu'assise sur la pierre vieillissante.
L'éther au bout des doigts, rendu presque sylphide tant ses gestes tenait de l'
Irrél. Presque suspendu dans le temps, béni des muses et quelques autres entités innommables.
On en avait forgé l'esthétisme dans la danse, le mimétisme et les larmes mais
Nul ne pouvait nier qu'il y avait là de l'innée, savamment tapis derrière Un je ne sais quoi d'entêtant qui prenait aux tripes lorsque l'on osait plonger dans ses grands yeux bleu. Vaste étendue où naviguaient milles étoiles et qui se déversa, irrémédiablement, en
destination de l'ombre qui s'offrait à elle. Un instant du moins, pour ne pas fuir un pas qui éveillait depuis quelques années déjà les pires révoltes de sa jeune presque-soeur. Pour ne pas faiblir, ou du moins trahir la vulnérabilité qui la tenait. Quarta avait pleuré, fait indéniable, et pourtant elle s'était évertué à bannir tous les stigmate portés par ses sanglots. Si la voix tremblaient un peu, le regard était rougit mais intense. A défaut d'être fauve.
« - Tu ne dors pas ? »
Un peu moins sauvage qu'à l'habitude, l'infante d'Aloysius s'était longuement perdue sur le visage de la rousse nouvellement venue. Un peu hésitante, soyons honnête, quoique qu'infiniment droite. « - Si Juliet t'envoie reprendre ses robes, la réponse est négative. Elle n'a qu'a être plus souvent à la maison. Mon manoir, mes règles : Tout déserteur perd le droit sur ses affaires. »
Défi des Dandelions & Furs &
Défi des Capes Noires
Défi des Capes Noires